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une mention au bac, quand on est bien foutu(e)?
Dom Le Trappeur a répondu à lamicahouette situé dans Brin de causette
Purée, et moi qui m'avale ma tartine de saindoux le matin au p'tit déj.... -
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Dom Le Trappeur a répondu à olympique41 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
C'est à cause de ma proposition de scop...? :Smiley_62: -
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Crise cardiaque ? -
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Tu n'as pas tort... c'est aussi comme si deux gugusses type le Boukistanais et le Trappeur déposaient un projet de scop pour sauver la sncf de la faillite... -
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Sauf qu'il y a encore une direction d'entreprise rattachée au groupe SNCF... et que ce ne sont pas encore les " syndicalistes" ou les "salariés" qui gèrent SeaFrance voir une scop qui n'est qu'en projet... et que ce projet de scop n'est porté pour l'instant que par "quelques personnes" soutenus par une partie des salariés... -
Question : vit-on mieux ou moins bien avec le smic chinois là-bas en chine , qu'avec le smic français ici en France ...? Des villes chinoises relèvent le salaire minimum http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2012/01/05/des-villes-chinoises-relevent-le-salaire-minimum_1626146_3216.html#ens_id=1587226 Confrontées au manque de main d'œuvre ou aux troubles sociaux qui touchent certaines régions chinoises, plusieurs métropoles ont décidé de relever le salaire minimum. A Shenzhen, grande métropole du Sud frontalière de Hongkong, le salaire minimal sera relevé de près de 14 % à 1 500 yuans (185 euros) à compter du mois de février, selon un communiqué du gouvernement local. A Pékin, il a progressé de presque 9 % à compter du 1er janvier pour atteindre 1 260 yuans par mois (155 euros), tandis que dans la province intérieure du Sichuan (Sud-Ouest), les hausses de salaire atteignent au moins 23 %, selon l'agence Chine nouvelle. MANQUE DE MAIN D'ŒUVRE "La politique du gouvernement reflète des changements au niveau du marché [de l'emploi]", a déclaré à l'AFP Stephen Green, économiste pour la Chine de laStandard Chartered Bank à Hongkong. "Le marché de l'emploi en Chine a connu un changement énorme dans les trois à cinq dernières années. Le manque de main d'œuvre est devenu monnaie courante", selon M. Green. A Shenzhen, où le salaire minimum est le plus élevé de tout le pays, le secteur manufacturier est régulièrement confronté à une pénurie de main d'œuvre après la période des fêtes du Nouvel An lunaire (qui tombe le 23 janvier cette année), car beaucoup d'ouvriers rentrés à cette occasion dans leur région d'origine ne reviennent pas. Zeng Xiangjin, gérant d'une société textile à Shenzhen, déclare perdre jusqu'à 30 % de son personnel après les fêtes, ajoutant qu'il doit augmenter les salaires pour retenir ceux qui reviennent. "Les ouvriers partent pour toutes sortes de raisons, dont de meilleurs salaires offerts dans d'autres villes. Cette année, je vais sûrement proposer des hausses de salaire de 10 %, voire plus", a expliqué M. Zeng. GRÈVES En novembre, la province méridionale du Guangdong, qui englobe Shenzhen, a connu plusieurs grèves contre des salaires trop bas ou des diminutions de revenus liés à la mauvaise conjoncture économique mondiale. L'inflation, qui a culminé à 6,5 % en rythme annuel en juillet avant de redescendre à 4,2 % en novembre, a également rogné le pouvoir d'achat des salariés. Mercredi, quelque 2 000 métallurgistes ont cessé le travail à Chengdu, la capitale du Sichuan, pour protester contre des salaires trop faibles, selon l'organisationChina Labor Watch, sise aux Etats-Unis.
