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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. et la plus belle aussi... :Smiley_36:
  2. Qui* c'est qui a décidé en 2003 de faire passer le nombre d'annuités des salariés du privé de 37,5 à 40 ans et qui parle de 41 ans en 2008, 42 en 2012 sans parler du syndicat des patrons (le medef)qui réclame 45 ans... Ce ne serait pas mieux de revenir à 37,5 ans pour tous, de parler de bonification pour les métiers pénibles, dangereux, stressants, de nuit, etc... de faire cotiser les spéculateurs et les placements financiers etc... que l'état et les entreprises payent leurs dettes à la sécu * un dénommé Fillon
  3. De mémoire environ en moyenne (faudrait retrouver le bilan social) 7000 départs de l'entreprise (dont 6000 retraites environ, démissions, décès, licenciements...) 3500 embauches Il est sûr que ça aura un effet sérieux pendant quelques années sur les embauches (réduction du nombre de recrutements puisque le nombre de départs diminuera sauf à croire que le nombre de démissions augmentera... sur les déroulements de carrière et l'accès aux qualifications supérieures puisque les postes qualifiés seront bloqués par les anciens du fait de l'allongement des carrières mais aussi sur la masse salariale qui augmentera mécaniquement (positions acquises durant l'allongement, augmentation générale des salaires...) quel effet sur les évolutions possibles dans l'entreprise (technologie, réorganisations...) ? quels effets sur l'état de santé général du personnel dans l'entreprise ?
  4. ben oui une prime il faut la boire c'est du liquide... helpsoso
  5. Mercredi 17 octobre 2007 L’invité de la semaine Eric Ferreres Secrétaire du syndicat CGT des cheminots de Toulouse. Mieux vaut prévenir que guérir ? Pauvre : personne ne disposant pas des ressources nécessaires à sa subsistance. En cette journée mondiale contre la « misère et la pauvreté », il est des définitions qui ont le mérite de poser clairement les enjeux.Ce 17 octobre revêt un caractère essentiel dans le cadre de la prise de conscience collective et de la mise en lumière d’un phénomène malheureusement croissant. Phénomène souvent caché, oublié, dissimulé, tu, ignoré et même quelquefois poussé hors des villes et de la vue de chacun par des décisions municipales scandaleuses. Dans ce cadre il convient de s’insurger, de s’élever, de dénoncer et de travailler les solidarités contre ce « dommage collatéral » du capitalisme. Les campagnes de culpabilisation, orchestrées par l’oligarchie au pouvoir, contre les privés d’emploi et les bénéficiaires de minima sociaux sont proprement abjectes. Comme pour les politiques menées en matière culturelle, les politiques sociales déterminent clairement le niveau de civilisation d’un pays. Soyons persuadé que l’ensemble de l’électorat de M. Sarkozy ne partage pas sa vision réactionnaire de la société. Le tour de prestidigitateur a bien fonctionné mais l’illusion s’estompe et laisse place à une réalité quotidienne de plus en plus sombre pour nombre d’entre nous. Dénoncer les conséquences du modèle social ultralibéral basé sur l’individualisme et les profits d’une minorité est indispensable, mais ne saurait suffire sans se mobiliser faces aux causes qui sous-tendent la misère. Sur le thème de la pauvreté, comme sur d’autres, il n’y a pas de fatalité car nous sommes véritablement face à des choix de société. Le plein-emploi, la hausse des salaires, une protection sociale solidaire, un système éducatif public doté de véritables moyens, une retraite décente, des services publics de qualité… sont des remèdes efficaces contre la misère. Demain, ces revendications seront au coeur de la journée nationale interprofessionnelle de lutte. Au-delà des cheminots, des salariés des entreprises publiques, des fonctionnaires… c’est bien l’ensemble du corps social, l’ensemble de la population qui est concerné. Le 18 octobre sera une étape déterminante pour riposter au gouvernement, porter un autre choix de société et gagner de nouvelles conquêtes sociales. Ce sera aussi un acte de prévention !
