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Le Web des Cheminots

Bearcat

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Messages publiés par Bearcat

  1. Il faudrait comparer ce que dit RFF sur le statut eventuel de leurs futurs horairistes.. Serait il meilleur ou pire ?

    En toute neutralité, il me semble évident que ces postes ne peuvent continuer à rester sous l'egide d'une EF, à la manière d'AF qui emploierait les contrôleurs aériens en France !!!

    Ils exercent depuis longtemps dans une structure publique indépendante qui leur garanti un statut, mais bien indépendante des compagnies ( il y a d'ailleurs pour eux un risque de basculer dans le privé, qu'ils combattent )

    Mais vu le contexte crispatif, revenchard et opportuniste qui régne dans la jungle de l'ouverture du rail en France, je saisi completement les peurs, réelles, ou fantasmées, qui motivent cette mobilisation...

    Reste que le repreneur eventuel, RFF, est bien une structure publique, avec normalement les garanties qui vont de pair...

    Ce n'est donc pas demain ques ces services vont "reinventer le rail," à la manière assez pitoyable de certaines EF aux pretentions qui s'affichent, sans s'en donner les moyens....

    Fabrice

    Pour rebondir sur ce que marque Fabrice, tout le monde leur tape dessus (les EF= c'est la faute à RFF et RFF déclare que le problème vient de ce qu'il soustraite à la SNCF ce service) sans que cela n'apporte de solution concrète à cet éternel problème:

    • comment répartir la capacité d'une ligne entre les travaux (de plus en plus massifiés ...)
    • les régions qui veulent plus de TER avec ou sans cadencement
    • et enfin les EFP Fret (en attendant le Voyageurs nonmais ) qui désirent desservir leurs clients au plus près de leur préoccupations de production en flux tendus helpsoso ....

    Lors de la création de RFF, il était sûr que les horairistes seraient un jour du tenant de ce gestionnaire d'infra ...

    Et sans être perdu d'avance, cette bataille du Rail, nouvelle version, sera extrêmement compliquée à gérer pour les deniers horairistes "made in SNCF" jusqu'à ce qu'ils disparaissent par effet de retraite ...

    Du temps d'une SNCF intégrée, cette quadrature du cercle était déjà compliqué pour ne pas dire difficile à réaliser, alors maintenant que c'est diviser au 4 vents, cela est en passe de devenir "MISSION IMPOSSIBLE" lapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuse !!!

  2. Salut voilà maintenant , que l'on ma jeté comme une vielle chaussette:Smiley_67: ,après m' être accidenté au travail, alors qu'il y a faute de l'employeur SOCORAIL EUROPORTE(lieu accident pas aux normes, conditions de travail avant accident pas au normes:Smiley_74: ,)ILS M'ont licencié après m'être bien eclaté la santé au travail pour eux , après 1 an et demi d'accident du travail les medecins m'ont dit que j'aurai des sequelles à vie! voire pire que je venais de contracter une maladie suite à ce traumatisme , Maladie rare et complexe (Classé travailleur Handicapé), voilà bonne deprime ! ET BEN !!! VOUS SAVEZ COMMENT ON M'A REMERCIE CHEZ SOCORAIL EUROPORTE aucun reclassement UN GROS COUT DE SAVATE!!! Casse toi pauvre con! merci beaucoup!lapleunicheuse

    Salut

    Contacte tes DP et le DS de ta société (je le connais juste de vue, mais je sais qu'il ne s'en laisse pas compter par le tôlier ;) ... ).

    Et suit les conseils des collègues Cheminots okok .

  3. Eh bien moi, oui precisement,....d'autant que le terme FUA au sens literal, est bien une denomination Française...et que le fil tourne sur le KVB.

    Celà te choque t'il ? celà te surprends t'il ?

    Un peu comme pour l'EPSF, dont on se demande quand il vont se decider à taper dans la fourmilière.... Mais on connait de trop les pressions diverses que les organes de contrôles dependant de l' Etat peuvent subir.....

    Fabrice

    J'étais en réunion UTP avec l'EPSF, mercredi 30 Mars ...

    Visiblement, cela ne fait pas dans leurs prérogatives d'aller taper sur les tôliers indélicats avec les FU KVB.