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Ledéputé PS Didier Mathus, nouveau membre de la Hadopi, ne croit pas en laHadopi http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/01/07/le-depute-ps-didier-mathus-nouveau-membre-de-hadopi-ne-croit-pas-en-la-hadopi_1626991_651865.html La Hadopi, la haute autorité chargée de la lutte contre le téléchargement illégal, compte trois nouveaux membres, selon un décret publié samedi 7 janvier au Journal Officiel. Il s'agit de Christian Phéline, conseiller maître à la Cour des comptes, d'Anne-Elisabeth Credeville, conseiller à la Cour de cassation, et de Didier Mathus, député de Saône-et-Loire, ce dernier ayant la particularité de penserque la Hadopi "n'a pas d'avenir". M. Mathus, nommé par le président du Sénat Jean-Pierre Bel (PS) avait affirmé dans un entretien à Libération qu'il comptait "afficher une position symbolique" au sein de la Hadopi. M. Mathus est connu pour être un opposant déclaré à cette structure qu'il considère comme "un schéma archaïque, inadapté aux enjeux du numérique et de la culture". "CONTRE-PROGRAMMATION" "En me nommant, Jean-Pierre Bel fait de la contre-programmation, de la même manière qu'il a choisi Bernard Maris (économiste antilibéral) pour siéger au conseil général de la Banque de France", a notamment expliqué M. Mathus. La prochaine réunion du Collège de la Hadopi étant fixée au 17 janvier, le ministère de la culture devait valider, par décret simple, la nomination de trois nouveaux membres du Collège et le successeur de Jacques Bille à la Commission de protection des droits (CPD). A ce poste, la Cour des comptes a choisi Jean-Baptiste Carpentier, professeur des universités, ex-conseiller de François Fillon. LeMonde.fr
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Le 9 juin, l'adjointe au maire du 9e arrondissement a demandé à une jeune femme de relever sa "voilette" pour procéder à son mariage. Au fait juste comme ça ... Aucune photo de la mariée "voilettée" comme ça on pourrait se faire une opinion... parce que quand même à un mariage de nos jours, il n'y a pas un invité sans un appareil photo, un téléphone portable photo, un caméscope... Enfin je dis ça, je dis rien... Sinon l'affaire remonte au 9 juin 2011... et ça ressort debut janvier 2012... Zarbi... et comme dit le commentaire sous l'article... Ni Dieu, Ni Maître !
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SeaFrance, et voilà que le syndicalisme devient le bouc émissaire http://www.humanite.fr/social-eco/seafrance-et-voila-que-le-syndicalisme-devient-le-bouc-emissaire-487200 Le projet de coopérative ouvrière, défendu par la CFDT de SeaFrance et les responsables syndicaux qui le portent, est dans une posture délicate. Depuis l’intervention du président de la République dans ce dossier, les événements semblent précipiter l’entreprise vers la liquidation. Le piège était grossier, mais il est en train de se refermer sur les salariés. En leur proposant d’investir leurs indemnités de licenciement dans l’aventure, sans aucune garantie, puisque la coopérative ouvrière aurait du louer les bateaux « au prix du marché » pour faire fonctionner l’entreprise, Nicolas Sarkozy a posé sur la table un deal « perdant perdant » pour les marins. Comprenant la menace, les salariés, qui risquaient de perdre leur boulot et leurs indemnités, n’avaient d’autres choix que de refuser. Et de se retrouver sur la défensive. Restait alors à dégainer l’arme du discrédit. Le Figaro s’est est chargé, titrant son édition du vendredi 6 janvier : « La faillite de SeaFrance : un sabotage syndical ». Les marins deviennent des « pirates » dont « on ne souhaite pas la victoire ». Les syndicalistes développent des « méthodes qui relèvent de la voyoutocratie ». La situation économique de SeaFrance est difficile depuis 10 ans sans que le propriétaire de la compagnie maritime, la SNCF, ni le propriétaire de la SNCF, l’Etat, ne s’agitent pour son redressement. Quand ils se sont inquiétés de la situation, le feu brûlait déjà ! Maintenant que la compagnie touche le fond, ce sont les syndicats qui sont montrés du doigt ! La ficelle est grosse. Surtout quand certains s’empressent de déterrer de vielles histoires pour alimenter leur thèse. La CFDT, majoritaire sur le port, est accusée de se livrer