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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. La guerre idéologique est ouverte dans l'entreprise... après les annonces sonos ciblant les OS responsables des conflits sociaux voici les communiqués de presse avec je suppose des gros encarts publicitaires dans la presse locale ... ça me rappelle l'espèce d'e-mail qui circulait sur le net et diffusait sans vergogne des mensonges sur la SNCF et les cheminots...
  2. Comment Israël a mis en selle le Hamas Tel-Aviv a favorisé délibérément l’implantation du mouvement islamiste, il y a vingt ans, pour diviser les Palestiniens et peser sur l’OLP et Yasser Arafat. Comment expliquer qu’en moins de vingt ans le Hamas soit devenu la première force politique dans les territoires occupés, au point de prendre le dessus sur le Fatah à Gaza et de le chasser au terme de terribles affrontements en juin 2007 ? Est-ce parce qu’il s’est posé en farouche opposant à Israël et aux accords d’Oslo et, partant, à l’OLP dont il ne fait pas partie et qu’il accuse d’avoir abandonné la revendication d’un État palestinien sur l’ensemble de la Palestine historique d’avant le partage de 1948 ? Ou parce que, comme tout mouvement islamiste, il a su pallier l’absence de l’Autorité palestinienne sur le terrain social, n’hésitant pas au besoin à instrumentaliser la corruption et l’enrichissement de certains dirigeants du Fatah ? Sans doute les deux à la fois. Mais on ne peut faire l’impasse sur le fait qu’Israël a fait en sorte de mettre en selle le Hamas, faisant tout pour disqualifier les laïcs au profit d’islamistes, tellement commodes à haïr. Retour en arrière. À Gaza, durant les années 1970, Israël avait fort à faire avec le Fatah et les organisations de gauche palestiniennes. Et quand Ahmed Yassine, de retour du Caire, fraîchement diplômé d’Al-Azhar, crée une association islamique de bienfaisance, il est encouragé par l’administration militaire en charge de ce territoire. Selon l’hebdomadaire israélien Koteret Rashit, cité par le Monde du 18 novembre 1987, « le gouvernement militaire était convaincu que ces activités affaibliraient l’OLP et les organisations de gauche à Gaza ». Les islamistes, ajoutait-il, « étaient autorisés à faire venir de l’argent de l’étranger ». Et c’est ainsi qu’à l’ombre de la répression israélienne à l’endroit de l’OLP, les islamistes prennent leur envol, développent un important réseau d’aide sociale, mettent en place un réseau scolaire et l’université à Gaza - d’où sortiront les élites politiques du Hamas. En octobre 1987, bien que pris de court par le début de l’Intifada, ils ne tardent pas à prendre le train en marche et, le 14 décembre de la même année, fondent le Hamas, lequel se sentant suffisamment fort se donne pour objectifs la création d’un État islamique et la réduction de l’influence de l’OLP ! C’est alors qu’Israël feint de découvrir la menace que représente le Hamas, alors que celui-ci bénéficiait jusque-là d’un préjugé favorable. Quand sont signés les accords d’Oslo en 1993, le Hamas s’y oppose et s’emploie à les torpiller en multipliant les attentats suicide. Comme en écho, Israël négocie d’une main mais poursuit la colonisation de l’autre en multipliant les entraves pour retarder la création d’un État palestinien prévu alors au plus tard pour… la fin 1998. L’arrivée d’Ariel Sharon au pouvoir en 2001, qui partage avec le Hamas une même hostilité aux accords d’Oslo, constitue un tournant majeur. Les attentats commis par les islamistes sont attribués à Arafat, dont Sharon interdit toute sortie de Ramallah. Israël entreprend de détruire les infrastructures de l’Autorité palestinienne qui préfiguraient les contours du futur État palestinien. Le port et l’aéroport de Gaza, des édifices publics, la radio-télévision, soit 2 000 institutions (80 % des infrastructures palestiniennes) financées par l’UE, sont ainsi détruits. Ce à quoi s’ajoutent l’arrachage de 950 000 arbres fruitiers et oliviers, le dynamitage de 62 000 habitations, les morts