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Rapport Mariton Une nouvelle attaque contre les droits sociaux du travail 2009_02_05_rapport_mariton_greve_sncf.pdf
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Conducteurs de Nice assignés
Dom Le Trappeur a répondu à Nipou situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Série de dépêches et articles de journaux au sujet du conflit de nice 2009_02_04_Depeche_AFP.pdf 2009_02_05_001_nice_afp.pdf 2009_02_05_002_nice_afp.pdf 2009_02_05_003_nice_afp.pdf 2009_02_05_004_nice_afp.pdf 2009_02_05_005_nice_.pdf 2009_02_05_006_nice_.pdf 2009_02_05_007_nice_.pdf 2009_02_05_008_nice_.pdf 2009_02_05_009_nice_.pdf 2009_02_05_010_nice_.pdf 2009_02_05_011_nice_.pdf -
Il faut bien s'en amuser... les mélodies d ela crise réalisées avecx les cours de la Bourse... http://www.zigonet.com/musique/les-melodie...ft_art3981.html
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Conducteurs de Nice assignés
Dom Le Trappeur a répondu à Nipou situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Les cheminots de Nice défendent les libertés Répression . Rassemblement, hier, en gare de Nice, à l’appel de la CGT, pour contrer une « attaque préméditée contre le droit de grève ». Nice (Alpes-Maritimes), L'Humanité Mardi 3 février 2009 correspondant régional. « Des agissements dignes du régime de Pétain » : le ton, toujours aussi calme et déterminé de Frank Boyer, le délégué CGT et porte-parole des conducteurs de TER en grève pour obtenir des embauches de conducteurs nécessaires à une augmentation du trafic de 20 %, est néanmoins monté d’un cran, hier matin, devant les syndicalistes de toutes les professions rassemblées à la gare de Nice. Jeudi dernier, au domicile familial de treize cheminots, dont douze sont des militants CGT, « des huissiers ont été envoyés le matin du jour de la grande manif, à laquelle les cheminots devaient participer, pour remettre des convocations pour le lendemain au tribunal, laissant aux gens moins de vingt-quatre heures pour préparer leur défense », s’indignait-il, tandis que, derrière lui, un cheminot gréviste apposait un panneau « Place de la Résistance ». Une liberté fondamentale Dans le même esprit, Michaël Albin, le secrétaire général des cheminots CGT de Nice et sa région, se référant au projet de loi antigrève du député niçois Éric Ciotti, dénonçait une « attaque préméditée de l’UMP contre le droit de grève qui a trouvé un appui au sein même de notre entreprise ». La direction régionale de la SNCF a, en effet, traîné devant le TGI de Marseille, vendredi dernier, treize conducteurs de TER réputés grévistes ainsi que trois organisations syndicales (CGT, CFDT, FGACC) pour « abus du droit de grève entraînant un trouble manifestement illicite » (humanite.fr du 30 janvier et l’Humanité du 31). Le tribunal rendra son jugement demain, mais déjà, pour Didier Turini, le secrétaire général de l’UD-CGT des Alpes-Maritimes, c’est le monde du travail qui doit se sentir concerné par ce genre d’attaque qui risque de se multiplier, « remettant en cause une liberté fondamentale ». Plus 20 % de TER, zéro embauche Pour l’heure, ce sont les cheminots niçois qui, entamant leur deuxième mois de grève, sont en première ligne de ce qui devenu, selon Frank Boyer, « l’un des nouveaux combats idéologiques (de la droite) ». Hier, c’était un « temps fort » de leur action revendicative, soit trois conducteurs sur quatre en grève, laissant la possibilité d’organiser un service minimum. Ce que la direction de la SNCF s’est montrée dans l’incapacité de faire, notamment entre 5 heures et 7 h 30. La CGT y voit une preuve « d’incompétence », doublée d’une volonté manifeste de dresser les usagers contre les grévistes. Ces derniers semblent plus déterminés que jamais à tenir bon, tout simplement parce que, selon eux, la sécurité des voyageurs et la leur sont en jeu. « Face aux 20 % de TER supplémentaires financés en grande partie par la région, il y aurait zéro embauche à la conduite, donc chaque agent ferait plus de 200 kilomètres par jour, dépassant ainsi les limites physiologiques définies par le CHSCT, ce qui mettrait en danger les usagers », résume Frank Boyer, en se réjouissant de constater que ces derniers « comprennent de mieux en mieux les raisons d’une grève que nous assumons ». Philippe Jérôme -
