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Quatre heures, ça fait quand même beaucoup... pour les voyageurs, mais aussi pour le personnel du train! Comment peut-on arriver à un tel délai? Celà dit, bon courage à tous dans cet hiver un peu rude!

Bonjour, J'ai un avis un peu différent: il s'agit d'un service qui peut justifier son prix pour beaucoup. A titre d'exemple, j'aurais aimé un tel service dans l'Eurostar (mais peut-être est-ce que ça existe et que je n'ai pas fait attention!) pour éviter (du temps de Waterloo) des queues de plus de 10 mètres à chaque distributeur (et vingt mètres aux guichets) de London Underground Limited! Ceci étant, maintenant j'évite la queue à l'arrivée à Londres: j'ai une carte Oyster (la Navigo avec la fonction "pay as you go") toujours suffisamment chargée pour au moins le premier trajet.

Et tout ça, ça avait été lancé par l'ancienne directrice Grandes Lignes ?

Il n'y a pas de concurrence en ce qui concerne les joints isolants, ça relève de RFF, qui n'est pas dans le domaine concurrentiel. La seule concurrence existerait éventuellement entre les coûts de SNCF INFRA et ceux d'autres entreprises qui pourraient être mandatées pour installer les mêmes joints. Mais la conception du joint est ouverte!

En gros, pour les traductions, P c'est Paris-est (moins le RER), et h, c'est Paris-chnord (moins les RER, of course).

(...) la poursuite et le développement du trafic de wagons isolés en Suisse et à l'étranger, (...) Projet ambitieux, mais il est vrai que nos voisins suisses ont une politique anti-camions-sur-les-routes (et anti camion en général!) énergique. C'est d'ailleurs vital pour eux, sinon, ils étoufferaient vu leur situation géographique.

Clairement, les opérateurs (de téléphone) ont déployé le réseau pour la majorité de leur clients, pas forcément pour les cheminots !!

Superbes photos...

Si on ne peut pas prendre de bonnes résolutions en début d'année !!!

Entièrement d'accord avec toi, 030T. Je suis (j'étais) usager régulier de Paris-Uzerche, et les incidents de tous ordres (se soldant en général à l'arrivée par un retard de 25mn, rarement plus, on se demande pourquoi) ne sont pas rare sur cette ligne Téoz. Le problème de l'information en temps de crise n'est pas nouveau à la SNCF. Il y a d'abord un décalage important de métier, donc de logique entre ladite Société Nationale et... la société nationale (c'est à dire le reste du pays hors SNCF (mais oui, ça existe): les voyageurs enfin, je veux dire les usagers. A l'origine du problème, dans un grand nombre de cas: un train en détresse. Le mécanicien et l'ASCT s'en aperçoivent rapidement, le régulateur aussi. Reste ensuite à tenter de réparer, à estimer la durée de cette réparation si elle est possible. Et là le mécanicien ne fait plus de com, et c'est normal, il cherche à faire repartir son train. Tant qu'il n'a pas trouvé la panne, on ne sait rien, on ne peut (veut) pas envoyer (ni préparer) une machine de secours, et ne connaisant pas la durée de ladite immobilisation, on ne peut pas commencer à rebâtir des correspondances à l'arrivée. C'est toujours très logique, mais vu de l'extérieur (pas du train, mais de la SNCF), la question que tout le monde se pose est : 1. Quand va-t-on repartir (question d'ailleurs moins essentielle que la suivante)? 2. A quelle heure va-t-on arriver (avec variante catastrophiste: le train va-t-il continuer)? 3. Comment vais-je faire après? Questions qui font qu'en principe si dans une telle situation, l'ASCT commence à parcourir le train, il est littéralement submergé avant d'avoir traversé la première voiture, malgré un professionalismeque personne ici ne conteste! Si d'une manière générale, la politique de l'entreprise de transport était toujours de faire en sorte qu'aucun de ses passagers ne soit en aucune façon pénalisé du fait de cet incident, quelle qu'en soit la cause, interne ou externe, l'inquiétude des voyageurs serait moindre. Mais celà supposerait qu'à chaque incident, quelles qu'en soient la durée et la cause, le transporteur s'assure que le transport final du passager reste possible, même hors de son réseau, et s'en charge s'il n'est plus possible dans le cadre initialement prévu. Celà supposerait aussi que l'information transite correctement: information des gares de destination (directes et en correspondance), autorisation pour les voyageurs bloqués d'utiliser le GSM-R (s'il est déployé localement, bien évidemment) pour passer un (voire deux) brefs coup de fil d'alerte... En dernier lieu, à la cellule communication, faut-il mettre des communicants connaissant un peu le monde du chemin de fer ou des cheminots connaissant un peu la com, ou des représentants d'usagers ??? Ceci étant, j'ai en tête un exemple qui n'a pas 40 ans (!), où la SNCF ( Ce n'étaient déjà plus les compagnies privées, le PLM et le Nord en l'occurence!) a fait à peu près tout ceci: hiver 70/71, fortes chutes de neige, accompagnées d'uen température qui empêchait celle-ci de fondre. Retards en pagaille sur tout le réseau Sud-Est. Un train remonte de Saint-Gervais, avec à son bord des enfants d'une colonie de vacances de Compiègne. Plusieurs heures de retard à l'arrivée à Paris-Lyon. Correspondance loupée à Paris-Nord. La SNCF, qui avait déjà mis la colonie dans un car entre les gares de Lyon et du Nord, a pu prolonger un omnibus Creil (le dernier) jusqu'à Compiègne, où les gamins ont fini par arriver à 2h et quelques du matin. Le conducteur de la Z.6100 (ou quelque chose comme ça) connaisssait la ligne et a dit oui sans hésitation. Sauf qu'il a, je crois, dormi à Compiègne pour cause d'aiguilles gelées. Est-ce que ça se ferait encore aujourd'hui?

