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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. http://www.toutes-les-villes.com/ la population de toutes les communes de france... cool
  2. Salut Bandaa Bono ! J'aime bien tes interventions sur le forum ...

  3. Je viens de prendre la peine de lire et relire tous les messages depuis 48 heures postés sur ce fil. Nous sommes confrontés à une attaque sans précédent menée par la droite UMP, le gouvernement UMP et le MEDEF d'une ampleur jamais vu contre nos acquis sociaux, notre modèle social français. Nos adversaires, dans un contexte nouveau issu des élections politiques après 5 années d'une politique de droite dure, sont en position de force et ils ont des moyens collossaux (pouvoirs, médias, directions, managements...) face à un peuple affaibli et divisé, une gauche laminée, une extrème gauche explosée. L'opinion publique reste majoritairement sur des positions réactionnaires, libérales mais aussi social-libérales après des années de laminage idéologique libéral mené par une droite dure, sécuritaire et sans complexe . Les opposants à cette politique anti-sociale ne sont plus nombreux mais peinent à s'exprimer, à mobiliser, à rassembler autour d'un projet et d'une perspective quand ils ne sont pas sous l'éteignoir. Et on voit la difficulté à rassembler avec l'explosion d'un front syndical qu'il était possible enfin de voir uni et avec lui aussi d'une force populaire unie. En moins de 24h, c'est très significatif sur ce forum à coup d'à priori, de phrases sorties de leurs contextes etc... Et avant même de penser à réussir la première journée de mobilisation du 18 qui déterminera ce que nous ferons les jours suivants, on extrapôle déjà sur les positions des uns et des autres à coups d'accusations péremptoires. La nouvelle bataille (il y en a eu d'autres auparavant) n'est pas encore engagée qu'au lieu de mobiliser et de rassembler nos troupes, de porter nos attaques contre l'adversaire c'est à l'intérieur de notre camp qu'on se porte nos propres coups. Et il faut le constater ce sont des tactiques politiciennes qui prennent le pas non sans arrières pensées clanesques et sectaires sur les questions de fond. Nous ne prenons malheureusement pas la voie de réussir l'unité ne serait-ce que des cheminots. C'est malheureusement navrant mais c'est la réalité. J'espère que nous réussirons à nous redresser. Une lettre de cadres et cadres supérieurs de la SNCF sur le forum http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...st&p=127533
  4. 2090 habitants au KM2 pour le Vatican je crois mais je n'en mettrai pas ma main à couper qu'il doit y avoir une commune avec une densité inférieure à 5 habitants au KM2 en France
  5. 70 habitants au KM2... y'a encore moins ...
  6. Une interview intéressante d'Anicet Lepors dans l'Humanité du 5 octobre 2007 Anicet Le Pors : « Il manque à la gauche une pensée théorisée du monde » 2007_10_05_AnicetLepors_interview_L_Humanite.doc
  7. Bombardier innove en France avec le train "hybride" électrique et diesel baptisé "Hybride Bibi" Par Par Julie CHARPENTRAT AFP - TROYES (AFP) - Le groupe canadien Bombardier a lancé mardi en France son train baptisé "hybride bibi", conçu pour rouler en mode diesel ou électrique, un concentré d'innovations technologiques destiné à polluer moins et à répondre à la demande croissante de transport régional. Les rames, qui vont circuler d'abord en Champagne-Ardenne, combinent plusieurs particularités: "bi-mode", elles peuvent passer de la propulsion électrique au moteur diesel sans s'arrêter; "bi-courant", elles peuvent recevoir 1.500 ou 25.000 volts, d'où le surnom de "bibi". C'est le "premier train hybride au monde", a résumé le président de Bombardier Transport André Navarri, à l'arrivée du train inaugural en gare de Troyes (Aube). Imperceptible pour le voyageur, le passage de l'électrique au diesel ou d'une tension électrique à une autre évite de changer de train en fonction du type de voies ou d'attendre en gare le changement de mode de propulsion de la motrice. Cela évite aussi de faire rouler un train diesel sur tout le parcours alors qu'une partie du trajet peut se faire à l'électricité seule. De Paris à Troyes, "nous avons économisé 20% de CO2 par rapport à un train (uniquement) diesel et 60% par rapport à une voiture", a ajouté M. Navarri. La SNCF se place "dans la logique du développement durable", a souligné sa présidente Anne-Marie Idrac, alors que le Grenelle de l'environnement doit se tenir à la fin