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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Ce qui est en péril , c'est l'orthographe et la grammaire...ça c'est sûr...! J'ai des idées mais elles ne sont pas toutes faites et je suis prêt à les remettre en question si nécessaire. Je sais aussi lire entre les lignes d'un article de presse et prendre en compte l'inexactitude des propos journalistiques mais ce qui est certain c'est que j'attends que tu développes tes arguments mais là je crois que je vais pouvoir attendre un petit moment...
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Le casse-tête de la taxe professionnelle AP Christine Ollivier Seule annonce concrète de Nicolas Sarkozy jeudi soir, la suppression de la taxe professionnelle en 2010 inquiète les élus locaux. Car elle pèse lourd dans leurs ressources -près de 29 milliards d'euros-, et le chef de l'Etat est resté flou sur la façon dont il entendait compenser cette perte. Lors de l'émission "face à la crise" jeudi soir, Nicolas Sarkozy a annoncé la suppression en 2010 de la taxe professionnelle. "On ne peut pas avoir tout notre système de fiscalisation basé sur la production si on veut garder des emplois en France", a-t-il plaidé en évoquant un manque à gagner de "huit milliards d'euros". Il s'agit en fait selon le ministère de l'Economie de supprimer la part de la taxe pesant sur les équipements et biens mobiliers, c'est-à-dire les biens consacrés à la production. Ne resteraient plus que les 20% portant sur les biens immobiliers. "C'est une bonne mesure", a réagi la présidente du MEDEF (Mouvement des entreprises de France) Laurence Parisot, en mettant toutefois en garde contre un nouvel impôt qui "pénaliser(ait) le même secteur d'activité". Cette décision "répond à une préoccupation de longue date de la CGPME", s'est aussi réjouie dans un communiqué la confédération générale des petites et moyennes entreprises. En revanche, les élus locaux s'inquiétaient vendredi des conséquences sur leurs ressources, d'autant plus que Nicolas Sarkozy a simplement dit jeudi vouloir discuter avec eux "d'un impôt de remplacement". Acquittée par les entreprises depuis 1975, la taxe professionnelle rapporte près de 29 milliards d'euros par an aux communes, départements et régions, dont environ 20 milliards sont payés par les entreprises et 8 milliards pris en charge par l'Etat sous forme d'exonérations ou d'allégements. La taxe professionnelle représente à l'heure actuelle environ 45% des ressources propres des collectivités territoriales en moyenne. Son niveau, fixé par les collectivités locales, a eu tendance à progresser en même temps que le reste de la fiscalité locale. Souvent critiquée, la taxe a déjà fait l'objet de nombreuses réformes, qui ont surtout multiplié les allégements ou exonérations. Entre 1999 et 2003, la part pesant sur les salaires a ainsi été supprimée. "Sur le principe de la réforme, nous sommes ouverts", a assuré vendredi sur France-info Jacques Pelissard, le président (UMP) de l'Association des maires de France. Mais "il faut trouver une recette fiscale de substitution", sinon "ce serait insupportable", a-t-il averti. "Pour beaucoup d'agglomérations, la taxe professionnelle unique (...) c'est 50% de nos recettes". M. Pelissard s'est montré sceptique sur l'idée d'une "taxe carbone" avancée par Nicolas Sarkozy: "c'est une idée qui peut être creusée, mais dont la masse ne correspondra jamais à la taxe professionnelle", a-t-il estimé. Par ailleurs, "il faut conserver un lien fiscal entre le territoire et l'entreprise, sinon aucun territoire ne voudra accueillir une entreprise", "facteur de nuisances". Il faut aussi que les collectivités conservent leur "autonomie fiscale" en gardant la possibilité de "fixer une part du taux" de l'impôt. L'Association des régions de France voit dans cette suppression "une attaque directe contre les conseils régionaux". La taxe professionnelle représente 2,8 milliards d'euros de recettes pour l'ensemble des régions, souligne l'ARF dans un communiqué. "Qu'on réforme la taxe professionnelle, nous sommes d'accord, à condition que ce ne soit pas pour dire aux collectivités locales: 'trouvez vous-mêmes les contreparties'", a averti la Première secrétaire du Parti socialiste Martine Aubry. "Ce n'est pas la peine de s'exciter sur les plateaux de télévision quand on est élu local en disant: 'je vais perdre des moyens et je ne pourrai plus assumer la gestion de ma collectivité'. Evidemment on va trouver des solutions", a rétorqué le ministre du Budget Eric Woerth sur i>télé. "Il n'est pas question une seule seconde de se défausser" sur les collectivités locales, a également assuré le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand sur France Info. Mais "qui paiera l'équivalent de la taxe professionnelle?", s'est inquiété François Hollande. "Ou ce sont les entreprises, et alors je ne vois pas quel serait l'avantage de la compétitivité retrouvée, ou ce sont les ménages, et ça c'est le pire!", a résumé le député socialiste. AP
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Euh J'ai beau relire les trois textes ci-dessus qui sont des dépêches de presse je ne trouve rien qui se rapporte à ta phrase surlignée en rouge... La taxe professionnelle (8 milliards selon Sarkozy, 25 milliards selon d'autres sources) constitue l'un des financements les plus importants des collectivités locales qui représentent elles mêmes 75% des investissements publics du pays... on peut imaginer l'impact négatif de la disparition de cette taxe pour les collectivités locales. Je ne suis pas certain que la taxe professionnelle soit calculée sur la masse salarialede l'entreprise...
