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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Le vrai problème c'est le montant des pensions versées aux retraités... d'où l'augmentation du nombre de trimestres nécessaires la baisse du nombre de trimestres validés (durée des études, entrée tardive dans la vie active, périodeS de chômage...) le système de décôte (trimestres non validés) tout le débat depuis 20 ans...
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Tout se brevète quand il y a du pognon à la clé... même le vivant...
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Mouvement de greve le 19 Janvier ?
Dom Le Trappeur a répondu à km315 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Pour qu'il puisse y avoir une grève il faut une DCI (21 jours) et un préavis (6 jours francs)... soit au moins 27 jours de délai... Pour une journée de grève le 19 donc un préavis commençant la veille le 18 à 20h il faudrait un préavis déposé le 11 c'est à dire hier... et cela ne présage pas d'un appel ferme à la grève puisque le délai du préavis devrait être utilisé pour...négocier... Par contre il est possible qu'il y ait un appel à un rassemblement/manifestation le jour du CCE ? -
ça ne s'arrange pas... http://eco.rue89.com/2010/01/11/lhadopi-ac...a-police-133215
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Le logo d'Hadopi illégal, "suite à une erreur de manipulation informatique" Le Post Le logo d'Hadopi est arrivé sur la scène publique en grandes pompes. Dévoilé vendredi, il a été aussitôt la cible de critiques. Un blogueur designer a remarqué qu'il était... piraté. Un comble pour la Haute autorité chargée de sanctionner ceux qui téléchargent illégalement sur le Net. L'agence qui a créé le logo, Plan Créatif, a finalement réagi dans un bref communiqué qui vient de nous être envoyé. Elle reconnaît le couac et évoque "une erreur de manipulation informatique". "A la suite d’une erreur de manipulation informatique, une esquisse de logotype qui avait été écartée lors des phases traditionnelles de vérification de similitude, a été malencontreusement présentée comme solution graphique défnitive", explique Plan Créatif. Et de conclure : "Cette erreur vient d’être réparée et vous trouverez ci-joint l’identité définitive retenue par la Hadopi", que voici : On observe en effet que la police utilisée est légèrement différente. C'est quoi déjà cette histoire de logo ? La typographie du premier logo présenté appartient à France Télécom. C'est un blogueur qui est aussi designer, Geoffrey Dorne, qui l'a remarqué. "J'ai trouvé le document de la charte de France Télécom. J'ai pris les lettres de la typographie 'Bienvenue' et j'ai superposé les lettres, comme on le voit dans l'animation que j'ai réalisée, et publiée sur mon blog. Avec cette superposition, j'ai prouvé que ce sont les mêmes lettres", a-t-il expliqué au Post.fr. Contacté par Le Post ce lundi matin, l'auteur de la typographie piratée a confié qu'il s'exprimerait cet après-midi. A suivre. Vous téléchargez ? Non non c'est une erreur de manipulation informatique... :Smiley_34:
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L'arroseur arrosé ? Le logo d'Hadopi illégal ? "J'ai prouvé que la typo est celle de France Télécom" http://www.lepost.fr/article/2010/01/11/18...ce-telecom.html Plus que le logo, moi, c'est le fond d'Hadopi qui m'inquiète ...
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Le nombre d'émoticons utilisées depuis l'ouverture du forum ? ... +1 M'en fous moi j'ai rajeuni d'un an, voilà qu'suis né en 1910 maintenant Toujours le même âge depuis que j'suis sur le forum... Le chouchenn conserve... à Kata
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des changements pour les ayants droit?
Dom Le Trappeur a répondu à juziris situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Merci Sébastien le lien pour rappel http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=21794&hl= -
Eurotunnel va s'équiper en GSM-R
Dom Le Trappeur a répondu à www.webtrains.net situé dans Actualité ferroviaire générale
... et en locomotives de secours ? -
le pinard! ça devrait etre obligatoire !
Dom Le Trappeur a répondu à raez situé dans Brin de causette
"L'abus de chouchenn le soir, donne la migraine du matin" mais je n'ai mal ni à la gorge ni à l'estomac .. -
Après avoir eu le tout tout en restant l'esprit critique sur le sujet et d'une grande méfiance envers les journaleux (Hum Hum...pourquoi le figaro...?) ça me rappelle un fil récent où je disais quand il y a pouvoir et pognon, il y a risques de corruption ce qui renvoie bien à la question du contrôle démocratique et de la transparence des institutions... autant sur le fond que sur la forme...
