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Le Web des Cheminots

sac de noeuds...qui peut m'éclairer svp ?


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* essai de comprendre ,; partir = RSA..et surement CMU ....si c'est cela que tu veux choisir pour ta puce...  *

je comprends tes alertes jackv... 

je vais  essayer encore... et puis ça ne sert à rien d'angoisser avant août.. 

d'ici là je vais me concentrer sur la naissance de la puce. 

merci à tous pour vos interventions... 

prenez soin de votre santé surtout ! ;)

  • J'adore 1
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Invité Le briquetier

Bonsoir,

J'avoue avoir du mal à comprendre que l'on puisse, à l'époque actuelle, chercher plus de "sécurité" en quittant une entreprise comme la SNCF. En relisant les messages, j'ai l'impression que l'ouverture des droits au chômage sont perçus comme une finalité, ce qui me semble être une erreur sur le long (et même court!) terme. Il est certain que la SNCF n'est pas l'entreprise idéale, chacun porte sa croix, mais le monde du travail est ainsi fait, ce sera pareil, et qui sait, peut être même pire ailleurs, avec un sentiment d'amertume d'avoir quitté le navire.

Quand aux délais d'attente d'une réponse, pour qui connais l'entreprise justement...

Bon courage pour la suite.

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Il y a 12 heures , Le briquetier a déclaré:

Bonsoir,

J'avoue avoir du mal à comprendre que l'on puisse, à l'époque actuelle, chercher plus de "sécurité" en quittant une entreprise comme la SNCF. En relisant les messages, j'ai l'impression que l'ouverture des droits au chômage sont perçus comme une finalité, ce qui me semble être une erreur sur le long (et même court!) terme. Il est certain que la SNCF n'est pas l'entreprise idéale, chacun porte sa croix, mais le monde du travail est ainsi fait, ce sera pareil, et qui sait, peut être même pire ailleurs, avec un sentiment d'amertume d'avoir quitté le navire.

Quand aux délais d'attente d'une réponse, pour qui connais l'entreprise justement...

Bon courage pour la suite.

le monde du travail, à l'heure qu'il est, c'est 72 % de CDD de durée inférieure à 6 mois, en alternance avec Pôle emploi. Ce n'est certainement pas une solution pour une personne fragile avec une gamine en  bas âge. 

Tiens bon la rampe. Quand on a un emploi au statut, on le garde !!!!!! Pense à ta petite. Elle a besoin pour 20 ans d'une maman  qui ne soit pas angoissée en permanence par un futur complètement imprévisible

 

 

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Quels sont tes niveaux de relations avec tes collègues... ?? peut être fais tu le complexe du "mouton noir", qui te feras t'eloigner encore plus des autres..

Certes, d'une manière générale, nos contemporains "fuient" les personnes à problèmes, les malades... ça les met en face de choses qu'ils ne veulent/ ne peuvent pas voir...mais il existe toujours dans une communauté d'individus, certains plus aptes à l'empathie que d'autres, quelquefois sous forme engagés ( delégués d'OS, entre autre....), d'autres fois bien plus reservés....

Il serait très etonnant que dans ton relationnel, de telles personnes ne soient pas présentes..... il faut juste les "voir"... et on ne voit que ce que l'on veut voir....

Je concède que ta situation n'est sans doute pas la plus simple dans ce qu'elle présente, et ce qu'elle promet, sauf qu'à tourner en boucle tous tes problèmes, ne t'amennera pas une necessaire lucidité qui me semble point d'entrée principal à la resolution...

le critère temps ne me semble pas encore une urgence, par contre le temps de ton corps t'es imposé, en conséquence c'est lui à soigner, de même qu'apaiser ton mental.... tu pourras t'appuyer j'espère sur ton relationnel extra professionnel, et ta famille...

..prendre du temps à soi, dans une société où tout devrait aller si vite, ça semble desuet.. c'est pourtant si important pour se construire un espace le plus serein possible..

..pas mal de techniques d'Asie peuvent t'aider à ouvrir le champ de comprehension des choses, et voire d'autres philosophies de la vie....

Fabrice

 

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* J'avoue avoir du mal à comprendre que l'on puisse, à l'époque actuelle, chercher plus de "sécurité" en quittant une entreprise comme la SNCF *

Le Briquetier, je ne cherche pas plus de sécurité en voulant quitter la SNCF... pas du tout..  je sais que à notre époque la garanti d'un emploi est un luxe . 

c'est vrai, j'ai le privilège d'avoir un contrat au cadre permanent à la sncf . 