à des pratiques d’intimidation. Elle est l’objet de plaintes pour agression sur d’autres syndicalistes (CGT notamment). Elle est aussi sous le coup d’une enquête judiciaire pour « abus de confiance », plainte déposée par la direction de l’entreprise de ferries il y a deux ans et « personne depuis n’a été entendu par la police », a répliqué hier Didier Capelle, un des responsables du syndicat, qui dénonce « une campagne de calomnie.» Le problème, c’est que d’un cas particulier, certains en arrivent vite aux généralités pour faire peser sur le syndicalisme les soupçons les plus sombres de pratiques mafieuses. Malheureusement, les épisodes en la matière se multiplient. Début décembre, à la suite du rapport Perruchot jamais publié, que n’a-t-on entendu sur « l’argent caché des syndicats », ces organisations qui vivraient aux crochets des contribuables etc. Sans compter les assauts réguliers contre les comités d’entreprises accusés de malversations ! Alors que le chômage explose et que des échéances électorales majeures se profilent à l’horizon, le futur candidat de l’UMP n’a pas envie de traîner le fardeau du crash des 880 emplois de la compagnie de ferries. Il faut détourner le débat, déplacer les responsabilités. Quoi de mieux pour cela que de trouver un bouc émissaire. -
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Mais bon restons positif... La coopérative est l'avenir de l'entreprise par Clémentine Autain, gérante de la société coopératice de production (SCOP) du mensuel "Regards" http://www.cheminots.net/forum/index.php?/topic/6999-actualite-politique/page__pid__417490__st__5125#entry417490 -
La coopérative est l'avenir de l'entreprise par Clémentine Autain, gérante de la société coopératice de production (SCOP) du mensuel "Regards" Là où la SNCF puis Louis Dreyfus Armateurs (LDA) ont renoncé, des salariés de Seafrance imaginent investir leurs indemnités de licenciement pour remettre à flot les navires qui relient la France à l'Angleterre. A l'imprimerie Hélio-Corbeil, dans l'Essonne, on s'apprête à sauver une centaine d'emplois par la reprise de l'activité en société coopérative ouvrière de production (SCOP). Les salariés de Fralib (Unilever), qui fabriquaient le thé Lipton, planchent sur une société coopérative d'intérêt collectif (SCIC), qui permet d'associer salariés, collectivités publiques et entreprises privées. La coopérative se rêve, se discute, se construit. L'idée de créer une société coopérative et participative apparaît de plus en plus comme une solution envisagée par les salariés d'entreprises menacées. Ce regain dit à la fois l'esprit de combativité qui résiste à l'air du temps, la soif de démocratie et l'envie de retrouver du sens à la production commune de richesses. Je comprends que, à Seafrance et ailleurs, certains hésitent. Ces temps de chômage massif et de précarité ne sont pas les plus favorables pour l'élaboration de projets à long terme, ambitieux, collectifs, avec la prise de risque qu'ils comportent. Contrairement aux idées reçues, le néolibéralisme n'est pas l'ami de l'initiative, ni individuelle ni collective. L'insécurité régnante conforte le repli et la peur ; elle mine la créativité et la mobilité. Je comprends aussi que l'on puisse se demander si les salariés ont à porter seuls un tel poids financier. Je ne juge pas, je n'ai pas de conseils à donner à ces hommes et femmes qui jouent leur emploi, leur argent, leur avenir. Chacun se demande certainement, au fond de lui-même, si cela en vaut la peine, si le pari peut être gagné. Ils doivent s'interroger : en sont-ils collectivement capables ? Pour investir six mois, un an ou deux de salaire, il faut avoir de solides arguments... Seuls les salariés sauront si le projet industriel et commercial vaut d'être porté. Comme gérante d'une SCOP, qui fait vivre le mensuel Regards, je veux dire ma conviction que la mobilisation exceptionnelle d'énergie positive toujours suscitée par le projet puis la création d'une SCOP peut, dans bien des cas, constituer une véritable solution. Un documentaire de Mariana Otero, Entre nos mains, sorti en juin 2010, en a porté témoignage : dans l'industrie textile, des femmes et quelques hommes se sont découvert le courage de porter un projet industriel pour sauver la production de sous-vêtements