    Lien du rapport sur la sécurité du RFN 2009 au format PDF

    Je te rassure, chez nous, on aime pas non plus voir ce type d'incidents conduite revenir !!!

    Par contre, dans une certaine EF, on le sait (de source sûre, si si...), cela n'inquiète personne ...

  4. Représentativité, les leçons de la SNCF

    Représentativité : les leçons de la SNCF 30 mars 2011 par Bernard Vivier

    Lentement mais surement, la loi du 20 août 2008 produit ses effets. En faisant des élections professionnelles d'entreprise un des fondements de la représentativité syndicale, cette loi est en train de bouleverser le paysage syndical français. A la SNCF, les 155 000 agents viennent de vivre un renouvellement des instances représentatives du personnel. C'est la deuxième fois depuis la loi de 2008. Les leçons du scrutin sont nombreuses, pour la SNCF et, au-delà, pour le syndicalisme français et pour les relations sociales en leur ensemble.

    Le scrutin du 24 mars dernier était attendu. La précédente consultation, le 26 mars 2009, avait permis d'observer la poussée électorale d'une tendance syndicale réformiste (l'UNSA) et, tout à la fois, celle d'une tendance syndicale radicale (SUD-RAIL). Elle avait ouvert une période difficile pour les relations sociales dans l'entreprise, marquée par une sorte de « glaciation conventionnelle » - pour reprendre une expression CGT - et par une série de tensions en 2010 (sur les salaires et les conditions de travail en avril, sur les retraites en octobre - novembre).

    Le scrutin vient d'apporter une réponse à toutes ces interrogations. Il clarifie désormais le jeu des relations sociales internes à l'entreprise. Plus encore, il éclaire puissamment la lecture que l'on peut faire de la mise en œuvre de la loi du 20 août 2008 sur la représentativité syndicale.

    De 8 à 4 organisations

    Première leçon du scrutin du 24 mars dernier : le paysage syndical s'éclaircit. De huit organisations traditionnellement présentes dans l'entreprise, le nombre se réduit à quatre syndicats représentatifs : CGT, UNSA, SUD-Rail et CFDT.

    En 2006, 8 organisations étaient en compétition. En 2009, la FGAAC (Fédération générale autonome des agents de conduite) s'était rapprochée de la CFDT pour faire liste commune. En effet, avec 3,04 % des voix exprimées au scrutin de 2006, la FGAAC ne pouvait pas espérer atteindre en 2009 le seuil de 10 %, désormais défini comme le seuil nécessaire pour concourir à la représentativité et bénéficier de ses attributs (droit à négocier, moyens financiers et humains de l'action syndicale). Quoique très présente chez les agents de conduite (30 % des voix environ dans les scrutins antérieurs), la FGAAC restait cantonnée dans une approche très catégorielle de l'action syndicale.

    Elections CE à la SNCF

    Au soir du scrutin de mars 2009, le rapprochement s'est avéré vital aux deux organisations. En effet, les résultats 2006 pouvaient laisser espérer un résultat 2009 confortable, au-dessus des 10 % : 11,58 % (CFDT) + 3,04 % (FGAAC) = 14,62 %. Il n'en a rien été. Le résultat de la liste commune fut 11,59 %. Cela indique bien, au passage, la fragilité des calculs d'état-major et des projections sur les fusions de liste. Le scrutin de 2009 donnait, en quelque sorte, le résultat suivant : 1+1 = 1. La CFDT faisait du sur-place. Mais elle passait un cap difficile. Son calcul était le bon. Les deux années qui ont suivi lui ont permis de travailler en profondeur la fusion des cultures CFDT - FGAAC, de s'affirmer clairement comme une organisation réformiste et ouverte à la négociation et de se montrer accueillante à des militants d'autres organisations.

    Avec 13,79 % des suffrages exprimés en mars 2011, la CFDT assure son avenir. Elle se place en position très honorable, comme la seconde organisation réformiste.

    De leur côté, les petites organisations ont été marginalisées, voir laminées. En 2006, le total des voix CFTC (8,14 %) + FO (6,63 %) + CFE-CGC (1,02 %) atteignait 15,79 % des suffrages exprimés.

