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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. De mémoire : 95% des signaux d'alarmes déclenchés sont injustifiés donc abusifs...
  2. Comment le dialogue de sourds à la SNCF a paralysé Saint-Lazare LE MONDE | 14.01.09 | AFP/JACQUES DEMARTHON La gare Saint-Lazare a été fermée mardi 13 janvier en raison d'une grève massive des agents. Ils protestent contre l'agression lundi soir d'un de leurs collègues. La SNCF en a en connu d'autres, mais le mouvement de grève, qui a perturbé pendant un mois le trafic ferroviaire vers la gare Saint-Lazare, à Paris, a de bonnes chances de rester dans les annales. Il a pris fin, mardi 13 janvier dans la soirée, à la suite d'un enchaînement de circonstances qui a permis de renouer le dialogue entre la direction et les syndicats. Lundi soir, le conducteur d'une rame du RER A s'est fait agresser en gare de Maisons-Laffitte (Yvelines). Le lendemain, à l'aube, la plupart des personnels employés sur le secteur Paris-Saint-Lazare ont décidé de cesser le travail, ce qui a provoqué une gigantesque pagaille, amplifiant les perturbations entraînées par la grève des conducteurs lancée le 14 décembre 2008 par la CGT, la Fédération générale autonome des agents de conduite (FGAAC), FO et SUD-Rail. Par mesure de sécurité, la gare Saint-Lazare a été fermée au public afin d'éviter les mouvements de foule dans un lieu où transitent environ 400 000 personnes par jour. Résultat : la paralysie des trains sur le quart nord-ouest de l'Ile-de-France. Plusieurs personnalités politiques sont alors montées au créneau; le ministre du budget, Eric Woerth, a dénoncé l'attitude "irresponsable" des cheminots; des voyageurs ont crié leur colère… C'est dans ce contexte explosif que la direction et les syndicats sont parvenus à un compromis sur deux séries de mesures. Les premières visent à améliorer la sécurité en renforçant les équipes de "surveillance générale". D'autre part, une douzaine de conducteurs supplémentaires seront affectés sur Paris-Saint-Lazare, de manière à répondre aux doléances des salariés en grève depuis 30 jours. SURCROÎT DE PRODUCTIVITÉ Le conflit avait éclaté à propos d'une nouvelle organisation du travail qui vise à rendre plus lisibles les horaires et à augmenter le nombre de trains. Elle implique un surcroît de productivité que les cheminots ont accepté pour le trafic vers la Normandie mais pas sur le réseau irriguant la banlieue, d'après Bruno Duchemin, secrétaire général de la FGAAC. Paradoxalement, le mouvement a été facilité par la loi sur "la continuité du service public dans les transports terrestres de voyageurs". Entré en vigueur début 2008, le texte était censé réduire la conflictualité et garantir un service minimum aux usagers. Mais il a eu un effet inattendu : grâce à cette nouvelle réglementation, les cheminots ont pu faire grève un jour, retourner à leur poste le lendemain, cesser à nouveau le travail le surlendemain – chose impossible auparavant, d'après un porte-parole de la direction. Très vite, les esprits se sont échauffés. Jean-Pierre Farandou, directeur général délégué de "SNCF proximités", a critiqué les syndicats, leur reprochant de mener une "grève corporatiste" au nom de "revendications inaccessibles et infondées". Bien implanté à Paris-Saint-Lazare, SUD a été accusé de faire de la surenchère à quelques semaines des élections professionnelles. "Calomnies", a répliqué le syndicat. Aujourd'hui, la SNCF déplore les dégâts que ce long feuilleton a causés à son image. Les syndicats, eux, estiment avoir été traînés dans la boue par la direction.
  3. Paris-Saint-Lazare: les AG votent la reprise du travail immédiate AFP 19h Les cheminots de Paris-Saint-Lazare, qui s'étaient mis en grève mardi à la suite de l'agression d'un conducteur à Maisons-Laffitte, ont voté la reprise du travail immédiate lors des assemblées générales, a annoncé mardi soir à l'AFP un délégué Sud Rail. "Nous avons voté la reprise du travail immédiate (...). Tous les conducteurs sont à la disposition de la SNCF pour faire rouler les trains", a déclaré Lionel Jorand, délégué Sud Rail, en précisant que ce vote mettait fin à la grève massive de mardi, mais aussi au conflit qui opposait depuis plus de 4 semaines des agents de conduite à la direction de Paris-Saint-Lazare. "Nous avons obtenu la mise en stage (de formation de conducteurs) de 84 personnes pour 2009", a précisé M. Jorand, "ainsi que des journées supplémentaires qui vont permettre d'améliorer les conditions de travail des agents". Le syndicaliste a également indiqué que le conducteur roué de coups par un groupe de six personnes et blessé au visage avait été traité de "sale gréviste" par ses agresseurs. La gare Paris-Saint-Lazare, la deuxième de la région parisienne, a été totalement fermée mardi vers 10H00 et aucun train du réseau Transilien desservant l'ouest de l'Ile de France n'a circulé pendant la journée.
