-
Compteur de contenus
14 623 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
-
respect du rh 77 ? toujours d'actualité
Dom Le Trappeur a répondu à william85 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La Direction "Fret SNCF" prête à faire des efforts ? :Smiley_25: -
L'investissement dans l'industrie chuterait de 12% en 2009 Reuters Les chefs d'entreprise de l'industrie s'attendent à une nette contraction de l'investissement en valeur en 2009 et ont à nouveau révisé en baisse leurs estimations pour 2009, selon une enquête trimestrielle réalisée en janvier par l'Insee. Les chefs d'entreprise interrogés s'attendent à une baisse de 12% de l'investissement dans l'ensemble de l'industrie comme dans l'industrie manufacturière cette année, soit une révision en baisse de neuf points par rapport à leurs premières prévisions émises dans la précédente enquête d'octobre. La baisse des dépenses d'équipement serait particulièrement forte dans les industries des biens intermédiaires (-20%), agroalimentaire (-13%) et automobile (-12%), précise l'Insee dans un communiqué. Cette publication coïncide avec l'annonce, par le constructeur automobile Renault, d'une baisse de 20% de ses investissements cette année. Les chefs d'entreprise interrogés par l'Insee estiment que l'investissement a baissé de 1% dans l'industrie manufacturière en 2008 et est resté stable dans l'ensemble de l'industrie, au lieu de prévisions de respectivement +1% et +2% en octobre. "Cette révision à la baisse est imputable aux industries des biens d'équipement (prévisions d'investissement ramenées de +5% à -1%) et aux industries des biens intermédiaires (de +2 % à -2%)," précise l'Insee. Ces prévisions sont publiées à la veille de la publication des chiffres du produit intérieur brut du quatrième trimestre, qui devraient dénoter une contraction de l'économie française sans précédent depuis la récession qui avait suivi le choc pétrolier de 1973. L'enquête sur les investissements dans l'industrie est réalisée en janvier, avril, juillet et octobre. Elle ne s'adresse qu'aux entreprises industrielles, production, transport et distribution d'électricité de gaz et d'eaux étant exclus. L'investissement dans l'industrie représente 30% de l'investissement productif en France. Véronique Tison Heu... Ce n'est pas notre Très Cher président de la République qui disait que l'investissement serait l'issue à la crise financière ...
-
60% des Français veulent que Sarkozy suive les syndicats Reuters Six Français sur dix souhaitent que le président Nicolas Sarkozy change de cap en fonction des revendications des syndicats, selon un sondage CSA paru aujourd'hui dans Le Parisien. Selon cette enquête effectuée par téléphone le 11 février auprès de 820 personnes âgées de plus de 18 ans, 60% des sondés souhaitent que le président de la République réoriente son action en fonction des demandes des syndicats, qui seront reçus à l'Elysée le 18 février. Ils sont 22% à penser au contraire que Nicolas Sarkozy doit maintenir le cap des réformes et du plan de relance de 26 milliards d'euros mis en place face à la crise. Deux semaines après la journée d'action du 29 janvier, qui a rassemblé entre un et 2,5 millions de manifestants, Les trois-quarts des personnes interrogées (75%) disent comprendre que l'on puisse manifester et exprimer des inquiétudes et des mécontentements. Elles sont 19% à estimer que ce n'est pas le moment de manifester et de revendiquer. Elizabeth Pineau
-
Victime d'une année atypique, Renault parvient à limiter la casse en 2008 LeMonde.fr En 2008, le groupe Renault parvient à limiter la casse. Il enregistre un bénéfice net de 599 millions d'euros, en baisse de 78 %, aidé par la contribution des entreprises associées, Nissan et Volvo AB. Le chiffre d'affaires est en baisse de 7 % à 37,791 milliards d'euros. Au quatrième trimestre, le groupe a enregistré un chute de son chiffre d'affaires de 28,7 %. Confronté au retournement violent de la conjoncture l'an dernier, particulièrement au deuxième semestre, Renault a été contraint de revenir à plusieurs reprises sur ses prévisions de ventes et de résultats au cours de l'exercice. Dans un communiqué, le groupe souligne que son ambition d'atteindre une marge de 6 % en 2009 seuil fixé dans le cadre du programme 'Contrat 2009' est devenue 'caduque'. L'objectif de vente de trois millions de véhicules à cette date est également abandonné. 'Nous avons vécu un exercice très atypique', a déclaré Thierry Moulonguet, directeur financier du groupe au cours d'un bref point presse. Le dirigeant a ajouté que 'le manque de visibilité empêchait toute prévision chiffrée' pour 2009 et que la priorité de l'entreprise allait 'au retour à un free cash flow positif', lequel était négatif de 3,02 milliards d'euros l'an passé. Thierry Moulonguet a également affirmé qu'à fin 2008, Renault disposait de lignes de crédit pour 4,2 milliards d'euros pour l'automobile, dont 518 millions utilisés, et d'autres accords autorisant des prêts équivalents à 5,2 milliards d'euros pour le financement de ses ventes dont 753 millions avaient déjà été tirés. Ces liquidités s'ajoutent au prêt public de 6 milliards d'euros consenti par l'Etat pour Renault et PSA Peugeot Citroën. Renault ajoute que ses stocks ont reculé de 666 millions d'euros en valeur à fin décembre et que l'entreprise souhaite poursuivre leur réduction cette année pour un montant de 800 millions à 1 milliard d'euros. 'Les investissements devraient aussi reculer de 20 %', a précisé Thierry Moulonguet. Le conseil d'administration du constructeur a décidé de ne pas proposer le versement d'un dividende.
