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Pan sur le bec

Le gouvernement contraint de revoir sa copie

sur le redécoupage électoral

LeMonde.fr

La décision fera date. En censurant jeudi 8 janvier deux dispositions du projet de loi autorisant le redécoupage des circonscriptions législatives et en formulant plusieurs réserves d'interprétation, le Conseil constitutionnel oblige le gouvernement à revoir de fond en comble la réforme qu'il comptait faire voter avant la fin de l'année. Au-delà, il adresse un signal au gouvernement : il sera extrêmement vigilant sur les différents projets de loi à venir en application de la révision constitutionnelle sur les institutions votée le 21 juillet 2008 au Parlement. Au moment où va commencer à l'Assemblée nationale la discussion du projet de loi organique sur la procédure législative, ce message n'est pas anodin. Le PS ne s'y est pas trompé : il estime que le Conseil constitutionnel 'a infligé un désaveu' au gouvernement. Dans la foulée, il réclame un 'droit de regard' sur le choix des experts qui seront désignés au sein de la commission indépendante chargée de donner un avis sur le futur redécoupage des circonscriptions.

Au terme de cinq heures et demie de délibéré, le Conseil constitutionnel siégeant au grand complet, en présence des deux anciens présidents de la République Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Chirac, a rappelé en premier lieu que les opérations de redécoupage des circonscriptions doivent être conduites 'sur des bases essentiellement démographiques'. Cette règle ne peut tolérer que des exceptions justifiées. Il a en conséquence censuré la latitude offerte par le projet de loi de la faire varier 'en fonction notamment de l'évolution respective de la population et des électeurs inscrits sur les listes électorales'. Une formulation vague, qui ouvrait la porte à toutes les interprétations.

Pour les juges constitutionnels, la répartition des sièges et la délimitation des circonscriptions doivent 'respecter au mieux l'égalité devant le suffrage'. Les atténuations à la portée de cette règle ne peuvent intervenir 'que dans une mesure limitée'. Si le Conseil n'intervient pas dans le choix de la méthode de calcul devant servir de base au redécoupage des circonscriptions, il fixe un principe clair : l'égalité la plus grande entre les élus. Il appartient dès lors au gouvernement de respecter 'au mieux' cette obligation.

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Les erreurs médicales feraient 10.000 morts par an en France

Reuters

Philippe Juvin, secrétaire national de l'UMP chargé de la Santé, estime que les erreurs médicales font 10.000 morts chaque année en France et que beaucoup sont évitables.

Chef des urgences de l'hôpital Beaujon, il intervient en pleine polémique sur la qualité des hôpitaux français et les moyens qui leur sont alloués, à la suite d'une série de décès accidentels.

Les erreurs graves dans les hôpitaux "sont beaucoup plus nombreuses que les décès. De 300.000 à 500.000 événements indésirables graves se produisent chaque année", avance Philippe Juvin. "J'estime qu'au moins 10.000 personnes meurent chaque année à l'hôpital du fait de l'exercice de la médecine."

Pour les responsables de l'UMP, la solution consisterait à obliger tous les hôpitaux "à faire systématiquement une enquête après chaque décès", ce qui permettrait de créer "une base de données nationale".

"Une fois qu'on aura fait ce que les spécialistes de l'aéronautique appellent une analyse systémique du risque, on pourra mettre en place des mesures correctrices", dit-il.

"Ce qu'on a fait pour la sécurité routière, on peut le faire pour les accidents à l'hôpital", ajoute Philippe Juvin, soulignant les efforts mis en oeuvre dans ce domaine par les Américains.

Néanmoins, l'hôpital français et le personnel de santé "sont très performants", assure-t-il.

Pourquoi ? ça n'existait pas avant ce type d'informations ?

C'est comme l'irrégularité et les incidents de trains

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Et pan sur le bec

Nicolas Sarkozy a été un "député fainéant", affirme René Dosière (PS)

AFP

Nicolas Sarkozy, qui a raillé la semaine dernière les "rois fainéants", sans citer nommément Jacques Chirac, a été un "député fainéant", a affirmé mercredi le député René Dosière (app. PS), spécialiste du budget de l'Elysée.

