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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Dépêches de presse AFP vers 14h45 Dommage que le titre de la dépêche n'ait rien à voir avec le texte en dessous Ah ces journaleux... La justice allemande douche les ambitions de grève des conducteurs de train Par Audrey KAUFFMANN - BERLIN (AFP) - La justice allemande a mis un frein mercredi au projet des conducteurs de trains du pays de lancer une grève massive pour de meilleurs salaires, en l'interdisant jusqu'au 30 septembre au nom du préjudice économique qu'engendrerait une paralysie du rail au coeur des vacances d'été. La grève nationale que prévoyait de lancer jeudi le syndicat de conducteurs GDL, approuvée à la quasi unanimité par la base lundi, menaçait d'être la plus importante du secteur depuis quinze ans. La décision du tribunal du travail de Nuremberg (sud), saisi en référé par la compagnie publique Deutsche Bahn, concerne tous les trains de fret et de grandes lignes pour les voyageurs. Le syndicat GDL a aussitôt fait appel et suspendu son projet de grève dans l'attente d'une nouvelle décision de justice. Peu auparavant, GDL, qui réclame 31% d'augmentation pour les conducteurs de trains, avait confirmé son intention de démarrer les hostilités dès jeudi dans le fret, repoussant à lundi "au plus tôt" la grève des trains de voyageurs. Objectif d'une telle quinconce: jauger "la réaction de l'employeur" face aux premiers débrayages, avait expliqué à l'AFP le porte-parole de GDL Maik Brandenburger. Mais malgré le bras de fer, les deux parties en conflit semblent toutefois prêtes à négocier. "Le dialogue est la seule solution", a estimé mercredi la directrice du personnel de la Deutsche Bahn, Margret Suckale, ouverte à l'idée d'un médiateur. "Deux noms" sont évoqués pour endosser ce rôle délicat, a-t-elle dit, et il serait possible selon elle de "nommer quelqu'un dès aujourd'hui et s'asseoir demain à une table". Le syndicat GDL, qui dit représenter 80% des conducteurs de trains, accepterait lui "la médiation d'une personne neutre, indépendante et reconnue par les deux parties", a déclaré à l'AFP Maik Brandenburger. Il a appelé le gouvernement à intervenir. "Si le gouvernement, propriétaire de la Deutsche Bahn, avait une proposition à faire, nous n'aurions rien contre", a-t-il dit alors que le négociateur de la Deutsche Bahn, Werner Bayreuther, a accusé le patron de GDL de vouloir "sortir les instruments de torture". Mardi, le ministre des Transports Wolfgang Tiefensee avait pressé les deux parties de s'accorder au plus vite dans l'intérêt des usagers -soit 10 millions de voyageurs quotidiens en moyenne, un record en Europe- et des industriels allemands, qui redoutent des millions d'euros de pertes consécutives à la grève. Mais il avait aussi souligné que le gouvernement n'entendait pas "s'impliquer directement dans le conflit". Le porte-parole adjoint du gouvernement Thomas Steg a réaffirmé cette position mercredi. Les conducteurs de train ont néanmoins reçu le soutien du ministre de l'Environnement Sigmar Gabriel: selon lui, "il n'est pas correct qu'un conducteur de train, qui assume une lourde responsabilité, gagne 1.500 euros nets". Le salaire moyen de fin de carrière est de 2.200 euros, contre deux à trois fois plus dès l'embauche pour un pilote de ligne. La Deutsche Bahn s'est entendue début juillet avec les deux syndicats des transports Transnet et GDBA sur une augmentation pour toute la branche de 4,5% sur 19 mois assortie d'une prime de 600 euros, et refuse jusqu'à présent tout accord séparé avec GDL, qui réclame 2.500 euros nets à l'embauche (+31%) des conducteurs. Le réseau ferroviaire privé (Privatbahnen) a prévenu mercredi qu'il serait incapable de pallier les manques engendrés par une grève à la Deutsche Bahn, faute d'un nombre suffisant de conducteurs. "Espérons que l'idée du médiateur soit retenue, elle permettrait à tous de s'en sortir sans perdre la face", a jugé le ministre régional de l'Economie de Brême (nord), le social-démocrate Ralf Nagel.