du mois. Ces rames aux sièges violet, qui coûtent 5 millions d'euros pièce, sont plus chères que des trains classiques, de l'ordre de 10 à 20% de plus, selon Bombardier, qui compte pourtant, selon son président, exporter ce train "conçu et fabriqué" à Crespin, dans le Nord. Des délégations de Russie, d'Israël ou du Royaume-Uni étaient présentes à Troyes. La région Champagne-Ardenne a déboursé 40 millions d'euros pour acheter huit rames, un "effort énorme", a souligné son président Jean-Paul Bachy, mais qui évite d'entretenir deux parcs de locomotives, diesel d'une part et électrique d'autre part. D'autant que Paris-Troyes est l'une des dernières lignes au départ de Paris à ne pas être électrifiée, malgré les demandes répétées des élus locaux, qui n'ont pas ménagé leurs critiques contre la SNCF et Réseau ferré de France. Ce nouveau matériel va aussi permettre de "répondre à la hausse de la fréquentation", a expliqué Pierre Mathieu, vice-président de la région, chargé des transports. Les "hybrides bibi" permettent de doubler l'offre sur la ligne Paris-Troyes-Culmont, qui a connu une forte hausse du trafic entre 2006 et 2007, a-t-il poursuivi. Les régions françaises sont confrontées depuis plusieurs années à l'explosion du trafic régional : +53% entre 1996 et 2007, dont 8,6% sur 2006, selon la SNCF. Elles se sont lancées au début des années 2000 dans un plan de modernisation, notamment avec la commande de 700 trains régionaux à Bombardier, dont l'"hybride bibi" est le dernier-né, commandé par dix régions. Depuis 2002, les régions ont à leur charge le transport régional: elles achètent le matériel tandis que la SNCF, liée aux collectivités locales par des conventions de service public, exploite les lignes. La cérémonie d'inauguration a été perturbée par une vingtaine de cheminots de la CGT, venus "montrer leur détermination" à Mme Idrac, qui les a reçus. La SNCF affronte actuellement plusieurs dossiers sensibles, dont le fret, la loi sur le service minimum ou la réforme des régimes spéciaux de retraite. Une grève est prévue pour le 18 octobre. (J'ai vu qu'un fil avait déjà été ouvert sur le sujet donnant un lien vers une vidéo de France 2, mais impossible de remettre la main dessus... Si quelqu'un le retrouve, un modo pourra peut être faire un peu de rangement. Merci d'avance)
  8. Saint-Marcel-Bel-Accueil (nord de l'Isère) C'est la première fois que personnellement j'entends prononcer le nom de cette commune...
  9. Les députés suppriment le certificat médical prénuptial AFP - PARIS (AFP) - Les députés ont supprimé mardi le certificat médical prénuptial lors de l'examen d'une proposition de loi de simplification du droit destinée à abroger les textes obsolètes. Cet examen obligatoire, datant de 1942, concerne chaque année en moyenne 270.000 couples. La consultation à l'issue de laquelle ce certificat est délivré donne lieu à un bilan médical des futurs époux mais aussi à l'information sur la grossesse, la contraception et les maladies sexuellement transmissibles. "Aujourd'hui, 40 % des naissances ont lieu hors mariage et les informations sur la grossesse sont devenues plus facilement accessibles", a justifié le rapporteur Etienne Blanc en soulignant que le certificat ne concerne ni les concubins, ni les pacsés. Ce certificat représentera une économie de 14 millions d'euros par an pour la sécurité sociale, a ajouté le rapporteur. Les députés ont également adopté un article autorisant désormais un pacsé ou un concubin de représenter son partenaire devant certaines juridictions comme le juge d'instance ou le juge de proximité. A l'heure actuelle, seule la représentation par le conjoint ou un membre de la famille -jusqu'au troisième degré- est possible. Par ailleurs, les députés ont adopté mardi une proposition de loi de "simplification du droit" qui supprime des lois obsolètes mais prévoit aussi le recours à la visioconférence dans les audiences civiles. Cette proposition de loi, débattue dans le cadre d'une "niche", séance d'initiative parlementaire réservée aux groupes, a été voté par l'UMP et le Nouveau Centre. Le PS, le PCF et les Verts se sont abstenus. Le texte supprime 127 lois obsolètes, parfois très anciennes et aux dénominations souvent cocasses comme la lutte contre les "tromperies sur l'origine des noix" ou la répression des "fraudes sur le guignolet". Il prévoit aussi de simplifier la vie des entreprises en supprimant, notamment, la déclaration spécifique sur la taxe d'apprentissage, qui fait actuellement double emploi.
