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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. En plus VDI : y'a rien de mieux comme arnaque... Fais donc une recherche sur Google...
  2. Bon : qu'est-ce que tu proposes toi concrètement ?
  3. L'Humanité 29 janvier 2010 http://www.humanite.fr/2010-01-29_Politiqu...ourtuer-le-fret SNCF :petit mode d’emploi pour tuer le fret L’Humanité s’est procuré un document interne émanant de la direction de l’entreprise publique qui prévoit l’abandon du transport de 255 000 wagons et un recul d’un tiers des volumes transportés par rapport à 2008. La mise en œuvre de ce plan interviendra après les régionales. La direction de la SNCF s’est-elle fixé pour objectif de dégrader elle-même les résultats de sa banche fret  ? Les conséquences de la crise économique sont régulièrement mises en avant pour justifier le recul des trafics et des volumes dans ce secteur. L’Humanité s’est procuré un document interne qui tend à démontrer que cette dégringolade est en partie organisée. Baptisé « Démarche, flux dessertes  : un projet, une méthode, des résultats attendus et une équipe », ce document de 22 pages est, selon une source qui a souhaité conserver l’anonymat, en cours de finalisation par « le premier cercle dirigeant » de la SNCF. Il décrit la stratégie que veut mettre en œuvre la direction, ses « cibles » et « critères » d’abandon de trafics, et la méthode pour faire accepter ses choix par les chargeurs ainsi que les « précautions oratoires » à prendre afin de limiter l’impact politique et médiatique de la restructuration. Sollicitée par l’Humanité, la direction de Fret SNCF n’a pas donné suite à nos appels. À l’horizon 2011, à l’issue de son plan, dont l’essentiel doit être mis en œuvre au second semestre de cette année, la direction prévoit que la branche fret aura transporté 616   000 wagons en moins par rapport au 31 décembre 2008. Parmi eux, 361 000 « pertes exogènes », c’est-à-dire dues à une cause extérieure (conséquence de la crise économique ou concurrence des autres opérateurs ferroviaires et surtout du transport routier), mais dans le même temps, la direction prévoit, sous la pudique appellation de « flux non retenus », d’abandonner 255 000 wagons dont le transport a été jugé non rentable. Au final, malgré un gain de 103 000 « nouveaux flux », Fret SNCF s’apprête à perdre 513 000 wagons, soit un tiers du nombre total de wagons transportés en 2008. Le budget de la SNCF est-il sincère quand il prévoit une baisse de 11,2 % du chiffre d’affaires de la branche fret  ? Dans son document, la direction décrit la « cible » en matière de réduction des trafics par « entité de commercialisation ». Ainsi, pour les produits charbon et acier, elle prévoit un recul de 30 % du nombre de wagons transportés, de 35 % pour la chimie, de 50 % pour le transport d’automobiles et les produits de grande consommation, et de 30 à 45 % pour l’agriculture et les produits de carrière. L’ampleur de ces cibles est plus élevée que l’addition des pertes réalisées en 2009 et celles prévues au budget 2010, soit 30 % en moyenne. En annonçant son retrait du wagon isolé, c’est-à-dire l’abandon de la prise en charge des transports de marchandises ne nécessitant pas l’emploi d’un « train entier » (un seul expéditeur et un seul destinataire pour 20 à 25 wagons), la SNCF a prétexté vouloir se concentrer sur ce dernier créneau. Or, le document interne que nous nous sommes procuré fait état de la volonté de la direction de ne plus également assurer une part de ces trafics. Outre des « cibles » en termes de réduction du nombre de wagons de l’ordre de 30 à 40 % pour les trains entiers, le document fixe un seuil de « 3 allers-retours, au minimum, par semaine » au-dessous duquel la branche fret refusera de prendre en charge ces trains. En cours de finalisation en ce qui concerne « les cibles » définitives d’abandon de trafic et leur cadencement, la direction prévoit « les premières mises en œuvre (d’effet limité) » à compter d’avril 2010. Les « opérations de repositionnement plus lourdes » seront conduites au second semestre. Pour la direction, il y a les grands comptes, entendre les gros clients, qui ont été informés dès août de ses projets et ont pu faire remonter « leur problématique » afin que leurs intérêts soient préservés, et puis il y a « le client moins stratégique » qu’il faut « laisser conclure de lui-même » du bien-fondé de l’abandon par la SNCF du transport de ses marchandises. « Les élections régionales ne doivent pas être perturbées par des manœuvres non maîtrisées du fret », conseille la direction en termes de « précautions oratoires ». Par contre, « les élections professionnelles de 2011 ne peuvent pas servir de prétexte à l’inaction ». Pierre-Henri Lab
  4. Dix ans après sa naissance, le mouvement altermondialiste s'interroge sur son avenir politique LE MONDE | 29.01.10 | 1 Les altermondialistes vivent une crise d'identité qui s'est reflétée dans les débats du Forum social mondial (FSM) qui ont pris fin vendredi 29 janvier à Porto Alegre (Brésil). Les participants à cette rencontre, qui marquait le dixième anniversaire du mouvement, ont émis peu d'autocritiques ex cathedra. Mais beaucoup ont exprimé leurs frustrations, sur les estrades et en coulisses, face à la difficulté de transformer leur réseau d'influence en un contre-pouvoir planétaire capable de résister au "capitalisme néolibéral prédateur". Le FSM affronte un problème de fonctionnement, dû à sa nature même, celle d'un mouvement qui se veut autonome, autogestionnaire, très démocratique et respectueux de l'extrême diversité des courants qui le composent. Se posent à lui des questions d'organisation et de programme : comment centraliser sans verser dans le centralisme ? Comment concilier les exigences globales et les aspirations locales ? La pluralité et la nécessité d'élaborer un "agenda commun planétaire" ? Comment éviter la fragmentation des mouvements sociaux ? Quel type de relations faut-il avoir avec les partis ou les gouvernements "progressistes", notamment ceux de la gauche radicale latino-américaine ? Pour mieux articuler le "global" et le "local", le FSM cherche depuis plusieurs années la solution en décentralisant ses débats. Après le lever de rideau de Porto Alegre, 27 forums régionaux auront lieu cette année dans le monde entier. Sur le fond, peu de réponses ont été apportées à ceux qui déplorent que "l'usine à idées" du Forum produise aussi peu d'outils conceptuels pour mener des actions concrètes, permettant à la société civile globale de s'affirmer. "On peut réfléchir autant qu'on veut dans les vestiaires, mais c'est sur le terrain que le match se gagne", lance Joao Pedro Stedile, animateur du Mouvement des sans-terre au Brésil. "Le Forum n'a pas de projet politique", soupire Heloisa da Silva Vieira, une enseignante communiste de Rio de Janeiro. "Nous manquons de vision", constate Nandita Shah, une féministe venue d'Inde. Tous analysent la crise financière mondiale comme une bonne nouvelle qui valide les thèses du Forum, et la décrivent comme le plus grave symptôme "des limites", "de l'usure", voire "de l'échec" du capitalisme. Mais ils sont déçus que la famille altermondialiste n'ait pas su exploiter l'événement à son profit en mobilisant massivement les énergies. La philosophe Susan George rêve à ce sujet d'une journée d'action mondiale semblable à celle qui, en février 2003, avait fait descendre dans les rues des millions de manifestants contre la guerre en Irak. De manière générale, les altermondialistes dénoncent encore beaucoup plus qu'ils ne proposent. Le discours altermondialiste conserve les Etats-Unis pour cible privilégiée. Rares sont ceux qui, comme le Français Bernard Cassen, de l'association Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l'aide aux citoyens), se livrent à quelques constats gênants, par exemple à