"Lui en tout cas a été un député fainéant. En tout et pour tout, il a parlé moins d'une heure dans l'hémicycle pendant les 12 années où il a été député mais il a été payé à temps complet !", a déclaré l'élu de l'Aisne.

"Les compromis, l'écoute de l'autre, on comprend mieux pourquoi il ne sait pas faire: il n'a pas la culture du député. Il a peu d'expérience législative donc il n'apprécie pas que le Parlement discute librement. Il ne comprend pas les procédures", a-t-il ajouté.

Dans un communiqué ironiquement intitulé "Les exploits parlementaires de Nicolas Sarkozy", M. Dosière indique que le chef de l'Etat n'a pas siégé 20 ans à l'Assemblée nationale comme il l'avait affirmé lors des voeux aux parlementaires mais seulement "12 ans", sur les périodes 1988-1993 et 1995-2002.

En réalité, M. Sarkozy a été député des Hauts-de-Seine deux mois et demi supplémentaires, entre le 13 mars et le 2 juin 2005, date à laquelle il était devenu numéro deux du gouvernement Villepin.

Durant ces années, poursuit M. Dosière, il n'a participé à "aucun débat parlementaire", "n'a déposé aucun amendement" et "sa présence à l'Assemblée se résume à 10 interventions brèves: deux questions au gouvernement, soit quatre minutes, huit interventions de cinq à dix minutes, soit au total moins d'une heure de parole en 12 ans de vie parlementaire !".

"Pendant de nombreuses années, en 1988, 1991, 1992, 1993, 2000, 2001, 2002, on ne trouve aucune trace de sa présence à l'Assemblée. C'est dire à quel point son expérience parlementaire est faible, pour ne pas dire plus", souligne-t-il.

"Si chaque député prenait exemple sur lui, alors l'Assemblée nationale deviendrait inutile", ironise-t-il avant de lancer: "pour parodier Clemenceau, gloire aux députés qui parlent, honte aux députés qui se taisent".

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Et pan sur le bec

Nicolas Sarkozy a été un "député fainéant", affirme René Dosière (PS)

AFP

Nicolas Sarkozy, qui a raillé la semaine dernière les "rois fainéants", sans citer nommément Jacques Chirac, a été un "député fainéant", a affirmé mercredi le député René Dosière (app. PS), spécialiste du budget de l'Elysée.

"Lui en tout cas a été un député fainéant. En tout et pour tout, il a parlé moins d'une heure dans l'hémicycle pendant les 12 années où il a été député mais il a été payé à temps complet !", a déclaré l'élu de l'Aisne.

"Les compromis, l'écoute de l'autre, on comprend mieux pourquoi il ne sait pas faire: il n'a pas la culture du député. Il a peu d'expérience législative donc il n'apprécie pas que le Parlement discute librement. Il ne comprend pas les procédures", a-t-il ajouté.

Dans un communiqué ironiquement intitulé "Les exploits parlementaires de Nicolas Sarkozy", M. Dosière indique que le chef de l'Etat n'a pas siégé 20 ans à l'Assemblée nationale comme il l'avait affirmé lors des voeux aux parlementaires mais seulement "12 ans", sur les périodes 1988-1993 et 1995-2002.

En réalité, M. Sarkozy a été député des Hauts-de-Seine deux mois et demi supplémentaires, entre le 13 mars et le 2 juin 2005, date à laquelle il était devenu numéro deux du gouvernement Villepin.

Durant ces années, poursuit M. Dosière, il n'a participé à "aucun débat parlementaire", "n'a déposé aucun amendement" et "sa présence à l'Assemblée se résume à 10 interventions brèves: deux questions au gouvernement, soit quatre minutes, huit interventions de cinq à dix minutes, soit au total moins d'une heure de parole en 12 ans de vie parlementaire !".

"Pendant de nombreuses années, en 1988, 1991, 1992, 1993, 2000, 2001, 2002, on ne trouve aucune trace de sa présence à l'Assemblée. C'est dire à quel point son expérience parlementaire est faible, pour ne pas dire plus", souligne-t-il.

