Aller au contenu

E.T.G.

Membre
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. La BB9214, qui vient d'arriver à Perpignan (66) depuis Avignon en tractant le segment R.I.O. Paca 190 termine d'en faire le tour afin d'assurer leur retour, en mai 1997. Sur la seconde photo, on aperçoit les pieds de l'agent de manoeuvre qui procède à l'attelage.
  2. C'est marrant ces photos prises à Laon et Dammartin mais j'ai circulé sur la ligne hier! Je m'arrêtais à Soissons depuis Paris, on aurait presque pu se croiser! D'ailleurs, quelqu'un, dont je pense savoir qui c'est, a photographié mon train aller à Paris et à Villers-Côtterets. Et je ne savais pas que ça existait sur la ligne, mon train retour était forme d'une triplette de Régiolis à six caisses.
  3. En août 1992, les rames Atlantiques sont les reines des T.G.V. en gare de Paris-Montparnasse (75).
  4. X4508-XR8346, un élément lui aussi arrêté de façon précoce. En effet, alors qu'il assurait le 17 avril 1987 un train Arras - Saint-Pol-sur-Ternoise, il est entré en collision (à 70 km/h) contre un poids lourd transportant des boissons par temps de brouillard sur un passage à niveau à Dainville. Le mécanicien eut juste le temps de quitter sa cabine, le chauffeur routier fut tué). Notre élément fut convoyé aux Ateliers du Mans (72) où on le voit en novembre 1988 sur ces photos. Un des responsables du Transport ayant en tête de commencer à radier les E.A.D. puisqu'ils étaient les suivants sur la liste après les X2400 et 3800 qui avaient pratiquement tous disparu, et ce malgré que le parc autorails et automoteurs était déjà contraint, il fut proposé à la compagnie d'assurances du camion de payer la valeur résiduelle de l'engin plutôt que de procéder à sa réparation. Il aurait pourtant été possible de reconstituer un élément X4508-XR8587 (la remorque "rescapée" de l'incendie de Stiring-Wendel, que vous avez vue en publication récemment). La remorque XR8346 sera pourtant réhabilitée pour remplacer la 8589 détruite en 1990 par incendie dû à du vandalisme. Afin de ne pas laisser sa motrice X4570 veuve, les Ateliers du Mans devant faire face à cette période à plusieurs éléments accidentés jongleront entre les caisses afin de reconstituer au plus vite des éléments dont le Transport a besoin. Première étape, la motrice X4374 est en Réparation Accidentelle suite à collision. Sa remorque XR8350 disponible est remariée immédiatement à la motrice X4570, avec laquelle est est par chance complètement compatible puisque les X4374 et 4570 sont identiques techniquement dans leurs variantes d'équipement, à la motorisation près bien sûr. C'est maintenant la 4374 qui est seule. Compte-tenu des dégâts très importants qu'elle a subi (cabine écrasée, châssis faussé, planchers déformés, etc.), il est opportun quitte à la réparer de procéder à la modernisation de la 8346. C'est ainsi qu'elle sortira en 8406 avec la motrice X4606 en modernisation Bretagne. La 8406 d'origine devenant en conséquence et tout en conservant sa disposition à douze places de première classe une nouvelle 8589, ce qui constitue une anomalie, avec placement sur la 4374 en sortie de réparations. La motrice X4508, peu avariée de son côté, fut pressentie un moment pour servir de motrice Astrée, accouplée avec une XRP98750 (remorque postale), avant qu'on envisage de prendre un élément Postal complet, pour finalement utiliser les deux motrices E.T.G. que nous connaissons tous. Elle ne sera finalement jamais réparée mais ses organes serviront avantageusement pour la maintenance des autres E.A.D. Entre temps, le responsable qui voulait fossoyer les E.A.D. avant l'heure sera arrêté dans son élan par ses pairs, clairvoyants eux. Pour résumer, on lui a dit: "et si on réforme les E.A.D., avec quoi va-t-on assurer les trains?". Dans le détail, les livraisons de matériel neuf étaient quasiment terminées (ne restait à livrer que quelques remorques XR6200 et quelques segments R.R.R.), le T.G.V.