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LELILLOIS

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  1. en piece jointe GREVE_RECONDUCTIBLE_SUD_CGT....10_juin.pdf
  2. http://programmes.france3.fr/pieces-a-conv...43216260-fr.php Si vous ne voulez pas tout regarder, regardez le début puis vers 01h12.
  3. LELILLOIS

    GREVE FRET ?

    en piece jointe tract_suites_23_mai.pdf
  4. Suite_table_ronde[1] Suite_table_ronde_1_.doc
  5. TOUT CHAUD ! 164001_230508_communique_commun.pdf
  6. L'argent noir des syndicats vendredi 23 mai - 23h20 CE soir
  7. LELILLOIS

    LA GREVE

    LA GEVE ! 2008___5___20___La_Gr_ve.pdf
  8. Ca a l'air clair non ? Sauf que la proposition de la CGT serait 4 jours et repartir fin juin .... 2008.05.20_article_du_Parisien_1_.pdf
  9. POUR typiac c'est demandé si gentimment ( peut etre du fait de devoir rejoindre la CFDT ou l'Unsa ) "e ministre du Travail, Xavier Bertrand, a reçu vendredi 16 mai les signataires de la position commune du 9 avril dernier sur la représentativité. Le texte, qui porte sur la représentativité, le développement du dialogue social et le financement du syndicalisme, a été signé par la CFDT, la CGT, la CGPME et le Medef. En revanche, l'UPA, FO, la CFTC et la CFE-CGC ont refusé de signer le texte issu de la négociation entre les partenaires sociaux. A la sortie de la réunion, le ministre a annoncé qu'il reprendra dans un projet de loi "l'esprit et la lettre" de la "position commune". L'élaboration du projet de loi commercera la semaine prochaine. Il y aura des réunions techniques bilatérales avec les signataires, puis avec les non-signataires. Parmi les thèmes abordés, figureront le financement et la transparence des comptes des organisations syndicales. Lire aussi En savoir plus sur les syndicats et leur représentativité Bertrand veut maintenir le dialogue social dans les petites entreprises Toute l'actu Business Le gouvernement "fera tous les efforts" pour que ce projet de loi soit examiné avant les vacances parlementaires de cet été par au moins une des deux assemblées en première lecture. Modifier le paysage syndical Ce projet pourrait modifier le paysage syndical français et conduire à une reconnaissance de la FSU, de l'Unsa et de Sud-Solidaires, alors que depuis 1966 les cinq confédérations sont les seules à être considérées comme représentatives au niveau national et à pouvoir signer des accords interprofessionnels. Un seuil de représentativité -au moins 10% des voix dans les entreprises, 8% au niveau interprofessionnel et dans les branches- est fixé par le texte. Le document des partenaires sociaux prévoit également d'instaurer des accords majoritaires qui, pour être valables, devront être signés par une ou plusieurs organisations représentant au moins 30% des voix, et sans opposition des autres organisations syndicales. Vers des alliances à la SNCF Les syndicats de la SNCF, en particulier ceux aux audiences moindres, songent à des alliances. Avec la nouvelle règle, "il ne restera que 4 syndicats représentatifs à la SNCF sur les 8 existants: CGT, Sud-Rail, Unsa et CFDT", a expliqué Jean-Daniel Bigarne, secrétaire général de l'Unsa-cheminots, 3e de l'entreprise ferroviaire. Libération écrit vendredi qu'un "rapprochement" est "envisagé" entre l'Unsa et la Fgaac (agents de conduite autonomes). Bruno Duchemin, secrétaire général de ce dernier, a déclaré qu'"il y a des pistes de négociations avec toutes les organisations syndicales dont l'Unsa". "Une réflexion est en cours car si nous ne faisons rien, nous allons mourir. Des rencontres informelles ont lieu", a déclaré de son côté Jean-Michel Namy, secrétaire général adjoint de la Fgaac, deuxième chez les conducteurs avec près de 30% des voix, derrière la CGT. "
