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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Lettre unitaire des Organisations syndicales de la SNCF à Mme IDRAC (avant qu'elle ne quitte la sncf) sur le dialogue social à la sncf... 2008_02_21_courrier_unitaire___Mme_Idrac_DialogueSocial.doc
  2. Fosse ==> sceptique (je suis...) ;)
  3. Information du secteur fédéral des cheminots CGT de la Région SNCF de Paris Rive Gauche et remerciements Jacques ALLENOU 21 février 2008 2008_02_21_cgt_secteurPRG_TractAllenou.pdf
  4. L'Inspection du Travail refuse le licenciement de Jacques ALLENOU Communiqué de la Fédération des cheminots CGT Je place ce communiqué dans ce sous-forum pour vous permettre de réagir. 2008_02_21_communiqueALLENOU.doc
  5. Le pognon tu l'as eu début 2008 sous forme de gratification exceptionnelle + cotisations sociales CP et CR ce qui n'était pas le cas de l'intéressement (pas de cotisations CP/CR)... ça aurait été mieux sous forme d'une augmentation uniforme du traitement de base mensuel car là ça aurait fait des petits (tout petits je te l'accorde mais des p'tits quand même) (200 euros c'est 1% du salaire annuel en moyenne ...)
  6. SNCF: Idrac débarquée, le numéro deux Pepy va devenir président AFP - Mercredi 20 février, PARIS (AFP) - Guillaume Pepy, 49 ans, va devenir président de la SNCF pour succéder à Anne-Marie Idrac, un camouflet pour cette dernière, restée seulement vingt mois à la tête du groupe, et une consécration pour l'actuel numéro deux, un homme du sérail. "Le Premier ministre François Fillon a signé ce jour le décret portant nomination des représentants de l'Etat au conseil d'administration de la SNCF ainsi que des personnalités y siégeant en raison de leurs compétences", a annoncé Matignon dans un communiqué. M. Pepy y figure "en tant que représentant de l'Etat", ce qui signifie qu'il sera nommé président de la compagnie ferroviaire, une officialisation qui doit intervenir mercredi prochain lors du Conseil des ministres, a-t-on précisé dans l'entourage du Premier ministre. "L'Etat a estimé que compte tenu des enjeux qui attendent la SNCF ces prochaines années, comme le fret ou l'ouverture à la concurrence (...) il était le plus à même de diriger l'entreprise", a-t-on commenté de même source, ajoutant que M. Pepy jouit d'une "grande crédibilité" en interne comme en externe. Selon des sources proches de l'entreprise, tout se jouait entre Mme Idrac et Guillaume Pepy, directeur général exécutif depuis 2003, qui ne cachait pas son envie de prendre enfin les rênes de la maison. Peu avant l'annonce, le porte-parole du gouvernement, Laurent Wauquiez, avait souligné que "la couleur politique à un poste comme celui-là (n'était) pas forcément le critère déterminant de choix", allusion au fait que M. Pepy avait travaillé dans plusieurs cabinets ministériels de gauche, dont celui de Martine Aubry en 1991. Selon une autre source proche, Guillaume Pepy a bénéficié du soutien de Xavier Bertrand, ministre du Travail, qui l'a côtoyé étroitement lors des dernières négociations sociales. Il aurait apprécié ses talents de négociateur, qui ont largement contribué à faire passer deux "bombes" sociales : la réforme du régime spécial de retraite des cheminots et le service minimum. Malgré une grosse grève en novembre, l'une des plus dures de la SNCF, ces deux promesses de campagne de Nicolas Sarkozy sont passées. Souvent surnommé "l'éternel second", M. Pepy avait avoué sa déception lorsqu'Anne-Marie Idrac avait été nommée présidente en 2006 pour terminer le mandat de Louis Gallois. Il confiait alors en coulisses qu'il quitterait la SNCF s'il n'obtenait pas la place de numéro un. Entré pour la première fois à la SNCF en 1989, travailleur acharné, plutôt apprécié des syndicats --à la différence d'Anne-Marie Idrac-- Guillaume Pepy est une figure connue du grand public pour ses fréquentes apparitions dans les médias. Pour Mme Idrac, ancienne secrétaire d'Etat aux Transports, ce remplacement sonne comme un camouflet, d'autant que les dernières rumeurs la donnaient gagnante, elle, la première femme à diriger la SNCF et l'une des seules à la tête d'une entreprise publique. Le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, disait encore récemment porter un "regard positif" sur son action. Mais elle paye sans doute en partie une vive passe d'armes en 2007 avec Nicolas Sarkozy, alors en campagne présidentielle. Evoquant le dossier du service minimum, elle dit préférer "la prévention, le dialogue dans la gestion des affaires" plutôt que la loi. Réponse cinglante de M. Sarkozy: "la présidente de la SNCF fera ce que son actionnaire lui dira de faire. Si elle n'est pas d'accord, elle en tirera certainement toutes les conséquences". Depuis cet épisode, des rumeurs la donnaient régulièrement partante. Mme Idrac paye aussi une image de piètre communicante auprès des médias et des syndicats.