et leur emploi. Cette découverte d'une capacité à penserensemble une affaire économique, une entreprise est une révélation. En ces temps où la dignité des travailleurs est si souvent mise à mal, l'idéal de la coopérative - un individu, une voix - est une bouffée d'oxygène. La coopérative est une forme ancienne de société, mais elle trouve aujourd'hui toute sa modernité. Ce qu'elle met en jeu constitue, en ces temps de crise, une partie de la solution économique, industrielle et sociale. De plus en plus de salariés l'envisagent comme un recours quand leur entreprise est en difficulté ou quand se pose la question de la relève du patron historique - défi imminent pour des dizaines de milliers d'entreprises. Mais la SCOP n'est pas d'abord une solution pour faire face aux crises. Des fleurons dans le secteur des services aux entreprises (Chèque Déjeuner), dans le secteur industriel (Acome), dans celui de l'ingénierie ou du bâtiment fonctionnent en SCOP, parfois depuis des décennies. Qu'on se le dise : la coopérative est souvent performante économiquement et solide dans la durée. Parce que le capital est majoritairement entre les mains des salariés, les SCOP ne se délocalisent pas. Parce que l'entreprise appartient aux salariés, ceux-ci vivent une expérience inédite, d'un grand intérêt pour eux-mêmes, ce qui donne du coeur à l'ouvrage. Ce n'est pas un long fleuve tranquille, mais c'est autre chose que de se sentir un pion dans l'entreprise. Parce que chacun compte pour un et que l'avis de tous et toutes est entendu, la SCOP est une forme d'entreprise adaptée aux temps où l'imagination et le besoin d'entreprendre doivent être au plus haut. Quand il fautredéfinir les finalités d'une activité, construire les conditions de sa viabilité, on a absolument besoin de ce partage d'expérience et de responsabilité. La démocratie est le carburant des SCOP : c'est assez loin du fonctionnement traditionnel des entreprises "normales". Même si, au quotidien, ce partage de la décision n'est pas une sinécure, bute sur les inégalités de capital culturel, sur les rapports de domination en tous genres, c'est dans cette originalité que réside son intérêt, sa pertinence pour l'avenir. Il fautsavoir se défaire des a priori sur ceux qui savent et ceux qui ne savent pas. Quand il faut inventer, réajuster ou redéfinir le projet de l'entreprise, la mobilisation des salariés est un atout inestimable. Coopérateurs, ils y sont incités. Les SCOP se déploient dans le marché réel. Elles n'ont pas, à elles seules, les réponses à tous les dérèglements du néolibéralisme, de la financiarisation de l'économie, de la concurrence au mépris du bien commun. Mais elles doivent faire partie d'une politique qui cherche une alternative aux désordres actuels. Car dans les SCOP s'éprouve un autre partage des pouvoirs, des richesses et des savoirs. Nous sommes très nombreux à être très fiers et pleins d'espoir devant l'audace de tous ces salariés qui osent le projet coopératif. Ils méritent notre solidarité et le soutien de la puissance publique.
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Dom Le Trappeur a répondu à olympique41 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Partie de Monopoly ou de Poker menteurs ? SeaFrance : l'offre de reclassement de la SNCF jugée "incorrecte" http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/01/05/la-sncf-prete-a-reclasser-tous-les-salaries-de-seafrance_1625726_3224.html#ens_id=1593764 Après être restée silencieuse ces derniers mois, la SNCF, la maison mère de la compagnie de ferries SeaFrance, est officiellement entrée dans le débat, mercredi 4 janvier. Guillaume Pepy, le président de la SNCF, s'est dit prêt à reprendre au sein de la SNCF "l'ensemble des salariés" de SeaFrance en cas d'échec du projet de reprise des activités de la compagnie liquidée par une société coopérative et participative (SCOP), portée par la CFDT maritime Nord. Interrogé lors d'une rencontre avec la presse sur la possibilité d'une reprise des 880 salariés de SeaFrance, menacés de perdre leur emploi en cas de cessation d'activité, fixée par le tribunal de commerce de Paris au 28 janvier, M. Pepy a déclaré que tous pourraient retrouver un emploi à la SNCF "sans une journée de chômage". Cependant, "tous ne pourront pas