  10. Trente quatre ans sans électricité AP - GRENOBLE - La vie à l'ancienne de Michelle Meyer, 75 ans, a pris fin mardi lorsque pour la première fois depuis qu'elle a emménagé dans sa maison de Saint-Marcel-Bel-Accueil (nord de l'Isère), il y 34 ans, elle a appuyé sur l'interrupteur. Un petit voyant s'est allumé sur un boîtier du mur de pierre, une chaude lumière a soudain envahi la cuisine: sa ferme bénéficiait enfin... de l'électricité. Faute de moyens, cette septuagénaire qui avait fui la capitale pour s'installer dans cette ferme à la recherche d'une vie simple et spirituelle, à l'écart du village au bout d'une route goudronnée, n'avait jamais pu amener l'électricité jusqu'à son domicile. "Avec l'âge, je n'en pouvais plus", avoue cette "écologiste" d'avant l'heure dont la vie était jusqu'à aujourd'hui rythmée par le soleil. "Tous les matins, j'allumais ma lampe à pétrole en me levant, puis ma cheminée et je l'éteignais quand il y avait un peu de lumière du jour, parce que bon, ça sent pas très bon le pétrole", raconte Mme Meyer. "Le soir, je rallumais quelques bougies pour coudre, ou lire". Grâce à une aide du comité départemental d'habitat rural, elle a enfin accès à ce qu'elle appelle "un petit luxe": la lumière électrique. A une connexion au réseau EDF, trop onéreuse compte tenu de l'éloignement, les spécialistes ont préféré une l'installation solaire, plus économique et ... en harmonie avec la philosophie de la propriétaire de la ferme. Désormais une seule journée de soleil offre à Michelle Meyer cinq jours de lumière garantie. AP
  11. Régimes spéciaux: Xavier Bertrand remet un "document d'orientation" mercredi aux partenaires sociaux AP - PARIS - Le ministre du Travail Xavier Bertrand recevra à nouveau les partenaires sociaux sur les régimes spéciaux de retraite mercredi (10 septembre ?) toute la journée, entrevues au cours desquelles un "document d'orientation" sur la réforme que le gouvernement entend mener sera remis aux délégations, selon le cabinet de M. Bertrand. Selon l'agenda transmis mardi à la presse par le ministère du Travail, le ministre recevra une délégation de la CFDT à partir de 7h30, suivie de la CFTC à 8h45, puis de FO à 10h, et de la CGT à 11h30. Les entrevues se poursuivront dans l'après-midi. A partir de 13h, les directions de EDF, GDF, de la SNCF, ou encore de la RATP seront reçues ensemble par le ministre, qui rencontrera également à partir de 15h45 une délégation de la CGC, et enfin à partir de 16h45 l'UNSA. Un point presse de Xavier Bertrand est prévu à 18h. Une premières séries de rendez-vous avait eu lieu entre le 19 septembre et le début du mois d'octobre. Cette nouvelle série de rencontres aura lieu alors que des grèves sont prévues le 18 octobre à la SNCF et à la RATP contre la réforme des régimes spéciaux, des mouvements qui s'annoncent très suivis. A la SNCF, trois fédérations de cheminots (FO, Sud et FGAAC) sur les huit qui appellent à la grève vont déposer des préavis pour un mouvement reconductible. A la RATP, où sept syndicats appellent à la grève, l'UNSA menace de déposer un préavis reconductible si le "document d'orientation" ne comporte pas "le maintien du calcul de la pension sur les six derniers mois de rémunération du salaire statutaire", "le maintien des âges plancher de départ (50, 55, 60 ans)" ou encore "le maintien des bonifications pour l'ensemble des agents actuels et futurs". "Ce qu'on nous a promis, c'est un document d'orientation destiné à être discuté", a de son côté expliqué Jean-Christophe Le Duigou, secrétaire confédéral de la CGT, mardi à l'Associated Press. Il a toutefois souligné que les rencontres de mercredi "ne changeront rien aux actions prévues le 18, à moins que le gouvernement n'annonce qu'il abandonne son projet d'alignement sur le régime de la Fonction publique". AP