Je me souviens , mon 1er jour ( 21 mars 2000 )  à la sncf cette phrase du DRH : "bienvenue dans notre grande et belle famille"...

et c'est vrai, que je m'y plaisais énormément et que j'étais fière et heureuse de travailler pour une telle entreprise...

et en plus l'ambiance était bonne et mon évolution de carrière bien lancée...  que demander de plus !?!! ... :) 

et un jour (+/- 2008 ) ça a été "la grande restructuration interne" suppréssion de postes, réorganisation et les conséquences qui en sont découlés...^^

( poste non tenu, surcharge de travail quotidient, pb interne technique non pris en charge , trés mauvaise ambiance en interne, clientèles mécontente, commande de personnel qui pouvait changer 7 fois pour la même date, repos sec quasi toute période, heures sup non récupéré, pression de résultat commercial mais pas de moyen pour etc....)

bref, tout ça qui m'a amené au burnout... ^^

( stress signieux au début puis quotidient, insomnie, maux de tête constant, boulle au ventre... puis un jour c'est le corps entier qui lâche. cette fois-ci je ne peux que accepter l'arrêt maladie puisque mes jambes ne me tenaient plus et que mes nerfs avaient totalement crâqués, tout le mécanisme bien rôdé du corps humain déglingué, sans compter les conséquences et répercution financière, sociale, spycho etc...mais ça c'est un autre sujet.. ^^) 

aujourd'hui j'ai récupéré prés de +80 % de mon potentiel initial. :) 

le chemin a été long et compliqué pour obtenir ce résultat. et jamais plus je ne veux me retrouver en condition de rechute. (d'où mon inaptitude)

donc si avoir un CDI est un luxe, la santé avant tout. ! ;) 

mais la santé sans un min de revenu c'est pas trés réjouississant non plus... ^^

 

*  j'ai l'impression que l'ouverture des droits au chômage sont perçus comme une finalité, ce qui me semble être une erreur sur le long (et même court!) terme. *

 

c'est sûre que l'idéal serait que SNCF me sorte de son chapeau un poste titulaire adapté avec des horaires nounou !! :) ^^ 

mais vu comment se sont déroulés ces 2 dernières années je suis pessimiste... :( 

 

et ce qui me stress d'avantage, c'est que je sens la mise en réforme  arriver à grand pas ... ( août !!)

et hors de question de me retrouver avec 450€ pour vivre avec un bébé !! 

 

donc oui, je pense que la case chômage est la moins pire des choix entre la peste et le cholérat... ^^

ça me donnerait un délais de 2ans pour consolider ma santé, m'adapter à ma futur vie de maman, et penser à un reclassement pro... 

 

est-ce si déraisonnable ?? 

 

 

 

 

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c'est déraisonnable ! Là où tu es, personne ne te demandera de redevenir hyper-performante alors que tu es enceinte. Reste en place et lève le pied. Ne prends pas ça tant à cœur, relativise avec dans l'esprit ce qui se passera dans 2 ans, si tu as choisi le chômage ! Zéro indemnités. Si ça ne se produit pas avant, avec les changements politiques à l'horizon !

Modifié par 5121
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5121 , je comprends ton point de vue... mais dans 6 mois si je ne trouve pas un moyen de toucher les alloc chômage je me retrouve mise en réforme avec encore moins... donc comment rester en place ? c'est soit je pars en sauvant les meubles, soit je me fais jetter malproprement ?^^ 

que puis-je faire d'autre ?? 

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je ne suis cheminot que de cœur. Mais j'ai travaillé et je suis toujours en contact avec mon entreprise (publique, recherche). On n'y licencie pas des personnes en dépression, ni enceintes, ni en congé parental, ni en grande difficulté sociale (seule avec un enfant en bas âge). Même si la SNCF a bien changé, ça m'étonnerait qu'on s'y comporte de manière aussi inhumaine. Relis le premier post de Planonyme, il contient  beaucoup d'espoirs pour te raccrocher aux branches. Suis ses conseils. Tant que tu n'est pas vraiment dehors,  garde confiance EN TOI ! (si tu as retrouvé 80% de ton potentiel, ça devrait rouler !

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* On n'y licencie pas des personnes en dépression, ni enceintes, ni en congé parental, ni en grande difficulté sociale (seule avec un enfant en bas âge). Même si la SNCF a bien changé, ça m'étonnerait qu'on s'y comporte de manière aussi inhumaine. *

 

5121, j'aimerai aussi le croire.. ! 

 

Relis le premier post de Planonyme, il contient  beaucoup d'espoirs pour te raccrocher aux branches *

j'ai pas l'habitude d'abandonner... donc oui j'ai encore des pistes de recherche possible ... ? croisons les doigts ! ;) 

 

Tant que tu n'est pas vraiment dehors,  garde confiance EN TOI ! (si tu as retrouvé 80% de ton potentiel, ça devrait rouler !