être chef de gare à Calais…" Ils devront accepter de quitter la région et changer de métier. La société nationale, qui prépare une offre de bus longue distance, pourrait proposer à certains de devenirchauffeurs d'autocars. "C'est du grand n'importe quoi", s'insurge Eric Vercoutre, le secrétaire du comité d'entreprise de SeaFrance, et délégué syndical CFDT. "Lors du premier plan social, la SNCF avait promis le reclassement de 450 personnels de SeaFrance au sein de la SNCF. Trois cent vingt-cinq sont aujourd'hui aux Prud'hommes", ajoute-t-il. L'offre est jugée d'autant plus "incorrecte" pour le syndicat majoritaire de SeaFrance que "les 880 salariés ne veulent pas aller conduire des bus à l'autre bout du territoire, reprend M. Vercoutre. Nous voulons avant tout conserver des emplois à Calais." Et c'est là tout le problème. Car, mercredi après-midi, les artisans du projet de coopérative pour SeaFrance ont officiellement répondu, par lettre ouverte interposée, à la proposition que Nicolas Sarkozy leur a faite, lundi 2 janvier (Le Monde du 4 janvier). Dans cette missive, ces promoteurs de la SCOP estiment inapplicable la "solution esquissée" par le président de la République, à savoir le financement de la SCOP grâce au versement d'indemnités de licenciement majorées de 20 % aux personnels de SeaFrance par la SNCF. En parallèle, la compagnie ferroviaire rachèterait les bateaux et les louerait, au prix du marché, à la SCOP. INSÉCURITÉ JURIDIQUE Ce montage, détaille cette lettre ouverte, "ne peut être envisagé en raison de l'insécurité juridique qu'il engendre, de l'incertitude pour la SNCF de récupérer les navires, de la perte du fonds de commerce, du nom commercial, des systèmes de réservation fret et passager, et donc de l'accès à la clientèle ainsi que les logiciels nécessaires au fonctionnement de la société." Pour David Azema, dirigeant de la SNCF et président du conseil de surveillance de SeaFrance, cette solution est en revanche possible, puisque "la SNCF, l'actionnaire de référence a donné son accord pour le rachat des bateaux". Les artisans de la SCOP promeuvent aujourd'hui un scénario alternatif. "Nous voulons que le tribunal de commerce de Paris décide, le 9 janvier, de céder à la SCOP pour 1 euro la société SeaFrance, avec ses trois navires, explique M.Vercoutre. La SCOP revendrait un des navires à une société d'économie mixte, financée par les collectivités publiques, qui nous soutiennent déjà à hauteur de 20 à 25millions d'euros. La somme ainsi récupérée permettrait d'avoir le fond de roulement nécessaire pour relancer la compagnie la première année." Et en cas d'échec des activités de la SCOP, les deux derniers navires seraient cédés pourpayer l'éventuel plan social des salariés. Ce nouveau plan n'est applicable que si la SCOP convainc, grâce à un plan d'affaire solide à déposer vendredi à 18 heures, de la viabilité d'une telle reprise. Si le tribunal acte la liquidation de la société, il vendra les actifs au plus offrant. En novembre, DFDS et Louis-Dreyfus armateurs avaient proposé la reprise de la société, dont les navires, pour 5 millions d'euros. "Ce serait la pire solution, juge M.Vercoutre. Ce serait la fin du pavillon français sur le détroit." Jeudi matin, avant une dernière réunion au ministère du transport, le gouvernement restait sur sa position : seule la proposition de M.Sarkozy est valable. Le ministre des transports, Thierry Mariani, devait recevoir, à partir de 10 heures, les représentants du projet de SCOP et ceux de la SNCF. Philippe Jacqué -
Effectivement... La modernisation des 83 km de voie ferrée est supportée par les collectivités : Bretagne (25,55 millions), 42,58% conseil général du Finistère (21,76), 36,27% Brest métropole océane (2,56), 4,27% Quimper communauté (1,28). 2,13% L'État apporte 3,65 millions 6,08% et Réseau ferré de France 5,2 millions. 8,67%
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Elle est bien une "militante politique" avec des idées ancrées bien à droite côté droite extrème... et le fait d'être Ministre n'y change rien... Alors pour elle plus c'est gros et gras... plus ça tâche ! Tout sur cette Dame... http://fr.wikipedia.org/wiki/Nadine_Morano
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Sortie de piste d'un avion et... pas d'excuses !