"Si chaque député prenait exemple sur lui, alors l'Assemblée nationale deviendrait inutile", ironise-t-il avant de lancer: "pour parodier Clemenceau, gloire aux députés qui parlent, honte aux députés qui se taisent".

ON mesure la qualité d'un deputé au temps de parole ? Comme il y en a beaucoup qui parlent pour ne rien dire on a beaucoup de bons deputés donc mdrmdrokok ;)

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ON mesure la qualité d'un deputé au temps de parole ? Comme il y en a beaucoup qui parlent pour ne rien dire on a beaucoup de bons deputés donc bigbisouslotrelamdrmdr

Puisque, comme à ton habitude, tu ne lis qu'une partie du texte, je me permets d'en souligner une autre :

""Pendant de nombreuses années, en 1988, 1991, 1992, 1993, 2000, 2001, 2002, on ne trouve aucune trace de sa présence à l'Assemblée. C'est dire à quel point son expérience parlementaire est faible, pour ne pas dire plus", souligne-t-il."

Elu, et pourtant pas présent pour assurer ses fonctions ? Ça me parait tellement gros... Peut être y a-t-il une erreur ? Ça mérite réflexion en tout cas.

Gom

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Puisque, comme à ton habitude, tu ne lis qu'une partie du texte, je me permets d'en souligner une autre :

""Pendant de nombreuses années, en 1988, 1991, 1992, 1993, 2000, 2001, 2002, on ne trouve aucune trace de sa présence à l'Assemblée. C'est dire à quel point son expérience parlementaire est faible, pour ne pas dire plus", souligne-t-il."

Elu, et pourtant pas présent pour assurer ses fonctions ? Ça me parait tellement gros... Peut être y a-t-il une erreur ? Ça mérite réflexion en tout cas.

Gom

Pour percevoir les indemnités (c'est le cas au parlement européen), il faut avoir un certain nombre de présences..

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Un peu rien à voire mais toutefois d'actualité: Je trouve choquant que sarko 1er se permette de demander aux dirigeants des banques de refuser à leur bonus alors que lui c'est mis 150% d'augmentation et a toute une panoplie de "bonus" qu'on ose imaginer!

Quand on voit les "avantages" des députés, sans parler des sénateurs, çà donne la gerbe! ...

PS: je tiens bien à préciser que je trouve choquant que SARKO ordonnent aux dirigeants de refuser à leur bonus, pas que les dirigeants n'est plus leur bonus, ce que je trouve tout à fait normal!

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Un peu rien à voire mais toutefois d'actualité: Je trouve choquant que sarko 1er se permette de demander aux dirigeants des banques de refuser à leur bonus alors que lui c'est mis 150% d'augmentation et a toute une panoplie de "bonus" qu'on ose imaginer!

Quand on voit les "avantages" des députés, sans parler des sénateurs, çà donne la gerbe! ...

PS: je tiens bien à préciser que je trouve choquant que SARKO ordonnent aux dirigeants de refuser à leur bonus, pas que les dirigeants n'est plus leur bonus, ce que je trouve tout à fait normal!

Il affirme haut est fort d'être le président de tous les français, même ceux qu'il enfate. Donc il n'y a pas de raison que cette " caste " ne soit pas " enfatée ".

Moi, ça me va bien, la révolte ne viendra peut être pas de ceux que l'on pense.

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a oki! merci pour la traduction! donc c'est bien ce que je dit, plus de bonus, c'est une bonne chose (même si on sait très bien qu'il vont l'avoir mais sous une autre forme), mais que çà vienne d'un gars comme Sarko çà me fou hors de moi.

Bon après qui va leur ordonner çà si ce n'est le roi?

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a oki! merci pour la traduction! donc c'est bien ce que je dit, plus de bonus, c'est une bonne chose (même si on sait très bien qu'il vont l'avoir mais sous une autre forme), mais que çà vienne d'un gars comme Sarko çà me fou hors de moi.

Bon après qui va leur ordonner çà si ce n'est le roi?