propos de la Chine d'aujourd'hui, qu'il dit ne pas tenir "pour une alliée des mouvements sociaux". "Nous devons, ajoute-t-il, cesser de considérer les pays du Sud comme un ensemble homogène où les rivaux de nos adversaires seraient forcément nos alliés." Le FSM frappe aussi par son silence sur les sujets de société qui divisent ses membres - la libéralisation de l'avortement, la dépénalisation des drogues -, sur ceux dont l'évocation embarrasserait les pouvoirs "amis" de la région comme le Venezuela - les atteintes à la liberté d'expression, les ravages de la violence urbaine - ou encore sur d'autres thèmes qui préoccupent les citoyens du monde, comme les dangers du terrorisme islamiste. Jean-Pierre Langellier
  5. Suite des résultats des élections professionnelles dans la police nationale Les policiers votent pour les syndicats de gauche Reuters Les élections professionnelles dans la police française ont confirmé le poids des syndicats proches de la gauche et la persistance du malaise des forces de l'ordre face à la politique de sécurité du gouvernement. Environ 140.000 fonctionnaires de police étaient appelés à désigner leurs représentants syndicaux et la participation a été très forte, avec plus de 82%, rapporte vendredi le ministère de l'Intérieur dans un communiqué. Chez les gradés et gardiens de la paix, l'union entre Unité police, classée à gauche, et le SGP-FO a remporté près de la moitié des suffrages avec 47,8%, contre 37,6% au syndicat Alliance, réputé proche de la majorité. Le syndicat Unsa Police a obtenu pour sa part 9,7% des voix. Chez les officiers, le Snop, classé à gauche, a obtenu 54% des voix, devant le syndicat Synergie (44,5%), classé à droite. Dans un communiqué, l'union SGP-Unité police appelle l'administration à tenir compte de sa victoire électorale et à engager sans tarder des négociations sur les questions de promotion et de salaires, notamment. "Il est indispensable pour notre institution, mais aussi pour notre République, de rompre avec les incompréhensions et les confrontations qui polluent le dialogue social dans la police depuis un an et demi", écrit-il. Le ministère de l'Intérieur a assuré de son côté que la concertation sociale reprendrait rapidement. Ces élections, étalées sur trois jours cette semaine, constituaient un test pour le gouvernement, qui veut faire de la sécurité l'un des thèmes de campagne des élections régionales. Or, la plupart des syndicats dénoncent la "course aux chiffres" impulsées par Nicolas Sarkozy depuis 2002, alors qu'il dirigeait le ministère de l'Intérieur, et contestent de plus en plus ouvertement les statistiques officielles. Même le syndicat Alliance critique la "culture du chiffre" alors que, parallèlement, les effectifs diminuent. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a revendiqué à la mi-janvier une petite baisse de la délinquance de 1,04% en 2009, assurant que l'essentiel était de rester sur une tendance favorable. Mais des sociologues estiment que ce chiffre résulte d'un comptage contestable. Le Parti socialiste a parlé de son côté d'échec, soulignant que le point noir de la délinquance, à savoir les violences faites aux personnes, continuait une progression entamée depuis plusieurs années. Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser
  6. Une petite recherche gougoulle Une prise en écharpe entre un Thalys et un train de banlieue Hollandais à Gouda http://petitscarabe.unblog.fr/2009/01/07/q...ents-de-trains/ http://www.rtbf.be/info/monde/divers/les-t...cident-de-gouda http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/arti...s-a-Gouda.dhtml http://conducteur.forum-actif.net/discussi...gouda-t1993.htm
