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Le Web des Cheminots

Service Minimum : Les Syndicats Semblent Rassurés


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Ben tu sais , j'étais à la banlieue et des juste derrière le support caténaire etaient assez courant

Ici, un jour mon chef qui s'était étonné de voir que je ne réagissais pas à la présence d'une personne à environ 10 m des voies ( hors quai) a poussé une gueulante en me vidant les RP avec le sifflet

Alors moi etre C** , lui dire, moi faire,pas de probleme controleursncf controleursncf

C'est bien!! Très bon agent!!! okokokok

:ninja: mdrmdr

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non mais fabrice à raison, il faut remettre les choses à leur place, à la base, hormis sur les quais, les gens n'ont rien à foure dans les emprises... on fait preuve de relachement à la banlieue car si tu vois pas au moins 3 ou 4 fois une personne ds les emprises durant ta journée, c'est que tu vois pas clair....

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non mais fabrice à raison, il faut remettre les choses à leur place, à la base, hormis sur les quais, les gens n'ont rien à foure dans les emprises... on fait preuve de relachement à la banlieue car si tu vois pas au moins 3 ou 4 fois une personne ds les emprises durant ta journée, c'est que tu vois pas clair....

Je te rassure, il n'y a pas qu'à la banlieue...

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C'est clair que si il y a passage en force avec service minimum, ce sera comme trotinnette , le minimum sera fait, donc pas d'annonce de correspondance de retard si il devait y en avoir, pas de recensement de correspondance etc...

Juste la sécurité, donc si le train s'arrete faire l'annonce et bloquer les portes. Pas de renseignements rien du tout.

Mais savez vous ce qu'on deja proposer les syndicats au gouvernements, il faudrait leur dire que pour faire le service minimum, il faudrait du matériel correct et du personnel sur le terrain suffisamment.

@+ Marc

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Service minimum: les syndicats dénoncent un calendrier imposé

François Fillon a annoncé ce mercredi un calendrier de réformes, notamment sur le service minimum. Il demande aux syndicats de faire des propositions avant la fin de l'été, faute de quoi le gouvernement déposera un projet de loi en septembre. Les syndicats dénoncent le procédé et menacent de cesser toutes discussions.

Premiers désaccords entre François Fillon et les syndicats. Lors d'un entretien à Europe 1 ce mercredi, le Premier ministre s'est exprimé sur le sujet sensible du service minimum dans les services publics, donnant aux partenaires sociaux "jusqu'à la fin de l'été" pour faire des propositions. "Si elle ne sont pas faites, nous proposerons un texte au début du mois de septembre" a-t-il ajouté. Une position qui a fait bondir les syndicats, lesquels ont la désagréable impression d'être mis en demeure par le gouvernement.

En congrès à Séville avec la Confédération européenne des syndicats (CES), Bernard Thibault a déclaré que ces dates butoirs fixées par le Premier ministre n'étaient pas une "base de travail". Le secrétaire général de la CGT doit rencontrer le Président de la République mardi prochain. Mais le représentant syndical a déjà prévenu: si le gouvernement "décide de l'objectif et qu'on nous demande de discuter uniquement des modalités, l'exercice risque d'être écourté".

Le leader de la CGT estime que les déclarations de François Fillon laissent penser que "la prochaine rencontre serait d'avantage au service d'une communication gouvernementale avant les législatives, plutôt qu'une véritable volonté de dialogue".

"Il y a un problème de méthode", a souligné pour sa part le secrétaire général de Force Ouvrière (FO), Jean-Claude Mailly. Le syndicat se positionne malgré tout contre un service minimum dans les services publics. "Nous demandons des négociations entreprise par entreprise sur la prévention des conflits, et j'avais cru comprendre que cela ne posait pas de problèmes à M. Sarkozy". "J'aimerais savoir s'il y a changement de position", s'est-il interrogé.

De son côté, le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque doit rencontrer Nicolas Sarkozy vendredi. "Si on vient pour qu'on nous dise: "voilà comment faire", ce n'est pas un débat, et si le calendrier nous est imposé, il n'y a pas de discussions", a-t-il affirmé, concluant: "Pour l'instant, il n'y a pas de calendrier".

Mais pour François Fillon, la réforme a déjà trop attendu. Tout en réaffirmant son intention de "ne pas passer en force" et de respecter la loi du dialogue social, le Premier ministre estime que c'est "un sujet sur lequel on a réfléchi pendant 15 ans, sur lequel 80% des Français souhaitent une réforme". Le chef du gouvernement a prévenu que le temps de la concertation n'était pas éternel: "on ne va pas y réfléchir pendant neuf mois".

[La tribune]

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Service minimum: les syndicats dénoncent un calendrier imposé

François Fillon a annoncé ce mercredi un calendrier de réformes, notamment sur le service minimum. Il demande aux syndicats de faire des propositions avant la fin de l'été, faute de quoi le gouvernement déposera un projet de loi en septembre. Les syndicats dénoncent le procédé et menacent de cesser toutes discussions.