Il s'en mettent ( les banquiers ) assé à coin dans le dos de tout le monde, le grand chef n'a pas à leur faire de cadeaux, ils sont loint d'être à la rue comme des malheureux. La fallite personnelle, ils ne connaissent pas, et ça le grand chef il le sait bien, un jour ou l'autre cette garniture de matelas ressortira de gré ou de force. Il ( le grand chef ) joue sur le velour de la " com " afin de soigner le lion et l'agneau.

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Il affirme haut est fort d'être le président de tous les français, même ceux qu'il enfate. Donc il n'y a pas de raison que cette " caste " ne soit pas " enfatée ".

Moi, ça me va bien, la révolte ne viendra peut être pas de ceux que l'on pense.

Il a dit hier

"j'écoute ceux qui s'opposent mais je n'en tiens pas compte "

Avec ce qui s'est passé cette nuit,on en est à un déni de démocratie,

http://fr.news.yahoo.com/3/20090120/tpl-de...se-cfb2994.html

"J'écoute, mais je tiens pas compte", a lancé mardi Nicolas Sarkozy en dénonçant les "conservatismes" qui s'opposent à ses réformes, et notamment au transfert de certains services de l'Etat en province pour compenser les fermetures de casernes programmées dans le cadre de la réforme de la Défense.

Nicolas Sarkozy s'est rendu mardi à Sourdun, près de Provins (Seine-et-Marne), commune durement touchée par le départ du 2e régiment de hussards. Les 900 hommes du régiment sont en voie de transfert à Haguenau (Bas-Rhin). En compensation, le site doit abriter dès la rentrée 2009 un internat d'excellence, accueillant quelque 150 élèves boursiers venus de la région parisienne dans le cadre du plan "espoir banlieue". Ils devraient être 500 en septembre 2010.

Doivent également s'y installer d'ici 2010 les 330 personnels du Service d'étude sur les transports, les routes et leurs aménagements (SETRA), actuellement basés à Bagneux (Hauts-de-Seine). Un transfert que contestent les intéressés.

"Ils ont tort", a rétorqué Nicolas Sarkozy lors d'une table ronde. "Ce transfert, il se fera. Et je suis désolé, c'est un magnifique cadre". "Dès que je veux changer quelque chose, toutes les forces du conservatisme se mobilisent pour l'empêcher", a-t-il déploré. "J'étais préparé à ça. J'écoute mais je tiens pas compte", a-t-il lancé.

Nicolas Sarkozy a plus largement défendu sa volonté de poursuivre les réformes en France. "Sur la ligne, sur la stratégie, sur la volonté d'aller de l'avant, on n'a pas d'états d'âme, parce qu'il n'y a pas d'autre stratégie", a-t-il affirmé. "En plus, je dois le faire en maintenant la cohésion sociale", a-t-il ajouté. "C'est très difficile. C'est pour ça que je verrai les banquiers cet après-midi. J'ai deux ou trois choses à leur dire".

La crise est "une opportunité pour en sortir plus forts" et "j'ai pas été élu pour subir", a martelé Nicolas Sarkozy. "Je veux changer les choses. Je ne suis pas là pour commenter les problèmes mais pour essayer de les résoudre".

La réforme de la justice? Elle fait "un petit peu débat", mais "y a-t-il une personne qui pense que ça va tellement bien qu'il faut rien changer?". La réforme de l'audiovisuel? "Tout le monde est content maintenant. On se demande qui a eu l'idée". Les radars? "Je l'ai fait deux ans et demi avant l'élection présidentielle" et "on a quasiment divisé par deux le nombre de morts sur les routes".

Dans le cadre de l'adoption du nouveau Livre blanc redéfinissant les objectifs de la défense française, le gouvernement a annoncé en juillet dernier la fermeture de 83 sites militaires, dont 11 dès 2009, le quart Nord-Est de la France subissant de véritables coupes claires.

