Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Des billets de train au même tarif permettent de voyager 260 km... ou juste 16
De la libéralisation des transports... Des billets de train au même tarif permettent de voyager 260 km... ou juste 16 Zigonet Grande-Bretagne - Certains usagers du train payent leurs tickets 16 fois plus cher qu'à d'autres endroits du pays. Dans certaines régions, pour la même somme, des voyageurs peuvent voyager 256 km ou seulement 16 km. Le service de train le plus cher est celui de l'Heathrow Express qui demande 11 euros pour un parcours de 16 km tandis que la ligne Plymouth-Penzance permet à ses passagers de parcourir 260 kilomètres pour le même tarif. Un porte-parole de la compagnie du rail explique que d'année en année, l'inflation a fait exploser le prix des billets : "Voyager loin et souvent revient terriblement cher. S i de plus en plus de personnes arrêtent de prendre leur voiture pour le train, nous devons leur offrir un service plus fiable et surtout plus abordable." Un rapport dénonce que la politique tarifaire des billets de train est disproportionnée. Certains prix ont augmenté de 11 %. Le gouvernement s'est penché sur le dossier et a fixé un taux d'inflation de 1% annuel seulement.
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CPA - Temps Partiel Fin de Carrière -Bilatérale 15.06.09
CPA - Temps Partiel Fin de Carrière - Réunion Bilatérale SNCF - CGT du 15 juin 2009 09_07_30_CR_rencontre_CPA__tps_partiel_fin_de_carriere_du_15.06.09.doc 09_07_30_CR_rencontre_CPA__tps_partiel_fin_de_carriere_du_15.06.09.pdf
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Insolite : Suicidaire, elle se jette sous un train... puis rentre se coucher
Encore une qui pourra dire que même le train lui est passé dessus... Je suis déjà sorti...
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Charte instituant la création du SLIP sur le forum.
Faudrait voir à remonter le slip...
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on devait s'y attendre à celle là !
Je vous conseille de relire le référentiel sur "le service minimum"... et ses conséquences sur l'organisation du travail et le droit pour la direction de passer outre la réglementation du travail... On est en plein dans la problématique et le texte sur le service minimum pourrait fort bien s'appliquer dans ce cas de figure si le nombre de Cheminots malades atteints par la grippe A en particulier conducteurs et Agents circulations venait à être élevé... car "le service minimum" ne traite pas et ne s'applique pas que dans la seule situation de préavis de grève...
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Le PDG d'EDF souhaite une hausse de 20% des tarifs de l'électricité
Les petits trucs d'EDF pour augmenter ses tarifs et j'ajouterai : "du gouvernement"... http://eco.rue89.com/2009/07/29/les-petits...nter-ses-tarifs Par François Krug | Eco89 La facture EDF des particuliers devrait augmenter de 1,9% en août, affirment Les Echos. Mais un petit détail gêne le gouvernement. Selon les règles en vigueur, la hausse ne peut pas dépasser le taux d'inflation. Or, en un an, les prix ont justement reculé de 0,5%. Pour résoudre ce casse-tête, Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde devront recourir à une rhétorique très subtile. 1 Qui va vraiment décider ? Ce ne sera pas EDF. Fournisseur d'un service public, le groupe doit pratiquer des « tarifs réglementés ». Le montant de la hausse sera établi conjointement par le ministère de l'Ecologie et de l'Energie et par celui de l'Economie, dans un arrêté comme celui-ci. EDF ne peut qu'exprimer ses souhaits. Son PDG l'a fait publiquement début juillet, de manière pas très diplomatique. Dans La Tribune, Pierre Gadonneix suggérait rien de moins qu'une hausse de 20% sur trois ans, pour « refléter les investissements nécessaires ». Le gouvernement optera bien sûr pour une hausse moins spectaculaire : les enjeux sont autant politiques qu'économiques. Et en coulisse, Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde devront obtenir l'accord définitif de Nicolas