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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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taquineries ==>> coquineries ... okok
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Gêne ==>> grivoiseries...
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Claude ==>> Madame...
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Difficultés entre les régions et la SNCF
Dom Le Trappeur a répondu à TroTroRigolo situé dans Actualité ferroviaire générale
Il faut aussi replacer cette question dans le contexte des "réformes" en cours (directives européennes, politiques des transports en France et dans les régions etc...) et des restructurations en cours à la SNCF : Gestion par activités autour de 4 grands pôles : VFE-TGV (peut être même éclatées...), Fret, TER-Proximité, Transilien de rattacher à ces activités les parts : conducteurs, contrôleurs, matériel y afférant de sortir toute la part transverses RH des Etablissements tels que nous les connaissons de rattacher la SUGE à Transilien (en région de province à priori aucune activité ne veut de la SUGE sous son autorité... La volonté à Transilien de se débarasser totalement de la vente guichet (Distribution automatiques, abonnements et prélèvements mensuels, informatisation) pour se positionner sur l'accueil-informations de la volonté de sortir la partie infrastructure Transport-Mouvement (les postes d'aiguillages, CRO et horaires) pour en faire une entité à part sous l'autorité de RFF en passant de 1500 postes d'aiguillages à 17 Centres Régionaux de créer une entité infrastructure-Equipement : prestataires de service pour les travaux d'infrastructures avec recours à la sous-traitance privée de créer une entité "escales" de prestations de service au service de tous les opérateurs ferroviaires. J'y ajoute la suppression des régions sncf (une vingtaine avec 800 cheminots en moyenne chacune...) Ne pas oublier l'annonce de Pépy de "redéployer 3.000 cadres des directions nationales sur le terrain parce que manifestement il y a un gros sur-effectif la haut et qu'on ne peut pas systématiquement taper sur les effectifs de production... En parlant d'effectif : la volonté est toujours de diminuer régulièrement de 2.000 à 3.000 par an en moyenne les effectifs (6.500 départs - 4.500 recrutements par an) -
Qui fait quoi ? Quelques exemples : Retraites ? La question du trajet domicile - travail d'un salarié : Etat, région ou entreprise ? durée, conditions de transports, coût, prise en charge, part salarié, part employeur, conséquences des retards sur la vie du salarié, sur l'entreprise ? etc... Le code du travail ? On fait quoi du Conseil Economique et Sociale (CES) aux côtés de l'Assemblée Nationale et du sénat ? La défense des intérêts sociaux et économiques des salariés passent aussi par la nécessité pour les syndicats d'être les interlocuteurs des différents pouvoirs de l'Entreprise au Chef de l'Etat (qui reçoit régulièrement les dirigeants syndicaux sur différents sujets , idem pour le premier ministre , le ministre du travail ou le ministre des Transports...ou pour tous les autres ministères) Idem au niveau des régions, des départements et bien sûr au niveau des entreprises...