  6. Et oui Audrey...le contre-feu médiatique la com c'est du grand art...
  7. Sur ta bande de paie en haut à gauche dans le cadre à la mention : "prime de travail"
  8. Tout dans la com...
  9. Le plus grand nombre de membres s’étant connectés dans une journée s’élève à 428 . Date du maximum : Hier, 23:59 fallait attendre deux minutes de plus... bigbisous
  10. Je ne voterai pas non plus Je suis solidaire de Pepe Veuillez remplir correctement vos profils... merci
  11. Moi je crois plutôt que la grande majorité des français n'y comprend rien... Les salariés du privé se sont fait entuber par les gouvernements de droite successifs : allongement de la durée de cotisation nécessaire de 37,5 à 40 ans ...ils y sont la droite veut encore l'allonger à 41 en 2008, 42 en 2012 et le medef réclame 45 annuités... ça veut tout simplement dire : baisse du niveau des pensions baisse du pouvoir d'achat des retraités car l'entrée dans la vie active recule en permanence du fait des études et des difficultés d'emplois des jeunes les périodes de chômage, non activitée augmentent tout le long de la carrière, de la vie active la fin de carrière se termine toujours plus tôt...préretraite, licenciement des anciens... départ en retraite moyen dans le privé 57,5 ans actuellement donc le nombre d'annuités réellement cotisées diminuent automatiquement donc le rapport annuités réellement cotisées (travaillées) sur nombre d'annuités nécessaire (40 actuellement) DIMINUE donc la pension baisse ... A partir de là plus question de parler d'un âge limite pour partir en retraite (50, 55, 60...) calculez : vous commencer à 25 +40 = 65 ... +45 =70 ... sans période d'inactivité... Et ça ne règle rien sur la question de fond du financement des retraites car le grand objectif de la droite et du MEDEF c'est de faire exploser le système actuel par répartition (les actifs d'aujourd'hui cotisent pour les retraités d'aujourd'hui) pour imposer un système par capitalisation : chacun individuellement cotise pour sa pomme en fonction de ses moyens...pour assurer sa future propre retraite...
  12. Le site de la sécurité sociale avec le projet de loi de financement de la sécu 2008 http://www.securite-sociale.fr/index.html (y'a même un rapport de la ministre lagarde sur la TVA sociale) Les comptes de la sécu : http://www.securite-sociale.fr/chiffres/ccss/rapports.htm rapport 2006 http://www.securite-sociale.fr/chiffres/cc...06/ccss2006.htm rapport2007 http://www.securite-sociale.fr/chiffres/cc...07/ccss2007.htm et le rapport de la cour des comptes sur le budget de la sécu 2006 http://www.ccomptes.fr/CC/Sommaire-18.html
  13. Octobre noir pour sarkozy... mdrmdr
  14. Ces chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu Tu cherches et tu trouveras... Tu nous tiens au courant
  15. Petit nettoyage du ventilateur à l'intérieur de l'Uc un coup d'aspirateur pour nettoyer les grilles... ça devrait améliorer la ventilation... Oubliez pas d'éteindre votre ordi avant de faire ça... si c'est pas ça... ben ça aura pas fait de mal de faire le ménage... Si l'aspi est allumé profitez en pour passer un petit coup autour de votre bureau C'était le conseil du soir de la fée du logis
