Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Taxe carbone
Salut Mon Ami... bigbisous
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Actualités Politiques
Nicolas Sarkozy : victime d'un pirate du web ! Google s'excuse ! Dontmiss C'est la deuxième fois que cela lui arrive ! Un informaticien très malin a piégé Nicolas Sarkozy. En tapant "trou du cul du Web", c'est le site du président, sarkozy.fr, qui remontait ! Google a aussitôt envoyé ce communiqué : "Nous n'excusons pas cette pratique, ni aucune autre pratique visant à altérer l'intégrité de nos résultats de recherche, mais nous ne sommes pas plus enthousiasmés par l'idée de modifier manuellement nos résultats pour empêcher de telles informations d'apparaitre. Cette pratique malveillante du "Google Bombing" est peut-être divertissante pour certains, mais en aucun cas leur démarche n'affecte la qualité générale de notre moteur de recherche, dont l'impartialité reste, comme toujours, au centre de notre mission". http://www.20minutes.fr/article/339695/Fra...-cul-du-web.php
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Taxe carbone
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photo numerique
Coton tige et un petit coup de soufflette... Je fais ça depuis 5 ans avec douceur et aucun problème
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Caisse de Prévoyance
Et comme je suis sympa : http://www.cheminots.net/forum/index.php?a...st&id=13641 iul doit y avoir un autre fil de discussion sur le sujet
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Caisse de Prévoyance
Fais donc une petite recherche sur le forum, le sujet y est traité...
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Nombre maximum de dimanches travaillés consécutivement.
Tous les cadres ne travaillent pas en service de journée avec repos des samedis dimanches ... il y en a qui travaillent en 3x8 service décalé et même en réserve (postes d'aiguillages, CRO, CNO, régulation sous-sta...) Ce sont en général les cadres ayant des responsabilités d'astreinte qui ne sont pas soumis à tableau de service après selon les établissements, ils sont plus ou moins libres sur les horaires de service
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Nombre maximum de dimanches travaillés consécutivement.
Je te conseille vraiment la lecture de cet article 38 car il dit aussi que l'agent de réserve doit recevoir sa programmation de repos par quinzaine et ...son utilisation avant le début de la quinzaine... Sur mon Établissement nous avions négocié l'envoi à l'agent de réserve au 20 du mois M de la programmation de tous les RP du mois M+1 plutôt que cette histoire par quinzaine qui n'aurait vraiment pas arrangé le service... (Allez programmer tous les agents de réserve avant le début de la quinzaine avec tous les Repos et journées de travail...) (sachant qu'il pouvait y avoir modification de la programmation de l'agent de réserve dans le courant du mois M mais dans la réalité, les programmations de Repos étaient respectées à 98%... comme quoi...) Je rappelle que cette réglementation du travail date du 1er janvier 2000 (réglementation du travail issue de l'accord 35h)
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Actualités Politiques
La grand-mère du Gers, figure martyre de l'Hadopi Que risque-t-elle vraiment si son petit fils télécharge? Il avait fallu l'image du plombier polonais lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Piotr_Adamski pour que l'opinion publique s'inquiète du projet de directive Bolkenstein. Pour personnaliser un débat très technique, la loi Hadopi a trouvé, elle aussi, sa figure mythique: la grand-mère du Gers. Reconstituons son histoire à partir d'extraits des discours à l'Assemblée du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, et du député communiste apparenté, Jean-Pierre Brard. Dans sa maison du Gers, la grand-mère de 85 ans* accueille son petit-fils de 19 ans de Montceau-les-Mines pour les vacances. Mais la nuit, en douce, le petit-fils télécharge des fichiers musicaux sur l'ordinateur familial. L'Hadopi, fâchée, envoie un mail d'avertissement que mamie n'ouvrira jamais, faute de consulter sa messagerie. Quelques mois plus tard, alors que le jeune est rentré depuis bien longtemps chez ses parents, voilà que la grand-mère reçoit une lettre recommandée lui enjoignant de ne plus télécharger de fichiers illégaux sous peine de coupure de la connexion Internet. Mamie est bien désemparée. Le risque d'erreur judiciaire est un des grands enjeux de l'examen de l'«Hadopi 2», le volet pénal de la loi anti-téléchargement illégal, qui a commencé mardi 22 juillet à l'Assemblée Nationale. Dans son discours introductif, Frédéric Mitterrand avait promis que l'Hadopi serait gentille avec mamie: «Nous connaissons tous l'histoire de la grand-mère qui arrose les coquelicots de son petit-fils en les trouvant très beaux, sans savoir qu'il s'agit de plants de haschich. On ne fera pas de mal à la grand-mère!». Mais, se cantonant, comme à son habitude, aux grands principes, le ministre n'a pas précisé les modalités de cette clémence. Pour y voir plus clair, il faut savoir qu'avec «Hadopi 2», la grand-mère va pouvoir être attaquée pour deux délits différents. 