-
EDF: résultat net courant 2008 de 4,3 milliards d'euros, en recul de 7,9% AP Electricité de France (EDF) a annoncé jeudi un résultat net part du groupe de 3,4 milliards d'euros pour un chiffre d'affaires du Groupe est de 64,3 milliards d'euros. Le résultat net courant s'élève à 4,3 milliards d'euros, en recul de 7,9%. Lire la suite l'article En France, le chiffre d'affaires s'élève à 34,3 milliards d'euros, en croissance de +6,3%, dont 3,8 points liés aux évolutions de prix et de tarifs, 1 point au développement des ventes de gaz naturel et de services et seulement 1,5 point de croissance des volumes. Alors que 2009 s'ouvre dans "un environnement marqué par les incertitudes nées de la crise économique et financière", EDF souligne dans son communiqué que le Groupe s'est fixé comme objectif de "conserver une structure financière solide" et, à cet égard, va engager "dès cette année un programme de cessions qui devrait alléger son endettement financier net d'au moins 5 milliards d'euros en 2009-2010". AP
-
Un dividende de 207 euros versé en février
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Mon foie va très bien ... ma foi Tu ne vas pas nous en faire une crise... lotrela -
Pas de consensus sur le tracé de la ligne TGV Paris-Nice
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Pas de consensus sur le tracé de la ligne TGV Paris-Nice LEMONDE.FR | 11.02.09 Le ministre de l'écologie, Jean-Louis Borloo, a annoncé mercredi 11 février que la décision sur le tracé définitif de la ligne à grande vitesse (LGV) Paris-Nice serait prise "au 30 juin". "Vous verrez qu'[à cette date], on aura un tracé et ce tracé sera extraordinairement bien", a déclaré M. Borloo, répétant qu'il était "vital" de réaliser cette LGV qui mettra Paris à quatre heures de Nice, contre cinq heures et demie actuellement. "Nous serions irresponsables si nous ne le faisions pas", a jugé le ministre. Il a précisé qu'il faudrait ensuite six mois de plus pour boucler le financement de la ligne, dont les études de Réseau ferré de France estiment le coût dans une fourchette de 8 à plus de 11 milliards d'euros selon les tracés. Deux camps s'affrontent sur deux tracés forts différents. Premier point de fixation, le coût : 8 milliards d'euros pour le tracé nord qui, depuis Aix, filerait vers Nice le long de l'autoroute A8 ; 11,4 milliards pour celui du sud, dit des métropoles, desservant Marseille et Toulon avant de rejoindre la Côte d'Azur. Le préfet de région Michel Sappin a affiché sa préférence pour le tracé nord et le président UMP du conseil général des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, a mis le feu aux poudres en annonçant prématurément que l'Etat avait choisi cette voie pour des raisons de coût. En mars 2008, entre les deux tours des municipales, le président Sarkozy s'était engagé en faveur du tracé sud, dans une lettre au maire UMP de Marseille, Jean-Claude Gaudin, qui a lui-même changé plusieurs fois d'avis sur la question. UN CHANTIER PHARAONIQUE Certains élus – de droite et de gauche – ont pris position pour le tracé sud. Ils reprochent au tracé nord de défigurer le paysage de la montagne Sainte-Victoire, vitrine du tourisme local, ainsi que les côteaux viticoles aixois et varois. Les plus pessimistes estiment que MM. Sappin et Ciotti ont agi "en service commandé" pour préparer le terrain à une volte-face du gouvernement, voire un abandon du projet. Mais Maryse Joissains, la maire d'Aix, espère encore renverser la vapeur. Pour elle, les estimations ont été biaisées et le tracé nord coûterait en réalité plus cher, par exemple pour trouver une solution (cage de Faraday, viaduc gigantesque) au problème que poseraient les vibrations de la LGV à l'usine STMicroelectronics du Rousset (Bouches-du-Rhône). Les partisans du tracé sud, dont le président PS du conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guérini, soulignent aussi qu'il attirerait deux millions de passagers de plus par an, c'est-à-dire des recettes supplémentaires gommant, à terme, la différence de coût des travaux. Il permettrait enfin de réduire davantage le trafic routier