Sarkozy, comme le précisent Les Echos. Avant de publier leur arrêté, les deux ministres devront cependant le soumettre à la Commission de régulation de l'énergie (CRE). Celle-ci nous a indiqué qu'elle n'avait encore rien reçu. Et rien n'oblige le gouvernement à suivre son avis. 2 Peut-on échapper à la hausse ? Non. Selon la loi et le « contrat de service public » conclu avec l'Etat, les tarifs doivent obligatoirement « couvrir l'ensemble des coûts supportés » par le groupe. Or, une décision du gouvernement a déjà fait gonfler une partie importante de ces coûts. Le 5 juin, Borloo et Lagarde ont décidé d'augmenter les Turpe, les « tarifs d'utilisation des réseaux publics d'électricité ». En clair, le coût de l'acheminement de l'électricité. U n service confié à deux filiales d'EDF, ERDF et RTE, qui le facturent à leur maison-mère et à ses concurrents. Mécaniquement, EDF répercutera cette hausse auprès de ses consommateurs. Le coût de l'acheminement représente déjà 47% de la facture finale, selon la CRE. Le calcul des tarifs prend aussi en compte les autres dépenses d'EDF, des centrales électriques aux agences commerciales. Et selon Pierre Gadonneix, les prix ne couvrent pas toutes les dépenses liées aux missions de service public du groupe. 3 Quel sera le vrai montant de la hausse ? En apparence, elle sera moins élevée que l'an dernier. Selon Les Echos, la facture pourrait augmenter de 1,9% pour les particuliers (le tarif « bleu »), de 4% pour les PME (le « jaune ») et de 5% pour les grandes entreprises (le « vert »). Contre 2%, 6% et 8% l'an dernier. Sauf qu'entretemps, l'inflation a nettement reculé. Et dans le contrat de service public signé en 2005, l'Etat et EDF s'engageaient justement à en tenir compte : « Les cinq premières années, l'évolution des tarifs aux particuliers ne sera pas supérieure au taux de l'inflation. » A l'été 2008, ce n'était pas un problème : l'inflation était en progression de 3,6% sur un an. C'est nettement plus compliqué cette année. Selon les chiffres les plus récents de l'Insee, datant de juin, les prix ont reculé de 0,5% en un an. Mais la référence aux « cinq premières années » reste très ambiguë. Signifie-t-elle que, jusqu'en 2010, on prendra en compte le taux d'inflation annuel ? Ou autorise-t-elle à se fonder sur l'évolution des prix depuis 2005 ? Nous avons tenté d'obtenir une traduction officielle, mais les cabinets de Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde n'ont toujours pas donné suite à nos demandes d'explications.
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Le Bar de la Rotonde
Web : "Ni putes, ni soumises" tire la sonnette d'alarme Elle Depuis quelques temps maintenant, on note une recrudescence des commentaires machistes, sexistes et particulièrement virulents, en réponses à certains articles publiés sur le net. Ainsi, Sihem Habchi, présidente de l'association "Ni putes,ni soumises" tire la sonnette d'alarme. Elle est en effet, effarée de lire certains commentaires au sujet de cette jeune fille violée en plein jour dans une piscine à Saint-Ouen... "On a pu lire qu'elle l'avait bien cherché ou encore qu'elle n'avait pas à se trouver là en maillot de bain, en gros que c'était de sa faute" déclare-t-elle dans la presse. Pour que ce sexisme propre au web cesse, Sihem Habchi va donc lancer une campagne d'information et de sensibilisation : "Web Respect City". La présidente de "Ni putes, ni soumises" explique : "On est face à une génération connectée en permanence, toujours sur les blogs, c'est leur mode de vie et d'échange. Les jeunes ne regardent presque plus la télé et s'informent sur Internet. C'est aussi là qu'ils apprennent, à nous alors de nous emparer de cet espace pour tenter de corriger le tir sur les relations entre filles et garçons où il y a un gros déficit d'éducation". Une version adaptée au net du "Guide du respect" paru en 2005, accompagnée d'une liste noire des sites laissant le champ à la haine" sera bientôt disponible. K.M.> Plus d'infos30/07/2009
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Religion : Danger ou pas !
