-
Compteur de contenus
14 623 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
-
Encore Un Coup Fuumant Des Banques
Dom Le Trappeur a répondu à titisse76 situé dans Actualité ferroviaire générale
Suffit d'avoir des oeillères... à ne pas confondre avec des oeillades... -
Et oui le prix de la baguette ... c'est un peu l'effet papillon...
-
Jeanne d'Arc démystifiée: sans doute ni bergère ni pucelle AFP - Vendredi 28 septembre, NANCY AFP) - Jeanne d'Arc, petit bergère inculte mandatée par Dieu pour sauver le royaume de France: le mythe, véhiculé depuis des siècles, est à mille lieux de la réalité, tentent de démontrer Marcel Gay et Roger Senzig dans "L'affaire Jeanne d'Arc". Le simple nom de l'héroïne est une "hérésie", estime Marcel Gay, journaliste à L'Est républicain, qui a enquêté plus de dix ans sur le sujet. On connaît 19 lettres écrites par Jeanne. Cinq (dont trois étaient signées) ont été vues par les auteurs: sur aucune d'entre elles Jeanne ne s'est appelée "d'Arc". Ses origines modestes paraissent aussi suspectes. La prétendue bergère, lors de son procès à Rouen, a déclaré n'avoir "jamais gardé les moutons et autres bêtes". Excellente cavalière, Jeanne maîtrisait en outre le français de la cour, comme le rapportent des écrits cités dans l'ouvrage. Les circonstances de sa mort laissent également perplexes. Si l'Histoire veut que Jeanne d'Arc meure sur le bûcher en 1431, des centaines de documents attestent de la présence de "La Pucelle de France" à Metz, Arlon (Belgique), Cologne (Allemagne) ou encore Orléans après 1436. "Au XVe siècle comme aujourd'hui, on manipulait l'opinion publique. Jeanne d'Arc, c'est de la diplomatie secrète, observe Marcel Gay. La légende est belle, mais la vérité l'est encore plus." La thèse des auteurs, étayée par de très nombreux documents, est que Jeanne, de son vrai nom Jeanne d'Orléans, était une arme "psychologique" de la couronne française, alors en difficulté face aux Anglais. L'"opération Pucelle", conçue par la belle-mère du roi, Yolande d'Anjou, fait entendre des voix à Jeanne, pour l'introniser comme messager de Dieu et inspirer de la crainte à ses adversaires. Le stratagème fonctionne durant ses campagnes militaires. Dernier accroc à la légende: Jeanne se marie en 1436 avec Robert des Armoises, pour devenir Jeanne des Armoises. La Pucelle n'est plus. Son mythe sera ravivé à la fin du XIXe siècle. La France, après la défaite de 1870, se cherche une icône. Jeanne la Lorraine devient un symbole fondateur de la République. Elle sera canonisée en 1920. ("L'affaire Jeanne d'Arc". Editions Florent Massot. 280 pages + annexes. 19,5 euros)
-
Leur perception du seuil de pauvreté est située en moyenne à 1.016 euros nets par mois pour une personne seule, soit tout proche du smic (1.005 euros nets), 1.016 euros correspond à une moyenne sur le nombre de personnes interrogées... exemple sur 7 personnes 800 850 900 1000 1050 1200 1300 total : 7100 divisé par 7 = 1014,29 ! Ce qui aurait été intéressant s'agissant d'une moyenne ce serait d'avoir les extrèmes : dans mon exemple pour 1014 de moyenne ça va de 800 à 1300...
-
Encore Un Coup Fuumant Des Banques
Dom Le Trappeur a répondu à titisse76 situé dans Actualité ferroviaire générale
Juste en gris ? -
Il est intéressant de constater que "les gens" fixent à 1016 euros le seuil de ce qu'ils estiment être "un seuil de pauvreté" alors même que le smic est à 1005 euros nets. Je pense que dans le fond, les gens veulent dire : en dessous de 1016 euros nets par mois pour une personne, on a obligatoirement des difficultés pour vivre correctement (logement, alimentation, habillement, transport, chauffage, électricité, téléphone, assurances, impôts... Je ne crois pas que l'enquête utilise une référence scientifique, statistique sur cette question mais fait référence au "bon sens des français" argument me semble-t-il utiliser très régulièrement et fort justement par notre Président de la République.