  10. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a reçu vendredi 16 mai les signataires de la position commune du 9 avril dernier sur la représentativité. Le texte, qui porte sur la représentativité, le développement du dialogue social et le financement du syndicalisme, a été signé par la CFDT, la CGT, la CGPME et le Medef. > En revanche, l'UPA, FO, la CFTC et la CFE-CGC ont refusé de signer le texte issu de la négociation entre les partenaires sociaux. > A la sortie de la réunion, le ministre a annoncé qu'il reprendra dans un projet de loi "l'esprit et la lettre" de la "position commune". > L'élaboration du projet de loi commercera la semaine prochaine. Il y aura des réunions techniques bilatérales avec les signataires, puis avec les non-signataires. Parmi les thèmes abordés, figureront le financement et la transparence des comptes des organisations syndicales. Le gouvernement "fera tous les efforts" pour que ce projet de loi soit examiné avant les vacances parlementaires de cet été par au moins une des deux assemblées en première lecture. > > Modifier le paysage syndical > > Ce projet pourrait modifier le paysage syndical français et conduire à une reconnaissance de la FSU, de l'Unsa et de Sud-Solidaires, alors que depuis 1966 les cinq confédérations sont les seules à être considérées comme représentatives au niveau national et à pouvoir signer des accords interprofessionnels. > Un seuil de représentativité -au moins 10% des voix dans les entreprises, 8% au niveau interprofessionnel et dans les branches- est fixé par le texte. > Le document des partenaires sociaux prévoit également d'instaurer des accords majoritaires qui, pour être valables, devront être signés par une ou plusieurs organisations représentant au moins 30% des voix, et sans opposition des autres organisations syndicales. > > Vers des alliances à la SNCF > > Les syndicats de la SNCF, en particulier ceux aux audiences moindres, songent à des alliances. Avec la nouvelle règle, "il ne restera que 4 syndicats représentatifs à la SNCF sur les 8 existants: CGT, Sud-Rail, Unsa et CFDT", a expliqué Jean-Daniel Bigarne, secrétaire général de l'Unsa-cheminots, 3e de l'entreprise ferroviaire. > Libération écrit vendredi qu'un "rapprochement" est "envisagé" entre l'Unsa et la Fgaac (agents de conduite autonomes). > Bruno Duchemin, secrétaire général de ce dernier, a déclaré qu'"il y a des pistes de négociations avec toutes les organisations syndicales dont l'Unsa". > "Une réflexion est en cours car si nous ne faisons rien, nous allons mourir. Des rencontres informelles ont lieu", a déclaré de son côté Jean-Michel Namy, secrétaire général adjoint de la Fgaac, deuxième chez les conducteurs avec près de 30% des voix, derrière la CGT.
  11. Beaucoup demande l'unité voici prévis signés par 7 OS je ne pense pas que 24 H sois sufisant mais j''en serais ! a vos réactions 2008.05.15_Pr_avis_de_gr_ve__pour_le_22.05_sign__1_.pdf
  12. <H2 class=S2188 id=textepoint1>Les syndicats d'Air France et de la SNCF ont décidé de se joindre à l'appel à la grève, de même que trois syndicats de la RATP.</H2> <H2 class=S2188 id=textepoint2>A la principale revendication, la défense de la retraite à taux plein après 40 ans de cotisation, viennent se greffer d'autres motifs de mécontentement, comme les salaires à la SNCF.</H2>- le 15/05/2008 - 14h30 Le gouvernement reste inflexible sur l'augmentation progressive d'ici 2012 de la durée de cotisation à 41 ans pour une retraite à taux plein. Le bras de fer dans la rue semble inévitable : le 29 avril, cinq syndicats (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC) avaient déjà décidé de faire du 22 mai prochain une "journée nationale interprofessionnelle d'action et de manifestations pour la défense de la retraite solidaire". Le lendemain, l'union syndicale Solidaires (Sud), l'Unsa (autonomes) et la FSU, premier syndicat de la Fonction publique d'Etat, avaient rejoint cet appel à la mobilisation unitaire. Le mouvement à venir s'élargit désormais un peu plus puisque trois syndicats de la RATP sur huit dont le premier, la CGT, ainsi que FO et la CFDT, s'y sont joints ce jeudi. La veille, la même annonce avait été faite par les syndicats CGT, CFDT, FO, CFTC d'Air France. "A Air France, comme dans toutes les entreprises françaises, on constate une augmentation importante de la pénibilité. (...) La date de départ à la retraite doit prendre en compte cette usure pour la corriger à travers des dispositifs de départs anticipés et permettre ainsi un temps de retraite égal pour tous", affirment les syndicats. Le printemps sera-t-il chaud ? Appel similaire dès mercredi à la Fgaac (autonomes), deuxième syndicat chez les conducteurs de la SNCF, qui "rejette en bloc les mesures annoncées" concernant "l'allongement confirmé par le gouvernement de la durée