De la Burqa au voile : ça se corse... Corse: une communauté religieuse soupçonnée d'avoir abusé ses fidèles LePost Cette association religieuse dit être la « Messagère de la Vierge Marie » et «porter les stigmates du Christ». Rien que ça ! Implantée en Corse, à Vescovato, la communauté qui a pour nom « La famille Ave Maria de l’enfant Jésus » est dirigée par une ancienne aide-soignante d’une maison de retraite de Bastia, en Haute-Corse. Une communauté qui attire les fidèles venus de toute l’Europe… Mais une communauté qui, depuis plusieurs semaines, fait l’objet d’une enquête préliminaire du parquet de Bastia. Pourquoi ? La justice soupçonne cette association d’abus de faiblesse, d’abus de confiance et d’escroquerie… Le Parisien révèle que dans cette affaire, la police judiciaire de Bastia et les renseignements généraux multiplient les enquêtes. L’administration fiscale faisant de même. De son côté, l’évêché de Corse, a condamné avec la plus grande fermeté les pratiques de cette communauté « pas si catholique » que ça. La communauté est donc dirigée par Agnès Mignoni, 46 ans, qui se fait appeler « La Messagère ». Une « messagère » qui porte un voile blanc, ainsi qu’un habit religieux immaculé avec un portrait de la vierge en plastron. Elle affirme avoir divorcé sur ordre de la Vierge. Un divorce « exigé » pour se consacrer à la religion. Pour la petite histoire, c’est tout de même son mari qui a obtenu la garde des enfants… Le fidèle qui se connecte sur le site Internet de la communauté peut apprendre que « La Messagère » a vu sa première apparition de la Vierge le 23 juin 1986, alors qu’elle faisait ses études d’infirmière. Une deuxième apparition en mars 1990. Cette fois, la Vierge lui aurait montré « une croix glorieuse » surgissant au pied d’un rosier enflammé. Il y en aura trois autres... Des « apparitions » qui lui vaudront d’être licenciée de la maison de retraite où elle était employée… Dérive sectaire? Jean-Jacques Fagni, le procureur de Bastia précise que dans cette affaire on se trouve « face à une organisation religieuse à risques. Il existe une forte personnalisation autour de cette femme. Cela peut s’apparenter à un risque de dérive sectaire ». Sans oublier, poursuit le magistrat que cette association évoque constamment un grand «besoin d’espèces sonnantes et trébuchantes». Un homme originaire de Clermont-Ferrand a porté plainte « pour abus de faiblesse » contre l’association, son épouse ayant versé 12.000 euros à la communauté… En 2002, l’évêché de Corse avait demandé la fermeture du site Internet de la communauté. Sans succès. « Agnès Mignoni revendiquait faussement le soutien de certains prêtres qui n’ont pas le droit d’exercer », précise dans Le Parisien, Stéphane Sclavo, secrétaire particulier de Mgr Jean-Luc Brunin, évêque de Corse. Tout en rappelant que « cette organisation ne bénéficie d’aucun soutien de l’église catholique de Corse ». Chaque année en septembre, à l’occasion de la semaine de la Vierge en Corse, les fidèles de « La Messagère » peuvent l’approcher de près dans un appartement qu’elle loue à Pancheraccia. Là, allongée sur un lit, un crucifix en main, elle leur montre les prétendus stigmates de sang du Christ…
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Religion : Danger ou pas !
Le port de la burqa serait très marginal en France Reuters Seules 367 femmes portent un voile intégral - burqa ou niqab - en France, selon une estimation de la police citée dans Le Monde daté du 30 juillet. Les députés, qui se sont récemment inquiétés d'un possible développement du port du voile intégral en France, ont créé le 1er juillet une mission parlementaire sur le sujet. Or, selon une note de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) citée par Le Monde, 367 femmes sur tout le territoire auraient adopté le voile intégral. Ce chiffre relève de l'observation du service et n'est pas exhaustif, précise le quotidien. Une très grande majorité de ces femmes est âgée de moins de 30 ans et, pour un quart d'entre elles, il s'agit de Françaises converties à l'islam. Tout en se gardant de citer des chiffres, une seconde étude de la Sous-direction à l'information générale (SDIG), également évoquée par Le Monde, va dans le même sens. Ce service, qui regroupe les anciens membres des RG, estime qu'il s'agit d'une "pratique marginale" de la part de femmes plutôt jeunes et souligne lui aussi l'importance des Françaises converties. Le port du voile intégral s'apparente à une volonté de "provoquer la société, voire sa famille", avance le SDIG. Il cite le cas d'une quinzaine de jeunes femmes qui se seraient rendues dans un grand magasin de Marseille sans faire le moindre achat, dans une démarche provocatrice. Le SDIG assure dans sa note que les fondamentalistes mis à part, les musulmans, dans leur grande majorité, rejettent le voile intégral et comparent ses défenseurs à une "secte". La mission d'information de l'Assemblée nationale dispose de six mois pour entendre et recenser les différents points de vue. Elle rendra son rapport à la fin de l'année. Devant le Parlement réuni en Congrès le 22 juin à Versailles, Nicolas Sarkozy avait vivement critiqué le port de la burqa, "un signe d'asservissement", et avait déclaré qu'elle n'était pas "la bienvenue" en France. La branche maghrébine d'Al-Qaïda a menacé de se venger de la France après les propos tenus par le président français. Gérard Bon
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Des sans-papiers exploités par un sous-traitant de la SNCF
Sans parler qu'avec Challancin les salariés sont sûrs d'être sauvés ... mdrmdr
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Aïe...Aïe...Aïe... Un conducteur de train se masturbe aux commandes
Et la souplesse de la Mère Cliquot...