  2. A la première lecture, je me suis dit "ça relève de la rubrique du Zinc de la rotonde" mais à la réflexion ça peut aussi relever d'un d'un débat sérieux... Les mauvais chefs seraient toujours promus, jamais punis Par Rachel Breitman Reuters - Vendredi 3 août, 16h42NEW YORK (Reuters) - L'une des façons de progresser dans la hiérarchie d'une entreprise semble être de mener la vie dure à ses subordonnés, conclut une étude publiée vendredi. Près des deux-tiers des 240 personnes interrogées pour cette étude en ligne ont déclaré que la personne la plus tyrannique sur leur lieu de travail n'était jamais blâmée ou, pire, avait été promue pour son sens de l'autorité. "Le fait que 64,2% des sondés répondent qu'un mauvais chef n'est pas sanctionné ou plutôt récompensé est plutôt remarquable, remarquablement inquiétant", écrivent les auteurs de l'étude, Anthony Don Erickson, Ben Shaw et Zha Agabe de la Bond University en Australie. Malgré leur réussite professionnelle, des supérieurs agressifs peuvent être à l'origine de troubles sérieux chez leurs subordonnés, suggère l'étude, qui cite les cauchemars, l'insomnie, la dépression et l'épuisement comme les principaux symptômes. Les auteurs de l'étude préconisent une intervention immédiate des patrons pour empêcher les plus autoritaires de grimper les échelons. "Comme pour le cancer, la meilleur alternative à la prévention est le dépistage précoce", écrivent-ils. Ils pointent du doigt les hauts responsables qui ne se seraient pas rendu compte des conflits créés par un mauvais supérieur. "Les responsables autour d'eux qui n'ont pas réagi, qui ont récompensé et offert une promotion aux mauvais chefs, représentent un problème supplémentaire". L'étude sera présentée ce week-end à Philadelphie lors de l'assemblée annuelle de l'Academy of Management, une association qui compte environ 17.000 membres.
  3. L'interdiction par la justice n'a pas l'air de faire très peur à priori Grève maintenu pour le Fret jeudi et les trains de voyageurs à partir de lundi... ***** La justice allemande interdit une grève des trains jeudi AFP - il y a 2 heures 18 minutesBERLIN (AFP) - Le tribunal du travail de Nuremberg (sud-ouest de l'Allemagne) a interdit en référé jusqu'au 30 septembre la grève des conducteurs de trains allemands qui devait commencer jeudi et qui pourrait être la plus importante du secteur depuis 15 ans, a indiqué mercredi la compagnie Deutsche Bahn. Le tribunal a fondé sa décision sur le fait que l'économie allemande subirait un énorme dommage pendant la période de pointe pour les voyages en Allemagne, a expliqué un porte-parole. L'interdiction concerne tous les trains de fret ainsi que ceux assurant les liaisons sur les grandes lignes pour les voyageurs, a indiqué le négociateur de la Deutsche Bahn, Werner Bayreuther, selon qui les négociations sont revenues à la case départ. Cette grève devait être menée par le syndicat des conducteurs GDL qui réclame pour eux 31% d'augmentation. Un porte-parole du syndicat GDL, Maik Brandenburger, avait déclaré mercredi à l'AFP peu avant cette annonce que la grève débuterait "au plus tôt lundi pour les trains de voyageurs", tout en soulignant qu'il était prévu en revanche de "commencer demain (jeudi) la grève des conducteurs de trains de marchandises", a priori pendant quatre heures. La grève des conducteurs de trains de voyageurs avait été décalée à lundi au plus tôt "afin de se donner le temps de voir la réaction de l'employeur (la Deutsche Bahn)" face à la grève dans le fret, avait expliqué M. Brandenburger. En outre, "nous ne voulons en aucun cas faire grève pendant le week-end", avait-il dit. Il a par ailleurs lancé un appel au gouvernement à faire une proposition pour trouver une issue au conflit: "si le gouvernement, propriétaire de la Deutsche Bahn, avait une proposition à faire, nous n'aurions rien contre", a-t-il dit à l'AFP. Le syndicat GDL est prêt à "accepter la médiation d'une personne neutre, indépendante et reconnue par les deux parties", a-t-il ajouté. Le négociateur de la Deutsche Bahn, M. Bayreuther, avait lui accusé le président du syndicat GDL Manfred Schell de vouloir "sortir les instruments de torture". Le syndicat GDL réclame pour le personnel roulant des augmentations salariales de 31%, alors que la Deutsche Bahn a conclu début juillet un accord avec les deux autres syndicats des transports Transnet et GDBA sur une augmentation de 4,5% sur 19 mois, assortie d'une prime de 600 euros. Le responsable du réseau de compagnies de trains privées allemandes (Privatbahnen), Arthur-Iren Martini, avait prévenu mercredi que les trains privés ne pourraient pallier les manques entraînés par une grève à la Deutsche Bahn. "Nous avons des capacités limitées, et notamment pas assez de conducteurs", avait-il dit sur une radio (Bayern2radio), en jugeant "super" que les parties en conflit soient prêtes à se "retrouver à la table d'un médiateur".
