Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Actualités Politiques
de la pub, du marketing, du mercantilisme... la com d'aujourd'hui fait les profits de demain et les licenciements d'après-demain...
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L'EIF, à quoi ça sert ?
La Formation Professionnelle comme la Médecine du Travail sont là pour adapter l'agent aux besoins de l'entreprise et non l'inverse... et ça fait un moment que ça dure... (une bonne cinquantaine d'années...) quand aux promesses (de l'EIF par exemple...) : " ça n'engage que ceux qui y croient..."
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Le Bar de la Rotonde
Un site révèle combien gagnent vos collègues http://eco.rue89.com/2009/05/04/un-site-re...t-vos-collegues
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Actualités Politiques
Une raison supplémentaire pour voter anti-sarko le 7 juin prochain...
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Pépy dans Le Grand Journal sur C+ jeudi 7 mai
68.000 salariés ... mais combien à plein temps ? combien à temps partiel ? combien en CDI ? combien en CDD ? surprise surprise ...
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Recrutement chez ECR Givors: Refusé
A ECR ...ça devient pire que les débats catégoriels agents de conduite au sein de la SNCF... Y'aurait de l'eau dans le gaz...??? Mode provoc millième degré bien entendu
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Pépy dans Le Grand Journal sur C+ jeudi 7 mai
Ce serait même un bon patron pour un peu ? Allez une p'tite manif pour soutenir le Patron... On s'rait pas les premiers, j'ai vu récemment un reportage à la télé où les salariés d'une boîte se sont mis en grève et ont manifesté pour soutenir leur patron licencié par les autres actionnaires-propriétaire de l'entreprise... C'est vrai quoi Pépy n'est qu'un salarié après tout...
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Bon Anniversaire !
Bon anniversaire David et gardes la forme...
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et un ratapoil , un
Et nous n'avons encore rien vu... Un cadre de TF1 licencié après un courriel contre Hadopi Reuters Un cadre de TF1 fait l'objet d'une procédure de licenciement déclenchée selon lui par l'envoi d'un courrier électronique où il critiquait le projet de loi réprimant le téléchargement illégal sur internet. La chaîne de télévision déclare de son côté que cette procédure fait suite à des prises de position radicales et publiques, et non seulement à un courriel privé. Comme le révèle Libération, le courrier électronique a été envoyé de son adresse privée le 19 février par ce cadre, Jérôme Bourreau-Guggenheim, responsable de l'innovation internet de la chaîne, à la députée UMP de son arrondissement de Paris, Françoise De Panafieu, laquelle l'a transféré ensuite à la ministre de la Culture, Christine Albanel. Le 4 mars, le cadre a été convoqué par sa hiérarchie qui lui a reproché ce courriel et, le 16 avril, il a reçu sa lettre de licenciement évoquant une "divergence forte avec la stratégie" de la chaîne, selon la lettre publiée par Libération. "Nous considérons cette prise de position comme un acte d'opposition à la stratégie du groupe TF1", dit la lettre. Dans un communiqué, la chaîne affirme son soutien à la loi Hadopi, et estime que son salarié a pris à plusieurs reprises et publiquement des positions "particulièrement radicales". "Le Groupe TF1 a toujours manifesté une position de soutien au projet de loi 'Création et Internet' Hadopi pour mettre en place un système de réponse graduée contre le piratage", peut-on lire dans le communiqué envoyé par la chaîne. "PARTICULIÈREMENT RADICALES" La première des raisons invoquées pour justifier le licenciement de Jérôme Bourreau-Guggenheim est que les prises de position de ce cadre, dont le nom n'est pas mentionné dans le communiqué, "sont contraires aux déclarations officielles du groupe TF1, notoirement en faveur de cette loi". La deuxième raison est l'incompatibilité des déclarations évoquées avec les responsabilités du salarié. Au ministère de la Culture, Christine Albanel "trouve absurdes les accusations du journal et affirme n'avoir jamais contacté la direction de TF1", dit un communiqué de la ministre. Le ministère assure que l'équipe parlementaire de Françoise de Panafieu a saisi le ministère pour obtenir "des informations techniques" sur le projet de loi afin de répondre au courrier du cadre de TF1. Jérôme Bourreau s'est déclaré sur Europe 1 "surpris et choqué" de la procédure qui le vise. "J'ai découvert quelle était la position de TF1 et quel était le rôle de TF1 auprès des politiques", a-t-il dit. Il va engager des poursuites auprès de la Haute autorité de lutte contre les discriminations (Halde) et va contester son licenciement au tribunal des Prud'hommes. La procédure de licenciement est intervenue après le vote-surprise du 9 avril à l'Assemblée rejetant le projet de loi en question, en raison de l'absence massive de députés UMP. Le gouvernement l'a représenté aussitôt et il est réexaminé actuellement. Ce texte instaure des sanctions réprimant le téléchargement illégal pouvant aller jusqu'à la déconnexion de l'abonnement internet avec maintien de l'obligation de payer les factures. L'opposition de gauche et le centre dénoncent depuis 2007 la supposée proximité de TF1 avec l'Elysée et l'UMP. Le propriétaire de TF1, le groupe Bouygues, est dirigé par Martin Bouygues, témoin de Nicolas Sarkozy à son deuxième mariage et parrain de son plus jeune fils Louis.