-Atlantique ne libérerait pour les omnibus que peu de voitures d'express vu le volume de radiations de voitures grandes lignes à compenser par glissement. les fermetures de lignes ne suffiraient pas à libérer le surplus nécessaire à la croissance du parc T.E.R., les immobilisations de matériel pour Réparation Accidentelle battaient des records pour cause de plusieurs accidents (principalement des collisions sur passage à niveau), et les E.A.D. passant en modernisation étaient immobilisés plus longtemps, et pendant ce temps, il fallait bien avoir le matériel pour pallier leur absence à disposition du Transport... Ce n'est qu'ainsi que les E.A.D. ont vu leur carrière se prolonger de plusieurs années, alors qu'une liste funeste avec les numéros précis de X4300 prévus à radier circulait dès fin 1987: les engins incriminés ont d'ailleurs tous été modernisés. Les X4500 prévus à garer bon état n'ont pas pu l'être puisqu'ils étaient finalement utiles quotidiennement, et malgré cela le parc est resté dans une insuffisance chronique pendant plusieurs années, que l'accident du X2841 occasionnant son retrait de service n'a pas contribué à arranger, Nevers-Machines, débordé n'ayant pas pu le réparer (Bordeaux, en perte de vitesse, aurait pu s'en charger si on l'avait voulu, mais comme il y avait une volonté farouche de fermer cet établissement, on s'est bien gardé de lui confier quelque travail propre à le maintenir plus longtemps que ce qu'il fut)...
  5. Ateliers du Mans? Non, Ateliers de Rennes (35), pour changer un peu, avec deux photos prises le 11 août 1992 montrant deux Bxe V.B.2N. en chantier. La première en cours de Révision Générale ou Révision Limitée (on voit que le logo frontal a déjà été arasé et on distingue sur la droite une voiture déjà repeinte avec le "fond" en couleur gris ciment plutôt que gris clair comme précédemment). La seconde est en Réparation Accidentelle après ce qui semble avoir été une mauvaise rencontre à un passage à niveau (comme quoi, même les matériels banlieue ont aussi des avatars), tracas qui sera vite effacé.
  6. Une jument verte et un drôle de zèbre! Souvenir à Carhaix (29) en juillet 1994 avec le X2416 vendu aux C.F.T.A. afin d'assurer leurs trains les plus chargés et la réserve des X97150.
  7. Une jument verte et un drôle de zèbre! Souvenir à Carhaix (29) en juillet 1994 du/avec le X2416 vendu aux C.F.T.A. afin d'assurer leurs trains les plus chargés et la réserve des X97150.
  8. En juillet 1992, la Z7107 quitte Lyon-Part-Dieu (69) vers Ambérieu ou Mâcon.
  9. X4419-XR8587. Si comme moi vous déplorez les retraits de service prématurés, cet élément automoteur vous dit quelque chose. En effet, alors qu'il assurait un W entre Forbach et Sarrebruck le 26 novembre 1987, cet élément a été bloqué sur la voie au niveau de l'ancienne gare de Stiring-Wendel par des mineurs des Houillères du Bassin de Lorraine qui protestaient contre la fermeture prochaine de leur puits. Après avoir invité le mécanicien et l'agent de train à descendre, des manifestants ne trouvèrent rien de mieux à faire que de saccager l'élément avec leurs piolets (vitres cassées, aménagements intérieurs dévastés, réservoirs percés, etc.), sans omettre d'incendier la motrice. Nous voyons aux Ateliers du Mans (72) en novembre 1988 et au printemps 1990 ce qu'il reste de l'élément avec sur la première photo l'extrémité 2 brûlée de la remorque. Observez la "traverse postiche", traverse amovible servant à convoyer des caisses isolées d'E.A.D. ou E.T.G. en donnant la possibilité d'atteler les bouts borgnes dans un train classique comme si on incorporait un quelconque véhicule muni du traditionnel attelage classique à vis, en les plaçant cependant en