  16. Les HS : Qui ça ? Les modos ? Me virez pas; je plaisante... Bon je sors... je vais boire ma tisane...
  17. Reçu en e-mail : Pour combler le déficit de la sécu, nos chers gouvernants ont trouvé que le mieux, c'était encore et toujours de nous faire payer ... Ils nous ont inventé la CSG, la CRDS, Dorénavant, sur une consultation médicale, nous devons verser 1 Euro, Bientôt nous paierons 0,50 euros sur chaque boîte de médicaments, Nous sommes hyper contrôlés, toujours plus, lors de nos arrêts maladie, Nous devons consulter un généraliste avant de voir un spécialiste, Pour tout traitement de plus de 91 EUR, nous en sommes de 18 EUR de notre poche. Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou de la sécu qui est à ce jour de 11 milliards. Or, savez-vous que : - Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu n'est pas reversée : 7,8 milliards - Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu n'est pas reversée : 3,5 milliards - Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à la Sécu n'est pas reversée : 1,6 milliards - La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu n'est pas reversée : 1,2 milliards - La part de TVA destinée à la Sécu n'est pas reversée : 2 milliards - Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés - 2,1 milliards - Retard de paiement par les entreprises - 1,9 milliards En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d'Euros. Ces chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu. Conclusion, les prétendus 11 milliards de trou sont en fait aujourd'hui 9 milliards d'excédent. A force d'être lu ce message arrivera peut-être un jour sur le bureau d'une tête pensante censée passer son temps à gérer l'argent des citoyens assurés sociaux.
  18. Le PS dégaine la liste "cachée" des "nouveaux impôts" 2008 AP -PARIS - "La liste des nouveaux impôts est déjà prête": dans un rapport baptisé "Le budget caché de la droite. L'austérité près de chez vous", les députés socialistes prédisent une hausse des taxes après les municipales de mars. "Tout est dans le calendrier électoral. Un budget officiel sans aspérités avant les municipales de 2008. Un budget caché qui imposera une austérité généralisée après les municipales. La liste des nouveaux impôts est déjà prête", avertit ce rapport de 23 pages dévoilé mercredi par les députés PS. Ils prévoient d'abord une hausse au printemps de la CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale) pour éponger le trou de la Sécurité sociale. Michel Sapin, chargé des questions économiques au PS, redoute également une hausse de la CSG (contribution sociale généralisée). Ils pronostiquent ensuite une "TVA sociale, dont on changera le nom". "Pour payer les 15 milliards de cadeaux" du "paquet fiscal" voté cet été, "il faudrait augmenter la TVA a minima de trois points", calcule le rapport. Pour le groupe socialiste, le budget 2008 en cours de discussion à l'Assemblée ne comporte en effet que des "recettes de poche". "Derrière un budget aux apparences anodines, se cache pour demain une rigueur accrue qui pèsera sur nos concitoyens les plus modestes", s'inquiète-t-il. Soucieux de ne pas se cantonner à la critique, le PS compte présenter une centaine d'amendements au budget 2008 pour défendre ses contre-propositions. Il préconise notamment la suppression du nouveau bouclier fiscal à 50%, qui "a permis à 2.398 contribuables de se partager 121 millions d'euros" au premier semestre 2007. Il propose de plafonner les niches fiscales ou encore de taxer les plus-values de stock-options à hauteur de 8%. Pour augmenter le pouvoir d'achat, le PS préconise de majorer de 50% le barème de la prime pour l'emploi (PPE), d'augmenter le montant du prêt à taux zéro ou de réformer les impôts locaux. Enfin, il suggère de diminuer l'impôt sur les sociétés des entreprises qui réinvestissent leurs bénéfices. AP
  19. Vinces pourrait très bien rester modo et jay17 remplacer le départ modo précédent (puisqu'il manque 1 modo si j'ai bien compris) Comme ça il y aurait équilibre d'opinions et je pense que tous les deux pourraient continuer à intervenir sur le forum et à débattre aussi tranquillement qu'ils l'ont fait jusqu'à présent (c'était parfois muscler ? peut être mais toujours courtois me semble-t-il ?)