1. Pour «contrefaçon». Et là, mamie risque gros puisqu'en théorie, le délit est passible de 3 ans d'emprisonnement, de 300.000 euros d'amende, du paiement de dommages et intérêts et d'une suspension de la connexion Internet jusqu'à un an. Pour se défendre, notre aînée du Gers pourra éventuellement recourir à la délation: «Hadopi met la grand-mère dans le dilemme de devoir dénoncer son petit-fils pour s'en tirer, ce qui est une première en droit français», estime Martine Billard, députée apparentée Verts. En l'absence de preuves probantes de téléchargement (le tribunal de Guingamp a estimé le 23 février dernier que l'adresse IP ne pouvait être une preuve de culpabilité), on peut néanmoins penser qu'il y aura de nombreuses relaxes. A moins que le juge du Gers n'ordonne une perquisition pour aller saisir le disque dur de mamie — une hypothèse très peu probable. 2. Pour «négligence caractérisée». Devant la grande difficulté à prouver la réalité d'un téléchargement illégal, le Sénat a introduit dans la loi ce délit. Sanctionnée de 1500 euros d'amende et d'une suspension d'Internet d'un mois, la «négligence caractérisée» condamne le fait de ne pas avoir protégé sa connexion du téléchargement malgré une première injonction de l'Hadopi. «Ce sera le délit typique de la grand-mère... et de tout le monde en fait», déclare Martine Billard. Déjà que la grande majorité des internautes aura bien du mal à installer les logiciels recommandés par l'Hadopi, pas sûr que la grand-mère ait la présence d'esprit de taper «j'arrive pas à m'installer mon logiciel Hadopi» sur Google pour s'en sortir. Heureusement pour elle, le Conseil constitutionnel devrait censurer cette partie du texte, expliquant, comme lors de sa première décision, qu'il pèse une présomption de culpabilité sur l'internaute: si on télécharge sur votre adresse IP, c'est DONC que vous n'avez pas protégé votre connexion. Mamie pourra aussi espérer que l'Hadopi (qui prépare les dossiers) ou le juge (qui les instruit), prenant connaissance de son âge avancé, feront preuve de clémence et classeront l'affaire. Mais même chez les plus fervents défenseurs de la loi à l'UMP, on reconnaît en privé qu'il y aura forcément des dommages collatéraux. Et donc des mamies sacrifiées. Lors de l'examen de l'«Hadopi 1», le député Brard pleurait déjà sur le sort de la grand-mère (dans sa variante Massif Central): «Songez à la vieille dame isolée dans son village du Massif Central et qui, aujourd'hui, peut communiquer avec ses petits-enfants. Vous voulez les priver en ne reconnaissant pas cette faculté comme étant un droit fondamental». Depuis, le Conseil constitutionnel a fait d'Internet une forme de droit fondamental, mais la suspension de la connexion est restée une priorité pour le gouvernement. Cette figure de la grand-mère fait partie du grand théâtre parlementaire, où il faut bien renouveler ses comparaisons et métaphores à chaque prise de parole. La sagesse des juges devrait permettre d'éviter de trop nombreuses erreurs. Mais l'exemple a le mérite de pointer les risques d'une justice de masse, comme veut l'imposer le gouvernement qui a besoin d'un grand nombre de condamnations pour dissuader les téléchargeurs. La figure de la grand-mère du Gers est aussi la métaphore de l'impréparation d'un texte écrit à la va-vite: Michèle Alliot-Marie et Frédéric Mitterrand sont bien incapables de certifier qu'elle s'en tirera blanchie. Après Anne-Sophie, 27 ans, figure martyre des grands procès antipirates qui avait fait la une de Télérama en 2005, verra-t-on Eugénie, 85 ans, faire la couverture des Inrockuptibles? lien : http://levraijournaldufaux.m6blog.fr/ar ... irate.html Vincent Glad * Avertissement aux esprits chagrins: toutes les grand-mères ne sont pas incompétentes sur le web, comme le souligne Martine Billard: «C'est un peu facile de partir du principe que les personnes âgées ne savent pas se servir d'Internet»
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Nombre maximum de dimanches travaillés consécutivement.