  7. http://latelelibre.fr/index.php/2008/02/je...-en-opposition/ Après le Père...le fils...
  8. C'est vrai que les gamins ils ont drôlement du mal à se souvenir par coeur des chansons à la mode... Tout se perd ma brave dame... cestachier
  9. Heu... C'est pas plutôt 7,50 euros (sept euros cinquante ) ? (par mois je précise...)
  10. Problème de salaire ? Pas pour tout le monde... Un député-maire UMP de Seine Saint-Denis touche les allocations chômage AFP - Mardi 19 février, 20h36PARIS (AFP) - Le député-maire UMP d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), Gérard Gaudron, a reconnu toucher des allocations chômage d'environ 1.500 euros par mois depuis août 2005, confirmant des informations du Canard enchaîné à paraître mercredi. M. Gaudron a confirmé auprès de l'AFP l'exactitude de cette information et annoncé qu'il allait "rembourser" les indemnités perçues depuis son élection à l'Assemblée nationale en juin 2007. Ce député est indemnisé par les Assedic après avoir accompli l'ensemble de sa carrière chez Géotherma, société spécialisée dans l'installation de chauffages à énergies renouvelables, géothermie, aérothermie, solaire et biomasse. Le porte-parole de l'UMP qualifié sur Europe 1 cette affaire de "choquante". "Ca me semble choquant que quelqu'un qui est parlementaire et qui, par nature, a des indemnités, ne mette pas fin à ce qu'il perçoit de façon indue", a déclaré ce porte-parole. "Je crois, a-t-il souligné, qu'il y a là une affaire à tirer au clair et que ça donne une assez mauvaise image des parlementaires". Depuis qu'il est député de la 10ème circonscription de Seine-Saint-Denis, M. Gaudron, 57 ans, cumule chaque mois ses indemnités de maire et de parlementaire et ses allocations chômage, soit au total "environ 12.500 euros brut", selon le calcul du Canard enchaîné. Cet hebdomadaire a précisé que le député s'est vu supprimer entre août et octobre 2007 ses allocations chômage pour non présentation à une convocation des Assedic, avant de les percevoir de nouveau. "J'ai fait les démarches utiles, me semble-t-il, pour mettre un terme à cette situation", a précisé M. Gaudron à l'AFP, en indiquant avoir écrit deux fois aux services concernés pour les informer de sa nouvelle situation de parlementaire (12 septembre 2007) et pour proposer de rembourser le trop-perçu (26 novembre 2007). "J'ai malgré tout continué à toucher mes allocations chômage", a-t-il ajouté en indiquant les avoir encore perçues ce mois-ci. "Je ne suis ni un voyou ni quelqu'un qui profite du système. Je suis honnête. J'ai demandé de rembourser, je vais le faire", a encore déclaré M. Gaudron, qui a précisé avoir contacté ce mardi les Assedic en ce sens. Avec d'autres députés UMP, l'élu a co-signé en novembre 2007 une proposition de résolution tendant à créer une commission d'enquêtes sur les fraudes aux prestations et aux prélèvements sociaux.
