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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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La répression syndicale en augmentation
Dom Le Trappeur a répondu à antoine situé dans Brin de causette
Et maintenant c'est le MEDEF-UIMM qui s'y colle ... bigbisous -
Anisette ==>> Marne (51...) :Smiley_53:
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journaliste ==>> baveux
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Et pendant ce temps là... Débrayages aux remontées mécaniques dans plusieurs stations de ski LES MENUIRES (Savoie), 2 mars 2008 (AFP) - Les saisonniers ont momentanément interrompu dimanche matin les remontées mécaniques dans plusieurs stations de ski françaises pour protester contre la remise en cause de leur assurance chômage, en présence de vacanciers majoritairement compréhensifs, a-t-on appris auprès des grévistes et des stations. A l'appel de la CGT, ce débrayage national vise principalement à protester contre la suppression, après trois périodes de travail et d'indemnisation, de leurs allocations versées au titre du chômage saisonnier, prévue par une convention Unedic signée en 2006. Les effets de cette convention signée par le Medef, la CFTC et la CGC, mais refusée par la CGT et FO, devraient se faire sentir à partir de 2009. De nombreuses stations françaises réparties sur l'ensemble des massifs ont été touchées par des arrêts de travail d'un heure dans les remontées mécaniques entre 8H30 et 9H30, a-t-on appris de même source. Dans plusieurs stations savoyardes et haut-savoyardes, parmi lesquelles Valmorel, Flaine, les Arcs, la Plagne, mais aussi les Deux Alpes (Isère), les grévistes ont distribué des tracts, parfois des croissants, et fait signer des pétitions aux vacanciers. Aux Ménuires (Savoie), une soixantaine d'employés des remontées mécaniques, des pisteurs et quelques saisonniers travaillant dans l'hôtellerie était présent dès 8H30 au départ du principal télésiège de la station. A l'exception de rares mécontents, la plupart des vacanciers ne semblaient pas surpris et se montraient globalement compréhensifs à l'égard des grévistes. "Ca ne me dérange pas du tout, pour une heure ça va. Tous les métiers particuliers --remontées mécaniques, milieux artistiques-- ils sont en train de tout remettre en cause", a déclaré une mère de famille parisienne de 35 ans. Dans quelques stations, comme aux Karellis (Savoie), la grève des saisonniers portait sur des revendications salariales. Des négociations étaient toujours en cours entre la direction et les syndicats dans cette station, où les remontées mécaniques étaient toujours à l'arrêt peu avant 10H00 dimanche, selon un délégué CGT.
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no ...taire ==>> alors parlez... koiquesse
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Le temps des réglements de compte * est arrivé Nous ne sommes pas au bout de nos surprises... * et c'est pas des petites sommes... Face à l'affaire de l'UIMM, Parisot veut "tout remettre à plat" PARIS (Reuters) - La présidente du Medef appelle tous les chefs d'entreprise à l'aider à "tout remettre à plat" après la révélation de l'accord entre l'UIMM et son ancien président, Denis Gautier-Sauvagnac, et elle demande la démission des membres de l'UIMM détenant des mandats nationaux au nom du Medef. Dans un entretien au Journal du Dimanche diffusé samedi, Laurence Parisot annonce que le président de l'Unedic, Michel de Virville, lui a "spontanément proposé sa démission". "Je salue son geste", ajoute-t-elle. Selon l'hebdomadaire Marianne, qui a révélé que Denis Gautier-Sauvagnac avait reçu 1,5 million d'euros d'indemnités de départ et l'assurance d'une prise en charge d'éventuelles sanctions financières, Michel de Virville aurait négocié cette prime. "Je lance un appel à tous les chefs d'entreprise de France, des TPE, des PME, des