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Le Web des Cheminots

LELILLOIS

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  1. des jeunes rentrés en CDD pendeant l'été apres avoir déposé un préavis pour des embauches certains cdd etaient concernés par ces embauche et la la direction s'est appercus que 2 jeunes avaient bac + 2 ils n'ont meme pas debuté la formation ... tu es de quel région ?
  2. sauf que moi j'ai des exemple de jeune bouler car ils avaient mentis sur leur diplome pas ma peine après d'essayer d'avoir un autre poste ....
  3. salut A BAC +2 tu e peux prétendre au métier d'ASCT mais a celui de DPX ( RET ) tu peux essayer mais si il intéroge l'a cadémie tu sera refoulé
  4. LELILLOIS

    DCI SUGE

    SuGE DCI_SUGE.doc
  5. LELILLOIS

    LA MORT D'ALLIANCE

    ENFIN une bonne nouvelle ! 150408___n2__Direct_Trains___Alliance_ASCT___Echec_technique_et_arr_t_de_l_outil.pdf
  6. Communiqué de la fédé Sud Personnelement mes pensées vont à ma collegues , je fais le meme métier et si il faut déposer le sac ( comme on l'a déja fais pour une autre ASCT ) j'en serais Et dire que certain nous traitent de quoi déja ? ah oui de privilégiés ! communiqu__agression_ASCT_de_Bordeaux.doc
  7. com presse 2008 04 16 com_presse_2008_04_16.pdf
  8. La Cour des comptes prône un big-bang du système ferroviaire La Cour des comptes prône un big-bang du système ferroviaire en proposant le transfert d'environ un tiers des cheminots de la SNCF à Réseau ferré de France (RFF), propriétaire des voies ferrées, et en demandant à l'Etat de récupérer près de la moitié de la dette de RFF. nMaxPhoto = 3;Dans son rapport publié mercredi, la Cour fustige le rôle de l'Etat et sa réforme du système ferroviaire de 1997, qui a créé RFF en lui transférant 20 milliards de dettes que supportait jusque là la SNCF. Depuis, c'est RFF, endetté et en déficit chronique, qui doit assumer le financement et l'entretien des voies sur près de 30.000 km. Pour les sages de la rue Cambon, "ce sont les faiblesses intrinsèques de cette réforme qui sont à l'origine de nombreuses difficultés que le secteur connaît depuis lors". Ils rappellent notamment qu'en raison du mauvais état de certains tronçons, la SNCF doit faire rouler ses trains au pas sur des centaines de kilomètres. Selon Philippe Séguin, président de la Cour des comptes, on constate "une chute de la qualité de service" ainsi que de la "ponctualité" et la question de la "sécurité" pourrait bientôt se poser en raison du sous-investissement. Il est donc nécessaire, selon la Cour, de redonner à RFF des moyens humains et financiers, de façon à rétablir un certain équilibre avec la SNCF, qui selon la Cour, "a en pratique beaucoup plus de pouvoir".Par exemple, même si c'est RFF qui est propriétaire des voies, elle en délègue l'entretien --moyennant finances-- à la SNCF. La Cour des comptes estime donc que "RFF pourrait obtenir le transfert des agents de la SNCF" affectés à l'entretien du réseau, soit les 55.000 cheminots de la branche Infrastructure de la compagnie ferroviaire. Cela signifierait qu'environ un tiers des cheminots pourraient perdre leur statut, une perspective prompte à déclencher la colère de leurs syndicats. La Cour estime d'ailleurs que le fait de lui avoir laissé ces effectifs en 1997 était destiné à "prévenir (...) toute opposition des organisations syndicales". En guise d'alternative, la Cour propose de faire de la branche Infrastructure de la SNCF une filiale qui prendrait peu ou prou la place de RFF, une proposition là aussi explosive pour les partenaires sociaux, opposés à la filialisation des branches de la compagnie nationale. Au préalable, il faudrait soulager RFF de sa dette, estime aussi la Cour, et en particulier des 12 à 13 milliards que l'établissement public considère comme impossible à rembourser. Cette somme doit donc être "reprise par l'Etat et intégrée dans le périmètre de la dette publique, auquel elle échappe aujourd'hui de façon artificielle". L'Etat doit "renoncer aux artifices comptables", quitte "à se faire taper sur les doigts par Bruxelles", a renchéri Philippe Séguin. La dette publique de la France dépasse déjà les 60% du PIB, limite préconisée par la commission. Côté investissements, la Cour des comptes souhaite qu'"une priorité plus forte" soit donnée à l'entretien par rapport à l'extension du réseau, notamment la création de nouvelles lignes TGV, coûteuses et pas toujours rentables, jusqu'ici chouchoutées au détriment des lignes classiques. Les lignes TGV "c'est une autre planète", a estimé Christian Deschemeeker, président de la 7ème chambre de la Cour. La Cour juge enfin opportun de "rouvrir le débat sur les lignes les moins fréquentées", en particulier les 13.600 km (46% du réseau) qui ne supportent que 6% du trafic. "Une partie de ces lignes pourraient être fermées", juge la Cour.
  9. communiqué agression ASCT de Bordeaux communiqu__agression_ASCT_de_Bordeaux.doc
  10. LELILLOIS