  7. IMPOSTURE. Il se prend pour le « pauvre con » du Salon de l’agriculture Un éditeur se fait passer sur Internet pour l’homme qui s’était fait insulter par Nicolas Sarkozy au Salon de l’agriculture, en 2008. Le Parisien OLIVIER BEAUMONT | 28.01.2010, 07h00 http://www.leparisien.fr/politique/il-se-p...2010-794227.php En février 2008, au Salon de l’agriculture, Nicolas Sarkozy répondait à un visiteur qui refusait de lui serrer la main par cette réplique devenue culte : « Casse-toi pauvre con ! » La vidéo de cette scène, diffusée sur le Parisien.fr, a été vue plus de 2 millions de fois à ce jour. Malgré cette notoriété, ce fameux visiteur n’est jamais sorti de l’anonymat. Mais un petit malin profite aujourd’hui de ce mystère pour se faire un coup de pub sur Internet. Il s’agit de Jean-Jacques Reboux, 51 ans, écrivain et patron d’une petite société d’édition parisienne nommée Après la Lune. Il y a deux mois, Reboux a créé sur Facebook un personnage fictif appelé Fernand Buron, ainsi qu’un blog personnel au même nom, en prétendant être le fameux « pauvre con » insulté par le chef de l’Etat. « En fait, je prépare un roman de politique-fiction sur Nicolas Sarkozy où je reviens sur l’épisode du Salon de l’agriculture. Comme personne ne connaît la vraie identité du pauvre con , j’ai décidé de créer ce personnage et de le mettre sur Facebook pour tester sa crédibilité. » Un rassemblement pour les 55 ans du président Reboux organise aujourd’hui, par l’intermédiaire de son personnage, un rassemblement devant le palais de l’Elysée… pour l’anniversaire de Nicolas Sarkozy. Il avait lancé l’invitation avant de révéler sa surpercherie. « On va être un paquet pour lui souffler ses 55 chandelles ! J’aurai un verre de calva et ma belle pancarte Casse-toi mon gars ! », écrit Fernand sur son blog. Buron s’est taillé une sacrée popularité sur le Web. Déjà 300 admirateurs ont mordu à l’hameçon en devenant ses « amis » Facebook. Mieux, un collectif a même surgi du Québec en créant un groupe « Fernand Buron président » !«Je crois qu’il va y avoir du monde devant l’Elysée. Je suis un peu dépassé par le succès de Fernand », reconnaît Jean-Jacques Reboux, qui, pendant plusieurs semaines, a résisté à la traque des nombreux internautes qui cherchaient à rencontrer « pour de vrai » Fernand Buron. « Sur Facebook, mon personnage a reçu plein de messages de sympathie et d’admiration car beaucoup de gens ont été choqués par l’attitude de Sarkozy ce jour-là. Ça m’a encouragé à poursuivre », explique-t-il. A quoi ressemble le Fernand Buron imaginaire ? Il a 73 ans, c’est un paysan retraité habitant Saint-Martin-des Besaces, dans le Calvados. Mais l’imposture à ses limites. « Ce n’est pas très correct d’utiliser le nom de notre commune pour se faire un pareil coup de pub », explique Colette Lesouef, maire de la bourgade normande. Reboux assume. Ce soir, à 17 h 55, devant le palais de l’Elysée, il sera au milieu de tous ceux qui auront répondu à son appel lancé sur le Web. Reste à savoir si la supercherie sera du goût de tous. « Il y aura sûrement quelques déçus », admet-il. Quant au vrai « pauv’ con » du salon, le mystère reste entier. Le Parisien
  8. Le Buzz du jour... ? Le "Con" du "Casse toi pov' con"... en garde à vue LePost L'auteur Jean-Jacques Reboux qui se fait passer sur Internet pour l'agriculteur qui, en février 2008, a dit à Nicolas Sarkozy, "Casse-toi pauvre con", au Salon de l'Agriculture, a été placé en garde à vue, ce jeudi, au commissariat du XVème arrondissement de Paris. Il avait décidé, ce soir, de se retrouver devant l'Elysée, pour "fêter" le 55e anniversaire de Nicolas Sarkozy. Le Parisien précise qu'une quinzaine de personnes avait répondu à cette "invitation". Devant de très nombreux policiers, Jean-Jacques Reboux a brandi une pancarte sur laquelle on pouvait lire, le célèbre : «Casse-toi pauvre con !». Jean-Jacques Reboux a été interpellé, pour «outrage au chef de l'Etat».
  9. Tu peux faire un don ou payer ta bouteille au barbecue traditionnel...