grands groupes, quelle que soit leur taille, quels que soient leurs secteurs d'activité, et en particulier à ceux de l'industrie, afin qu'ils me soutiennent et s'associent à moi pour tout remettre à plat", déclare Laurence Parisot dans les colonnes du Journal du Dimanche. "Je m'adresse notamment aux adhérents de l'UIMM qui sont choqués par ce que nous découvrons", ajoute-t-elle. "L'UIMM et le Medef sont deux entités séparées, mais je sais que la plupart des dirigeants d'entreprise de l'UIMM sont de bonne volonté et partagent nos valeurs." "Avec eux, je veux rassembler tous les patrons qui exigent transparence et éthique, tous ceux qui sont prêts à se dresser contre les démonstrations d'opacité que certains nous infligent, et contre leur sentiment abusif d'impunité", poursuit-elle. Laurence Parisot "demande solennellement à tous les membres de l'UIMM qui exercent des mandats nationaux dans des institutions au nom du Medef de remettre immédiatement leur mandat à la disposition du Medef". Dans un entretien sur France 2, samedi, elle précise qu'elle souhaite ces démissions "dès lundi matin". Priée de dire si elle comptait engager une procédure judiciaire, Laurence Parisot répond au Journal du Dimanche : "J'étudierai toutes les hypothèses. L'accord entre l'UIMM et son délégué général (Denis Gautier-Sauvagnac) me semble très discutable sur le plan juridique." Denis Gautier-Sauvagnac, qui est toujours directeur général de l'UIMM, a été mis en examen pour "abus de confiance, recel d'abus de confiance et travail dissimulé" le 15 janvier. L'enquête judiciaire qui le vise concerne une vingtaine de millions d'euros retirés en liquide sur des comptes de l'UIMM entre 2000 et 2007. Denis Gautier-Sauvagnac admet son implication mais il a refusé de livrer le nom des bénéficiaires de ces fonds. Selon les partis de gauche, la prime de 1,5 million d'euros était destinée à acheter son silence. Jean-Baptiste Vey
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UIMM MEDEF: Gautier-Sauvagnac appelle Laurence Parisot à "garder son sang-froid" PARIS, 2 mars 2008 (AFP) - L'ancien président de l'UIMM Denis Gautier-Sauvagnac a appelé dimanche la présidente du Medef Laurence Parisot à "garder son sang-froid" et s'est étonné de sa "véhémence" sur l'affaire de ses indemnités de départ, a déclaré son avocat . "Denis Gautier-Sauvagnac s'étonne de la teneur et de la véhémence des déclarations de la présidente du Medef", a indiqué Me Jean-Yves Le Borgne dans une déclaration lue à l'AFP. "L'injure n'apporte rien au débat, il vaut mieux garder son sang-froid plutôt que de s'évertuer à envenimer une situation dont la justice est saisie", a ajouté l'avocat, s'exprimant au nom du délégué général de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM). La présidente du Medef a affirmé dans un entretien au JDD avoir demandé "solennellement à tous les membres de l'UIMM qui exercent des mandats nationaux dans des institutions au nom du Medef de remettre immédiatement leur mandat à la disposition du Medef". Sont concernées notamment "l'assurance-chômage et l'Agirc", la caisse de retraite complémentaire des cadres. "Pour la première, Michel de Virville m'a spontanément proposé sa démission, et je salue son geste", ajoute-t-elle. "Trop, c'est trop. Je ne décolère pas", a encore lancé Mme Parisot sur France 2. "Ca abîme l'image des entreprises, du Medef, mon image", a-t-elle insisté, en dénonçant un comportement "méprisant et méprisable". Denis Gautier-Sauvagnac "s'interroge sur les réelles motivations d'une véhémence qui ne sert pas la cause de l'entreprise mais jette la confusion dans les esprits et tend à diviser au lieu de rassembler", a affirmé Me Le Borgne, rappelant que son client "a toujours agi avec probité depuis 15 ans à l'UIMM comme au Medef". Le patronat de la métallurgie a confirmé jeudi que DGS avait négocié une indemnité de départ de 1,5 million d'euros ainsi que la prise