de civils…, et en arrière-plan les assassinats ciblés de cadres connus de l’OLP. En affaiblissant une Autorité palestinienne arc-boutée sur les seules résolutions onusiennes, ne disposant d’aucune marge de manoeuvre, Israël a ouvert le champ au Hamas. L’Occident, quant à lui, a forcé la main à l’OLP pour organiser des élections législatives en 2006 alors que tout indiquait que le Hamas allait les remporter. Et quand ce fut chose faite, Washington et l’UE décidèrent, de concert avec Israël, de couper les vivres aux Palestiniens. Et c’est ainsi que, se nourrissant des échecs successifs du processus de paix, du refus d’Israël d’appliquer les résolutions de l’ONU et autres « feuilles de route », le Hamas a pu « prospérer » avant de prendre le pouvoir à Gaza en juin 2007. Hassane Zerrouky L'Humanité 2 janvier 2009 http://www.humanite.fr/2009-01-02_Internat...-selle-le-Hamas
  3. verte==>> fluo
  4. limace ==>> salade
  5. dégringolade ==>> dégoulinade
  6. bonne santé ==>> Bonne Rigolade... :)
  7. Allez là c'est du sérieux, c'est le Monde La "rupture" de Nicolas Sarkozy a cédé devant la réalité LeMonde.fr Où est passée la "rupture" ? Il a fallu reculer face aux lycéens ; les emplois aidés pour endiguer le chômage sont de retour ; une volonté d'alliance avec la Russie est mise en avant... Lors des voeux aux Français, le 31 décembre 2008, Nicolas Sarkozy a annoncé un "monde nouveau". N'est-il pas en train de retourner vers le monde ancien de son prédécesseur, Jacques Chirac ? Transformé en gestionnaire de crise permanent, le chef de l'Etat n'a-t-il pas abandonné cette rupture qu'il ne cessait d'invoquer et qui avait fortement contribué à son succès ? L'Elysée s'en défend. La rupture est là, elle s'appelle Nicolas Sarkozy. Quant aux réformes, explique-t-on, le président a annoncé leur poursuite : il demande à être jugé au terme du quinquennat. L'autonomie des universités, la réforme de la Constitution, celle de la représentativité syndicale finiront par porter leurs fruits, tandis que les réformes de l'hôpital, des collectivités locales, de la recherche, c'est promis, seront engagées. "On est dans la réforme, pas dans la révolution", assure Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale. Le concept de rupture avait été forgé après la prise de l'UMP, fin 2004. M. Sarkozy comprend alors qu'il ne peut remporter la présidentielle que s'il n'apparaît pas comme l'héritier de M. Chirac. Sa campagne contre l'immobilisme lui vaudra d'être taxé de libéralisme et d'atlantisme. Jusqu'au non français au référendum européen, bientôt suivi par la quasi-défaite d'Angela Merkel qui manque de perdre les élections en raison d'une campagne trop libérale. Nicolas Sarkozy "dope" alors sa rupture aux promesses sociales pour la France qui souffre. Il arrondit les angles en parlant de "rupture tranquille", clin d'oeil à la "force tranquille" de François Mitterrand. Après un an et demi de présidence, le mot a disparu. "La rupture, c'est le refus de l'impuissance publique", assure un conseiller du président. "L'essentiel de la rupture réside dans le style, la pratique des institutions transformées", estime M. Copé. Le président fait tout, décide de tout. Ostensiblement. Malmenant la séparation des pouvoirs, il n'hésite pas à saisir la Cour de cassation après une décision du Conseil constitutionnel qui lui déplaît sur la rétention des criminels dangereux. Cette pratique est aux antipodes de celle prônée, en 2006, par M. Sarkozy ministre, qui plaidait "pour une présidence moins monarchique". Mais elle apporte "plus de transparence". Après la parole présidentielle rare, inventée par Jacques Pilhan, conseiller en communication de François Mitterrand puis de Jacques Chirac, M. Sarkozy est partout en première ligne et ses conseillers, les vrais décideurs de la France, apparaissent dans les médias. Cette omniprésidence contredit l'esprit de la réforme constitutionnelle, adoptée en juillet 2008 et censée renforcer les droits du Parlement, paradoxalement défendue bec et ongles par le