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Difficultés entre les régions et la SNCF
Dom Le Trappeur a répondu à TroTroRigolo situé dans Actualité ferroviaire générale
Avant il y avait l'Etat et la SNCF Maintenant il y a la régionalisation... Toutes les régions ont contractualisé les transports régionaux ferroviaires avec la SNCF y compris depuis 2008 en Ile de France... et dans ces contrats il y a un système de bonus malus et pas que sur la régularité ... -
je me pose des questions
Dom Le Trappeur a répondu à cheyenne44 situé dans Le site www.cheminots.net
Vous êtes surveillés... Edvige... -
La rupture caténaire de la semaine
Dom Le Trappeur a répondu à nicopasta situé dans Incidents et perturbations en France
vers 4h : rupture de caténaires dans le triage de Trappes Yvelines Conséquences sur trafic Ile de France Montparnasse et La défense /La verrière à prévoir -
Les erreurs médicales feraient 10.000 morts par an en France Reuters Philippe Juvin, secrétaire national de l'UMP chargé de la Santé, estime que les erreurs médicales font 10.000 morts chaque année en France et que beaucoup sont évitables. Chef des urgences de l'hôpital Beaujon, il intervient en pleine polémique sur la qualité des hôpitaux français et les moyens qui leur sont alloués, à la suite d'une série de décès accidentels. Les erreurs graves dans les hôpitaux "sont beaucoup plus nombreuses que les décès. De 300.000 à 500.000 événements indésirables graves se produisent chaque année", avance Philippe Juvin. "J'estime qu'au moins 10.000 personnes meurent chaque année à l'hôpital du fait de l'exercice de la médecine." Pour les responsables de l'UMP, la solution consisterait à obliger tous les hôpitaux "à faire systématiquement une enquête après chaque décès", ce qui permettrait de créer "une base de données nationale". "Une fois qu'on aura fait ce que les spécialistes de l'aéronautique appellent une analyse systémique du risque, on pourra mettre en place des mesures correctrices", dit-il. "Ce qu'on a fait pour la sécurité routière, on peut le faire pour les accidents à l'hôpital", ajoute Philippe Juvin, soulignant les efforts mis en oeuvre dans ce domaine par les Américains. Néanmoins, l'hôpital français et le personnel de santé "sont très performants", assure-t-il. Pourquoi ? ça n'existait pas avant ce type d'informations ? C'est comme l'irrégularité et les incidents de trains
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Incendie sur Rame TGV
Dom Le Trappeur a répondu à midoman13 situé dans Actualité ferroviaire générale
Pour un citoyen alpha-béta si tu es sur le quai d'une gare il y a peut être une borne d'alarme (jaune en IDF) ou un téléphone (signal, sous-station...) sinon tu vas à l'essentiel effectivement : 17 ou 18 ou 15 le principal sera de bien localiser l'évènement et de l'expliciter au mieux ... ensuite les services d'urgence sont montés en réseau avec des centres départementaux, régionaux, nationaux Si je me souviens bien il n'y a pas longtemps une personne a signalé un problème sui se passait à plusieurs centaines de Km chez une de ses connaissances auprès de sa gendarmerie qui a transmis immédiatement l'information ce qui a déclenché les secours auprès de la personne concernée... -
allez Grèce ! ==>> Europe
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Incendie sur Rame TGV
Dom Le Trappeur a répondu à midoman13 situé dans Actualité ferroviaire générale
Ouai mais il a été démontré que dans certaines du territoire un train pouvait faire 400km sans STEM (Surveillance des Trains En Marche )... officielle...!!! -
Incendie sur Rame TGV
Dom Le Trappeur a répondu à midoman13 situé dans Actualité ferroviaire générale
Peut être déjà mis sur le fil : un reportage vidéo http://www.lepost.fr/article/2009/01/10/13...tml#xtor=AL-235 -
gymnaste ==>> médaille d'or
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Cresson ==>> quelle salade
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Trop tard la messe a été dite...HiHiHi
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Con- cierge ( Assouuuuuuaaaaaaannnnn ? t'es là ???) ==>> la messe est dite... controleursncf
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incompétente ==>> un con pétant controleursncf
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Tiens je te remets cet article qui a du t'échapper... Rien n'est simple dans cette partie du monde... Comment Israël a mis en selle le Hamas Tel-Aviv a favorisé délibérément l’implantation du mouvement islamiste, il y a vingt ans, pour diviser les Palestiniens et peser sur l’OLP et Yasser Arafat. Comment expliquer qu’en moins de vingt ans le Hamas soit devenu la première force politique dans les territoires occupés, au point de prendre le dessus sur le Fatah à Gaza et de le chasser au terme de terribles affrontements en juin 2007 ? Est-ce parce qu’il s’est posé en farouche opposant à Israël et aux accords d’Oslo et, partant, à l’OLP dont il ne fait pas partie et qu’il accuse d’avoir abandonné la revendication d’un État