Le départ des militaires a eu "une conséquence catastrophique sur les finances locales", avec la perte "d'un tiers du budget", a souligné le maire de Sourdun Eric Torpier. Il signifie aussi la "fermeture possible de deux classes". Et "pour nos commerçants, (c'est) une baisse en moyenne de 30% de leur chiffre d'affaire".

Le président PS du conseil général de Seine-et-Marne Vincent Eble a dénoncé la faiblesse de l'aide de l'Etat pour son bassin d'emploi, de 10 millions d'euros. "C'est la qualité des projets qui nous intéresse (...) Ca se fait pas au poids!", a rétorqué Nicolas sarkozy. "Et elle veut un rôti de combien, la petite dame? C'est pas ça!".

"Il fallait revoir la carte militaire", a martelé le chef de l'Etat, qui a rappelé que l'armée comptait 471 sites en France. "Il y avait des régiments français en charge de s'assurer que nous ne serions pas envahis par l'Italie", a-t-il ironisé. "Ils ont fait un boulot remarquable. On voulait pas l'armée italienne, on a eu Carla (Bruni-Sarkozy, NDLR). C'est quand même plus agréable, notamment pour moi". AP

Modifié par fabrice
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Hello ,

Une-deux , une-deux , une-deux , marquez le pas , anciens combattants :

Beaucoup d'entre eux font partie de la classe des plus anciens et donc des vulnérables dans notre société et

de plus ces braves gens ont été appelés sous les drapeaux à l'occasion des divers conflits qui ont marqué

le siècle dernier de la seconde guerre mondiale aux "événements " d'Algérie en passant par les conflits coloniaux .

La pension d'ancien combattant déjà réduite à sa portion minimum ( 274 euros par semestre ) , ne sera pas

revalorisée , et pire le quotient d'impôts réduit par l'application d'une demi part supplémentaire sera reporté ultérieurement .

Une épitaphe sera donc à prévoir pour tous ces anciens qui se sont battus pour la liberté et d'autres causes :

" A la brave patrie reconnaissante " .

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Hello ,

Une-deux , une-deux , une-deux , marquez le pas , anciens combattants :

Beaucoup d'entre eux font partie de la classe des plus anciens et donc des vulnérables dans notre société et

de plus ces braves gens ont été appelés sous les drapeaux à l'occasion des divers conflits qui ont marqué

le siècle dernier de la seconde guerre mondiale aux "événements " d'Algérie en passant par les conflits coloniaux .

La pension d'ancien combattant déjà réduite à sa portion minimum ( 274 euros par semestre ) , ne sera pas

revalorisée , et pire le quotient d'impôts réduit par l'application d'une demi part supplémentaire sera reporté ultérieurement .

Une épitaphe sera donc à prévoir pour tous ces anciens qui se sont battus pour la liberté et d'autres causes :

" A la brave patrie reconnaissante " .

Pauvre francais que nous sommes !

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Hello ,

Une-deux , une-deux , une-deux , marquez le pas , anciens combattants :

Beaucoup d'entre eux font partie de la classe des plus anciens et donc des vulnérables dans notre société et

de plus ces braves gens ont été appelés sous les drapeaux à l'occasion des divers conflits qui ont marqué

le siècle dernier de la seconde guerre mondiale aux "événements " d'Algérie en passant par les conflits coloniaux .

La pension d'ancien combattant déjà réduite à sa portion minimum ( 274 euros par semestre ) , ne sera pas

revalorisée , et pire le quotient d'impôts réduit par l'application d'une demi part supplémentaire sera reporté ultérieurement .

Une épitaphe sera donc à prévoir pour tous ces anciens qui se sont battus pour la liberté et d'autres causes :

" A la brave patrie reconnaissante " .

Une chose que je n'ai jamais comprise .Dans ces conflits , il y avait l'armée de métier et les autres .

L'armée de métier a subi des rééavluations comme les autres salariés .Alors que "les autres " ont eu autant ,sinon plus de mérite que les engagés, ils n'ont pas droit au même traitement .....Etonnant ! pas !

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Une chose que je n'ai jamais comprise .Dans ces conflits , il y avait l'armée de métier et les autres .