Des précisions pour les agents de conduite sur le sujet ?
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Taxe carbone
La taxe carbone attaquée avant même sa présentation officielle Reuters Laure Bretton Le président de la commission sur la "contribution climat-énergie", Michel Rocard, a recommandé mercredi de taxer l'utilisation des énergies fossiles pour modifier les comportements des Français. Mais les modalités d'application envisagées par l'ancien Premier ministre socialiste, qui espère voir la mesure entrer en vigueur en 2010, ont été vivement critiquées avant même la présentation officielle du rapport, attendue dans les jours à venir. Selon des extraits de la version provisoire du rapport de Michel Rocard, publiés dans Les Echos de mercredi, cette taxe carbone à la française s'élèverait à 32 euros pour chaque tonne de CO2 émise dès l'an prochain pour atteindre 100 euros en 2030 et ne serait que partiellement compensée. Appliquée aux carburants, cette "contribution climat-énergie" (CCE) reviendrait à 7,7 centimes supplémentaires par litre de sans plomb et 8,5 centimes pour le gazole. "En gros, il s'agit de ça", a confirmé Michel Rocard sur France Inter, évoquant un coût de 300 euros par an pour un peu plus de la moitié des ménages français. "Il faut un signal qui change les comportements, l'objet n'est pas de martyriser les gens dans leur pouvoir d'achat", a-t-il expliqué. Tout en rappelant que le rapport de sa commission n'était qu'un avis, il a espéré qu'il serait suivi par le gouvernement et que la CCE serait intégrée à la loi de finances pour 2010. Le ministre de l'Industrie, Christian Estrosi, a reconnu que l'instauration d'une taxe carbone était inéluctable. Mais, a-t-il expliqué lors de l'émission Questions d'info sur LCP-Assemblée nationale et France Info, "nous sommes dans une situation où il faut le moins possible toucher au pouvoir d'achat et à la consommation des ménages" en pleine crise économique. "HOLD-UP FISCAL" A peine connues, les grandes lignes du rapport Rocard ont subi les foudres du réseau "Sortir du nucléaire", qui conteste une taxe ne s'attaquant pas aux pollutions radioactives et chimiques de l'industrie atomique. "Michel Rocard répond à l'attente principale de Nicolas Sarkozy sur ce dossier, c'est-à-dire favoriser l'industrie nucléaire", dit un communiqué du collectif d'associations anti-nucléaire. Selon Les Echos, l'électricité produite par des centrales à charbon, déjà soumise à des quotas européens d'émissions de gaz à effet de serre, ne sera pas visée par la taxe, qui rapporterait près de 8,3 milliards d'euros l'an prochain, dont 4,3 milliards à la charge des ménages. La secrétaire d'Etat à l'Ecologie Valérie Létard a recommandé la prudence quant à une éventuelle extension de la taxe à l'électricité. "Cela risque de générer une fracture sociale pour les plus modestes", s'est-elle alarmée. Le quotidien économique évoque des compensations "pour les ménages les plus modestes ou les secteurs les plus touchés". Elles ne seraient que partielles, "le plus forfaitaires possible" et transitoires. La compensation pourrait être "basée sur l'éloignement" afin de ne pas pénaliser "les ruraux et les banlieusards qui utilisent beaucoup plus leur voiture", a avancé l'ancien Premier ministre. Pour le Parti socialiste, "les premières conclusions du comité d'experts montrent malheureusement que les ménages seraient les principaux contributeurs". Laurence Rossignol, secrétaire nationale à l'environnement, y oppose les propositions du PS pour une "contribution climat énergie universelle" accompagnée d'aides directes pour les ménages modestes et d'un "chèque transport" pour les habitants et les entreprises des zones rurales. L'UFC-Que Choisir parle de son côté d'un "hold-up fiscal" si les pistes de Michel Rocard étaient entérinées en l'état. L'association de consommateurs réclame dans un communiqué l'instauration d'un "chèque vert où l'ensemble des recettes est restitué aux consommateurs" les plus vertueux. Pour Yannick Jadot, nouveau député européen Vert, telle qu'elle est pour l'instant envisagée, la CCE est "socialement et fiscalement injuste en plus d'être écologiquement inefficace". Édité par Yves Clarisse
