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Conducteurs de Nice assignés
Dom Le Trappeur a répondu à Nipou situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
C'est la nouvelle forme du dialogue social version direction SNCF... Ferait mieux de s'asseoir à la table de négociations pour discuter réellement... -
Forte mobilisation contre la politique de Nicolas Sarkozy Reuters 19h Forts d'une mobilisation d'une rare ampleur en France, surtout en province, les syndicats et l'opposition ont appelé jeudi Nicolas Sarkozy à "entendre la rue" en répondant aux attentes sociales face à la crise. Les organisations estiment avoir réussi leur pari de mobiliser autant qu'en 2006 contre le projet de "contrat première embauche" du précédent gouvernement (un à 2,6 millions de manifestants), malgré une participation mitigée aux grèves. Plus de 1,4 million de personnes ont participé dans la moitié des villes à la journée d'action syndicale, selon la CGT, tandis que Solidaires, qui regroupe les syndicats Sud, revendiquait au total plus de deux millions de manifestants. A Paris, la préfecture de police a fait état de 65.000 manifestants, un chiffre contesté par les syndicats, la CGT ayant quant à elle compté 300.000 personnes. Pour François Chérèque, secrétaire général de la CFDT, il s'agit de "la plus grande journée d'action des salariés depuis une vingtaine d'années". "L'objectif est gagné en particulier grâce à la présence massive des salariés du privé", a-t-il ajouté. "La crise, c'est eux, la solution, c'est nous", ou "Trop de politique spectacle, pas assez d'actes pour les salariés", proclamaient les banderoles de Lille à Marseille. Des incidents ont eu lieu à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) où un groupe a jeté, en marge de la manifestation, des pavés sur les CRS et la préfecture, poussant les forces de l'ordre à faire usage de gaz lacrymogènes. Dès le début de la matinée, les cortèges étaient particulièrement fournis en province avec 24.000 manifestants à Marseille selon la police, 300.000 d'après la CGT et FO, 56.000 à 90.000 à Toulouse, 20.000 à 53.000 à Lyon, 34.000 à 80.000 à Bordeaux, 25.000 à 50.000 à Rennes, 30.000 à 40.000 à Nantes. Des salariés du privé, notamment de l'automobile, de la distribution, des banques ou des télécommunications, se sont joints un peu partout aux défilés. "UNE JOURNÉE NE SUFFIRA PAS" "On est là parce qu'on ne veut pas payer la crise pour ceux qui l'organisent comme les banques et les grands groupes du CAC 40", a dit à Rennes Florence Defrance, 42 ans, employée à Equant, une entreprise sous-traitante de France Télécom. "Ce n'est pas aux salariés de payer pour les banquiers", scandaient des manifestants au départ d'un cortège parisien. En revanche, les grèves restaient en demi-teinte et le mouvement a perturbé moins fortement les transports qu'attendu. Pour l'ensemble de la fonction publique, le taux de participation était de 23,5% à la mi-journée, selon le ministère. Il variait selon les sources de 34,6% (ministère) à 60% (syndicats) dans l'Education nationale. A La Poste, la direction faisait état d'un taux de participation de près de 25% (40% pour le syndicat Sud-PTT) alors qu'à la SNCF plus d'un employé sur trois (36,7%) faisait grève, toujours selon la direction. Jusqu'à présent, Nicolas Sarkozy a exclu toute relance par la consommation et affirmé qu'il poursuivrait les réformes combattues par la gauche, pour qui elles contribuent largement au malaise social actuel. Les responsables syndicaux, qui réclament des mesures pour l'emploi et le pouvoir d'achat, se rencontreront lundi prochain pour décider d'une éventuelle suite au mouvement. La CGT fera des propositions pour prolonger les actions. "C'est évident qu'une journée ne suffira pas", a lancé Olivier Besancenot du Nouveau parti anticapitaliste. "MAINTENANT, ÇA SUFFIT" Le Parti socialiste a profité de cette journée pour afficher sa volonté d'accompagner le mouvement social et de reprendre l'offensive face à la politique de Nicolas Sarkozy. "Il faut lui dire 'Maintenant ça suffit, il faut changer cette politique", a lancé le