  4. Questions : à quel heure l'adolescent est-il arrivé à Toulouse ? et combien son train avait-il de retard à l'arrivée ? On sait qu'il a été remis à la Surveillance générale à 20h30 + plateau repas On sait qu'il a été remis à la police à 22h30 et qu'il a passé la nuit à "l'Hôtel de Police" allongé sur un banc
  5. temps d'évolutions (application réglementation du travail) allocation de déplacement (application rélementation sur la rémunération) le tout sur : http://lescheminotscgt.free.fr/index-3.html
  6. le service minimum à la sauce allemande : des résultats de négociations rejetés par le syndicat majoritaire (à confirmer) et ses adhérents qui votent à 95% la décision de faire grève... (avec un taux de syndicalisation élevé puisque semble-t-il quasi obligatoire (selon les sources journalistiques à confirmer...) la direction qui déclare la grève illégale et un tribunal qui suit... A suivre : la réaction des cheminots allemands en particulier ceux adhérants au syndicat en question.
  7. Une femme a vécu 55 ans avec un crayon dans la tête AP - Une Allemande de 59 ans qui avait vécu avec un crayon dans la tête pendant 55 ans, ce qui lui causait migraines et saignements de nez, a enfin été délivrée grâce à une intervention chirurgicale rendue possible par le progrès technique, comme elle l'explique au journal populaire "Bild" mardi. Margaret Wegner était âgée de 4 ans. Lors d'une chute, le crayon de huit centimètres de long qu'elle tenait à la main a transpercé sa joue et s'est enfoncé dans son cerveau. "Il a traversé la peau et disparu dans ma tête. La douleur m'a rendue folle", raconte-t-elle. Pendant 55 ans, elle a dû supporter la douleur, faute de technique permettant d'extraire sans trop de risque le corps étranger. Mais vendredi, le Dr Hans Behrbohm, oto-rhino-laryngologiste (ORL) à la clinique privée Weissensee de Berlin, a utilisé une technique moderne pour localiser précisément le crayon et évaluer le risque de le retirer. L'intervention était difficile étant donné que l'objet s'était déplacé pendant la croissance de Mme Wegner, a expliqué le Dr Behrbohm mardi à l'Associated Press. "c'est assez unique car le traumatisme était très ancien", a affirmé le médecin, qui a déjà extrait des balles ou des morceaux de verre de personnes victimes d'un coup de feu ou d'un accident de voiture. Un morceau de crayon de 2cm n'a pas pu être sorti mais cela ne présente pas de risque pour la santé de la quinquagénaire, selon le spécialiste. La patiente, épouse de l'entraîneur de boxe allemand Ulli Wegner, ne devrait plus avoir à supporter migraines et saignements de nez et devrait retrouver rapidement l'odorat, a-t-il précisé. "Elle ne devrait plus souffrir." AP Moralité n°1 : Faut être patient dans la vie et savoir souffrir pour devenir heureuse (pauvre femme) Moralité n°2 : un crayon... ça a la vie dure quand même ! Moralité n°3 : Y'a de l'espoir... les chirurgiens vont bientôt pouvoir ôter la connerie du cerveau... Bon là je m'avance un peu quand même
  8. Pour Informations : Service minimum: recours du PS devant le Conseil constitutionnel AFP - Les députés socialistes ont saisi le Conseil constitutionnel au sujet de la loi sur le service minimum dans les transports publics terrestres, estimant que le texte a "pour effet d'interdire de façon implicite l'exercice du droit de grève". La loi, un des textes emblématiques promis pendant sa campagne électorale par le président Nicolas Sarkozy, a été adoptée définitivement le 2 août, au dernier jour de la session extraordinaire du Parlement. Les députés du groupe SRC (socialiste, radical et citoyen) avaient annoncé dès avant cette adoption leur intention de saisir le Conseil constitutionnel. Les syndicats ont motivé leur opposition à ce texte en rappelant que le droit de grève était un droit garanti par la Constitution. Les députés recensent plusieurs points qui, selon eux, aboutissent à des "remises en cause des conditions d'exercice du droit de grève", selon le texte du recours transmis à l'AFP. Ils estiment ainsi que "la définition de jours ou de périodes durant lesquels la grève serait dommageable aux usagers obligerait les personnels à être présents, en contradiction avec le droit constitutionnel de grève". Le texte a donc "pour effet d'interdire de façon implicite l'exercice du droit de grève aux métiers, fonctions et catégories