  12. Si ça , ça ne finit pas en roman et/ou en film Un Britannique achève 13 ans de tour du monde à la seule force des muscles Par Par Loïc VENNIN AFP - LONDRES (AFP) - En bateau à pédales, à vélo, à la nage: le Britannique Jason Lewis a bouclé samedi un tour du monde de 13 ans à la seule force de ses muscles, un marathon durant lequel il a été pourchassé par un crocodile en Australie, interpellé en Egypte pour espionnage, fait naufrage dans l'Atlantique... Le quadragénaire a effectué dans les eaux de la Tamise les derniers mètres de son tour du monde marathon de plus de 74.000 km. L'aventurier a accosté à un embarcadaire de Greenwich, dans l'est de Londres, avant de hisser sur des roues sa frêle embarcation de moins de huit mètres de long pour lui faire traverser le Méridien de Greenwich, où la longitude est définie comme égale à 0°. C'est à cet endroit que Jason Lewis avait démarré son tour du monde, en juillet 1994. "Je suis bouleversé. Je ne peux pas le croire... 13 ans, c'a été un long voyage. C'a été toute ma vie", a-t-il lancé sur la télévision Sky News, essouflé et visiblement épuisé. "C'a été vraiment dur au début", s'est souvenu l'aventurier à la barbe nourrie. "J'ai cru ne jamais y arriver", a-t-il lancé sous le regard d'une centaine de curieux. Le Britannique a parcouru le globe en bateau à pédales, kayak, vélo, patins à roulettes, mais parfois simplement à pied ou à la nage. En treize ans, il a établi plusieurs records, devenant notamment en août 2000 le premier homme à traverser l'océan Pacifique en bateau à pédales (en 178 jours). Parmi les péripéties vécues durant ses treize ans de voyage, il s'est fait renverser en 1995 par une voiture aux Etats-Unis en traversant le continent américain en patins à roulettes. L'accident, dont il est ressorti les deux jambes cassées, a bien failli mettre un point final à l'expédition, s'est-il souvenu samedi. "J'ai cru que j'allais perdre l'une de mes jambes, que j'allais être amputé. C'était un moment très, très difficile", a-t-il déclaré. Il est cependant reparti, toujours à patins à roulettes, après neuf mois d'hospitalisation. Il a également été pourchassé par un crocodile en Australie, ainsi que par des policiers chinois, et interpellé en Egypte sur des soupçons d'espionnage. "Je faisais la traversée en kayak depuis le Soudan vers l'Egypte -- la nuit parce que je n'avais pas d'autorisation -- et ils m'ont arrêté pour espionnage", s'est remémoré l'aventurier. Il s'est aussi échoué sur un récif aux Antilles, a failli percuter une baleine et a dû chasser des cambrioleurs en Inde, poignard en main. Mais sa plus grande difficulté a été de pouvoir réunir les fonds nécessaires à la poursuite de son périple. Sans sponsor d'importance, Jason Lewis a souvent dû s'arrêter en chemin pour gagner ses propres deniers. Aux Etats-Unis, il rassemblait des bestiaux dans un ranch; en Australie, il était employé d'un salon de pompes funèbres. Rien cependant n'a eu raison de sa détermination, ni même l'abandon de son compagnon de voyage, en septembre 1998, après une dispute mémorable. "Je n'ai jamais réellement aimé le travail de bureau", a-t-il admis sur Sky News. Et il ne compte pas changer d'avis maintenant, après 13 ans d'aventure. Son avenir, il le voit ainsi en train d'organiser des "mini-expéditions" pour les jeunes.
  13. Le courrier a été diffusé en tract sur les chantiers tout simplement... mais pour le diffuser il faut des diffuseurs... maintenant c'est clair tout le monde ne l'a pas eu non plus...