premier secrétaire du PS Martine Aubry, présente au défilé parisien. Pour le porte-parole du PS, Benoît Hamon, "ce qui est en train de se préparer, c'est une forme de chaos social. Parce que ce gouvernement s'entête à libéraliser, à défaire le modèle social français là où il faudrait reconstruire des protections". Quant à Marie-George Buffet, secrétaire nationale du Parti communiste, elle estime que "le message est clair : il y a besoin de pouvoir d'achat populaire, donc il faut augmenter les salaires, et il y a besoin d'emploi". Le président du Mouvement Démocrate, François Bayrou, juge nécessaire de "dire que ça ne va pas". "Je suis sûr que beaucoup de Français, en manifestant aujourd'hui, disent aussi que la manière dont on les gouverne ne les respecte pas". Réplique du ministre du Budget Eric Woerth sur RMC : "Je ne crois pas qu'il faille zapper et changer de politique sans arrêt". "On doit garder son sang-froid dans cette période de très, très grande tempête". Service France, édité par Yves Clarisse
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Service minimun peut être (soit dit en passant rappelons qu'il existe un service minimum les jours de grève depuis belle lurette ...) mais encore faudrait-il que la direction SNCF le respecte : "train prévu au service minimum annulé par absence de conducteur..." ce jour En plus c'était le train prévu pour aller à la manif mdrmdr
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Forte mobilisation attendue et premier grand test social pour Sarkozy LEMONDE.FR | 28.01.09 | 20h45 Des centaines de milliers de personnes, surtout des salariés, descendront dans la rue ou cesseront le travail jeudi 29 janvier dans toute la France, à l'appel de tous les syndicats, pour la première grande mobilisation sociale depuis le déclenchement de la crise économique. Des perturbations importantes sont à prévoir, notamment dans les transports. Le trafic ferroviaire sera réduit. La SNCF prévoit que plus de 60 % des TGV circuleront en moyenne, plus de 40 % des TER et des Transiliens, 30 % des Corails. La RATP prévoit un trafic "perturbé" du métro et "fortement perturbé" sur les RER A et B en Ile-de-France. 30 % des vols seront annulés à Orly, 10 % à Roissy. (Lire l'article Les perturbations prévues dans les transports) Cliquez ici ! Découvrez le Desk, votre écran de contrôle et de suivi de l'information en temps réel. Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ par mois + 30 jours offerts Les syndicats prédisent aussi un nombre significatif de débrayages dans le secteur privé, traditionnellement moins affecté. L'impact des grèves est "très difficile à évaluer", selon la présidente du Medef Laurence Parisot, les difficultés de circulation pouvant avoir un effet sur l'absentéisme. UN TEST POUR LE SERVICE MINIMUM Cette journée de mobilisation sera un test pour le service minimum. Dans les transports, l'impact de la grève dépendra surtout du taux de grévistes, aucun agent en grève ne pouvant être contraint de travailler. La mobilisation devrait être très forte dans l'Education nationale. Dans les écoles, plusieurs communes ont déjà annoncé qu'elles ne pourraient proposer de service minimum, même si le "droit d'accueil" est officiellement obligatoire depuis la rentrée de septembre 2008. (Lire l'article Le service minimum à l'épreuve du 29 janvier) Organisée pour défendre l'emploi, le pouvoir d'achat, les garanties collectives et les services publics, et dénoncer la politique anticrise du gouvernement, cette mobilisation est regardée avec sympathie par l'opinion, selon tous les sondages : 69 % la jugent "justifiée", selon le dernier en date (BVA-Orange-Express). (Lire l'article Le mouvement social du 29 janvier bénéficie d'un large soutien populaire) L'exécutif n'entend pas pour autant infléchir sa politique. "Je comprends vos difficultés" mais il ne faut "pas arrêter le mouvement des réformes", a déclaré mardi le président Sarkozy. Pour François Fillon, le "rôle d'un gouvernement" n'est "pas de faire des gestes" mais "de tenir le cap de la réforme". Le gouvernement entend toutefois calmer le jeu, face