Dom Le Trappeur a répondu à assouan situé dans Brin de causette
De plus il semble que le Commandant de bord et l'Equipage ont tenu les passagers régulièrement informés des évènements et se sont excusés à bord à plusieurs reprises des conséquences de l'évènement... Il y a plusieurs sons de cloches de la part de différents passagers... Marrant, je n'ai pas trouvé de photos pour l'instant de cet évènement... Zarbi quand même... -
Le problème de la ligne n'est pas tant un problème de durée de temps de trajet qu'un problème de capacité : voie unique avec Quimper d'un côté et landerneau de l'autre, une seule gare intermédiaire de croisement : Châteaulin ce qui nbe correspond pas aux besoins de circulation à certaines périodes de la journée. Autre problème : l'état de la voie et la nécessité de procéder à une modernisation importante. Ce qui m'interroge c'set de créer 10 km de double voie à hauteur de Hanvec (disons à mi distance entre Landerneau et Châteaulin sans créer de voie de croisement entre Quimper et Chateaulin.... Mais bon peut être est-ce suffisant pour développer au moins dans un premier temps la capacité de la ligne en nombre de circulations ferroviaires.
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Les Cheminots : Effectifs de la SNCF
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Sauf que 25.000 euros çà ne correspond pas à 25.000 francs... comparaison immédiate style ...vieux réflèxe... j'ai jamais gagné 25.000 francs / mensuel... mais réflêxe que font beaucoup dans leur tête et leur logique 25.000 euros = environ 164.000 francs... (et on parle en brut bien entendu enlever les cotisations sociales part ouvrière pour avoir le net mais aussi y ajouter les cotisations sociales part entreprise pour avoir le total masse salariale sans parler de quelques autres taxes, impôts et cotisations...) -
Brest-Quimper. Un chantier de 60 M€ pour améliorer la ligne ferroviaire Le Télégramme - 5 janvier 2012 à 18h49 La portion de ligne ferroviaire entre Landerneau et Quimper va faire l'objet d'un important chantier en 2014. Objectif : améliorer la desserte entre Brest-Quimper, avec des durées de trajet réduites et plus de liaisons. Ce jeudi au conseil général du Finistère, à Quimper, a été dévoilé le projet d'amélioration de la ligne ferroviaire Brest-Quimper. Un gros chantier qui va mobiliser 60 millions de fonds publics, apportés essentiellement par la Région (25 millions) et le conseil général (21,5), les autres financeurs étant l'Etat, Réseau ferré de France (RFF) ainsi que Brest-Métropole et Quimper-Communauté. Travaux en 2014 L'enquête publique sera prochainement lancée pour une réalisation des travaux en 2014. Le chantier, qui concernera uniquement la portion Landerneau-Quimper, portera sur différentes adaptations de la ligne, notamment l'aménagement de dix kilomètres de double-voie à hauteur de Hanvec. Le nombre de dessertes sera doublé Actuellement, Landerneau-Quimper est un tracé à voie unique, empêchant le croisement de trains et limitant donc les possibilités de dessertes. Elles seront doublées en 2014, passant de six actuellement à douze, dont six directs Brest-Quimper, les six autres assurant des arrêts à Chateaulin, Pont-de-Buis, Dirinon et Landerneau. Directs : gain de 8 minutes Le temps de trajet passera de 1h07 actuellement à 59 minutes pour des directs entre Brest et Quimper. Les travaux qui seront réalisés en 2014 mobiliseront jusqu'à 300 personnes mais ils nécessiteront une interruption totale du trafic pendant six mois. http://www.letelegra...012-1556032.php
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Quand les déplacements de Nicolas Sarkozy ne font pas recette http://www.humanite.fr/politique/quand-les-deplacements-de-nicolas-sarkozy-ne-font-pas-recette-487103 Vous n'avez rien vu? C'est normal. Tout a été fait pour qu'on ne voit pas les à-côtés pas très reluisants du déplacement de Nicolas Sarkozy à Metz. Le premier janvier dernier, le président inaugurait sa longue série de vœux par un hommage aux fonctionnaires. S'il y avait 600 "officiels" dans la salle du conseil général de la Moselle pour écouter le discours du futur candidat, il n'y avait pas grand monde dans les rues pour saluer un cortège présidentiel hué par quelques "casse