IGIS

Bonjour, Bah moi, je ne suis pas sidéré par mes propos sur les hommes politiques, je les assume complètement. Dans mon bourg, il y a un point d'arrêt non géré, sur ligne TER, et bien le Maire il ne sait même pas que le train s'arrête ! Ca fait pourtant partie des services qu'une commune peut aimer avoir. D'ailleurs si ce nul venait de temps en temps, il verrait que certains jours il y a autant de monde qu'à la gare du chef-lieu de canton, pourtant distante de 6 km seulement, et qui a plus d'avantages (guichet, salle d'attente chauffée). Ce Monsieur m'a un jour prétendu qu'il connaissait tous ses administrés. En fait, quand il s'est rendu compte de tous les impayés en matière d'eau potable (gestion communale), il s'est rendu compte qu'il y avait pas mal de personnes qu'il n'identifait pas. En gise d'enquête, il s'est adressé au facteur, qui en homme consciencieux ne lui a dit mot, discrétion professionnelle oblige ! C'est là qu'on voit un petit peu par "quoi" on est géré. Tous ces types se partagent les portefeuilles du coin. La place de conseiller général, de député de la circonscription, de PDG de la communauté de communes (là, il y a de la manne, c'est bon!), et ensuite ça participe a des commissions pour avoir sa photo dans le quotidien local. Quant au bénévolat, ce n'est pas parcequ'on fait partie des gens qui l'ouvrent, qu'on fait obligatoirement partie des absents des associations, ceux qui parlent toujours sans jamais rien faire. C'est un raccourci très simpliste, même si je ne nie pas que ce soit une réalité. Personnellement, j'ai beaucoup oeuvré dans le milieu associatif ferroviaire, et souvent a des débuts, où il n'y avait pas grand chose d'intéressant. Des débroussaillages, monter sur le toit d'une maisonnette de P.N avec un bout d'échelle pour boucher les trous, remplacer les traverses pendant mes vacances d'été, sur plusieurs jours d'affilé (alors qu'en plus c'était mon boulot le reste de l'année), transférer du matériel de site provisoire en site provisoire, sous la pluie bien sûr, parce que c'est le seul jour où on peut avoir le tracteur du paysan du coin (merci à lui). Et en prime, se faire pratiquement foutre dehors, parceque justement on donne son avis, mais ce n'est pas la ligne directrice (qui vous emmène droit dans le mur, mais enfin !). Et je n'ai jamais conduit le train, mais d'ailleurs ça ne m'intéressait pas ! Oui, les élus sont des tocards !

Bonjour, Site très bien fait pour ce collectionneur de casquette. Quant à la collection elle même, elle est bien fournie. Franchement, la casquette à étoiles, c'était plus joli que la casserole d'aujourd'hui. Même sans vouloir faire péter les galons, les proportions de l'objet étaient mieux qu'avec les différentes casquettes qu'il y a eu après (bout de la visière sur le rail, coiffe sur la caténaire !). Pour la dernière, Lacroix n'a pas inventé grand chose ! Avant elle était bleue, maintenant elle est grise, avant la jugulaire (enfin le pauvre bout de galon) était argenté ou blanc, maintenant il est violet et jaune fluo. Le bouton est aplati au lieu d'être bombé, et en tout et pour tout, il n'y a même plus de logo SNCF: NUL ! J'ai entendu dire que les organisations syndicales de la S.N.C.F. ne voulaient plus de marque du grade à une époque où les étoiles ont été supprimées. Je ne sais pas si c'est exact. Au moins, maintenant il n'y en a plus, pas plus que de Chefs responsables, et pourtant, ça tout le monde en réclame et voudrait bien qu'on les voit. Ce qui est bien sur un quai de gare avec les casquettes actuelles sans marque distinctive, surtout dans les escales des grandes gares, s'il y a une embrouille avec des voyageurs, que le chef est une chef qui a 25 ans et fait 35 kg toute mouillée, et que son aide est un vieil AMV grisonnant de 50 berges, bien taillé, tout le monde se tourne vers lui ! Pourtant, il n'a pas les galons le pauvre ! Bah oui, mais ça ne se voit pas. Ca devait bien servir à quelquechose les étoiles, même si on n'en connaissait pas la signification.

Bonjour, J'ai connu Richelieu - Chinon quand j'étais gosse. C'était formidable. Je me rappelle de l'ambiance dans les voitures à plateforme, c'était super. La première fois que j'y suis allé, nous étions tombé avec une famille dont le père était un sacré rigolard, on ne s'était pas ennuyé. Il avait une voix forte, et il annonçait les gares lorsque nous nous arrêtions, alors qu'il n'était pas bénévole à TVT, mais ça lui plaisait. Le site de la gare de Richelieu est mignon, et vu le parc très ancien de l'association, il y avait un cadre ferroviaire extra. Pour en revenir à différents commentaires qui parlent de la FACS et de l'UNECTO. Je rejoins ce qui a été dit, je pense que ce sont des structures fantoches par rapport aux problèmes d'aujourd'hui. Il n'y a pas de puissance là-dedans ! Quant aux élus de tous bords, des opportunistes, de pauvres types (à ne pas confondre avec types pauvres), qui mettront le pays par terre ! La meilleure chose à faire pour les emmerder, c'est de ne pas aller voter, parce que les abstentions record, ils n'aiment pas beaucoup (bah oui, pour être "élu", il faut des électeurs). C'est vrai, c'est dommage d'en arriver à des propos de ce genre, mais ces gens dilapident le patrimoine, celui de tous les français, et ça c'est inadmissible ! Finalement, en lisant l'article mis par CC65012, on voit que ces cancrelas vont bouffer le peu qui reste en se le partageant. Ils ont peur des termites dans les traverses, mais ils sont pareils. Même pire, parce que les termites ne s'attaquent qu'au bois, alors que les élus, ça grignote tout, jusquà extinction.