  4. "Je viens de passer devant la gare St Lazare, c'est l'émeute!" Le Post La fermeture de la gare Saint Lazare provoque une belle pagaille pour les voyageurs. La gare est fermée depuis ce mardi matin pour des raisons de "sécurité", dixit la SNCF, suite à une grève improvisée des cheminots. La gare ne devrait pas réouvrir avant demain matin, mercredi. Sur Twitter, on peut vivre l'événement en direct grâce aux réactions des Parisiens et des gens qui passent par cette gare et se demande bien comment ils vont faire... "Je viens de passer devant la gare St Lazare, c'est l'émeute, y'a toutes les Télés : la gare est fermée : j'hallucine !", écrit Thomas Clément. "Toutes les issues de St Lazare gardées par des policiers, messages d'info laconiques, sans précision de durée, usagers exaspérés", remarque CyrilDruesne. "Bon ...plus aucun trains à St Lazare et le RER est aussi en rade...et je rentre comment moi ?", se demande Dabug qui ajoute : "Ça commence à faire un peu chero le taxi....mais ouais..pas trop le choix." "Gare St Lazare fermée ! Zero train aujourd'hui... On fait quoi ? On repart en banlieue en Vélib ?", dit Ibret. Sur les blogs, les réactions sont aussi très nombreuses, où chacun raconte son expérience. "Sur ma ligne St Lazare-St Nom la Bretêche, j’ai comme l’impression que ce matin, la lassitude a fait place à une colere sous-jacente des “usagers” (ce terme devrait etre changé car qui dit usage dit service, or là, depuis plus de trois semaines une partie du contrat n’est pas respectée... C’est bien le seul genre de contrat ou l’usager paye mais n’a pas de service en retour et ceci sans compensation aucune de la part de la SNCF)….la fatigue sans aucun doute", écrit l'internaute Elisabeth en commentaire sur Blog en Commun. Quels effets vont avoir cette fermeture ? Sur Le Post, l'internaute Puma s'interroge sur les conséquences à long terme. "Messieurs les représentants des syndicats de la SNCF, ne pensez-vous pas qu'il serait grand temps d'arrêter de vous servir de votre clientèle comme d'une balle de ping-pong; allant et venant entre la raquette "service en fonction" et celle "service en grève"?Ne pensez-vous pas que vous sciez la branche sur laquelle vous êtes? Ne pensez-vous pas que vous ouvrez grandes les portes de la privatisation complète des chemins de fer français? J'en ai bien peur."
  5. Reprise du travail à la gare Paris-Saint-Lazare AFP Céline SERRAT et Anne-Pascale REBOUL 19h45 Après l'agression d'un conducteur lundi soir, un mouvement de grève spontané a totalement paralysé mardi le trafic ferroviaire à Paris Saint-Lazare, devenue pour une journée gare fantôme après l'évacuation par "sécurité" de milliers d'usagers désemparés. En fin de journée, les cheminots ont voté la reprise du travail "immédiate", selon Sud Rail, mettant ainsi fin à la grève massive de mardi mais aussi à un conflit qui opposait depuis la mi-décembre des conducteurs et la direction de Paris-Saint-Lazare. Dans la foulée, la direction de la SNCF a annoncé la réouverture de la gare et affirmé que le trafic allait "reprendre progressivement". "Très faible" au début, "il sera quasiment normal" mercredi matin, ont assuré des responsables de la SNCF. Cette journée noire pour le trafic SNCF dans l'ouest parisien (réseau Transilien et Corail Intercités) est en effet intervenue après quatre semaines de perturbations, qui ont laissé beaucoup d'usagers à cran. Mesure "exceptionnelle", la gare a été évacuée vers 10H00 et son accès fermé au public, la direction craignant une saturation dans cet établissement où transitent 450.000 personnes par jour, selon la SNCF. "Y'en a ras le bol, entre les grèves, les incidents techniques, les agressions. Depuis décembre, il n'y a pas une journée sans quelque chose", s'insurge Christelle Moronval, secrétaire travaillant à La Défense. "J'ai 55 ans et j'en ai marre d'aller bosser seulement à cause des transports", renchérit Patrica Huet, employée de banque. Henri Hervé, étudiant, se rend chaque jour à la Celle Saint-Cloud. Il est excédé par "cinq semaines de b...." sur la ligne L (Versailles, Saint-Germain-en-Laye, Noisy-le-Roi), la plus touchée par la grève de conducteurs qui réclament des effectifs supplémentaires après un nouveau plan de trafic mis en place le 14 décembre. "Peut être qu'il y a de bonnes raisons, mais qu'ils viennent nous les expliquer alors", lâche-t-il. La SNCF et la RATP avaient annoncé en milieu d'après-midi la mise en place d'un plan de transport de substitution pour mardi soir afin que les franciliens puissent regagner leur domicile. Après l'annonce de l'agression, la SNCF s'est rapidement dite "totalement solidaire du conducteur" agressé et a condamné "un acte scandaleux". Lundi à 19h45, un conducteur du RER A en provenance de Nanterre est descendu de sa cabine à Maisons-Laffitte (Yvelines) à la suite du déclenchement d'un signal d'alarme. Il a été agressé par "six personnes alcoolisées", selon une source policière. Roué de "coups de poing et de pied au visage", selon la même source, il a été blessé à un oeil. Les agresseurs ont pris la fuite. L'enquête a été confiée à la sûreté départementale des Yvelines. Lionel Jorand, délégué Sud Rail, a indiqué à l'AFP que le conducteur agressé avait été traité de "sale gréviste". La "chasse aux sorcières" menée par la SNCF à l'occasion de la grève des conducteurs en cours depuis un mois est à l'origine de cette agression, estime le syndicat Sud Rail. La Fédération nationale des associations d'usagers des transports (Fnaut) a dit "comprendre l'émotion des cheminots" mais a trouvé leur réaction "disproportionnée". Le président socialiste de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, qui préside le Syndicat des transports d'Ile de France, a réagi en rappelant les engagements de la SNCF en terme de "régularité et de qualité de service".