  14. Bon à savoir : Panne et abonnement internet : oeil pour oeil, dent pour dent. Exceptio non adimpleti contractus Par Maix PCINpact - Instructive affaire que celle jugée par la Cour d’Appel de Paris en mai dernier et publiée ces jours-ci. Un abonné avait souscrit un abonnement à NoosNet (internet) et NoosTV (télévision) en 2000. Noos ayant décidé d’augmenter les débits (de 1024 à 409 Kbits/s), la société lui envoyait un nouveau modem. Après plusieurs tentatives d’initialisation, toutes vaines, l’abonné renvoyait finalement le modem à l’expéditeur avec une lettre explicative. Face au silence de Noos, il décide de ne plus payer l’abonnement Internet, mais continue à payer la partie télévision et liée à l’offre NoosTV. En retour, Noos se contentera d’envoyer plusieurs relances sur le paiement de l’abonnement pour finalement, le 8 juillet 2005, couper son accès internet. L’affaire prend alors un tournant judiciaire jusqu’en appel. La Cour d’Appel de Paris, indique la Gazette du Net, a estimé ainsi que le FAI était tenu à une obligation de résultat quant à l’accès internet (dans le même sens, voir notre actualité). Or, il n’a ni justifié de l’envoi d’un nouveau modem ni assumé d’autres formes d’assistance pour remplir à bien ses obligations contractuelles. Dans ces circonstances, l’abonné a pu à bon droit faire jouer ce que l’on nomme dans le jargon l’exception d’inexécution (pour les latinistes : exceptio non adimpleti contractus). Cette arme contractuelle permet à une partie de cesser de remplir ses obligations afin d’inciter le cocontractant à respecter ses propres obligations. En application de ce principe, donc, l’abonné a pu « cesser de payer le prix de l'abonnement à NoosNet alors qu'il ne bénéficiait plus de ce service interrompu par Noos le 8 juillet 2005 »,ont posé les juges d’appel.
  15. Et oui je ne suis pas la CGT et encore moins à moi tout seul... Et comme je le disais, chacun refait et réécrit l'histoire comme il l'entend... ô mémoire et expérience. C'est vrai nous ne sommes pas des historiens... Il est effectivement vrai que plusieurs organisations syndicales avaient déposé chacune leur préavis. Il est tout aussi vrai si j'ai bonne mémoire que Bernard Thibauld avait écrit quelques jours avant le mouvement qui commençait le vendredi 22 novembre 1995, une lettre à tous les cheminots en les invitant à ne pas hésiter à poursuivre et reconduire le mouvement si les conditions de mobilisation contre le plan chirac-juppé étaient réunies. Et ce sont les cheminots qui ont décidé dans les AG (enfin environ 30% à 50% des cheminots... grévistes selon les jours - restons lucides)
  16. Contre car anti-libéral, anti-capitaliste mais solidaire, humaniste, internationaliste, alter-mondialiste Mais je l'ai déjà dit sur ce forum : j'attends un vrai projet et une nouvelle perspective, et ce ne sont ni Bayrou, ni DSK ou Hollande, encore moins Royal qui vont nous sauver...
  17. Bien d'accord avec toi Vinces et en même temps, l'analyse et les propositions des syndicats (contenu, forme de l'action...) dans leurs diversité, nous en avons besoin pour nous forger notre propre opinion en conservant notre sens critique et notre liberté d'action. Je pense aussi que Pepe respecte les opinions individuelles de chacun même si il ne se laisse pas marcher sur les pieds...