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et un ratapoil , un
Voir le débat sur les facilités de circulation... et l'attitude de la direction lors des négociations...
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et un ratapoil , un
Ceci étant le répressif c'est dans l'air du temps non ? Et oui ... y'a comme une dérive dans notre belle société humaine...
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et un ratapoil , un
ou peau de bouc...
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Mobilisations des 26 mai et 13 juin 2009
Ecris donc aux secrétaire généraux ou Président des confédés : on verra les réponses...
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Pépy dans Le Grand Journal sur C+ jeudi 7 mai
Le boss ou le boff ?
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Les agents provocateurs de la police
Pas nouveau... Pas étonnant...
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Mobilisations des 26 mai et 13 juin 2009
Vous êtes au courant qu'il y a une échéance électorale le dimanche 7 juin prochain... ? A lire les sondages, j'ai comme l'impression que nous ne sommes pas prêts de faire la révolution... Irez-vous seulement voter au moins anti-sarko, anti Ump ?
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Actualités Politiques
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que pensez-vous du comportement des conducteurs des EF privées?
La question trollesque du jour ? Fais donc une recherche sur le forum...
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Les jours feriés en service de nuit
cas général pour les régime B et C Le jour férié est récupérable sauf si il tombe un dimanche (spécificité pour le 1er mai et le 25 décembre) Prenons un premier cas simple où le férié ne tombe pas un dimanche: Jour A : Tu es de nuit (prise de nuit la veille à 21h - fin de service 5h le jour A Jour B FERIE : Prise de nuit jour A 21h, FS jour B 5h jour C : tu es de nuit (PS jour B 21h, FS 5h jour C Jour D : Repos Tu travailles le jour B donc tu récupères ton férié... Deuxième cas Jour A : Tu es de nuit (prise de nuit la veille à 21h - fin de service 5h le jour A) Jour B FERIE : tu es de Repos (soit tu es en roulement, soit tu es en réserve) Jour C : tu es de Repos Tu récupères ton jour férié Troisième cas :là évident Jour A : Tu es de nuit (prise de nuit la veille à 21h - fin de service 5h le jour A) Jour B FERIE : tu en en férié (en réserve le cas est fréquent, possible en roulement si sur la journée le roulement prévoyait une journée dispo ou si tu demandes ta journée en absence) Jour C tu es en repos Jour D tu es en repos
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Réponse aux tract CGT ...3 dates pour agir.....
Il est interdit de péter de travers dans ce pays ... dès fois qu'une étincelle ...
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Controle de flics sur mon lieu de travail !