chef de l'Etat. Le style Sarkozy menace la vraie rupture, celle qui devait réformer plus vite la France. A court-circuiter les corps intermédiaires, on les braque. La magistrature, malmenée par la garde des sceaux Rachida Dati, n'est pas seule concernée. Les syndicats ont été ravis d'être reçus aussi souvent, avant de déchanter quand ils ont compris que M. Sarkozy déciderait tout seul sur les 35 heures. La petite musique élyséenne met ouvertement en cause l'inertie des corps intermédiaires. "L'impulsion politique est en totale rupture. Mais la difficulté est de faire embrayer l'administration, le Parlement, les institutions", assure Franck Louvrier, responsable de la communication du président. "C'est Sisyphe", soupire le conseiller Henri Guaino. M. Sarkozy, qui dénonçait, en 2005, les réformes "homéopathiques" dont on a "tous les inconvénients sans les avantages", aura vite réduit ses ambitions. "Dès l'été 2007, il a choisi d'avoir un tempo de réforme plus lent. Mais peut-être que sa micheline ira plus loin qu'un TGV qui serait rentré dans le mur", explique un proche. Le doute sur la rupture est aussi né d'un non-choix en matière économique. Le quinquennat débute par une révolution idéologique : avec son ""travailler plus pour gagner plus", le nouvel élu croit avoir remporté la bataille des valeurs contre la gauche, ce qui lui permet de vider de leur substance l'impôt sur la fortune, les droits de succession, les 35 heures. La loi passe, mais il se fait, selon ses propres mots, "enfoncer" politiquement par le PS, qui dénonce un cadeau aux riches. Surtout, il n'a pas choisi entre baisse brutale des impôts, qui forcerait ensuite à réduire le poids de l'Etat, et maintien d'une certaine orthodoxie budgétaire. La crise financière met un voile sur l'échec politique du paquet fiscal, mais marque un retour à une France dépensière et étatiste. "Il va falloir surveiller la comptabilité de la relance pour gérer la crise et la réduction de la dette. C'est très explosif pour l'avenir", souligne M. Copé. La promesse de réduire de quatre points les prélèvements obligatoires est caduque. La priorité accordée aux classes moyennes, oubliée. "Nous avions dit que nous soutiendrions notre électorat et les classes moyennes, mais on a décidé de réintroduire les emplois aidés. La prime de Noël n'a jamais été aussi élevée, le RSA n'est pas financé par une réduction de la prime pour l'emploi", note un proche du président. Les marges de manoeuvre sont limitées par la crise. Un conseiller déplore qu'il soit impossible de mener une révolution fiscale pour baisser le coût du travail, la TVA sociale ayant été torpillée, tandis que le contrat unique n'a pas vu le jour. Sur le fond, la rupture la plus forte est intervenue en politique étrangère, domaine où le président a les mains les plus libres. "M. Sarkozy est revenu aux fondamentaux de la droite française d'avant le gaullisme, l'occidentalisme", analyse l'ancien ministre des affaires étrangères socialiste Hubert Védrine. Le président français est par conviction dans le camp des Etats-Unis et d'Israël. "Je veux rompre avec ce cancer qu'est l'anti-américanisme, qui empêche la diplomatie française de se déployer", expliquait-il en juillet 2008. M. Sarkozy a utilisé efficacement cette stratégie pour s'imposer en Europe, dont il a compris, à la différence de M. Chirac, qu'elle pouvait être un levier pour l'influence française. Ce levier est toutefois précarisé par la mésentente durable avec l'Allemagne d'Angela Merkel. En revanche, l'engagement en faveur des droits de l'homme, proclamé le soir de son élection, a fait long feu. Le président Sarkozy est séduit par la brutalité du premier ministre russe Vladimir Poutine et veut dialoguer avec le président Dmitri Medvedev ; il a cafouillé sur la Chine et sa rencontre avec le dalaï-lama et n'a pas rompu avec la Françafrique. L'aveu du retour à la "realpolitik" a été prononcé par Bernard Kouchner lui-même, qui a regretté, en décembre 2008, la création d'un secrétariat aux droits de l'homme.