sur la côte. Le chantier n'en serait pas moins pharaonique, avec notamment à Marseille la construction d'une nouvelle gare, 70 mètres sous terre. Or les Niçois sont pressés : ils comptent sur la LGV dès 2018, année où ils espèrent organiser les Jeux olympiques d'hiver. Pour eux, la décision ne peut plus se faire attendre. Un avis que partage Michel Vauzelle, président PS de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur : "La LGV est vitale pour la région. Si on ne la fait pas maintenant, dans vingt ans ce sera absolument impossible. Si on n'est pas d'accord entre UMP, c'est au gouvernement de prendre ses responsabilités. C'est, je l'espère, ce que fera M. Borloo." Le Monde.fr, avec AFP et Reuters -
SNCF : surtaxation du service téléphonique
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Luc Chatel confirme que la SNCF ne respecte pas la loi en maintenant la surtaxation de son service téléphonique AP Luc Chatel a confirmé mercredi que la SNCF ne respectait pas la loi qui porte son nom, en maintenant la surtaxation de son service téléphonique, le "3635", qui coûte 34 centimes par minute. "C'est exact", a déclaré le secrétaire d'Etat à la Consommation sur Radio-Classique. "C'est la raison pour laquelle j'ai demandé au président de la SNCF Guillaume Pepy d'y surseoir, et il s'est engagé", a-t-il poursuivi, précisant: "Il y a quelques semaines, (...) il s'est engagé à ce que ce service ne soit plus surfacturé." La loi Chatel du 3 janvier 2008 interdit les numéros surtaxés pour la vente à distance. AP -
SNCF : Lutter contre les suicides
Dom Le Trappeur a répondu à DavidKorner situé dans Actualité ferroviaire générale
La SNCF veut lutter contre les suicides sur les voies, en hausse en Ile-de-France AFP La SNCF va tenter de limiter le nombre de suicides sur les voies de chemin de fer, en forte augmentation en Ile-de-France, et qui créent d'énormes perturbations dans le trafic, a indiqué lundi Jean-Pierre Farandou, en charge du transport régional de l'entreprise. On constate une "forte recrudescence" du nombre de suicides sur le réseau SNCF en Ile-de France, avec une hausse de 22% en 2008 par rapport à 2007 (181 contre 148), soit en moyenne un tous les deux jours, a relevé M. Farandou, lors d'une conférence de presse sur le transport régional. Les suicides entraînent "forcément une interruption très longue" du trafic, en général de deux heures en raison de l'intervention de la justice, de la police, puis des pompiers ou des pompes funèbres, a continué Jean-Pierre Farandou. Une centaine de trains et jusqu'à 100.000 voyageurs peuvent être retardés par un suicide, a-t-il précisé. D'autant que c'est aux heures de pointe que les suicides ont le plus augmenté, d'après la SNCF (+72% entre 2007 et 2008). Si la SNCF "n'a pas l'ambition de traiter les causes profondes", il s'agit de "dissuader les gens de choisir le train pour se suicider", a-t-il poursuivi, citant l'exemple du Canada, qui est parvenu à réduire le taux de suicide dans le métro, grâce à de la "pédagogie" et à des "actions de prévention". Comme au Canada, la SNCF pourrait former le personnel à reconnaître "les comportements critiques pour prévenir un passage à l'acte". Des associations sont également intervenues là-bas pour expliquer que "l'on ne +gagne+ pas à tous les coups quand on se jette sous un train" et que l'on peut en sortir très lourdement handicapé, a-t-il dit, ajoutant avoir sollicité la RATP pour participer à cette démarche. Sur le réseau national SNCF, on déplore deux suicides par jour. La compagnie nationale n'était pas en mesure lundi de donner d'évolution annuelle pour ce chiffre. A l'inverse de la SNCF Ile-de-France, la RATP a compté moins de suicides en 2008 qu'en 2007 (-11,4%), mais n'a pas d'explication. La présence d'un officier de police judiciaire est indispensable sur les lieux, d'où les délais nécessaires à la reprise du trafic, explique la SNCF, qui peut en outre remplacer le conducteur du train s'il a été trop choqué. "Depuis 4 ans, la durée moyenne d'intervention avant la reprise normale du trafic a été réduite de 30 minutes grâce à la