  10. Pour Info Police Nationale Victoire de SGP-FO/Unité Police aux élections professionnelles Reuters L'union SGP-FO/Unité Police a remporté près de la moitié des suffrages lors des élections professionnelles dans la police marquées par une forte participation, montrent les chiffres publiés par le ministère de l'Intérieur. La coalition entre Unité Police, syndicat réputé proche de la gauche créé après une scission avec l'Unsa, et le SGP-FO a recueilli 47,8% des suffrages des gradés et gardiens de la paix contre 37,6% à l'autre grand syndicat, Alliance. Le syndicat Unsa Police a obtenu 9,7% des voix, pour un taux de participation de 82,8%. Dans un communiqué, le SGP-FO/Unité Police s'est réjoui d'être devenu le "représentant incontournable (...) avec qui le ministère de l'Intérieur devra négocier". Des syndicats de police se plaignent depuis plusieurs semaines d'une "course aux chiffres" visant à gonfler les statistiques au détriment d'une réelle efficacité et la baisse des effectifs policiers. Chez les officiers, le syndicat national des officiers de police (SNOP) affilié à l'Unsa reste majoritaire avec 54% des voix contre 44,5% au syndicat Synergie, pour un taux de participation de 87,7%. Quelque 140.000 policiers étaient appelés aux urnes de lundi à jeudi en métropole et dans l'outre-mer pour élire leurs représentants du personnel. Jean-Stéphane Brosse
  11. Pour les Agents de Conduite Deux Livrets pratiques d'application réalisés au 1er novembre 2009 par la Fédération des Cheminots CGT (ADC) de la réglementation du travail RH 077 et RH 0677 Pour le Titre I : régime roulants Pour le Titre II : régime sédentaires En faire bon usage et à faire connaître 2010_01_29_LivretCGT_RH0077__titre1_2009.pdf 2010_01_29_LivretCGT_RH0077__titre2_2009.pdf
  12. Et ils s'auto-félicitent au gouvernement... Plus de 1,7 million de foyers ont touché le RSA en novembre Reuters Plus de 1,7 million de foyers ont bénéficié du revenu de solidarité active (RSA) au mois de novembre 2009, selon des chiffres publiés par le Haut commissaire aux Solidarités actives, Martin Hirsch. Il s'agit d'une progression de 29.000 par rapport à octobre. Dans le détail, 1,1 million de personnes ont bénéficié du dispositif au titre du "RSA socle", qui a remplacé le RMI et l'allocation parent isolé, et 595.000 (soit 35% du total) au titre du "RSA activité", la véritable nouveauté de la réforme, qui assure un complément de revenus aux bas salaires. Parmi les nouveaux allocataires de novembre, "13.000 ont des revenus du travail faibles dont le bénéfice, avant l'existence du RSA lancé en juin dernier, aurait été intégralement annulé par une baisse équivalente du RMI", explique-t-on. Ces chiffres sont "bons", dit-on dans l'entourage de Martin Hirsch, pour qui "le rythme de montée en charge, continu, est satisfaisant". A terme, le Haut commissaire souhaite faire bénéficier 1,6 million de personnes du "RSA activité". "Il y a une réserve assez importante de personnes qui y ont droit et qui n'ont pas le RSA", explique une collaboratrice de Martin Hirsch. "Certains travailleurs modestes ne savent pas qu'ils y ont droit, d'autres pensent que c'est automatique alors que ça ne l'est pas, il faut faire des démarches". Elizabeth Pineau, édité par Gilles Trequesser
  13. Blessée après s'être coincée dans les portes du train: "Elle n'est pas descendue du mauvais côté" Par La rédaction du Post le 28/01/2010 à 15:46, Sur Le Post, le procureur de Foix explique que "l'enquête porte sur les protocoles de sécurité de la SNCF, qui semblent avoir été respectés." "Le temps que je lève la tête, elle avait déjà fait une dizaine de mètres et le train allait de plus en plus vite" raconte encore Jean-Yves Desfoux, ce jeudi, à RTL. Quatre jours après les faits, le mari de Christine est encore très choqué par ce qui leur est arrivé en gare de Tarascon-sur-Ariège. "Monsieur est descendu. Sa femme lui a passé les bagages. Puis son vêtement s'est pris dans la porte du train, qui est reparti" explique ce jeudi matin au Post le procureur de Foix Antoine Leroux. Christine, 45 ans, a été traînée sur "plusieurs dizaines de mètres". Sérieusement