  6. Reprise du trafic à la gare Saint-Lazare Reuters 19h Le trafic en gare de Paris Saint-Lazare devait reprendre mardi soir après avoir été interrompu une grande partie de la journée en raison d'un mouvement de grève spontané déclenché après l'agression d'un agent de conduite lundi soir. "Nous sommes sortis du blocage", a déclaré à Reuters Guillaume Ancel, directeur des lignes Transilien à la gare Saint-Lazare. Selon lui, "un trafic très perturbé" devait reprendre à partir de 19h15 avant "un retour progressif à la normale" dans la journée de mercredi. Dans un communiqué, la SNCF indique que "le trafic sera quasiment normal" mercredi matin, quelques perturbations pouvant subsister jusqu'en début d'après-midi. La gare, où transitent quelque 450.000 usagers par jour, avait été fermée par la direction de la SNCF, soucieuse d'éviter tout engorgement dans la mesure où plus aucun train en provenance ou à destination de Saint-Lazare ne circulait. La SNCF avait mis en place des solutions de repli provisoires pour les voyageurs qui désiraient se rendre en Normandie ou dans l'ouest de l'Ile-de-France. Un numéro vert, le 0805 700 805, a été mis à disposition des usagers. La reprise du trafic a été décidée à l'issue d'une longue table ronde entre la direction et les syndicats. "Nous avons obtenu gain de cause, mais pas sur l'ensemble de nos revendications", a déclaré à Reuters Philippe Guiter du syndicat Sud-Rail. "La SNCF ne comprend que le rapport de force et il est lamentable de devoir fermer une gare pour être entendus." Il faut remonter aux mouvements de grève de 1995 pour trouver trace de la fermeture complète d'une gare à Paris. "Même s'il est malheureux qu'un conducteur se soit fait agressé, ça ne se fait pas de bloquer une gare", se plaignait à la mi-journée Cyril Marchal, un serveur qui cherchait à rentrer dans les Yvelines après avoir travaillé de nuit. DEUX JOURS D'ITT La gare Saint-Lazare a été évacuée et complètement fermée au public peu après 10h00 après le déclenchement de ce mouvement de grève, qui fait suite à l'agression d'un agent de conduite du RER A lundi soir à Maisons-Laffitte (Yvelines). D'après les premiers éléments de l'enquête, des usagers ont tiré le signal d'alarme et le conducteur a été roué de coups par "une bande de six jeunes avinés" lorsqu'il est venu réarmer le signal pour faire repartir sa machine. Guillaume Ancel a précisé que le cheminot, frappé au visage, s'était vu prescrire deux jours d'interruption temporaire de travail. L'incident aurait été filmé par les caméras de surveillance disposées en gare de Maisons-Laffitte. Selon la direction, il n'y a aucun lien entre la grève spontanée déclenchée mardi matin et le mouvement social qui perturbe le trafic gare Saint-Lazare depuis un mois. Le syndicat Sud-Rail, à l'inverse, a dénoncé dans un communiqué "les propos calomnieux, injurieux, diffamatoires de la direction de l'entreprise" qui "ne pouvaient qu'inciter à la haine du cheminot et aboutir à de tels actes lâches". Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile-de-France, a jugé la situation "parfaitement scandaleuse". Il a précisé qu'il s'était entretenu avec le président de la SNCF, Guillaume Pépy, et qu'un geste commercial serait fait envers les usagers sous la forme du "remboursement d'un quart de la carte orange du mois de février" L'UMP, pour sa part, a regretté que la fermeture de la gare Saint-Lazare ait eu "un effet préjudiciable sur l'économie francilienne" et fustige "l'irresponsabilité" et le "cynisme terrifiant" de "certains représentants syndicaux". "Des milliers d'usagers transitent chaque jour par cette gare et l'activité de dizaines d'entreprises en dépend", déclare dans un communiqué Danièle Gazzi, secrétaire nationale de l'UMP chargée des entreprises. Clément Dossin, avec Grégory Blachier, édité par Gilles Trequesser
  7. Vers la reprise du trafic à Saint-Lazare AP 19h Fermée depuis la fin de matinée à cause d'un débrayage spontané, la gare Saint-Lazare devait rouvrir ce mardi à 19h, a annoncé Guillaume Ancel, porte-parole de la SNCF, devant la gare parisienne. Les conducteurs ont voté la reprise du travail, a-t-on appris de source syndicale. La gare avait été fermée suite à un mouvement de grève spontané déclenché après l'agression d'un conducteur la veille à Maisons-Laffitte (Yvelines). Le trafic sera "quasiment normal" mercredi matin, indique la SNCF, ajoutant que quelques perturbations pouvant subsister jusqu'en début d'après-midi. Une assemblée générale de plus de 200 conducteurs et agents a voté mardi soir la reprise immédiate du travail, "pour permettre aux personnes de rentrer chez elles", et ceci "même si nous n'avons pas obtenu satisfaction sur toutes les revendications", a déclaré Philippe Guiter du syndicat Sud Rail à l'Associated Press. AP
  8. Dans une gare de mon Etablissement, un soir de bordel monstre en heure de poiinte les cheminots de l'Accueil en ont eu marre (ça faisait trois jours qu'ils subissaient des retards dûs à des incidents techniques) ils ont déposé un droit de retrait avec un élu CHSCT et sont montés direct chez le Chef d'Etablissement... un quart d'heure après il y avait avec eux, huit cadres de l'Etablissement et de l'UO pour les aider à faire face à l'incident...
  9. Ben tu utilises "le droit de retrait" Tu sais c'est un truc acquis par les syndicats en matière d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail... Sinon tu appelles le secrétaire du CHSCT (tu sais un syndicaliste) pour qu'il dépose un droit d'alerte (encore un truc acquis par les syndicats) vu tes conditions de travail et les risques y afférant...
