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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Peillon abandonne les valets de la haine en rase campagne... http://fr.news.yahoo.com/63/20100115/tpl-p...-h-5cc6428.html Le Post vogelsong Pur crime de lèse-majesté. Vincent Peillon snobe un rendez-vous télévisuel concocté par Arlette Chabot. Le député socialiste, invité en deuxième partie de débat après E. Besson et M. Le Pen, décline au dernier moment. Le microcosme politique se cabre. Pratiquer la chaise vide ou se défiler ne peut être une méthode durable pour faire passer ses idées. Mais compte tenu du contexte, du sujet et des invités, la sacro-sainte obligation de participer peut être au moins discutée. L’absence peut même tenir lieu d’argument. Fin septembre 2009 à New York, Chabot prend une avoinée présidentielle devant témoins. Un gros quart d’heure de soufflante élyséenne. Pour le Président, le service public ne propose pas “de vraies émissions politiques“. Pourtant, la droite n’a pas à se plaindre des états de services de la journaliste de France 2. Et l’UMP peut compter sur cette fidèle pour mitonner des émissions de haut vol, comprenant des questions pas trop difficiles et un temps de parole conséquent sans coupure. N. Sarkozy candidat est un coutumier. Il a largement donné du “mâme Chabot” aux perches tendues par la directrice de la rédaction de la chaîne publique. Ils se claqueront même un bécot à la fin d’une émission. Un président insatisfait de la teneur des émissions politiques des chaînes publiques ? Journaliste pleine de ressources, Chabot organise une émission confrontant Marine Le Pen et Eric Besson ! Bien calée sur le calendrier et les thématiques de l’UMP, l’identité nationale sera au menu. Ce débat national, lancé par le gouvernement, sous-traité par l’institut Montaigne gagne inévitablement la chaîne publique. Recentrer E. Besson, transfuge du PS vers les confins de la droite s’avère être une mission compliquée, mais pas impossible si l’on s’en donne les moyens. Pour satisfaire aux exigences du débat, un intellectuel socialiste est convoqué en seconde partie de débat, après le choc titanesque des réactionnaires. Dans la France de Nicolas Sarkozy, c’est le casting qui préfigure toute initiative. Le cas Besson, un socialiste choisi pour faire la basse besogne du ratissage électoral frontiste. L’homme se complait dans le rôle d’ordure sans état d’âme. Il l’affirme même. Pourtant, le fiasco du débat sur l’identité nationale impose une normalisation des dérives du régime. L’épouvantail en chef. Marine Le Pen satisfera à la tâche du lissage politique d’e Besson. Vocifératrice de talent elle codirige un parti naufragé, éperonné par l’UMP en 2007. Elle n’a rien de plus à perdre. La ficelle est grosse. Peillon décline juste avant l’algarade. Mais pour nombre de commentateurs, c’est, soit de l’aveuglement, soit de la candeur. L’aveuglement d’espérer que le professeur de philosophie déboulant après une heure de ruine intellectuelle pourra éclairer le débat. La candeur de penser qu’un tel sujet puisse être abordé décemment. Nombre d’appels ont été signés par la gauche et des républicains pour ne pas participer à ce débat. Mais mieux que ça, Peillon l’a dynamité ! Normalement, un député de l’opposition se voit dans l’obligation de se soumettre à l’injonction journalistique. Surtout quand elle concerne un débat méphitique qui corrobore les projets électoraux du parti au pouvoir. Ne pas jouer ce jeu relève de l’hérésie. Ce comportement déviant face aux canons de la médiasphère pourrait être incompris. Dérobade, défilement. Pourtant, le message est limpide. Peillon est un rhéteur aguerri, et il assène un argument sec : ce sujet est indiscutable ! Le parti socialiste est souvent taxé à juste titre de l’indolence sur les sujets