blessée, cette habitante de Caen, dans le Calvados, a eu "19 points de suture et 20 jours d'arrêt" confirme le procureur. Comment un tel accident est-il possible? "Ces personnes seraient descendues du mauvais côté du train" nous confiait la gendarmerie mercredi. "A priori" nous disait aussi la SNCF. "Ce n'est pas le cas" réagit Antoine Leroux, "Dans cette gare, quand un train arrive sur cette voie bordée par deux quais, on peut en descendre des deux côtés." Comment expliquer, dans ce cas, que le train ait redémarré alors qu'une porte n'était pas bien fermée? Quels sont les mesures de sécurité et ont-elles été respectées? Où en est l'enquête? Tarascon-sur-Ariège (Ariège). Gare de Tarascon-sur-Ariège (Ariège). Sur Le Post, le procureur de Foix Antoine Leroux répond: Que s'est-il exactement passé samedi matin en gare de Tarascon-sur-Ariège? "Vers 6h15, le train en provenance de Paris stoppe en gare de Tarascon, sur la voie centrale (photo ci-dessus ndlr). Comme c'est habituellement le cas à cet endroit, les deux portes du wagon dans lequel se trouve ce couple s'ouvrent. Il fait nuit, mais les deux quais sont éclairés de la même manière. Monsieur descend. Madame lui passe les bagages et, au moment où elle descend du train, son vêtement se prend dans la porte. Le train redémarrant, elle marche, puis court, avant d'être emportée par le train sur plusieurs dizaines de mètres." Il n'est donc pas question de plusieurs centaines de mètres? "Non. Même si cela a dû paraître beaucoup plus à cet homme complètement paniqué -à juste titre- impuissant sur le quai et qui voit sa femme partir ainsi. Il y a exactement 138 mètres entre le point de départ du train et l'endroit où cette femme a été retrouvée. Il faisait nuit et, même si le quai était éclairé, cela a dû être particulièrement impressionnant." Qui a tiré la sonnette d'alarme? "Un passager qui a rapidement pris conscience de ce qu'il se passait. Si cela n'avait pas été fait, on ne sait pas ce qu'il se serait passé et ça aurait pu, c'est vrai, être dramatique." Que dit le contrôleur? "Il dit avoir regardé le quai côté gare, c'est-à-dire de l'autre côté, avant d'envoyer le signal lumineux au conducteur du train et de donner son coup de sifflet annonçant la fermeture des portes." Ça s'est donc passé ainsi? "Oui, tout porte à croire que ça s'est passé ainsi. Le sifflet a été entendu. Après, pourquoi cette femme ne l'aurait-elle pas entendu? Entend-on correctement le sifflet quand on se trouve à l'intérieur du train? L'enquête va déterminer si les protocoles de sécurité de la SNCF ont été respectés." Si la descente du train peut se faire des deux côtés, le contrôleur n'est-il pas censé regarder des deux côtés du quai? "Il lui est difficilement possible d'observer simultanément les deux quais opposés." "La SNCF doit vérifier que personne ne monte et ne descend du train à partir du quai qui donne sur la gare, pas à partir de l'autre quai" explique-t-il encore à France 2. Pourquoi, dans ce cas, un autre agent ne regarde-t-il pas l'autre quai? "Nous devons en savoir davantage sur les protocoles de sécurité de la SNCF. Peut-être que la SNCF devra en modifier certains points." Disposez-vous d'images de videosurveillance? "Pas à ma connaissance." Où en est l'enquête? "Une enquête pour blessures involontaires est en cours. Il n'est pas question d'ouvrir une information judiciaire mais de savoir si les protocoles de la SNCF ont été respectés et s'ils doivent évoluer. M. Desfoux a aussi affirmé à certains journalistes que d'autres incidents s'étaient déjà déroulés dans des circonstances similaires et au même endroit. Est-ce exact? Dans quelle mesure? Et puis, bien sûr, l'audition de la victime, dès qu'elle sera possible, nous aidera beaucoup." Quand pensez-vous qu'elle sera réalisable? "Sous une dizaine de jours." http://fr.news.yahoo.com/63/20100128/tfr-b...po-019dcf9.html http://www.lepost.fr/article/2010/01/28/19...tml#xtor=AL-235
