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Agression sexuelle d'un enfant dans un train par un agent SNCF


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Il agresse sexuellement un enfant dans le train

La Dépêche du Midi, le 10/04/2011 - 03:48

Le retour en train des vacances de Noël s'est transformé en véritable calvaire pour une famille, le 26 décembre. Les parents, accompagnés de leurs deux enfants de 7 ans et 9 ans, avaient choisi de voyager dans un compartiment couchette entre Paris et Toulouse. À la tombée de la nuit, le couple prend place sur les banquettes du haut tandis que les deux bambins s'installent au milieu. Reste, en bas, un homme voyageant seul, passablement éméché. C'est un agent de la SNCF qui n'est pas en service. Soudain, en pleine nuit, le père de famille est réveillé. « J'entendais un bruit bizarre dans le noir, a-t-il relaté devant le tribunal correctionnel de Toulouse. J'ai allumé et je l'ai trouvé pantalon et slip baissé. » L'homme, âgé de 40 ans, a glissé, sous la couverture, une main sur la cuisse du garçonnet de 9 ans. Aussitôt, le père de famille saute de son lit et empoigne l'agresseur par le col. Il l'extirpe du compartiment et le plaque au sol. Il sera vite rejoint par les contrôleurs puis remis aux gendarmes en gare de Souillac.

Lors de l'audience, la présidente Rivière est revenue sur les faits : « Il a d'abord expliqué qu'il a voulu se masturber et qu'il avait besoin d'un contact humain. » Et le prévenu de justifier : « Je ne suis pas attiré par les enfants. Je ne suis pas pédophile. Je ne comprends pas. » Me Lanes, avocat de la famille, a souligné les conséquences de cet acte : « J'ai du mal à vous présenter le préjudice des victimes. Les deux enfants sont suivis par un psychologue. Ils souffrent collectivement. » L'agresseur a été condamné à 12 mois de prison dont quatre ferme.

Modifié par nicopasta
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Il agresse sexuellement un enfant dans le train

La Dépêche du Midi, le 10/04/2011 - 03:48

Le retour en train des vacances de Noël s'est transformé en véritable calvaire pour une famille, le 26 décembre. Les parents, accompagnés de leurs deux enfants de 7 ans et 9 ans, avaient choisi de voyager dans un compartiment couchette entre Paris et Toulouse. À la tombée de la nuit, le couple prend place sur les banquettes du haut tandis que les deux bambins s'installent au milieu. Reste, en bas, un homme voyageant seul, passablement éméché. C'est un agent de la SNCF qui n'est pas en service. Soudain, en pleine nuit, le père de famille est réveillé. « J'entendais un bruit bizarre dans le noir, a-t-il relaté devant le tribunal correctionnel de Toulouse. J'ai allumé et je l'ai trouvé pantalon et slip baissé. » L'homme, âgé de 40 ans, a glissé, sous la couverture, une main sur la cuisse du garçonnet de 9 ans. Aussitôt, le père de famille saute de son lit et empoigne l'agresseur par le col. Il l'extirpe du compartiment et le plaque au sol. Il sera vite rejoint par les contrôleurs puis remis aux gendarmes en gare de Souillac.

Lors de l'audience, la présidente Rivière est revenue sur les faits : « Il a d'abord expliqué qu'il a voulu se masturber et qu'il avait besoin d'un contact humain. » Et le prévenu de justifier : « Je ne suis pas attiré par les enfants. Je ne suis pas pédophile. Je ne comprends pas. » Me Lanes, avocat de la famille, a souligné les conséquences de cet acte : « J'ai du mal à vous présenter le préjudice des victimes. Les deux enfants sont suivis par un psychologue. Ils souffrent collectivement. » L'agresseur a été condamné à 12 mois de prison dont quatre ferme.

revoltagesrevoltagesrevoltagesrevoltages

Quelque chose me dit que le coupable va être révoqué. Une affaire aussi grave le justifie. cartonrouge

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Je suis désolé, suis-je le seul à être choqué par ceci?

L'agresseur a été condamné à 12 mois de prison dont quatre ferme

C'est une blague? Si je vole un autor-radio deux fois je prends plus cher que ça.

Là c'est quoi, attendre qu'il fasse la même chose avec un père pas présent pour lui mettre une peine plus lourde?

Franchement, pauvres victimes (toute la famille), j'espère que le gosse n'a pas totalement conscience du drame.

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Toujours délicat de se positionner alors qu'on a si peu d'infos (un article....)

Mais :

1/ la personne inculpée a été condamnée (nous parlons au minimum d'exhibition et d'attouchements dans ce que nous avons comme infos) : justice est rendue non ?

2/ la personne condamnée est un individu qui n'est pas QUE un agent Sncf, cela s'est passé en dehors de son service : j'espère que l'on précisera toujours et dans tous les cas les métiers des uns et des autres

3/ La Sncf révoque ses agents qui ont des condamnations apparaissant sur leurs casiers judiciaires (donc il sera révoqué)

4/ "couper les couilles" est une expression imagée mais dont je vous assure que bien des jeunes filles mal dépucelées par un gros ado excité pourraient, elles aussi, formuler ! C'est loin d'être la solution à tout... beurk

Modifié par assouan
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Salut,

Je me demande bien quel est l'intérêt majeur d'un tel sujet ?

Dans toutes les entreprises y a des délinquants, des criminels potentiels.

En quoi le fait que ce soit un agent de la sncf le différencierait il d'un salarié d'une autre entreprise, administration, ou institution militaires...

Ce mec a dérapé, il est passé par le tribunal qui a jugé en son âme et conscience et il va payer la "note" retenue par le tribunal.

Le seul truc moche c'est que la presse a repris l'affaire et enfonce le clou en indiquant le nom de son employeur...comme elle sait si bien le faire, lorsqu'elle sent que ça peut faire un titre accrocheur pour les ventes.....

si c 'est le règlement qui le prévoit, sauf "erreur" , c'est sans doute ce qui lui arrivera, puisque ça semble prévu au contrat de travail, in fine.

Bref un fait divers parmi d'autres qui, pas de chance pour lui, a été repris par la presse quotidienne régionale.....

De quoi alimenter les brèves de comptoirs du café du commerce.....lorsque l'on a rien à se mettre sous la dents.

Comme le dit Assouan :

2/ la personne condamnée est un individu qui n'est pas QUE un agent Sncf, cela s'est passé en dehors de son service :

j'espère que l'on précisera toujours et dans tous les cas les métiers des uns et des autres

ça faut pas rêver.....notables ou quidam la PQR pêche souvent par omission ou au contraire par trop de détails nominatifs..... selon ses intérêts et son lectorat.

Sinon j'aimerai bien savoir :

la presse peut elle cité le nom d'un responsable d'un accident, d'un acte grave, d'un simple délit ?

si oui quelles sont les conditions ?

Un justiciable, ou un délinquant peut il s'y opposer et dans ce cas comment doit il procéder ?

Chaque lecteur aura bien remarqué les divers traitements en la matière, (identité, nom d'un établissement etc etc....).

Que dit la loi à ce sujet ...merci

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