queue. Toutefois, si cette remorque a été radiée (et donc le numéro a disparu), ses structures n'étant pas atteintes, la caisse fut réparée et remise en service sous le numéro 8575 avec remariage avec la motrice X4561. On s'était en effet aperçu que la modernisation des E.A.D. requiérait 58 jours ouvrables pour les motrices et 65 pour les remorques, ce qui fait que les motrices attendaient leur remorque entre sept et onze jours (il faut inclure les week-ends) et étaient improductives. et donc l'idée émergea de réutiliser cette remorque avariée, qu'il était possible de remettre en état sans difficulté particulière. La remorque d'un futur élément modernisait entrait en chantier en avance par rapport à sa future motrice de sorte à ce que leur sortie coïncide. La seule contrainte étant qu'il fallait impérativement que les éléments sortent avec la même immatriculation qu'à l'entrée, même si la remorque avait été permutée entre temps (on pouvait reconnaître certains éléments car la toiture de la motrice était rainurée et celle de la remorque, lisse, ou inversement, si l'échange avait concerné deux caisses de toiture différente). Par ailleurs, les plaques constructeur n'étaient plus remises afin de ne pas trahir ces remariages (les premiers éléments modernisés les avaient puisqu'ils n'avaient pas été concernés). Pour des questions d'ordonnancement, la plupart des éléments modernisés ensuite ont bénéficié de cette manipulation, mais pas tous, et des croisements furent aussi opérés avec des éléments non modernisés. La remorque arrivée en fin de chaîne et donc orpheline fut la 8783, qui n'aura vécu que...21 ans (Nevers-Machines n'a pas eu recours à cet "escalier" lors des modernisations qu'il a ensuite effectué). Sur la seconde photo, la partie de châssis (correspondant à celle située sous la cabine et le fourgon, avec la traverse de tête, toujours utile pour réparer une autre motrice si besoin) qui a pu être récupérée de la motrice X4419 qui a complètement brûlé. Au sens figuré, cette motrice est arrivée au Mans avec "le ventre qui touchait par terre". Sur des photos que j'ai dans ma collection, on la voit encore en feu sur les lieux du sinistre avec déjà la caisse bananée (je ne publierai cependant pas ces photos car par probité, politesse -et accessoirement afin d'éviter des emmerdes- je m'interdis de publier des documents dont je ne suis pas l'auteur, ce dernier étant seul légitime pour le faire, et en mentionner son nom ne me donne aucun accord de sa part). A droite, vous apercevez des ossatures de cabine destinées aux éléments modernisés, et les deux caisses à gauche sont la motrice diésel du T.G.S. dépouillée et "étêtée" après sa pseudo-modernisation (voir publications à ce sujet) et la XR8346 (X4508), élément également radié prématurément suite à choc sur passage à niveau, et dont vous verrez prochainement que cette remorque accidentée fut elle aussi remise en service sous un autre numéro pour une autre raison!
  10. En août 1993, le dépôt de Toulouse (31) reçoit la visite d'une CC6500 Maurienne.
  11. Au printemps 1997, le dépôt de Toulouse (31) est encore bien garni en locomotives avec ses pensionnaires, BB8500, 9300, 66000.
  12. Au printemps 1997, le dépôt de Toulouse (31) est encore bien garni en locomotives avec ses pensionnaires, BB8500, 9300, 66000.
  13. En avril 1989, le X2128 quelque peu crasseux est garé sur les voies de remisage du dépôt de Rennes (35). On notera que le filet bleu s'accorde parfaitement avec celui situé entre les moustaches et les moustaches de la BB67400 garée derrière.
  14. Au printemps 1997, les Z111 et ZR20036 vont passer une nuit en gare de Latour-de-Carol-Enveitg (66).
  15. En tête d'une courte rame de voitures Corail, la BB7255 est prête au départ de Latour-de-Carol-Enveitg (66) pour rallier Toulouse au printemps 1997.