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2x8 ou 3x8
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
Tout dépend des horaires exactes de ton poste de travail. ( un service 2x8 peut très bien avoir couvrir un horaire de nuit : exemple : une période de matinée, une période de nuit...) Commences donc par te renseigner sur les horaires exactes. Pour cela il faut consulter le Tableau de service du poste et le roulement qui sont normalement affichés dans la gare. Tu y trouveras : les horaires, le régime de travail, le roulement de repos Tu peux appeler par téléphone (ou te déplacer) soit la gare concernée soit la commande du personnel de ton établissement à laquelle tu seras rattaché. -
Rien sur les salaires, rien sur l’emploi, le président offre un nouveau cadeau au MEDEF ! Jean-Paul Piérot, chef du service Politique à l’Humanité, revient sur la prestation de Nicolas Sarkozy durant son intervention radio-télévisée IL y avait bien davantage à redouter, qu’à espérer de l’’intervention télévisée du chef de l’Etat. Comment allait-il répondre aux syndicats à l’origine de la mobilisation exceptionnelle du 29 janvier ? Sans surprise, Nicolas Sarkozy a été plus sensible aux propos tenus lors de l’assemblée générale du Medef qu’aux revendications exprimées à plus de deux millions de voix dans les rues de nos villes. La seule annonce précise que Nicolas Sarkozy ait formulée est la suppression de la taxe professionnelle à partir de 2010. Un nouveau cadeau est ainsi offert au patronat, qui vient d’ajouter à tous les allègements déjà consentis depuis mai 2007. Les entreprises se verront donc exemptées de leurs contributions aux infrastructures et plus généralement à l’activité sociale des communes dans lesquelles elles sont installées. Le manque à gagner pour les collectivités locales va mettre les élus dans une situation de plus en plus intenable, contraints de renoncer à des investissements d’intérêt général ou d’en faire payer le prix à la population. Huit milliards d’euros, selon le chiffre mentionné par le Président de la République vont être ainsi transférés des comptes publics aux caisses privées, pour ne pas encourager les sociétés à délocaliser. Pas question donc de prendre la moindre mesure qui puisse être ressentie comme une contrainte par les grands patrons « On ne peut imposer les mêmes règles à tout le monde » a lâché Nicolas Sarkozy. Pour le reste, le président s’en est tenu aux promesses les plus vagues. Il a découvert qu’il y avait quelque injustice dans la répartition des richesses entre le capital et le travail ! Il en parlera aux partenaires sociaux qu’il rencontrera le 18 février. Il évoquera, promis juré, d’éventuelles mesures sur l’impôt sur le revenu au bénéfice des familles modestes (suppression de la 1re tranche ? ou du deuxième tiers ?, ou relèvement des allocations familiales ?) On n’en saura pas davantage. _ En revanche, il ne sera pas question d’augmenter le SMIC ? « Après tout cela ne concerne que 17 % des salariés » s’est expliqué le président, qui considère par ailleurs qu’au dessus du SMIC, on entre dans les classes moyennes, à l’exemple, selon lui, des ouvriers du textile et de la sidérurgie… Ceux de Gandrange n’ont pas oublié l’engagement du président, il y a tout juste un an, qu’il ne permettrait pas la fermeture de l’aciérie par le groupe Miital. La fermeture confirmée, plus de 500 salariés licenciés….. Nicolas Sarkozy éprouvait quelques difficultés à s’exonérer de sa parole non tenue, confondant au passage le site de Gandrange et celui de Florange, où un des deux fours a été fermé. Autre certitude, les coupes claires dans la fonction publique continueront, un fonctionnaire sur deux ne sera remplacé ; l’hôpital coûte trop cher, et il faudra réduire la voilure dans les collectivités territoriales. Et pour faire bonne mesure, Nicolas Sarkozy a annoncé que les intérêts des prêts consentis par l’Etat aux banques seront utilisés pour des dépenses sociales (1,4 milliard) Le président a malgré tout le sens de la charité.