  11. Dans les années 60 (1968 il y a 40 ans ) (nous étions 40 millions d'habitants...) si l'école maternelle et l'école primaire étaient ouvertes à tous les élèves, il n'en était pas de même du collège et du lycée. D'ailleurs quand je suis entré en 6ème ... c'était au lycée...en 1965... et la sélection était encore très sévère. Dans cette période environ 25% d'une tranche d'âge parvenait à décrocher son Bac. Depuis il y a eu un tas de réformes mais surtout une "démocratisation " de l'enseignement en fait une massification : études plus longues, besoins de qualification/diplômes de plus en plus élevés avec l'objectif de 80% d'une classe d'âge avec le BAC, universités etc... objectifs atteints au début des années 2000. cela pour répondre à un niveau de plus en plus important exigé par la société moderne en matière de connaissances et d'éducation, nouvelles technologies, nouveaux savoirs... Si on y ajoute d'une part les problèmes de la crise économique (emplois, chômage...), de l'immigration mais aussi l'urbanisation on voit que nous sommes au coeur des problèmes... Dans les années 60, un jeune qui n'arrivait pas à suivre prenait encore direct le chemin des fermes ou de l'usine (avec un taux de chômage frissant le zéro) sauf que ce n'est plus le cas aujourd'hui... Les problèmes n'étaient pas aussi massifs et aigüs qu'aujourd'hui. Et notre société a bien changé tant sur le plan économique que sur le plan culturel mais aussi dans les mentalités. Ce n'était pas mieux hier : il y avait des jeunes qui sortaient de la primaire sans savoir lire ou compter mais ils pouvaient s'en sortir. Aujourd'hui ce n'est plus le cas. L'urbanisation a engendré une massification des problèmes par la ghettoïsation de certains quartiers : la misère culturelle amène la misère culturelle et souvent les jeunes ne font que reproduire ce que furent leurs propres parents il y a une trentaine d'années. demander à des parents qui ont un bas niveau d'éducation, d'éduquer leurs enfants dans ces conditions est tout simplement un leurre: au mieux on fait du copier coller Une institutrice de maternelle me disait récemment que rien qu'en observant un enfant de 3/4 ans elle pouvait deviner dans quel milieu familial il vivait mais ausi estimer son avenir en matière d'éducation scolaire.
  12. Divises par deux, tu seras plus près de la réalité... Sinon pour rendre l'adhésion obligatoire on a un bon exemple dans l'actualité avec cette direction d'entreprise qui vient d'offrir une avance de 1000 euros à chaque salarié en lui faisant signer un contrat pour assumer ses prestations sinon si il fait grève il rembourse l'avance... Si il lui en reste à la fin de l'année il pourra payer ses cotisations syndicales sur le dos des charges patronales revoltages
  13. Dans le cadre d'une grève dite "reconductible" ... le préavis commence jour A à 20h jour B : 1er jour de grève dans le cadre d'un préavis reconductible... vers 16h le jour B l'agent X décide de se mettre en grève donc au mieux il pourra se mettre en grève le jour D vers 16 h ... Bon c'est vrai la nature ayant horreur du vide, une solution verra poindre le bout de son nez un de ces jours...
  14. Sans parler des grognards de Napoléon ... ou des Gaulois de Vercingétorix (Le fameux vase de Soisson) Et si on transformait les écoles en casernes le retour du service national obligatoire de 6 ans à 18 ans... lotrela
  15. Est-ce que c'est de nature à améliorer le dialogue social et de répondre positivement aux revendications des salariés ? Ok sur le distinguo entre 48h avant début du préavis et 48h avant de se mettre en grève mais ça change quoi sur le fond ? La loi sur le service minimum qui allonge la durée du préavis (par une concertation obligatoire avant de déposer un préavis) et impose les 48h existe. Un décret vient de sortir modifiant le rh077 pour les jours de grève. Pour déclarer être gréviste 48h avant de se mettre en grève un salarié doit d'a^bord être informé de l'existence d'un préavis : or c'est à ou aux OS qui ont déposé le préavis de faire en sorte qu'il soit porté à la connaissance des salariés or c'est loin d'être le cas actuellement donc chaque salarié individuellement s'expose à un risque de sanction (puisqu'il ne s'est pas déclaré) simplement parcequ'il n'a pas connaissance du dépôt d'un préavis (quelle sanction ? personne ne sait...). J'ajouterai que même un salarié en repos, en congé doit se déclarer... Il s'agit d'un processus qui va rendre plus difficile le droit de grève et qui va permettre à la direction de s'organiser pour réduire les mobilisations et l'action, mais surtout de peser idéologiquement sur les cheminots y compris en utilisant le bâton (la sanction).
  16. Benzène==>Pétrole
  17. vin => blanc
  18. En attendant, demain soir lundi 17 et mardi soir 18 regardez les téléfilm sur la résistance. Ce devrait être une bonne leçon d'histoire, d'humanisme et de civisme...
  19. C'est pour cela qu'il faudrait mieux croiser et vérifier cette information avec d'autres pour en savoir plus et pour se faire une opinion objective. En tout état de cause ce type d'affaires est de toute façon toujours navrant et complexe.
  20. http://larevuedeweb.viabloga.com/news/jean...aire-du-scooter Tel Père, Tel Fils... Une vulgaire histoire de scooter...