 

merci pour les encouragements. :) 

 

l'espoir fait vivre... adviendra que pourra ! * ^^ 

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Invité Le briquetier

Si on devait licencier toutes les personnes, qui à un moment ou à un autre se trouvent en difficulté au chemin de fer (alcoolisme, dépression, et 1000 autres pathologies qui m'échappent), ça ferait du monde au portillon de pole emploi, cette entreprise n'étant jamais qu'un échantillon de la société civile, ni plus, ni moins. Je ne pense pas que la SNCF soit si inhumaine que ça pour l'heure, même s'il est vrai que ça à beaucoup changé.

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Il y a 1 heure , Le briquetier a déclaré:

Si on devait licencier toutes les personnes, qui à un moment ou à un autre se trouvent en difficulté au chemin de fer (alcoolisme, dépression, et 1000 autres pathologies qui m'échappent), ça ferait du monde au portillon de pole emploi, cette entreprise n'étant jamais qu'un échantillon de la société civile, ni plus, ni moins. Je ne pense pas que la SNCF soit si inhumaine que ça pour l'heure, même s'il est vrai que ça à beaucoup changé.

tout a fait

 

 ode comme je te l'ai déjà ecrit ta dépression semble provenir de ton environnement de travail pourquoi ne te rapproches tu pas d'un syndicat ou de délégués...ils peuvent t'aider ..

au lieu de chercher tous les moyens pour rester à la SNCF tu n'essaies d'envisager que la possibilité de partir..

 

Modifié par jackv
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(alcoolisme, dépression, et 1000 autres pathologies qui m'échappent), ça ferait du monde au portillon de pole emploi, cette entreprise n'étant jamais qu'un échantillon de la société civile, ni plus, ni moins. Je ne pense pas que la SNCF soit si inhumaine que ça pour l'heure, même s'il est vrai que ça à beaucoup changé

 

mais est-ce que nous savons rééllement quels sont leur condition de vie ??

perso, avant que ça ne me concerne, je ne m'étais jamais vraiment posé la question... je ne jugais , ni critiquais les " payés à rien foutre"... je me disais qu'ils avaient leurs histoires et que la sncf était bien bonne ... et que tant mieux! 

la sncf ne licencie pas... elle laisse les gens a leur sors...

au delà de 3 ans de MLD, l'agent n'est plus couvert part les indémnités à 100% mais 50 % seulement...  

aprés c'est soit des aller/retour entre périodes de "présence" et rebelotte en arrêt ( résigné question tout évolution de carrière) ...

ou soit l'agent accepte une mise en réforme pour inaptitude, ou mise en retraite anticipé, ou muté,

la vérité c'est que ça existe de plus en plus... ! ^^ 

mais gardons espoir ! ;)

 

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Bon, on avance ! Merci à tous ceux qui sont venu à la rescousse, la mienne ce qui a peu d'importance mais surtout celle d'Ode.

Elle a récupéré nous dit-elle à 80 %. Donc elle ne saurait être déclarée inapte définitive à tout emploi à la SNCF, condition nécessaire pour la réforme (sauf si c'est elle qui la demande bien entendu).

Apparemment, elle est tombée sur des gens qui manœuvrent et qui essaient de la convaincre qu'il n'y a pas d'autre solution que la réforme et qui sont même prêts à se mettre en cheville avec le médecin du travail pour qu'il favorise cette issue. Tu parles d'un soutien quand on mesure les conséquences que ça aurait ! Le problème c'est aussi, et ça c'est son problème, qu'elle s'est auto-convaincue qu'il n'y avait pas d'autre solution ! Nous lui aurons, je l'espère, ouvert d'autres voies.

Dans l'ordre, elle va donc se manifester de nouveau en demandant une visite de pré-reprise puisque, si on met de côté le congé de maternité, son arrêt maladie se termine et qu'elle n'a pas l'intention de le faire renouveler puisqu'arrivant en fin de droit (demi-solde). Elle demandera aussi la mise en œuvre de la procédure de reclassement car, tel qu'elle en témoigne, j'ai l'impression que ça n'a pas été fait. Et même si ça a été fait, elle la redemandera puisque son état a évolué nous dit-elle. Elle ne doit en tout cas pas se contenter de l'opinion ou de l'avis de gens qui, sur un coin de table, disent : non, on n'a rien, il n'y a pas de reclassement possible, il n'y a pas de poste. De fait, ses arrêts de travail ont donné du temps au temps mais il arrive un moment où il faut dire stop et passer à la phase active de reclassement avec mise en œuvre de tout ce qui est prévu.

Pour étayer le propos, je cite les dispositions statutaires suivantes :

TCXfWm1qH00AAAAASUVORK5CYII=

Pour le reste, je conseille à Ode de relire totalement toutes les dispositions du Statut (RH001) concernant le régime d'assurance maladie et l'inaptitude.