  18. La question des retraites ne tombe pas du ciel depuis mai 2007. Nous sommes dans un processus enclenché depuis des dizaines d'années tant sur la question des retraites du régime général que des régimes spéciaux, mais aussi sur la question du régime particulier des cheminots et d'ailleurs cela ne se limite pas à la seule question des retraites mais aussi la caisse de prévoyance, le statut des cheminots, le statut de l'entreprise ferroviaire. Chacun regardera l'histoire avec sa propre expérience, sa propre opinion. Alors merci de me permettre de conserver ma propre opinion, ma propre expérience à partir desquelles je me fais mon analyse et donne mon avis. C'est aussi par rapport à la force en face de nous qu'il faut réfléchir sans oublier l'état de l'opinion plublique ou le niveau du rapport de force. Il faut aussi écouter les autres cheminots et les autres salariés tant sur le contenu, le fond que sur la forme de l'action. Je te laisse ton opinion sur la CGT, opinion qui en dit déjà long sur ton état d'esprit par rapport à la nécessité d'être tous ensemble, de rassembler, mobiliser. Personnellement je n'irai pas prendre mes ordres à Montreuil ou ailleurs, ce n'est pas mon genre. Mais je ne pense pas non plus que ce soit en nous divisant, en nous opposant au nom de chapelles qui représentent au plus 20% de cheminots syndiqués que nous avanceront et réussiront à nous opposer au rouleau compresseur Gouvernement de droite - Medef - UMP sans parler de la direction sncf aux ordres des précédents... Il y a donc deux choses à apprécier correctement : - le fond : la question des retraites, que veulent faire la droite et le medef, le niveau d'information des cheminots et des salariés (il y en a qui n'ont tujours pas compris) mais aussi la riposte (propositions, revendications) sur les trois aspects qui me semblent importants : financement, nombre d'années de cotisations, âge de départ à la retraite. Et ces questions concernent aussi les cheminots car notre propre régime de retraite se doit d'évoluer sur ces points. et la forme : Quelle forme doit prendre l'action, le mouvement à mener (grève de 24h, reconductible, illimitée, manifestations...) J'estime que ces questions concernent TOUS les salariés et qu'on ne peut limiter ces questions aux seuls cheminots. La société à changé, le monde du travail aussi. On peut toujours se regarder le nombril et se dire qu'on est les meilleurs (d'ailleurs nous sommes les derniers) ce ne sera pas suffisant pour faire basculer le rapport de force en notre faveur. Depuis que je suis entré à la SNCF, j'ai suivi tous les mouvements, j'ai fait 1986/7, 1995, 2003 et toutes les autres journées de grève, manifestations, rassemblements... Je me suis donc fait MON expérience. Je n'ai donc rien à changer par rapport à mon post précédent et je n'autorise personne à caricaturer mes positions. En tout état de cause, j'évite surtout d'avoir des oeillères.
  19. Je serai en grève le 18 octobre. Je considère cette journée comme un coup de semonce, tout dépendra pour la suite de la mobilisation du nombre de grévistes et manifestants, et de l'attitude du gouvernement Tenir compte de ce qui s'est passé en 2003 (refus d'un grand nombre de cheminots de s'engager dans une grève illimitée mais volonté de journées d'actions fortes et mobilisatrices de tous les salariés) Il n'y a rien à négocier sur le projet du gouvernement de droite-UMP-MEDEF, il faut qu'ils abandonnent leurs prétentions. Par contre il faut avancer des revendications et des propositions pour assurer l'avenir du système des retraites en France : - en premier lieu sur le financement des retraites qui ne doit plus reposer exclusivement sur la masse salariale mais aussi sur les revenus financiers, la valeur ajoutée des entreprises etc... et surtout pas sur l'instauration d'une TVA sociale portant sur les produits de consommation courante ou d'une augmentation de la CSG/CRDS qui s'applique en quasi totalité sur les salaires. - sur le système de calcul des pensions donc le nombre d'annuités de cotisations nécessaires pour prétendre à une retraite complètes qui doit revenir pour tous à 37,5 ans pour baisser à 35 ans. - sur la pénibilité du travail et donc des années d'abondement de cotisations à ce titre (travail de nuit, en service décalé, travail physiquement pénible, dangerosité etc...) - sur l'âge de départ en retraite en tenant compte de la durée des études qui se modifie très rapidement mais aussi du chômage des jeunes ou des séniors - sur le montant minimum de la pension et de la pension de réversion (veufs ou veuves de pensionnés)
  20. Dans un roulement 3*8, la prise de nuit se fait sur le dernier repos la journée de travail est graphiquée à la prise de service Après la dernière nuit tu as une descente de nuit (dans les tableaux de roulement, la journée reste en blanc puisque comptabilisée sur la journée précédente à la prise de service. puis seulement ensuite tes repos (Repos Périodiques Repos supplémentaires RU) : RP RP (prise de nuit sur ce RP) x x x x descente de nuit après ta journée de service RP RP Les cheminots du régime C (travail de nuit) sont passés de 118 Repos (112 RP + 6 RN) à 132 Repos (118 RP + 14 RU) avec les 35h avec des journées de service de 8 h. Les RN ont été intégrés dans les 132 repos (et il faut avoir au moins 40h de récupération de nuit [9minutes par heures de nuit travaillées entre 0h et 4h] pour pouvoir prétendre à des RN supplémentaires. Les agents qui faisaient du 3*8 avaient un équivalent 36h avant les 35h : ils ont juste gagné 1h + une nouvelle répartition des jours travaillés/jours de repos. La revendication des 32h pour ceux qui travaillent de nuit reste d'actualité.