de cotisation portée à terme à 41 ans". Son exemple a été suivi jeudi par les sept autres syndicats de cheminots : le préavis commun CGT-CFDT-FO-CFTC-Sud-Rail-Unsa-CFE-CGC court du mercredi 21 mai à 20 heures jusqu'au vendredi 23 mai à 8 heures et "permettra aux cheminots de participer aux initiatives interprofessionnelles décidées pour le jeudi 22 mai", ont précisé les syndicats, qui "exigent" non seulement "l'arrêt de l'allongement de la durée de cotisation pour percevoir une retraite pleine et entière", mais aussi "la réouverture des négociations salariales". Alors que l'appel à la grève s'étend, Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force ouvrière, assure dans La Croix qu'il ne renonce pas à "faire bouger" le gouvernement sur l'allongement de 40 à 41 ans de la durée de cotisation pour une retraite à taux plein. Selon lui, une telle mesure reviendrait à "contraindre les salariés à partir avec une pension amputée" alors que rester à 40 ans ne coûterait que quatre milliards d'euros d'ici 2020, ce qu'il juge "tout à fait finançable". Il souligne que son organisation a parallèlement établi une série de "recettes possibles" qui rapporteraient 12 milliards d'euros par an. Il ne se risque pas à prédire si le printemps sera chaud mais précise : "Ce que je sais par expérience, c'est que quand un mécontentement perdure, il s'exprime toujours à un moment donné".
  13. voir communiqué : Le gouvernement reste inflexible sur l'augmentation progressive d'ici 2012 de la durée de cotisation à 41 ans pour une retraite à taux plein. Le bras de fer dans la rue semble inévitable : le 29 avril, cinq syndicats (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC) avaient déjà décidé de faire du 22 mai prochain une "journée nationale interprofessionnelle d'action et de manifestations pour la défense de la retraite solidaire". Le lendemain, l'union syndicale Solidaires (Sud), l'Unsa (autonomes) et la FSU, premier syndicat de la Fonction publique d'Etat, avaient rejoint cet appel à la mobilisation unitaire. Le mouvement à venir s'élargit désormais un peu plus puisque trois syndicats de la RATP sur huit dont le premier, la CGT, ainsi que FO et la CFDT, s'y sont joints ce jeudi. La veille, la même annonce avait été faite par les syndicats CGT, CFDT, FO, CFTC d'Air France. "A Air France, comme dans toutes les entreprises françaises, on constate une augmentation importante de la pénibilité. (...) La date de départ à la retraite doit prendre en compte cette usure pour la corriger à travers des dispositifs de départs anticipés et permettre ainsi un temps de retraite égal pour tous", affirment les syndicats. Le printemps sera-t-il chaud ? Appel similaire dès mercredi à la Fgaac (autonomes), deuxième syndicat chez les conducteurs de la SNCF, qui "rejette en bloc les mesures annoncées" concernant "l'allongement confirmé par le gouvernement de la durée de cotisation portée à terme à 41 ans". Son exemple a été suivi jeudi par les sept autres syndicats de cheminots : le préavis commun CGT-CFDT-FO-CFTC-Sud-Rail-Unsa-CFE-CGC court du mercredi 21 mai à 20 heures jusqu'au vendredi 23 mai à 8 heures et "permettra aux cheminots de participer aux initiatives interprofessionnelles décidées pour le jeudi 22 mai", ont précisé les syndicats, qui "exigent" non seulement "l'arrêt de l'allongement de la durée de cotisation pour percevoir une retraite pleine et entière", mais aussi "la réouverture des négociations salariales". Alors que l'appel à la grève s'étend, Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force ouvrière, assure dans La Croix qu'il ne renonce pas à "faire bouger" le gouvernement sur l'allongement de 40 à 41 ans de la durée de cotisation pour une retraite à taux plein. Selon lui, une telle mesure reviendrait à "contraindre les salariés à partir avec une pension amputée" alors que rester à 40 ans ne coûterait que quatre milliards d'euros d'ici 2020, ce qu'il juge "tout à fait finançable". Il souligne que son organisation a parallèlement établi une série de "recettes possibles" qui rapporteraient 12 milliards d'euros par an. Il ne se risque pas à prédire si le printemps sera chaud mais précise : "Ce que je sais par expérience, c'est que quand un mécontentement perdure, il s'exprime toujours à un moment donné".