Dans son "sac de nœuds" comme elle dit, il faut d'abord dénouer la question de l'aptitude ou de l'inaptitude. Et ensuite, explorer les reclassements compatibles. Sous réserve d'avis médical, il y en a c'est à peu-près sûr. Un peu à distance du lieu de travail initial, ça peut peut-être lui permettre de se réinsérer plus facilement ? Ce n'est qu'en fin de parcours qu'elle posera son problème de garde et d'horaires. Si elle ne veut pas (ou ne peut pas) prendre un congé parental d'éducation, il faudra bien qu'elle trouve une place en crèche ou un(e) assistant(e) maternel(le). J'ai mis masculin / féminin par éthique personnelle, mais je sais bien que c'est féminin ! Et la réserve, où que ce soit, je crois qu'il faut oublier ! Déjà un roulement, ça simplifiera les choses avec une meilleure stabilité horaire. Et peut-être qu'elle demandera un temps partiel (on ne peut normalement guère lui refuser non plus).

J'ai envie de dire : il n'y a pas de problèmes, il n'y a que des solutions ! Puisse Ode l'entendre.

Et sur l'aspect financier, le papa il a des obligations. Non mais !

 

 

 

 

 

Modifié par PLANONYME
correction orthographe
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pourquoi ne te rapproches tu pas d'un syndicat ou de délégués...ils peuvent t'aider .. *

je me suis déjà rapproché d'un délégué syndical. 

il m'a aidé à monter mon dossier unagecif pour me reclasser hors sncf. 

mais j'ai du arrêter  la formation.

il est au courant de ma nouvelle situation, mais il n'en sait pas plus pour ma situation auprés du RH...  

 

 

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il y a 17 minutes, Ode a déclaré:

je me suis déjà rapproché d'un délégué syndical. 

il est au courant de ma nouvelle situation, mais il n'en sait pas plus pour ma situation auprés du RH... 

En voir un autre. Son mandat, c'est aussi d'ouvrir les portes. Ce délégué a nécessairement des contacts avec d'autres délégués et avec l'organisation syndicale qui l'a présenté aux élections L'idéal est de prendre contact avec le siège régional d'une organisation syndicale cheminote. Et de préparer une audience auprès des services RH compétents ou du Directeur d'Etablissement directement afin de lui mettre la pression. Ce ne serait pas la première fois, qu'un DET dise qu'il ne savait même pas qu'il y avait de tels problèmes !

La structure syndicale mettra dans la boucle le délégué qu'elle estimera le plus compétent pour suivre les développements. Parfois, malheureusement le pauvre délégué local, tout seul dans son coin, n'a pas trop les moyens s'il n'y a personne autour de lui.  Ce n'est pas de sa faute. Comme je dis souvent : on a les syndicats ou la représentation du personnel qu'on mérite.

Quand on parle de "délégué syndical", je suppose qu'il s'agit d'un délégué du personnel. C'est à dire un mandat électif local. Les délégués syndicaux ne sont pas si nombreux que ça à la SNCF. Il y en a un qui siège au Comité d'Etablissement. Un autre qui est le secrétaire général de son organisation au niveau régional. C'est à peu-près tout.

Modifié par PLANONYME
ajouts / développements
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* Dans l'ordre, elle va donc se manifester de nouveau en demandant une visite de pré-reprise puisque, si on met de côté le congé de maternité, son arrêt maladie se termine et qu'elle n'a pas l'intention de le faire renouveler puisqu'arrivant en fin de droit (demi-solde). Elle demandera aussi la mise en œuvre de la procédure de reclassement car, tel qu'elle en témoigne, j'ai l'impression que ça n'a pas été fait. Et même si ça a été fait, elle la redemandera puisque son état a évolué nous dit-elle. Elle ne doit en tout cas pas se contenter de l'opinion ou de l'avis de gens qui, sur un coin de table, disent : non, on n'a rien, il n'y a pas de reclassement possible, il n'y a pas de poste. De fait, ses arrêts de travail ont donné du temps au temps mais il arrive un moment où il faut dire stop et passer à la phase active de reclassement avec mise en œuvre de tout ce qui est prévu *

 

la question est si auprés du RH ça reste sans réponses... auprés de qui puis-je m'adresser ??

car depuis décembre 2015, mon RH est au courant de ma nouvelle situation et que je suis en attente de connaitre mon devenir à la SNCF... ? 

je suis en attente... ^^

 

 

*  Ce n'est qu'en fin de parcours qu'elle posera son problème de garde et d'horaires. Si elle ne veut pas (ou ne peut pas) prendre un congé parental d'éducation, il faudra bien qu'elle trouve une place en crèche ou un(e) assistant(e) maternel(le). 

perso, j'aimerai un congé parental. mais le complément de baisse d'activité pour élever un bébé est pour 100% 390,52€... (donc re-problème !!^^) 