  21. Tout contre Cécilia, je veux bien avec tout le respect que je lui dois mais tout contre Mr Sarkozy, désolé mais là je ne peux vraiment pas... Mais tu as le droit de te frotter contre lui... ici nous sommes très libre d'esprit.
  22. C'est une façon de voir assez objective ma foi... Merci d'avoir répondu à mon interrogation.
  23. J'ai de bonnes lectures , En me baladant sur le net, je suis tombé sur ceci : source http://www.strategies.fr/archives/1365/136..._du_siecle.html Réseaux Le pouvoir à la table du Siècle Ultrasélectif, le Siècle rassemble la quintessence du pouvoir politique, économique et médiatique. La discrétion de ses membres est à la hauteur de son influence. Un mercredi par mois, place de la Concorde à Paris, la fine fleur de la communication et des médias pénètre discrètement dans les salons de l'Automobile club de France. Ce n'est pas l'amour des voitures qui rassemble Maurice Lévy (Publicis), Alain de Pouzilhac (Havas), Serge July (Libération) ou Patrick Poivre d'Arvor (TF1), mais un dîner en compagnie de Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Thierry Breton, Claude Bébéar ou Nicole Notat. Tous sont membres du Siècle, le plus prestigieux des cercles de décideurs hexagonaux. Créé en 1944 par Georges Bérard-Quélin, ancien dirigeant du Parti radical et fondateur de la Société générale de presse, décédé en 1990, le cénacle rassemble la quintessence du pouvoir politique, économique, médiatique, voire intellectuel ou syndical. Le tout sans distinction d'opinions, de croyances ou d'origines sociales. « Des personnalités qui se réunissent pour échanger sur des sujets de société. Une sorte d'auberge espagnole où chacun retire ce qu'il y apporte », résume Étienne Lacour, secrétaire général de l'association. Les ministres membres se comptent sur les deux mains, de Jean-Pierre Raffarin à François Fillon. Les barons du Parti socialiste aussi, comme Lionel Jospin ou Laurent Fabius. Le milieu des affaires n'est pas en reste, avec la quasi-totalité des grands patrons, de Louis Schweitzer (Renault) à Michel Pébereau (BNP Paribas). Sans oublier la plupart des dirigeants de la presse et de l'édition, d'Odile Jacob à Jean-Marie Colombani, en passant par Claude Imbert et Laurent Joffrin. Ni une mafia, ni une loge Mais n'entre pas qui veut. La sélection est rude. « On ne choisit pas le Siècle, c'est lui qui vous choisit ! », souligne Étienne Lacour. Présidé en 2005 par Renaud Denoix de Saint-Marc, vice-président du Conseil d'État, le conseil d'administration compte une quinzaine de personnalités comme Denis Jeambar (L'Express), Anne-Marie Couderc (Hachette Filipacchi Médias), Marc Tessier (France Télévisions) et même Nicole Notat (Vigeo). Triées sur le volet, les recrues gardent le statut d'invités pendant au moins un an avant de devenir membres. David Pujadas (France 2), Emmanuel Chain, Édouard de Rothschild ou Jean-François Copé ont, depuis peu, décroché le sésame. Mais gare aux accidents de carrière ! La rumeur veut qu'un membre victime d'une traversée du désert soit tôt ou tard mis sur la touche. Jean-Marie Messier en a fait les frais. « Les gens qui quittent toute fonction se retirent d'eux-mêmes », reconnaît poliment Étienne Lacour, qui précise que son club n'est « ni une mafia, ni une loge maçonnique ». Au cours du dîner, les conversations privées sont bannies. En revanche, avant et après le repas, chacun est libre de ses propos. « C'est l'occasion en dix minutes de rencontrer des personnalités influentes dans tous les domaines », explique Michèle Cotta, première femme acceptée dans le cénacle, en 1983. De là à solliciter faveurs et autres renvois d'ascenseurs, il n'y a qu'un pas qu'elle refuse de franchir. « Le club n'assure aucun passe-droit. C'est juste plus facile de prendre rendez-vous avec un ministre ou un homme d'affaires », raconte-t-elle. Mais selon Emmanuel Ratier, auteur de Au coeur du pouvoir (Faits & Documents, 1996), seul livre publié sur le sujet : « Les plans de table sont pourtant savamment pensés. » La révolution de palais provoquée par le transfert de Franz-Olivier Giesbert du Nouvel Observateur au Figaro en septembre 1988 se serait jouée lors d'un dîner du Siècle avec Philippe Villin, alors bras droit de Robert Hersant. L'entrée d'Édouard de Rothschild dans le capital de Libération se serait-elle aussi négociée entre la poire et le fromage avec Serge July ? « C'est possible », répond laconiquement Étienne Lacour, avant de souligner qu'un membre, même journaliste, ne rapporte jamais les propos tenus au sein du cénacle. La discrétion reste de mise dans les salons du pouvoir ! Frédéric Saliba Le Siècle en dates et en chiffres 1944. Création du Siècle. 