graves. Pour une fois, V. Peillon aborde frontalement les hiérarques. En plus de piéger dans les derniers instants Chabot, il demande de surcroît sa démission. Le sujet est important, on ne lésine pas sur les valeurs. Peillon s’est affranchi de l’obligation de servir de faire-valoir médiatique à une opération de communication gouvernementale. Il a “fui” le Spectacle purulent du débat sur la haine de l’autre. Il en a créé un autre. Car plus qu’une dérobade, c’est une réplique physique au pauvre spectacle des caniches de N. Sarkozy. L’absence est aussi une réponse forte. Et paradoxalement, c’est aussi une présence. Du débat chaotique entre deux valets de la haine, il ne reste rien sauf le signe fort d’un refus. Celui de V. Peillon. Vogelsong – 15 janvier 2010 – Paris
  2. Une course de formule 1 en perspectives ? revoltages
  3. Le Lipdub de l'UMP et la SNCF : déraillement en vue ? Lipdub: les jeunes UMP ont encore oublié de payer des droits ? Le Post Vous vous souvenez de cette chanson tellement entraînante "Changer le monde" qu'on a entendu jusqu'à plus soif pendant des semaines? C'est reparti pour un tour, car la SNCF a fait remarquer qu'elle pourrait réclamer des droits à l'image, révèle Street Press. "Ils m’ont fait une demande pour se filmer en train de chanter une chanson dans le but d’animer leur congrès en interne. Il n’y avait pas écrit que c’était un outil de promotion de l’UMP, explique le pôle "tournage et production" de la SNCF sur Street Press. Comme c'est un clip promotionnel, la SNCF réclame habituellement un droit à l'image. De l'ordre de 2500 à 4500 euros, explique la SNCF à Street Press. Mais, cette fois-ci, elle ne présentera pas la note. "C’est gênant. On est dans une situation à la SNCF où on ne peut pas prendre parti. Le PS c’est les régions et l’UMP le gouvernement, donc quoi qu’on fasse c’est mal interprété." Contacté par Street Press, le président des Jeunes Pop évacue le sujet: "La seule communication qu’on a eue avec la SNCF c’était pour privatiser le TGV… Je suis pas juriste, je suis étudiant en école de commerce. Honnêtement, j’en sais rien. Je veux pas dire de bêtises mais à partir du moment où le TGV était privatisé, je vois pas où est le débat." J'adore la formule "pour privatiser le TGV"....
  4. Bon moi aussi j'ai boycotté France deux hier soir parce que ce qui me gonfle c'est le fond du débat sur la soi-disant "identité nationale". Avec en plus Besson et Le Pen ...Non merci... Peillon a manifestement préparé son coup entre autre pour empêcher un autre membre du Parti Socialiste d'y participer et il est sûr qu'il l'a fait avec l'accord de la direction de son Parti... D'ailleurs suffit d'écouter aujourd'hui les réactions de certains socialistes... C'est vrai qu'en attendant on parle de l'attitude de Peillon et plus du fond du débat... Pour le coup il a gagné son pari mais ça ne fait pas avancer le schmilblick... France 2 a servi la soupe à Besson une fois de plus. Ce n'est pas un phénomène nouveau... Chabot, Pujadas et quelques autres franchement moi je n'appelle pas ça des journalistes mais des présentateurs animateurs. Aucun esprit critique. Il m'arrive de regarder le journal de 13h ou celui de 20h sur la 2 mais perso je ne supporte pas plus que quelques minutes. Le traitement des informations est affligeant : surtout ne pas parler des sujets de la vie quotidienne sauf ... la délinquance et les faits divers... faut bien faire peur au bas peuple. Quand au droit d'accès ...à la télé nationale... Tiens quasiment tous les matins à Télématin de france 2 on a droit à un ministre ou dirigeant UMP et quand on a droit à un socialiste c'est Jack Lang... Les autres courant de pensée... c'est tellement rare qu'on les rate à tous les coups... Enfin moi c'est à tous les coups maintenant je prends ma douche à cette heure là...