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Taxe carbone
Après la Roc-Taxe (aux environs de 1985)... et oui la CSG c'était déjà Rocard...premier ministre socialiste de Mitterand Michel Rocard propose une taxe carbone de 32 euros par tonne de CO2 émise AP Michel Rocard plaide pour une taxe carbone sur les énergies "fossiles" consistant en une contribution de 32 euros par tonne de CO2 émise dès janvier 2010, selon "Les Echos" de mercredi, une information confirmée à demi-mot par l'ancien Premier ministre, président de la conférence d'experts sur la contribution climat-énergie, qui doit remettre vendredi ses conclusions au gouvernement. "En gros, il s'agit de ça", mais "c'est un avis: le gouvernement reste maître de sa décision, qu'il prendra au moment de la rédaction du projet de loi de finances 2010", a précisé Michel Rocard sur France-Inter. "On va taxer un certain nombre de comportements, principalement celui qui consiste à utiliser des énergies d'origine fossile -charbon, gaz, pétrole- dont le fait de les brûler produit du gaz à effet de serre". Si "c'est un impôt nouveau un peu particulier, il ne faut pas que cette ponction du pouvoir d'achat soit trop terrible" pour les ménages, a assuré l'ancien Premier ministre. "Il est largement prévu que nous devons compenser ça, mais en terme de pouvoir d'achat, de manière à laisser intact le signal prix, l'incitation aux gens à se déplacer moins, à avoir petit à petit des voitures électriques, à mettre des doubles vitres pour faire de l'économie sur le chauffage, chauffer à 19 degrés", a-t-il précisé. "Ces compensations sont fort partielles", remarque l'UFC-Que Choisir qui dénonce mercredi dans un communiqué un "hold-up fiscal" consistant à "taxer les consommateurs pour baisser les coûts des entreprises". "Cette taxe carbone n'est rien d'autre qu'une mesure de TVA sociale déguisée sous un apparat écologique", considère l'association en indiquant qu'elle "combattra ces propositions qui, si elles étaient adoptées par le gouvernement, constitueraient le pire des scénarios pour le pouvoir d'achat des consommateurs". Appliquée aux carburants, la mesure reviendrait à partir de l'an prochain à 7,7 centimes supplémentaires par litre de sans-plomb et à 8,5 centimes de plus par litre de gazole, selon "Les Echos". D'après le quotidien, la facture devrait dépasser 300 euros par an, mais "pour un peu plus de la moitié des ménages", a précisé l'ancien Premier ministre. "Ce n'est pas une charge destinée à améliorer le financement de l'Etat", a souligné Michel Rocard, assurant qu'il s'agissait de "modifier nos comportements". Pour l'UFC-Que Choisir, cependant, "il ne fait nul doute que plus la taxe augmentera, car c'est sa vocation, plus l'Etat captera la recette fiscale au détriment des consommateurs". L'association accuse la commission Rocard de vouloir "utiliser la recette fiscale pour financer la suppression de la taxe professionnelle". L'association de défense des consommateurs préférerait "le dispositif du chèque vert où l'ensemble des recettes fiscales est restitué aux consommateurs". De son côté, le réseau Sortir du nucléaire dénonce un projet qui "occulte les pollutions du nucléaire". S'il est appliqué, il "empêchera la France d'atteindre son objectif de 23% d'énergies renouvelables en 2020", a-t-il souligné dans un communiqué, estimant que le gouvernement, "contraint par l'opinion publique d'agir en faveur de l'environnement, utilise tous les subterfuges pour protéger le nucléaire qui est pourtant une des énergies les plus polluantes". Interrogé sur le sujet lors du compte-rendu du Conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Luc Chatel n'a pas confirmé la proposition de Michel Rocard. L'ancien Premier ministre "doit remettre ses conclusions vendredi" à Jean-Louis Borloo (Ecologie) et Christine Lagarde (Economie). "Attendons les propositions officielles de Michel Rocard pour réagir", a-t-il conclu. AP
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Nombre maximum de dimanches travaillés consécutivement.