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CCE d'Air France :Un Besoin de Démocratie et de Transparence
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Plusieurs articles du Figaro sur le sujet. Le tout pour un Besoin de Démocratie et de Transparence Les articles ne sont pas tous de la même date - voir également les liens sur les diverses pages CCE d'Air France : un trou de 20 millions d'euros http://www.lefigaro.fr/societes/2010/01/11...ns-d-euros-.php CCE d'Air France : trop de frais de fonctionnement http://www.lefigaro.fr/societes/2010/01/11...tionnement-.php Le comité d'entreprise d'Air France au bord de la faillite http://www.lefigaro.fr/societes/2009/09/09...a-faillite-.php Un pilote au chevet du CCE Air France-KLM est en pleine turbulence http://www.lefigaro.fr/societes/2009/11/19...turbulence-.php -
des changements pour les ayants droit?
Dom Le Trappeur a répondu à juziris situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Ouai mais t'as pas répondu à la question de départ qui nous intéresse tous : y-a-t-il des modifications attendues pour les ayants droits en matière de Facilitrés de Circulation ? -
Train ECR bloqué en gare de Foix
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans DB Cargo France (ex ECR : Euro Cargo Rail)
Confondre un mec de Sud avec un gars de la Fgaac... okok -
Train ECR bloqué en gare de Foix
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans DB Cargo France (ex ECR : Euro Cargo Rail)
Et qui c'est qui te les avait mis là ? -
des changements pour les ayants droit?
Dom Le Trappeur a répondu à juziris situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Qu'est-ce que tu méchant...Marc mon Ami... okok -
L'article oui mais les commentaires... Waff comme dirait quelqu'un, ça a dérapé rapidement... Ceci dit comment es-tu parvenu à la conclusion qu'un membre du forum serait l'auteur du commentaire cité ?
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Grippe A : « Ils ont organisé la psychose »
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Sur le même fond philosophique... "Le principe de précaution oblige à exagérer la menace" LE MONDE | 09.01.10 | Philosophe du risque, François Ewald est professeur titulaire de la chaire d'assurances du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et directeur de l'Ecole nationale d'assurances. Ancien assistant de Michel Foucault au Collège de France, il a fondé l'observatoire du principe de précaution qu'il préside et vient de coordonner un ouvrage collectif "Aux risques d'innover" (éditions Autrement). Il décrit l'origine de ce principe de gestion de risques et les possibles dérives de son utilisation. Le principe de précaution s'est imposé comme principe cardinal de gestion de crise en France. Comment expliquer cette évolution ? Dans sa définition originelle, c'est un principe de gestion environnementale et non un principe de gestion de crise. Il apparaît en Allemagne à la fin des années 1960 ("Vorsorgeprinzip"). Les Allemands vont le décliner selon trois dimensions : éviter les dangers immédiats, prévenir les risques de moyen terme et avoir une gestion optimale, à long terme, des ressources naturelles. Il va ensuite prospérer sur le plan international en devenant une figure imposée de tous les traités internationaux en matière d'environnement - le premier acte important étant le Sommet de la Terre de Rio en 1992. Etait-ce une conception nouvelle de l'action des pouvoirs publics ? Pas du tout. L'idée que les autorités en charge de la police administrative doivent faire preuve de précaution dans l'exercice de leur charge date du XVIIe siècle. On en retrouve trace dans le Traité de la police, de Nicolas de La Mare (1707), dans lequel la police de l'environnement est déjà inscrite (gestion de l'eau, de l'air, des déchets...). Sans parler strictement de principe de précaution, on retrouve la même notion dans la loi sur les communes de 1884 qui définit les devoirs du maire. Avec le principe de précaution, on réactive donc de vieilles notions dans un contexte d'événements nouveaux. Mais nous ne sommes pas à l'origine d'une interrogation qui, de Aristote à Hegel en passant par les jansénistes, est aussi vieille que la morale et la décision en situation d'incertitude. En France, quand apparaît le principe de précaution ? Jusqu'au Sommet de Rio, la France reste étrangère au débat. Les Français ne sont pas pionniers en la matière, ils