  10. Le troll du soir ? Expliques moi : Imaginons ton monde merveilleux... les syndicats n'existent plus...On est peinard... Un conducteur se retrouve confronter au problème suivant : signal d'alarme sur son train arrêt à la première gare et là... c'est l'agent sédentaire d'accueil qui doit aller réarmer le signal... Ce dernier se fait agressé... Ben oui les agresseurs eux ils n'ont pas disparu ils sont toujours là... mais comme y'a pu de syndicat pas de réaction de qui que ce soit... Bienvenue dans le monde des bisounours...
  11. Gare Saint-Lazare fermée: "On en a par-dessus la tête, on n'a pas été prévenu!" Le Post Ce matin, la SNCF a préféré boucler la gare à cause d'altercations entre cheminots gréviste et des voyageurs, La fermeture de la gare Saint-Lazare provoque une sacrée pagaille. Les cheminots ont entamé une grève après l'agression d'un conducteur lundi soir, en gare de Maisons-Lafitte (Yvelines). "Pour éviter tout débordement, on préfère fermer la gare", explique dans le reportage ci-dessous le directeur de la gare Saint Lazare. Pour les voyageurs qui devaient aller ou transiter par cette gare, c'est la galère. "On en a par-dessus la tête. On n'a pas été prévenu. Un droit de grève, c'est une chose. Un droit de retrait, c'est nouveau. Ça vient de sortir", dit une voyageuse visiblement excédée. "Au prix où l'on paye les billets, on a droit à un service. Les prix augmentent et le service diminue... Ça suffit !", confie une autre à RTL. Les voyageurs sont d'autant plus énervés que le trafic est perturbé depuis un mois sur le réseau Saint-Lazare à cause de grèves de cheminots. "Sur 13 jours en janvier sur la ligne J comme "Jean-Foutre" je n'ai pu "bénéficier" que de 2 jours de service normal (c'est à dire avec des trains systématiquement en retard et des annulations intempestives)", raconte l'internaute Piéton par la force des choses, en commentaire sur Le Post. La gare devrait réouvrir ses portes à partir de 17 heures, au plus tôt. En attendant, la SNCF indique les dispositifs de substitution suivants au départ de Paris pour permettre aux usagers de "rentrer chez eux ce soir" "A la suite de la fermeture de la gare St-Lazare, la SNCF met en place un plan de transport de substitution. Les voyageurs sont invités à se reporter sur ce dispositif. Les titres de transport sont valables sur les trajets de substitution. Pour toute information, un n° vert est disponible : le 0805 700 805. Pour la Haute et Basse-Normandie: 1. A destination de toutes les gares entre Rouen et Le Havre : prendre le train à la gare du Nord, avec correspondance en gare d'Amiens. 2. A destination de toutes les gares entre Mantes, Caen et Cherbourg : prendre le train à la gare de Montparnasse, avec correspondance en gare de Mantes la Jolie. 3. A destination de toutes les gares entre Mantes et Oissel : prendre le train à la gare de Montparnasse, avec correspondance en gare de Mantes la Jolie. Pour l'Ile-de-France: 4. A destination des gares de Versailles Rive Droite à Sèvres Ville d'Avray : Prendre : les trains du RER C à destination de Versailles Rive Gauche et Versailles Chantiers; ou les trains au départ de Paris Montparnasse pour Versailles Chantiers. 5. A destination des gares de Garches, Marne la Coquette à la Celle St Cloud : Prendre les bus RATP au départ de la Défense à destination de l'Hôpital de Garches, puis navette RATP. 6. A destination de Pont de Bougival, le bas de Louveciennes, le bas de Marly le Roi, et St Germain en Laye : Prendre les bus RATP n° 258, au départ de la Défense. 7. A destination de Maisons Laffitte : prendre les bus RATP n° 262 au départ de la Défense (ligne renforcée). A destination de Sartrouville: prendre les bus RATP n°272 au départ de la Défense (ligne renforcée). 8. A destination de Bois Colombes, Colombes, Le Stade et Argenteuil : prendre les bus RATP qui partiront du terminus les Courtilles du métro – Ligne n°13. 9. A destination de Bécon Les Bruyères, les Vallées et Garenne Colombes : prendre les bus RATP qui partiront du terminus Asnières Gabriel Péri du métro – Ligne n°13. 10. A destination d'Argenteuil : prendre les bus RATP qui partiront de la gare d'Epinay desservie par le RER C. 11. A destination des gares de Sannois, d'Argenteuil, Val d'Argenteuil et Herblay : prendre les bus qui partiront de la gare d'Ermont Eaubonne desservie par trains du RER C et par les trains de la ligne H, départ de la gare du Nord. 12. Les gares entre la Verrière et la Défense sont desservies par train. 13. A destination des gares de Cergy Préfecture et Saint Christophe et Gisors : prendre les bus qui partiront de la gare de Pontoise desservie par les trains du RER C et par les trains de la ligne H, départ de la gare du Nord. 14. A destination des gares de Cormeilles en Parisis, La Frette, et Herblay : elles sont desservies par bus au départ de la gare de Montigny Beauchamp, desservie par les trains du RER C et de la ligne H, départ de la gare du Nord. 15. A destination des gares entre Conflans Fin d'Oise et Limay/Poissy/Mantes: elles sont desservies par bus à partir de la gare de Mantes la Jolie accessible depuis la gare Montparnasse