d'agents et de salariés qui figureront dans l'accord de prévisibilité" des transports, estime le recours, qui compte une trentaine de pages divisées en six têtes de chapitres. Les députés PS dénoncent la déclaration préalable (art. 5) demandée à tous les salariés 48 heures avant le début de toute grève sous peine de sanctions disciplinaires. Ils estiment qu'elle risque de conduire des employés "à se déclarer grévistes de façon préventive, sans que leur intention soit encore personnellement établie" et sera donc "contreproductive". Elle empêcherait par ailleurs les salariés souhaitant rejoindre un mouvement déjà commencé de le faire, "faute de pouvoir respecter le délai de 48 heures", selon le recours. En outre, le recours s'inquiète que "la loi reste silencieuse sur la durée de conservation de ces informations" ou leur destruction une fois le conflit achevé. Il conteste également l'article 6, qui permet l'organisation, au-delà de 8 jours de grève, d'une consultation du personnel, à l'initiative notamment de l'employeur, estimant que la loi lui donne le caractère d'une "simple consultation indicative" au "caractère mal défini". Les députés PS estiment enfin que le texte induit une "remise en cause du principe de libre administration des collectivités territoriales", celles-ci représentant "la quasi-totalité des autorités organisatrices de transport visées par la loi". La loi oblige désormais toutes les autorités organisatrices de transport (AOT) à garantir aux usagers un service réduit mais prévisible les jours de grève, et les entreprises à se doter d'un accord-cadre de prévention des conflits et de développement du dialogue social avant le 1er janvier 2008.
  9. ...et de la judiciarisation de la société : aujourd'hui chacun ouvre le parapluie (le réglement, la loi...) et après moi le déluge...
  10. La Prime de Fin d'Année PFA (et non le 13ème mois : c'est pas la même chose) est versée vers le 15/16 décembre au prorata de la présence en nombre de jours. Pour la prime de vacances je crois qu'il faut être présent à l'effectif le 1er juin de l'année en cours (à vérifier)
  11. Au dela du suicide de l'agriculteur qui est pour moi inacceptable humainement, pas mal d'informations intéressantes dans cet article de presse. Le suicide d'un agriculteur qui cultivait des OGM déclenche une polémique Par Christian CHARCOSSEY AFP - (AFP) - Le suicide dimanche d'un agriculteur du Lot qui cultivait du maïs OGM, avant un pique-nique de militants anti-OGM devant son champ, suscite une polémique dans le monde agricole, la FNSEA demandant aux "Faucheurs Volontaires" et à la Confédération Paysanne de cesser toute les manifestations et destructions. "On est en démocratie, on n'est pas dans une tribu africaine où chacun fait sa loi", a déclaré lundi à l'AFP Dominique Barrau, secrétaire général de la FNSEA, principal syndicat agricole, qui demande "d'arrêter toutes les destructions et les moyens de pression sur les agriculteurs". Un communiqué de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs affirme que cet agriculteur s'est tué car il n'a "semble-t-il pas pu supporter l'idée d'être mis en cause par ces militants irresponsables et que ses parcelles puissent être détruites". José Bové, figure de proue des "Faucheurs Volontaires" qui a participé ce week-end à l'arrachage de pieds de maïs transgénique près de Murviel-lès-Béziers (Hérault), juge cette position "indécente". "C'est au gouvernement de prendre ses responsabilités en imposant un moratoire sur la culture des OGM. La désobéisance civile continue" a affirmé à l'AFP l'ancien porte-parole de la Confédération Paysanne, organisation qui a affirmé lundi qu'elle continuait ses actions. Les ministres de l'Ecologie et de l'Agriculture, Jean-Louis Borloo et Michel Barnier, avaient rappelé, dimanche dans un communiqué, "que la question des OGM reste ouverte dans notre pays. Elle n'est pas tranchée et ne pourra l'être qu'à l'issue d'un véritable débat de société, dans un climat serein (...) à l'occasion du Grenelle de l'Environnement" l'automne prochain. Pour José Bové "ce n'est pas un débat qui va résoudre le problème car depuis des années il y a une volonté très claire des semenciers et des Pouvoirs Publics d'imposer les OGM de fait dans les champs français". François Lucas, le président de la Coordination Rurale, le troisième syndicat agricole, estime