  14. vaste sujet ! Projet_dictionnaire_des_fili_res_roulants.pdf
  15. docs directions Prise_en_compte_des_facteurs_humains.pdf
  16. docs de la direction Pr_conisations_roulants.pdf
  17. AIE !! Projet_RH_0077__titre_6_version_2.pdf
  18. <H2 class=tit>Trains régionaux : un vrai scandale !</H2>PACA . 13 700 trains supprimés en 2007 : le conseil régional inflige 6 millions d’euros de pénalités à la SNCF.Correspondant régional. En 2007, 260 millions d’euros investis dans le matériel et le réseau ferré, l’aide à la réouverture de lignes telle Cannes-Grasse en 2006, la création d’une police ferroviaire et des comités de lignes : le conseil régional PACA (Provence-Alpes-Côte d’Azur ) n’a pas attendu le Grenelle de l’environnement pour promouvoir le train comme moyen de transport beaucoup plus propre, pratique et confortable que la voiture. Pour quel résultat ? 13 700 TER supprimés en 2007 et près de 1 500 depuis janvier, soit en moyenne une quarantaine par jour sur les 545 qui devraient au total être mis en circulation ; des retards jusqu’à quinze minutes pour un train régional sur quatre ! Et des milliers d’usagers de plus en plus remontés contre la SNCF, comme ont pu le constater les différents conseillers régionaux qui sont allés à leur rencontre en avril dans les gares de Marseille, Toulon ou Nice. Parmi eux, Gérard Piel, le président communiste de la commission régionale des transports, qui avait des scrupules à s’en prendre au service public, mais qui trouve « de plus en plus insupportables cette dégradation et cette politique de la SNCF qui écoeurent les usagers des TER ». Un écoeurement d’autant plus grand qu’en matière d’information aux « naufragés des TER » la SNCF a aussi tendance à dysfonctionner. Ainsi, à l’occasion d’une table ronde convoquée le 28 avril dernier à Marseille par Michel Vauzelle, le président socialiste (et très en colère) du conseil régional, Jean Pierre Farandou, le directeur national des TER, a rendu « les grèves » responsables de l’annulation de 10 000 « trains de proximité » l’an dernier. Effectivement le dialogue social est quasiment rompu à Marseille depuis l’arrivée d’un directeur régional qui, selon les syndicats, a dénoncé tous les accords locaux qui étaient un plus notamment pour les « roulants », ce qui, s’ajoutant à la lutte des cheminots pour les retraites, a provoqué de nombreuses grèves en 2007. « On peut estimer leur impact à un tiers du total des suppressions de trains », dit Gérard Piel. Pour le reste, les élus de gauche tout comme les syndicats de cheminots mettent l’accent sur les milliers de suppressions de postes à la SNCF qui ont un impact régional désastreux. Il manquerait notamment, pour le seul département des Alpes-Maritimes, une quarantaine de conducteurs de locomotive, selon le syndicat CGT des cheminots de Nice. C’est dire que le conseil de cette région pilote pour le rail s’est montré bien peu convaincu par les explications de la SNCF. En conséquence de quoi, il a adopté une délibération « dans l’intérêt général » dont le point le plus spectaculaire est d’infliger des pénalités à hauteur de 6 millions d’euros à la SNCF. « Nous allons accroître ces sanctions en 2008 si la situation n’évolue pas favorablement », affirme Michel Vauzelle. Avec l’espoir avoué que d’autres collectivités locales adopteront la même attitude pour remettre le service public sur ses bons rails régionaux.