rationalisation des procédures" avec pompiers, police et justice, selon la compagnie ferroviaire. La France a compté un peu plus de 10.000 suicides en 2006, selon les dernières données de l'Inserm, un chiffre stable depuis 2000. En 2009, la compagnie nationale compte aussi lutter contre une autre grosse cause de retard en Ile-de-France: l'usage intempestif du signal d'alarme. La SNCF souhaite "un durcissement" de l'amende, jusqu"à "plusieurs centaines d'euros", contre une quarantaine aujourd'hui. Sur plus de 7.000 signaux tirés par an sur son réseau francilien, la SNCF estime que cela est justifié dans un cas sur 1.000. Donc 7 cas justifiés sur 7.000 signaux d'alarmes = 6.993 abusifs et combien d'individus "interpellés" ? -
La CGT n'est "pas optimiste" pour le sommet social du 18 février Reuters Le secrétaire général de la CGT n'est "pas optimiste" quant aux perspectives offertes par le sommet social du 18 février et souligne que les syndicats sont mobilisés "plus que jamais" pour faire pression sur le gouvernement. Bernard Thibault a été reçu mercredi au ministère du Travail dans le cadre des consultations préparatoires à la réunion annoncée le 5 février par Nicolas Sarkozy. La présidente du Medef, Laurence Parisot, l'a précédé dans la matinée. Les discussions se sont déroulées avec Brice Hortefeux (Travail), Christine Lagarde (Economie), Eric Woerth (Budget et Fonction publique), Laurent Wauquiez (Emploi), Martin Hirsch (Solidarité et Jeunesse). Au sortir des entretiens, Bernard Thibault a fait part de son pessimisme, estimant que le gouvernement campait sur ses dogmes économiques et sociaux malgré sa volonté affichée d'écoute. La mobilisation du 19 mars s'impose plus que jamais, a-t-il ajouté. Le dirigeant syndical a jugé que les pistes fiscales avancées par le gouvernement pour améliorer le pouvoir d'achat des foyers à bas revenus ne constituaient pas une réponse pertinente. "Nous disons : 'salaires'", a-t-il insisté. Christine Lagarde s'est dite favorable mercredi sur Canal+ à l'exonération du deuxième tiers de l'impôt sur le revenu pour les foyers soumis à la tranche la plus basse. Pour Laurence Parisot, la priorité est "de mettre en oeuvre de la manière la plus rapide et la plus efficace possible" les accords déjà passés, citant notamment le chômage partiel, l'assurance chômage et la formation professionnelle. "L'enjeu prioritaire aujourd'hui n'est pas d'ajouter des milliards aux milliards. L'enjeu prioritaire est de faire en sorte que tout ce qui existe marche", a dit la présidente du Medef. Ainsi estime-t-elle que l'heure n'est pas au "fonds d'investissement social" prôné par la CFDT, qui a ouvert les consultations mardi avec la CFTC. François Chérèque a proposé mardi la création par l'Etat d'un "fonds d'investissement social" de cinq à dix milliards d'euros permettant aux personnes privées d'emploi par la crise de se former en échange d'un revenu. Jeudi, ce sera au tour de Force ouvrière (FO) de faire valoir ses doléances. Le Premier ministre, François Fillon, réunissait mercredi soir les ministres concernés pour préparer le sommet social. Sophie Louet
-
Un dividende de 207 euros versé en février
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
C'est valable pour les premiers actionnaires pour la mise de fond ou en cas d'augmentation de capital... mais où est l'investissement nouveau dans les opérations de rachat en vue de tirer des profits financiers rapides en particulier par les fonds de pensions ou d'investissement sans parler des cas extrèmes comme Madoff ? Exemple actionnaire A investit 100.000 euros sous forme de 100 actions x 1000 euros il revend ses actions à B : 100 actions à 1200 euros = 120.000 euros puis qui revend ses actions à de multiples actionnaires C 100 actions à 1300 euros = 130.000 euros en partie racheter par un fond de pension D ...(qui en profite pour lancer un plan social avec licenciements...) pour augmenter le résultat net donc le dividende aux actionnaires donc lui-même Entre A et D où est l'investissement nouveau apporté par les actionnaires ? -
Retour à l'envoyeur. Si tout le monde s'y met ...