Bonjour, Pougues-les-Eaux, dans la Nièvre: Sail-les-Bains, dans la Loire, gare "St-Martin-Sail-les-Bains" (à l'époque de la vue, elle ne s'appelait encore que "St-Martin-d'Estréaux"): Vic-sur-Cère, dans le Cantal, sur la ligne de Figeac à Arvant. Même si la ville ne porte pas un nom d'eau, l'établissement thermal n'en est pas moins à proximité de la gare. Quant à la source, elle est au pieds de la voie ferrée: La gare:

Bonjour, Il y a Evaux-les-Bains, en Creuse, ancienne ligne Montluçon - Eygurande-Merlines:

Bonjour, Jordane, si tu as rencontré cette contrôleuse sur un TER Aquitaine, il y a de grandes chances qu'elle soit de l'ECT de Bordeaux (à moins que ton train circulait sur un parcours limitrophe avec une autre région). Il peut y avoir plusieurs résidences du service des trains sur un même établissement, mais la CPST (commande du personnel) se trouve au siège de l'Etablissement. Tu peux toujours tenter ta chance en envoyant un courrier à sa CPST à Bordeaux, dans lequel tu lui joints une lettre. Il lui feront sûrement parvenir. Bien sûr, tu indiques le numéro du train et le jour, éventuellement son matricule si tu l'as. Il y a de grandes chances que la lettre que tu lui a déjà envoyée lui soit parvenue, car ce n'est pas le genre de la maison de retenir un courrier, même si quelqu'un peut se douter des raisons. C'est personnel dans tous les cas. Si tu veux, ce qui compte, c'est qu'il y ait un intermédiaire, car personne ne doit te donner l'adresse d'un agent. Celle de l'établissement, tu la trouveras sûrement dans l'annuaire.

Bonjour, Je ne voulais pas ouvrir un nouveau sujet, donc je le place dans celui-ci, parce qu'il s'en approche. Vous avez parlé des différentes gares-type de voie unique, décrites à la CG S6A n°3. Si mes souvenirs sont bons, ce document indique qu'il y a d'autre types de gares de voie unique, décrites dans des consignes spéciales. Sur mon secteur du Lot, et sur le Cantal, les gares étaient du type "Voie de gauche type Sud-Ouest" (VGSO), décrites pour celles de la région de Limoges dans une Consigne Régionale S6A n°17. Je n'ai pas ce document, la dernière gare du type ayant été démontée en 1993. Je connais seulement les équipements, à savoir au niveau signalisation Disque + Avertissement de chaque côté, sans sémaphore de sortie (cantonnement téléphonique puis CAPI). Serrure centrale comportant les clés des disques et des clés pour l'ensemble des aiguilles, sur VP et sur VS. Aiguilles de dédoublement de la voie principale talonnables non renversables. Pour les gares temporaires, annulation de la fermeture automatique des signaux, et passage de tous les trains sur la voie 1.2 (voie normale de circulation lors de la cessation du service de la circulation) , après manoeuvre de l'aiguille de dédoublement donnant accès à la voie 3 pour permettre les croisements. Réception en voie de gauche pendant toute la durée d'ouverture au service de la circulation. Les enclenchements de la serrure centrale ne permettaient pas d'ouvrir les disques autrement que vers la voie de gauche, sauf pour les gares temporaires dans le régime "hors service" (clé d'enclenchement sur le levier de l'aiguille manoeuvrée à la fin du service pour permettre le passage voie 1.2). En fait, j'aimerais bien trouver des documents sur ce type de gare, si quelqu'un à des tuyaux. Merci.

Bonjour, Oui, sur Le Mans - Angers, le block Regnault a perduré jusqu'à la mise en service du BAL. IGS4 nous a donné les gares qui étaient ouvertes, et qui participaient donc au cantonnement, dans des régimes différents, ainsi qu'un poste de cantonnement à Juigné sur Sarthe. Entre Ecouflant et Morannes, il devait aussi y avoir Briollay, Tiercé, Etriché-Châteauneuf. Au nord de Morannes, sans doute Pincé-Précigné aussi, mais il est vrai que je ne connaissais pas assez bien pour savoir jusqu'à quelle date elle a été ouverte, et sous quel régime. Je me souviens qu'à Tiercé, le sémaphore voie 1 était mécanique, et qu'au moins l'aile était du type unifiée S.N.C.F.

Bonjour, Bien sûr que si qu'il y a des P.N sur les lignes à V > 160 km/h. Ce sont les SAL qui sont interdits sur ces sections de ligne. Donc du coup, on y trouve des P.N gardés, comme le dit PAZ dans un message déjà assez ancien. Il y en a quatre entre Les Aubrais et Vierzon (1 au nord de Nouan-le-Fuzelier, l'autre à proximité de l'établissement PL côté Les Aubrais, et deux de part et d'autre de l'établissement PL de Theillay). Ils sont manoeuvrés par treuil (manivelle). Bien sûr, ils ont la totale, à savoir commutateur "normal / danger" pour l'allumage de torches électriques et feux de préavis en plus du ou des feux de position. Ensuite, au sud de Vierzon, sur V = 160 km/h, il y en a deux au nord d' Issoudun (P.N 167 et 168 ouverts à la demande et manoeuvrés par treuil). Certains P.N de ce genre ont pu ne pas avoir de manivelle, à savoir que le treuil était motorisé électriquement.