Joli matériel...

Bonjour, je suppose que les manuels techniques précisent également que les perches de mise à la terre des caténaires (je ne connais pas l'appellation réglementaire) se connectent côté rail en premier...

Il y a pas mal d'années, la Légion d'Honneur a été attribuée à Brigitte Bardot, bien avant son engagement en faveur des bébés phoques. Seul son rayonnement d'artiste de cinéma avait été pris en compte à l'époque. Un de mes grand-pères avait alors cessé de porter sa Légion d'Honneur. Il ne comprenait pas qu'on puisse mettre sur le même plan son comportement pendant la Grande guerre et le fait de "montrer le bas de son dos" (la phrase était de lui!). Pourtant, un Général chef de l'Etat avait eu la bonne idée de créer l'Ordre du Mérite, mais de nos jours, la bleue ne doit pas être assez flashy...

Nos journalistes sont toujours aussi imprécis... à moins qu'il s'agisse d'un projet de prolongement de la ligne 4 (du métro) de porte de Clignancourt jusqu'au parc d'Astérix!

Et comme toujours, des voyageurs pestent contre le manque d'information: "Parmi eux, le vice-président du conseil régional Joël Giraud qui fulminait hier soir contre le manque d'information au sein de la SNCF. « J'arrivais à Valence en provenance de Bruxelles avec ma mère en fauteuil roulant. Personne ne pouvait nous donner d'information. Et notre directeur des services de la Région a appelé le directeur régional de la SNCF qui n'était pas au courant de l'incident ! »"

Les réseaux GSM publics fonctionnent -à peu près-dans les gares souterraines du RER. Mais (et c'est un souvenir professionnel), les opérateurs ont eu le plus grand mal à s'entendre avec -à l'époque- la Direction du Développement des Gares, alors que sur les lignes de RER exploitées par l'autre opérateur, on sentait chez celui-ci une réelle volonté d'avancer...

C'est vrai que le KVB sur vélo-rail, c'est peut-être excessif...

Superbe travail. Ca fait un beau cadeau de Noël, merci!

Non, ils entassent des batteries dans le TGV postal ! Je suis déjà dehors...

Bonjour, ce qui est curieux, c'est que le tract est signé par des syndicalistes... d'ORANGE !

Mais c'est très simple, cet aspect (qui ne dure que quelques instants) annonce que le feu va passer au vert, donc on peut le franchir, sans aller trop vite !! (Signalisation routière en Angleterre et, je crois, en Belgique, visant à augmenter le débit des carrefours: les conducteurs se préparent à démarrer...)

Très agréable en effet, cette mélodie. Et, comme nous sommes au Japon, je suppose que plus personne ne tente de monter dès qu'elle résonne... Petite précision: le "conductor" en anglais n'est pas le conducteur, mais un agent d'accompagnement (ou le chef de train). Il est d'ailleurs dans la cabine arrière! Et il fait des signes précis de l'index droit, sans doute à destination du "vrai" conducteur. En français, du temps des voitures-lits (du temps de la compagnie des ouagons lits), il me semble que l'agent responsable du bon ordre de sa voiture était nommé conducteur? [mode linguistique=off] !

Mais si j'ai bien écouté la radio, Sarkozy en a décoré... 3 ! Le quatrième... a refusé ? Ou bien il était en surnombre ? Ou bien il n'était pas sorti assez vite de l'hôpital pour se faire aussi décorer par le Président?

Même avant la neige, il y avait parfois des rames sur Brive où l'une des premières était remplacée par une seconde non Téoz...

Diantre, 350 de moyenne, c'est impressionnant!