  21. Sondage: une minorité de Français voient en Sarkozy un bon président PARIS (AFP) - La vague de défiance envers le chef de l'Etat se poursuit, si l'on en croit un sondage CSA/Le Parisien/Aujourd'hui en France à paraître dimanche, selon lequel seuls 41% des Français considèrent que Nicolas Sarkozy fait un bon président, contre 52% qui pensent le contraire. D'après ce sondage, 64% des Français (+18 points par rapport au même sondage de janvier) estiment que M. Sarkozy n'apporte pas de solutions à leurs problèmes, tandis que 61% (+7 points) considèrent qu'il n'est pas suffisamment à leur écoute. Pour 49% des sondés (+13), M. Sarkozy ne fait pas ce qu'il dit (47% pensent le contraire, -11) et 48% (+8) estiment que le chef de l'Etat n'est pas à la hauteur des événements. Nicolas Sarkozy reste cependant dynamique pour 88% des Français, courageux (76%) et sympathique (62%). Si 54% des sondés le trouvent compétent, ce pourcentage est néanmoins en recul de 14 points par rapport à janvier. De même, le pourcentage de Français estimant que Nicolas Sarkozy sait où il va est en chute libre (-21 points depuis janvier), même s'il reste légèrement majoritaire (52%). Seul domaine dans lequel le président progresse: sa stature internationale (+10 points), pour 65% des sondés. Sondage réalisé les 13 et 14 février 2008 par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1.004 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
  22. Sondage: Nicolas Sarkozy n'apporte pas de solutions aux problèmes des Français pour 64% des gens AP - Dimanche 17 février PARIS - Plus de la moitié des Français (52%) estime que Nicolas Sarkozy ne fait pas "un bon président de la République" et près des deux tiers (64%) pensent qu'il n'apporte pas de "solutions aux problèmes des Français", selon un sondage CSA réalisé pour "Le Parisien/Aujourd'hui en France" et à paraître dimanche. Plus de la moitié des sondés (55%) font en revanche confiance au président de la République pour être "capable de réformer le pays". L'écrasante majorité des personnes interrogées reconnaissent à Nicolas Sarkozy les qualités de dynamisme (88%) et de courage (76%). Deux sur trois jugent par ailleurs qu'il "sait prendre des décisions difficiles" et 65% trouvent qu'il a "une stature internationale". Enfin, 62% des sondés le jugent "sympathique" contre un tiers (33%) qui pense le contraire. - sondage réalisé par téléphone les 13 et 14 février 2008, auprès d'un échantillon national représentatif de 1.004 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. AP
  23. http://gyna.vefblog.net/presentation.html Le blog a été créé le 26 janvier 2007 et non 2008 ...
  24. "Il ne faut pas confondre mémoire et histoire, ce qui doit s'enseigner à l'école, c'est l'histoire" "Le devoir de mémoire défini par Primo Levi est l'obligation faite aux survivants, aux témoins, de raconter, pas celle de commémorer." Pascal Bruckner, Ecrivain et pendant que j'y suis : "Les convictions religieuses sont de quelques uns, mais la République est à tous" Régis Debray.
  25. La réalité aujourd'hui c'est 9 OS à la sncf (dont l'amicale des cadres sup...) Si un seul syndicat même représentant 5% des voix aux élections professionnelles signe un accord avec la direction, cet accord s'applique. Une loi Fillon de 2003 si je ne m'abuse prévoit que les autres OS peuvent dénoncer l'accord si ces OS représentent au moins 50% des voix aux élections... c'est ce qui s'est passé avec l'intéressement... avec toutes les conséquences néfastes engendrées par ce système tant pour les signataires d'un accord minoritaires que pour ceux qui dénoncent cet accord, mais aussi pour la direction de l'entreprise qui n'en sort pas indemne à terme... La plupart des OS revendiquent la mise en place de l'accord majoritaire c'est à dire que les signataires doivent au moins représentés 50% des voix aux élections pour qu'un accord s'applique. Cette mesure aurait comme avantage que direction et OS devrait rechercher les points d'accord et que l'effort devrait se faire des deux côtés. Sinon on restera dans la configuration du conflit oppositionnel et/ou de la signature systématique pour exister et faire croire qu'on obteint ou qu'on sauve les salariés grâce à une signature sur un bout de papier... Autre problème et non des moindres 9 OS et 20% de syndiqués (environ) on est loin d'un syndicalisme de masse. donc ce n'est pas parcequ'il y a de nombreuses OS qu'il y a de nombreux syndiqués. A ce sujet, Ségolène Royal n'a jamais prôné l'adhésion obligatoire à un syndicat mais a avancé l'idée de créer les conditions pour construire un syndicalisme de masse ce n'est pas tout à fait la même chose. Quand au Président de la République actuel, il suffit de voir dans les faits comment il combat le syndicalisme et s'oppose aux revendications sociales ... Ceci dit je constate aussi que de nombreux cheminots connus pour leur anti-syndicalisme notoire sur mon établissement se retrouvent sur les listes UMP pour les municipales...comme quoi...
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