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Le Web des Cheminots

jaimelerail

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Tout ce qui a été posté par jaimelerail

  1. Rivalisent-elles avec les Class66?
  2. Quel lignes ont-elles fréquentées? Ont-elles été régulièrement utilisées sous les 4 courants?
  3. Gamma gt ? J'ai aussi eu ce problème. Le médecin du travail a alors prescrit d'autres examens sanguins: résultats? j'étais trop "gourmand" en sucrerie!!!!!! Ca m'a rendu service........................
  4. Sauf que j'assurai en roulement l'astreinte-conduite "voies principales", attachée aux postes que j'ai tenus jusqu'à ma retraite, doublée de la compétence "conducteur occasionnel" qu'il m'a fallu maintenir............
  5. DJ lynché au Blanc-Mesnil : le suspect principal a "estimé qu'il s'agissait de son territoire" Par Lepost - Il y a 6 heures 17 min Publié le lundi 10 janvier, 13h01 Claudy est-il mort pour une histoire de territoire ? Probablement, si l'on en croit les explications du principal suspect et les déclarations de la procureure de Bobigny Sylvie Moisson. Mercredi soir, Claudy, 33 ans, employé à la SNCF, décédait des suites de la terrible agression dont il a été victime le 1er janvier dernier à l'aube, au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) à la fin d'une soirée de la Saint-Sylvestre pour laquelle il faisait le DJ. A l'origine de l'agression : le fait que le jeune père de famille ait prêté main forte au vigile pour refuser l'accès à cette soirée pourtant privée à un jeune homme du quartier. Peu de temps après, cet individu revenait accompagné de plusieurs individus, avec la ferme volonté d'en découdre. Entre jeudi soir et vendredi matin, six personnes ont été interpellées, toutes au Blanc-Mesnil. Parmi ces personnes dont les âges varient de 19 à 37 ans : une femme, mais pas le suspect principal, qui s'est finalement lui-même rendu à la police samedi. Cet habitant de la cité 212, âgé de 21 ans, a reconnu être celui qui a, dans un premier temps, voulu se rendre à cette soirée, avant de revenir. Il était aussi soupçonné d'être au volant de la voiture à bord de laquelle les suspects ont pris la fuite. Mis en examen pour "meurtre", il aurait expliqué lors de son audition que cette cité du Blanc-Mesnil faisait partie de son territoire, et que toute personne s'y trouvant se devait de respecter la loi que lui-même imposait. "Il a estimé qu'il s'agissait de son territoire, et il n'a pas supporté d'en être éconduit. Il en conçoit manifestement un fort ressentiment et il a reconnu être celui qui est revenu à la tête de cette expédition punitive, et qui a frappé" a notamment expliqué sur France-Info la procureure de Bobigny Sylvie Moisson. "Dès le début de l'enquête, des éléments permettaient de mettre en évidence la revendication de territoire des suspects" nous indique aussi une source proche de l'enquête. Une volonté de tuer ? Pour la procureure de Bobigny, cela ne fait pas de doute. Toujours selon ses déclarations accordées à France-Info, il lui apparaît évident "du fait de la localisation des coups portés à (la victime), (et) de la violence extrême de ces coups portés dans une zone vitale, (...) que les auteurs étaient nécessairement animés d'une volonté homicide lorsqu'ils ont frappé." Si le parquet avait requis les mises en examen de deux jeunes hommes, le suspect principal et un autre individu âgé de 25 ans, seul le suspect principal a été mis en examen pour meurtre. Faute d'éléments suffisants, l'autre jeune homme, quant à lui, a été placé sous le statut de témoin assisté. Et, toujours selon France-Info, il a déjà été inculpé dans une rixe mortelle remontant à 2009. Selon nos informations, le suspect principal est lui aussi connu des services de police et de justice. Les autres personnes interpellées ont été remises en liberté.
  6. C'est pas très glorieux, en effet!! Heureusement que les cheminots lyonnais ont su faire la part des choses: le trafic n'a que très peu souffert. Mais je ne crois pas que ce genre de "coup d'éclat" construisent le dialogue..................
  7. "Trafic TER perturbé pour grève local" dit le site "TER Rhône-Alpes". Quel est le motif? Joyeux Noël à toutes et tous..........