  12. Paris-Saint-Lazare paralysée par une grève après l'agression d'un conducteur AFP Céline SERRAT et Anne-Pascale REBOUL Après l'agression d'un conducteur lundi soir, un mouvement de grève spontané a paralysé mardi le trafic ferroviaire au départ et à l'arrivée de Paris-Saint-Lazare, devenue gare fantôme après l'évacuation décidée par la SNCF par "sécurité" de milliers d'usagers désemparés. Cette journée noire pour le trafic SNCF dans l'ouest parisien (réseau Transilien et Corail Intercités) intervient après quatre semaines de perturbations liées à une grève de conducteurs, qui ont laissé beaucoup d'usagers à cran. A 13H15, la SNCF a indiqué que l'heure de reprise du trafic n'était "pas connue", alors que la gare avait été entièrement évacuée dans la matinée, une mesure "exceptionnelle" selon la direction qui craignait un engorgement dans cette gare où transitent 400.000 personnes par jour. La SNCF prépare des "solutions de transport alternatives" pour que les voyageurs "puissent rentrer chez eux" mardi soir, a-t-elle précisé. Face à des trains immobiles mardi, les voyageurs faisaient part de leur désarroi, et certains ne cachaient pas leur colère. "Y'en a ras le bol, entre les grèves, les incidents techniques, les agressions. Depuis décembre, il n'y a pas une journée sans quelque chose. On part tôt le matin, on rentre tard et on subit les aléas des transports, c'est très pénible", confie Christelle Moronval, secrétaire à La Défense. "Quand je suis arrivée à 9h20, il y avait des gens au guichet accueil, mais un homme a fortement tambouriné sur la vitre et dix minutes plus tard il n'y avait plus personne", poursuit cette usagère. Wahiba, une dame d'une cinquantaine d'années qui cherche à se rendre à Nanterre pour donner un cours de psychologie dit qu'elle soutient le mouvement social contre l'agression, même si elle doit décommander son cours. "J'ai 55 ans et j'en ai marre d'aller bosser à cause des transports", lâche pour sa part Patrica Huet, employée de banque. A quelques mètres, Henri Hervé est un étudiant qui se rend chaque jour à la Celle Saint-Cloud. Il est excédé par "cinq semaines de b...." sur la ligne L (Versailles, Saint-Germain-en-Laye, Noisy-le-Roi), la plus touchée par une grève de conducteurs qui réclament des effectifs supplémentaires après un nouveau plan de trafic mis en place le 14 décembre. "Peut être qu'il y a de bonnes raisons, mais qu'ils viennent nous les expliquer alors", lâche-t-il. La SNCF s'est rapidement dite "totalement solidaire du conducteur" agressé et a condamné "un acte scandaleux". Lundi à 19h45, un conducteur du RER A en provenance de Nanterre est descendu de sa cabine à Maisons-Laffitte (Yvelines) suite au déclenchement du signal d'alarme dans une de ses voitures. Il a été agressé par "six personnes alcoolisées", selon une source policière. Roué de "coups de poing et de pied au visage", selon la même source, il a été blessé à un oeil et conduit par les pompiers au centre hospitalier de Poissy (Yvelines). Les agresseurs ont pris la fuite. L'enquête a été confiée à la sûreté départementale des Yvelines. Dans un communiqué, Sud Rail a évoqué un "guet-apens" tendu par des personnes voulant "casser du cheminot". La "chasse aux sorcières" menée par la direction de la SNCF à l'occasion de la grève des conducteurs en cours depuis un mois à Saint-Lazare est à l'origine de cette agression, estime le syndicat. Mardi, une "table ronde" avec les représentants des personnels de Saint-Lazare était prévue à 14H00 et la reprise du trafic en dépendra, selon la SNCF.
  13. L'ordre règne... La sécurité est assurée Dormez tranquilles braves gens... Mais que fait Notre très Cher Président de la République ? Il ne s'est toujours pas aperçu qu'il y avait une grève... Les jeunes de moins de 25 ans pourront visiter les musées gratuitement ...
  14. SNCF : le conflit s'envenime gare Saint-Lazare LEMONDE 13.01.09 Situation confuse à la gare Saint-Lazare. Le trafic devait reprendre quasi normalement, mardi 13 janvier, sur la ligne L du Transilien. Mais l'agression, lundi soir, d'un conducteur du RER A en gare de Maisons-Laffite a déclenché une grève massive des agents. L'ensemble du trafic sur les lignes SNCF de banlieue, Corail intercités, et le RER A est interrompu jusqu'à mardi, 17 heures. A priori, le mouvement spontané de ce mardi n'a rien à voir avec les perturbations qui durent depuis le 14 décembre sur la ligne L et qui portent sur la durée du travail des conducteurs. Mais selon le principal syndicat engagé dans cette grève de longue durée, SUD-Rail, les deux mouvements sont liés. Le syndicat va jusqu'à accuser la direction d'avoir "mis le feu aux poudres" par des propos hostiles aux conducteurs et en laissant pourrir le mouvement. "On voyait fleurir sur Internet des menaces en ce genre (...). On a alerté la direction qui a préféré continuer dans la démagogie pour alimenter la haine du conducteur", s'emporte Willy Wesnoker, représentant de SUD-Rail pour la gare Saint-Lazare. La direction préfère condamner un "acte isolé" et fait remarquer que l'agression a eu lieu sur une ligne qui ne connaît pas de perturbations. LES ORIGINES D'UN MOUVEMENT QUI DURE Depuis le 14 décembre, la ligne L a vu son trafic diminuer au moins de moitié tous les jours. Les conducteurs en grève dénoncent de nouvelles charges de travail qui ne sont pas compensées par des augmentations de personnel. Direction et syndicats ont des interprétations différentes : la SNCF tient compte des heures travaillées et du kilométrage, qui n'auraient pas augmentés, SUD-Rail parle de "robustesse" du travail et d'un temps de concentration ininterrompu. Avec moins de pauses, les dangers de la conduite augmentent, assurent les syndicalistes. "Le nombre d'incidents de sécurité a beaucoup augmenté ces derniers temps, tous les voyants sont dans le rouge", indique Willy Wesnoker. Depuis le passage, le 14 décembre, aux nouveaux horaires et au cadencement, les cheminots ont mis en place une grève tournante de 59 minutes par jour. L'astuce est la suivante : jusqu'à récemment, un conducteur qui manquait sa prise de service n'avait ensuite pas d'autre train à prendre en charge. Moins d'une heure de débrayage faisait donc perdre une journée entière de travail. Depuis la rentrée de janvier, le