prennent le train en marche : la première législation qui inscrit le principe de précaution, la loi Barnier de 1995, ne suscite à l'époque quasiment aucun débat. Par contre, l'inscription de ce principe dans la Constitution, au niveau des valeurs fondatrices de la République, avec la Charte de l'environnement de 2005, a fait prendre une longueur d'avance à la France. Mais en France, le principe de précaution s'est surtout fait connaître à l'occasion des crises sanitaires... Tout à fait, et c'est une spécificité française. Dans notre pays, le principe de précaution a d'abord été entendu comme principe de responsabilité de l'Etat, notamment à l'occasion de l'affaire du sang contaminé. Ce principe a été réfléchi en fonction des responsabilités qu'il pourrait engager. Il est devenu à la fois un épouvantail et un principe de couverture. En faire trop semble vous protéger d'une mise en cause éventuelle. J'ajoute qu'il y a deux manières différentes d'envisager le principe de précaution : soit on considère qu'il s'agit d'un processus de délibération qui ne préjuge pas de la décision finale - en situation d'incertitudes, j'analyse tous les paramètres et j'opte pour la solution la plus adaptée ; soit j'interprète le principe de précaution en décidant qu'à partir du moment où il y a une incertitude, je suspends toute action, j'omets d'agir : c'est la logique du moratoire. Sous le label "principe de précaution", on trouve toutes les utilisations. Comment expliquer cette diversité d'usages ? Le principe de précaution est toujours lié à la défense d'un système de valeurs précis. Si vous considérez que la santé n'est pas une valeur qui doit être hautement protégée, alors il n'y a pas de précaution particulière à prendre en matière sanitaire. Les choix faits par Roselyne Bachelot dans le cas du risque H1N1 supposent que la société veut se protéger au maximum, que le décès d'une seule personne devrait pouvoir être évité. Si vous vous appelez Marc Gentilini ou Bernard Debré, que vous êtes médecin, que vous voyez beaucoup de gens mourir et que vous relativisez les situations, vous ne donnez pas au principe de précaution la même interprétation. Une association écologiste qui se bat contre une société qui fabrique des OGM va surpondérer la protection de l'environnement face aux bénéfices potentiels d'un progrès technique. Nous sommes donc, en réalité, dans une bataille de valeurs. Jugez-vous excessive la gestion de la crise de la grippe A par le gouvernement ? Mais le principe de précaution est en soi-même excessif ! Il commande de donner le plus grand poids au plus petit risque. Il oblige à exagérer la menace. On ne peut pas faire le reproche à Mme Bachelot d'avoir engagé une démarche de précaution, notamment au début de la crise : les informations en provenance de l'Organisation mondiale de la santé étaient très alarmistes. Vient ensuite, logiquement, la phase de la déception. Le temps passe. On découvre que les choses ne sont pas comme on les avait imaginées. Il faut alors s'adapter. C'est ce que tente de faire, sous des critiques qui ne sont pas toujours honnêtes, Mme Bachelot. Il faut bien voir que, dans une conjoncture de précaution, les politiques ne gèrent pas seulement le risque objectif, difficile à établir scientifiquement en raison du manque de connaissances, mais aussi le risque subjectif, créé par l'imaginaire collectif autour de la menace. La dimension de la communication, la gestion des craintes absorbent la gestion du risque "réel". Les communicateurs prennent les choses en main et les politiques sont liés. Comment analysez-vous le fait que la population n'ait pas adhéré à la campagne de vaccination ? On assiste dans cette crise au croisement de deux logiques : une logique étatique classique, vaccinale et préventive, qui suppose que tout le monde va obéir aux prescriptions d'hygiène publique. Et une logique presque postmoderne selon laquelle on ne peut pas gouverner les gens par obligation parce qu'ils décident de ce qu'ils font, en fonction de l'information qu'ils reçoivent et de leurs propres jeux de valeurs. C'est une des dialectiques du principe de précaution : il ne conforte pas la légitimité du pouvoir de l'Etat, il disperse la décision au niveau des individus. Cette gestion de crise révèle une situation éminemment contemporaine. L'Etat est pris dans cette double obligation d'avoir à offrir tous les moyens pour la vaccination alors