  8. Je te conseille d'aller consulter un ophtalmo. J'ai eu ce genre de "défaut" détecté par la médecine du travail en 1993. J'ai subi un traitement au laser avec succès. Je devais (et doit encore) voir un ophtalmo tous les 6 mois pour contrôle, avec un traitement par collyre et des examens parfois poussés tous les 2 ans. Je n'ai pas été inquiété pour mes aptitudes "sécurité" jusqu'à ma mise à la retraite en 2006. Reprends courage!!
  9. Lu dans la presse.... Euro Cargo Rail : Des "patrons voyoux" arnaquent des jeunes à la recherche d'un emploi De nouveau, la direction d'Euro Cargo Rail (filiale de DB Schenker), dont le Directeur Général actuel n'est autre qu'un ancien dirigeant de la SNCF, vient d'innover en matière de recrutement et de formation, notamment pour les fonctions de « Conducteurs de trains, Agent formation, Reconnaisseur, Chef de Manoeuvre, Agent de desserte ». Il est vrai que depuis son arrivée sur le réseau ferré national, cette entreprise ferroviaire privée n'a de cesse de bafouer les conditions sociales et de sécurité ferroviaire, vitales à ce secteur d'activité. Aujourd'hui, la direction d'Euro Cargo Rail, propose via une agence de placement de main d'oeuvre, la société EURORAILjob qui est à la fois basée à Paris et à Bruxelles, une formation de conducteur de train non rémunérée. La convention d'accueil soumis au stagiaire, prévoit que pendant les 2 premiers mois, il sera considéré comme auditeur libre non rémunéré. La direction n'hésite pas à leur faire miroiter que pour les 7 mois restants, il aura la possibilité de bénéficier d'un contrat de professionnalisation rémunéré selon un barème en fonction de l'âge et du niveau d'études. La deuxième étape consiste à informer le stagiaire que le contrat de professionnalisation n'est plus réalisable. Toutefois, la direction magnanime lui offre en lieu et place de porter la période d'auditeur libre de 2 à 3 mois et pour les 6 mois restants, elle lui propose l'hypothétique contractualisation d'un CDD rémunéré 750 €/mois, congés payés et primes incluses, pour 35 heures de travail hebdomadaire. Le comble est que ladite convention d'accueil mentionne que l'auditeur libre doit se loger et se nourrir à ses frais et qui plus est, déclarer qu'il est bénéficiaire d'une assurance responsabilité civile et avoir une couverture sociale maladie ; rien que ça ! Au final, la direction enjoint le stagiaire à signer la convention pour les 9 mois de formation, comme auditeur libre sans aucune rémunération, sinon il est « viré » sur le champ ! Adieu formation, retour à Pole Emploi ! Comme elle en a pris la mauvaise habitude, la direction d'Euro Cargo Rail, ne s'encombre pas des règles élémentaires du droit français. En effet, dans sa lettre de promesse d'embauche, ECR stipule qu'en cas de réussite à la formation auprès de l'entreprise EURORAILjob et sous réserve de remplir les conditions d'aptitudes requises, le candidat se verrai proposer un CDI, mais omet de mentionner la date d'embauche, ce qui est illégal ! Par contre, en cas d'échec, c'est la clause de dédit formation qui lui sera appliqué. Le stagiaire devra rembourser la modique somme de 15 000 €. La Fédération CGT des Cheminots condamne cette situation intolérable. Elle invite la direction d'Euro Cargo Rail à respecter le droit et la dignité des cheminotes et cheminots de son entreprise. Si tel n'était pas le cas, la Fédération CGT des Cheminots, avec les cheminots d'Euro Cargo Rail, engageraient alors l'action nécessaire pour que cessent l'injustice et le mépris affichés par la direction.