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Document argumentaire campagne électorale DP/CE
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Document argumentaire campagne électorale DP/CE 26 mars 2009 UFCM-CGT - Février 2009 2009_02_04_ufcm_cgt_TractCampagneElectorale_fevrier_2009.ppt -
Retraites Cheminots - spécificités ASCT
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Retraites Cheminots - spécificités ASCT (contrôleurs) Document information CGT 2009_02_03_ArgumentaireRetraitesASCT.pdf -
Notations 2009 Contingents /effectifs 1997/2008
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Notations 2009 Informations UFCM-CGT Maitrises et Cadres graphique effectifs sncf 1997/2000/2008 2009_02_04_Tract_ContingentsNotations_2009_UFCM_CGT.pdf -
Conducteurs de Nice assignés
Dom Le Trappeur a répondu à Nipou situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Grève des conducteurs à Nice: la SNCF déboutée, mouvement jugé licite AFP 11h00 La direction de la SNCF qui avait assigné en référé treize conducteurs de TER de Nice et trois syndicats (CGT, CFDT, Fgaac) pour exercice abusif du droit de grève a été déboutée mercredi par le tribunal de grande instance de Marseille. "Statuant en référé (...), nous déboutons la Société nationale des chemins de fer français (SNCF) de ses demandes", précise le président de la chambre des référés dans son jugement dont l'AFP a obtenue copie. La SNCF demandait au juge de reconnaître que le mouvement de grève, entamé le 9 décembre pour réclamer davantage de personnel, revêtait un caractère abusif depuis le 5 janvier et plaidait pour que la justice ordonne la cessation immédiate de la grève. Elle reprochait également aux conducteurs qui ne font pas grève de manière continue d'avoir imaginé "une solution astucieuse" pour désorganiser le service, avait indiqué l'avocate de la SNCF Régine Scapel-Grail dénonçant une "dérive pénalisant les usagers". Les grévistes assignés ont en outre obtenu la somme de 5.000 euros au titre des frais de justice, selon le jugement. "Nous sommes très satisfaits de cette décision qui s'inscrit pleinement dans le cadre de la loi", a déclaré à l'AFP l'avocat de la CFDT, Me Richard Pellegrino. Avant la décision du tribunal, Guillaume Pepy, le président de la SNCF, avait estimé que chacun devait prendre ses responsabilités et que les discussions devaient reprendre. "Ca n'a que trop duré", a-t-il déclaré mercredi sur France Inter. "Quand il y a un conflit social qui dure, je ne suis pas de ceux qui disent: +C'est la faute aux autres+. Je suis président de la SNCF, j'y suis depuis 20 ans, je suis un homme de dialogue, ma porte est ouverte", a-t-il ajouté. "Je n'exclus personne de la discussion mais, en même temps, dans certains conflits récents, la question qui était posée, c'est la réduction du temps de travail des conducteurs. Moi, je ne pense pas que la réduction du temps de travail des conducteurs soit aujourd'hui la priorité", a-t-il dit. Me Pellegrino avait souligné à l'audience, le 30 janvier, que cette grève avait pour origine la "fatigue" des conducteurs " qui ont déjà amélioré leur productivité, sur cette ligne, de 20%". Selon l'avocat et la CGT, les conducteurs effectuent environ 230 km par jour contre 160 km auparavant, alors que le comité d'hygiène a recommandé un maximum de 200 km. D'où la demande de personnel supplémentaire pour la sécurité des usagers. -
Conducteurs de Nice assignés