palestinien sur l’ensemble de la Palestine historique d’avant le partage de 1948 ? Ou parce que, comme tout mouvement islamiste, il a su pallier l’absence de l’Autorité palestinienne sur le terrain social, n’hésitant pas au besoin à instrumentaliser la corruption et l’enrichissement de certains dirigeants du Fatah ? Sans doute les deux à la fois. Mais on ne peut faire l’impasse sur le fait qu’Israël a fait en sorte de mettre en selle le Hamas, faisant tout pour disqualifier les laïcs au profit d’islamistes, tellement commodes à haïr. Retour en arrière. À Gaza, durant les années 1970, Israël avait fort à faire avec le Fatah et les organisations de gauche palestiniennes. Et quand Ahmed Yassine, de retour du Caire, fraîchement diplômé d’Al-Azhar, crée une association islamique de bienfaisance, il est encouragé par l’administration militaire en charge de ce territoire. Selon l’hebdomadaire israélien Koteret Rashit, cité par le Monde du 18 novembre 1987, « le gouvernement militaire était convaincu que ces activités affaibliraient l’OLP et les organisations de gauche à Gaza ». Les islamistes, ajoutait-il, « étaient autorisés à faire venir de l’argent de l’étranger ». Et c’est ainsi qu’à l’ombre de la répression israélienne à l’endroit de l’OLP, les islamistes prennent leur envol, développent un important réseau d’aide sociale, mettent en place un réseau scolaire et l’université à Gaza - d’où sortiront les élites politiques du Hamas. En octobre 1987, bien que pris de court par le début de l’Intifada, ils ne tardent pas à prendre le train en marche et, le 14 décembre de la même année, fondent le Hamas, lequel se sentant suffisamment fort se donne pour objectifs la création d’un État islamique et la réduction de l’influence de l’OLP ! C’est alors qu’Israël feint de découvrir la menace que représente le Hamas, alors que celui-ci bénéficiait jusque-là d’un préjugé favorable. Quand sont signés les accords d’Oslo en 1993, le Hamas s’y oppose et s’emploie à les torpiller en multipliant les attentats suicide. Comme en écho, Israël négocie d’une main mais poursuit la colonisation de l’autre en multipliant les entraves pour retarder la création d’un État palestinien prévu alors au plus tard pour… la fin 1998. L’arrivée d’Ariel Sharon au pouvoir en 2001, qui partage avec le Hamas une même hostilité aux accords d’Oslo, constitue un tournant majeur. Les attentats commis par les islamistes sont attribués à Arafat, dont Sharon interdit toute sortie de Ramallah. Israël entreprend de détruire les infrastructures de l’Autorité palestinienne qui préfiguraient les contours du futur État palestinien. Le port et l’aéroport de Gaza, des édifices publics, la radio-télévision, soit 2 000 institutions (80 % des infrastructures palestiniennes) financées par l’UE, sont ainsi détruits. Ce à quoi s’ajoutent l’arrachage de 950 000 arbres fruitiers et oliviers, le dynamitage de 62 000 habitations, les morts de civils…, et en arrière-plan les assassinats ciblés de cadres connus de l’OLP. En affaiblissant une Autorité palestinienne arc-boutée sur les seules résolutions onusiennes, ne disposant d’aucune marge de manoeuvre, Israël a ouvert le champ au Hamas. L’Occident, quant à lui, a forcé la main à l’OLP pour organiser des élections législatives en 2006 alors que tout indiquait que le Hamas allait les remporter. Et quand ce fut chose faite, Washington et l’UE décidèrent, de concert avec Israël, de couper les vivres aux Palestiniens. Et c’est ainsi que, se nourrissant des échecs successifs du processus de paix, du refus d’Israël d’appliquer les résolutions de l’ONU et autres « feuilles de route », le Hamas a pu « prospérer » avant de prendre le pouvoir à Gaza en juin 2007. Hassane Zerrouky L'Humanité 2 janvier 2009 http://www.humanite.fr/2009-01-02_Internat...-selle-le-Hamas
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Il me semble que - et heureusement - les organisations politiques de gauche en France reconnaissent l'Etat d'Israël et le droit à son peuple de vivre libre et en paix avec ses voisins. Comme partout il ne faut pas systématiquement considérer que les citoyens d'un pays pensent comme leurs dirigeants politiques en particulier ceux qui sont au pouvoir. Bien entendu il faudra aussi reconnaître que ces mêmes citoyens soutiennent majoritairement les choix politiques (que ce soit ceux par exemple du gouvernement Israélien ou de son opposition d'un côté, que ce soit celui du gouvernement du Hamas à Gaza ou de l'autorité Palestinienne côté Cisjordanie). Pour Israël comme pour la Palestine, (mais aussi au Liban, en Syrie...) d'autres voix se font aussi entendre pour le droit de chaque peuple à vivre libre et en paix dans un Etat reconnu et indépendant, même si leurs voix sont peu nombreuses et faiblement audibles. Ce qui est sûr c'est que des deux côtés, ce sont les peuples, les populations qui souffrent tant physiquement que psychologiquement. Sans oublier qu'il doit y avoir actuellement plusieurs dizaines de conflits armés sur tous les coins de la Planète.