-
Disons qu'entre le petit déjeuner, le déjeuner, le goûter et le souper... je mangerai donc une baguette par jour: de 28 à 31 jours par mois... Disons un couple et deux enfants (ça dévorent ces petites choses) , ça nous fait donc 4 baguettes x 30 jours (en moyenne et pour faire simple...) soit 120 baguettes par mois (sans compter les invités...) 0,80 euros x120 = 96 euros Maintenant pour les familles qui ont des soucis financiers, nul doute qu'en se restreignant sur la baguette de pain, on peut trouver à faire quelques économies : exemple, passer de 4 à 3 baguettes / jours et on fait 24 euros d'économie... Alors oui dans certains cas, la consommation de pain (l'un des éliments les moins chers) peut constituer un critère et une référence en ce qui concerne l'alimentation et donc le pouvoir d'achat des français. Mais ne faisons pas dire plus à cet exemple même si l'alimentation des français à changer depuis 50 ans (baisse de la consommation de pain de 50 % environ mais en contrepartie hausse de la qualité des farines et de la préparation) chacun pourra prendre un exemple simple dans son propre panier de courses (camembert, lait, yaourt, petits suisses, steacks hachés...) en consultant ses factures de courses (c'est marrant parfois de faire la comparaison sur une année...) et je parle pas du prix du caviar et du champagne (le bon pas la piquette) ... koiquesse
-
Espérons qu'il paye au moins ses cotisations à son parti ... Il fut un temps où les élus du PCF reversaient l'intégralité de leurs rémunérations d'élus à leur parti qui les rémunérait en échange (environ 2 fois le smic je crois) en prenant en charge une partie de leurs impôts sur le revenus ...
-
Le monde évolue mais justement en fonction de cette évolution, est-ce aussi bien ou mieux qu'avant ? pourrait-ce être autrement mieux et bien meilleur qu'avant ? Bon y'a un siècle vers 1900 il y avait 1 milliard d'êtres humains aujourd'hui 6,5 milliards...
-
C'est vrai que la statistique officielle du gouvernement sur l'inflation ou celle sur le chômage c'est la vérité vraie et absolue ! Quant au prix de la baguette, la sufffit de regarder l'étiquette chez le boulanger ... mais comme dit Madame la ministre Lagarde : "Oh... 5 centimes d'euros....)
-
ceci dit si "les agents" souhaitent obtenir une information précise et objective, c'est pas pour autant la direction qui est la mieux placée pour la fournir... Les exemples de " communication patronale"sur différents sujets ne manquent pas, nous en avons l'expérience... D'ailleurs dernière expérience récente : j'ai demandé à mon p'tit chef où en était le projet industriel à la sncf... Ouahh le silence... pourtant y'avait un article dans les infos...c'était d'actualité !
-
Souhaitant obtenir une "information précise et objective", je désire participer à une session d'information précise et objective à la condition que je puisse entendre tous les arguments précis et objectifs... Comment je peux savoir que les éléments seront précis et objectifs déjà que certains "dirigeants" ont du mal avec le statut (pourtant le leur...) et la réglementation du travail (RH 0077, ex P4, le leur également...) Comme tu dis, je dois être un peu tordu et comme j'ai pas les oreilles dans le sens du vent et le p'tit doigt sur la couture du pantalon...