RH0077 Article 38 &5 Agents de réserve des Etablissements exploitation (les EEX : commerciaux voyageurs, transports- mouvements, manoeuvre...) et autres entités opérationnelles (définis à l'article 25 - les Postes de commandements CRO, CNO par exemple, la surveillance générale : personnels souvent en 3x8) Au cadre d'organisation de l'établissement (l'organigramme) sont définis les emplois fixes et les emplois de rouleurs affectés dans les "roulements de repos" et les emplois de réserve A un emploi correspond un agent qui y est affecté. Les Tableaux de service et roulements de repos sont obligatoirement affichés dans les locaux de travail un agent en roulement doit recevoir régulièrement le déroulé de son roulement (document informatisé à demander à la CPS) -journées de travail et jours de Repos L'agent de réserve doit recevoir avant le 20 du mois M son utilisation et les Repos Périodiques du mois M+1 réglementairement au minimum deux RP doubles dont 1 tombant un SA/DI Notons également l'existence d'un alinéa de l'article 38 &5 qui dit que le nombre de jours de repos accordé sur un semestre civil ne doit pas être inférieur à 56 Par Repos sur mon établissement on prenait en compte uniquement les RP et les RU
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Expulsion de la CSP75 de la bourse du travail
Pas de prison pour celle qui avait hébergé un clandestin Elle Claudine Louis était poursuivie pour avoir hébergé pendant plusieurs mois un jeune Afghan en situation irrégulière. Le verdict est tombé hier et la justice a triomphé. Accueillie par un tonnerre d'applaudissement en sortant du palais de justice de Foix, elle a tenté d'expliquer sa démarche. "C'est mon cœur qui a parlé. Ce n'est pas un acte militant" s'est-elle défendue, selon Ladepeche.fr. Le procureur de la République du tribunal de Foix a tranché : une condamnation avec dispense de peine. Ni amende, ni prison. Claudine Louis avait les larmes aux yeux en sortant du tribunal. Soulagement et émotion en réaction à l'accueil chaleureux de la presse nationale venue louer son acte de générosité. Son procès soulève un problème : peut-on poursuivre une personne qui héberge à sans-papiers ? Abriter un mineur sans-papiers peut-il être considéré comme un délit ? Le "coup de force" de Claudine Louis va entrainer le vote d'une loi qui sera délibérée en septembre. J.DLR. 22/07/2009
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Nombre maximum de dimanches travaillés consécutivement.
Attention à ne pas confondre deux notions : la première notion: les Repos Périodiques placés sur un samedi et dimanche consécutifs (minimum12 RP du SA/Di pour les sédentaires au titre 2) En roulement 4x2 par exemple : il peut donc y avoir 6 ou 7 Dimanches consécutifs travaillés avant d'avoir un RP du SA/DI mais logiquement il devrait y en avoir au moins deux successifs pour respecter les 12 annuels. normalement les 12 RP du SA/DI sont (donc doivent être) intégrés dans le roulement. A noter que pour les agents de réserve exploitation, là le règlement est plus clair : un RP double du SA/Di PAR MOIS minimum. et la deuxième notion d'absence du dimanche (22 par an minimum pour le titre 2 sédentaires) pour repos de toute nature (RP - RU - RQ - RCF etc...) ou pour congé accolés chacun à un autre jour de repos ou de congé (donc samedi OU lundi) et répartis aussi uniformément que possible sur l'ensemble de l'année l'année donc les dimanches de la période de congés sont décomptés comme absence du dimanche par exemple samedi en congé, dimanche en congé = 1 absence du dimanche Un roulement annuel théorique n'est pas obligatoirement monté avec les 22 absences du DI puisqu'il y a la possibilité de décompter d'autres types d'absence comme absence du DI (RCFête, congés...)