  5. L'incident entre Vincent Peillon et France 2 fait des vagues Reuters Des responsables socialistes ont soutenu vendredi le député européen Vincent Peillon après son coup d'éclat de la veille avec France 2, mais l'UMP dénonce une "basse manipulation" et son mépris envers les journalistes. Tant Martine Aubry, premier secrétaire du Parti socialiste, que Benoît Hamon, porte-parole, ont donné raison à l'élu, qui a dit avoir refusé de servir de décor à une opération visant, selon lui, à aider le ministre de l'Immigration. Vincent Peillon a pratiqué au dernier moment la politique de la chaise vide lors de l'émission "A vous de juger", où il devait intervenir en seconde partie, après un débat entre Eric Besson et la vice-présidente du Front national, Marine Le Pen. La chaîne a estimé avoir été "piégée" en plein direct et l'une de ses responsables a parlé de "méthodes de voyou". Vincent Peillon, qui a réclamé la démission d'Arlette Chabot, la directrice de l'information de France 2, a redit vendredi qu'on avait cherché à lui faire cautionner un "exercice d'abaissement national en voulant bien jouer les idiots utiles." "Ce débat lancé par Eric Besson ne méritait pas d'être lancé sur une chaîne de service public en plus avec comme interlocuteur Madame Le Pen (...) il y a un dévoiement du service public", a-t-il estimé sur France Info. "Donc, il faut que les gens qui organisent ça, à un moment, mesurent qu'il y a des gens qui ne sont pas d'accord et qui sont prêts à entrer en combat avec eux, mêmes si ce sont des gens très puissants (...) Il faut à un moment que les gens disent les choses et le manifestent brutalement", a-t-il ajouté. SCANDALE OU MANIPULATION ? Le député européen a précisé avoir prévenu Martine Aubry, "il y a 48 heures". Cette dernière lui a apporté son soutien lors de ses voeux à la presse à Lille, dont elle est le maire. "J'étais prévenue de sa décision et je soutiens pleinement Vincent Peillon", a-t-elle déclaré. "On ne peut pas inviter quelqu'un et ensuite le reléguer à la fin d'une émission après une mise en scène d'un ministre (...) Ce n'est pas digne d'une télévision de service public", a-t-elle fait valoir. En revanche, le député PS Manuel Valls a exprimé, sur France 2, des réserves. "Laisser sa chaise vide à un moment où les téléspectateurs et notamment les électeurs de gauche souhaitaient peut-être une confrontation (...) ça laisse forcément s'installer une forme de malaise", a-t-il dit. Eric Besson a souligné le manque de courage, selon lui, du dirigeant socialiste. "C'est la seule astuce que Vincent Peillon a trouvée pour essayer de faire parler de lui. Cela ne me paraît ni très glorieux, ni très courageux", estime-t-il dans Le Monde daté du 16 janvier. Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, n'est pas plus tendre. Il juge dans un communiqué que "mentir pendant 48 heures, en jouant la comédie", à la chef du service politique du service public de l'audiovisuel, "s'appelle une basse manipulation." Un autre porte-parole de l'UMP, Dominique Paillé, a abondé dans le même sens. "Peillon a démontré d'une manière très lamentable qu'il est un fourbe, c'est-à-dire quelqu'un auquel on ne peut pas accorder sa confiance. Voilà pour l'homme", a-t-il dit sur France Info. Pour le Parti communiste, les polémiques sur "l'échec de la présence-caution de Vincent Peillon ne peuvent faire oublier le véritable scandale de cette soirée: la parole une fois de plus donnée à une heure de grande écoute sur la principale chaîne du service public à des thèses qui ne servent qu'à diviser les Françaises et les Français." Arlette Chabot, quant à elle, a relevé que "tout le monde veut des débats à la télévision". Et a ajouté, sur France 2:: "Le service public en organise et c'est extrêmement regrettable que ceux qui veulent des débats soient les premiers à essayer d'une manière ou d'une autre de les perturber". Elizabeth Pineau et Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser
  6. Dom Le Trappeur a répondu à km315 situé dans Brin de causette
    Efficace le butoir... même pas toucher au levier d'aiguille... C'est où ?