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Des sans-papiers exploités par un sous-traitant de la SNCF
Egalement le communiqué du 16 juillet de VIGIMARK http://www.vigimark.fr/communique_16juillet09.htm 16 JUILLET 2009 COMMUNIQUÉ DE LA DIRECTION Madame, Monsieur, Depuis plusieurs semaines, une des sociétés du groupe, VIGIMARK SURVEILLANCE fait l’objet d’une campagne de presse au principe qu’elle emploierait chez son client SNCF, quelques 150 agents de sécurité cynophile sans papier, payés au noir et dans des conditions inhumaines. Ces informations ont été démenties, et nos conseils sont mandatés pour obtenir réparation du préjudice subit au travers de cette présentation médiatique. VIGIMARK SURVEILLANCE compte bien une vingtaine de salariés, aujourd’hui en situation irrégulière sur le territoire français. Ces personnes n’ont pas été embauchées directement par nos services. Elles nous ont été transférées conformément aux dispositions de l’article L122.12, en juillet 2005 lors de la reprise de marchés SNCF. Préalablement ces personnels pour la plupart d’origine africaine, avaient usé de faux papiers pour se faire embaucher. Ils sont tous titulaires, au travers de leurs fausses identités, d’une autorisation administrative d’exercer notre profession, délivrée par la préfecture. Aujourd’hui et après plusieurs années passées sur le sol français, ils demandent leur régularisation comme la loi leur en laisse la possibilité. VIGIMARK SURVEILLANCE a répondu aux attentes du syndicat Sud Rail en établissant les promesses d’embauche nécessaires à l’étude de leurs dossiers respectifs par les services de l’immigration. A aucun moment notre société n’a participé ou contribué à faire rentrer sur le sol français des personnes en situation irrégulière. La vingtaine de personnes est salariée contractuellement. Des bulletins de paies en bonne et due forme sont établis pour le paiement de leurs salaires. Ils sont employés conformément aux dispositions du code du travail et de la convention collective en vigueur dans notre profession. La justice est semble t-il saisie, nous tiendrons à sa disposition l’ensemble des éléments qui atteste de notre bonne foi et parfaite régularité. La direction de l’entreprise s’estime aujourd’hui abusée d’une part par les salariés qui ont pendant plusieurs années exercé sous une fausse identité et d’autre part par sa cliente la SNCF, qui rejette la responsabilité de cette situation sur ses sous-traitants alors que ses propres services ont failli bien avant 2005 dans le choix et le contrôle des prestataires de sécurité. C’est bien la reprise d’une société en liquidation judiciaire, la énième prestant pour le compte de la SNCF, qui conduit aujourd’hui VIGIMARK SURVEILLANCE à répondre de ces accusations. Le redressement et la mise à niveau de ces marchés SNCF a nécessité, 4 années de travail, une mobilisation accrue de nombreux collaborateurs et engagé un investissement de plusieurs millions d’euros. Sans ce travail et cet investissement, 1000 emplois seraient restés sur les quais de gare en 2005. Nous ne savons pas encore à qui profite un tel lynchage médiatique mais ne serait-ce que pour le travail des quelques 3000 collaborateurs qui officient chaque jour sous l’enseigne VIGIMARK et les clients qui nous font confiance, nous ne pouvons, sous prétexte de protéger l’image de marque de notre client la SNCF, accepter que l’on ternisse la nôtre. Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations les plus sincères. Jean-Luc Lattuca, Président CONTACT PRESSE : MAITRE GARBARINI, tél. 01 46 34 01 12
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Des sans-papiers exploités par un sous-traitant de la SNCF