Dom Le Trappeur a répondu à Nipou situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La grève des cheminots niçois jugée légale LEMONDE.FR avec AFP | 04.02.09 | 10h11 • Le tribunal de grande instance de Marseille a débouté, mercredi 4 février, la SNCF qui avait assigné en référé treize conducteurs de TER de Nice et trois syndicats (CGT, CFDT, Fgaac) pour exercice abusif du droit de grève. L'avocat de la CFDT, Me Richard Pellegrino, s'est déclaré "très satisfait de cette décision qui s'inscrit pleinement dans le cadre de la loi". Avant le jugement, l'avocat de la CGT, Me Emmanuel Pardo, avait prévenu que "la juridiction est aujourd'hui le dernier rempart pour cette liberté qu'est le droit de grève". La SNCF demandait au juge de reconnaître que le mouvement de grève engagé le 9 décembre pour demander davantage de personnel revêtait un caractère abusif depuis le 5 janvier, et plaidait pour que la justice ordonne la cessation immédiate de l'arrêt de travail. Elle demandait 5 000 euros au titre des frais de justice et une astreinte de 1 000 euros par jour de grève, estimant que les conducteurs ne faisant pas grève de façon continue avaient trouvé une "solution astucieuse" pour désorganiser le service. Les syndicats ont répondu qu'ils respectaient toutes les dispositions de la loi sur le service minimum dans les transports. Avant la décision du tribunal, Guillaume Pepy, le président de la SNCF, avait estimé que chacun devait prendre ses responsabilités et que les discussions devaient reprendre. "Je n'exclus personne de la discussion mais, en même temps, dans certains conflits récents, la question qui était posée, c'est la réduction du temps de travail des conducteurs. Moi, je ne pense pas que la réduction du temps de travail des conducteurs soit aujourd'hui la priorité", a-t-il déclaré sur France-Inter. -
Cheminots : Accord électoral FO - CFE-CGC
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Accord électoral chez les cheminots entre FO et CFE-CGC http://www.fo-cheminots.com/federation/act...mmune-3680.html? -
La popularité de Sarkozy et Fillon en net recul LeMonde Nicolas Sarkozy perd six points de popularité et François Fillon recule de quatre points, selon un sondage Paris-Match/IFOP rendu public mardi 3 février. Avec 41 % d'opinions favorables, Nicolas Sarkozy est à son plus bas niveau depuis son élection dans ce tableau de bord politique. La proportion de sondés qui se disent très mécontents de l'action du chef de l'Etat atteint 34 %. Les personnes insatisfaites lui reprochent sa phrase sur la grève devenue invisible et le récent limogeage du préfet de la Manche. Le recul est spectaculaire chez les électeurs du Front national (- 30), de 20 points chez ceux du MoDem de François Bayrou et de 7 points parmi les sympathisants socialistes. Un peu moins durement affecté que le chef de l'Etat, le premier ministre François Fillon recule de 4 points avec 49 % d'opinions favorables.
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Comme l'impression que ça va mal finir... Condamné pour un 'Casse toi pov'con': le retour Le Post pierre-alain - C'est quoi cette histoire ? Le 28 août dernier, Hervé Eon, militant socialiste, se rend à une manifestation lors du passage de Nicolas Sarkozy dans sa ville de La val (Mayenne). Au moment où passe le convoi présidentiel et alors qu'il est interpellé par la police, il brandit une pancarte "Casse-toi pov' con". Poursuivi par la justice pour "offense au chef de l'Etat", il avait été condamné en novembre 2008 à une "amende de principe" de "30 euros avec sursis" par le tribunal de grande instance de Laval. Très remonté à la suite de cette décision, il avait fait appel. Ce mardi, Hervé Eon doit comparaître devant la cour d'appel d'Angers, qui examine sa condamnation. Par ailleurs, un manifestant est convoqué, le 10 mars prochain, devant le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire, pour répondre d’"offense au chef de l’Etat". Il est accusé d'avoir tenu des propos injurieux envers le chef de l'Etat, jeudi dernier, en marge de la manifestation à Saint-Nazaire.