pour sa part "qu'il faut se retourner vers les gens qui ont failli, c'est à dire les gouvernements successifs depuis 1995 et ceux qui ont incité les agriculteurs à semer des OGM, dont l'Association générale des producteurs de maïs (AGPM)". "Si le gouvernement français ne légifère pas sur un tel sujet, on n'a plus besoin d'un Etat français", affirme M. Lucas. En France, deux décrets de mars fixent les conditions de contrôle des essais dans les champs et de mise sur le marché des OGM car le gouvernement Villepin avait renoncé en janvier à présenter son projet de loi devant l'Assemblée en dépit du fait qu'il avait été déjà adopté par le Sénat. "A l'heure actuelle nous avons recensé 21.200 hectares ensemencés en maïs OGM en 2007 contre seulement 5.420 ha en 2006 soit un quadruplement en un an, ce qui représente 0,75% de la surface totale du maïs en France", avait annoncé le 19 juillet Luc Esprit, directeur général de l'AGPM. Cette montée en puissance du maïs OGM MON810, du géant américain de l'agrochimie Monsanto, est due notamment à la forte demande des producteurs espagnols de porcs et aux attaques de plus en plus fréquentes des insectes ravageurs sur les cultures traditionnelles du maïs.
  12. Pilotes d'hélicoptères du Samu: préavis de grève CGT les 14 et 15 août AFP - il y a 51 minutesPARIS (AFP) - Les pilotes d'hélicoptères travaillant notamment pour le Samu et les sociétés de sauvetage sont appelés à faire grève les mardi 14 et mercredi 15 août pour protester contre l'absence d'ouverture de négociations sur leurs conditions de travail, a annoncé lundi la CGT. Le syndicat d'accueil du Transport aérien CGT a déposé un préavis en ce sens, du "mardi 14 août à 8h00 au mercredi 15 août à 22h00" auprès du Syndicat national des exploitants d'hélicoptères (SNEH) pour dire "non au travail gratuit et oui au respect des textes en vigueur", indique un communiqué de la CGT. Cette grève, "une première dans le secteur" selon le syndicat, concerne les pilotes des sociétés "Mont-Blanc Hélicoptère, Secours Aérien Français, Hélicap, Hélicoptère de France, Protéus Hélicoptères, Jet Systems/héliocean", précise le syndicat. Ces sociétés disposent d'hélicoptères qui travaillent pour le compte des différents Samu de France. Le Syndicat national des pilotes de ligne (Snpl) qui avait indiqué dès le 1er août que ses pilotes, salariés d'entreprises privées, étaient prêts à "envisager un mouvement de grève national", pourrait également se joindre au mouvement. "Nous publierons un communiqué sur ce sujet mardi au plus tard et si d'ici là aucune négociation n'est ouverte nous déposerons un préavis de grève aux mêmes dates", a déclaré lundi à l'AFP une porte parole du Snpl. En cas de grève, les pilotes et techniciens au sol pourraient être cependant réquisitionnés. CGT et Snpl dénoncent les conditions de travail et de rémunérations des pilotes mis à disposition du Samu et des collectivités faisant appel à eux, notamment pour la lutte incendie ou le secours en montagne. Ils dénoncent les "contournements" de l'accord national signé en 2003 et réclament la publication du décret d'application de cet accord prévoyant notamment une planification stricte des missions. "Malgré nos relances incessantes, le gouvernement se refuse à publier un décret rédigé depuis plus d'un an, qui permettrait d'imposer le respect de cet accord", écrit la CGT dans un communiqué. "Les gens que l'on secoure régulièrement, en mer et en montagne notamment, seraient étonnés des conditions de travail auxquelles leurs sauveteurs sont soumis" souligne Jean-Pierre Hernio (CGT-Aérien). Selon lui, "les salaires sont ridiculement bas et plafonnent à 2.500 euros après vingt ans d'ancienneté et 10.000 heures de vol, soit moitié moins que ceux de nos collègues de la protection civile où qu'en Allemagne", précise-t-il. A ce jour, les "demandes d'ouverture de négociations sont restées vaines même si vendredi dernier M. (Eric) Fraissinet - président du SNEH (patronat) - s'est dit prêt à nous rencontrer le 16 août au lendemain de la grève" conclut M. Hernio. En France, 36 Samu sont équipés d'hélicoptères avec en moyenne 600 heures de vols par an et par appareil, et sont sous astreinte 24 heures sur 24 pour des interventions "primaires" (sauvetages, accidents) ou "secondaires" (transferts d'hôpitaux) et un total de 13.000 interventions en 2000.