système a changé, ce qui a fait passer les fréquences à plus de deux trains sur trois. Une grève à moindre coût pour les employés, mais qui perturbe fortement la circulation des trains. La direction de la SNCF a appelé en renfort des agents d'autres lignes et d'autres régions. Sans l'agression de lundi soir, le trafic serait presque revenu à la normale ce mardi... avant une nouvelle grève totale vendredi appelée par la CGT, SUD-Rail et la Fgaac (conducteurs autonomes). QUELLE SORTIE DE CRISE ? Soixante conducteurs devaient êtres formés en 2009 et 29 détachés d'autres régions. Une solution qui ne satisfait pas SUD-Rail. Le syndicat estime que ces nouveaux postes compensent à peine les diminutions des dernières années. Fin décembre, la direction a enrichi sa proposition en passant à 72 nouveaux conducteurs et 52 conducteurs venant de province. La CGT a accepté cette proposition, SUD l'a refusée. La direction dénonce une surenchère à l'approche des élections professionnelles, qui ont lieu en mars. Concernant les usagers, il est "encore bien trop tôt pour étudier un quelconque dédommagement", estimait fin décembre un porte-parole de la SNCF, sans plus de précisions. "Avec ce mouvement qui s'amplifie à nouveau, ils ne pourront pas y couper", estime de son côté un porte-parole de la Fédération des associations d'usagers des transports.
  15. Le truc au dessus des salades ? pour compenser les déséquilibres climatiques...?? Hop je suis déjà sorti... koiquesse
  16. Vagues de faillites et de chômage chez les routiers Reuters Les faillites chez les transporteurs routiers ont doublé en 2008 par rapport à l'année précédente, ce qui a entraîné la perte de 10.000 emplois, affirme la Fédération nationale des transports routiers (FNTR). Le principal syndicat patronal du secteur craint que la crise ne s'aggrave et demande en conséquence un plan de soutien spécifique et une mesure d'urgence pour les protéger. Il s'agit de l'activation par le gouvernement français d'une "clause de sauvegarde" qui interdirait temporairement les opérations de transport intérieur en France par des poids lourds étrangers, activité appelée "cabotage". Le syndicat a rendu publique une lettre adressée lundi au secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, où il souligne que la France est le pays le plus ouvert à l'activité de transporteurs étrangers avec un tiers du total de l'Union. Cette mesure risque toutefois d'être interdite par la Commission européenne au nom de la libre circulation. En 2008, avec la flambée initiale du prix du carburant, puis la crise financière et économique, le nombre de défaillances d'entreprises a atteint 2.122, dit la FNTR, soit un quasi-doublement par rapport à 2007 et même un triplement parmi les entreprises de plus de 50 salariés. "La crise que subissent les entreprises est la plus grave qu'ils aient jamais eu à affronter. Les entreprises de transport, opérateurs et organisateurs, ont connu un décrochage très brutal d'activité au mois d'octobre", écrit le syndicat dans un communiqué. Son enquête montre que 60% des entreprises ont constaté à cette date une baisse d'activité pouvant aller jusqu'à 30%, voire pour les plus touchés jusqu'à 50%. Des dizaines de milliers d'emplois sont aussi menacés dans le secteur au premier semestre 2009, 22% des entreprises envisageant selon l'enquête de réduire leurs effectifs. La FNTR critique l'option française de relance, centrée sur les secteurs-clefs d'activité comme l'automobile et le bâtiment. "Pour le transport, ce schéma est inopérant. Nombre d'entreprises structurées risquent de ne plus être là à la reprise de l'activité", dit-elle. Elle travaille à un plan de revendications qui devrait être présenté le 15 janvier. Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse
  17. Fermeture de la gare Saint-Lazare en raison d'un débrayage AP Claire Friedel 14h00 La direction de la SNCF a annoncé mardi qu'elle fermait la gare parisienne de Saint-Lazare, où le trafic était nul en raison d'un mouvement de grève spontané déclenché après l'agression d'un conducteur la veille au soir. Alors que la gare est frappée par un conflit social depuis des semaines, les élus d'Ile-de-France tempêtent. La gare a été fermée en milieu de matinée, après la demande d'évacuation vers 10h. A la mi-journée, la SNCF n'était pas en mesure de donner une heure de reprise du trafic, mais estimait que le trafic serait normal mercredi matin. Stéphane Volant, secrétaire général de la SNCF, a expliqué que ce conducteur avait été agressé en gare de Maisons-Laffitte (Yvelines) par six jeunes "avinés". On précisait à la SNCF qu'il avait été roué de coups après être sorti de son poste de conduite, un signal d'alarme ayant été actionné. Il a reçu deux jours d'arrêt de travail. "Je comprends l'émotion des agents de la SNCF, et elle est certainement partagée par les voyageurs qui circulent sur nos trains car ils sont eux aussi parfois victimes de telles agressions", a déclaré M. Volant lors d'une conférence de presse. Roger Karoutchi, tête de file de l'UMP en Ile-de-France, s'est indigné de la fermeture de la gare, qui intervient après un mois de perturbations. "C'est inadmissible!", a-t-il tonné sur RTL. "Je comprends l'émotion des agents de la SNCF (...) Mais qu'ils disent à 450.000 Franciliens qui ont besoin du train pour aller travailler: 'ça fait trois semaines que vous avez un train sur deux, un train sur trois, que vous attendez dans le froid, et maintenant on vous dit: c'est purement et simplement fermé!' Sincèrement, (...) c'est inadmissible!". Jean-Paul Huchon, président PS de la Région et du Syndicat des transports d'Ile-de-France (STIF), a quant à lui estimé dans un communiqué que "les perturbations de trafic sur le réseau des transports publics franciliens, notamment sur les lignes de Saint-Lazare, constituent une gêne inacceptable pour les usagers dans leur vie quotidienne". M. Huchon demande aux présidents de la SNCF et de la RATP de "prendre instamment les mesures nécessaires pour obtenir le retour à une situation normale", avant un conseil d'administration extraordinaire du STIF prévu lundi prochain. Philippe Guiter, représentant Sud-Rail, a déclaré à l'Associated Press que les agents SNCF exerceraient leur droit de retrait tant que la direction ne céderait pas au moins sur une partie des revendications des syndicats, qui portent notamment sur les effectifs de conducteurs, et sont l'occasion de mouvements de perturbations depuis un mois à Saint-Lazare. Une réunion devait se dérouler à 14h entre la direction et les organisations syndicales pour décider des mesures "pérennes ou exceptionnelles" à prendre, notamment en terme de sécurité, alors que le mouvement social concerne toutes les lignes, perturbant également le RER A. Côté enquête, la SNCF a indiqué que les bandes vidéo de la vingtaine de caméras de la gare de Maisons-Laffitte allaient être exploitées. AP
  18. Demande de DCI par 7 Organisations syndicales sur 8 : CGT, CFDT, FO, UNSA, SUD, CGC, FGAAC 2009_01_13_cgt_fede__DCI_Nationale_avec_signatures.pdf
  19. Un conducteur pourrait-il nous faire le point sur les systèmes de signaux d'alarme existants ainsi que sur les procédures de réarmement du point de vue des mesures à prendre par un conducteur qui doit intervenir sur le Signal d'Alarme (en particulier pour assurer sa protection personnelle)
  20. SNCF: pas de reprise à la gare de Paris-Saint-Lazare avant 17H00 mardi AFP Le trafic SNCF au départ et à l'arrivée de la gare Saint-Lazare à Paris, interrompu depuis mardi matin en raison d'une grève spontanée de conducteurs à la suite d'une agression de l'un d'entre eux, ne reprendra pas avant 17H00, a indiqué un responsable SNCF. "La reprise du trafic sera lente et ne se fera pas avant 17H00", a indiqué au cours d'une conférence de presse Guillaume Ancel, directeur du réseau Transilien pour le secteur Saint-Lazare, qui dessert l'ouest de l'Ile-de-France. La SNCF a indiqué qu'une table ronde sur la sécurité allait être organisée dès 14H00 avec les représentants des personnels des Comités d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de Paris-Saint-Lazare. "Après examen des événements", où il sera fait état "des premiers éléments de l'enquête", "nous arrêterons des décisions exceptionnelles ou pérennes", a indiqué lors du point-presse Stéphane Volant, secrétaire général de la SNCF, notamment chargé de la sécurité. M. Volant a notamment cité comme possible un renforcement du réseau de vidéosurveillance et de la présence humaine en gare. "La reprise du trafic, cela dépendra des échanges de cet après-midi, c'est notre préoccupation première", a-t-il ajouté. Selon les premiers éléments cités par la SNCF, à 19H40 lundi soir, un conducteur de train a été victime d'une agression en gare de Maisons-Lafitte (Yvelines) sur la branche A du RER, de la part de six personnes, alors qu'il descendait pour réarmer un système d'alarme qui avait été actionné sans raison. Paris-Saint-Lazare a été totalement évacuée peu après 10H00 mardi matin, la SNCF craignant que la gare soit "engorgée" par des dizaines de milliers de voyageurs.
  21. Avant de partir il doit être procédé sur un train de Fret à une Reconnaissance à l'Aptitude au Transport RAT. Donc manifestement...?? Par contre c'est quel type de matériel wagon parce qu'une porte battante... ???
  22. SNCF: fermeture de la gare Saint-Lazare à Paris, tous trafics interrompus AFP 11h30 La gare Saint-Lazare à Paris a été fermée mardi matin pour des raisons de sécurité, a indiqué la SNCF, à la suite d'une grève spontanée provoquée par l'agression d'un conducteur lundi soir et ayant entraîné l'interruption totale du trafic au départ de cette gare. "Du fait de l'interruption totale du trafic sur l'ensemble des lignes de Paris Saint-Lazare, et pour des raisons de sécurité, la gare Saint-Lazare est fermée depuis 10h00 ce matin et cela jusqu'à nouvel avis", a indiqué la SNCF dans un communiqué. Des policiers et des agents de sécurité encadraient cette évacuation vers 10h30, a constaté une journaliste de l'AFP. L'ensemble du trafic sur les lignes SNCF de banlieue (Transilien) et sur les lignes des Corail intercités notamment vers la Normandie était bloqué depuis mardi matin à la gare Saint-Lazare. La circulation du RER A sur les branches Nanterre-Poissy et Nanterre-Cergy est également interrompue. La ligne A du RER ne passe pas par la gare Saint-Lazare, mais les personnels SNCF qui y sont affectés sont rattachés à la direction régionale de Saint-Lazare. Selon les premiers éléments cités par la SNCF, à 19h40 lundi soir, un conducteur de train a été victime d'une agression en gare de Maisons-Lafitte (Yvelines) sur la branche A du RER, de la part de six personnes, alors qu'il descendait pour réarmer un système d'alarme qui avait été actionné sans raison. Il a reçu un arrêt de travail de deux jours. Sud Rail lie cette agression au conflit social en cours à la gare Saint-Lazare depuis un mois, en soulignant qu'elle "fait suite" aux propos "scandaleusement agressifs" d'un membre de la direction "à l'encontre des cheminots grévistes et de Sud Rail", ce que la direction conteste. "Cette agression n'a évidemment rien à voir avec le conflit social en cours à Saint-Lazare", "elle a eu lieu sur la ligne de RER A où le trafic était toujours resté normal et ne peut pas être imputée à des usagers en colère", a indiqué un porte-parole de la SNCF.