L'armée de métier a subi des rééavluations comme les autres salariés .Alors que "les autres " ont eu autant ,sinon plus de mérite que les engagés, ils n'ont pas droit au même traitement .....Etonnant ! pas !

Salut M'sieur Marc

Un ancien combattants est parti rejoindre ses camarades d'infortunes hier après midi, avec sa pension d'ancien et sa retraite, il ne touchait pas grand chose, pourtant, des médailles on lui en avait décerné.

Le propre de l'homme qui en exploite d'autres :Smiley_40: et lui montre une certaine reconnaissance en l'oubliant le moment venu. ( re bigbisous ).

PS: A Zaza.

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Salut M'sieur Marc

Un ancien combattants est parti rejoindre ses camarades d'infortunes hier après midi, avec sa pension d'ancien et sa retraite, il ne touchait pas grand chose, pourtant, des médailles on lui en avait décerné.

Le propre de l'homme qui en exploite d'autres koiquesse et lui montre une certaine reconnaissance en l'oubliant le moment venu. ( re okok ).

PS: A Zaza.

Salut l'ami , hé oui nous sommes peu de chose , aussi bien sur cette terre mais aussi pour certains !

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Salut l'ami , hé oui nous sommes peu de chose , aussi bien sur cette terre mais aussi pour certains !

salut marc, être peu de chose devant la vie est une chose, que tout le monde comprend, mise à part peut être ceux qui s'évertus à traiter leurs semblable comme de la merde. ( et re bigbisous )

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Lettres anonymes de dénonciations

ça sent mauvais...

"Si j'avais envoyé une lettre de menaces à Sarkozy, j'aurais mis mon adresse dessus ?"

"Aucune charge n'a été retenue contre lui. Zéphir Brassart ne sera pas poursuivi pour menaces" précise au Post le parquet de Paris ce mercredi.

Quand Zéphir Brassart a ouvert la porte, il s’est retrouvé face à trois policiers de la brigade criminelle de Paris.

Après avoir regardé l’ordinateur du retraité et demandé s’il possédait des armes, le septuagénaire a été embarqué par les policiers au commissariat de Maubeuge, précise La Voix du Nord..

Une fois au commissariat, le retraité a appris qu’il avait envoyé une lettre à Nicolas Sarkozy...

Une lettre tapée à l’ordinateur et contenant des injures adressées au président de la République et son épouse, Carla Bruni, ainsi que des menaces d’attentat si le chef de l’Etat ne quittait pas sa fonction présidentielle...

La lettre, reçue à l’Elysée le 9 janvier, comportait –preuve irréfutable !? – l’adresse de Zéphir Brassart…

Le retraité s’est retrouvé en garde à vue durant sept heures avec prélèvement d’ADN et d’empreintes à la clé, poursuit La Voix du Nord.

"Après réception de ce courrier, les besoins de l'enquête ont mené à la garde à vue de cet homme" précise le parquet de Paris au Post.

Et même si le retraité a été victime d’un mauvais plaisantin, il a été choqué par cette garde à vue...

Garde à vue à l'issue de laquelle son dossier est tombé à l’eau…

Dans La Voix du Nord, Zéphir Brassart précise :

"Les traces ne correspondaient pas à mon imprimante, mon prénom était mal orthographié et ma signature ne ressemble pas du tout à ça" et ajoute "Franchement, si j'avais envoyé une lettre de menaces à Sarkozy, j'aurais mis mon adresse dessus?"

Le retraité, "inconnu des services de police" selon le parquet de Paris au Post, n’a quand même pas apprécié cette demi-journée aux mains des policiers.

Il dit à La Voix du Nord que « La police aurait pu se renseigner. »

Et se souvient que son père « en 39-45, sur une dénonciation anonyme, on l'a déporté ! »

"L'enquête le nécessitait. L'Elysée reçoit de nombreuses lettres et autres appels téléphoniques menaçant le président ou des membres du gouvernement" conclut le parquet de Paris sur Le Post, précisant "que l'enquête se poursuit."

Zéphir Brassart a porté plainte pour usurpation d'identité, selon La Voix du Nord.

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