 

dans ce sac de noeuds y'a en plus 1 serpent qui se mord la queue... ! ^^ 

 

* J'ai envie de dire : il n'y a pas de problèmes, il n'y a que des solutions ! Puisse Ode l'entendre. *

 

message bien positif et j'aimerai dire maintenant action !! ;) 

 

* Et sur l'aspect financier, le papa il a des obligations. Non mais ! *

non, en france aucune loi oblige un pére à reconnaitre sa parentalité...( sauf cas particulier ) 

 

 

 

*   Quand on parle de "délégué syndical", je suppose qu'il s'agit d'un délégué du personnel. C'est à dire un mandat électif local. Les délégués syndicaux ne sont pas si nombreux que ça à la SNCF. Il y en a un qui siège au Comité d'Etablissement. Un autre qui est le secrétaire général de son organisation au niveau régional. C'est à peu-près tout. *

 

alors là, bonne question. je crois bien qu'il est élu. 

 

* Quels sont tes niveaux de relations avec tes collègues... ?? peut être fais tu le complexe du "mouton noir", qui te feras t'eloigner encore plus des autres..

Certes, d'une manière générale, nos contemporains "fuient" les personnes à problèmes, les malades... ça les met en face de choses qu'ils ne veulent/ ne peuvent pas voir...mais il existe toujours dans une communauté d'individus, certains plus aptes à l'empathie que d'autres, quelquefois sous forme engagés ( delégués d'OS, entre autre....), *

 

comme le souligné Fabr, c'est le seul en interne qui s'est penché sur mon cas... un énorme merci à lui, :) ,  mais son pouvoir ne semble pas suffir... ^^

 

est-ce que l'inspection du travail pourrait faire quelque chose ?? 

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Le RH n'est que le RH. S'adresser au Directeur d'Etablissement. Lequel certainement confiera ça au RH mais au moins il y aura davantage de monde sur l'affaire. Et puis relancer s'il n'y a pas de réponse, une fois, deux fois. Et passer au niveau hiérarchique au-dessus si nécessaire.

Mais qu'est ce qu'on entend par "pas de réponse" ? Pas de réponse satisfaisante en termes de solution ? Ou silence assourdissant ? Il est inconcevable qu'il n'y ait pas de réponse. C'est la réponse qui est à discuter ensuite le cas échéant. Mais, comme déjà dit, tant que l'arrêt de travail n'est pas levé, que l'inaptitude n'est pas cadrée par le médecin du travail, il est vain d'espérer que le niveau local se démène pour chercher une solution pour lui uniquement temporaire. Visite de pré-reprise. Cadrage de l'inaptitude (ou plutôt de l'aptitude même résiduelle) par le médecin du travail. Procédure de reclassement. C'est ça le bon bout. Il y a de quoi faire. Et ça dépasse largement le RH local puisque la solution n'est pas forcément à rechercher ni à trouver dans l'établissement.

La posture ne peut être d'attendre indéfiniment. Il faut affirmer :  je reviens avec l'aval et les préconisations du médecin du travail. Il faut donc commencer par ça.  Le devenir se dégagera ensuite peu à peu.

Je répète (comme d'autres) : consulter une organisation syndicale au niveau régional. Elle confiera ça au délégué qui va bien. Et elle interpellera autant que de besoin les plus hautes directions dans les instances de représentation du personnel. Le C.E. notamment. Il finira bien par y avoir quelqu'un qui demande au RH ou au Directeur d'Etablissement de rendre compte de ce qu'ils font ou pas. Vous devez sortir de ce seul face à face qui semble stérile et non productif.

L'inspection du travail ? En absence d'infraction caractérisée à une réglementation ou législation, je ne vois pas trop matière à intervention de ce gendarme. Cette affaire me semble relever de l'enlisement. D'un côté vous Ode qui attendez d'avoir des réponses pour y voir clair. De l'autre, vos interlocuteurs qui après vous avoir écoutés n'ont pas l'air de se mobiliser tellement.

Sur les obligations du papa, je ne m'étends pas trop car je ne connais pas. Mais quelques recherches sur un site d'informations juridiques m'ont conduit à ce type de réponse :

Un géniteur ne peut refuser une reconnaissance de paternité : celle-ci est strictement obligatoire

  • même s’il a été conçu sans son consentement (« un gosse dans le dos »),
  • même s’il refuse le test ADN (le juge estime qu’il est alors coupable) ,
  • Il devra donc payer une pension alimentaire obligatoire,
  • L’enfant sera obligatoirement son héritier,
  • Père et fils se devront obligatoirement solidarité mutuelle.

Une seule solution :

  • cacher son identité à toute partenaire sexuelle,
  • détruire toute preuve de relations sexuelles.