    Au scrutin de 2009, FO et la CFE-CGC se rejoignaient dans une liste commune. Le résultat fut mathématiquement bon : 7,99 %. Mais il fut juridiquement insuffisant, le seuil des 10 % désormais nécessaire n'étant pas atteint.

    La CFTC, de son côté, avait décidé de faire cavalier seul. De 8,14 % en 2006, elle descendait à 5,4 % en 2009. Son électorat avait, entre temps, adopté en grande partie le jeu du « vote utile ». Ses militants, très interrogatifs sur leur propre sort, avaient pris des positionnements divers. Certains étaient partis avant le scrutin de 2009 vers l'UNSA ou vers la CFDT, quelques autres - plus isolés - vers Force ouvrière.

    Au soir du scrutin de 2009, le total des trois organisations était de 13,39 %, en deux listes distinctes. Rien n'était perdu pour elles pour 2001, même si le droit à négocier était supprimé et les moyens de l'action syndicale étaient réduits à la portion congrue.

    Entre 2009 et 2001, les cheminots restés à la CFTC s'interrogeaient sur la ligne à tenir : alliance avec FO ou bien reconquête par leurs propres moyens ? La direction confédérale indiqua, lorsqu'elle eût à s'inquiéter de la situation, que la deuxième formule était celle à adopter. Les militants CFTC ayant opté pour un rapprochement avec Force ouvrière furent désavoués, puis sanctionnés pour avoir persévéré. La création par leurs soins d'une organisation distincte de la CFTC (FIRST) conduisit à leur bannissement.

    Le scrutin de 2011 laisse encore à Force ouvrière (8,52 % des voix) un petit espoir pour le scrutin prochain, à condition de clarifier son image sur un échiquier syndical désormais structuré entre syndicats réformistes (UNSA, CFDT) d'une part, syndicats de rupture (SUD-Rail) ou de refus (CGT) d'autre part.

    Pour leur part, CFTC (1,05 %) et CFE-CGC (0,44 %) ont perdu tout espoir de rebond.

    Recomposition syndicale et bipolarisation

    La deuxième leçon du scrutin est donc celle de la recomposition du syndicalisme, sur une logique de bipolarisation, chacun des deux pôles étant lui-même structuré en deux tendances.

    Cela conduit à se projeter vers l'avenir. Force ouvrière, nous l'avons dit, va devoir affirmer son discours et clarifier son image. Le travail n'est pas aisé. Les cheminots FO auront à tenir compte de l'indéniable poussée réformiste de l'électorat, de l'exigence de négocier les changements inévitables que la SNCF va vivre, sur fond d'ouverture à la concurrence, et de l'image souvent contrastée de leur confédération dans l'opinion publique (la réforme des retraites a vu la confédération adopter une posture de raidissement, souvent peu en phase avec la culture et la pratique de nombre de ses militants).

    La CFDT et l'UNSA se situent sur une ligne globalement convergente. Au niveau confédéral, les contacts se développent. Ils permettent de poser les bases d'un rapprochement plus officiel après 2013. Un tel mouvement ne serait pas sans conséquence à la SNCF, s'il débouchait (mais nous n'en sommes pas là) sur la construction d'une organisation unique. A la SNCF, le bloc UNSA-CFDT ferait pratiquement jeu égal avec la CGT (35,27 % pour ceux-là, 37,32 % pour celle-ci au scrutin de 2011).

    La CGT a pu faire l'objet de commentaires sévères, au soir du scrutin de mars 2011. Ces commentaires soulignaient l'érosion significative (sur les sept dernières années, 7 points perdus), corrélés aux déceptions électorales de la CGT en novembre et décembre 2010 dans plusieurs entreprises publiques, notamment RATP, EDF et ErDF.

    Tout ceci est exact mais demande à être tempéré. La CGT, avec 37,32 % des voix, se situe très au-dessus du deuxième syndicat (UNSA, 21,48 %) et continue à déployer un appareil militant structuré et formé. Le changement de secrétaire général de la fédération des cheminots, fin 2010, le montre. Le passage de relais de Didier Le Reste à Gilbert Garrel souligne la capacité de la CGT à prendre en compte les évolutions professionnelles et sociologiques des personnels SNCF. Titulaire d'une maîtrise maths-physique, élu dans le collège cadre pour la première fois en 1995 (l'année des conflits conduits par Bernard Thibault), Gilbert Garrel était depuis 2006 le secrétaire de l'UFCM, le syndicat des cadres CGT.