  14. Ben ... la Direction SNCF a perdu puisqu'on en cause...
  15. Les mouvements sociaux ont toujours été menés par une minorité de salariés même les grands mouvements type 1936, 1968, 1986, 1995... Les grèves de 24h n'ont souvent rassemblés elles aussi qu'une minorité de salariés mais je me souviens d'une grève de 24h vers 1980 contre le Rapport Guillaumat qui avait rassemblé large tous les syndicats de l'époque et une majorité de cheminots, quasiment aucun train n'avait circulé ce jour là... Les militants syndicaux (qui s'engagent volontairement et bénévolement) au niveau local (dans les établissements-UO-Up comme dans les entreprises publiques ou privées dans les usines, les bureaux, les hôpitaux, les écoles etc...) font vivre la défense des intérêts des salariés au quotidien, là où ils sont et ils font avec ce qu'ils ont dans la tête et dans les tripes face souvent à des directions de combat, des managers petits dictateurs... Quand quelqu'un critique (et c'est son droit) le (les) syndicat (s) je suis toujours surpris qu'il oublie d'équilibrer son discours avec l'attitude des directions et du patronat. Ce sont bien ces derniers quand même qui détiennent le pognon et le pouvoir de décision sur la gestion de l'entreprise. A moins que le patron et le syndicaliste soit la même personne... Après que certains syndicalistes cèdent au chant des sirènes et de la monnaie sonnante et trébuchante ... De même peut on mettre sur le même pied tous les syndicats ... 7 pour les cheminots CGT, CFDT-FGAAC, UNSA, SUD, FO, CFTC, CGC et innombrables si on les compte au niveau national... Peut-on aussi comparer au sein d'un même syndicat les militants de base et les responsables régionaux ou nationaux, confédéraux. Déjà au sein même des adhérents, des militants de chaque syndicat il y a de sacrées façons de voir et d'appréhender les choses... sans parler des divergences. Alors vu d'un salarié lambda c'est encore plus compliqué à comprendre... Et je ne parlerai pas des appareils syndicaux, des permanents devenus des "bureaucrates", des apparatchiks commissaires du peuple et des porteurs de serviettes... et c'est valable pour tout le monde même les plus révolutionnaires. Alors oui il y a des choses à changer sur le fond et dans la forme... Mais dans le même temps est-ce qu'on peut attendre sans résister au rouleau compresseur libéral Ce qui est vrai c'est que dans la tête de tous les salariés qu'ils soient syndiqués (6% à 9% des salariés français ) ou non syndiqués c'est que personne n'a de perspectives, un projet sur lequel se mobiliser et disons le nettement un espoir dans l'avenir... Il y a donc bien des choses à construire ensemble mais la construction reposera sur une minorité qui s'organise, pense, imagine et agit. Après chacun est effectivement libre de ses choix... mais tout comme un syndicaliste est responsable des siens tout salarié lambda doit assumer les siens. Le 3 février il y a certes un appel à la grève de 4 syndicats sur 7 il y aura aussi des rassemblements régionaux, locaux , des délégations aux Chefs d'Etablissement, D'UO d'UP Chacun peut aussi y trouver la forme d'action qui lui convient. Des mouvements de résistance, il en faut pour créer les conditions d'un rassemblement plus large...
  16. Le naturel revient au galop... Nicolas Sarkozy: "Nous sauverons le capitalisme en le moralisant" LePost Pour l’ouverture du forum économique mondial de Davos (Suisse), Nicolas Sarkozy a ressorti ses critiques contre le capitalisme financier. Reprenant des thèmes qu’il abordait lors de l’éclatement de la crise, Nicolas Sarkozy a affirmé que « c’est notre vison du monde qu’il faut corriger », dénonçant les « exigences exorbitantes de rendement » comme « l’immédiateté ». Constatant qu’« en déréglementant à l’excès, nous avons eu les dumpings », il appelle à en « en finir avec un système sans règles » et demande « un nouveau Bretton Woods » et « une réforme du système monétaire international ». S’il souligne qu’« il n’y aucune solution dans l’anticapitalisme », qu’« aucun système autre » n’est possible, Nicolas Sarkozy ajoute aussitôt : « Mais nous sauverons (le capitalisme) en le refondant. Oserais-je le mot, en le moralisant ». «Il y a des comportements indécents qui ne seront plus tolérés dans l’opinion publique », prévient le chef de l’Etat : des « profits excessifs qui ne seront plus acceptés », des « rémunérations qui ne seront plus supportées car elles seront sans rapport avec le mérite. Mais que celui qui crée des emplois puisse gagner beaucoup d’argent, ça n’a rien de choquant », dit-il. Faisant référence à l’affaire Kerviel, du nom de ce trader de la Société générale qui a été à l’origine d’une perte énorme pour sa banque, Nicolas Sarkozy a lancé : « Il y a un président d’une grande banque française, dont j’ai souhaité la démission. (…) Il n’est pas normal qu’une personne puisse rester en place » dans ces conditions.