Savez vous que vous pouvez solliciter le service juridique SNCF pour des conseils sur cet aspect de votre vie privée ? Votre Comité d'Etablissement propose aussi certainement l'accès à une permanence juridique. Et vous avez peut-être une assistance protection juridique nichée dans un contrat d'assurance quelconque.

 

 

 

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elle s'est auto-convaincue qu'il n'y avait pas d'autre solution ! Nous lui aurons, je l'espère, ouvert d'autres voies. *

 

auto-convaincue, pas vraiment... mais fini par m'y résignée... j'avoue .. . ^^ 

 

Avec tous ces éléments et point de vue, je vais essayer d'en tirer au mieux les conseils en espérant aboutir à une solution acceptable à ma situation...

 

Merci à tous pour vos interventions et informations complémentaires ... :) 

 

Bonne continuation à tous et prenez soin de vous. 

Ode.

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tiens bon  ..soignes toi bien pour que la petite naisse en pleine forme ...continue a voir pour traiter ton burtout pour que la petite est une mere valable

"auto-convaincue, pas vraiment... mais fini par m'y résignée... j'avoue" 

c'est le meilleur choix pas de résignation lorsque l'on va avoir charge de famille.. et pense que d'autres peuvent un peu t'aider

la médecine du travail

les psy...ton médecin traitant

l'assistance sociale

les syndicats...

mets tout cela en branle(cela occupe) et pas avec un sentiment de perdante et de recul..

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  • 3 années plus tard...

re-bonjour à tous, désolée j’avais perdu le fil du forum... 

coincidence ou signe, il se trouve que j’ai de nouvelles interrogations à vous solliciter. Car les fils du« sac de noeud «  ne sont pas facile à comprendre... 

déjà, en janvier 2016 , la solution que j’avais fini part trouver fut de vendre mon F3 contre un studio. ( ça m’a donné un souffle financier pour m’occuper de ma puce ainsi que de ma santé ‘) 

suite au congé parental ( août 2017) , j’ai pris un congé sans solde pour éducation d’enfant.( mai 2020) .

depuis 2016 la situation interne a encore changé ( plan de réorganisation de service et plan depart volontaire entre autres... ) et ma situation personnelle est à la case départ. ( plus d’économie et toujours pb de santé) .

j’ai vu l’assistant drh la semaine dernière qui m’a parlé de mise en réforme retraite pour inaptitude ( pension et indemnité)  ou d’une rupture conventionnelle que SNCF accepte aujourd’hui. 

les montants annoncés ne sont pas très élevés à mon point de vue. ( je pense que l’assistant drh a fait des calculs sur des bases que je suis pas d’accord car il m’annonce une indemnité à 38000€ et pension 720€. (Pour l’option réforme pensionné. )
mais moi qd jai refais les calcul D’après sud rail mes indemnités dépassent les 80000€ voir le double selon le taux d’invalidité ( a vérifier auprès de la caisse car j’ai cru comprendre que je pouvais faire des demandes , cest confu pour moi mais je dois me renseigner sur mon statu officiel sinon je dois demander une reconnaissance) + pension 1700€ + rente 

du coup ça parait « jack pot «  ( j’ose pas imaginer cela possible , je pense que c’était que la 1ère offre et que la négociation est enclenchée officieusement) 

déjà, j’ai bien compris que SNCF préférerait négocier mes indemnités plutôt que de me réintégrer. ( l’assistant drh détourné tjs la discussions vers les chiffres des indemnités qd je lui posais des questions sur mon retour envisageable et m’a fait comprendre que les indemnités spécifiques pouvaient être negocier... ^^ ) 
 

personnellement si l’offre est intéressante je préfère aussi trouver un accord satisfaisant. 

bien entendu ma 1ère demande est toujour la même retrouver un poste adaptée à ma situation. ( mais y’a quasi aucune chance) donc  case départ et réforme pour inaptitude à la demande SNCF.
( et je sais pas si j’ai la force suffisante pour monter un dossier prud’hommes ) 

1ère question. Est-ce que ça change qque chose ( base de calcul aux indemnités et pension ? ) si c’est à la demande de l’agent ou à la demande de l’employeur ?

2eme Q: est-ce  Le plus intéressant une mise en retraite pour inaptitude reconnu lié au travail ( réforme,pensionné + rente) ou une mise en retraite pour réforme ( plan départ volontaire en retraite 20 ans ancienneté) ? 
 

Pouvez-vous m’expliquer les différences de fin de contrat.?
je me perds sur les bases de calcul entre les indemnités accordées ou non et les pensions attribué ou non.

merci d’avance. 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  • 7 mois plus tard...

Hello Ode, je ne sais pas ce qu'il s'est passé depuis ce message, j'espère pour toi que ça a été dans le bon sens...si tu as pu avoir ces indemnités super car perso avec 13 ans (12 quand je me suis renseigné) on me lâchait a peine 15000€).