  20. mdrmdr Va y'avoir du sport : deux déclarations faites le même jour à quelques heures d'intervalle : 1 - "J'ai un nouveau métier; s'il me plaît, j'y resterai, s'il ne me plaît pas, je ne le ferai plus. j'aurai toujours cette liberté et c'est tant mieux. " 2 - Etre secrétaire d'état, ce n'est pas une question que ça plaise ou pas. On remplit une fonction, on ne la remplit pas pour son plaisir, on la remplit pour le bien des français " Bon je me suis mélangé les pinceaux je ne sais plus de qui est la 1ère ni la deuxième... Roselyne Bachelot (Ministre santé et sports) ou Bernard Laporte (futur secrétaire d'Etat aux sports) Bon je vous laisse juge toutefois de la fin de la deuxième déclaration qu'elle soit de l'un ou de l'autre ...pour le bien des français... nonmais
  21. Mardi 16 octobre 2007 - L'humanité L’invité de la semaine Eric Ferreres Secrétaire du syndicat CGT des cheminots de Toulouse. Quel intérêt ? Alors que le gouvernement organise un Grenelle de l’environnement et annonce un objectif de + 25 % pour le transport de marchandises non routier afin de faire baisser le nombre de camions sur les routes de France, la SNCF, entreprise publique de service public, prend des décisions contraires à l’intérêt écologique, économique et social de la nation. Après une première stratégie ferroviaire en 2004, dit plan Véron, qui a réussi l’exploit de mettre près d’un million et demi de camions supplémentaires sur les routes, de contribuer aux 16 000 emplois supprimés en cinq ans dans l’entreprise et d’obliger des PME à multiplier vertigineusement leur facture transport, la direction de l’entreprise persiste. Ainsi cet été, en catimini, la SNCF a décidé de fermer 262 gares au trafic fret pour soi-disant « développer le fret et avoir une politique volontariste vers ses clients ». Quel développement ? Quels clients ? Seuls les grands groupes industriels trouvent grâce aux yeux des dirigeants de la SNCF, alors que le réseau des PME constitue désormais le pilier du tissu économique. La stratégie et l’avenir d’une grande entreprise publique nationale doivent faire l’objet d’un grand débat national. Depuis cinq ans, le gouvernement, à l’opposé de ses discours populistes, cautionne et encourage la casse du fret ferroviaire. Pour le président de la République, il est plus facile de faire de grands discours moralisateurs à l’ONU sur l’avenir de la planète plutôt que de poser des actes concrets (surtout si des amis ont des intérêts financiers particuliers dans l’affaire). La CGT a fait un certain nombre de propositions pour développer le fret ferroviaire public. Celles-ci démontrent que cette activité est viable économiquement dans le cadre d’un développement des trafics. Les décideurs refusent d’entendre ces propositions et les JT nationaux n’en font guère écho. Le 18 octobre, au-delà des cheminots, c’est bien l’ensemble de la population qui est concernée par l’avenir du fret SNCF, et plus largement par l’écologie, le développement économique et l’aménagement du territoire. Sur cette question comme sur celles des services publics, du pouvoir d’achat, de la protection sociale, des retraites et du droit de grève, chacun doit prendre conscience de la question de fond qui sous-tend ces revendications : l’intérêt général.