Demande de sanctions dans l'affaire des vigiles sans papiers Reuters Le ministre de l'Immigration demande des sanctions administratives contre les entreprises qui ont fait travailler une trentaine de maîtres-chiens sans papiers dans des gares parisiennes. Eric Besson avait été saisi fin juin par des syndicats de la situation de ces vigiles embauchés au mépris des conditions habituelles de rémunération et d'horaires. Dans un communiqué, le ministre évoque des "conditions de travail particulièrement inhumaines", certains maîtres-chiens étant "employés de 19h00 à 9h00, 30 jours par mois, et victimes de menaces de la part de leurs employeurs". Il souligne que plusieurs victimes ont décidé de coopérer avec les autorités pour démanteler les filières qui les ont amenées en France "et les ont exploitées de manière indigne". En conséquence, Eric Besson demande l'application de toutes les sanctions prévues par la loi. Il veut en particulier que les dirigeants de ces entreprises, qui sont de nationalité étrangère, se voient retirer leur titre de séjour et notifier une obligation de quitter le territoire français. Le ministre a demandé en outre à la SNCF de vérifier la situation de l'ensemble des agents de sécurité présents dans ses gares, et aux préfectures d'Ile-de-France d'effectuer une campagne de contrôle systématique des agents de sécurité présents dans les gares de la région. Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser
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Aïe...Aïe...Aïe... Un conducteur de train se masturbe aux commandes
Faudra que des durs de durs... cartonrouge
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Actualités Politiques
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L'étoile ferroviaire de Pithiviers (Loiret)
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Aïe...Aïe...Aïe... Un conducteur de train se masturbe aux commandes
Quel CHSCT se penchera sur la vie sexuelle des ADC ?
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Collision entre deux locomotives à Strasbourg
Sur une voie d'un faisceau du triage ou une voie du dépôt ?
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Du projet de la Direction SNCF de port de l'Uniforme par les ADC TGV
Du projet de la Direction SNCF de port de l'Uniforme par les ADC TGV Reçu par e-mail ce matin 28 juillet 2009 Lettre-Pétition d'un ADC à la Direction SNCF Le 6 Juillet 2009 Nous avons appris de manière très discrète votre projet de tenue dédiée ADC TGV et l’existence d’un « groupe miroir » chargé d’avaliser ce projet. Cet état de fait a vraisemblablement pour but de nous mettre devant le fait accompli. Au moment où notre Entreprise annonce une baisse du chiffre d’affaires et traverse une crise difficile, l’annonce d’un plan d’économies est faite. Nous sommes choqués qu’il puisse se trouver de l’argent -et pas une petite somme- pour un projet unilatéral, coûteux, inadapté, inutile et contre productif. En effet, puisque nous sommes les mieux placés pour savoir en quoi consiste notre métier, ce pour quoi nous avons été embauchés, nous émettons les plus vives réserves concernant cette tenue et cette volonté saugrenue de nous mettre en scène. Contrairement à ce que vous affirmez, une majorité d’ADC n’est pas demandeuse. Au moment où des incidents et accidents devraient focaliser votre attention sur notre professionnalisme, notre formation continue (sans cesse amenuisée), un entretien plus minutieux des rames, vous choisissez unilatéralement de disperser nos compétences dans des tâches d’accueil (même si vous semblez aujourd’hui –provisoirement ?- ne plus en parler), de relation ou de visualisation avec les voyageurs. Ce n’est pas notre métier, on ne demande pas aux aiguilleurs de réparer les trains ni aux agents des guichets de retendre les caténaires etc... Notre métier, comme celui d’autres cheminots, requiert rigueur et concentration. Il est incompatible avec le fait d’être distrait par des clients et éventuellement de se retrouver face à des conflits comme le sont aujourd’hui tous les agents en tenue. Notre employeur, dont le rôle est de nous protéger des agressions verbales et physiques, choisit de nous y exposer sans, visiblement, en mesurer toutes les conséquences. Nous ne comprenons pas votre position. Qu’en sera-t-il d’un ADC qui doit se reposer à l’issue de sa mission ou se préparer pour la suivante, s’il prend le départ d’un TGV perturbé par un fait extérieur et commet une faute ? Vous retrancherez-vous derrière le référentiel métier alors que vous en seriez responsable indirectement ? Devrons-nous demander la relève ou faire valoir notre droit de retrait ? Les voyageurs ne se gêneront pas pour nous présenter leur vision des choses lors des retards et situations perturbées. Nous ne sommes pas formés à la communication, ou aux métiers annexes des ASCT et agents des gares comme la