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Les principales annonces de Nicolas Sarkozy dans son intervention LUTTE CONTRE LE CHOMAGE ET REPARTITION DES RICHESSES - Nicolas Sarkozy veut "aller plus loin" sur l’indemnisation du chômage partiel, déjà passée en décembre de 50 à 60% du salaire brut à la suite d’un accord entre partenaires sociaux - L’Etat est "prêt à faire un effort" pour "mieux protéger" les jeunes chômeurs - Le chef de l’Etat recevra les partenaires sociaux le 18 février - Il demande aux partenaires sociaux de réfléchir au "partage du profit" entre les salariés et les actionnaires, sans quoi "l’Etat prendra ses responsabilités" MESURES FISCALES - Nicolas Sarkozy réfléchit à une suppression de la 1ère tranche de l’impôt sur le revenu pour aider les classes moyennes, une idée qu’il soumettra aux syndicats - Autres options envisagées : une augmentation des allocations familiales et un "chèque emploi service payé par l’Etat pour les personnes âgées qui vivent seules ou les mères de famille seules" - suppression de la taxe professionnelle en 2010 avec pour objectif d’éviter les délocalisations AIDE AUX BANQUES - Le 1,4 milliard d’euros d’intérêts que l’Etat percevra cette année pour son financement des banques sera "intégralement" affecté au financement de "mesures sociales" - Le président de la Cour des comptes, Philippe Seguin, sera chargé de "conduire un certain nombre d’enquêtes" sur la bonne utilisation des fonds accordés aux banques. - Nicolas Sarkozy veut "changer" le système de rémunération des "traders" mais s’est montré sceptique sur un plafonnement systématique du salaire des dirigeants sur le modèle de ce qu’a annoncé le président américain Barack Obama REFORMES - Pas de changement de cap : les réformes restent "d’actualité" et seront conduites "au même rythme" - Poursuite de la règle du non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux pour revenir au même nombre de fonctionnaires qu’en 1992 - "Pas de dépenses publiques supplémentaires" AUTRES SUJETS - Kouchner : Nicolas Sarkozy maintient "totalement" sa confiance à son ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, mis en cause dans un livre où il est accusé de conflit d’intérêts. - Shoah : il a jugé jeudi "invraisemblables", "choquants" et "inadmissibles" les propos niant la Shoah de l’évêque intégriste anglais, Mgr Richard Williamson
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Le dessin du jour mieux qu'un long discours...