-
M'en fout, j'ai pas de téléphone portable... Les cinq commandements du parfait "bipeur" Reuters - Mercredi 26 septembre, KHARTOUM (Reuters) - La pratique du "bipage", - appeler un correspondant sur son téléphone portable et vite raccrocher avant qu'il ne réponde pour l'inciter à rappeler - est l'une des pratiques les plus répandues en Afrique. Le marché de la téléphonie mobile connaît une croissance exponentielle sur ce continent. Si le recours au "bipage", qui a pour principal intérêt de ménager les finances de celui qui le pratique, peut sembler quelque peu cavalier, ce geste est cependant régi par un véritable protocole, explique Jonathan Donner, un chercheur travaillant en Inde pour Microsoft, dans une étude sur "les règles du bipage" à paraître en octobre dans le très sérieux Journal of Computer Mediated Communication. La première de ces règles tacites est que le plus riche des deux correspondants paie la communication. Car s'il est toléré de biper lorsque l'on est confronté à des difficultés financières, il est inconvenant de biper quelqu'un de plus pauvre que soi. Il est déplacé de biper quelqu'un à qui vous souhaitez demander un service. Une autre règle d'or consiste à ne pas abuser de cette pratique et à ne procéder en aucun cas à plus de deux bipages successifs, sous peine de se voir relégué dans la catégorie des casse-pieds. Le bipage peut également être optimisé en utilisant des codes préalablement définis avec la famille ou les amis, en attribuant à un nombre de sonneries une signification donnée (une sonnerie peut par exemple signifier "je rentre à la maison"). Dernière règle et non la moindre: ne jamais biper votre petit(e) ami(e) ou votre époux(se), ce qui serait faire preuve de mauvais goût. Sans compter, comme le remarque un Rwandais interrogé par Jonathan Donner, qu'un tel geste pourrait se retourner contre vous si vous êtes celui qui paie les factures du téléphone mobile en question.
-
Dans la série : "travailler plus (à l'école) pour gagner plus (bien plus tard...)" Pour certains c'est déjà trop tard Pour d'autres y'a encore de l'espoir... Plus de 50% des élèves entrés en 6e en 1995 continuaient d'étudier dix ans après, selon l'INSEE AP - Jeudi 27 septembre, PARIS - Dix ans après leur passage en sixième, plus de la moitié des élèves entrés au collège en 1995 poursuivaient des études, selon une enquête de l'INSEE publiée jeudi. Il s'agissait le plus fréquemment de filles, d'enfants de cadres, et surtout de jeunes qui avaient effectué une bonne scolarité en primaire ou atteint un niveau satisfaisant en français et en mathématiques. Deux tiers des jeunes qui avaient en revanche arrêté leurs études avant mars 2005 avaient un emploi à cette date, précise l'Institut national de la statistique et des études économiques en faisant état de chances plus faibles pour ceux qui avaient quitté l'école de façon précoce. Sur 100 élèves entrés en 6e en 1995, 54 étaient toujours scolarisés dix ans plus tard (45 dans le supérieur et neuf dans le secondaire ou une autre filière comme des formations professionnelles ou artistiques) tandis que 46 étaient sortis du système éducatif. Les jeunes titulaires du baccalauréat qui ont arrêté leurs études les ont interrompues dès l'obtention de leur diplôme ou après une ou deux années d'études supérieures. La situation scolaire des élèves au début du collège est à l'origine des écarts les plus grands. Huit élèves sur dix entrés en 6e avec au moins un an de retard ont interrompu leurs études, les trois quarts sans baccalauréat. Les parcours scolaires ont aussi différé selon le sexe: la moitié des filles ont poursuivi des études supérieures alors que les garçons ont majoritairement quitté l'école, le plus fréquemment sans le bac en poche. La catégorie sociale des parents a aussi joué. Dans les familles de cadres, professeurs ou professions libérales, les enfants ont été deux fois plus nombreux à poursuivre leurs études que dans une famille d'ouvriers: plus des trois quarts ont été scolarisés dans l'enseignement