psychologie, la psychiatrie parfois, la gestion des conflits, le secourisme. Qu’en sera t’il lors d’une agression sur le trajet gare – foyer ou en coupure puisqu’il nous sera très souvent impossible de nous changer ? Quel statut juridique nous protègera ? Comment serons nous rémunérés lors de ces dommages collatéraux ? Pour faire joli une minute lors de la sortie de la cabine, devrons-nous emporter cinq kilos de vêtements supplémentaires ? Elle est jolie la sacoche à roulette à traîner dans les pistes en gravier !!! Nous avons faits pour la plupart, il y a vingt ans ou plus, le choix réfléchi et délibéré d’un métier sans uniforme, discret et anonyme. Vous croyez pouvoir modifier sans notre aval le contrat qui nous lie en empiétant de manière intolérable sur notre vie privée et notre philosophie ? Car contrairement à ce que vous affirmez, nous ne sommes pas vos ambassadeurs lors des coupures et des RHR ; nous sommes des techniciens. Si nous ne contestons pas le fait que les voyageurs demandent de l’information, nous même ne sommes pas toujours informés des aléas de circulation. Comment retransmettre une information que l’on n’a pas à l’ASCT ? La communication « client » doit se faire par des agents d’accueil ou d’animation qualifiés et formés à ce métier. Le reste n’est qu’illusion, nous ne pouvons apporter que des informations incomplètes ou erronées, c’est donc contreproductif puisque le voyageur a, au final, un mauvais contact et sera le plus souvent déçu, voir conforté dans son à priori. Que devrons-nous faire lorsqu’une avarie nous amènera sur le quai à dépanner dans un temps record si nous devons en même temps répondre aux sollicitations des usagers de manière calme et fiable ? Donner une mauvaise image ou nous tromper dans nos procédures. L’ADC doit pouvoir travailler dans l’ombre et sereinement. Il est maladroit de parler d’équipe alors que tout est fait depuis plusieurs années pour désintégrer les équipes en éclatant l’entreprise en services indépendants, filialisés, poolisés, chacun ayant sa petite marge comptable qui l’empêche de donner la main à l’autre. Nous le vivons au quotidien. Si l’ADC doit être identifiable, c’est uniquement par les autres acteurs de la chaîne de sécurité et les forces de l’ordre ou de secours. Jusqu’à preuve du contraire, l’accessoire de visualisation est siglé SNCF et rempli parfaitement ce rôle. Alors que nous sommes à la pointe de la modernité, nous devons vous rappeler que les ADC n’ont toujours pas de toilettes dans les motrices et doivent, avec des parcours de plus en plus longs, satisfaire à leurs besoins naturels dans des conditions rocambolesques. Le budget prévu à l’équipement en costume de tous les ADC ne pourrait-il pas être utilisé à l’aménagement en sanitaires accessibles le plus proche de notre poste de conduite ? Par ailleurs, les ADC s’acheminent de plus en plus gratuitement sur les lieux de RHR du fait de l’éloignement des foyers ou des hôtels. Nous avons également de plus en plus de mal à prendre nos congés par manque d’effectifs. Les ordinateurs servant à la commande des ADC sont on ne peut plus vétustes… Certains gestionnaires VFE nous proposent de plus en plus souvent sans vergogne des tournées illégales car dérogatoires, accompagnées ou non, de réflexions pour les mêmes raisons d’économies. En améliorant le sort de ceux que vous dénommez avec ironie (ou cynisme ?) « Patrons » notre professionnalisme sortirait gagnant. L’heure de la « Bête Humaine » ou des romans de Vincenot est révolue, les ADC n’ont plus de marge de manœuvre ni en réglementation ni en dépannage. Tout cela ne laisse aucune place à l’improvisation. Notre atout face à nos concurrents c’est notre professionnalisme et notre formation. La stratégie de l’image et de l’apparence a ses limites. Nous n’avons pas besoin de jolis souliers ni de cravate pour être compétents. Tout ceci n’est qu’un dangereux leurre. La compétence n’est pas quelque chose qui s’affiche et qui se décrète mais qui s’acquiert et se renforce par la formation continue. Ce qui doit faire la différence avec nos concurrents, c’est la qualité de notre prestation et notre régularité, elle est incompatible sur le terrain avec des agents formés à tout mais surtout à n’importe quoi. Tout ce qui est aujourd’hui en vogue à recours à