Premiers désaccords entre François Fillon et les syndicats. Lors d'un entretien à Europe 1 ce mercredi, le Premier ministre s'est exprimé sur le sujet sensible du service minimum dans les services publics, donnant aux partenaires sociaux "jusqu'à la fin de l'été" pour faire des propositions. "Si elle ne sont pas faites, nous proposerons un texte au début du mois de septembre" a-t-il ajouté. Une position qui a fait bondir les syndicats, lesquels ont la désagréable impression d'être mis en demeure par le gouvernement.

En congrès à Séville avec la Confédération européenne des syndicats (CES), Bernard Thibault a déclaré que ces dates butoirs fixées par le Premier ministre n'étaient pas une "base de travail". Le secrétaire général de la CGT doit rencontrer le Président de la République mardi prochain. Mais le représentant syndical a déjà prévenu: si le gouvernement "décide de l'objectif et qu'on nous demande de discuter uniquement des modalités, l'exercice risque d'être écourté".

Le leader de la CGT estime que les déclarations de François Fillon laissent penser que "la prochaine rencontre serait d'avantage au service d'une communication gouvernementale avant les législatives, plutôt qu'une véritable volonté de dialogue".

"Il y a un problème de méthode", a souligné pour sa part le secrétaire général de Force Ouvrière (FO), Jean-Claude Mailly. Le syndicat se positionne malgré tout contre un service minimum dans les services publics. "Nous demandons des négociations entreprise par entreprise sur la prévention des conflits, et j'avais cru comprendre que cela ne posait pas de problèmes à M. Sarkozy". "J'aimerais savoir s'il y a changement de position", s'est-il interrogé.

De son côté, le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque doit rencontrer Nicolas Sarkozy vendredi. "Si on vient pour qu'on nous dise: "voilà comment faire", ce n'est pas un débat, et si le calendrier nous est imposé, il n'y a pas de discussions", a-t-il affirmé, concluant: "Pour l'instant, il n'y a pas de calendrier".

Mais pour François Fillon, la réforme a déjà trop attendu. Tout en réaffirmant son intention de "ne pas passer en force" et de respecter la loi du dialogue social, le Premier ministre estime que c'est "un sujet sur lequel on a réfléchi pendant 15 ans, sur lequel 80% des Français souhaitent une réforme". Le chef du gouvernement a prévenu que le temps de la concertation n'était pas éternel: "on ne va pas y réfléchir pendant neuf mois".

[La tribune]

Tout est dit

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95 : Préavis de grève officiel national pour le premier jour de grève...

Lettre de Bernard Thibault quelques jours avant le début de la grève à tous les cheminots appelant à un mouvement dur, illimité et reconductible...

pas vraiment à la ramasse sur ce coup là...

Mais après ce sont toujours les cheminots qui décident de la force et de la conduite du mouvement.

Bonjour Dom !

:)bigbisous:Smiley_39:

Et qui a aussi joué beaucoup en plus du travail effectué par les syndicats et leurs militants en 1995 , la diffusion de la

carte du futur "réseau noyeau" tel qui pouvait se trouver à l'avenir avec la suppresion de 6000 à 12000

kilomètres de lignes ( carte éditée par la CGT ) .

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95 : Préavis de grève officiel national pour le premier jour de grève...

Lettre de Bernard Thibault quelques jours avant le début de la grève à tous les cheminots appelant à un mouvement dur, illimité et reconductible...

pas vraiment à la ramasse sur ce coup là...

Mais après ce sont toujours les cheminots qui décident de la force et de la conduite du mouvement.

Salut Dom,

Tu omets seulement (mais je ne t'en veux pas) que deux préavis distincts avaient été posés en 95; un intersyndicale interservices, et un pur catégoriel conduite, et qu'au bout de quelques semaines l'intersyndicale interservices a tourné à la grève politique utilisant les cheminots pour faire démissionner Juppé afin de faire un coup politique. Alors il y aurait beaucoup à dire sur les OS en générale et leur réactivité face aux agressions dont nous sommes victimes et ce en fonction des gouvernements en place (35h, URSAFF, bientôt les retraites et le statut,......)

Modifié par calou33
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Bonjour Dom !

mdrmdr:Smiley_26:okok

Et qui a aussi joué beaucoup en plus du travail effectué par les syndicats et leurs militants en 1995 , la diffusion de la

carte du futur "réseau noyeau" tel qui pouvait se trouver à l'avenir avec la suppresion de 6000 à 12000

kilomètres de lignes ( carte éditée par la CGT ) .

Tout à fait exact !