    En outre, la concurrence de SUD-Rail marque le pas, avec une stabilisation de l'audience : 17,67 % en 2009, 17,40 % en 2011. SUD-Rail, organisation nerveuse et radicale, attire à elle un électorat deux fois moins important que la CGT. Après 2013, il y a fort à parier que la représentativité nationale ne sera pas accordée à l'Union syndicale Solidaires et que les syndicats SUD auront des choix stratégiques à opérer. Sans oublier qu'à la SNCF comme ailleurs, le discours radical de SUD exprime souvent - et ce n'est contradictoire qu'en apparence - des inquiétudes catégorielles, sur fond de refus de changement.

    Déblocage possible de la négociation collective

    C'est précisément là que se situe le troisième enseignement du scrutin : une ère nouvelle de relations sociales s'ouvre.

    Pendant plusieurs dizaines d'années, les relations sociales à la SNCF étaient dominées par les exigences de la CGT et du Parti communiste, qui avaient fait de l'entreprise un de leurs bastions aux multiples avantages : réservoir d'hommes et de moyens matériels et financiers, instrument de pression sur les gouvernements du moment (blocage des transports en France). La fidélité inconditionnelle de la fédération des cheminots CGT aux consignes du Parti communiste permettait à celui-ci, jusqu'à une période récente, de se faire entendre de ses partenaires ou interlocuteurs publics autrement que dans le cadre d'une négociation classique et par les arguments de la raison.

    La chute du communisme en Europe et son érosion en France ont créé les conditions d'une possible évolution de la CGT vers des pratiques plus syndicales. Nul doute que Bernard Thibault, secrétaire général des cheminots CGT puis (à partir de 1999) secrétaire général de la confédération, incarne cette évolution, au risque d'une incompréhension voire d'une hostilité interne qu'incarnait notamment Didier le Reste, son successeur à la tête de la fédération des cheminots.

    Cette évolution reste retardée par les adhérences au passé que continuent à porter bien des dirigeants et militants CGT. Elle est aussi ralentie par la montée en puissance de SUD-Rail, que le radicalisme affirmé et la capacité d'une action militante de terrain ont placé en position élevée sur l'échiquier syndical de la SNCF.

    A la SNCF, l'évolution de la CGT n'est pas encore de l'ordre du réalisé. Est-elle de l'ordre du réalisable ? La question n'est plus incongrue. Deux évènements nourrissent cette analyse.

    Le premier remonte au printemps 2010. Au terme de quinze jours de grève en avril 2010, la CGT -qui voulait à cette occasion reprendre la main sur des cheminots séduits par SUD-Rail - a dû céder. La direction a juste confirmé ce qui avait déjà été obtenu par la négociation. La CFDT se félicitait de la situation en ces termes, rapportés par son hebdomadaire confédéral (Syndicalisme hebdo, 29 avril 2010) : « Nous avons fait la démonstration que la négociation rapportait plus que la grève ». Cette analyse correspondait mot pour mot à la ligne de conduite de la direction de la SNCF. Guillaume Pépy, président de la SNCF, analysait ainsi le conflit d'avril : « Une grève de quinze jours n'est une victoire pour personne. J'ai affiché une stratégie claire, qui a pour but de réduire ce que Louis Gallois appelait la « gréviculture », stratégie qui peut se résumer par : la négociation rapporte systématiquement plus que la grève » (Challenges, 03 juin 2010).

    Il est aujourd'hui clair que les mentalités évoluent : de plus en plus impopulaires (phénomène grandissant), les grèves à la SNCF « ne paient plus », face à une direction déterminée à promouvoir le dialogue social en valorisant la négociation. Le réalisme CGT va devoir en tenir compte.