à la crainte d'une explosion de colère. (Lire les articles Brice Hortefeux : "On n'insulte pas le crocodile avant de traverser la rivière" et Le pouvoir politique redoute un grand mouvement social) "IRRÉSPONSABLE" "Si le gouvernement ne répondait pas à une forte mobilisation, il serait irresponsable", a répliqué le secrétaire général de FO Jean-Claude Mailly, rappelant le rendez-vous intersyndical du 2 février pour décider des suites du mouvement. Refusant que les salariés soient "les premières victimes de la crise", les syndicats se sont unis autour d'une plateforme revendicative – CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, UNSA, Solidaires – sans précédent. Ils veulent "des mesures urgentes en faveur de l'emploi, des rémunérations" et une "politique de relance économique". (Lire l'article interactif Grève unitaire du 29 janvier : secteurs et revendications) Ils demandent aussi que les mesures de baisse d'activité, comme le chômage partiel, soit "négociées" et que les aides publiques aux entreprises soient conditionnées à la préservation de l'emploi et des salaires. Le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault s'attend à ce que la mobilisation aille "bien au-delà" de celles observées ces dernières années. (Lire le chat avec Maryse Dumas, de la CGT : "Demain, la journée sera puissante") L'opposition, de son côté, entend tirer parti de ce grand mouvement de contestation. Alors que tous les responsables du PS s'attendent à voir se dégrader durablement le climat social, leur objectif est de tourner la page d'un congrès calamiteux et réaffirmer, face à la concurrence qu'exercent l'extrême gauche et le MoDem, que le PS a vocation à incarner l'alternative face à la droite. (Lire l'article Le PS cherche à accompagner le mécontentement) La précédente journée syndicale unitaire, le 22 mai 2008, pour les retraites, avait rassemblé de 300 000 à 700 000 manifestants (selon la police ou les organisateurs). On en comptait un à deux millions en 2003 (retraites) et 1995 (Sécurité sociale).
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cdi et cadre permanent
Dom Le Trappeur a répondu à julybou situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
Date anniversaire des 30 ans ... Tu es âgé de 30 ans ...Top A la naissance : tu es à zéro... au bout des 365 jours de la première année d'existence : tu as 1 an (date anniversaire) au bout de tes 30 premières années d'existence : tu as 30 ans... ta 31 ème année de vie commence dès que tu as atteint tes 30 ans à la date de ton anniversaire... Le vieux débat sur la fin du 20ème siècle et le début du 21ème siècle... C'est également comme l'heure des trains : départ à 20h 30 minutes et "zéro seconde" c'est pas 20h 30 minutes et "59 secondes"... -
Bras de fer entre Sarkozy et un monde du travail inquiet 7h00 AFP La presse française, dans sa quasi totalité, estime jeudi que la grande mobilisation sociale attendue aujourd'hui depuis le début de la crise est un bras de fer entre Nicolas Sarkozy et le monde du travail inquiet pour son avenir. "Alors que le bateau France ralentit et tangue, la présence à bord d'un capitaine courant partout de la cale aux ponts et aux coursives, s'occupant des moindres détails, ne déléguant rien, n'est guère rassurante", écrit Libération. "Ce que les manifestants d'aujourd'hui réclament, c'est de la considération, de l'écoute, du dialogue et une redéfinition des priorités politiques", estime le quotidien de gauche Même tonalité dans la presse régionale. Ainsi pour Ouest-France, "il faut dire (...) que le Président a mis du sien pour attiser l'adversité, en concentrant, par exemple, le traitement de la crise sur l'entreprise et l'économique plutôt que sur les salariés et la consommation". "Les Français doutent de Nicolas Sarkozy", affirme La Montagne, ajoutant qu'ils "ne croient pas un mot de ses insolites références marxistes sur les dérives du capitalisme ou les bonus honteux des banquiers". Pour ce journal, "sa boulimie d'annonces et ses petites phrases destructives dans un tourbillon de discours sur la poursuite des réformes inachevées et impopulaires