cette incompétence. Voulez vous nous amener là ? Les fondements de notre métier ne gagneront rien à être mis à mal. Un petit tour sur les sites d’associations d’usagers ne révèle pas de demande de port d’une tenue pour les ADC, par contre une kyrielle de doléances de leur part nous apparaissent plus cruciales en terme d’image et d’investissement de notre Entreprise. Nous vous demandons donc de reconsidérer ce projet. Nous regrettons de devoir ainsi nous défendre en pointant les incohérences de ce projet auquel vous aurez le plus grand mal à nous faire adhérer par une mascarade de consultations et vous prions de ne pas oublier qu’en cas d’accidents nous avons des comptes à rendre à la justice. Les ADC signataires
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Actualités Politiques
Au fait hier c'était dimanche... Ah le travail dominical... c'est dangereux pour la santé...
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Veolia Environnement met en vente Veolia Cargo
Eurotunnel affiche une perte, veut racheter Veolia Cargo France Vendredi 24 juillet, Reuters r Eurotunnel, l'opérateur du tunnel sous la Manche, annonce être candidat à la reprise des activités de fret ferroviaire de Veolia Cargo en France, une activité qui représentait un chiffre d'affaires d'environ 50 millions d'euros en 2008. "Cette transaction serait la première opération de croissance externe réalisée par Eurotunnel, rendue possible par la réussite de la restructuration financière de 2007", a déclaré le groupe dans un communiqué dans lequel il annonce une perte de huit millions d'euros au premier semestre. "Les conséquences de l'incendie de septembre 2008 affectent particulièrement le transport des camions", explique le groupe qui a vu une baisse de 53% de cette activité au premier semestre par rapport à l'année dernière. Le chiffre d'affaires s'établit à 266 millions d'euros soit une baisse de 28% à taux de change constant par rapport à 2008. Le groupe a aussi annoncé le succès de son offre publique d'échange de bons de souscription d'actions, et y voit "la confiance des investisseurs dans la solidité du modèle économique d'Eurotunnel". "Cette opération de conversion anticipée permet la simplification de la structure du capital et donne une meilleure visibilité au titre, grâce à une capitalisation boursière élevée", a commenté le groupe dans un communiqué. Julien Ponthus, édité par Jean-Michel Bélot
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Le groupe SNCF face à la concurrence et la libéralisation
Le risque zéro n'existe pas... Le risque d'accident n'est donc pas une hypothèse mais une certitude. Et ce quelque soit le niveau des technologies (Informatisation des postes d'aiguillages, nouvelles technologies tant pour les matériels que les infrastructures...) et ce quelque soit le niveau de compétences et d'expériences acquises par les hommes et femmes tant individuellement que collectivement... Il existe des points faibles partout sur le réseau y compris sur la partie la plus moderne. Il existe et existera toujours des faiblesses humaines de tous ordres (accidentelles, involontaires ou volontaires...). Partir du postulat que tout le monde soit convaincu que la sécurité ferroviaire est non seulement une nécessité, une obligation, une exigence donc LA priorité serait une erreur. Le problème c'est de savoir où les dirigeants et décideurs (ceux qui détiennent le pouvoir et l'argent) placent leurs choix et leurs exigences tant sur la stratégie et les objectifs que sur les moyens techniques et humains mis en œuvre justement pour faire reculer au maximum les limites et les frontières qui pourraient nous amener aux accidents voir à la catastrophe... et on le constate régulièrement : les accidents sont des réalités ... et aucune entreprise ferroviaire quelles soient publiques comme la SNCF ou la RATP, ou qu'elles soient privées n'y échappent. La question de la sécurité ferroviaire nous interpelle donc tous tant individuellement que collectivement y compris au niveau des choix stratégiques et financiers des entreprises et bien au delà (collectivités locales, Etat, commission européenne, patronat, actionnaires, ...)... Il est donc tout à fait juste que soient rappelées à ces décideurs les réalités vécues sur le terrain au quotidien.