  7. Ouai ! à mon avis... les internautes ne sont pas sorti de l'auberge...
  8. Parait qu'ils picolent pas mal pourtant... d'après radio-forum...
  9. et en plus il existe des assurances pour ça... http://www.prudance.fr/ Ah y'en a qui ne perde pas ne nord...
  10. Enfin...pas pour tout le monde Un agent CGT d'ERDF-GRDF menacé de mise à pied pour avoir revendiqué le rétablissement de l'électricité à des Rmistes AP Un agent toulousain de l'Unité clients fournisseurs d'ERDF-GRDF Midi-Pyrénées est menacé d'un mois de mise à pied pour avoir revendiqué au nom de la CGT Energie Midi-Pyrénées le rétablissement de l'électricité à un couple de Rmistes et leur petite fille de deux ans. Une centaine de personnes, agents et militants associatifs, se sont mobilisées vendredi matin en soutien au syndicaliste convoqué par sa direction. Dominique Liot, monteur branchement chez ERDF-GRDF Midi-Pyrénées, était convoqué à 8h15 vendredi pour la dernière étape de la procédure disciplinaire engagée contre lui en octobre dernier. Le délégué du personnel CGT est menacé d'un mois de mise à pied pour avoir revendiqué en avril 2009, au nom de la CGT Energie Midi-Pyrénées, une opération "Robin des Bois" de rétablissement de l'électricité dans une maison squattée par un couple de RMistes et leur petite fille. Une sanction qui devrait être confirmée à l'issue de cette convocation, dans un délai maximum d'un mois. Cette opération "Robin des Bois" avait été menée durant le conflit qui avait opposé au printemps dernier la direction d'ERDF-GRDF Midi-Pyrénées à certains agents opposés au projet d'externalisation de plusieurs services et de suppressions de sites. A l'issue de ce mouvement de grève, entamé le 26 mars et suspendu 12 mai 2009 et qui s'était soldé par le retrait du projet et l'embauche de 129 personnes, la direction régionale d'ERDF-GRDF avait déclenché plusieurs procédures disciplinaires. "J'ai participé à une action collective, bien que je n'aie pas posé les fusibles, que j'ai revendiquée publiquement. C'était une action cohérente par rapport au mouvement que nous menions pour la défense du service public et sur le maintien des services de proximité", a déclaré vendredi à l'Associated Press Dominique Liot. "Au-delà de la procédure qui me touche, se pose la question du droit à l'énergie pour tous. Le fond du problème est de savoir s'il est cohérent qu'un service public coupe l'électricité, y compris en dehors de l'hiver, à des personnes qui doivent choisir entre payer leur facture et donner à manger à leurs enfants", a ajouté M. Liot dont le syndicat demande des tranches tarifaires gratuites pour les plus démunis. Du côté de la direction de l'Unité clients fournisseurs Midi-Pyrénées Sud, Michel Larronde, en charge de la gestion des ressources humaines, a précisé à l'Associated Press que "l'habitude de la maison n'est pas de communiquer, en interne comme en externe, sur des dossiers individuels". "Le conflit qui a eu lieu au printemps dernier et qui a été marqué par des destructions dans des bâtiments, des intimidations, des injures à personnes, a généré quelques procédures disciplinaires. Il y en a eu 10 au sein de l'UCF dont celle de cet agent. Mais son dossier n'a rien à voir avec ces actions-là", a ajouté Michel Larronde ... à la direction d'EDF moi je soutiens l'électricie pour son geste humain.
  11. Mais il y en a qui adore le pouvoir, le pognon et les bureaux feutrés en haut des tours d'ivoire derrière les vitres fumées (j'allais dire fumeuses...) ...