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Gaza : 30.000 à 100.000 manifestants à Paris, plus de 80 cortèges en France AFP Entre 30.000 personnes, selon la police, et 100.000 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté samedi à Paris en soutien aux Palestiniens de Gaza aux cris de "Israël assassin" et "Halte au massacre", sous haute surveillance policière. On pouvait voir de nombreux drapeaux palestiniens, des portraits d'enfants en pleurs et des banderoles proclamant "Israël assassin" ou "Gaza/Palestine : halte au massacre !" ou encore "Des sanctions contre Israël". "Nous sommes tous des Palestiniens, nous sommes tous des enfants de Gaza", scandaient de nombreux manifestants encadrés par 3.800 policiers et gendarmes. Partie à 15 heures de la place de la République, la tête du cortège a atteint la place de la Nation, sa destination finale, peu avant 17H00. Un petit mannequin recouvert d'un linceul blanc et symbolisant les enfants morts à Gaza depuis le début de l'offensive israélienne était porté en tête du cortège qui doit rallier la place de la République à celle de la Nation. Parmi les personnalités présentes figuraient la déléguée générale de la Palestine en France Hind Koury, Marie-George Buffet (PCF), Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche) ou encore Olivier Besancenot (LCR). Mme Koury a dénoncé "un massacre de plus" et exigé "que l'Onu impose des sanctions au gouvernement d'Israël". Il s'agit de "montrer du doigt l'hypocrisie de la communauté internationale qui vote des tonnes de résolutions qu'elle n'applique jamais" et d'affirmer aussi que "la position de la population française ne peut pas se résumer à celle de Nicolas Sarkozy", a déclaré M. Besancenot. "Il faut que l'agression contre le peuple palestinien cesse, je pense que le gouvernement d'Israël commet une immense faute contre l'image d'Israël et les droits humains. Toutes les bornes ont été franchies", a fait valoir M. Mélenchon. "L'urgence" selon Mme Buffet est que "l'Union européenne saisisse l'assemblée générale de l'Onu pour mettre en place une force de protection internationale pour que cesse la guerre et que reprenne un processus de dialogue politique". Mouloud Aounit (MRAP) a dénoncé "l'inefficacité et la lâcheté de la communauté internationale, incapable de faire arrêter le massacre". Parmi les manifestants, Mina, 28 ans, est venue exprimer "sa colère et son ras-le-bol contre un génocide". Le président du collectif AC-le-feu, Mohamed Mechmache, a réfuté le moindre "appel à la haine" mais insisté sur la volonté de dénoncer "des choses inconcevables". Hasmia Kenider, du mouvement "Les Indigènes de la République", a fustigé "les gesticulations stériles" de l'Onu. Plus de 80 manifestations étaient prévues samedi en France à l'appel du Collectif national pour une Paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens, qui regroupe des associations, dont le Mrap, des partis de gauche comme le PCF et la LCR, et des syndicats. Le 3 janvier, une manifestation avait rassemblé à Paris 21.000 personnes et mobilisé 650 policiers entre la place de la République et la place Saint Augustin. L'offensive israélienne qui a fait plus de 800 morts à Gaza dont 235 enfants est entrée samedi dans sa troisième semaine.