  19. Le secrétaire général de la CGT espère que que l'accord sur la représentativité syndicale permette de changer la donne. Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, a estimé dimanche qu'il y avait "trop d'organisations syndicales et pas assez de syndiqués", se félicitant que l'accord sur la représentativité syndicale permette, s'il est traduit dans la loi, de changer la donne. "Une chose est certaine, en tout cas pour moi, il y a trop d'organisations syndicales et pas assez de syndiqués", a déclaré M. Thibault interrogé lors du "Grand Rendez-vous" Europe 1/le Parisien-Aujourd'hui en France/TV5 monde. sas_pageid='2358/16834'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_eco sas_formatid=1278; // Format : rectangle 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); on error resume next ShockMode = (IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash.6")))Je pense que les salariés ont un intérêt commun à avoir moins d'organisations syndicales pour les représenter" et "l'important est que ces organisations syndicales soient bien le résultat du choix des salariés à partir des résultats des élections professionnelles", a-t-il ajouté en référence à la position commune récemment conclue par le Medef, la CGT et la CFDT au terme d'une négociation."Un des rares motifs de satisfaction - mais j'attends quand même une confirmation dans les faits - c'est que le Premier ministre nous a dit que normalement une loi devrait reprendre les modifications concernant la représentation syndicale et les conditions de validité des accords" issues de cette négociation, a ajouté M. Thibault. Concernant l'audience de la CGT, son secrétaire général a rappelé qu'elle était "en bonne place", avec environ 700.000 adhérents. "Mais nous ne sommes pas satisfaits", a-t-il ajouté, car la confédération est "malheureusement" encore loin "du cap de 1 million" qu'elle s'était fixé. Après un an de présidence de Nicolas Sarkozy, M. Thibault a estimé que le dialogue social avait "régressé". "Le président aime d'abord écouter ce que lui a à dire", a-t-il ironisé. "Nous voudrions être entendus" et que cela se traduise par "des inflexions" dans la politique gouvernementale. Interrogé sur le rapport entre mai 1968 et mai 2008, Bernard Thibault a noté "quelques similitudes", notamment le fait que les Français soient "confrontés à un pouvoir assez autoritaire, centralisateur, qui a du mal à intégrer le mot négociation". "Il y a une grogne sociale, d'intensité différente", a-t-il ajouté. Enfin, interrogé sur l'état de la gauche aujourd'hui, il a déclaré: "la gauche a besoin d'être en meilleure santé, elle n'apparaît pas comme une force suffisamment audible et crédible".
  20. <H1 class=title>“Une pompe à fric de la CGT !”</H1> Une plainte vient d’être déposée contre le secrétaire CGT du comité d’entreprise des TCL. Interview de Bruno Serpaggi, du syndicat CFTC à l’origine de cette procédure. Pourquoi vous avez porté plainte contre le secrétaire du comité d’entreprise ? Bruno Serpaggi : Parce que l’élu CFTC qui siège au comité d’entreprise a été écarté de toutes les commissions par Jean-Raphaël Diaz, le secrétaire du CE. Ce qui était totalement illégal. C’est une vengeance ? Pas du tout. Mais cette décision nous a confirmé que la gestion du CE manquait totalement de transparence. D’ailleurs, on avait déjà des soupçons sur l’attribution d’un marché qui portait sur la rénovation d’appartements du comité d’entreprise situés à Port-Barcarès. D’après nos informations, ce marché aurait été accordé à une entreprise appartenant au beau-frère de Jean-Raphaël Diaz et nous avons demandé les devis pour vérifier. On voulait aussi s’assurer que l’entreprise qui a décroché le contrat proposait vraiment des prix plus intéressants que ses concurrents. Mais on n’a jamais eu de réponse. Pourquoi ce manque de transparence ? Parce que Jean-Raphaël Diaz se sent intouchable. D’autant plus que le comité d’entreprise des TCL est géré depuis 1946 par la CGT qui a toujours été la principale organisation syndicale. Du coup personne n’a jamais osé lui demander des comptes. L’élu CFTC n’a pas accès aux comptes ? Si, mais jamais dans leur intégralité. On ne sait pas combien sont payés les salariés du CE par exemple... Et on vient seulement d’apprendre que le CE disposait de 832 000 euros de trésorerie. Ce qui est énorme quand on sait que le CE gère un budget de 2,6 millions d’euros. C’est plutôt une bonne chose que le CE ait une bonne trésorerie ! Oui, mais si le comité d’entreprise est si riche, pourquoi les salariés des TCL ont