  12. ça aurait même été bien de ne pas mettre le lien dans le corps de ton message... peux-tu le supprimer merci. Reçu ce spam en Mp également
  13. ça va jaser dans les chaumières... J'attend avec impatience les explications du secrétaire CGT du CCE...♪♫♫♪♫♪♫♫ ça confirme bien ce que j'écrivais sur un autre fil... Il n'y a pire tôlier qu'un syndicaliste...
  14. Pas d'application pour les sédentaires. ça ne concerne que les roulants. Sinon faudrait voir à faire appliquer l'ensemble des taquets réglementaires pour les sédentaires (Repos annuels, RP doubles, durée GPT -privilégier le 4x2, minimum 56 repos sur le semestre civil etc etc... programmation des repos du mois M au 20 du mois M-1 sinon commande ferme avant le début de la quinzaine (article quasi inconnu des CPS...) en mettant la pression sur votre direction d'Uo et d'Etablissement avec une petite pétition, une DCI, un rassemblement etc... Ah Ah AH j'ai de bons restes... voir quand même si il n'y a pas eu de rectif au RH077 (je n'ose dire P4S...)
  15. Dire à son patron ce qu'on pense de lui est bon pour la santé ! mercredi 13 janvier 2010 - Ouest France Dire à son patron ce qu'on pense de lui est bon pour la santé ! C'est ce qui ressort d'une étude publiée par la très sérieuse British Psychological Society. L'effet serait non seulement bénéfique aux cadres, enclins à écouter les critiques et donc à s'améliorer, mais également aux salariés qui peuvent ainsi évacuer leur stress. Pour les besoins de l'enquête, 150 cadres supérieurs ont été divisés en deux groupes. L'un est resté dans sa tour d'ivoire, et l'autre s'est vu communiquer les commentaires des subordonnés. Selon l'étude "quand les cadres dirigeants recevaient des commentaires des employés, ils étaient plus enclins à modifier leur style de gestion et ils étaient donc perçus comme des cadres plus efficaces" Donc tout bonus pour les entreprises qui gagnent ainsi un encadrement performant et des salariés moins sujets aux symptômes liés au stress " comme l'anxiété ou la dépression, les palpitations ou l'hypertension" poursuivent les auteurs de l'étude. Et des salariés en bonne santé ont moins de raisons de se retrouver en congé maladie... ça fonctionne avec les politicards ...? pascontent
  16. Déjà vu quelque part sur le forum Beau boulot de modélisme... pascontent
  17. C'est le cas il faudra bien qu'il soit régularisé TTMV sur la qualif E à la fin du cursus ATT TS ? non ?
  18. Par contre va voir ton médecin pour te faire soigner... C'est lui qui décidera de t'arrêter ou non en fonction de ton état de santé et de ton boulot.
  19. Oups: la marque Hadopi déjà déposée par un particulier Le Post Le comble du piratage ? Utiliser une marque et une police de caractères déjà déposées quand on s'appelle Hadopi et qu'on reflète l'amateurisme du gouvernement. Ça peut paraître incroyable, mais c'est vrai. Hadopi, ce nom vous dit quelque chose ? Vous pensez sûrement à la Haute autorité chargée de sanctionner le piratage illégal. Sauf que... Cette marque a été déposée par un particulier avant le gouvernement ! Une information relayée par les médias ce jeudi, mais déjà remarquée par une internaute sur Twitter il y a deux jours. Sur le site de l'INPI, l'institut national de la propriété intellectuelle, on découvre que "Hadopi" a été déposée le 19 mai 2009, alors que l'Hadopi du gouvernement a été déposée le 16 novembre 2009. Le particulier qui a déposé la marque en premier, Renaud Veeckman, a créé une plateforme de téléchargement. S'il a choisi ce nom, c'est bien sûr un clin d'oeil, du "second degré", reconnaît-il, cité par LePoint.fr. Notons quand même que, si les deux Hadopi sont déposées, aucune n'est encore enregistrée. A priori, la marque Hadopi déposée par le particulier ne pourra pas être validée, à moins qu'il en fasse une utilisation commerciale. C'était bien tenté quand même ! Mis à jour par la rédaction du Post