en charge par l'organisation patronale des conséquences fiscales de l'affaire des retraits de fonds suspects des caisses de l'UIMM dans laquelle il est mis en examen. Pour l'avocat de Denis Gautier-Sauvagnac, "ses conditions de départ ont été fixées selon une procédure régulière et juridiquement incontestable". Les négociations sur ces indemnités ont été conduites par Michel de Virville, membre du bureau de l'UIMM, qui a "spontanément" démissionné samedi de la présidence de l'Unedic, selon Mme Parisot. Quelque 19 millions d'euros en espèces ont été retirées entre 2000 et 2007 des caisses de l'UIMM sous l'autorité de DGS. M. Gautier Sauvagnac a, "en dépit de la confiance que l'UIMM lui a manifesté à plusieurs reprises", "admis de quitter ses fonctions pour aider à tourner la page, assumant ainsi la tradition centenaire et non le poids d'une faute personnelle", a encore rappelé son avocat. L'UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) a confirmé jeudi que son ancien président, Denis Gautier-Sauvagnac, avait négocié une indemnité de départ de 1,5 million d'euros, ainsi que la prise en charge par l'organisation patronale des conséquences fiscales de l'affaire des retraits de fonds suspects des caisses du patronat de la métallurgie. Ces négociations ont été conduites par Michel de Virville, membre du bureau de l'UIMM. Secrétaire général de Renault, il avait été désigné en janvier par le Medef pour prendre la présidence de l'Unedic. Laurence Parisot l'avait aussi nommé à la tête de la commission des relations du travail du Medef. Le président de l'Agirc est Dominique de Calan, directeur général adjoint de l'UIMM, placé mi-février en garde à vue dans l'affaire des retraits suspects de l'organisation patronale. Selon une source proche du dossier, il pourrait avoir conclu des accords similaires à ceux de M. Gautier-Sauvagnac. L'annonce de la transaction financière avait provoqué vendredi de vives réactions, le PS demandant notamment l'"annulation" de l'accord et le Premier ministre, François Fillon, estimant que la question se poserait en cas de sanction. Face à un accord qualifié d'"omerta" par l'eurodéputé PS Benoît Hamon, à une CGT "indignée" du possible maintien jusqu'à l'année prochaine parmi les représentants du Medef de M. Gautier-Sauvagnac, ou à un Parti communiste dénonçant "quelque chose de pourri dans le royaume du Medef", Laurence Parisot ne pouvait rester silencieuse plus longtemps. Interrogée pour savoir si M. Gautier-Sauvagnac devait renoncer à son indemnité, Mme Parisot a simplement indiqué: "je pense que ces contrats sont discutables juridiquement". Elle demandera des "éclaircissements" au nouveau président de l'UIMM, Frédéric Saint-Geours, qu'elle "rencontre lundi matin". Cet automne, après la révélation du dossier des retraits suspects des caisses de l'UIMM, pour lequel M. Gautier-Sauvagnac a été mis en examen, notamment pour "abus de confiance", Laurence Parisot, tentant déjà de reprendre la main, avait dit vouloir s'engager dans la transparence financière. Prenant très clairement ses distances avec l'UIMM, "adhérent mais pas filiale" du Medef, elle a appelé au "rassemblement tous les patrons qui exigent transparence et éthique, tous ceux qui sont prêts à se dresser contre les démonstrations d'opacité que certains nous infligent, et contre leur sentiment abusif d'impunité".
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HiHiHi ... je passe régulièrement mais par trop longtemps à chaque visite...moins longtemps qu'avant... ensuite direction le café de la gare... ou quelques autres forums (photo, musiques...)
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Mince on a raté les anniversaires du 29 février... Bon dans 4 ans alors... Nos excuses à ceux nés ce jour là... mais le coeur y est ... Bon anniversaire avec un peu de retard... lotrela
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ruine ==>> vieille ...