    CR DCI UNITAIRE

    Microsoft_Word__CR_dci_9_avril.pdfEn piece jointe
  11. LELILLOIS

    DCI unitaires

    DCI 07_1_.04.08_DCI_unitaire___la_DDT_et_RH.doc
  12. Interfédérale du 31 mars Tract_suite_interfederale_31_mars.doc
  13. LELILLOIS

    LE PLAN DE PEPY

    Le plan choc du patron de la SNCF Marc Lomazzi jeudi 20 mars 2008 | Le Parisien (AFP/P.VERDY.)ZOOM ImprimerEnvoyer Guillaume Pepy a donné hier sa vision de l'entreprise. Pour les clients, plus d'offres TGV, une remise à niveau des TER , des RER d'Ile-de-France et une hausse du fret. Pour les cheminots, un nouveau pacte social, pas au goût des syndicats. «LE TGV a sauvé la SNCF et le TER a rejoint cette dynamique, mais le fret, Transilien et le réseau ont décroché. Mon objectif est de raccrocher tous les wagons. » Un mois après sa nomination à la tête de la SNCF, son PDG, Guillaume Pepy, a présenté hier les axes du plan stratégique 2008-2012. sas_pageid='2358/16834'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_eco sas_formatid=1278; // Format : rectangle 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); on error resume nextSet oFlashPlayer = CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash." & nRequiredVersion)If IsObject(oFlashPlayer) ThenbIsRightVersion = TrueEnd IfIf (Not bIsRightVersion) And (nRequiredVersion < 3) ThenSet oFlashPlayer = CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash")If IsObject(oFlashPlayer) ThenbIsRightVersion = TrueEnd IfEnd IfInspiré de la feuille de route fixée par Nicolas Sarkozy, son programme est destiné à provoquer un « choc positif » chez les 220 000 salariés du groupe. Attendu au tournant par les syndicats, le successeur d'Anne-Marie Idrac a joué sur la corde sensible des cheminots. « Je ne veux plus qu'on parle d'une SNCF à deux vitesses », a-t-il martelé. D'ici à 2012, il veut moderniser les trains de la vie quotidienne, « service public vital pour les Français », hisser la branche fret dans le top 5 mondial des opérateurs logistiques et continuer à développer le réseau TGV. Un bénéfice record de 1,042 milliard d'euros Parmi ses chantiers prioritaires figurent donc en bonne place le retour à l'équilibre d'ici à 2010 du fret, point noir de la SNCF, la remise à niveau des RER d'Ile-de-France avec, sans attendre, un plan d'urgence en faveur du RER D, un effort commercial sans précédent pour accroître de 30 % en trois ans les abonnés TER ou l'embauche de 1 000 ingénieurs et techniciens pour accélérer la réhabilitation des voies ferrées. Mais l'ex-numéro deux de la SNCF, inventeur des iDTGV, garde une faiblesse pour « son » TGV. En trois ans, il veut proposer 12 millions de places supplémentaires. Il lui faudra faire face à l'arrivée de la concurrence des compagnies low-cost sur le marché domestique (lire page suivante). Alors que se profile le renouvellement du parc, il a demandé à Alstom de lui concevoir une nouvelle génération de rames mariant la vitesse du nouvel AGV (360 km/h) et la capacité des actuels Duplex. La SNCF, qui veut damer le pion à la Deutsche Bahn, sa rivale, a les moyens de ses ambitions. Le groupe a affiché hier un résultat net record de 1,042 milliard d'euros pour un chiffre d'affaires de 23,7 milliards d'euros qui devrait bondir de 50 % en cinq ans. Seul écueil : la modernisation de la SNCF se heurte à la lourdeur de l'entreprise. D'où l'idée d'un nouveau « pacte social » visant à partager avec les cheminots les bénéfices engrangés. Un accord d'intéressement dont les syndicats ne veulent pour l'instant pas entendre parler
  14. Bénéfice record ! Com_DIVIDENDE.pdf