  13. Tu lis les posts ou pas ? Je n'ai jamais dit ou écrit que la SNCF devait d'elle-même et sous sa seule responsabilité installer l'ado à l'Hôtel. Si la réglementation précise dans un référentiel (tiens au fait lequel ?) que le responsable SNCF (C'est qui dans ce cas le responsable SNCF ? ) doive remettre dans une telle situation l'adolescent à l'autorité publique (voir post d'Audrey) et bien il faut le faire. Mais ensuite pour autant, la situation initiale résultant d'une cause SNCF (retard de train, raté de correspondance) c'est à celle-ci d'assumer financièrement ses responsabilités (repas, hôtel, petit déj : ce qu'elle a fait d'ailleurs pour d'autres voyageurs). Mais le référentiel prévoit-il quelque chose ou sommes nous face à un vide réglementaire dans le cas d'un jeune adolescent remis à la police (n'oublions pas que je jeune n'a commis aucun acte illicite) ? Maintenant qu'est-il vraiment et réellement prévu par la Police quand on lui remet un jeune dans une telle situation? Au fait comme c'est la Suge qui a remis l'ado à la police, La Suge a-t-elle les compétences pour régler financièrement un repas ou une chambre d'Hôtel au nom de la SNCF en plaçant l'ado sous la responsabilité de la police ? Pour HamstereJoviale : Le jeune aurait donc eu droit à "un plateau repas à 20h30" : tu peux nous citer ta source et mettre un lien. Merci.
  14. Félicitations et Bienvenue !

  15. Félicitations Tchoupinette et Bienvenue dans la famille des cheminots ! Au fait, sors couverte pour soigner ton rhume ( double post)
  16. C'est pas d'une clarté aveuglante mais enfin... Le numéro 2 de la SNCF appelle à ne "pas stigmatiser" les régimes spéciaux de retraite AFP -PARIS (AFP) - Le directeur général de la SNCF Guillaume Pépy a appelé lundi à ne "pas stigmatiser" les bénéficiaires des régimes spéciaux de retraite, qui doivent être réformés par le gouvernement, et demandé que les "caractéristiques particulières" de chaque métier soient prises en compte. "Ce que nous souhaitons aujourd'hui, c'est qu'il n'y ait pas de stigmatisation", a-t-il déclaré sur la radio RMC. M. Pépy a demandé de "tenir compte, quand on met à plat le régime, des choses qui sont meilleures que dans d'autres régimes" et "des caractéristiques particulières du métier en cause". "C'est pas simplement stigmatiser les gens en disant: +ceux-là il faut leur taper sur la tête+", a-t-il insisté. La réforme "doit aller dans le sens de l'équité" ou de la "convergence, c'est-à-dire rapprocher les régimes", a-t-il poursuivi. Le président Nicolas Sarkozy a notamment chargé le ministre du Travail et de la Solidarité Xavier Bertrand de faire "converger les règles des régimes spéciaux vers celles des autres régimes", dans sa lettre de mission rendue publique début août. "Si on veut réformer, il faut négocier et il faut faire preuve d'ouverture, c'est-à-dire mettre l'ensemble du dossier sur la table", a encore dit le numéro 2 de la SNCF. Les régimes spéciaux de retraite concernent les salariés d'entreprises publiques, en particulier la RATP, EDF-GDF et la SNCF (au total, 500.000 actifs et 1,1 million de retraités), qui bénéficient de droits généralement supérieurs à ceux des salariés du régime général, pour des raisons à la fois historiques et de pénibilité des tâches, parmi lesquels un âge de cessation d'activité parfois inférieur à 60 ans, et des durées de cotisation inférieures aux 40 annuités exigées pour le régime général. Concernant le service pendant la Coupe du monde de rugby, M. Pépy a dit qu'il pensait que "les cheminots prendront leurs responsabilités" et que "le service sera bien assuré". La CGT avait évoqué de possibles actions durant le Mondial, qui se tient en France du 7 septembre au 20 octobre, pour protester contre le contenu du projet de loi sur le service minimum.