  20. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
    Et hop c'est reparti... Il faudra travailler plus pour assurer les retraites, dit Darcos Reuters Le rétablissement financier du système de retraite en France passera nécessairement par un allongement de la durée de cotisation effective, selon le ministre du Travail, Xavier Darcos, qui est chargé de préparer la réforme prévue cette année. Lors d'un débat mardi au Sénat, Xavier Darcos a expliqué qu'il poursuivait deux objectifs: sauvegarder le système de retraite par répartition et veiller à l'équité, ce qui passera selon lui par une modification des règles en vigueur dans la fonction publique. Face à l'accroissement des déficits, l'exécutif dispose de trois leviers, a-t-il ajouté: baisser le montant des retraites, augmenter les cotisations et allonger la durée de cotisation effective. "Diminuer le montant des pensions, je vous le dis clairement, serait inacceptable. Quant à l'augmentation des cotisations, j'observe que nous avons déjà le niveau de cotisation le plus élevé d'Europe", a-t-il dit, selon le texte de son discours. "Je le dis donc sans ambages: dans un pays dont l'espérance de vie s'accroît d'un trimestre chaque année, nous n'avons d'autre solution que de travailler plus longtemps." Le ministre du Travail a ainsi évoqué le ratio "deux tiers-un tiers" entre la durée de cotisation et la durée de la retraite, qui a déjà conduit à allonger progressivement la durée de cotisation de 40 à 41 ans en 2012. Le ministère du Travail a ensuite précisé que l'allongement dont parlait Xavier Darcos était celui de la durée de cotisation effective et pas nécessairement une hausse du nombre d'années travaillées nécessaire pour toucher une retraite à taux plein. Travailler plus longtemps revient aussi à augmenter le taux d'emploi des travailleurs âgés, qui est de 39% en France contre une moyenne de près de 45% en Europe, a ajouté Xavier Darcos. Xavier Darcos a souligné que "dès 2010, une retraite sur dix n'est plus financée" et que la situation irait en s'aggravant, le rapport actuel de 1,8 cotisant pour un retraité passant à 1,5 dans une dizaine d'années et à 1,2 en 2050. "J'ai parlé d'urgence car la question du financement des retraites concerne directement la génération qui vient d'entrer dans la vie active et qui verra, année après année, s'accroître le poids de la charge qui pèse sur elle", a-t-il dit. "Nous avons une lourde responsabilité à l'égard de cette génération, à laquelle nous nous sommes trop longtemps dérobés." Travailler plus longtemps nécessitera aussi, selon lui, de répondre au problème de la pénibilité de certaines professions, un aspect sur lequel les syndicats insistent. "Nos longues discussions avec les partenaires sociaux ont déjà permis des avancées sur cette question difficile et je suis déterminé à aller plus loin pour réfléchir aux réponses à apporter", a dit Xavier Darcos. La situation des retraites de la fonction publique sera abordée "sans faux semblant", a-t-il ajouté, car "si nous n'agissons pas, c'est l'ensemble des contribuables qui continueront de supporter la dérive financière du régime de retraite des fonctionnaires". Le déficit de la branche vieillesse (retraites) du régime général de la Sécurité sociale est prévu à 10,7 milliards d'euros cette année, après 8,2 milliards en 2009, et atteindrait 14,5 milliards en 2013 selon les prévisions du gouvernement. Jean-Baptiste Vey