Dom Le Trappeur a répondu à Pousse Cailloux situé dans Brin de causette
Sauf qu'au final ce sera toujours le consommateur qui paiera la facture... Sinon moi je suis No PUB -
Un dividende de 207 euros versé en février
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
ouai ouai on a lu les tracts dans la section concernée du forum ça fait déjà un moment d'ailleurs maintenant si tu crois au Père Noël ... Ah c'est vrai mais c'est bientôt les élections professionnelles à la SNCF ... -
Un dividende de 207 euros versé en février
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
dotation, subvention, contractualisation, prestation... no problème : ce seront toujours des impôts et taxes payés par le contribuable consommateur au final... -
Un dividende de 207 euros versé en février
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Sachant que la moitié des recettes de la SNCF se réalise sous forme de dotations et de subventions de l'Etat, de RFF et des Régions... -
Arrêté d'Aptitude - lettre des OS au Président CNHSCT
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Informations syndicales
Lettre unitaire des Organisations Syndicales CGT, CFDT, FO, UNSA, CFTC, Sud-Rail, CGC au Président du CNHSCT (Comité National Hygiène Sécurité et Conditions de Travail) sur Arrêté d'Aptitude (RH1474) en lien avec S9 à l'Equipement et Transport suite audit SPSF... 2009_02_11_101_ArreteAptitude_CNHSCT_LettreUnitaireOSauPresidentCNHSCT.pdf -
Certains affirmaient déjà la même chose avant le 29 Janvier ... Fallait-il faire la mobilisation sociale du 29 janvier ? Il me semble que la réponse aujourd'hui est tout simplement oui... Mais prenons les choses dans l'ordre... Il y a des bilatérales actuellement entre le gouvernement et les syndicxats il y aura le 18 février il y aura par la suite peut être le 19 mars... pourquoi le 19 mars ? sûrement un problème de calendrier prévisionnel avec la loi sur le service minimum (DCI, préavis, D2i...) + organisations des manifestations (200 manifs le 29 janvier)
-
Le gouvernement veut tout mettre sur la table avec les syndicats Reuters Le gouvernement français a entamé des discussions avec les syndicats dans la perspective du sommet social du 18 février en assurant vouloir "tout mettre sur la table" en matière de mesures anti-crise. Le ministre du Travail et des Affaires sociales, Brice Hortefeux, a reçu en compagnie de Christine Lagarde (Economie), Eric Woerth (Budget) et Laurent Wauquiez (Emploi) les représentants de la CFDT et de la CFTC qui, comme les autres syndicats, ont prévu une nouvelle journée d'action le 19 mars. "On met tout sur la table, on examine, on confronte, on dialogue", a-t-il dit à l'issue d'un entretien avec le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque. "On évoque l'agenda social et on puis rajoute les propositions du président de la République qui a esquissé de très nombreuses pistes pour répondre à la crise", a-t-il dit. "Les organisations syndicales mettent aussi sur la table leurs préoccupations et nous examinons comment le 18 février nous pouvons à la fois aboutir à des propositions concrètes et en même temps à des processus de discussion pour l'avenir", a-t-il ajouté. François Chérèque a déclaré n'avoir reçu "aucune assurance pour la réunion du 18 février" dont il souhaite qu'elle apporte "des mesures concrètes" et "pas uniquement un agenda social sur des chantiers à discuter dans l'année". Les discussions avec le ministre ont essentiellement porté sur le fonds d'investissement social de cinq à dix milliards que le syndicat appelle de ses voeux, a-t-il précisé. COUP DE POUCE AU SMIC? "L'investissement, ce n'est pas seulement de construire des autoroutes, de construire des centrales nucléaires (...) L'investissement, c'est aussi investir dans l'humain. Profitons de cette crise pour investir dans l'élévation du niveau de qualification" des salariés français, a-t-il expliqué sur France Inter mardi matin. Les huit confédérations syndicales françaises se sont mises d'accord lundi sur le principe d'une nouvelle journée de mobilisation interprofessionnelle le 19 mars après le mouvement réussi du 29 janvier pour "maintenir la pression". La plupart des syndicats seront reçus avant la fin de la semaine. Le secrétaire général de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, a appelé de son côté à "un contrôle accru des pouvoirs publics sur les licenciements". "Nous constatons qu'il y