toi pauvre con". Un témoin nous raconte. " Peu avant son passage, c'est-à-dire trois-quarts d'heures avant, ne voyant quasiment personne dans les rues, tous les habitants de notre rue et ceux des rues sur le parcours de Sarkozy ont eu le droit à la visite de ce que je pense être son service de communication." "le président serait honoré de voir les français mobilisé autour de lui..." "Une dame et deux hommes en costumes sombres m' ont ainsi demandé d'avoir la gentillesse de descendre dans la rue pour le passage de" Monsieur le Président de la République et pourquoi pas peut être votre prochain président", sur un air très jovial, car cela n'arrivait pas souvent de pouvoir assister a un défilé officiel et que ce n'est pas grand-chose de descendre de l'immeuble." "Ils ont fortement insisté sur le fait que monsieur le président serait honoré de voir les français mobilisé autour de lui..." Bilan de l'opération: à peine une centaine de personnes pour saluer le passage de notre bon président qui a mobilisé 500 policiers et CRS. "Et le peu de monde qu'il y avait l'a hué, avec des "casse toi pauvre con", relate notre témoin.
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Le RCF doit effectivement avoir au moins 36h entre la fin de service de la journée précédente et la prise de service de la journée suivante...pour les sédentaires du titre II De mémoire il me semble que cette particularité est apparue noire sur blanc dans la réglementation du travail en 2000 (application des 35h à la sncf et modif du P4S)) Il est fort possible que pour le Titre I ce puisse être différent... Vite un spécialiste ...
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Les Cheminots : Effectifs de la SNCF
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
La courbe est la même, direction le bas du tableau... Le problème vient surtout de Pépy qui tente régulièrement de camoufler cette direction en utilisant les données du groupe SNCF (SNCF et FILIALES) et non de la seule SNCF (l'EPIC) sinon il est vrai que la Direction modifie régulièrement le contenu des données officielles ce qui rend difficile les comparaisons avec les années précédentes... mais ça ne change rien sur le fond de la stratégie mise en place : "limiter l'évolution de la masse salariale" et si possible la réduire en % dans les comptes de dépenses... (vous pouvez reprendre les comptes de la SNCF sur plusieurs années, malgré des réductions d'effectifs, la masse salariale continue d'augmenter..." -
Sea France / My Ferry Link
Dom Le Trappeur a répondu à olympique41 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
SeaFrance. La SNCF prête à reclasser le personnel http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/seafrance-la-sncf-prete-a-reclasser-le-personnel-05-01-2012-1555874.php#go_reagissez C'est le président de la SNCF Guillaume Pepy qui l'affirme : les 880 salariés de SeaFrance, menacés de perdre leur emploi en cas de cessation d'activité pourraient retrouver un emploi à la SNCF "sans une journée de chômage". Ce matin à 10H, le ministre des Transports Thierry Mariani recevra les représentants du projet de coopérative ouvrière (Scop) et ceux de la SNCF. Le patron de la compagnie ferroviaire, maison-mère de SeaFrance, a toutefois précisé que, dans un tel cas de figure, seul "un petit nombre" de salariés pourraient retrouver un emploi "sur place". Il a également souligné que les emplois proposés ne seraient "pas dans les mêmes métiers", évoquant notamment la possibilité pour les salariés de SeaFrance de devenir chauffeurs d'autocars, alors que la SNCF entend développer prochainement une offre dans le transport longues distances par autocar. Hier, les porteurs de Scop de SeaFrance estimant les propositions du chef de l'Etat "irréalisables" ont rejeté l'offre de reprise. Ce matin, le ministre des Transports Thierry Mariani recevra donc au ministère les représentants du projet de coopérative ouvrière (Scop) pour SeaFrance et ceux de la SNCF pour une réunion de travail après le rejet par les salariés des propositions du gouvernement. Autre échéance en vue : le dossier de la Scop, pour laquelle il manque 50 millions d'euros, doit être rendu vendredi soir, avant une audience lundi devant le tribunal de commerce de Paris.