    Le deuxième événement susceptible d'accélérer l'évolution, ce sont précisément les résultats du scrutin du 24 mars dernier. Les voix recueillies par la CFDT et l'UNSA dépassent, ensemble, le seuil des 30 %. Eric Falempin, secrétaire général de FO Cheminots, l'observe avec justesse : « La CFDT et l'UNSA vont devoir « prendre leurs responsabilités ». C'est intéressant, parce que pendant deux ans, il n'y a eu aucune négociation dans l'entreprise » (AFP, 25 mars 2011).

    La direction va désormais pouvoir ouvrir et conclure des négociations avec elles, sans pour autant avoir besoin de la CGT pour la signature. SUD est, dans cette nouvelle configuration, marginalisée et, avec 17,40 % des voix, ne peut pas s'opposer à l'installation d'un accord signé.

    La CGT en position d'arbitre

    La CGT va se trouver en situation de laisser faire les accords (scénario d'une CGT évolutionniste) ou (scénario de blocage) de s'allier à SUD pour s'y opposer et bloquer les réformes (50 % des voix sont nécessaires pour bloquer la mise en œuvre d'un accord signé par d'autres). Restant ainsi en position d'arbitre de la régulation sociale à la SNCF, la CGT aura à adopter une ligne de conduite qui devra être observée avec attention, car révélatrice des comportements futurs de la CGT dans son ensemble.

    A la SNCF, les négociations à venir sont nombreuses et d'importance : négociations salariales (aucun accord en 2010), négociations sur la gestion prévisionnelle de l'emploi, négociations sur la durée et les conditions de travail. Dans le contexte général d'ouverture à la concurrence et d'arrivée sur le marché de nouveaux compétiteurs, français et européens, la SNCF a grand besoin de voir s'établir des règles sociales collectives sur le marché du travail, communes à tout le monde du transport ferroviaire. A l'évidence, pour reprendre Guillaume Pépy, la négociation rapportera plus que la grève.

    EDIT => remise en forme par rapport à la page web originale.

  5. C'est uniquement par ce biais que la sécurité ferroviaire a évolué... Il a fallu des incidents, accidents, catastrophes pour voir qu'il y avait des failles dans le système et y remédier.... Quelques exemples:

    - application du KVB suite à Argenton sur Creuse (1985) et Melun (1991)

    - réécriture de l'article sur la VFF suite à la gare de Lyon (1988)

    - mesures "zone dense IDF" suite au quasi accident de villeneuve Triage (2002)

    Tu oublies l'essai de frein dynamique suite à Montauban nonmais ...

  6. Salut,

    On ne parlera des retards au départ en raison de la mise a dispo tardive de la rame, rame mise a dispo par qui déjà ? :rolleyes:

    :rolleyes:Rooohhh, tu relèves vite :laugh: !!!

    Ben je sais pas ;) ... Les même qui réceptionnent à l'arrivée :Smiley_39: :Smiley_39: :Smiley_39: !!!

    Mais je sais ce qu'ils te répondront: "C'est la faute du chargeur, cette p*t**n de rame ne nous arrive pas dans les temps imparties !!!!"

    Pour le vivre assez régulièrement à Marseille, je sais qu'en fait, personne n'a le beau rôle.

    :Smiley_68: A toi de faire une opinion ....

    Et pour en revenir à plus haut, oui, CMA -CGM (voir ci-dessous ;) ), et sans frigo !!!

  7. J'habite à Villeneuve sur Yonne, ville où Pierre Sémard a vécu quelques années. La place Pierre Sémard (place de la gare) y a été inaugurée en 2010 en présence de sa petite-fille (à gauche sur la photo).

    :blush:L'Yonne, mon PAYS !!!

    En attendant, sans rentrer dans la polémique, je trouve fort de passer de la mémoire de Pierre SEMARD aux élections cantonales koiquesse !!!

    Bon, c'est sûr, l'Histoire est un éternel recommencement et ce coup ci, Marine LE PEN a le vent en poupe lapleunicheuse lapleunicheuse lapleunicheuse !!!

    Mais au court des 65 dernières années, surtout après mai 1968, qu'est-il resté de 'l'Education Nationale ???

    RIEN !!!

    C'est bien plus facile de gouverner des MOUTONS que des personnes qui ont un solide bagage intellectuel ...