  22. En effectuant, entre deux trains, ce matin ma petite revue de presse au kiosque de la gare, j'ai vu qu'un Cheminot de Toulouse Eric FERRERES, secrétaire du syndicat CGT des cheminots de Toulouse, était l'invité de la semaine du journal l'Humanité ou il va tenir une petite rubrique quotidienne dans la semaine du 15 au 19 octobre 2007 : Lundi 15 octobre 2007 - L'Humanité L’invité de la semaine Eric Ferreres. Secrétaire du syndicat CGT des cheminots de Toulouse. Pas à pas… N’en déplaise à M. Kouchner, ce n’est pas contre l’Iran que le gouvernement déclenche les hostilités mais bien contre le monde du travail. Depuis la dernière élection présidentielle, force est de constater que « l’agression sociale » ne connaît pas de pause. Malgré cette frénésie visant à déstabiliser les salariés et empêcher un véritable débat de fond sur les vrais enjeux, des ripostes se construisent. Après le 29 septembre, le 13 octobre a été une étape supplémentaire de mobilisation populaire. Le rapport de force se construit et la démonstration des convergences public-privé de samedi dernier est porteuse d’espoir. Face au rouleau compresseur Sarko-MEDEF, les tentations sont grandes de confondre vitesse et précipitation. Ceux qui voudraient caler le rythme de construction de la riposte sur le rythme des attaques du gouvernement prendraient le risque de contrarier le niveau des mobilisations. La bataille des idées n’est pas gagnée et les salariés bernés par les discours démagogiques du candidat de l’UMP lors de la campagne présidentielle peinent à ouvrir les yeux, tant l’illusion était bien menée. Nous allons avoir besoin de l’ensemble du salariat pour inverser les choses et gagner de véritables conquêtes sociales. Les niveaux de conscience fluctuent et doivent nous encourager à débattre, à échanger partout, et avec chacun, pour faire mesurer les orientations qui sous tendent les réformes en cours. Pour autant, les masques tombent et les médias « complaisants » ont du mal à cacher l’ampleur des dégâts de la politique ultralibérale, où tout apparaît sous le prisme unique de la rentabilité financière. Nous avons affaire à une offensive très dure contre le monde du travail, mais celle-ci, comme d’autres dans l’histoire, est résistible. Combattre la fatalité est un élément incontournable. Pour cela, des exemples simples existent : le gouvernement a présenté les besoins de financements de la Sécurité sociale pour 2007 et ceux-ci sont de 12 milliards d’euros. Au-delà du véritable débat sur l’échec des réformes de 2003 sur les retraites et de 2004 sur l’assurance maladie (malgré les sacrifices demandés aux salariés), tout le monde a entendu parler d’un cadeau fiscal de 14 milliards d’euros cet été. Non ?
  23. Les caisses noires du patronat... C'est un peu du réchauffé quand même. Cela fait longtemps que nous savons que ça existe. Il y a eu de nombreux bouquins, articles de presse, documentaires et films à ce sujet... Faut-il rappeler aussi à la fin des années 70 et début des années 80 les conflits dans l'automobile (peugeot, citroen, talbot) et la sidérurgie en particulier... mais aussi le bâtiment puis le textile... En tout cas ce qui est sûr c'est que le patronat est organisé et il ne fait pas de cadeau : 0,1% de la masse salariale et c'est obligatoire... L'adhésion à un syndicat ouvrier relève elle de l'action volontaire (d'abord pour adhérer ensuite pour verser sa cotisation...) Maintenant reste à savoir où est passé ce pognon du MEDEF (en fait celui des travailleurs puisque ce sont eux qui produisent les richesses dans les entreprises), comment il a été utilisé (lutte patronale anti-syndicats ouvriers, conflits ) mais aussi qui en a profité (entreprises, individus et ne nous le cachons pas syndicats ouvrier type patronal genre CSL mais aussi sûrement quelques autres qui ont du touché des subsides). Ceci étant là où il y a du pouvoir il y a de l'argent. Des cas de figure où un patron a tenté d'acheter des militants syndicaux pour que ces derniers quittent son entreprise sont légions. N'oublions pas non plus que le MEDEF est légalement une "organisation syndicale" (celle des patrons) et bénéficie à ce titre de la même couverture légale qu'un syndicat ouvrier (loi de 1884) mais ils ne jouent pas dans la même cour côté finances. Cette situation va remettre sur la table deux points importants : - le financement des syndicats (ouvriers, patronaux) : a ce titre si certains syndicats publient leurs compte et résultats financiers, ce n'est pas le cas de tous (essayez de chercher les comptes du MEDEF...) - la représentativité des syndicats qui renverra aux questions de fond : à quoi doit servir un syndicat aujourd'hui et quel est l'intérêt des salariés ( l'unité syndicale ou une diversité syndicale diffuse ...)
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