zoreglube Publication: 4 mars Publication: 4 mars A bas les critiques et médisances sans fondement, qui ont hélas de plus en plus cours sur les réseaux sociaux, et qui touchent de plus un de nos anciens collègues . Joël (Tout le monde veut prendre sa place) répond aux rumeurs sur son comportement sur les tournages 1
zoreglube Publication: hier à 09:50 Publication: hier à 09:50 Mapie, Vaness et Valou se trouvent en ce moment à la maison dans le cadre d'un réunion en mode distanciel, dans le cadre d'un CA du collègue afin de préparer la future année scolaire . Mais hélas mes inopportunes oreilles ont capté les remarques émises de leur part . Elles dénoncent le fait que pour bien des élèves qui restent en difficulté ou en conflit, et malgré les avertissements donnés aux parents par mail ou convocation, la suite reste souvent sans débouchés concrets, hormis pour quelques cas, ou voire pire pour les parents qui contestent! . Je ne veux plus mais pas du tout jouer le facho de service, mais à mon époque lorsque ont se prenait une dose question défaut de comportement à l'école, suivie d'une prise double chez nos parents . 1
f6exb Publication: il y a 22 heures Publication: il y a 22 heures De 1824 à 1932, c'était le ministère de l'Instruction publique, l'éducation se faisant à la maison. Depuis, ça s'appelle le ministère de l'Éducation nationale. La mission des parents ayant été subtilisée, normal qu'ils ne fassent plus rien.
capelanbrest Publication: il y a 21 heures Publication: il y a 21 heures il y a 3 minutes, f6exb a dit : De 1824 à 1932, c'était le ministère de l'Instruction publique, l'éducation se faisant à la maison. Depuis, ça s'appelle le ministère de l'Éducation nationale. La mission des parents ayant été subtilisée, normal qu'ils ne fassent plus rien. Mouai...enfin l'éducation chez et par les parents..... encore faut il que les parents aient les compétences....pour se faire. Dans les milieux populaires je doute que ce fût trés efficace pour la grande majorité d'entre eux... Les gosses finissaient à l'usine ou aux champs dés 14 ans .... Par contre ceux des milieux aisés qui pouvaient se payer institution privée ou précepteur, leur voie était toutes tracée. Dés lors qu'il fut interdit d'interdire les pros ont baissé les bras et les parents ont fait des enfants des petits rois .... à mon époque les années 60/70 (et je plussoie aux propos de Zoreglube), mieux valait ne pas la ramener quand un prof faisait une remarque, avait donner une paire de baffes ou une punition. car c 'était double punition garantie. et si le prof demandait au père de venir le samedi matin à 11h45 suite à une conduite inappropriée, ....ça sentait le souffre pour le retour à la maison. Je précise que j'ai toujours fréquenté des établissements publics et aucunes institutions privée/catholique. la paire de baffes par l'instit' était rare, mais souvent elle était justifiée...lorsque l'on sortait du cadre. ça n'a pas fait de nous des enfants martyrs pour autant...ni des anges. Les conneries se faisaient comme tous les gamins de toutes les époques en ont fait....fallait juste apprendre à ne pas se faire choper...et ça à l'époque ça s'apprenait plus vite que les conjugaisons, définitions et autres joyeusetés de l'époque. Tout n'était pas formidable non plus, mais autant que je me souvienne ...bien rares étaient les parents qui donnaient tort aux instits. (rien à voir avec ce que l'on entend de nos jours). 2 2
MAGORINO Publication: il y a 12 heures Publication: il y a 12 heures Il y a 9 heures, capelanbrest a dit : Mouai...enfin l'éducation chez et par les parents..... encore faut il que les parents aient les compétences....pour se faire. Dans les milieux populaires je doute que ce fût trés efficace pour la grande majorité d'entre eux... Les gosses finissaient à l'usine ou aux champs dés 14 ans .... Par contre ceux des milieux aisés qui pouvaient se payer institution privée ou précepteur, leur voie était toutes tracée. Dés lors qu'il fut interdit d'interdire les pros ont baissé les bras et les parents ont fait des enfants des petits rois .... à mon époque les années 60/70 (et je plussoie aux propos de Zoreglube), mieux valait ne pas la ramener quand un prof faisait une remarque, avait donner une paire de baffes ou une punition. car c 'était double punition garantie. et si le prof demandait au père de venir le samedi matin à 11h45 suite à une conduite inappropriée, ....ça sentait le souffre pour le retour à la maison. Je précise que j'ai toujours fréquenté des établissements publics et aucunes institutions privée/catholique. la paire de baffes par l'instit' était rare, mais souvent elle était justifiée...lorsque l'on sortait du cadre. ça n'a pas fait de nous des enfants martyrs pour autant...ni des anges. Les conneries se faisaient comme tous les gamins de toutes les époques en ont fait....fallait juste apprendre à ne pas se faire choper...et ça à l'époque ça s'apprenait plus vite que les conjugaisons, définitions et autres joyeusetés de l'époque. Tout n'était pas formidable non plus, mais autant que je me souvienne ...bien rares étaient les parents qui donnaient tort aux instits. (rien à voir avec ce que l'on entend de nos jours). Ce discours manichéen est bien dans l'air du temps . Personnellement je n'ai jamais utiliser la violence comme principe d'éducation et mes parents aussi ne l'ont jamais toléré . Il faut dire que mon père en a fait un principe ayant été élevé a coup de bâton . Concernant les enseignants et toutes les institutions ,il y a du bon et du mauvais .Des enseignants impliqués et d'autres qui souffrent et peuvent faire souffrir . Mon principe a toujours été de ne pas se laisser faire ; La vie est un long combat de tout les jours . J'ai fait de nombreux conseil de discipline pour mes garçons qui ont toujours eu notre soutien . Leurs réussites professionnelles et social ( pour l'instant ) ne me fait rien regretter . Je dois être largement HS ,je m'en excuse mais c'est un sujet qui me tient à coeur . 2 1
zoreglube Publication: il y a 9 heures Publication: il y a 9 heures Depuis sa première prise de poste lors de l'année scolaire 1990-1991 , mon épouse Mapie a vu ses conditions d'emploi évoluer aussi bien positivement qu'en mal . Aspect positif après avoir travaillé dans un collègue de type Pailleron, en 2002 place au collège Albert CAMUS flambant neuf, avec un nombre de places conséquentes, mais avec la forte explosion démographique du secteur, le nombre des élèves par classe a augmenté, de fait sans compter les dégradations qui en découlent, par un suivi des élèves plus ou moins délicat en tous points, d'autant plus que le nombre d'enseignants n'a pas suivi, et pire avec le recours plus ou moins forcé aux heures supplémentaires ! Le point positif revient à l'ambiance bien cordiale du site, et à l'équipe d'encadrement à l'écoute, ce qui prévaut toujours dans cet établissement . Cette aide est bien appréciée par toutes et tous, et les enseignants qui partent le regrettent bien souvent . 2
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