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Salut Dom,

Tu omets seulement (mais je ne t'en veux pas) que deux préavis distincts avaient été posés en 95; un intersyndicale interservices, et un pur catégoriel conduite, et qu'au bout de quelques semaines l'intersyndicale interservices a tourné à la grève politique utilisant les cheminots pour faire démissionner Juppé afin de faire un coup politique. Alors il y aurait beaucoup à dire sur les OS en générale et leur réactivité face aux agressions dont nous sommes victimes et ce en fonction des gouvernements en place (35h, URSAFF, bientôt les retraites et le statut,......)

C'est beau de refaire l'histoire...mais je ne suis pas sûr que Juppé ait démissionné...

ceci dit on pourrait aussi retrouver les courriers échangés entre le Ministre des Transports Bernard Pons et les syndicats à la fin du conflit de novembre/décembre 1995 marquant les résultats positifs de l'action revendicative des cheminots.

Je n'aurai garde aussi d'oublier les dizaines de préavis locaux déposés avant le début de la grande grève, pour la même période du début de l'action qui ont permis des audiences locales avant le début de la grève... et la mobilisation des cheminots autour d'un mécontentement grandissant.

Alors oui peut être aussi des préavis nationaux catégoriels, des préavis régionaux etc etc...

N'oublions pas le slogan "Tous ensemble, Tous ensemble" qui a pesé sur les divergences de stratégies syndicales et les arrières pensées...

Je te laisse la responsabilité de tes affirmations sur la grève qui tourne à la "grève politique" pour faire démissionner Juppé. Perso je n'ai pas du tout, mais pas du tout ce sentiment.

Par rapport aux différentes OS (il y en a 8...) chacun voit midi à sa porte. Personnellement je me refuse à faire des généralités et à mettre en permanence tout le monde dans le même sac partout et tout le temps.

Sur les questions revendicatives, les discussions et négociations, les résultats des actions syndicales chacun voit bien évidemment midi à sa porte en fonction de ses intérêts propres comme par exemple sur la question des 35 heures ou sur ce qui s'est passé en 2003 sur les retraites, on pourrait aussi parler de la question du CPE et bien d'autres choses... mais bon il suffit de parcourir le forum pour voir que les avis sont très diffus sur toutes ces questions, il faut de tout pour faire un monde.

Ce qui est important c'est surtout de faire le point sur le présent et d'envisager l'avenir

autour de perspectives revendicatives rassembleuses

(au moins pour défendre nos intérêts sociaux, professionnels et moraux...)

avec des formes d'actions nouvelles adaptées

à la période et aux attentes des cheminots et des usagers.

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C'est beau de refaire l'histoire...mais je ne suis pas sûr que Juppé ait démissionné...

ceci dit on pourrait aussi retrouver les courriers échangés entre le Ministre des Transports Bernard Pons et les syndicats à la fin du conflit de novembre/décembre 1995 marquant les résultats positifs de l'action revendicative des cheminots.

Je n'aurai garde aussi d'oublier les dizaines de préavis locaux déposés avant le début de la grande grève, pour la même période du début de l'action qui ont permis des audiences locales avant le début de la grève... et la mobilisation des cheminots autour d'un mécontentement grandissant.

Alors oui peut être aussi des préavis nationaux catégoriels, des préavis régionaux etc etc...

N'oublions pas le slogan "Tous ensemble, Tous ensemble" qui a pesé sur les divergences de stratégies syndicales et les arrières pensées...

Je te laisse la responsabilité de tes affirmations sur la grève qui tourne à la "grève politique" pour faire démissionner Juppé. Perso je n'ai pas du tout, mais pas du tout ce sentiment.

Par rapport aux différentes OS (il y en a 8...) chacun voit midi à sa porte. Personnellement je me refuse à faire des généralités et à mettre en permanence tout le monde dans le même sac partout et tout le temps.

Sur les questions revendicatives, les discussions et négociations, les résultats des actions syndicales chacun voit bien évidemment midi à sa porte en fonction de ses intérêts propres comme par exemple sur la question des 35 heures ou sur ce qui s'est passé en 2003 sur les retraites, on pourrait aussi parler de la question du CPE et bien d'autres choses... mais bon il suffit de parcourir le forum pour voir que les avis sont très diffus sur toutes ces questions, il faut de tout pour faire un monde.

Ce qui est important c'est surtout de faire le point sur le présent et d'envisager l'avenir

autour de perspectives revendicatives rassembleuses

(au moins pour défendre nos intérêts sociaux, professionnels et moraux...)

avec des formes d'actions nouvelles adaptées

à la période et aux attentes des cheminots et des usagers.

Globalement je suis d'accord avec toi (hormis le "tous ensemble"), sauf qu'il me paraît difficile de concilier attentes des usagers et défense des intérêts sociaux des cheminots sans devoir aborder le service minimum et tout ce qui est prévu de nous arrivés si il passe dans les conditions souhaitées par le gouvernement actuel (CPR, statut, retraites,....)

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