Dérive des pratiques policières... Pas étonnant actuellement vu le climat sécuritaire et répressif dans notre pays --------------------------------------------------- Violences policières: un rapport accablant Par Charlie Beyenne, publié le 28/04/2009 17:15 - mis à jour le 29/04/2009 13:11 Trop de menottes, trop de fouilles, trop de traitements dégradants: le comportement des policiers porterait trop souvent atteinte à "la dignité des personnes", selon la Commission nationale de déontologie de la sécurité. Le rapport de la Commission nationale de déontologie (CNDS), publié ce mardi, n'est pas tendre pour les forces de police. Il dénonce tout d'abord les "violences au cours des rassemblements sur la voie publique". Tout en reconnaissant la difficulté de mettre en place un système de vidéo qui filmerait les actions des forces de l'ordre, la Commission recommande tout de même "que les phases d'engagement au contact des manifestants soient filmées par un ou plusieurs fonctionnaires exclusivement missionnés à cet effet", comme cela a été expérimenté lors des manifestations anti-Otan à Strasbourg. La CNDS décrit également des "atteintes à la dignité des personnes arrêtées". La Commission préconise fortement l'abandon de la "pratique du tutoiement" ainsi que l'usage de "paroles vexantes" qui peuvent être considérées comme "un acharnement discriminatoire" chez les personnes subissant un contrôle. Elle déplore également le recours abusif au menottage, pratique qui continue à être "la règle et non l'exception". De même, la Commission regrette le trop grand nombre de "fouilles à nu" et souhaite qu'une "évaluation individualisée des circonstances et des profils" soit appliquée. Autre pratique dénoncée: des "manquements déontologiques" lors des reconduites à la frontière. La CNDS évoque des traitements "inhumains et dégradants" de la part des agents. Elle rappelle que la France a déjà été condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) pour des faits analogues. Des personnels pénitentiaires qui "tentent de dissimuler des informations" La Commission souligne une déficience dans "la transmission de l'information entre les personnels de l'administration pénitentiaire et d'autres personnels, notamment médicaux, dans la prise en charge des détenus." Elle recommande aussi qu'une meilleure "prise en charge du dialogue avec les détenus les plus fragiles" soit assurée, alors que dans plusieurs dossiers que la Commission a eu à traiter, il apparaît qu'il y a eu des insuffisances de "dialogue avec des détenus dont la situation, psychologique ou physique, nécessitait une attention particulière". Par ailleurs, la Commission regrette "l'attitude de certains personnels pénitentiaires, tentant de dissimuler des informations à leur propre hiérarchie". La CNDS recommande aussi "que des mesures urgentes soient prises pour assurer une surveillance efficace" afin que certains incidents soient évités, notamment lors des promenades des détenus. Des fouilles de mineurs "intolérables" La Commission, enfin, dresse un constat sévère sur la façon dont les forces de sécurité traitent les mineurs. Bien qu'elle ne soit pas habilitée à porter un jugement sur les actions politiques menées depuis sa création, en 2000, la Commission constate, cependant, que la "délinquance juvénile, depuis plusieurs années, fait l'objet d'orientations de politique pénale de plus en plus répressives." Elle déplore ainsi un "recours excessif à la coercition" et des "violences illégitimes", que ce soit lors des interpellations et des gardes à vue, dans les locaux de rétention ou même parfois lors d'interrogatoires des mineurs comme témoins. Selon elle, les "fouilles injustifiées" sont d'autant plus "intolérables" lorsqu'elles concernent des mineurs. La CNDS souhaite donc que les policiers s'interrogent davantage sur l'opportunité d'interpeller ou de contrôler un mineur: est-il nécessaire d'aller aussi loin?
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Réponse aux tract CGT ...3 dates pour agir.....
Libération 30 avril 2009 Derrière la façade du 1er Mai unitaire, radicaux et réalistes s’opposent Les syndicats hésitent sur les suites du mouvement, alors que FO appelle à la grève générale. Et après ? Pour la troisième fois en quatre mois, les syndicats mettront vendredi dans la rue un nombre impressionnant de salariés. Avec 283 cortèges dans toute la France et une manifestation parisienne qui devrait battre des records, le succès de cette troisième journée d’action ne fait guère de doute. Pourtant, cette mobilisation croissante complique un peu plus la stratégie des organisations syndicales, qui jouent l’union sacrée face à la crise économique, mais sont de plus en plus tiraillées entre réalistes et radicaux. Trotskistes. Lundi, les huit de l’intersyndicale (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, Unsa, Solidaires, FSU) se sont retrouvés au siège de Force ouvrière pour définir les revendications communes. Sur ce chapitre, pas de surprise : ce sont