ne remplaceront plus les mesures fortes et les résultats concrets." Pour sa part, La République du Centre suggère que Nicolas Sarkozy "n'est pas totalement étranger au sentiment d'anxiété et d'exaspération qui a gagné l'Hexagone". "Son mode de gouvernance, trop volontiers provocateur, a suscité des désirs de revanche. Ses diatribes contre les banquiers ou les aventuriers de la finance, ont alimenté dans l'opinion, une demande de réparation insatisfaite", poursuit-il. "Ce jeudi sera-t-il une soupape permettant d'évacuer une grosse bouffée de mécontentement, ou le début d'un bras de fer entre la gauche politique et syndicale d'un côté, et le gouvernement de l'autre ?", s'interroge de son côté L'Alsace. Pour Les Echos, le couple exécutif, à savoir Nicolas Sarkozy et François Fillon, "doit mieux expliquer la crise et son action pour ne pas ajouter la crise sociale à la crise économique". Et, pour le journal économique, "continuer d'être réactif dans un contexte extrêmement changeant". Son de cloche diamétralement opposé pour Le Figaro (droite). "Cette nouvelle grève devrait inciter le gouvernement et les parlementaires de l'UMP (parti au pouvoir) à revoir les règles du service minimum", affirme Le Figaro. "Car, si la grève est une liberté garantie par la Constitution, on aimerait bien que la liberté de se déplacer et de travailler bénéficie des mêmes garanties de la part de nos juges suprêmes", estime le quotidien.
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Mobilisation sociale : Jeudi 29 janvier 2009 et ses suites 18 février, 19 mars ...
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
JOURNEE du Jeudi 29 JANVIER 2009 et ses suites : 18 Février, 19 Mars Les infos (presse, communiqués...) Les transports très perturbés par la grève unitaire 8h00 Reuters Les transports terrestres et aériens sont perturbés jeudi en France dans le cadre d'une journée d'action syndicale unitaire appelant le gouvernement à répondre à la demande sociale face à la crise. En Île-de-France, de très fortes perturbations affectent les RER A (un train sur cinq) et B où le service n'est pas assuré et de fortes perturbations le métro (de trois rames sur quatre à une rame sur deux en fonction des lignes), à l'exception des lignes 1, 4, 7bis, 11, 13 et 14 (trafic normal). Le trafic des bus est moins perturbé (trois sur quatre). Il est normal sur les T1 et T2 et assuré à moitié sur le T3. Pour la SNCF, entre 50% et 100% des TGV circulent au départ ou à destination de Paris, tandis que les TGV de province à province sont totalement bloqués et que le trafic des TER (trains express régionaux) et des Transiliens est perturbé en région parisienne. Le trafic des trains Corail est assuré à 30%. La grève, qui a débuté mercredi à 20h00, doit s'achever vendredi à 08h00. En outre, des préavis de grève ont été déposés dans 77 réseaux de transports en commun sur 137, selon l'Union des transports publics et ferroviaires (UTP). Dans le transport aérien, sur recommandation de la Direction générale de l'aviation civile, les compagnies, dont Air France, devaient annuler 30% des vols à Orly et 10% à Roissy. Le trafic long-courrier ne devait pas être perturbé. Jean-Baptiste Vey, avec la contribution de Gérard Bon -
cdi et cadre permanent
Dom Le Trappeur a répondu à julybou situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
La Bible du cheminot... "Chapitre 5 du Statut : admission au Cadre permanent Article 2 : conditions générales d'admission au Cadre permanent Point 2.1 Pour pouvoir être admis dans un emploi du cadre permanent, tout candidat doit : ... point e ) être âgé de 18 ans au moins et de 30 ans au plus au jour de son admission." ensuite interviennent les dérogations à cette règle générale... -
Commence par modifier le titre de ton fil de discussion pour avoir une chance d'avoir des réponses : "ATEF recherche thème pour dossier à réaliser sur la SNCF" par exemple précxise également dans quel activité tu travailles (transport, matériel, équipement etc...) je me souviens qu'il doit déjà y avoir un fil de discussion sur cette question quelque part sur le forum.