  17. Où on apprend des choses intéressantes... Ben c'est nous qui payons quand même... La gauche boycotte la conférence sur les déficits français Reuters La conférence sur les déficits français s'ouvrira jeudi en l'absence des élus locaux de gauche, qui portent ainsi un coup à l'ambition gouvernementale de parvenir à un consensus sur la réduction des dépenses publiques. Les maires socialistes, ainsi que l'Association des régions de France (ARF) et l'Association des départements de France (ADF), toutes deux présidées par des élus PS, ont annoncé mercredi qu'ils boycotteraient cette réunion qu'ils considèrent comme une manoeuvre électorale de Nicolas Sarkozy. Le gouvernement a souvent pointé du doigt la responsabilité des collectivités locales dans l'augmentation des déficits, alors que ces dernières estiment que l'exécutif leur a transféré des responsabilités qu'elles doivent désormais financer. Alain Rousset, président de l'ARF, a justifié sa décision de boycottage par la responsabilité que porte selon lui le gouvernement dans la dérive des déficits. Vingt des 22 régions métropolitaines de France sont dirigées par des socialistes. "D'abord les budgets des collectivités locales sont à l'équilibre et l'endettement des régions est extrêmement faible", a-t-il déclaré à Reuters. "D'autre part, l'Etat est aujourd'hui le principal responsable de la confusion des financements croisés des politiques publiques." "Le déficit vient des dépenses de relance mais surtout des choix fiscaux du gouvernement, plus 23 milliards d'euros de niches fiscales depuis 2002", a-t-il ajouté. "DIAGNOSTIC PARTAGÉ" Claudy Lebreton, président de l'ADF, qui représente 102 départements, dont 58 dirigés par la gauche et 44 par la droite, a déploré la politique du gouvernement français. "Au total, l'Etat nous doit environ 8 milliards d'euros", a-t-il dit. "L'exercice de la chaise vide n'est pas un exercice facile, mais j'assume." Le socialiste André Laignel, secrétaire général de l'Association des maires de France (AMF) et maire d'Issoudun (Indre), lui a emboîté le pas, mais les maires faisant partie de la majorité présidentielle devraient être présents. "Vouloir associer les collectivités territoriales à une conférence sur le déficit de la France, et ainsi faire croire qu'elles seraient concernées et en porteraient une part de responsabilité, ceci relève, de la part de M. Sarkozy, d'une volonté (...) de désinformation, de dénigrement (...) et d'une volonté de mise en tutelle financière des collectivités locales", a déclaré André Laignel dans un communiqué. Pour lui, cette conférence est "une médiocre manoeuvre électorale et un rideau de fumée sur une réalité à l'évidence grave: le déficit de l'Etat de plus de 141 milliards pour 2009 et dont M. Sarkozy et son gouvernement portent l'entière responsabilité", conclut le secrétaire général de l'AMF. Jacques Pélissard, président UMP de l'Associations des maires de France, n'entend toutefois pas boycotter la réunion. "Nous sommes partenaires de l'Etat. Il est normal que nous soyons partie du diagnostic et des éventuelles préconisations mais je redirai que nous ne sommes pas responsables du déficit et que nous ne pouvons pas continuer à subir les décisions nationales en matière de normes", a-t-il dit à Reuters. L'Elysée s'est refusé à tout commentaire sur ce boycott. Le président français a émis l'espoir que cette conférence débouche sur un "diagnostic partagé" par tous les acteurs de la dépense publique - Etat, collectivités locales, Sécurité sociale -, pour les placer ensuite devant leurs responsabilités. Elle intervient au moment où la France s'est engagée auprès des instances européennes à ramener sous 3% d'ici 2013 un déficit public qui devrait culminer à 8,2% du PIB en 2010, soit cinq points de plus qu'au début de la crise. Nicolas Sarkozy a exclu par avance toute hausse des impôts. Selon le ministre du Budget, Eric Woerth, la croissance économique devrait contribuer pour moitié aux 100 milliards d'euros nécessaires pour y parvenir mais le reste de l'effort devra être réalisé en réduisant les dépenses. Emmanuel Jarry, avec Mourad Guichard, édité par Yves Clarisse
  18. Audrey ...On t'aime... Bon Anniversaire à ceux du jour... 5 membres fêtent leur anniversaire ce jour berny(28), danyel(31), simu61(64), gharbi mohamed(51), MelissaHudgens(42)
  19. Et encore sans même boire de chouchenn c'est renversant...
  20. [mode moqueur ouvert :] Ben le chômage c'est pas du tout d'la faute des entrepreneurs qui prennent des risques... Le Chômage c'est d'la faute à ces foutus de bons à rien incapables de se bouger l'derrière... Y'z'ont qu'à entreprendre...
  21. CITATION(Damien D. @ 23/01/2010 14:09) * (Pour information, dans le cas d'une LGV, c'est le village tout entier qu'il faut raser) Alors toujours pas de réponse ? C'est mauvais pour ta crédibilité ...
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