  8. En cas d'accident mortel de personne dans les enceintes sncf et en particulier sur les voies il y a intervention d'un Officier de police judiciaire OPJ soit dès connaissance de l'accident soit dès la découverte du corps. Dans ce dernier cas, il y a normalement recherche du train qui aurait heurté la personne. (les conducteurs sont interrogés, les circulations sont inspectées) Je suppose qu'il devrait donc y avoir une procédure judiciaire ouverte. Deux conseils : prendre contact avec l'officier de police judiciaire (commissariat ou gendarmerie) prendre contact avec le procureur de la République via un avocat pour avoir accès au dossier.
  9. Une bien belle famille ... http://www.zigonet.com/famille/incroyable-...re_art3431.html Une femme accouche pour la seconde fois de jumelles : l'une blanche, l'autre noire Zigonet.com Fleet, Angleterre - Un couple, qui avait déjà étonné les médecins il y a sept ans en donnant naissance à des jumelles, une fillette noire et une autre blanche, a renouvelé l'exploit. Quand Dean Durrant et Alison Spooner ont su qu'ils auraient des jumeaux en 2001, ils pensaient que ceux-ci se ressembleraient comme deux gouttes d'eau. Mais lorsque la première est née, Lauren, elle ressemblait à sa mère, rousse aux yeux bleus. La deuxième, Heyleigh, ressemblait à son père, originaire d'Inde, avec la peau sombre. En 2008, alors que le couple attendait à nouveau des jumelles, il ne pensait pas réitérer l'exploit. Et pourtant, Miya a la peau sombre et Leah est blanche. A la maternité, les bébés étaient dans des lits séparés, car ils avaient besoin de soins spéciaux. Les parents racontent : "Ce n'est qu'environ cinq jours après la naissance que nous les avons vues côte à côte pour la première fois. (...) On s'est alors vraiment rendus compte que l'un des bébés avait vraiment la peau plus claire que l'autre. C'était incroyable. (...) Les chances doivent être de une sur un million. Nous ne pensions pas que ça pouvait arriver une deuxième fois, et nous en sommes enchantés."
  10. Autre question qui pèsera sur l'avenir et pas des moindres : accélération et augmentation des embauches en contractuels CDI (régime général de sécurité sociale) de salariés de plus de 30 ans... en lieu et place de jeunes au Statut Cadre Permanent
  11. 6.000/6.500 départs en retraites (y'a plus d'âge limite....) mais peut être bien moins (bonjour le blocage des promos...et du déroulement de carrière) 1.000 démissions et départs autres (licenciements, révocations, malheureusement décès etc...) Si 4.500 embauches (pour 160.000 cheminots) ça fait un nouveau déficit de 2.500 à 3.000 donc de nouvelles difficultés et des réorganisations/redéploiements... donc 3.500 embauches dans les filières pour 60.000 salariés (où vont-ils les chercher ?) le rapport embauches / nombre de salariés est assez surprenant ???