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Service minimum et droit de grève
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Deux articles La croix Le figaro 2009_01_28_009_serviceminimum_LaCroix.pdf 2009_01_28_011_LeFigaro.pdf -
Droit de grève et service minimum Libération 28-01-2009 Dans les transports, la droite cale sur le service minimum Social. Hortefeux aura du mal à renforcer un dispositif contourné par les agents SNCF. La droite s’est-elle piégée toute seule sur le service minimum dans les transports ? Les violentes critiques contre les grévistes de la gare Saint-Lazare ont amené une partie de la majorité à dénoncer les lacunes de la loi sur le service minimum, promesse présidentielle de Nicolas Sarkozy. De fait, la loi votée en août 2007 ne garantit aucun niveau de service, mais vise à améliorer le dialogue social et à optimiser le service (en fonction des agents disponibles) et les prévisions de trafic. Deux parlementaires UMP, le député Eric Ciotti (Alpes-Maritimes) et le sénateur Hugues Portelli (Val-d’Oise) ont annoncé le dépôt de propositions de loi pour renforcer le dispositif. Brice Hortefeux, nouveau ministre du Travail a promis le 21 janvier qu’il proposerait «dans un délai d’un mois» les «ajustements utiles» à la loi. Il aurait pu écoper d’un premier dossier plus facile. Parce que le climat social explosif se prête mal à une charge contre les syndicats, il n’y a aucune chance que l’option extrême des réquisitions d’agents, qui avait été rapidement abandonnée lors de l’élaboration du texte en 2007, ressorte aujourd’hui. Mais même une adaptation du texte ne sera pas simple. «Il y a eu un emballement politique sur le conflit de Saint-Lazare, note un cadre de la SNCF. Mais il est plus facile de crier haro sur les grévistes que de trouver en urgence des solutions efficaces.» Leurre. Les élus les plus remontés ont notamment ciblé les grèves de cinquante-neuf minutes, qui ont permis aux agents de Saint-Lazare de faire durer le conflit un mois en subissant des retenues salariales minorées. Cette possibilité offerte aux grévistes date de 1982. «La nouveauté avec le conflit de Saint-Lazare, c’est que ce sont des agents de conduite qui ont utilisé les grèves de cinquante-neuf minutes, alors que traditionnellement, c’est l’encadrement et les agents de l’équipement qui s’en servaient pour exprimer leur mécontentement sans prendre trop de retard dans leur travail», explique-t-on à la SNCF. Faut-il interdire cette disposition ? «Je ne suis pas sûr qu’il soit pertinent de forcer les agents à faire grève une journée en leur ôtant la possibilité de faire grève cinquante-neuf minutes», concède Hervé Mariton, député (UMP) de la Drôme. De toute manière, la focalisation sur les grèves de cinquante-neuf minutes, une pratique marginale à la SNCF, a tout d’un leurre. A Nice, les agents de conduite de la SNCF n’en ont pas besoin pour mener depuis un mois et demi une grève par «temps forts». Un petit nombre font grève chacun à leur tour en semaine, afin de «faire vivre le préavis», et se mobilisent en masse le lundi ou le vendredi. Faille. Les conflits de Saint-Lazare et Nice ont aussi mis en lumière la possibilité des agents d’entrer et de sortir à leur guise dans les conflits, un autre moyen d’inscrire une grève dans la durée sans être trop pénalisés financièrement. Plusieurs voix à droite ont dénoncé une faille de la loi d’août 2007. Il sera difficile d’y «remédier», car cette liberté offerte aux grévistes n’est pas le fait d’une étourderie. C’est le Conseil constitutionnel, à l’été 2007, qui en avait décidé ainsi, confirmant une jurisprudence de la Cour de cassation. Dans ces conditions, Hortefeux, au grand dam des ultras de la majorité, pourrait se contenter d’un lifting a minima. Hervé Mariton semble se faire à cette idée : «Il y a des choses à améliorer sur le volet dialogue social de la loi, mais il n’y a pas de révolution à attendre. A moins de refaire totalement le texte.»