  15. Communiqué de presse Paris le 18 mars 2008 La Cour d'appel de Paris réunie le 22 janvier 2008 vient de prononcer, le 18 mars 2008, la condamnation de la SNCF à payer: 732 802 euros au titre des rappels de salaire à 162 ex-emplois jeunes; 16 200 euros au titre des frais de justice 810 euros au syndicat SUD-Rail au titre des dommages. Ce premier jugement devant la cour d'appel confirme les 5 jugements prononcés devant les prud'hommes de Paris (en Bureau de Jugement ou devant le juge de départage) condamnant la SNCF à respecter le contrat de travail des agents ainsi que sa propre réglementation interne (PS 25). 332 agents en région parisienne et une centaine en province, aidés et soutenus par les syndicats SUD-Rail (ceux-ci ont assumé la totalité des frais de justice et de procédure), ont réclamé leur dû, mais 2368 autres n'ont pas eu l'occasion ou n'ont pas pu faire valoir leurs droits (refus des autres syndicats d'engager les procédures, prescription quinquennale...). Durant les 7 années d'existence des contrats Emploi-Jeune (1998 à 2004), la SNCF a "subtilisé" près de 20 millions d'euros sur les salaires de ces agents en contrats précaires. Au total si les autres jugements en Cours d'appel de Paris (10 juin, 16 juin, 20 octobre 2008 et 5 janvier 2009) vont dans le même sens que celui qui vient d'être prononcé aujourd'hui, ce sera seulement 10 % de cette somme que la SNCF devra rembourser. SUD-Rail regrette que la Cour d'appel n'ait pas souhaité sanctionner plus lourdement, par des dommages et intérêts substantiels, un tel délit opéré par une aussi importante entreprise publique. Finalement le crime paie..... Pour tous contacts Syndicat SUD Rail de St-Lazare D. Malvaud Tel : 01 44 85 01 84 Courriel : pslasud@voila.fr Syndicat SUD Rail de Paris-Est Bob FrahLia Tel: 01 42 05 00 82 Courriel : sudrailpe@wanadoo.fr Syndicat SUD Rail PSE Mélanie Leveuzie Tel : 08 70 25 20 69 Syndicat SUD Rail PRG Luc Destoubieux Tel : 01 40 48 03 15
  16. <H1 class=RUB>Info & Secteurs > Transport & Logistique > Actualité </H1>TRANSPORTS URBAINS - La RATP épinglée par le Conseil d'Etat sur le service minimum [ 12/02/08 ] Sud vient de lancer un joli pavé dans la mare du service minimum. Certes, le syndicat n'a pas été entendu par le Conseil d'Etat sur le volet principal de son recours qui concernait l'accord de prévention des conflits signé par la régie avec la CGC, la CFTC, la CFDT, les « indépendants » et la partie maintenance de la CGT. Mais la haute juridiction administrative, que le syndicat avait saisie en référé, a suspendu hier une disposition clef du « plan de prévisibilité » du trafic adopté en application de la réforme sur le service minimum, jusqu'à ce qu'intervienne un jugement au fond. Cela signifie à tout le moins que le dispositif ne pourra pas s'appliquer avant plusieurs mois. S'il s'applique... Le Conseil d'Etat a estimé, dans l'ordonnance dont « Les Echos » se sont procurés une copie, qu'il y avait « un doute sérieux » quant à la légalité du mécanisme de sanction en cas de non respect de l'obligation de se déclarer gréviste que la régie veut imposer à ses agents, en application de la loi du 21 août 2007. Repenser le plan Est en cause la règle selon laquelle le salarié « qui n'aura pas informé l'entreprise de son intention de participer à la grève » sera « passible d'une sanction disciplinaire, dont le niveau de gravité n'est pas précisé », selon le plan de prévisibilité. Le Conseil d'Etat a aussi pointé le fait que la RATP veut obliger ses salariés à l'informer au minimum 48 heures avant le début du mouvement et non « avant de participer à la grève », comme le dit la loi. En s'attaquant ainsi au point dur de la réforme, le juge administratif va probablement contraindre la régie à repenser son plan de prévisibilité. Un camouflet pour une entreprise qui s'était targuée début janvier d'être la première à mettre en musique le service minimum promis par Nicolas Sarkozy pendant la campagne électorale. Hier soir, la RATP se refusait à tout commentaire, au motif qu'elle n'avait pas encore reçu le jugement. Selon son avocat, la loi sur le service minimum a été appliquée trois fois depuis début janvier et seul un agent, qui n'a pas rempli l'obligation de se déclarer gréviste 48 heures à l'avance, a fait l'objet d'un « rappel à l'ordre ». « Aucun agent n'est empêché de faire grève », d'après lui. Guillaume
  17. LELILLOIS