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Affaire Jacques ALLENOU
Reçu le 21 juillet 2009 COMMUNIQUÉ DOSSIER JACQUES ALLENOU Le rendu du jugement des prudhommes de Paris, qui sest tenu le 09 juin 2009 en présence de plus de 250 cheminots, est intervenu le 15 juillet 2009 : il y a départage. Ce départage aura lieu le 13 avril 2010 à 9h00.
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Expulsion de la CSP75 de la bourse du travail
Ce qui est étonnant c'est la quasi absence d'informations émanant directement de la CSP75 et de la CSNP ... Si quelqu'un ...
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Expulsion de la CSP75 de la bourse du travail
seul : sûrement pas...mais on ne vire pas les gros bras juste le cerveau (enfin le p'tit pois)... Translucides...transparentes... Des vrais miroirs... J'ai pas dit mouroirs...bien que...
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Actualités Politiques
La Cour des Comptes stigmatise le sondeur «fantôme» de l'Elysée La Rédaction de Mediapart MEDIAPART.FR- 1,5 million d'euros ! Dans son rapport sur la gestion du budget de l'Elysée, rendu public jeudi 16 juillet, la Cour des Comptes pointe l'existence d'un étrange contrat. Il a été signé le 1er juin 2007, entre la présidence de la République et un cabinet d'études, chargé de fournir sondages privés et conseils stratégiques. En 2008, ce dernier a facturé à l'Elysée des prestations dont l'opportunité laissait à désirer. Très peu d'éléments permettaient «d'attester la réalité du service fait», écrit la Cour, qui dénonce des «errements». Sans toutefois livrer le nom de la société intéressée. D'après nos informations, ce cabinet «fantôme» ne serait autre que Publifact, entreprise pilotée en 2008 par Patrick Buisson, stratège de l'ombre du chef de l'Etat et ancien directeur du journal d'extrême droite Minute. Montant du contrat passé avec l'Elysée: 1,5 million d'euros.
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Accident avec un.... goéland
C'est pas aux Goélands Ouessantins que ça arriverait ce genre d'accident... controleursncf
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Train éolien
Faut dire que le chemin de fer fonctionne souvent à la voile...
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Expulsion de la CSP75 de la bourse du travail
J'ai lu quelque part (Libération je crois) que le responsable du service d'ordre de la CGT aurait été remercié. Par contre impossible de trouver sur les sites de la CGT ou sa presse des infos sur le sujet... Un manque de transparence regrettable.
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Train éolien
Désolé...il n'y a pas de train avant ...
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Expulsion de la CSP75 de la bourse du travail
Les sans-papiers parisiens ont trouvé un nouveau toit Reuters Expulsés fin juin par la CGT de la Bourse du travail à Paris, plusieurs centaines de sans-papiers ont trouvé refuge durant le week-end dans un nouveau local parisien d'où ils veulent populariser leur mouvement. Ils bénéficient désormais du soutien de nombreuses organisations, dont le NPA d'Olivier Besancenot, Attac, Solidaires et les Verts, à condition d'élargir leur demande de régularisation à tous les sans-papiers. Ils veulent donc faire de leur nouveau toit, un local désaffecté de 4.800 mètres carrés situé rue Baudelique, dans le XVIIIe arrondissement, un "ministère de la régularisation de tous les sans-papiers". Leur avenir dans ce bâtiment reste toutefois incertain. "Nous avons appris que le propriétaire, la Caisse primaire d'assurance maladie, voulait faire un référé pour demander notre expulsion", a dit lundi à Reuters Sissoko Anzoumane, porte-parole de la Coordination des sans-papiers 75 (CSP 75). Les sans-papiers réclament désormais 1.200 régularisations, alors que les autorités s'étaient engagées à examiner "avec bienveillance" 300 dossiers s'ils quittaient le trottoir où ils campaient