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cdi et cadre permanent
Dom Le Trappeur a répondu à julybou situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
Aucune information sur cette modification... Pour l'instant le Statut dit 30 ans (date anniversaire) + dérogations possibles (1 an par enfant etc...) -
Lettres anonymes de dénonciations ça sent mauvais... "Si j'avais envoyé une lettre de menaces à Sarkozy, j'aurais mis mon adresse dessus ?" "Aucune charge n'a été retenue contre lui. Zéphir Brassart ne sera pas poursuivi pour menaces" précise au Post le parquet de Paris ce mercredi. Quand Zéphir Brassart a ouvert la porte, il s’est retrouvé face à trois policiers de la brigade criminelle de Paris. Après avoir regardé l’ordinateur du retraité et demandé s’il possédait des armes, le septuagénaire a été embarqué par les policiers au commissariat de Maubeuge, précise La Voix du Nord.. Une fois au commissariat, le retraité a appris qu’il avait envoyé une lettre à Nicolas Sarkozy... Une lettre tapée à l’ordinateur et contenant des injures adressées au président de la République et son épouse, Carla Bruni, ainsi que des menaces d’attentat si le chef de l’Etat ne quittait pas sa fonction présidentielle... La lettre, reçue à l’Elysée le 9 janvier, comportait –preuve irréfutable !? – l’adresse de Zéphir Brassart… Le retraité s’est retrouvé en garde à vue durant sept heures avec prélèvement d’ADN et d’empreintes à la clé, poursuit La Voix du Nord. "Après réception de ce courrier, les besoins de l'enquête ont mené à la garde à vue de cet homme" précise le parquet de Paris au Post. Et même si le retraité a été victime d’un mauvais plaisantin, il a été choqué par cette garde à vue... Garde à vue à l'issue de laquelle son dossier est tombé à l’eau… Dans La Voix du Nord, Zéphir Brassart précise : "Les traces ne correspondaient pas à mon imprimante, mon prénom était mal orthographié et ma signature ne ressemble pas du tout à ça" et ajoute "Franchement, si j'avais envoyé une lettre de menaces à Sarkozy, j'aurais mis mon adresse dessus?" Le retraité, "inconnu des services de police" selon le parquet de Paris au Post, n’a quand même pas apprécié cette demi-journée aux mains des policiers. Il dit à La Voix du Nord que « La police aurait pu se renseigner. » Et se souvient que son père « en 39-45, sur une dénonciation anonyme, on l'a déporté ! » "L'enquête le nécessitait. L'Elysée reçoit de nombreuses lettres et autres appels téléphoniques menaçant le président ou des membres du gouvernement" conclut le parquet de Paris sur Le Post, précisant "que l'enquête se poursuit." Zéphir Brassart a porté plainte pour usurpation d'identité, selon La Voix du Nord.