Concernant la retraite pour réforme si tu as pu l'avoir c'est bien car en 2017 ( je crois) ils ont par exemple supprimé la règle qui faisait qu'on pouvait partir a taux plein au bout de 15 avec 3 enfants...dommage pour moi...

Perso j'étais un peu dans ta situation

Entre en 2007 j'ai tout donné a la boîte( jamais d'absence même malade, toujours là pour les ouvertures/fermeture alors que d'autres arrivaient en retard la faute au métro et partait plus tôt : le train suivant était trop tard)

Après le décès de mon concubin en novembre 2010 je suis retourne travailler en avril 2011, on m'a donné un poste en journée mais en filiale et au bout d'un an j'ai commencé a avoir des soucis de harcèlement latéral, j'ai réussi à "négocier" un changement de poste et de lieu en 2013 mais j'ai joué les bouche trous après ça plus de postes j'ai vaqué ça et là sans bureau sans pc pour bosser, en 2014 2nd bébé j'ai pris un 50% car quitte à ne rien faire au boulot, j'ai préféré être à la maison, 2015 3eme depuis je suis en congé. Je dois bientôt reprendre mais j'angoisse car y retourner pour de nouveau ne rien faire de mes journées...sic

Bref j'ai pensé aussi à quitter l'entreprise mais solo comme toi et avec 3 enfants je peux pas me permettre d'être sans revenu fixe...

J'espère que ça s'est arrangé pour toi.

Je suis au cadre permanent mais avec la réforme qui a eu lieu je m'inquiète de mon retour, en plus ma gk vient de partir en retraite donc je n'ai plus de référent dans l'entreprise ni de contact bref ça va être dur.

C'est bien que tu ai tenu tout ce temps et j'espère que tu as trouvé la solution idéale pour toi.

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  • 3 années plus tard...

Re bonjour à tous,

 

où j’en suis actuellement: 

Ma santé m’empêche toujours une reprise de travail.

( arrêt travail 27 août 2013 MLD et tps thérapeutique catastrophique et inaptitude provisoire à mon poste et mise au placard catastrophique  )

a ma demande inaptitude levée sept 2015 pour fongecif .

 11 octobre 2015abandon fongecif,  arret maladie liée à ma grossess et jamais repris le travail depuis. ( congés mater et parental et pour éducation d’enfant)

depuis 2019 congés sans solde., en esperant recouvrir une meilleure santé pour reprise travail et solution reclassement pro…

aucune nouvelle de sncf sauf pour renouvellement de congés . 

et de mon côté toujours impossible de travailler.

demande en reconnaissance hors tableau des maladie profess. en recours … 

en interne,  officiellement pour SNCF je suis seulement en conges sans solde pour convenance perssonnnelle  . malgres que la drh est au courant de ma situatiion reelle. ( c’était uniquement pour le fongecif que mon inaptitude était levée, mais comme j’ai jamais pu reprendre le travail après l’abandon j’ai pas revu la médecine du travail car j’aurais  été réformée inapte et réformée et jusqu’à présent je n’étais pas prête  A admettre mon invalidité et j’espérée encore un rétablissement suffisant pour envisager une reprise même partielle.

Donc, au bout de 10 ans  je veux mettre un terme à cette situation qui bousille davantage ma santé et je suis prête à quitter sncf.

Donc la question est sous quelle conditions ?? 
Et là ça devient très difficile à comprendre…

mais, si j’ai bien compris , dans mon intérêt serait,

faire une demande de mise en réforme pour maladie pro. =  pension invalidité + rente incapacité ?? 


Ou directement mise en réforme anticipée de retraite = pension retraite + rente incapacité ?? 

 
dois-je attendre la réponse de la reconnaissance en Maladie Professionnelle ou puis-je enclencher dès maintenant une mise en invalidité / réforme ??  
 

la reconnaissance peut prendre encore des mois voir années… si j’enclenche maintenant une réforme est-ce que les avantages liés seront rétroactifs ou pas?? 
 

car je crois savoir qu’en cas de réforme pour inaptitude la commission des réformes peuvent repondre plus vite (+/_ 8 mois) ., et peut être même après visite médicale le médecin de travail me met en inaptitude totale c’est sncf qui peut me mettre d’office en réforme ?? Donc sous-entendu pas de délais pour commission ? Donc beaucoup plus rapide (?) 

Jusqu’à présent je vivait de mes économies et dans max 1 ans j’ai plus rien . 

d’où la panique et l’urgence à clôturer officiellement cette situation. 
 

je ne trouve personne pour m’aider à comprendre et concrètement finir avec cette situation infernale.

 

bref, je dois sûrement confondre tous ces termes et donc impossible de savoir quelles démarches il me reste à faire de mon côté pour accélérer la mise en réforme et dans le meilleur intérêt financier pour moi. 
 