depuis leur expulsion le 24 juin. "On a libéré le trottoir comme ils le demandaient mais nous n'avons pas promis d'arrêter le mouvement. Depuis l'occupation de l'église Saint-Bernard, en 1996, la lutte du CSP 75 n'a jamais cessé", a précisé Sissoko Anzoumane. "De toute façon, l'examen de 300 dossiers 'avec bienveillance', ça ne veut rien dire", a-t-il ajouté. INTERVENTION DE LA MAIRIE ? L'intervention manu militari, le 24 juin, du service d'ordre de la CGT pour libérer son bâtiment de la Bourse du travail, dans le IIIe arrondissement, avait suscité la réprobation d'associations humanitaires. Le syndicat a fait valoir que l'occupation de son local s'éternisait depuis 14 mois et qu'elle était d'autant plus incompréhensible que la CGT s'était fortement mobilisée à l'époque en faveur des travailleurs sans-papiers. Depuis l'intervention du syndicat, près de 400 personnes, dont des femmes et enfants, campaient sur le trottoir du boulevard du Temple, non loin de la Bourse du travail, dans des conditions jugées "inhumaines" par les organisations de soutien. La section CGT du nettoiement soutient désormais le mouvement des sans-papiers, dont l'action dans de nouveaux locaux ne cause plus de préjudice à la centrale syndicale. Décision a donc été prise de soutenir pendant le week-end l'occupation de locaux de la rue Baudelique. Aussitôt après l'opération, un vaste dispositif policier - aujourd'hui levé - avait été déployé autour du bâtiment et un sans-papier arrêté et placé en garde à vue pour son rôle lors de l'occupation, qui s'est heurtée à la résistance de vigiles. "Il a été libéré dimanche soir mais sera jugé en septembre", a précisé Sissoko Anzoumane. Sur place, les sans-papiers ont trouvé de meilleures conditions qu'à la Bourse du travail avec des points d'eau et des sanitaires. La municipalité parisienne ayant préempté les locaux occupés, les associations de soutien voudraient qu'elle confirme son achat et intervienne pour qu'il n'y ait pas d'expulsion par les forces de l'ordre. Gérard Bon, édité par Yves Clarisse
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Actualités Politiques
Libération 18 juillet http://www.liberation.fr/politiques/010158...ler-de-l-elysee Les sondages très controversés du conseiller de l’Elysée Présidence. Le cabinet épinglé par la Cour des comptes est dirigé par un proche de Sarkozy. LILIAN ALEMAGNA et ANTOINE GUIRAL Secret-défense ! En dépit d’une «volonté de transparence» revendiquée, l’Elysée refuse de révéler le nom du cabinet épinglé jeudi par le rapport de la Cour des comptes sur le budget de la présidence, pour avoir notamment facturé au prix fort - 392 288 euros - une quinzaine de sondages réalisés par OpinionWay et publiés par le Figaro et LCI (Libération de vendredi). Le cabinet en question s’appelle Publifact, comme l’a confirmé vendredi à Libération un acteur majeur du dossier. Il s’agit d’une toute petite structure dirigée par Patrick Buisson, patron de la chaîne Histoire, mais surtout conseiller politique de l’ombre de Nicolas Sarkozy. Personnage très influent auprès du chef de l’Etat, cet ancien patron du journal d’extrême droite Minute et journaliste à LCI a facturé en 2008, via son cabinet, pour 10 000 euros d’honoraires mensuels à l’Elysée le prix de ses conseils. S’ajoutent à cette somme 130 autres factures qui, honoraires inclus, atteignent la somme de 1,5 million d’euros pour la seule année 2008, comme le relève le rapport de la Cour des comptes. Fantasmagorie. Le cabinet Publifact est hébergé à Paris, rue des Mathurins, dans le VIIIe arrondissement. Lorsqu’on se rend sur place, pas de bureau propre à Publifact mais une société de domiciliation, ABC LIV. Elle se contente de transmettre le courrier à Publifact, seul moyen officiel de contacter le cabinet d’études. Joint au téléphone par Libération, Patrick Buisson ne souhaite ni s’exprimer ni se justifier ou apporter des précisions sur la nature des études qu’il a fournies au