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Un train de marchandises déraille à Bonson
incendie or not incendie Ah ...la fiabilité des sources...
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Le groupe SNCF face à la concurrence et la libéralisation
On peut aussi procéder à une petite recherche dans les articles du Figaro sur la SNCF J'espère que le lien fonctionnera en direct. http://recherche.lefigaro.fr/recherche/rec...p;go=Rechercher
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Le groupe SNCF face à la concurrence et la libéralisation
C'est un article du Figaro qui est présenté en début de post et il serait bon d'éviter les raccourcis. Je suppose donc une "enquête journalistique". Avec un journaliste Bastien Hugues qui semble avoir repris une dépêche de presse AP A noter que le journaliste "cite" non seulement la CGT mais aussi la CFTC (mais rien ne dit qu'il a eu un contact direct et donc qu'il a procédé à une vérification des sources) ainsi que RFF et l'EPSF le PS, les Verts, NPA et le ministre Bussereau Texte complet de l'article http://www.lefigaro.fr/societes/2009/07/25...-accidents-.php SNCF : la concurrence fait craindre plus d'accidents Bastien Hugues (lefigaro.fr) avec AP 25/07/2009 Pour être compétitifs, les opérateurs ferroviaires privés rognent sur la sécurité, affirment les syndicats, ce qui pourrait augmenter le nombre d'accidents de trains. Pour être compétitifs, les opérateurs ferroviaires privés rognent sur la sécurité, affirment les syndicats, ce qui pourrait augmenter le nombre d'accidents de trains. Après deux accidents récents et plusieurs incidents depuis l'an dernier, la CGT et la CFTC redoutent que la progression des opérateurs privés dans le transport de marchandises ne provoque davantage d'accidents ferroviaires. La libéralisation du transport ferroviaire provoque-t-elle davantage d'accidents ? Oui, répond la CGT-cheminots, qui affirme avoir observé «une recrudescence d'incidents et d'accidents» mettant «en cause les opérateurs ferroviaires privés chez qui la réduction des coûts et l'abaissement des conditions sociales sont la règle». De son côté, la CFTC se demande aussi «comment les opérateurs privés peuvent être compétitifs sans rogner sur la sécurité ?». Pour soutenir leur affirmation, les syndicats s'appuient sur des exemples récents. Le 20 mai, le trafic entre Paris et Bordeaux se retrouvait paralysé après le choc près d'Angoulême entre un train de fret SNCF et un train d'Euro Cargo Rail (ECR), dont le chargement de tractopelles se serait déplacé. Le week-end dernier, un autre train ECR déraillait, arrachant 350 mètres de voies à Forbach (Moselle), interrompant les circulations fret, TER et TGV. Selon la CGT, un train Colas Rail a fait de même dans la Marne, «avec arrachement de la voie et des caténaires». En 2008, le syndicat majoritaire de la SNCF avait déjà relevé une série de franchissements de feux rouges par d'autres opérateurs privés de fret, et surtout le «train fou» de Veolia qui avait traversé en avril la gare de Montauban à 60-70 km/h en raison de l'absence d'un frein. Le trafic international de voyageurs libéralisé à partir de 2010 Depuis l'ouverture du fret ferroviaire à la concurrence en 2006, les opérateurs privés ont vu leur part de marché face à la SNCF augmenter fortement, atteignant 12% en mai 2009. Le trafic international de voyageurs sera à son tour ouvert à la concurrence en 2010, avant le trafic national. Après l'accident près d'Angoulême en mai, PS, Verts et NPA avaient pointé les effets de la libéralisation du transport ferroviaire. «La privatisation et les incidents, ça n'a rien à voir !», avait alors rétorqué le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau. Une affirmation corroborée par Réseau ferré de France (RFF), propriétaire des voies, et l'Etablissement public de sécurité ferroviaire (EPSF), le gendarme du rail, selon qui le nombre d'accidents - stable - n'est pas plus fort «du côté des nouvelles entreprises ferroviaires» que de la SNCF.