Et comme je suis sous contrat suspendu je perds pleins d’aide et chaque service me balade… 

Bref, si quelqu’un y comprend un petit quelque chose à ma situation et aurait des informations qui m’aiderait à finaliser au mieux, un grand mercii d’avance.

 

prenez soin de vous surtout.

cordialement 
 

Et toi coquelicot 78 où en es-tu actuellement ?? 

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il y a 11 minutes, Ode a dit :

Donc, au bout de 10 ans  je veux mettre un terme à cette situation qui bousille davantage ma santé et je suis prête à quitter sncf.

Il faut être patient pour laisser pourrir une situation compliqué comme celle ci pendant 10 ans.

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Il y a 1 heure, Ode a dit :

Donc, au bout de 10 ans  je veux mettre un terme à cette situation qui bousille davantage ma santé et je suis prête à quitter sncf.

Bon, j'ai relu pour me remettre dans le bain de ce qui a déjà été écrit et commenté depuis... 10 ans !

Aujourd'hui, si j'ai bien suivi, vous êtes encore en congé de disponibilité, a priori pour convenances personnelles. 

Le pire des congés de disponibilités puisqu'il ne prévoit une reprise qu'en cas de vacance de poste, sinon l'entreprise peut vous maintenir en disponibilité y compris au-delà de la limite normale de 4 ans.

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Le premier nœud à défaire (pour reprendre cette expression que vous aviez plusieurs fois employée), c'est donc d'entrer en voie de réintégration.

Au moment de cette réintégration et seulement à ce moment-là se posera la question de votre inaptitude. Vous semblez considérer que votre inaptitude sera  totale et définitive sans possibilité de reclassement. Dans ce cas, la SNCF n'aura pas d'autre solution que d'engager une procédure de réforme. Le temps de la procédure (comptez 6 à  8 mois), elle devrait vous maintenir votre rémunération si vous n'êtes pas par ailleurs en arrêt de travail maladie et ceci même si elle n'a rien pour vous caser temporairement. Vous ne pouvez exclure toutefois que l'entreprise vous occupe ici ou là hors cadre d'organisation et missions précises dans la limite des préconisations du médecin du travail. Comme vous avez dans le passé souffert de ces affres-là, autant l'envisager. 

Vous percevrez comme pension de réforme (c'est comme une pension de retraite à jouissance immédiate), ce que de droit. Pour faire simple avec les éléments glanés dans vos précédentes publications, 15 / 25ème du minimum de pension. Quelque chose comme 780 € mensuel brut. Calcul à affiner car je ne saurais dire quelle est votre ancienneté réelle de service compte tenu de vos congés de disponibilité successifs (certains comptent ou peuvent compter dans le calcul de l'ancienneté, d'autres non). Vous avez un simulateur de calcul sur votre espace personnel de la CPRPSNCF.

Si votre inaptitude devait conduire à une invalidité d'au moins deux tiers au sens de la sécurité sociale, votre pension de réforme serait portée à 50 % de votre rémunération de référence.

Sur la durée, une pension de réforme représentera pour vous (par hypothèse j'estime votre âge) à davantage que la meilleure négociation d'une rupture conventionnelle que vous pourriez mener. La base de l'indemnité de rupture est celle-ci :

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C'est bien entendu un minimum. En la matière, c'est la partie la plus intéressée à une rupture conventionnelle qui y met le prix. Le salarié en acceptant le minimum pour hâter l'accord et son départ. L'entreprise en faisant monter les enchères si c'est elle qui y trouve le plus d'intérêt. Mais ça n'atteindra jamais, très très loin de là, le coût potentiel (pour la caisse de retraite cette fois et non pas pour la SNCF en tant qu'employeur) d'une pension de réforme qui peut représenter sur la durée 400 000 ou 500 000 euros. Eh oui ! Puisque la pension de réforme est viagère, versus un montant d'indemnité pour solde de tout compte dans le cadre d'une rupture conventionnelle. L'économie, à l'échelle des finances publiques, c'est de vous fourguer une rupture conventionnelle ! 

Vous pouvez également demander vous même cette admission à une pension de réforme, ce qui ne change rien sur le fond. Tel que vous avez exposé la situation, la SNCF ne manquera pas de le faire à votre place lorsque vous solliciterez votre réintégration. 

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Une pension de réforme vous autorise à percevoir un revenu d'activité par ailleurs. C'est heureux vu les montants souvent pingres. 

Dans ce forum, il n'y a de nombreux sujets autour de la réforme. Vous y trouverez des éléments.

Tout ceci sous toutes réserves d'erreurs ou plutôt d'approximations ou d'omissions car les strates successives de votre situation la rende suffisamment complexe pour qu'il y ait de nombreux biais.

 

 

Modifié par PLANONYME
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