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Le Web des Cheminots

windson

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Messages publiés par windson

  1. Le problème est, comme je l'ai dit plus haut, le voyageur muni d'un titre de transport 2 ème, demande un strapontin 1 ère, il y a des chances de le retrouver installé en 1 ère pure, au milieu des clients qui ont payés plein tarif.

    Et là, il va y avoir du sport, car ils sont malins, ces clients là!

    De toute façon, lorsqu'ils prennent leur billet, et qu'il est en place selon disponibilités, soit le guichet le leur dit, soit ne leur dit pas, soit il ne savent pas lire devant l'écran de l'APV ou de leur PC.

    Ils arrivent en demandant une place, ce qui est logique, mais quand il n'y en a pas, il n'y en a pas, et certains collègues acceptent de les envoyer en première, si il reste de la place, ce qui est un peu logique, mais dangereux pour leurs prochains voyages, car ils ne se privent pas de nous dire que la dernière fois, votre collègue a fait ça!

    Et il y en a qui s'installent aussi de leur plein grès en première, mais là, c'est souvent très chaud, et ça ce fini parfois au poste pour outrage.

    Aux voyageurs, clients ou usagers, si vous avez un billet seconde classe, place selon disponibilités , restez en seconde, car, si vous allez en première de votre propre chef, vous risquez de vous retrouver dans des situations délicates, et face à un contrôleur, il est rare que vous ayez raison.

  2. A partir du moment ou le strapontin est en première, vous êtes considérés en première, et, au vu de la pratique de certaines personnes , la chasse aux personnes, munis d'un billet seconde et assis sur strapontin première est effectuée régulièrement car quelques personnes en profitent pour aller s'installer en première.

    Voilà pourquoi mon collègue vous a fait la remarque.

    Pour la prochaine fois, présentez vous au contrôleur ou chef de bord, ça dépend du gus, et demandez lui où il y a de la place, et peut-être sur strapontin première.

    Vous vous y installerez en fonction de sa réponse, pas pas de votre propre chef, ça, on aime pas.

    Bon voyage.

    • J'adore 1
  3. Jeudi soir, réunion entre les OS Crémonini et Pepy, pas d'info.

    Ils reprennent au compte goute, ça sent la fin de grève, de plus, ils font appel aux intérimaires.

    Une rumeur circule chez eux, enfin 2

    - la première, Crémonini est en cessation de paiement, donc faillite

    - la deuxième, la SNCF reprendrait à son compte la resto, d'où une annonce imminente de la direction DDT aux OS ASCT du possible passage d'un ASCT IDTGV aux taches resto, dixit un élu CGT de Montpellier.

    A suivre!

  4. En l'occurrence, il s'agit de la 25236 avec une livrée légèrement modifiée, car Jeunet était tombé sur une 9300 livrée "Oullins" qui l'avait inspiré.

    Le tournage s'est fait sur la ligne de Tende.

    J'étais à Nice le jour du tournage à 6h du matin, la rame WL et la loc.

  5. Lors de la préparation du tournage, le metteur en scène avait contacté la SNCF pour avoir un Eurostar afin de tourner les scènes. Réponse de la SNCF, il n'y a pas de rame Eurostar de dispo, mais du réseau, mais à Hellèmes.

    Donc, tout ce beau monde a tourné dans le TGV réseau.

    Et on a vu le résultat!!!!

  6. Mis oui les 9200/9700 étaient fiables comme toutes les jacquemin... Seulement, elles coutaient de plus en plus cher à entretenir car plus de pièces ou lorqu'il en restait, il fallait trouver "le" vieux con qui acceterait d'aller se pourrir la vie et la santé à les maintenir en état... Et puis elles coutaient cher en énergie dissipée dans des résistances chutrices... Et puis il fallait acheter du neuf pour soutenir l'industrie ferroviaire... Du coup, on leur a fait faire les pires tâches qui existent comme les remontes de W avec des machines taillées et prévues pour la vitesse, le tout sans entretient ou si peu... Elles n'ont pas aimées d'être si mal traitées... Mais est-leur faute? pas vraiment pour moi. alors laissons les s'éteindre sans les salir... Ne leur crachons pas dessus. Elles étaient d'une autre époque et il faut savoir tourner la page. Pour ceux qui ne sont pas d'accord avec moi, qui veut bien aller les entretenir et chopper de l'amiante à changer les charbons des moteurs? Moi, c'est fait. J'en ai jusqu'à la fin de mes jours... Ca refroidi, non?