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application à compter de juillet 2008... mise en application localement depuis début septembre/octobre 2008 je crois. donc effet rétroactif... C'est du ressort en premier lieu de l'Etablissement pour déclencher le P1 ou P2 L'effet rétroactif serait effectué automatiquement par le système informatique de Lyon. Donc si vous n'avez rien sur votre fiche de paie de janvier : vérifier que vous êtes sur la liste des métiers figurant sur la liste sinon si vous êtes concernés : déposez votre dossier (exemple un agentsur un grade administratif de 54 ans qui aurait effectué au moins 25 ans de carrière comme agent circulation en 3x8 avant d'être affecté dans un poste administratif) la liste des métiers et postes qui relèvent de la pénibilité devrait figurer quelque part sur le forum... celui qui retrouve le document a gagné mon respect...
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PENIBILITE Prime pénibilité P2 : la prime de travail est majorée de 25 euros Cette majoration reste acquise quelle que soit l'évolution de votre carrière. Elle est liquidable c'est à dire qu'elle compte pour le calcul de la pension de retraite. Pour rappel : Le temps Réel sur la pénibilité http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...t=0#entry234804 réunion du 12 mars 2008 car à priori c'est encore loin d'être appliqué partout Vérifier sur votre bande de paie dans le cadre haut à gauche en face de la mention "prime de travail" : à côté du n° de votre code prime la présence de la mention P1 ou de la mention P2 Si il n'y a pas de mention : vous ne touchez pas la majoration de la pime pénibilité : avez vous été concerné à un moment ou un autre de votre carrière par les critères "pénibilité" Si OUI : réclamez ! P1 : agents ayant tenu au cours de leur carrière des emplois ou postes à pénibilité avérée sur une durée cumulée d'au moins 20 ans, mais de moins de 25 ans. P2 : agents ayant tenu au cours de leur carrière des emplois ou oostes à pénibilité avérée sur une durée cumulée d'au moins 25 ans.
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Réunion des 8 organisations syndicales Communiqué commun mardi 3 février 2009 Communiqué commun des organisations syndicales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA La mobilisation du 29 janvier 2009 a connu un succès incontestable dans toute la France : des millions de salariés du privé et du public, parmi lesquels de nombreux jeunes, des demandeurs d’emplois, des retraités ont manifesté, fait grève, soutenu le mouvement. L’ampleur de ces manifestations confirme leurs inquiétudes et leur exaspération face aux injustices sociales. Ils exigent d’autres réponses à une crise dont ils ne sont pas responsables. Il est urgent que le Gouvernement d’une part, le patronat et les employeurs d’autre part, assument leurs responsabilités, répondent aux demandes formulées dans la déclaration intersyndicale du 5 janvier 2009 et reçoivent les organisations syndicales. Les organisations syndicales décident de maintenir leurs rencontres afin de prendre toutes les décisions et initiatives, notamment en matière d’actions et de mobilisations. Elles appellent les salariés et leurs organisations à rester mobilisés et à s’appuyer sur la force de la journée du 29 janvier pour obtenir partout des négociations sur les revendications. La puissance du mouvement conduit le Président de la République à s’exprimer jeudi. Les organisations syndicales en attendent des réponses aux revendications par l’annonce de mesures concrètes et immédiates et par l’ouverture de discussions avec elles. Elles se réuniront le 9 février 2009 pour en apprécier la portée et en tirer les conséquences. Paris, le 2 février 2009