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Trafic du 29 janvier 2009
Dom Le Trappeur a répondu à nicopasta situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Ce sont les trains pour aller aux manifs ? -
Déontologie des agents
Dom Le Trappeur a répondu à Nipou situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Etes-vous certain qu'il s'agisse bien d'une cheminote ? -
1.711 embauches à la SNCB en 2008
Dom Le Trappeur a répondu à www.webtrains.net situé dans Actualité ferroviaire générale
Décortiquons un peu : fin 2007 : 38.331 fin 2008 : 38.522 soit...........+ 191 En 2008 1.711 recrutements donc 1.520 départs dont 916 retraites et 604 départs autres (démissions, décès, etc...) Augmentation légère des effectifs ce qui n'est pas négligeable mais un nombre de "départs autres" important ... -
1.711 embauches à la SNCB en 2008
Dom Le Trappeur a répondu à www.webtrains.net situé dans Actualité ferroviaire générale
1.711 embauches à la SNCB en 2008 WEBTRAINS.NET - REDACTION FRANCOPHONE 18/01/2009 à 07 HEURES 13 Le Groupe SNCB a donné une nouvelle orientation professionnelle à plus de 2.200 personnes en 2008. En effet, aux 1.711 nouveaux collaborateurs recrutés s'ajoutent quelques 550 membres du personnel qui ont pu relever un nouveau défi professionnel au sein du groupe. Et en 2009, ce sont 1.800 personnes supplémentaires qui doivent être recrutées pour de nombreuses fonctions passionnantes: conducteurs de trains, conducteurs de manoeuvres, accompagnateurs de trains, ingénieurs et techniciens. La notion de Diversité est également un engagement important, notamment envers les femmes et les belges d'origine étrangère. Pour dénicher ses futurs collaborateurs, le site “www.lescheminsdeferengagent.be” reste la vitrine par excellence des emplois disponibles au sein du Groupe SNCB. Il ne se passe pas un jour sans qu'on entende parler de la crise économique et financière avec, dans son sillage, des fermetures d'entreprises et des pertes d'emplois. Et comme pour mieux illustrer ce contexte, le baromètre Manpower sur les perspectives d'emploi (1) nous apprend que les employeurs belges prévoient de ralentir le rythme des embauches au cours du 1er trimestre 2009. A contre-courant de cette prévision, la SNCB-Holding continue sa politique dynamique et ambitieuse de recrutement pour poursuivre sur la voie du succès et relever de nombreux défis en terme de mobilité. Innovations technologiques, nouvelles infrastructures, accroissement du trafic voyageurs national (+25% entre 2006 et 2012): les projets phares ne manquent pas, et chacun pourra y apporter sa contribution. Par ailleurs, au cours des 10 prochaines années, 40% de l'effectif actuel du Groupe SNCB partira à la retraite et devra donc être remplacé (dont 1.200 personnes en 2009). Cette année, ce sont 916 personnes qui ont pris leur retraite, un chiffre qui est donc largement compensé par les engagements extérieurs. En effet, en 2008, ce sont 1.711 nouveaux collaborateurs qui ont été engagés (notamment 402 conducteurs de trains, 179 conducteurs de manoeuvres et 224 accompagnateurs de train) ce qui porte à 38.522 le nombre total de travailleurs au sein du Groupe SNCB (contre 38.331 fin 2007). Travailler au sein du Groupe SNCB, c'est aussi la possibilité d'évoluer et de réorienter sa carrière. En 2008, quelques 550 collaborateurs ont ainsi été recrutés en interne pour des postes qui étaient à pourvoir. David Herrgott -
Le terme "opérateur de production" est un terme générique utilisée par la direction pour les recrutements. si tu as moins de 30 ans : recrutement au cadre permanent (statut cheminot), stage essai un an puis commissionnement. si plus de 30 ans : recrutement comme contractuel soit régime général de sécurité social en CDI Tu devrais entrée à la sncf comme attaché opérateur qualification B niveau 1 position de rémunération 5 soit environ 1000 euros net (traitement, indemnité de résidence selon l'affectation, prime de travail exploitation moyenne) Deux années de formation avec école, stage et tenue de poste régularisation sur un grade de la filière fret au bout de deux ans sur B niveau 2 position de rémunération 7 et ensuite déroulement de carrière sur C Il faudrait aussi savoir sur quelle métier tu es parce que maintenant le fret couvre large l'éventail des métiers mais je dirai plutôt agent de manoeuvre ou agent mouvement... donc manoeuvre trains fret, dessertes fret,
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Félicitations et que la force soit avec toi...
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Peux-tu être un peu plus explicite dans ta demande ? C'est pour un recrutement à la SNCF ? dans quel activité (commercial, transport-mouvement, traction, matériel, équipement autre...) ? Tu as quel âge ? quel diplôme ? La SNCF a-t-elle fourni des renseignements sur la qualification? la position de rémunération? la rémunération ? les conditions de travail, le régime de travail ? etc...