  12. P....., ça va crâmer dans 15 ans sous le soleil... La France, championne européenne de la natalité Reuters Laure Bretton La croissance de la population en France, deuxième pays de l'Union européenne en nombre d'habitants, s'explique principalement par une forte natalité à la différence de ses partenaires des Vingt-Sept, déclare le chef du département Démographie de l'Insee, Olivier Lefebvre. Selon les chiffres du dernier recensement, la France compte désormais 63.185.925 habitants, ce qui la place derrière l'Allemagne mais devant l'Italie et la Grande-Bretagne. En sept ans, cela représente une augmentation de 5% soit une croissance annuelle un peu plus forte qu'entre 1990 et 1999: 0,7% contre 0,4%. Les premières grandes tendances notées par l'Insee, qui doit les détailler lors d'une conférence de presse à Paris le 13 janvier, font état d'une progression de population sur les littoraux atlantique et méditerranéen et autour des grandes métropoles, notamment Toulouse et dans le couloir rhodanien. Mais ces chiffres prouvent également que la France continue à faire mieux que ses voisins de l'UE en matière de fécondité, souligne Olivier Lefebvre lors d'un entretien accordé à Reuters. "C'est une tendance assez établie maintenant. On n'a jamais eu les taux de fécondité très bas qu'ont connu l'Allemagne, l'Espagne ou l'Italie" dont les populations continuent à croître surtout en raison de l'arrivée de nombreux immigrés, dit-il. Les derniers chiffres, qui datent en la matière de 2006, font état d'environ deux enfants par femme en France, ce qui est un "taux élevé, que l'on n'avait pas connu depuis la fin des années soixante et la fin du baby-boom", explique l'analyste. Toutes les régions enregistrent une hausse de population à l'exception de la Champagne-Ardenne (-0,26%). MIGRER VERS LE SOLEIL? La Corse (+13,04%) et le Languedoc-Roussillon (+10,39%) arrivent en tête des régions qui attirent, comme la majeure partie du littoral français. "Ce n'est pas que pour les retraités parce qu'il y fait beau. Il y a aussi des emplois qui attirent", précise Olivier Lefebvre. "On y observe une forte migration résidentielle et une activité économique portée par cette migration". Mais tous les littoraux n'attirent pas, note l'analyste, qui fait état de villes en perte de population dans le nord et l'ouest du pays, comme Brest, Le Havre, Caen ou Cherbourg, des territoires "faisant l'objet de fortes réorganisations industrielles". Le nord de la France, même s'il enregistre une poussée de population, affiche d'ailleurs des scores en deçà de la moyenne nationale (+4,98%). L'Ile-de-France compte 5,30% d'habitants supplémentaires, à 11.532.398, dont 2.1181.371 Parisiens contre 2.122.848. Au début du siècle, la population de la capitale avoisinait les trois millions. "On a libéré de l'espace dans les centres-villes", avance Olivier Lefebvre pour expliquer l'attrait des grandes métropoles. "On y a lancé des programmes immobiliers faisant de l'espace pour le logement". Pour les pouvoirs locaux, les chiffres du recensement sont cruciaux et leur annualisation, une nouveauté, est redoutée. "On a recensé plus de 300 textes qui font référence à la notion de population dans leur application", rappelle l'analyste de l'Insee. "Nos chiffres ont de nombreuses utilisation". Ces chiffres vont servir de base au redécoupage électoral annoncé par Nicolas Sarkozy, avec un député par tranche de 125.000 habitants dans les départements, et déterminent la dotation allouée par l'Etat aux collectivités locales. La taille des communes influe par exemple sur le fonctionnement de leur conseil municipal, les règles étant plus formalisées au-dessus de 3.500 habitants, et, c'est moins connu, sur l'implantation de nouvelles pharmacies, par tranche de population. Edité par Yves Clarisse
  13. Changement de ton à la télé ce matin... ça vire au " ..."certains" essaient de profiter des évènements de la Saint Sylvestre donc des risques de dérapages pour incendier leur voiture épave et en tirer quelque chose...côté assurances" Brûler plus...pour gagner plus... Pourtant le gouvernement offre une prime à l'achat d'une voiture neuve...
  14. Bienvenue et bonne année... et profites de ta retraite bien méritée.
  15. Ce pourrait être valable également pour ceux qui ont fait flamber la bourse et les licencieurs... qui profitent...
  16. Déjà il faudrait chopper les incendiaires... (y'avait pourtant 7.500 policiers de plus mobilisés par rapport à l'année dernière soit 35.000 policiers sur l'ensemble du territoire... sans compter les caméras vidéos...) 1.150 véhicules incendiés dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier Enfin Sarkozy, le retour... ça va flamber...