  10. Lu dans la presse. Guillaume Pepy : « la transformation sociale de l'entreprise, clef du développement de la SNCF » (Cercle Miromesnil) « L'une des principales clefs du développement de la SNCF, c'est sa transformation sociale ». Guillaume Pepy, président de la SNCF, a détaillé devant une centaine de DRH invités du Cercle Miromesnil (ANDRH), le 23 novembre 2010, les « chantiers sociaux », qui « avancent à des rythmes inégaux », à commencer par celui de la « modernisation », d'une entreprise soumise à une série de « chocs ». Passer d'un « monopole et symbole d'entreprise publique à la française » à une « entreprise française, d'ambition mondiale dans les métiers de la mobilité » soumise à la concurrence représente, en effet, une forte rupture culturelle pour les 155 000 cheminots du groupe SNCF (sur un effectif total de 235 000 salariés). CHOCS. Premier choc : celui de la concurrence. D'ici 2014-2018, l'essentiel des activités de l'opérateur seront soumises à la concurrence. Deuxième choc : « les métiers de la SNCF changent ». Sur un chiffre d'affaires de 30 milliards d'euros (+40 % depuis 2000), la moitié des activités du groupe seulement viennent du transport ferroviaire, l'autre moitié venant de la logistique, des transports publics de voyageurs (la SNCF gère les transports urbains de Melbourne, comme ceux de Lyon, Bordeaux ou Lille) ou de l'intégration de systèmes de mobilité. IBM est ainsi le premier client mondial de la SNCF (pour la logistique de ses services). Le troisième choc est plus qualitatif : face à des changements perçus comme trop nombreux et rapides, certains cheminots ne se reconnaissent plus toujours facilement dans la nouvelle SNCF. > > BRANCHE. Dans ce contexte stratégique, quatre chantiers sociaux ont été ouverts. Le premier est celui de « l'adaptation de l'entreprise et de son 'cadre social' à son environnement ». Les règles en matière de droit syndical ont été alignées sur le droit commun, idem pour la santé au travail et, même le régime spécial des retraites a été réformé en 2007, se rapprochant sur de très nombreux points du régime général de la Fonction Publique. L'enjeu aujourd'hui c'est la réglementation du travail. L'objectif du président de la SNCF est la renégociation de « cet édifice » au moment où se développe un système de droit commun dans le secteur ferroviaire privé. Il faut « trouver un socle social commun négocié au niveau de la branche » à caler en regard du modèle de la branche des industries électriques et gazières où le statut national du personnel des IEG a été généralisé à toutes les entreprises entrant sur le marché. Mais, il va de soi que les opérateurs privés du transport ferroviaire ne souhaitent pas cet alignement par le haut sur l'opérateur historique, tandis que celui-ci ne saurait accepter une concurrence inéquitable. Au passage, Guillaume Pepy cite l'exemple de l'Allemagne où les syndicats refusent de signer un accord salarial à la Deutsche Bahn, opérateur historique, s'il ne s'applique pas aussi aux entreprises privées concurrentes. > > RELATIONS SOCIALES. Deuxième chantier : « faire bouger les relations sociales ». Dans cette entreprise, réputée pour sa conflictualité, les choses changent depuis deux ans. Désormais, explique le président de la SNCF, le principe est : « tout est possible par la négociation, rien ne le sera par la grève ». Il faut démontrer que la négociation paye plus que la grève. Ainsi, en avril 2010, il y a eu 14 jours de grève mais aucune négociation n'a été ouverte ni pendant, ni après la grève. Ce qui pouvait être négocié, l'avait été avant la grève. C'est un véritable choc pour les syndicats, en particulier la CGT (40 % des voix aux élections professionnelles), plus encline à gérer par le « rapport de force » les relations sociales en entreprise. Qui plus est, « il n'y a plus de mesures de consolation des grèves ». Désormais, « c'est zéro étalement des retenues et zéro transformation des journées de grève en JRTT ou congés ». > > « SERVICE MINIMUM ». Un autre élément qui joue favorablement pour diminuer la conflictualité au sein de la SNCF est l'impact positif de la loi sur le service garanti (« service minimum »), à la surprise de ceux qui pensaient qu'elle ne serait pas efficace dans les mouvements très suivis. Deux mesures prévues par la loi permettent, en effet, à l'employeur de prévoir ses plans de transport et de réallouer efficacement les ressources en cas de préavis de grève : la déclaration individuelle 48 heures à l'avance ; la réaffectation des salariés qui ne se sont pas déclarés en grève. Si bien que, pour Guillaume Pepy, « la loi sur le service minimum en France est ce qu'on fait