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Les syndicats temporisent avant l'intervention de Sarkozy Reuters Les représentants des huit syndicats français se sont réunis lundi à Bagnolet, aux portes de Paris, pour réaffirmer leur détermination face à la crise économique et sociale et voir les suites à donner à la mobilisation de jeudi dernier. Ils ne devraient prendre aucune décision sur de nouvelles journées de mobilisation dans l'attente de l'intervention audiovisuelle de Nicolas Sarkozy, jeudi soir, et d'éventuels "gestes d'ouverture" du chef de l'État dans les jours qui viennent. "Nous souhaitons ce soir que les organisations réaffirment leur unité et leur volonté d'être entendues", a déclaré Maryse Dumas, numéro deux de la CGT, avant la réunion qui se déroulait au siège de l'Unsa. "Si, dans de brefs délais, il n'y a pas de réponse satisfaisante, alors nous envisagerons de nouvelles mobilisations", a-t-elle ajouté. Pour Michèle Biaggi, représentante de Force ouvrière, il est difficile pour le moment de décider des suites à donner au mouvement qui a réuni jeudi dernier entre un et 2,5 millions de personnes dans des manifestations selon les sources. "Il semble difficile de décider aujourd'hui car le président va s'exprimer. On va voir si ce qu'il dit rentre dans le cadre des revendications", a-t-elle déclaré. Tous les représentants ont dit par ailleurs ignorer la date de la rencontre prévue avec le chef de l'État dans le courant du mois de février. Dimanche, François Chérèque, le leader de la CFDT, avait affirmé que les principaux responsables syndicaux s'étaient mis d'accord pour "ne pas faire une manifestation tous les 15 jours" en raison du risque de voir la mobilisation diminuer. Jean-Claude Mailly, le secrétaire général de Force ouvrière, avait cependant posé une condition en fin de semaine dernière : que le président Nicolas Sarkozy accepte de recevoir les organisations syndicales "dans les dix jours". La CGT a déclaré pour sa part qu'on ne pouvait pas remettre la suite du mouvement à avril et Sud veut "battre le fer pendant qu'il est encore chaud". Les syndicats exigent un second plan de relance axé sur la consommation et des mesures pour les salaires et l'emploi, des exigences rejetées pour l'instant par le gouvernement. François Chérèque, qui demande un" changement de cap", réclame en particulier le gel des suppressions d'emplois dans la fonction publique et une révision de la réforme de l'organisation de l'Etat. Seul un geste fort du chef de l'État semble pouvoir, pour le moment, rompre l'unité syndicale qui s'est reformée face aux conséquences de la crise. En 2003, le gouvernement avait cédé sur une des revendications de la CFDT, le dispositif des carrières longues, pour faire éclater l'unité syndicale. Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser
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SUGE - Table Ronde Sureté - 4 février 2009
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
SUGE - SURVEILLANCE GENERALE Une Table Ronde Sûreté a lieu le 4 Février 2009 En pièce jointe : communiqué CGT à ce sujet Si vous avez d'autres informations à ce sujet... 2009_02_03_cgt_fede_SUGE_Communique_TableRonde_SURETE_04.02.09.pdf -
Note reçue ce jour par e-mail : si quelqu'un arrive à traduire... Objet : prolongation de la carte papier Bonjour, Suite aux discussions avec la direction des ventes et la direction des trains, il a été décidé de prolonger l'accès au tarif CF00 aux agents jusqu'au 28 février. Cela revient à autoriser aux agents sans Pass Carmillon l'achat de résas payantes et la présentation de leur ancienne carte au contrôleur en expliquant pourquoi. Cela devrait permettre de répondre à la demande des Agences Famille afin qu'elles puissent lisser leur charge de travail entre les campagnes "PF" et autres "FC" et la confection de Pass Carmillon. Les vendeurs et les ASCT vont être prévenus.
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Ouai et en plus ils prennent "en otage" tous ces pauvres étudiants qui ne souhaitent que travailler et passer leurs examens en fin d'année... sans parler des chômeurs toujours "à la recherche" d'un emploi...