    SI tu étais dans le train V2N sur le TER Bourgogne, tu priais pour que le train arrive en état à destination.

    Perso, en 3 ans de TER, Transbordement à Melun, Maison-alfort, Montgeron, Laroche-Migennes, et sans compter les supprimés pour 9700 défectueuse.

    Elles faisaient un beau bruit, mais, mon dieu, on a tous eu un ouf de soulagement en gare terminus.

  7. Exact, ce n'est pas une 25500 mais la 7220, si j'ai bien vu (France2, 13h02).

    Ce qui complique les opérations de secours, c'est que l'accident se serait produit dans un tunnel.

    ECR ne paieront rien, ils se retourneront contre leur client qui a chargé le train, et vers la SNCF le cas échéant si c'est elle qui devait faire la RAT.

    7220, je confirme.

    Attendons les conclusions, ne nous emballons pas, même si on en meure d'impatience!!!

  8. il n'y a que des cheminots et l'entraide des cheminots est plus forte que ce que tu ne crois.

    Maintenant, et dans ton cas, il y a eu une betise de faite de la part de ta fille, et de grâce, ne crache pas dans la soupe, elle te nourrie encore, et te fais voyager.

    Je te le répète, l'ASCT a fait son boulot, un point c'est tout. Est-ce que ta fille n'a pas déjà eu des soucis avec cet ASCT? N'est-elle pas coutumière du fait? Que lui a t-elle dit pour que la situation soit devenue comme celle que tu a décri?

    Maintenant, et je me répète, les ASCT ont des soucis avec des ayant-droit, qui truande la chemin de fer.

    Et j'en vois quasiment tous les jours.

  9. Les ayants-droit qui ne respectent pas les conditions d'emprunt des trains sont légions. Combien on en voit avec des cases surchargées, des billets non compostés, et des propos contre la SNCF, et les ASCT.

    Alors, ta fille est tombée sur un agent qui a fait son boulot, et surtout, ne vient pas nous parler de Nuremberg, parce que tu a fais ce que des milliers de français ont fait pour arriver à Nuremberg.

  10. Pour la finale de la Coupe de France, il ne sera pas présent au stade De france, et ne remettra donc pas la Coupe de France.

    Monsieur préfère la douceur du Var chez belle-maman.

    On comprend mieux pourquoi il y a eu la commémoration du 8 mai sur les plages de débarquement de Provence.

    Coupe de France: Sarkozy absent, une "faute politique" selon le Télégramme

    L'absence de Nicolas Sarkozy à la finale de la Coupe de France de football entre Rennes et Guingamp au Stade de France est "une véritable faute politique", estime le quotidien Le Télégramme dans un éditorial publié samedi.

    "On se demande, bien évidemment, s'il faut y voir une prolongation des relations compliquées que Nicolas Sarkozy entretient avec la Bretagne, l'une des rares régions à ne pas lui avoir donné la majorité présidentielle", s'interroge le journal.

    L'Elysée a confirmé vendredi soir que le président de la République n'assistera pas à la finale samedi soir, alors qu'il est de tradition que le chef de l'Etat remette le trophée au vainqueur. "Rien dans l'agenda officiel du chef de l'Etat ne peut expliquer cette soudaine défection", souligne Le Télégramme.

    L'éditorialiste rappelle la polémique suscitée par la phrase "je me fous des Bretons" que Nicolas Sarkozy aurait prononcée en Bretagne durant la campagne présidentielle selon l'écrivain Yasmina Reza dans son ouvrage "L'aube, le soir ou la nuit".

    Toujours selon le journal, "certains des partisans (de Nicolas Sarkozy) ne voulaient pas croire" à son absence. "Ils savent que derrière cette défection, il n'y aurait pas seulement un geste d'humeur à l'égard de la Bretagne. Il s'agirait d'une véritable faute politique dans une région où l'UMP n'a vraiment pas besoin de cela".

    Le 24 mai 2008, M. Sarkozy avait assisté à la finale de la Coupe de France, et remis la coupe aux joueurs de Lyon, vainqueurs du PSG (1-0).

    Le président a commémoré vendredi la victoire du 8 mai 1945 sur la plage de La Nartelle, à Sainte-Maxime (Var) avant de partir pour le Cap Nègre (Var), où la famille de son épouse Carla Bruni-Sarkozy possède une propriété.

    Le quotidien Ouest-France se contente de souligner samedi que "l'absence du président de la République à la remise du trophée est rarissime", y voyant "une véritable rupture dans la tradition de cette vénérable épreuve".

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