l’emploi, le pouvoir d’achat et la relance économique. Mais pour la suite des événements, le scénario est plus complexe. Aussi les huit organisations syndicales ont-elles décidé… de se revoir le 4 mai «pour débattre des objectifs, des modalités et du calendrier des prochaines initiatives». Dans le camp des radicaux, on trouve Solidaires, la FSU et Force ouvrière, qui verraient bien un appel à la grève générale avant l’été. Une stratégie inspirée par les militants trotskistes du Nouveau Parti anticapitaliste d’Olivier Besancenot (nombreux à Solidaires, dans les syndicats SUD), de Lutte ouvrière et du Parti ouvrier indépendant, l’ancien Parti des travailleurs (à FO et parfois à la CGT), mais aussi du PCF et du Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon, influents à la FSU. Cette résurgence du vieux mythe de la grève générale a le don d’exaspérer les leaders du bloc «réaliste» au sein de l’intersyndicale, rassemblé derrière un front CGT-CFDT plus uni que jamais. Le fait que Force ouvrière s’accroche au mot d’ordre de grève générale les irrite particulièrement. «Même en mai 1968, rappelle un responsable CGT, on n’a pas appelé à la grève générale. Et sur le terrain, dans les boîtes, on aimerait bien les voir un peu plus les gars de FO. Là où ils sont encore présents, c’est pas des foudres de guerre.» Confidences «off», bien entendu. L’heure est à l’unité syndicale. Maladresse calculée. De leur côté, les militants «radicaux» critiquent de plus en plus ouvertement la CGT et la CFDT, dont le gouvernement souligne avec une maladresse calculée «le sens des responsabilités», en l’opposant aux débordements réels ou supposés observés dans les conflits locaux, qu’il s’agisse des séquestrations de dirigeants ou des dégradations de la sous-préfecture de Compiègne. «Chacun en réalité sait très bien que le premier qui quitte l’intersyndicale apparaîtra comme un briseur de l’unité d’action», observe un responsable de l’Unsa : «On est donc condamnés à s’entendre.» La seule fenêtre de lancement pour une prochaine action commune est la deuxième quinzaine de juin. A la mi-mai, en effet, ont lieu les quatre grandes manifestations européennes auxquelles les quatre syndicats membres de la Confédération européenne des syndicats (CGT, CFDT, FO et Unsa) se doivent de participer activement. Le 7 juin ont lieu les élections européennes. Reste trois semaines avant les vacances d’été. Quant à la nature de la mobilisation, elle pose aussi problème. Le record que ce 1er Mai devrait constituer sera difficile à battre. «Il nous faut trouver une forme d’action qui ne permette pas la comparaison», confiait un dirigeant de la CFDT. Une équation difficile à résoudre alors que le bloc des «radicaux» pourra continuer à réclamer un appel à grève générale.
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Réponse aux tract CGT ...3 dates pour agir.....
Bernard Thibault épingle les partis "simili-syndicats" AP Le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault déplore jeudi que certains partis, sans les nommer, se prennent "pour des simili-syndicats" et "entretiennent une vision archaïque du parti-guide". "Parmi les partis de gauche, il y a ceux qui reconnaissent le rôle spécifique des syndicats et le respectent. Et ceux qui entretiennent cette vision archaïque du parti-guide", accuse M. Thibault dans "Libération". Ils "voudraient prétendre par leur présence ou leurs déclarations dicter aux salariés ce qu'ils devraient faire". "Quand des partis veulent penser à la place de l'intersyndicale et nous dire ce que nous devrions faire, ils se trompent de mission", prévient le leader syndicaliste. "Qu'ils réfléchissent à l'évolution de la société, aux conditions dans lesquelles ils prétendent un jour parvenir au pouvoir plutôt que de se prendre pour des simili-syndicats". Le secrétaire général de la CGT avance d'autre part que la manifestation intersyndicale du 1er Mai "sera historique". "Il n'y a pas de précédent à un appel de l'ensemble des syndicats". "Cela se traduit par un nombre record de manifestations: 283. C'est deux fois plus qu'au 1er Mai de l'an dernier, et plus que le 19 mars, où trois millions de personnes sont descendues dans la rue", précise-t-il. Interrogé sur les séquestrations de patrons, il note que "les salariés ne sont pas idiots: ils essaient d'éviter les formes d'action qui pourraient desservir leur cause. Mais "si les salariés ont recours à des formes d'action plus spectaculaires, médiatisables, c'est aussi la conséquence de déclarations comme celles qu'avait faites le chef de l'Etat, disant que les grèves et les manifestations, cela ne se voyait pas". AP
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AMENDE
Auto-stop ...ce serait plus romantique évidemment le trajet sera un peu moins rapide...
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Tract lutte ADC- manoeuvre, Tolbiac Massena Ivry
Tract lutte ADC- manoeuvre Tolbiac Massena Ivry 29 avril 2009 2009_04_29_Tract_Manoeuvre_Massena_Ivry_Tolbiac.pdf