  17. 1147 voitures brûlées: nouveau record pour la Saint-Sylvestre Le Post Un bilan mitigé mais un constat d'échec Un bilan en trompe l'oeil. L'impression "calme" (aucun incident majeur à signaler) est contrebalancée par le bilan, décevant. 1147 voitures brûlées, c'est 30% de plus que l'an dernier, alors que le dispositif policier était considérable (35.000 gardiens de la paix déployés) Et pour les dégâts? Outre les véhicules incendiés, le bilan est léger. "Seuls quatre fonctionnaires de police ont été légèrement blessés", relève le ministère de l'Intérieur dans son communiqué de ce matin, ajoutant n'avoir recensé "aucun dégât aux biens immobiliers publics ou privés". Un effet pervers d'une loi sur l'indemnisation? Sur Europe 1, le porte-parole du ministère de l'Intérieur préfère voir le verre à moitié plein: le nombre de voitures brûlées sur l'année est meilleur en 2008 qu'en 2007. Gérard Gachet souligne aussi que "dans plusieurs départements où il ne se passait rien, comme le Calvados, quelques voitures ont brûlé. Pourquoi? On peut se demander si les nouvelles conditions d'indemnisation pour les victimes de ces incendies de véhicule (la loi Warsmann, qui vient d'entrer en vigueur ndlr) ont eu un effet pervers!" Nicolas Sarkozy n'a pas tardé à réagir Il vient de proposer que les incendiaires de véhicules soient empêchés de passer leur permis tant que leurs victimes n'aient pas été indemnisés. Je fais quoi si ma voiture a brûlé? Sur LCI.fr, Jean-baptiste Iosca, avocat spécialisé dans la défense des automobilistes explique: "il faut faire une déclaration de sinistre à son assurance. Si cette dernière émet des doutes sur l'origine de cet incendie, elle fera faire une expertise, mais la plupart du temps, pour la soirée du 31 décembre, elle rembourse automatiquement au prix de l'argus, c'est-à-dire en fonction de la cotation du véhicule."
  18. APV : Automate de vente Transilien Distributeur automatique de billets Précision En fait il faut utiliser un ART Automate Rapide Transilien
  19. Ton pass carmillon doit être validé pour que tu puisses l'utiliser pour franchir les contrôles automatiques
  20. Pour l'Ile De France le pass Carmillon doit également être validé... Présentez vous devant un APV introduisez votre Pass Carmillon laissez faire l'appareil qui valide votre pass et vous annonce que le nécessaire est fait quelques secondes après Sinon adressez-vous à tout bon agent d'accueil qui vous aidera à valider la bête en plastique...
  21. Bon Anniversaire... 20 membres fêtent leur anniversaire ce jour Chminot59(36), Train_fanatik(27), dioler(101), jersey(37), chapelon(43), fabien38(102), patou69(57), Paris-Nord(49), jakhebaors(3), coxiflowers(22), micou(27), Rick12(28), mouhoub(71), maklyy(9), MATUX(28), Raph62(3), BB22222(62), gael83(28), yaya1er(39), fulfilllife(2)
  22. Aïe, Aïe, Aïe les Roubignolles... 2009 s'annonce très difficile pour les Bourses LeMonde.fr L'année 2008 marquera pour toujours la fin de "l'exubérance irrationnelle" des marchés, décrite jadis par Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine (Fed). "La fin de beaucoup de mythes aussi, ajoute un trader, notamment celui que le secteur financier était protégé du risque grâce à des innovations comme la titrisation." Après cinq années de hausse ininterrompue, les principales places financières à Paris, New York, Londres ou Tokyo ont ainsi enregistré, cette année, des chutes spectaculaires et souvent inédites : de - 42,68 % pour le CAC 40 parisien jusqu'à - 67, 20 % pour l'indice de la place de Moscou et même - 94, 43 % pour celui de Reykjavik ! Les actions des banques, au coeur de la crise auront été les plus touchées comme l'illustre la chute de 57 % de l'indice financier du S & P 500. "Nous avons enregistré des baisses record car les marchés ont été soumis à une multitude de chocs violents et successifs", explique Pierre Duval de la banque Palatine énumérant la crise financière, le choc pétrolier, puis la menace d'une récession mondiale. "NOUS N'AVONS PAS TOUCHÉ LE FOND" Après cette année noire, le pire est-il