  23. Allez revenons à l'essentiel... c'est à dire la question de l'agression du conducteur, les questions de sûreté qui concernent autant les usagers que les agents sncf Fermeture de la gare Saint-Lazare en raison d'un débrayage AP La direction de la SNCF a annoncé mardi qu'elle fermait la gare parisienne de Saint-Lazare, où le trafic était nul en raison d'un mouvement de grève spontané déclenché après l'agression d'un conducteur la veille au soir. La gare a été fermée en milieu de matinée, après la demande d'évacuation vers 10h. Stéphane Volant, secrétaire général de la SNCF, a expliqué que ce conducteur avait été agressé en gare de Maisons-Laffitte (Yvelines) par six jeunes "avinés". On précisait à la SNCF qu'il avait eu deux jours d'arrêt de travail. "Je comprends ce mouvement", a ajouté M. Volant lors d'une conférence de presse, sans pouvoir dire dans l'immédiat quand aura lieu la reprise du trafic. Une réunion se déroulera à 14h entre la direction et les organisations syndicales pour décider des mesures à prendre, notamment en terme de sécurité, alors que le mouvement social concerne toutes les lignes, perturbant également le RER A. Côté enquête, la SNCF a indiqué que toutes les bandes de vidéosurveillance de la gare de Maisons-Laffitte allaient être exploitées. AP
  24. Bloqués pour la nuit dans un TGV: "On a dormi sous des couvertures de survie" LePost Ce dimanche soir, à la suite d’un problème d’alimentation électrique survenu au sud de Tours, en Indre-et-Loire, sept TGV, avec 2.000 passagers à bord, ont subi des retards allant de deux heures trente à six heures. "On a vu des arcs électriques par la fenêtre", explique un des voyageurs de ce train, interrogé par Europe 1. "Le TGV s'est arrêté 2,5km plus loin. (...) Une heure après, des gens de la Croix-Rouge sont venus nous donner des couvertures de survie." "La lumière a été coupée pendant plusieurs heures, il n'y avait plus de chauffage... Et surtout, pas d'informations sur ce qu'il se passait", ajoute-t-il. Selon la SNCF, les TER circulant entre Tours et Poitiers pourraient subir de légers retards ce lundi. Par contre, le trafic des TGV ne devrait pas être perturbé.
  25. Les Fatals Picards n'auront pas le droit de chanter la mort de Johnny LeMonde.fr 'Le jour de la mort de Johnny' ne verra jamais le jour. Cette chanson, qui devait figurer sur le prochain album du groupe Fatals Picards, a finalement été retirée à la demande expresse de leur maison de disque, Warner. Dans ce morceau, le groupe de rock, qui se définit comme 'indé-débile' et qui avait représenté la France à l'Eurovision en 2007, imagine le jour de la disparition de Johnny Hallyday. Mais la Warner, qui produit également Johnny, a demandé au groupe de retirer la chanson de leur album Le Sens de la gravité, dont la sortie est prévue le 2 mars. Sur son site Internet, le groupe explique la raison de cette censure. 'Après écoute, Warner a souhaité faire écouter le titre au principal intéressé avant de prendre la décision de faire apparaître ou non le titre sur l'album Le Sens de la gravité. D'après ce que Warner nous a dit, Johnny ne souhaitait pas que cette chanson apparaisse sur un support phonographique, de surcroît produit par sa propre maison de disques.' Face au début de polémique provoqué par leur titre et son retrait les Fatals Picards se sentent obligés de préciser que ce morceau 'ne souhaite pas la mort de l'idole des jeunes'. 'Au contraire, il s'agit d'un hommage à 'l'icône' ou au 'mythe' Johnny Hallyday, mais en restant sur le mode humoristique qui fait la marque de fabrique des Fatals Picards. Il était tentant de nous interroger avec humour sur la nature des manifestations qui auront lieu ce jour-là', expliquent-ils. Le titre commençait par ces mots : 'Tu étais pour nous le dernier indien, le Jean-Michel Jarre du rêve américain. Tu étais le blues, de Bruxelles à Memphis, l'ultime samouraï de la route 66', puis 'On se sentira tous un petit peu belge, on se sentira tous un petit peu suisse, le jour de la mort de Johnny'. Les Fatals Picards ont également dû retirer la chanson de leur site officiel où il était en libre écoute, mais elle reste facilement trouvable sur différents sites de partage de vidéos. Le groupe envisage par ailleurs de la jouer sur scène lors de leur prochaine tournée qui débute le 15 janvier. http://www.dailymotion.com/video/x7z8sj_le...de-la-mor_music
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