580. Nombre de membres du club, dont l'annuaire est renouvelé chaque année. 160. Nombre d'« invités » en attente de leur acceptation comme membres. 17. Nombre de membres du conseil d'administration de l'association. 60 ans. Âge limite pour devenir membre, 65 ans pour le rester. 150 euros. Cotisation annuelle des membres, plus 62 euros par dîner. 7. Nombre de convives par table. 2. Nombre de parrainages nécessaires pour soutenir une candidature. 300. Nombre de membres et invités conviés à chaque dîner mensuel. 55 ans. Âge moyen des membres du club. 50. Nombre annuel de candidatures proposées, dont le tiers est refusé.
  24. Une belle officine de l'UMP...
  25. Dans la série: votre voiture nous intéresse : A Saint-Dié, des universitaires veulent révolutionner l'usage de la voiture Par Par Joris FIORITI AFP - SAINT-DIÉ (AFP) - Prendre moins souvent la voiture et la partager: des universitaires, spécialistes des transports ont appelé à une révolution de l'usage du véhicule personnel pour un impact écologique fort, au Festival international de géographie (FIG) de Saint-Dié. "Nous sommes prisonniers de la voiture, car nous sommes prisonniers de la vitesse qu'elle permet. Notre mode de vie est complètement conditionné par la vitesse. Il va falloir apprendre à la partager", a lancé Yves Crozet, professeur à l'université Lyon 2, au cours de ce festival qui se clôt dimanche. En France, où chaque personne passe en moyenne une heure par jour dans les transports, le taux moyen d'occupation d'une voiture est de 1,3 passager, rappelle l'universitaire. La mutualisation des véhicules est un phénomène marginal. "L'automobile est incontestablement un objet phare de l'individualisation de la société", confirme Jean-Pierre Orfeuil, professeur à l'université Paris 12. Plus d'un Français sur deux possède une voiture, avec 36 millions de véhicules recensés sur le territoire. Dans une famille type, chacun des adultes prend tous les jours son auto pour aller travailler. Le nombre de déplacements s'en ressent. Quelque 16 millions de trajets en voiture sont recensés en Ile-de-France chaque jour, dont la moitié pour aller d'un endroit à un autre de la grande couronne, relève Yves Crozet. Les déplacements banlieue-Paris, eux, se font plutôt en RER. Les transports en commun seraient donc la solution miracle aux problèmes de pollution ? Les spécialistes, dubitatifs, nient en bloc. "Si d'un coup de baguette magique, on dotait toutes les villes de trams ou de réseaux de bus performants, cela ne diminuerait que de 1% les émissions de CO2 françaises", générées à 25% par les transports, analyse M. Crozet. "Les bus ne peuvent résoudre les contraintes individuelles de déplacement. Et mieux vaut, en termes écologique et financier, le covoiturage que l'utilisation d'un bus départemental avec cinq personnes à son bord", poursuit-il. Pour diminuer notablement la pollution, il faut donc avant tout s'en prendre aux automobilistes, au besoin en les contraignant à évoluer: interdiction des véhicules inadaptés dans les centres des villes, promotion des moyens de locomotion propres, péages et taxes tous azimuts, observe Jean-Pierre Orfeuil. Des lieux communs sont également à abolir, comme l'interdiction des camions dans les centres, alors qu'un 10 tonnes pollue bien moins que 50 fourgonnettes, remarque Michel Savy, professeur à Paris XII. Il faut aussi permettre aux gros centres logistiques de se rapprocher des villes, pour limiter les trajets inutiles. La 18e édition du FIG, consacrée à "la planète en mal d'énergies" qui a débuté jeudi se termine dimanche.
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