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des projets pour la banlieue parisienne
Dom Le Trappeur a répondu à CRL COOL situé dans Actualité ferroviaire générale
Peut être que le dénommé Farandou pourrait faire un stage à la conduite, à l'accompagnement des trains, et à l'accueil ... et si possible en heures de pointe de matinée et de soirée... -
REACTIONS LEMONDE.FR avec AFP et Reuters Après l'intervention télévisée du chef de l'Etat, jeudi soir, les syndicats se montrent méfiants et déplorent le manque d'annonces concrètes. L'opposition épingle la suppression de la taxe professionnelle, tandis que l'UMP juge que Nicolas Sarkozy "a fait de l'emploi une priorité". * Opposition "Je n'ai pas trouvé un président qui savait où il allait, j'ai eu l'impression qu'il était plus hésitant que d'habitude", a déclaré la première secrétaire du PS, Martine Aubry, sur RTL vendredi matin. Mme Aubry a notamment reproché au chef de l'Etat d'avoir renvoyé au 18 février sa rencontre avec les syndicats. "Tous les autres pays ont décidé de relancer la consommation et l'investissement à court terme, le président renvoie au 18 février des négociations, des discussions, des concertations, lui qui sait passer en force quand il faut baisser l'impôt des plus riches, quand il faut essayer de faire travailler le dimanche, quand il faut mettre la justice sous sa coupe." Benoît Hamon, porte-parole du Parti socialiste. "Tout change, sauf Nicolas Sarkozy, toujours aussi sûr de lui, toujours aussi sûr des bons choix qui ont été les siens et qui ne change absolument rien à sa politique. Il n'est plus possible de poursuivre avec un président de la République qui ignore à ce point ce qu'est le difficulté, la brutalité et la dureté de la vie quotidienne des Français." Claude Bartolone, député PS Saint Denis. Supprimer de la taxe professionnelle, "ça ne peut pas relancer l'économie". "Si vous enlevez des moyens financiers aux collectivités locales qui représentent à elles seules 75 % de l'investissement public, vous croyez que ça ne va pas donner un sacré coup de ralentissement à l'activité ?" Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste, radical et citoyen de l'Assemblée. "Il a fallu que des centaines de milliers de Français descendent dans la rue pour que Nicolas Sarkozy découvre que son plan de relance était injuste et insuffisant. Concrètement, les engagements en faveur des salariés et les contreparties demandées aux entreprises demeurent floues." Victorin Lurel, député PS et président du conseil régional de Guadeloupe. "Le président de la République n'a pas un mot pour la Guadeloupe. Ce silence est méprisant au moment où ce territoire de la République traverse une crise sociale de très grande ampleur, générée par la politique gouvernementale." Jean-Paul Huchon, président PS du conseil régional d'Ile-de-France. Nicolas Sarkozy "désigne comme boucs émissaires les collectivités locales, à qui il supprime leurs ressources, avec l'annonce ex abrupto de la disparition de la taxe professionnelle, sans évidemment proposer une réforme de la fiscalité locale, ni de compensation financière digne de ce nom". Jean-Marc Bouvet (PCF). "A n'en pas douter, c'est une très forte déception qui domine ce soir chez toutes celles et ceux qui ont écouté le président de la République, et qui fera grandir la mobilisation sociale dans les jours à venir. La seule mesure concrète annoncée face à la crise est la suppression de la taxe professionnelle, c'est à dire un nouveau cadeau aux entreprises. On croit rêver !" Le Parti de gauche, dans un communiqué. "Nicolas Sarkozy s'entête et enfume. Il a cherché pendant 90 minutes à profiter de la crise pour justifier sa politique tout en bottant en touche face aux demandes des Français." Marielle de Sarnez, vice-présidente du Modem. "J'ai eu le sentiment qu'il y avait un décalage important entre ce que les Français exprimaient ce soir très profondément et puis un discours assez politique, assez rôdé, avec des mots qu'on a déjà entendus." Jean-Marie Le Pen, président du Front national. "Il nous a expliqué une fois de plus ce qu'il faut faire pour résoudre les problèmes. Et une fois de plus c'était : demain on rase gratis." * Majorité François Fillon, premier ministre. "Nos concitoyens ont vu un président de la République totalement engagé à leurs côtés. Dans l'épreuve, il a fait de l'emploi une priorité. Il a souligné avec force que l'équité et la justice sociale constituaient des composantes essentielles de la mobilisation nationale face à la crise." Xavier Bertrand, le secrétaire général de l'UMP. Aux "questions directes, précises" des Français, le président de la République a apporté des "réponses directes, précises" et "des propositions fortes". "Il fallait aussi des solutions nouvelles qui ne sont pas imposées. Elles sont mises en débat mais elle vont trouver leur place dans le rendez-vous du 18 février avec les partenaires sociaux." Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée. "Nicolas Sarkozy a su trouver le ton et les mots justes pour rassurer les Français, en expliquant les choix de la France, en remettant notre action en perspective et en traçant la voie des réformes indispensables qu'il nous faut conduire." Patrick Ollier (UMP), président de la commission des affaires économiques de l'Assemblée. "Le président de la République a été extrêmement pédagogue. Il a, avec beaucoup de pugnacité, démontré la pertinence du plan de relance, la pertinence des actions conduites." * Syndicats Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, a déclaré vendredi que la CGT allait "poursuivre la mobilisation", dans des formes qui restent à définir. Le patron de la CGT a dénoncé l'absence de mesures concrètes pour le pouvoir d'achat des salariés et l'annonce de la suppression de la taxe professionnelle en 2010. Force ouvrière, dans un communiqué. "Rien de concret et d'immédiat n'a été annoncé en matière de salaires, d'emploi et de services publics, les trois revendications au cœur de la journée de mobilisation du 29 janvier 2009." Pour Jean-Claude Mailly, "il n'y a pas d'annonce concrète et immédiate. Tout est renvoyé à des discussions". La CFDT. "Peu de propositions concrètes. C'est une réelle déception au regard des enjeux qui ont été posés par le mouvement du 29 janvier." Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU. Ce n'est pas "à la hauteur des attentes exprimées par les manifestations" du 29 janvier. Bernard van Craeynest (CFE-CGC). "Il a ouvert beaucoup de pistes, mais il me semble surtout qu'il cherche à gagner du temps. Il y a des choses intéressantes mais sans aucun axe stratégique clair." Pierre Khalfa (Solidaires). "C'est un discours en trompe-l'œil, de dénonciation d'une situation qu'il a lui-même contribuée à créer. En même temps, il est assez intelligent pour prendre la mesure du rapport de force et voir que sa politique a été condamnée par les Français, donc il essaie de donner du grain à moudre à la négociation."
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Conducteurs de Nice assignés
Dom Le Trappeur a répondu à Nipou situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Bravo aux Niçois Bravo pepe : qu'avez-vous gagné ? Heureusement que le forum existe pour faire circuler l'info... mdrmdr -
Conducteurs de Nice assignés
Dom Le Trappeur a répondu à Nipou situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Syndicats niçois et direction de la SNCF trouvent un accord LeMonde.fr Un accord a été conclu, jeudi 5 février à Nice, entre syndicats et direction de la SNCF, après près de deux mois de grève des conducteurs de TER. L'accord doit être soumis vendredi aux conducteurs réunis en assemblée générale. En cas de vote favorable, le retour à la normale du trafic des trains régionaux, qui était perturbé depuis le 9 décembre, est attendu dès vendredi. Le contenu de cet accord, annoncé au terme d'une négociation marathon menée sous l'égide de la préfecture des Alpes-Maritimes, n'a pas encore été rendu public. Les conducteurs réclamaient au moins vingt conducteurs supplémentaires pour faire face à la mise en place du cadencement en Provence-Alpes-Côte d'Azur, qui doit se traduire par une hausse de 20 % du nombre de TER. Ce système consiste à organiser une desserte à un rythme régulier, de façon que les trains passent dans une gare à heures fixes tout au long de la journée. La négociation avait commencé mercredi après-midi, quelques heures après que la direction de la SNCF eut été déboutée de son assignation en référé des conducteurs niçois pour exercice abusif du droit de grève. -
Le dessin du jour "on n'est jamais mieux servi que par soi même..." Regarderez-vous notre très Cher Président ce soir ...?
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Contrat de Travail
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
Ce n'est pas un uniforme mais une tenue de travail pas tout à fait la même chose... Bienvenue dans notre grande entreprise nationalisée de service public ferroviaire... bigbisous -
La Prime... (ex Gexci...)