  16. Fin de la visite du X2419 au dépôt de Rennes (35) en avril 1989, avec le poste de conduite "F.J.M.", comme Frein Jourdain Monneret, côté extrémité 2 (qui possède un simple indicateur de vitesse plutôt qu'un Flaman côté poste 1). On voit d'ailleurs posées dessus les deux poignées /clefs amovibles (une pour le frein et l'autre pour l'inverseur) permettant de mettre le pupitre en service. A droite se situe une des deux boîtes de vitesses, une à chaque extrémité, que l'on voit de l'autre côté sur la deuxième photo, suivie de deux autres montrant un des moteurs Renault 517G équipant l'engin. Les X2400 exigeaient une certaine dextérité pour leur conduite lorsque, comme très souvent, les deux moteurs étaient en fonctionnement. Il fallait en effet parfaitement synchroniser les gestes entre l'accélérateur (manipulateur dans la rainure à gauche) et le passage des rapports de vitesses (manipulateur dans la "grille" à droite et ses multiples positions (sélection du rapport, embrayage, débrayage, etc.) en fonction des tours-minute de chaque moteur, qui n'étaient pas forcément "sur la même longueur d'ondes". Un regret cependant, il n'existe rien pour conserver une odeur, que je n'ai pas à disposition et que je peux encore moins vous partager, car dans l'engin et en particulier ses compartiments moteurs et cabines flottaient encore celles d'huile chaude, odeurs que j'adore, en ce qui me concerne...
  17. Au printemps 1997, la Z111 du Train Jaune, qu'on ne présente plus, assure en solo un train Villefranche-Vernet-les-Bains - Latour-de-Carol-Enveitg et dessert Font-Romeu-Odeillo-Via.
  18. Le 02 novembre 1988, l'élément automoteur X4583-XR8374 est quasiment prêt à sortir des Ateliers du Mans (72) pour faire sa marche d'essais de sortie de R.L. ou R.G. Ne restent à fixer que les essuie-glaces et terminer deux-trois détails, enlever le chiffon sur la plaque-marchepied. Pour la marche d'essais, les Ateliers demandent un conducteur au dépôt qui en enverra un dès que possible. Une fois les manoeuvres de sortie faites, l'engin effectue un aller-retour Château-du-Loir avec à son bord des techniciens des Ateliers, trajets durant lesquels seront mesurées ses performances en traction et en freinage. Un contrôle de son comportement sera réalisé en même temps, avec observation du passage des rapports de vitesses, régime du moteur, dégagement de fumées (échappement), absence de bruits anormaux, etc. A l'issue de ces marches, l'élément rentrera pour d'ultimes éventuelles retouches puis sera rendu au Transport. Pour ce faire, les Ateliers demanderont de nouveau un conducteur pour emmener l'engin des Ateliers au dépôt. Puisque c'est un engin de Longueau, il sera graphiqué sur un train pour Caen, l'étape suivante étant de rallier Rouen puis Amiens. Les différents Postes de Commandement ayant compétence sur l'itinéraire Le Mans - Longueau auront la charge de le suivre pour le faire rentrer à son dépôt puisqu'il circule sur des itinéraires ne rentrant pas tous dans la zone d'action habituelle des X4500 de Longueau. Pour certains dépôts, des marches (raccord) en W ou l'incorporation en Comme Véhicule pourront être nécessaire car les E.A.D. ne circulent pas en temps normal sur certaines portions de ligne qu'il faudra emprunter. Ces règles de suivi des engins sont les mêmes pour ceux changeant d'affectation (mutations). Une fois parvenu dans son dépôt titulaire, l'élément subira une V.I.C. (Visite d'Initialisation Cycle), sorte de contre-visite servant à valider la qualité des travaux réalisés et à réaliser les corrections qui seraient éventuellement encore nécessaires malgré le soin apporté au Mans dans la réalisation des travaux, qui découlent d'un inventaire précis pré-établi pour chaque engin. Cette visite marque aussi la remise à zéro de différents compteurs: c'est à partir d'elle que les pas temporels et kilométriques redémarrent pour toutes les interventions ultérieures de maintenance préventive (voire curative) de l'engin. A partir de là, l'élément devient utilisé en complète banalité avec les autres.