passé ? Les marchés sont-ils prêts à rebondir ? Chez les courtiers, gérants et traders, personne n'y croit. En tout cas, pas dans un avenir proche. " Il ne faut pas être naïf", estime Gregori Volokhine, de la société de gestion Meeschaert, à New York. "Nous n'avons sans doute pas encore touché le fond", prédit-il. Selon l'économiste américain, Nouriel Roubini, les marchés aux Etats-Unis et en Europe pourraient reculer de 15 % à 20 % dans les prochains mois. "Les nouvelles macro-économiques et les annonces de résultats de sociétés seront bien pires que ce qui est attendu", explique M. Roubini dans le Financial Times du 23 décembre 2008. De fait, les cours des actions reflètent les profits futurs des sociétés. A fin 2008, le plongeon des marchés correspond à un recul des profits des entreprises de l'ordre de 30 % à 40 % depuis 2007, "soit une baisse cohérente avec une récession "classique" comme celle de 1990 aux Etats-Unis ou de 1993 en Europe", calculent les experts de Groupama AM. Or la récession qui menace la planète en 2009 sera sans doute bien pire. La pire que les pays développés aient connue depuis l'après-guerre, signale le Fonds monétaire international (FMI). Les profits des sociétés devraient donc plutôt reculer de 50 %, selon Groupama AM. "Et les marchés pourraient tester les plus bas connus de 2003, 2 500 points pour le CAC 40", concluent-ils. "Nous aurons sans doute encore de mauvaises surprises, renchérit Christopher White, chez Threadneedle à Londres, le marché va s'inquiéter de la déflation, il y aura des alertes sur les résultats des sociétés, et une baisse des dividendes de l'ordre de 20 % qui sera mal prise par les investisseurs." Dans ce contexte, les gérants privilégient des stratégies sans risque et même ultra défensives. Ils restent à l'écart du secteur financier qui, en dépit de sa chute déjà spectaculaire pourrait encore reculer en Bourse. Les gérants préfèrent investir sur des valeurs solides, de grosses capitalisations, peu endettées contra-cycliques. Des sociétés du secteur de la pharmacie, comme "Roche, Novartis, ou des télécommunications comme Deutsche Telekom ou France Télécom en France, relativement immunisées contre une baisse de la consommation", indique M. White. Chez Palatine, M. Duval envisage aussi de mettre dans son portefeuille des actions de société de luxe comme LVMH, ou de la construction comme CRH en Irlande dont les cours ont, selon lui, trop baissé. In fine, après ces quelques mois difficiles, les marchés pourraient progressivement se redresser, aidés par les premiers signaux positifs des plans de relance décidés par les Etats. "Après les turbulences de début d'année, les marchés pourraient alors finir en légère hausse", prédit Philippe Waechter, directeur de la recherche chez Natixis AM. "Il y a des chances de rebond dès 2009", espère aussi François Chevallier, chez VP Finance. Car "les actions remontent en moyenne six mois à un an avant l'économie", rappelle-t-il. Plus d'infos sur Le Monde.fr
  23. Sarko est revenu comme Zorro... Ivre, le schizophrène évadé a été interpellé. 10h00 Le Post Fred-lille - c'est BMF TV qui l'annonce, le schizophrène qui s'était évadé, vendredi dernier, de l'hôpital Édouard-Toulouse à Marseille a été interpellé hier à Aix en Provence. Selon 20Minutes.fr, on l'a retrouvé alors qu'il était ivre, en train de fêter le Nouvel an à Aix-en-Provence, dans les Bouches du Rhône. Comment cela s'est-il passé? Ce sont des clients, qui, le reconnaissant d'après la photo qui a été diffusée, ont prévenu la police. L'homme, âgé de 39 ans, a été placé en garde-à-vue et doit retourner à l'hôpital marseillais. A-t-il été violent? "Il a été trouvé en possession d'un cutter, mais il n'y a pas eu de violences particulières de sa part", a déclaré le procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest. "Tout est bien qui finit bien: autant qu'on le sache pour l'instant, il n'a agressé personne", a-t-il ajouté.
  24. et c'est parti pour une petite séance de gonflette... Bonne Année
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