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pinc(é) ==>> Krisamv... (voir plus haut... ) koiquesse
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Sucettes ==>> bonbons à l'anis
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sinistre ==>> Pompiers
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cigare==> Cuba
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Pas de montre pas de portable et j'arrive à vivre koiquesse
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A votre avis comment sortir de cette guéguère
Dom Le Trappeur a répondu à Rail cassé situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Et les autres, que proposent-ils en ce moment ? -
trahison ==> prison
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petites questions
Dom Le Trappeur a répondu à inzaghi situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
Tu es faché avec les tirets ?... Modifies également le titre de ton fil pour qu'il soit plus explicite : "petites questions pour Attachés OP et TS" Avec le bac tu pourras être recruté comme Attaché opérateur en abrégé ATT OP (personnel exécution) avec un bac + 2 : attaché technicien ATT TS (personnel maîtrise) Dans les deux cas tu auras une période de formation en école, en poste, de tenue de postes , avec examens réguliers et notations. Pendant la formation tu bénéficieras du déroulement de carrière des attachés si tu donnes satisfaction en cherchant sur le forum tu devrais trouver une fiche Attaché opérateur et une fiche attaché technicien avec tous les éléments que tu recherches. A l'issue de cette formation, si tu réussi tu seras régularisé sur un grade du cadre permanent (exécution pour att OP et maîtrise pour Att TS) Bienvenue sur le forum et bonnes recherches -
instituteur ==>> Maîtresse (je t'aime... )
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La répression syndicale en augmentation
Dom Le Trappeur a répondu à antoine situé dans Brin de causette
La sanction demandée par la direction était la révocation. Le Conseil de Discipline (3 DET et 3 représentants du personnel ) a prononcé 8 jours de mises à pied et dernier avertissement. En effet pour éviter la révocation, les représentants du personnel ont recherché un "accord majoritaire" avec les représentants de la direction et cet accord s'est réalisé sur la sanction prononcée pour éviter la révocation. Effectivement il faut maintenir la pression pour faire annuler la sanction par le directeur régional et continuer l'action aux prud'hommes. Au delà je crois au vu de toutes les affaires en cours qu'il faudrait revendiquer une évolution profonde du chapitre 9 du Statut sur les garanties disciplinaires pour ^mettre fin à la dérive qu'on peut constater depuis quelques années avec ces dossiers montés à charge contre les cheminots. A mon avis il faudrait déjà créer au niveau de chaque établissement une commission paritaire chargée d'examiner toutes les procédures disciplinaires et sanctions prises au niveau de l'établisement. Cette commission devrait émettre un avis pour les affaires renvoyés devant un Conseil de Discipline. Pour les affaires renvoyées devant le conseil de discipline régional, il faudrait un système d'instruction sous la responsabilité d'un "médiateur neutre" permettant la prise en compte à la fois de "l'accusation" et de la "défense" avant la convocation du Conseil qui pourrait à la fois prendre une sanction de son ressort mais aussi redescendre l'affaire au niveau de l'Etablissement voir l'annuler purement et simplement (non-lieu...). A noter également : j'ai assisté il y a peu à une affaire devant les prud'hommes. Le Président a demandé à un "témoin" qui avait assisté le demandeur de la procédure lors de l'entretien devant le DET, si il avait fait un rapport d'entretien. Le "témoin" a déclaré que non. Le Président lui a conseillé à l'avenir de toujours faire un rapport après avoir assister à un entretien... Donc si un jour vous êtes amené à assister un collègue lors d'un entretien devant le DET dans une procédure disciplinaire faites toujours un rapport qui devra être adressé au DET, à l'agent et à l'Inspecteur du Travail. Je pense qu'il s'agit à la fois de relater les faits, de lister les preuves la position de l'agent, son système de défense, l'avis du DET, le niveau de la sanction et de donner son avis personnel tant sur le contenu de l'entretien que sur le climat dans lequel s'est passé cet entretien... Cela pourra être utile devant une autre instance particulièrement un tribunal. Notons que le représentant de la direction fait lui systématiquement un rapport sur un document prévu à cet effet. -
triangle==>> Pyramide