    Qu'en pense Maître GNAFRON :glare: ???

    PS: regardez autours de vous, et vous verrez que le souvenir de ce fusillé reste étrangement autours de gares, dépôts ou toute autre emprise de Chemin de FER ;)

  8. Et elle milite pour le non-alignement sur le RH0077 de ses agents...

    mdrmdr

    A la base, c'était surtout pour avoir du poids et du contre-pouvoir contre la ... SNCF, dixit les paroles de notre ancien DG (du temps de VCF :sleep: ), et ces méchands cheminots qui faisaient rien que de les embêter, eux, ces nouveaux entrants ...

    La principale revendication de l'époque était pour les sillons, car ils correspondaient assez rarement à ceux demandés ...

    Il y avait aussi les relations parfois tendus entre gens du terrains (conducteurs EF/ aiguilleurs et régulations).

    Voilà ;)

  9. Mercredi, j'ai accompagné les collègues de SOCORAIL, en attendant qu'ils montent ma Prima, pour aller chercher le CombiWest :happy: .

    Il restait 9 wagons, d'après le BF (et si ma mémoire ne fait pas défaut), tous des CMA :huh: .

    La Traxx avait déjà filer autre part :laugh: , nous l'avons vu dégager ...

    Par contre, léger retard à l'arrivée, habituel, d'après les collègues :rolleyes: ...

  10. Monsieur,

    Nous prenons note de votre réponse peu collaborante que nous transmettons à notre conseil juridique, afin qu'il étudie plus au fond, les actions en justice possibles et le champ des responsabilités, en sorte de faire respecter les droits de la société RAIL RECRUT, quitte à demander au juge, par les voies de droit, la suspension de la mise en ligne de votre site, si c'est là le seul moyen de faire cesser le préjudice subi.

    Bien à vous.

    La Direction de RAIL RECRUT

    Reçu aujourd'hui par email.

    :glare: Intimidez, intimidez, il en restera toujours quelque chose :sleep: ...

    Preuve qu'ils ne sont pas tous blancs :rolleyes::tongue: !!!

  11. pour info dans le statut, rh01, l article 7 du paragraphe 1, a été declaré illegale par le conseil d etat en 2008

    donc rien qui precise qu un agent doit etre revoqué en cas d inscription au b2, pour une affaire jugé dans sa vie privé.

    si specialiste rh present ici, petit commentaire, merci

    Il fallait oser, j'aurais du :blush: ...

    Mène ton combat et gagne nonmais nonmais nonmais !!!

    Merci pour le document okok;) .

  12. Si une condamnation judiciaire conduit à un licenciement, c'est que l'agent est d'abord passé par la case prison et pour une lourde de peine.

    Dans le cas présent, une lettre de rappel ou au pire d'avertissement. C'est pas une affaire d'état quand même :blush:

    Toute inscription au B2 correspond à une condamnation de peine de prison, avec ou sans sursis ...

    Et au niveau de la SNCF, tout ou presque devient une affaire d'état ...

  13. DROIT DE RÉPONSE

    "Suite à de nombreuses fausses informations diffusées sur ce forum, dans l'intention évidente de nuire, la société Rail Recrut se voit contrainte de rétablir la vérité et la réalité sur certains points :

    1) D'un prétendu dédit de formation à rembourser par le stagiaire, en cas d'échec ou d'abandon de la formation...FAUX

    - Aucune indemnité compensatoire, sous quelque forme que ce soit, n'est demandée au stagiaire en cas d'abandon ou d'échec à la formation ; la clause de dédit formation ne le concerne et l'engage, que lorsqu'il est sorti de sa formation, c'est--dire lorsqu'il l'a validée, en l'obligeant à travailler les trois premières années pour l'entreprise ferroviaire qui le recrute, qu'il s'agisse de la société Euro Cargo Rail ou d'une autre société ; cette clause est la même que celle imposée par toutes les entreprises ferroviaires du marché et il n'a jamais été question de rembourser quoi que ce soit en cas d'échec à la formation.