si peu d’avantages ? Pas de chèques-restaurant, pas de chèque-vacances... Et chaque année, seulement 350 salariés sur 4 000 peuvent profiter des appartements et des mobil-homes que possède le CE. En plus, on ne sait pas selon quels critères ces appartements sont attribués. Et j’aimerais bien avoir une liste des personnes qui sont parties en vacances grâce au CE depuis cinq ans. D’ailleurs en juillet dernier, nous avons demandé des précisions, en vain. Mais alors à quoi sert cette trésorerie de 832 000 euros ? C’est ce que j’aimerais bien savoir. Mais pour moi, cet argent ne profite qu’à la CGT puisque c’est elle qui gère les comptes. Et quand, entre 2001 et 2003, c’est FO qui a pris en main la gestion des comptes, comme par hasard, une partie des documents comptables avaient disparu... Malheureusement, à l’époque, le syndicat FO n’a pas commandé d’audit. Vous ne saviez pas que les salariés du CE étaient payés 3 700 euros par mois pour un mi-temps ? Non. D’ailleurs, on ne connaît toujours pas le nombre de salariés qui travaillent au CE. Mais c’est bien pour ça qu’on demande des explications précises. Car pour moi, ce comité d’entreprise ressemble à celui de l’EDF, c’est-à-dire une pompe à fric au service de la CGT. Et j’espère que cette affaire va intéresser la brigade financière. Car l’argent du comité d’entreprise des TCL doit revenir aux salariés des TCL. La direction des TCL a réagi ? C’est le directeur général de Kéolis à Lyon qui gère les TCL qui est président du CE. Mais il a toujours tout délégué à Jean-Raphaël Diaz et à la CGT qui est le principal syndicat aux TCL. En fait, pour Kéolis, c'est un moyen d’acheter la paix sociale. Un peu comme si la direction de Kéolis disait à la CGT : “Je ne m'occupe pas des comptes du CE, vous faites ce que vous voulez. Mais en échange, vous me laissez gérer l’entreprise tranquillement.” Propos recueillis par Emmanuel Derville 3 700 euros par mois à mi-temps Le comité d’entreprise des TCL est sans doute l’employeur le plus généreux de France. En effet, en 2006, il a déboursé plus de 251 000 euros pour rémunérer les quatre salariés employés au siège du CE, dans le 3e arrondissement. C’est en tout cas ce qui ressort des comptes 2006 du comité d’entreprise que Lyon Mag s’est procurés. Du coup, chaque salarié touche environ 62 800 euros par an, ce qui représente un salaire brut, incluant les congés payés et différentes primes, d’environ 3 700 euros par mois ! Trois fois le smic. Alors qu'aux TCL un conducteur de métro avec dix ans d’ancienneté gagne 1 400 euros net par mois. Etonnant. En revanche, les quatre autres salariés du CE qui sont employés sur d’autres sites touchent un salaire normal : entre 600 et 800 euros brut par mois.
  21. “Ça s’appelle du placard !” Ambiance tendue hier au conseil des prud’hommes de Lyon où Me Thierry Braillard défendait deux salariés du Comité d’entreprise régional de la SNCF. Willy Pasche et Christian Plantin, qui sont par ailleurs syndiqués chez Sud Rail, accusent la CGT, qui gère le comité d’entreprise, de les avoir privé de leur emploi alors qu’ils ont dirigé la salle de musculation du CE pendant plusieurs années. En 2007, la CGT a en effet décidé de confier la gestion de cet équipement à deux associations de cheminots. Motif invoqué : faire des économies. Il faut dire qu’en 2006, les charges de personnel s’élevaient à 3,1 millions d’euros alors que le budget du CE était de 3,8 millions d’euros ! Depuis, Willy Pasche et Christian Plantin sont dans un bureau sans rien faire. Mais pour eux, la CGT les a mis au placard parce qu’ils ont critiqué publiquement la gestion du CE. En dénonçant l’existence d’emplois de complaisance. Mais aussi le fait que la signature de Willy Pasche, qui était responsable des achats pour les activités sociales du CE, a été imitée à plusieurs reprises pour signer des chèques à l’ordre de salariés de la SNCF. Bref, pour leur avocat Me Braillard, Willy Pasche et Christian Plantin seraient victimes d’une discrimination syndicale. Ce que dément l’avocat du CE, Me Tourné : “il n’y a eu aucune rupture de contrat car les deux personnes se sont vues proposer des postes aux œuvres sociales.” Quant aux soupçons de mauvaises gestions qui pèsent sur la CGT, la brigade financière a été saisi de l’enquête. Emmanuel Derville
  22. relevé DCI 7 avr 2008 ASCT relev__DCI_7_avr_2008__ASCT.pdf
  23. LELILLOIS

    SNCF DEVRA PAYER !

    Belle victoire ! SNCF_DEVRA_PAYER__.pdf
  24. LELILLOIS

    LA GREVE ?

    LA GREVE ? 2008___5___6___La_Gr_ve.pdf
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