  19. Quelques BB16500 en mai 1995, avec une machine non identifiée passant au droit du dépôt de la Villette (75) alors qu'elle assure des remontes, avec au crochet une rame comportant en tête une voiture suisse. Dans le dépôt, la 16644 fraîchement sortie de R.L; ou R.G., et le mouton à cinq pattes de la série, la BB16700, reconstruite sur un châssis de BB25500 à caisse longue. Cette particularité visait à lui installer un attelage automatique afin d'en réaliser des essais au bénéfice des trains de messageries et marchandises, expérimentation finalement restée sans suite. A ne pas confondre, la même reconstruction de la BB17005, suite à un accident, elle.
  20. Oui, ça a existé, mais je n'imaginais pas que les BB25200 allaient déjà à Strasbourg avant l'électrification de l'itinéraire du pied du Jura. C'est pourquoi je posais la question en m'apercevant que ces photos dataient de l'époque ante électrification et comme je savais que les trains les plus directs étaient assurés par les R.T.G. par l'itinéraire incomplètement électrifié je n'imaginais pas qu'elles venaient en assurant des Lyon - Strasbourg via Dijon, dont pour moi les trains assurant cette relation étaient plutôt des Nice - Strasbourg assurés en BB22200 avec reprise par une 7200 à Marseille, une autre 22200 que la première à Dijon et 15000 à Belfort.
  21. Ni des odeurs de gaz d'échappement, qu'on pouvait sentir parfois à plusieurs centaines de mètres s'il y avait du le vent...😍
  22. Quelques photos du réseau de l'A.M.F.P.-R.A.T.P., en toutes lettres "Amicale des Modélistes Ferroviaires du Personnel de la Régie Autonome des Transports Parisiens", à laquelle je suis affilié et dont le local est situé pas trop loin de chez moi, à La Varenne-Chennevières (94). Cette série qui est plutôt dédiée à deux matériels parmi mes dernières acquisitions, deux éléments Z2 Piko en version analogique, mais elle vous permettra ceendant de vous faire une petite idée de la grandeur du réseau et sa beauté. Ces achats présentés ici sont: _la Z97303 en livrée d'origine à dominante blanche "Languedoc-Roussillon", que je trouvais très réussie (malgré que d'une manière générale je ne suis pas partisan des livrées spécifiques) et que j'ai fréquentée dans ma jeunesse en allant en 1985 en colonie de vacances (S.N.C.F.) dans les Causses, à Séverac-le-Château (nous prenions le train pour aller à Millau ou Roquefort, j'ai dans un coin de ma tête quelques rares images des BB Midi en train de manoeuvrer ou en tête de trains de marchandises et de ces Z2, outre celles en livrée originelle que j'ai retrouvées juste après au Mans avec la livraison des premières Z9600 à Rennes); _la Z9604 en livrée T.E.R. 1987 verte (Bretagne), livrée que j'adore, version avant Opération Périodique Confort Esthétique (O.P.C.E.), élément que j'ai pratiqué quand je résidais au Mans. Pour la petite histoire, j'ai pu trouver "la blanche", réputée épuisée, sur un stand à l'exposition annuelle de la Mairie de Saint-Mandé. Le gars m'a laissé sa carte, et il avait un nom assez peu répandu, comme ma cheffe: je lui ai présenté la carte pour la charrier "tu as vu, je fais travailler ta famille", et il s'est avéré que le tenancier du stand est un de ses oncles, ce qu'elle ne m'avait jamais dit bien qu'elle connaît mes passions! Mais revenons à ces modèles, qui sont particulièrement réussis et qui n'ont à mon goût comme seul défaut que d'être d'un prix quelque peu excessif malgré leur qualité (qui n'explique pas tout), mais je tenais à me faire plaisir. C'est à cause de ce bémol que j'hésite à acheter deux nouveaux éléments, qui seraient dans l'ordre: _les Z9602 ou Z9506 en livrée d'origine. Le premier en version après O.P.C.E., élément que j'ai bien côtoyé également dans ma vie