Château. Pour lui, la seule vraie nouveauté est que Nicolas Sarkozy a choisi, contrairement à ses prédécesseurs, de jouer la transparence. Le reste n’est à ses yeux que complot et fantasmagorie dès lors que l’on parle de sondages et donc de possible manipulation de l’opinion. Formellement, nul ne peut reprocher à l’Elysée de commander des études et des sondages à des cabinets privés, fussent-ils amis ou très proches du pouvoir. Dans le cas du cabinet de Patrick Buisson, ce genre de renvoi d’ascenseur est détestable, mais il est pratiqué par tous les pouvoirs et est inattaquable juridiquement. «C’est une habitude de la monarchie présidentielle, se défend le directeur de l’institut de sondages OpinionWay, Hugues Cazenave. Sous Mitterrand et Chirac, Ipsos n’a jamais été en concurrence avec d’autres instituts !» ajoute cet ancien d’Ipsos. Le minimum serait alors pour le cabinet de fournir un travail qui ait une vraie valeur. Or, selon la Cour des comptes, «sur les 35 études diverses facturées en 2008, au moins 15 d’entre elles avaient également fait l’objet de publications dans la presse». En clair, l’Elysée a payé pour des études que l’on trouvait gratuitement dans les journaux. Dans un communiqué publié hier, OpinionWay souligne que «la prestation régulière [le Politoscope, ndlr] fait l’objet depuis 2007 d’une facturation par OpinionWay à LCI et le Figaro, et seulement à ces deux médias». Pour Hughes Cazenave, la Cour des comptes aurait confondu deux choses : les enquêtes Politoscope payées et publiées par LCI et le Figaro et «une autre prestation» qui «correspond à des questions confidentielles posées» dans le cadre de ces mêmes enquêtes. Explication donnée par le directeur d’OpinionWay : «Nous commercialisons les résultats détaillés de ces enquêtes auprès d’acteurs politiques qui le souhaitent. Comme d’autres instituts de sondages.» Une explication qui ne convainc pas un directeur d’institut, pour qui ces ventilations des études sont systématiquement et gratuitement fournies aux commanditaires. Pourquoi l’Elysée a-t-il besoin d’un intermédiaire et doit faire appel à un tel cabinet d’études au lieu de s’adresser directement à OpinionWay ? Les cabinets de ce genre «ne proposent pas la même prestation, explique Cazenave. Ils ajoutent une valeur de conseil que nous ne proposons pas. Si l’Elysée paie cela, c’est que ça doit l’intéresser.» Il s’interroge au passage sur le fait que son institut est le seul à avoir été nommé par l’enquête de la Cour des comptes alors qu’au paragraphe suivant «on parle de 35 enquêtes et aucun autre institut n’est cité» : «Je me demande s’il n’y a pas une petite affaire politique là derrière.» Petit rappel : OpinionWay avait été au cœur d’une polémique durant l’élection présidentielle. Ségolène Royal lui reprochant de réaliser des enquêtes extrêmement favorables à son adversaire, Nicolas Sarkozy. Confiance. Vendredi, la société des rédacteurs du Figaro a exprimé sa «consternation» et réclamé à la direction du journal de «mettre immédiatement un terme» à la publication de sondages OpinionWay qui «sont commandités» par «la présidence de la République». Le directeur du Figaro, Etienne Mougeotte, a de son côté déclaré maintenir sa confiance à cet institut. Selon lui, il se «trouve aujourd’hui au cœur d’une campagne politique». Le patron du Figaro a par ailleurs «formellement» démenti tout financement par l’Elysée. Car, en creux, la Cour des comptes semble également déplorer que l’Elysée ait payé à l’institut OpinionWay des sondages lui étant favorables ou servant ses intérêts. «Ce n’est pas l’Elysée qui fait les questions», se défend Cazenave. Au Parti socialiste, la députée et porte-parole de Ségolène Royal, Delphine Batho a demandé de rendre publique «la liste des 15 sondages payés par la présidence de la République» et a dénoncé un «système d’instrumentalisation de l’opinion et de connivence entre le pouvoir, un institut de sondage et certains médias».