  17. Précision : le mandat de salaire devrait t'être remis DEBUT septembre mais il faudrait te rapprocher du bureau solde de ton Bureau Administratif de ton établissement (profites en pendant qu'il existe encore) A la SNCF le virement de salaire du mois est versé sur ton compte bancaire le dernier jour du mois mais la bande de paie est souvent remise vers le 25 du mois...
  18. Mais nous aurions appliqué la loi, toute la loi avec HUMANITE et discernement et je ne dis pas que les agents de service ne l'ont pas fait mais la loi est-elle adaptée et son application possible et réaliste ? Ce qui veut dire se préoccuper des aspects légaux : remettre l'adolescent aux autorité de police tout en assumant la charge financière dû au retard du train (à priori important): repas, chambre d'hôtel, petit déjeuner. Egalement une question l'adolescent a été pris en charge vers 20h30 par la police ferroviaire puis remis aux autorités de police vers 22h30. Que s'est-il passé pendant ce laps de temps ? Ensuite quelles sont les consignes fixées à la police pour gérer ce type de cas ? Dans la situation rapportée et sachant que nous n'avons pas tous les éléments (on sait que l'information initiale est rarement fiable), comme cheminot et comme citoyen, je suis en droit de me poser des questions parceque tout compte fait ce type de situation peut survenir à tout un chacun. Qui n'a jamais vu une mère divorcée mettre son fils (mineur) tous les 15 jours dans un train et le père récupèrer l'enfant à l'arrivée plusieurs centaines de Km plus loin ?
  19. Bienvenue Au prorata du nombre de jours travaillés donc 10/11 jours de présence Pour les 10/11 jours d'Août sûrement en mandat de salaire début septembre puis première bande de paie fin septembre qui reprendra les 10 jours d'Août en en + et en -
  20. Purée de petits pois... C'est quand même incroyable cette absence de sens critique chez certains. Je constate que ce sont toujours les mêmes qui s'y collent. Je ne pense pas dans mes propos antérieurs avoir tenter "de tout mettre sur le dos de la SNCF". Je pose des questions. Notre entreprise n'est pas là pour faire de l'assistanat mais elle doit assumer ses responsabilités vis à vis des voyageurs surtout en cas de retard de train (ça fait d'ailleurs l'objet d'un référentiel interne...). Que le responsable de service doive appliquer la réglemention (la loi) ne me pose pas de problème mais je m'interroge sur la réglementation elle-même et au-delà sur son application. Tiens au fait la loi interdit-elle à un adolescent mineur de voyager seul (si c'est oui, on va être mal...)... Quand au fait de faire le tour de la France, faut pas exagérer non plus. Une correspondance à Toulouse, c'est pas le désert, ni la zone, je pense... Qu'est-ce qui a été dit à la famille ? qu'a-t-elle compris ? que le jeune était pris en charge par la SNCF et par la police ou autre chose ? Quelle a été la réaction de la famille ? pouvait-elle venir chercher le jeune ? Tu en veux d'autres des questions ? Tu ne veux pas qu'on critique la SNCF mais la famille on pourrait tout lui coller sur le dos ! C'est ça ta démarche et ton objectif? Tous les jours, des centaines de milliers de jeunes voyagent par le train en TER, TGV, Grandes Lignes et je ne parle pas des lignes de la banlieue parisienne... Faudrait peut être instaurer un couvre-feu ? Et bien moi je commence par m'interroger sur la prise en considération humaine du jeune. Que le responsable de service qui représente la sncf (à priori la police ferroviaire dans le cas présent selon l'article de presse) ne puisse le prendre en charge OK mais est-ce que ça justifie que le jeune se retrouve sur un banc au poste de police du coin pour y passer la nuit ? Il y a là quelque part quelque chose qui me dérange dans la prise en charge par la SNCF et par la Police d'un voyageur mineur qui subit un retard de train. Et n'oublions pas que nous sommes en 2007 quand même... Nous ne sommes plus au moyen âge que diable !
  21. Les dégâts du GPS et du numérique associés ... Ah ces foutues nouvelles tecnologies... Retour à la vieille boussole et aux étoiles...
  22. Salut Audrey Ahhhh ! Barbara !! bigbisous
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