a des entreprises qui profitent de la crise. Il n'y aurait pas eu la crise, elles n'auraient pas fait de plans sociaux", a-t-il déclaré sur France 2, réclamant notamment "des engagements précis au niveau des équipementiers". "Le contrôle public des licenciements, j'en parlerai bien entendu (le 18 février)", a-t-il ajouté. Jean-Claude Mailly, qui doit être reçu jeudi matin par les ministres concernés, a réitéré son appel à "un coup de pouce" en faveur du pouvoir d'achat des Français. "On demande un coup de pouce au smic, on voulait une vraie prime transport, elle n'a pas été obtenue, on veut conditionner les exonérations de cotisations patronales à l'existence d'accord sur les salaires", a-t-il étayé. Pour sa part, le ministre chargé de la Relance, Patrick Devedjian, a jugé "incompréhensible" de recourir à des grèves "au moment où la crise frappe si fort". "Ça donne quels résultats ? (...) Ça ne va pas nous faire gagner beaucoup de points de croissance une grève générale, ça ne va pas fournir beaucoup de revenus aux salariés", a-t-il déclaré sur LCI. Clément Dossin et Sophie Louet, édité par Yves Clarisse
-
Accident à un passage à niveau dans l'Aude: un mort
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Accident à un passage à niveau dans l'Aude: un mort AP Une double collision entre une voiture et deux trains a fait un mort mardi soir, peu après 19h, à un passage à niveau de Bram, dans l'Aude (Languedoc-Roussillon), a-t-on appris auprès de la SNCF Midi-Pyrénées et des sapeurs-pompiers de Bram. La voiture se trouvait sur la voie ferrée, lorsqu'un premier train, le Corail Téoz Nice-Bordeaux, est arrivé. La voiture a de nouveau été percutée par le TER Toulouse-Carcassonne, qui roulait en sens inverse à 150km/h. La voiture s'est alors retrouvée projetée sous la motrice du Téoz. Dans le Téoz se trouvaient 114 passagers, dans le TER, 200. Tous ont été pris en charge par la SNCF, certains durement choqués mais aucun n'étant blessé. Ceux du TER ont été emmenés en bus jusqu'à Carcassonne. Les autres ont été acheminés à Castelnaudary. On ignorait toujours, tôt mercredi matin, combien de personnes se trouvait dans le véhicule, une victime étant d'ores et déjà visible, a-t-on appris auprès des sapeurs-pompiers de Bram. Un train de levage est venu de Toulouse, pour dégager le véhicule. Vers 2h30 du matin, mercredi, la voiture avait été désincarcérée. Le trafic SNCF était toujours interrompu tôt mercredi matin à partir de Narbonne. On ignorait encore la raison de la présence de la voiture sur la voie ferrée. L'accident s'est produit sur le passage à niveau qui croise la départementale 33, à l'entrée nord-est de la petite commune, l'un des quatre que compte Bram. AP -
L'accompagnement des enfants entre leur point de départ (gare du domicile ou de regroupement) et leur point d'arrivée (gare du centre de vacances) nécessitent des "accompagnateurs". C'est pour cela que le CCE et les CER SNCF font appel au volontariat : cheminots actifs et retraités, famille etc... Il est tout à fait normal que ces volontaires touchent une allocation de remboursement de frais en fonction du temps passé pour assurer le convoyage des enfants. Il ne faut pas confondre accompagnateurs et "animateurs de centres de vacances" : ces derniers sont des "professionnels" diplômés dont le métier est extrêmement encadré et surveillé par l'Administration Publique.
-
Un dividende de 207 euros versé en février
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Personne ne cracheras sur 207 euros (tiens j'ai du écrire un truc comme ça en 2008 déjà...) Mais peut-on garder son esprit critique ouvert . 200 euros c'est 1% d'une rémunération de 1.500 euros net par mois sur un an (x13 = 19.500) si l'inflation est à 2% ça relativise Pour autant 10 billets de 20 euros dans le porte mùonnaie sans oublier les 7 euros on sais ce que ça représente... On pourrait aussi se poser la question du bénéfice : d'où il vient certes de notre travail au quotidien mais aussi des choix financiers fait par la direction entre autre suppressions d'effectifs, limitation des hausses de salaires, blocages des qualifications... donc limitation de la masse salariale globale de l'entreprise... -
Un dividende de 207 euros versé en février
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Et au cas où la SNCf se retrouve avec un déficit : tu redonnes une partie de ta rémunération ...appelons ça un retour de dividende...?