de mieux : il n'y a pas de réquisitions mais le service garanti est toujours assuré à des niveaux convenus avec les autorités organisatrices ». Cette loi a cependant un « effet pervers », signale le président de la SNCF : l'alarme sociale, qui est en principe un outil permettant d'éviter les conflits, « mais qui est parfois utilisée en rafale par les syndicats » : le DRH de la SNCF, François Nogué, dénombre ainsi pas moins de « 2 500 alarmes sociales par an ». > > SYNDICATS. Quant au système syndical à la SNCF, il est également en profonde mutation. Depuis toujours, il se caractérisait par l'existence d'un syndicat majoritaire, en l'occurrence la CGT, qui permettait une « régulation » pragmatique entre ce qui pouvait être négocié et ce qui était conflictuel. La CGT n'exerce plus ce rôle et « semble se déporter vers un binôme de contestation » avec SUD (18 % des voix) face au deux autres organisations que sont la CFDT et l'UNSA. > > TRANSFORMATION MANAGÉRIALE. Troisième chantier : la « transformation managériale ». Guillaume Pepy veut transformer le modèle quasi militaire de la SNCF, entreprise hyper centralisée, hiérarchique où le contrôle et la technique dominent. Il entend renforcer le rôle des managers et les responsabiliser, dans tous les domaines : social, production, économique. « Les chefs d'établissements doivent devenir de vrais dirigeants à part entière ». Mais, la prise en charge du social et des enjeux de management par les branches et les activités se fait de façon encore trop lente, et la décentralisation des responsabilités vers le terrain se heurte à de vives résistances. > > REPÈRES. Reste, et c'est le quatrième chantier, qu'il faut réaffirmer des valeurs qui ne changent pas et permettent de servir de repères. C'est « le triangle de référence : le métier, le territoire, l'activité ». Guillaume Pepy met ainsi l'accent sur « l'ancrage territorial profond de la SNCF ». Et il faut éviter la déperdition du savoir-faire et des compétences métiers. Quant à l'attachement fort de son personnel à la SNCF, que montrent les baromètres sociaux, si cela peut être une faiblesse (on est attaché à l'entreprise d'aujourd'hui mais aussi et parfois surtout à celle d'hier) c'est aussi une force et un élément de stabilité irremplaçable. > > UNE « ENTREPRISE À PART ENTIÈRE ». Au total, la SNCF est « une entreprise à part entière ». Ce n'est plus « le modèle de l'entreprise publique à la française », mais un groupe multimodal ouvert sur l'Europe et le monde. Interrogé sur le sujet de la privatisation, Guillaume Pepy tout en soulignant qu'une telle orientation était du seul ressort de l'État, a fait remarquer que la Grande-Bretagne est en la matière un cas à part en Europe, la quasi-totalité des compagnies ferroviaires européennes étant restées publiques. « Dans une entreprise comme la nôtre », a-t-il insisté, « le marqueur, c'est le moyen terme », et c'est le refus du « court-termisme » qui fait la différence.
  11. http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Avesnes_sur_Helpe/actualite/Secteur_Avesnes_sur_Helpe/2010/12/11/article_lache-par-la-sncf-akers-berlaimont-est-s.shtml Edifiant!!
  12. Ma fille était sur une plateforme 3635 jusqu'en 12/2009: elle touchait bien ses 2 primes pour sa maitrise de l'anglais et allemand.
  13. Il n'y a plus de resa gratuites avec les coupons des ayants droits et notre carte carmillon?
  14. Suis ce bon conseil! Les prestations de l'agence famille sont, de toute façon, plus intéressantes que celles de la CAF!
  15. Le site TER Rhône-Alpes liste un programme réduit sur les environs de Chambéry de St Etienne et Clermont Ferrand. Qu'en est-il?
  16. Chaufferie + circuit ECS refait à neuf en 2005. Plusieurs semaines de travaux, pour un budget de...............900000€! Une paille!!
  17. Je viens de lire que les routiers seront autorisés à rouler librement ce WE!!!!!!!
  18. Reuters - Publié le jeudi 14 octobre, 10h13 PARIS - La Fédération nationale des transporteurs routiers (FNTR) a demandé au ministère de l'Industrie le déblocage prioritaires des stocks de carburant pour faire face à des difficultés d'approvisionnement.
  19. Et moi, au nord de Lyon, plus de courrier de puis mardi, collège et mairie fermé, et coupure de courant de 4h00 fin de nuit dernière..................
  20. Semblerait que les cheminots de Rhône Alpes n'aient pas repris le travail. La région est toujours en programme fortement "allégé"!!!
  21. jaimelerail

    Et toc!

    Lettre ouverte régionale à G Pépy du 10 09 10.pdf
  22. Les routiers sont-ils "mobilisables" sur ce mouvement du 23/09 et éventuellement au delà?
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