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Incendie sur Rame TGV
Dom Le Trappeur a répondu à midoman13 situé dans Actualité ferroviaire générale
Incendie sur une motrice de TGV dans l'Ain: 550 passagers évacués AFP L'une des motrices d'un TGV assurant la liaison Nantes/Bourg-Saint-Maurice (Savoie) a pris feu, samedi matin, à hauteur de Pont-de-Veyle (Ain) et les 550 passagers ont été évacués sans incident, a-t-on appris auprès de la direction de la SNCF de Chambéry. L'incendie, dont on ignore l'origine, s'est déclaré vers 10H45 sur la motrice de queue du TGV 5309, à la sortie de la portion à grande vitesse, a précisé un porte-parole de la SNCF. Les 550 passagers, tous indemnes, ont été évacués et pris en charge en gare de Saint-Jean-de-Veyle et dans la salle des fêtes. Ils ont ensuite été transférés par autocars à Bourg-Saint-Maurice, où d'autres TGV devaient les conduire à Bourg-Saint-Maurice, selon la même source. "Tout le reste du trafic SNCF a été détourné" et huit TGV à destination de la Tarentaise et de ses stations de ski devraient enregistrer des retards d'au moins une heure, a-t-on ajouté. L'incendie, qui ne s'est pas propagé aux voitures, a été maîtrisé par les pompiers vers 12H15. -
racine ==>> Molière
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paon ==>> coq Bientôt 100.000 vues...
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Pan sur le bec Le gouvernement contraint de revoir sa copie sur le redécoupage électoral LeMonde.fr La décision fera date. En censurant jeudi 8 janvier deux dispositions du projet de loi autorisant le redécoupage des circonscriptions législatives et en formulant plusieurs réserves d'interprétation, le Conseil constitutionnel oblige le gouvernement à revoir de fond en comble la réforme qu'il comptait faire voter avant la fin de l'année. Au-delà, il adresse un signal au gouvernement : il sera extrêmement vigilant sur les différents projets de loi à venir en application de la révision constitutionnelle sur les institutions votée le 21 juillet 2008 au Parlement. Au moment où va commencer à l'Assemblée nationale la discussion du projet de loi organique sur la procédure législative, ce message n'est pas anodin. Le PS ne s'y est pas trompé : il estime que le Conseil constitutionnel 'a infligé un désaveu' au gouvernement. Dans la foulée, il réclame un 'droit de regard' sur le choix des experts qui seront désignés au sein de la commission indépendante chargée de donner un avis sur le futur redécoupage des circonscriptions. Au terme de cinq heures et demie de délibéré, le Conseil constitutionnel siégeant au grand complet, en présence des deux anciens présidents de la République Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Chirac, a rappelé en premier lieu que les opérations de redécoupage des circonscriptions doivent être conduites 'sur des bases essentiellement démographiques'. Cette règle ne peut tolérer que des exceptions justifiées. Il a en conséquence censuré la latitude offerte par le projet de loi de la faire varier 'en fonction notamment de l'évolution respective de la population et des électeurs inscrits sur les listes électorales'. Une formulation vague, qui ouvrait la porte à toutes les interprétations. Pour les juges constitutionnels, la répartition des sièges et la délimitation des circonscriptions doivent 'respecter au mieux l'égalité devant le suffrage'. Les atténuations à la portée de cette règle ne peuvent intervenir 'que dans une mesure limitée'. Si le Conseil n'intervient pas dans le choix de la méthode de calcul devant servir de base au redécoupage des circonscriptions, il fixe un principe clair : l'égalité la plus grande entre les élus. Il appartient dès lors au gouvernement de respecter 'au mieux' cette obligation.