  21. Au delà des idées reçues... Le temps de travail baisse constamment depuis 1950 en France Reuters Le temps que les Français passent au travail baisse constamment depuis 1950, du fait notamment de la progression de l'emploi salarié, une évolution similaire à celle de neuf autres pays développés, selon une étude de l'Insee. Il est passé de 2.230 heures par an en 1950 à 1.559 en 2007. Ce temps de travail en France est inférieur à la moyenne des dix pays étudiés (1.620) mais supérieur à celui de l'Allemagne (1.432) et des Pays-Bas (1.413), remarque l'Institut national de la statistique et des études économiques. Les champions de la longueur du temps de travail sont la Corée du Sud (2.165 heures par an), devant les Etats-Unis (1.785), le Japon (1.784) et l'Espagne (1.775). Le Royaume-Uni (1.607), la Suède (1.601) et l'Italie (1.566) suivent, juste devant la France. Si les Français travaillent moins, c'est comme dans les autres pays essentiellement en raison du déclin de l'emploi agricole au profit du salariat, régime qui est celui de 91% des actifs français aujourd'hui, contre 65% en 1950. Depuis les années 1970, la baisse de la durée du travail est aussi liée au développement des contrats à temps partiel, notamment concernant les femmes. La France a une spécificité limitée dans les raisons de cette évolution, puisqu'elle a réduit l'horaire de travail légal avec les lois Robien (1996) sous la droite, et Aubry sous la gauche (1998 et 2000). Le temps de travail est devenu une des lignes de fracture entre droite et gauche. Elu à l'Elysée avec le slogan "travailler plus pour gagner plus", Nicolas Sarkozy a assoupli les lois sur les 35 heures sans les supprimer, cette durée demeurant la limite légale de travail hebdomadaire. Thierry Lévêque, édité par Gilles Trequesser
  22. Tout à fait d'accord avec Nipou et Assouan Tu passes l'examen et tu fais tout pour réussir... Ensuite la direction te demandera tes désidératas et en fonction du tableau d'avancement (voir les délégués du personnel, ça sert aussi à ça...) te proposera des postes libre à toi d'accepter ou de refuser en fonction de tes intérêts... et en plus il y a un document à signer, donc tant que tu ne signes rien... Il y a un tas d'exemples de cheminots qui ont fait ça... qui ont attendus et qui ont eu ce qu'ils souhaitaient. L'accès à E c'est aussi ton avenir, ton déroulement de carrière et ta future pension de retraité...
  23. Effectivement Assouan nous avons déjà eu plusieurs fois ce débat sur le forum. La difficulté c'est de construire quelque chose de positif sur cette question. Rappelons que nous devons avoir en ce moment 7 syndicats de cheminots (CGT, SUD, CFDT-FGAAC, UNSA, FO, CFTC, CGC) sans compter l'Amicale des Cadres supérieurs. Le tout pour environ 15 à 20% de cheminots syndiqués (estimation optimiste) avec des disproportions selon les activités, les métiers, le niveau hiérarchique, les lieux géographiques de travail etc... pour 6 à 8% de salariés syndiqués dans le pays (en rajoutant d'innombrables syndicats catégoriels plus ou moins importants comme la FSU, la FEN, le SNUImpôts, les syndicats de police etc etc...). Il y a donc deux enjeux : Le rassemblement syndical qui impose aux directions syndicales, aux militants syndicaux de se remettre en question, de s'interroger sur leurs pratiques tant sur le fond que sur la forme (actions, formes d'action, discours, revendications, fonctionnement interne, démocratie, ...) On pourrait aussi parler du rôle des syndiqués, des militants, des responsables syndicaux, des permanents, des directions syndicales locales, régionales, nationales, confédérales, du cumul des mandats, de la durée des mandats ou des responsabilités etc...) La syndicalisation des salariés actifs et retraités pour peser face aux différents pouvoirs politiques et patronaux pour la défense de leurs intérêts et revendications ce qui renvoie aux responsabilités du salarié-citoyen.
  24. Une bonne proposition pour l'administrateur... oIo
  25. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
    20 ans en 1968 60 ans en 2008 1968 annonçait la crise... Me semble que la crise a commencé à se faire sentir en 70/71... voir les courbes du chômage... 74 premier choc pétrolier...

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