supérieur alors que près d'un enfant d'ouvrier sur deux est sorti sans le baccalauréat. Pour ceux qui n'étudiaient plus en mars 2005, les parcours ont varié. Ainsi 16% d'entre eux ont atteint au mieux la classe de 3e ou la 1ère année de CAP-BEP, plus du tiers a quitté l'école suite à une année terminale de CAP-BEP, tandis qu'un dixième des sortis a interrompu ses études en seconde ou en première. Quant aux autres, ils sont parvenus au moins jusqu'en terminale. Au total, 17% des élèves sortants n'ont obtenu aucun diplôme. Plus nombreux à être sortis du système éducatif en mars 2005, les garçons ont aussi été plus souvent concernés par des sorties précoces: 18% des garçons ayant fini leurs études ont atteint seulement la 3e ou la 1ère année de CAP-BEP et 38% l'année terminale de CAP-BEP contre respectivement 13% et 32% des filles. Le milieu social d'origine a aussi eu un rôle: 59% des enfants d'ouvriers sont parvenus au mieux en terminale CAP-BEP, contre 24% d'enfants de cadres parmi les jeunes sortis de l'école en mars 2005. Poursuites des études ou pas, ces jeunes ayant environ 21 ans étaient partiellement engagés en 2005 sur le chemin de l'autonomie, puisque près de 60% habitaient encore chez leurs parents. AP
-
La Sncf En Guerre Contre Air France
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Sûr qu'avec les plans Veron et Marembaum sans oublier tous ceux qui les ont précédés depuis quelques décennies, ça va faire revenir le trafic de marchandises sur le rail... mdrmdr -
"Quelques 350 chefs de projet "info retraites" viennent d'être désignés parmi les cadres de l'entreprise publique, a indiqué la SNCF, confirmant une information du Figaro. Ils vont être formés durant deux jours par le cabinet Altedia, choisi sur appel d'offres, et devront consacrer 20% de leur temps de travail à l'information." Suffirait juste de leur donner "l'argumentaire retraites" qui se trouve sur le forum: http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...ic=9014&hl= Au fait c'est qui le cabinet Altedia ?
-
Dans la série : "Travailler plus pour gagner plus" Dures, dures, les réalités françaises ont la vie dure Un tiers des Français ont connu une situation de pauvreté Reuters - PARIS (Reuters) - Près du tiers des Français (30%) ont déjà traversé une situation de pauvreté et plus de la moitié (56%) connaissent des personnes pauvres dans leur entourage, selon un sondage Ipsos publié jeudi. Leur perception du seuil de pauvreté est située en moyenne à 1.016 euros nets par mois pour une personne seule, soit tout proche du smic (1.005 euros nets), selon ce sondage effectué pour le compte du Secours populaire publié dans un numéro spécial de Convergence, sa lettre mensuelle. Les personnes interrogées estiment qu'on est en situation de pauvreté lorsqu'on éprouve régulièrement des difficultés pour "se procurer une alimentation saine et équilibrée" (91%), "payer son loyer, un emprunt immobilier, les charges de son logement" (90%) ou encore "payer certains actes médicaux mal remboursés par la Sécurité sociale" (89%). Les Français élargissent l'état de pauvreté à l'impossibilité de pouvoir envoyer ses enfants en vacances au moins une fois par an (74%) ou s'acheter des vêtements convenables (78%). Ils sont en outre pessimistes sur les chances de réduire la pauvreté dans les années à venir, 80% des personnes interrogées jugeant que leurs enfants seront confrontés à des risques plus élevés qu'eux de connaître la pauvreté. Ce sondage a été réalisé les 24 et 25 août auprès d'un échantillon représentatif de 1.013 personnes.
-
Sarko veut réintégrer le "commandement de l'Otan"... En Afghanistant, la présence des militaires français est présentée comme une force de paix...et non d'intervention comme pour les USA.
-
Si c'est comme les armes de destructions massives de Saddam (qui ont servi de prétexte à l'intervention US...) Si il y a eu ou si il y a des allumés à la tête des gouvernements en Irak et en Iran, que dire des allumés qui dirigent les grands pays démocratiques occidentaux...