mancelle et qui a été construit au Mans, avec ses panneaux de coffres à résistances rhéostat caractéristiques de des éléments Carel et Fouché, que je trouve plus esthétiques, le second en livrée avant O.P.C.E., que je préfère (il n'est toutefois pas reproduit dans son état originel puisqu'il est équipé des chasse-obstacles, apparus sur les Z2 seulement en première moitié des années 90), fabriqué quant à lui à Reichshoffen; _la Z9610 en livrée T.E.R. bleu Pays de la Loire, pour des raisons évidentes de l'avoir bien connue également. J'aurai bien acheté toutes les versions reproduites puisque je les ai toutes connues à des degrés divers, mais le budget n'est pas extensible et il faut faire des choix! C'est bien la première fois que vous verrez une U.M. de Z2 dont une en livrée T.L.R. et l'autre en T.E.R. 1987 Bretagne (il faudrait vérifier, mais il me semble que lorsque la Z9604 a viré au vert, les deux blanches avaient déjà opté pour le jaune Lithos). Première fois aussi pour des Z2 en gare du Mont-Dore dont la gare ici est la reproduction exacte de la vraie, ou sur l'Embranchement Particulier d'une scierie, ou encore à une station-service diésel, voire...sur une plaque tournante! Je tâcherai de prendre de nouvelles photos plus générales du réseau après la rentrée, d'ailleurs, il faut aussi que j'y remette les pieds et m'y ré affilier: le contexte sanitaire n'a pas facilité ces démarches cette année! Pour le moment, place aux photos dont je dispose déjà, et qui sont affichées dans un ordre quelque peu aléatoire:
  23. Lorsque j'effectuais mon service national à Lyon, de 1996 à 1998, il y avait à ma connaissance deux clubs: l'A.M.F.L., Amicale de Modélistes Ferroviaires Lyonnais, qui logeait dans le bâtiment S.N.C.F. Lugdunum, en face de la gare des Brotteaux; ainsi que le club M.F.R., Modélistes Ferroviaires Rhodaniens, dont le local était situé dans un sous-sol des garages de la Scaronne. J'ai été affilié au moins à l'A.M.F.L. Lorsque la S.N.C.F. a vendu le Lugdunum, l'A.M.F.L. n'a pu que stocker son matériel (son réseau en morceaux plutôt qu'en modules) dans un local situé dans le dépôt de la Mouche. Je suis retourné voir les gars lors d'un de mes passages à Lyon il y a quelques années, j'ignore comment les choses ont évolué depuis. Quant au M.F.R., j'ignore ce qu'il est devenu.
  24. Quelques mois après son retrait de service, le X2419 est garé en avril 1989 dans l'enceinte du dépôt de Rennes (35), sur une voie qui a vu disparaître sous l'action des chalumeaux nombre de X2400 et d'ailleurs encore jonchée de restes de certains d'entre eux. Les douze derniers radiés seront dans un premier temps sauvegardés et connaîtront une seconde carrière, principalement pour des Chemins de Fer Touristiques. Certains ne survivront toutefois pas à ces utilisations lors de cessations d'activités. En ce qui le concerne, le X2419 a été sauvegardé par le Train Touristique de la Vallée du Loir, qui l'exploite sur la section de ligne Trôo - Thoré-la-Rochette. Vous le voyez successivement de face, détail des portes de fourgon à quatre vantaux, compartiment de première classe et grand compartiment de seconde. L'affiche sur son pare-brise droit comporte une mention disant en substance de ne rien récupérer dessus car il est pressenti pour être cédé.
  25. Dépôt de la Villette (75) avec en mai 1995 le locotracteur Y6606 manifestement radié.

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.

Configure browser push notifications

Chrome (Android)
  1. Tap the lock icon next to the address bar.
  2. Tap Permissions → Notifications.
  3. Adjust your preference.
Chrome (Desktop)
  1. Click the padlock icon in the address bar.
  2. Select Site settings.
  3. Find Notifications and adjust your preference.