que les moyens seront utilisés librement par chacun. D'une certaine manière, le prix des vaccins en trop, c'est le prix de la liberté des gens ! Car s'ils voulaient se faire vacciner et que vous n'aviez pas les doses correspondantes, ils vous le feraient payer très cher. Quelle leçon tirer pour une prochaine crise sanitaire ? L'application, demain, du principe de précaution a toutes les chances de passer par les mêmes phases : excès dans l'évaluation de la menace, puis déception. Qu'est-ce que cela veut dire de la société d'aujourd'hui ? Avec le principe de précaution, on revient sur cette ascèse chère aux philosophes du XVIIIe selon laquelle un jugement juste devrait être dépassionné. Nous revendiquons un nouvel usage des émotions, de la peur en particulier, qui ne préserve pas de l'erreur. Le principe de précaution, loin de renforcer l'autorité de l'Etat, l'affaiblit et finalement prive la décision publique de sa légitimité. Enfin, en raison de l'exagération des émotions qui le constitue, il tend à placer la société dans une situation de crise, d'urgence permanente comme on le constate par exemple avec la question du climat. Cela témoigne d'un changement de paradigme politique, à une sorte d'hyperdémocratie des individus qui est fort préoccupante. Car on ne voit plus ce qui, dans un tel monde de dispersion des valeurs et des passions, pourrait rassembler les individus déboussolés. Propos recueillis par Cécile Prieur -
Le site "Train-rail.com" hacké
Dom Le Trappeur a répondu à Thierry80 situé dans Actualité ferroviaire générale
Quelqu'un peut nous en dire plus ? Quels types de problèmes il a eu avec la Direction ? -
Formation CRML en alternance
Dom Le Trappeur a répondu à __________ situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
Je crois qu'Allan a surtout le sentiment de s'être fait enflé par cette formation en alternance SNCF/Etat(Greta) qui lui a certainement été proposé par un pôle emploi (Ex-ANPE), surtout qu'il a du être payé à la moitié d'un smic soit 500 euros, quasiment pendant 10 mois. Il pose un vrai problème de fond concernant l'emploi et la formation. Nous pouvons aussi poser le problème du coût économique et social pour la collectivité (SNCF, ETAT, Chômage...), et les conséquences humaines tant pour les jeunes concernés (quasiment aucun ne reste à la SNCF...) que pour les cheminots qui les ont pris en charge (à quoi ça sert vont ils se demander ...?) et les formateurs (sûrement blasés car ce n'est pas la première fois...). Il y a donc des questions humaines soulevées mais aussi des questions hautement politiques, économiques et sociales. Je conseillerai à Allan effectivement de se rapprocher d'un syndicat de cheminots au niveau national, de prendre contact avec un conseiller prud'hommes dans son département pour voir dans quelle mesure il peut faire respecter ses droits. Je lui conseillerai aussi de prendre contact avec un journaliste pour raconter son histoire. Et personnellement j'excuse son orthographe, sa grammaire et son style d'écriture vu la situation dans laquelle il se trouve. Ceci dit, Allan, n'hésites pas à te faire aider pour écrire tes courriers. Un conseil également : conserves tous les documents en ta possession : essaies de tout classer dans un dossier (classeur par exemple). Et si tu envoies des courriers ou signes des documents, conserves toujours une photocopie. Bon courage pour la suite. -
Etudes : bourses, quotas et niveau des étudiants
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
J'ai trouvé cet article intéressant pour comprendre... le débat actuel De plus des jeunes et des parents peuvent être concernés par le sujet Quotas: il y a boursier et boursier Etre boursier aujourd'hui en France recouvre des réalités sociales très différentes. Par Quentin Girard. Ancien élève de Sciences Po. S'il était toujours étudiant, serait boursier à échelon 0 cette année selon les critères du CROUS. Ne vient pourtant pas d'un milieu défavorisé. A peut-être fait baisser le niveau. http://www.slate.fr/story/15343/boursier-g...rieur-education -
Des déchets radioactifs dans nos objets quotidiens
Dom Le Trappeur a répondu à raez situé dans Brin de causette
Quand on sera tous radioactif, c'est qu'on sera vacciné... Les labos pharmaceutique, le lobby nucléaire... Même combat -
Ben ouai : encore un ange qui monde au paradis... http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_S%C3%A9guin Paix à son âme.