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Tiens au fait, la GEXCI: elle existe depuis combien d'années... et combien de fois l'avez-vous touchée... ? -
bigbisous On a retrouvé Edvige... Aucun risque qu'ils disaient les Big Brother M'enfin la MAM...Notre charmante Ministre de l'Intérieur (et moi j'en ai perdu le fil de discussion qui en parlait...comme quoi les fichiers...) . La policière aimait trop les 'people' LeMonde.fr La policière aimait les stars, et suivait avec fidélité, semaine après semaine, leurs aventures dans le magazine Gala. Un gentil passe-temps, n'eût été sa fâcheuse manie de consulter, pour chacune de ses vedettes préférées, le STIC (Système de traitement des infractions constatées), le plus gros fichier de police. La policière, qui s'est fait repérer au bout de six mois, vérifiait que les 'people' n'y figuraient pas. 'Elle détruisait ses rêves', soupire l'un de ses pairs. Nulle 'tricoche' ici, nul service monnayé. Mais de la curiosité, et un bel abus de pouvoir à la clé. Piquée au vif par le récent rapport de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) sur les dangers du STIC (Le Monde du 20 janvier), la police intensifie ses contrôles. Depuis juillet 2007, elle dispose d'un outil informatique pour croiser les mouvements sur Chéops et Geopole, deux logiciels internes à la police ; l'un sur la gestion des fichiers, l'autre sur les ressources humaines. Cela permet, entre autres, de déceler des 'anomalies', telles que l'utilisation du code d'un agent alors qu'il se trouve en congé. La police songe à remplacer ce code personnel - que l'on peut 'emprunter' - par des cartes individuelles à puce. Actuellement, 44 niveaux d'habilitation conditionnent l'accès aux informations du STIC et du fichier des personnes recherchées (FPR). VISITEUR FANTÔME L'Inspection générale de la police nationale (IGPN) multiplie aussi les actions de sensibilisation auprès de la hiérarchie. Consulter des données sans cadre d'enquête, c'est déjà une infraction, répètent les 'boeuf-carottes'. Imprimer des données, c'est pire ; les faire lire est encore plus grave. Or, dès lors qu'il n'y a pas paiement, nombre de policiers n'ont pas le sentiment de commettre un délit. 'Au quotidien, le professionnel a tendance à banaliser ses prérogatives', avance Dominique Boyajean, directeur de l'IGPN. Des questionnaires d'auto-évaluation ont été envoyés aux chefs de service. Et les contrôles s'enchaînent. L'IGPN se fait remettre régulièrement la totalité des consultations du STIC sur un an (leur trace est conservée pendant trois ans) : soit 500 000 pour la seule région de Toulouse, par exemple. Cela permet au moins de vérifier qu'un policier parti à la retraite, ou muté dans une autre région, ne continue pas d'apparaître en visiteur fantôme...
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La Prime... (ex Gexci...)
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Si La Prime est soumises à cotisations sociales et est intégrée dansle salaire liquidable comptant pour le calcul de la pension avec effet péréquable pour les retraités actuels... Moi ce qui me gène le plus c'est encore une fois l'annonce faite unilatéralement par la direction sans aucune information aux Organisations syndicales dans le cadre d'une Table Ronde Salaires... La charrue avant les bœufs comme d'hab avec cette direction... Et après on viendra nous parler de dialogue social... -
Commercial : Amende de 5 millions d'euros pour la SNCF
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Commercial : Amende de 5 millions d'euros pour la SNCF Reuters Une amende de 5 millions d'euros a été infligée à la SNCF pour avoir favorisé son agence en ligne Voyages-sncf.com au détriment de ses concurrents. Commercial Le Conseil de la concurrence précise dans un communiqué avoir également sanctionné d'une amende de 500.000 euros le voyageur en ligne Expedia, partenaire de la société publique. Le Conseil de la concurrence avait été saisi par des concurrents de la SNCF se plaignant de ne pas être traités équitablement pour la vente des billets de trains en ligne. A la suite de cette procédure, la SNCF a pris "des engagements substantiels pour l'avenir", précise le texte. Les agences de voyages en ligne "pourront commercialiser toutes les offres promotionnelles de la SNCF et permettre aux internautes d'imprimer eux-mêmes leur billet de train", assure l'organisme. Jusqu'à présent, la SNCF "n'offrait pas aux agences de voyages des conditions techniques" leur permettant de commercialiser certaines offres promotionnelles dans de bonnes conditions (offres de dernière minute ou billets de TGV à prix discount), explique-t-il. De même, les agences ne pouvaient pas utiliser la fonctionnalité "Billet Imprimé", particulièrement appréciée des internautes. Gérard Bon, édité par Yves Clarisse -
SUGE - Table Ronde Sureté - 4 février 2009
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Temps Réel Direction SNCF 2009_02_05_012_surete.pdf -
La Prime... (ex Gexci...)
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La Prime (Ex gexci) Temps réel du 3 février Zarbi personne n'en parle... (ou c'est moi qui n'est pas vu...) Nouvelle annonce semble-t-il unilatérale de la Direction... ça va encore finir en eau de boudin ? 2009_02_05_013_Laprime.pdf