    2) D'une prétendue identité entre la société Rail Recrut et la société Euro Cargo Rail...FAUX

    - La société Rail Recrut est un cabinet de recrutement et de placement indépendant, au service de toutes les entreprises ferroviaires européennes. Autrement dit, Rail Recrut n'est en rien une filiale de la société Euro Cargo Rail, laquelle se trouve être notre client.

    3) De prétendues subventions qui seraient perçues par la société Rail Recrut...FAUX

    - La société Rail Recrut n'a jamais perçu aucune subvention, de quelque nature que ce soit, émanant d'un organisme public ou privé.

    Et diffuser le contraire, sur chacun de ces points, sur le web ou dans la presse, est de la pure désinformation mensongère dans le but de nuire à la société Rail Recrut, ainsi qu'à son client, la société Euro Cargo Rail. "Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose...".

    Ces pratiques sont déloyales et inacceptables. Aussi nous mettons en garde les personnes ou les organismes qui diffusent et/ou diffuseraient ces fausses informations : tout discours, fût-il tenu sur un support informatique et diffusé sur le réseau internet, fût-ce à accès restreint, peut être considéré comme de la diffamation...

    Ces fausses allégations étant dommageables tant pour son image que pour sa réputation, comme pour celles de ses clients, la société Rail Recrut réfléchit actuellement à une action par des moyens de droit, afin de faire cesser le dommage et de faire respecter ces droits.

    C'est pourquoi, la société Rail Recrut invite les responsables du site internet : www.cheminots.net, à utiliser les services d'un "modérateur", afin de mieux "contrôler" les messages postés sur son forum, lorsque ceux-ci sont mensongers et diffamatoires, étant entendu, qu'en tant que support et moyen de diffusion de ces messages, les propriétaires dudit site engagent leur responsabilité.

    La Direction de RAIL RECRUT

    Et bien, hormis le fait qu'on peut être suivi pour diffamation, cela a quant même servi de secouer le cocotier mdrmdr ...

    Et en plus, cela leur fera de la pub gratuite, cet encart ici :rolleyes: .

    J'invite d'ailleurs un administrateur (peuh, un modo, c'est trop bas dans l'échelle hiérarchique d'un forum, ça fait petit de leur part ;) ) à réclamer de suite un contrat pour toucher des "royalties" :tongue: !!!

  14. @ Bearcat : "les" est un article défini, pas un pronom indéfini. :tongue::Smiley_74: Maitre Capello est décédé, mais quand même... ;)

    :Smiley_39: :Smiley_39: :Smiley_39:

    mdrmdr Merci Maître ... Roukmoute !!!

    Ouep, en prenant du recul et avec réflexion, cela m'a toujours paru comme "le coté sombre" de la grammaire lotrela lotrela lotrela ...

    @ tram38 => MP

  15. Sur le site RAILRECRUT.COM on peut voir à la page: http://www.railrecru...h/index.php?p=2 tout en bas la chose qui suit soulignée:

    Avantage client de TEMPORAIL :

    • Vous gagnez en réactivité vis-à-vis de vos clients : vous n'avez plus besoin d'attendre le temps de formation incontournable pour répondre favorablement à vos clients.
    • Vous devenez plus flexible plus fluide dans la gestion de vos ressources humaines.
    • Vous gagnez un contre-pouvoir RH évident en de situation de blocage et vous êtes en mesure de remplacer une compétence par une autre « au pied levé »…

    ... où comment proposer un moyen aux E.F.P des employés pour casser les grèves.

    Au secours, l'intérim du Rail (déraille ?) arrive nonmais nonmais nonmais!!!

    Heu, question indiscrète, qui certifiera "au pied levé" lotrela lotrela lotrela ???

    Parce qu'en cas d'accident, ça risque de faire très mal quand un juge d'instruction (ou son équivalent de subtitution) viendra pour instruire le dossier :blink::blink::blink: !!!

  16. Bonjour à tous,

    Quels trains assurent les conducteurs d'Europorte Les Laumes(21)?

    :Smiley_43:

    mdrmdr Il n'y a qu'un train par jour, le pronom indéfini "les" est de trop lotrela !!!

    Pour le numéro de sillon, je ne le connais pas, il est très souvent SDM en reprise de marche, mais pas dans les horaires ...

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