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Le fossé se creuse... Pour 62 % des Français, le gouvernement n'est pas efficace contre la crise LeMonde.fr Près de deux Français sur trois (62 %) pensent que la politique du gouvernement ne permet pas de lutter efficacement contre les effets de la crise, et 61 % souhaitent que les syndicats appellent à poursuivre la mobilisation, selon un sondage CSA pour L'Humanité à paraître mardi 3 février. 59 % des personnes interrogées ne sont pas satisfaites des réactions du président de la République et du gouvernement après la journée de mobilisation du 29 janvier. Le chiffre monte à 83 % chez les sympathisants de gauche, et à 71 % chez ceux du MoDem. 65 % des sympathisants de droite sont au contraire satisfaits de l'attitude du chef de l'Etat face aux manifestations et aux grèves. 73% des Français se réclamant de droite trouvent la politique du gouvernement efficace face à la crise. A gauche, 84 % la trouvent inefficace. Quant à une poursuite de la mobilisation des syndicats, 84 % des sympathisants de gauche et 57 % des sympathisants MoDem l'approuvent, contre 77 % des sympathisants de droite, qui y sont opposés.
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600.000 retraités en dessous du seuil de pauvreté Reuters L'âge doré des "tempes grises" s'est achevé depuis trois ans en France et 600.000 personnes âgées vivent aujourd'hui en dessous du seuil européen de pauvreté, s'alarme la Fondation Abbé Pierre. Dans son rapport annuel, l'association estime que les politiques publiques n'ont pas pris la mesure de ce phénomène qui ne peut qu'accroître les inégalités et appelle à des solutions innovantes en particulier dans le domaine du logement. Après 30 ans d'élévation du niveau de vie des retraités, "la parenthèse heureuse s'est refermée depuis trois ans", affirme Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation. Il souligne que 600.000 personnes vivent aujourd'hui avec une allocation de solidarité de 628 euros mensuels, soit en dessous du seuil de pauvreté selon la norme européenne (752 euros). Patrick Doutreligne, qui espère être entendu du gouvernement, souligne comme de nombreux responsables d'associations que le phénomène s'est amplifié depuis septembre avec la crise financière et sociale. "On voit les premières barques de personnes âgées et ça va s'amplifier", assure-t-il. Il cite l'exemple de personnes âgées allant au-devant des maraudes d'aide aux sans-abris pour réclamer des fruits ou des produits alimentaires. "Depuis quelques années, on voit des retraités toquer à la porte des associations (caritatives). Il y a un mouvement massif", renchérit Christophe Robert, directeur des études de la fondation. Pour Patrick Doutreligne, le vieillissement de la population "ne semble pas pris en compte par les pouvoirs publics." Le responsable de la fondation remet en cause l'idée développée par le président Nicolas Sarkozy selon lequel le fait d'être propriétaire serait un bouclier contre la précarité et compenserait les problèmes de retraite. En effet, 84% des ménages âgés pauvres sont propriétaires mais ce statut est paradoxalement "une source de difficultés" en raison des problèmes qu'ils rencontrent pour en payer l'entretien et les charges, souligne-t-il. Les responsables de l'association insistent sur un autre phénomène, le nombre croissant de retraités demandant à loger dans les logements sociaux, ce qui engendre de nombreux problèmes. L'arrivée de personnes âgées freine en effet la mobilité dans le parc HLM et les logements sont souvent inadaptés. Entre 1990 et 1999, la part des locataires de 75 ans et plus a progressé de 33%. Le rapport souligne également l'impact négatif qu'aura le passage à la retraite pour les travailleurs migrants âgés qui n'ont pas d'autre choix que de rester dans des foyers inadaptés et les personnes vivant dans des logements insalubres. Selon Patrick Doutreligne, la réforme des retraites, l'explosion du prix de l'immobilier et des loyers depuis dix ans, à peine compensée par un début de baisse, et le fait d'avoir "aidé les familles aisées", et non les plus modestes, ne peuvent qu'aggraver la situation. "Alors qu'on pouvait espérer des politiques publiques qu'elles cherchent à atténuer la disparité de revenu, les réflexions en cours font craindre le contraire", souligne le rapport. Gérard Bon, édité par Yves Clarisse