    RAILTEAM sud

    en piece jointe tract_railteam_N_2.doc
  18. en piece jointe Liste_m_tiers_p_nibles.doc
  19. IL SUFFIT DE DEMANDER voici la liste des métiers dit pénibles Liste_m_tiers_p_nibles.doc
  20. Quand je lis les 3 OU 4 DERNIER messages de yabasta 62 ( qui ne fait que de taper sur SUD ) je me dis qu'il est loin le temps ou on sera unis ... Teje tu me reprochais que mes post allaient tous dans le meme sens lis ceux de yabasta ... Pour yabasta tu demande combien de % de grévistes au bout de 8 jours ? 75 % des controleurs encore en greve au bout de 8 jours au niveau national , je pense que pour tous ceux ( controleurs et autre cheminots ) qui étaient en lutte jusqu'au dernier jours méritent un peu plus de respect ! enfin tu ferais bien de balayer un peu devant ta porte avant de critiquer tel ou tels élus / militants ou OS Car si tu le desir je te mets en ligne le relevé d'un élu CGT en DD le 31 décembre et le 26 decembre je pense que tu as du en entendre parler vu qu'il s'agit d'un délégué de Valenciennes .... Tu as le droit de croire en l'action de la CGT comme un autre a le droit d'etre ou non syndiqué ; Le dernier mouvement est un terrible echec ( apres on peut discuter des responsabilités de chacun) mais le constat est la 1 ere greve sous pépy et lemouvement syndicale dans son ensemble s'en trouve affaiblis et c'est l'ensemble des cheminots qui paieront
  21. tract pénibilité 12 mars 2008 tract_p_nibilit__12_mars_2008_V2.pdf
  22. temps reel penibilite TEMPS_REEL_PENIBILITE.pdf
  23. lire tout l'article ... 12_1_.03.2008_D_p_che_AFP0001.pdf
  24. voici article sur le net " PARIS (AFP) - Le trafic était "pratiquement normal" mercredi à la SNCF, où la direction faisait état d'un taux de grévistes de 9,1% et estimait que la loi sur le service minimum lui avait permis d'affiner au mieux ses prévisions et d'apporter "un plus pour les clients". (publicité) < "Le taux de grévistes globalement est de 9,11%, et de 13,92% dans l'exécution" (hors maîtrise et cadres), a précisé un porte-parole de la SNCF. Le secrétaire général de la CGT cheminots Didier Le Reste a pour sa part évalué le taux de grévistes, tous services confondus, entre 15% et 20% à 11H00. La CGT a appelé à la grève de mardi 20H00 à jeudi 08H00 pour dénoncer l'évolution du fret et peser sur les négociations en cours sur la pénibilité, objet d'une table-ronde conclusive entre syndicats et direction mercredi après-midi. Pour la première fois au niveau national, l'entreprise ferroviaire publique a appliqué pour cette grève la loi sur le service minimum qui oblige depuis janvier les grévistes à déclarer 48 heures avant la grève s'ils comptent la suivre ou non. "Le service minimum ça marche et c'est un plus pour les clients", a résumé un porte-parole de la direction. Selon lui, 3.773 cheminots sur les 14.600 conducteurs, contrôleurs et aiguilleurs qui auraient pu faire grève ce mercredi avaient indiqué 48 heures avant dans le formulaire prévu à cet effet qu'ils comptaient faire grève. Et - à moins de 5% près - il étaient effectivement en grève ce mercredi. Parallèlement, la SNCF n'a quasiment pas constaté de cas de cheminots ayant fait grève alors qu'ils ne l'avaient pas annoncé précédemment. "La loi (sur le service minimum, ndlr) nous a permis d'ajuster nos prévisions de trafic, qui se révèle au final meilleur que prévu", a assuré le porte-parole de la direction
  25. "J'espère simplement qu'il va y avoir une remise à plat de part et d'autre pour que, par la suite cette gueguerre cesse et que l'on se préoccupe des vrais problèmes du moment (et il y a de quoi faire) et de l'avenir de notre entreprise" la je suis 100 % avec toi
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