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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Sur que si on prend le cas d'entreprises privatisées ces 25 dernières années (depuis 1985...) leur exemple va nous donner le moral... Quand aux modèles proposées par les grands groupes privés qui sont de vrais monopoles dans leur domaine ça va nous mettre du baume au cœur... Au fait qu'est-ce que tu dis à la Haute Direction de la SNCF parce que tu aurais un peu tendance à oublier les responsabilités de celle-ci dans la situation actuelle non ?
  2. Saint-Lazare: colère de Sarkozy, Pepy annonce une meilleure indemnisation AFP Anne-Pascale REBOUL Nicolas Sarkozy, "très remonté" après la paralysie mardi de la gare Saint-Lazare que le service minimum mis en place il y a un an n'a pu prévenir, a demandé mercredi à la SNCF de "s'excuser" et "d'indemniser" les voyageurs. Une grève spontanée à la suite de l'agression d'un conducteur a paralysé mardi le trafic SNCF dans l'ouest de l'Ile-de-France. Mesure "exceptionnelle", la gare Saint-Lazare a été évacuée et fermée au public. Dans la soirée, le président de la SNCF a annoncé sur France 2 que les "33%" de réductions sur les abonnements déjà annoncés n'était "pas assez" et que par conséquent "toutes les personnes qui voyagent par la gare Saint-Lazare seront indemnisées de 30 à 50 euros de leur abonnement mensuel du mois prochain" dont les prix s'échelonnent entre 50 et 112 euros. Trois mineurs, deux de 15 ans et un de 17 ans, ont été placés en garde à vue mercredi dans le cadre de l'enquête sur cette agression. "Le président a bien sûr été sensible à l'attaque dont a été victime le conducteur de la SNCF mais il a tenu à rappeler (...) que le service public appartenait au public", a rapporté le porte-parole du gouvernement Luc Chatel après le Conseil des ministres, mercredi. "On ne peut pas accepter que la France soit prise en otage totalement sans préavis", a-t-il ajouté. La loi sur le service minimum dans les transports terrestres, promesse de campagne de Nicolas Sarkozy et votée dès l'été 2007, est censée empêcher cette situation en imposant une concertation préalable entre syndicats et direction avant toute grève et une déclaration individuelle de chaque participant 48 heures avant le début d'un mouvement, ce qui permet d'annoncer à l'avance un plan de transports aux voyageurs. Or mardi, les cheminots du secteur Saint-Lazare ont spontanément cessé le travail après l'agression, en appliquant leur "droit de retrait", empêchant cette mécanique. Pour ajouter à l'exaspération, le trafic de cette gare était perturbé depuis un mois par une grève des conducteurs sur les effectifs. Se jouant des règles du service minimum, ils débrayaient souvent 59 minutes par jour, désorganisant fortement le service sans être trop pénalisés financièrement. Soulignant aussi les difficultés du trafic TER des Alpes-Maritimes et à Marseille dans les transports en commun, le député UMP Eric Ciotti a annoncé le dépôt "prochainement" à l'Assemblée d'une proposition de loi visant à "aller plus loin" dans le service minimum en cas de grève, suggérant des "réquisitions". "Au-delà des excuses qui vont de soi", il faut que "ce type de mouvement surprise complètement paralysant (...) disparaisse", a également affirmé dans la soirée M. Pepy en précisant qu'il avait proposé aux syndicats une "rencontre" pour trouver "des solutions autres que la grève" en cas d'agression. Le président PS de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon, a estimé que la fermeture de la gare avait sans doute permis de résoudre ce conflit persistant, soulignant que la direction de la SNCF avait "bien travaillé". Après cette conjonction de difficultés mardi, François Bayrou, président du MoDem, a appelé "les personnels de la SNCF et des entreprises de transport" à "réfléchir au tort que ça leur fait". Pour le PS, Jean-Marc Ayrault a demandé à l'Etat de "prendre ses responsabilités" et d'investir pour "rénover le système ferroviaire". Depuis l'entrée en fonction de M. Pepy il y a un peu moins d'un an, le gouvernement a souvent exprimé son mécontentement, voire sa colère contre la SNCF, notamment après plusieurs ruptures de caténaires ayant entraîné des désordres à répétition pour les usagers.
  3. Appel du parquet contre une libération pour les sabotages SNCF D'après dépêche Reuters Un juge d'instruction antiterroriste a ordonné la remise en liberté d'Yldune Lévy, écrouée depuis le 15 novembre dans l'enquête sur les sabotages de lignes de TGV, apprend-on de source judiciaire. Le parquet a cependant fait appel de cette ordonnance de Thierry Fragnoli en ayant recours à la procédure de "référé-détention", qui a pour conséquence de suspendre cette libération. Le parquet estime notamment qu'il y a un risque que la jeune femme s'enfuie et se concerte avec d'autres suspects. Yldune Lévy restera donc emprisonnée le temps que la chambre de l'instruction statue. Au total, cinq femmes et quatre hommes, âgés de 22 à 34 ans sont mis en examen notamment pour "association de malfaiteurs, destructions en relation avec une entreprise terroriste". Seuls Yldune Lévy et son compagnon, Julien Coupat, sont toujours en prison. Ecroué depuis le 15 novembre, considéré comme le chef des saboteurs, Julien Coupat avait bénéficié d'une décision d'élargissement par un juge des libertés mi-décembre. Le parquet avait aussi déposé un "référé-détention", qui a été accepté par la chambre de l'instruction. L'affaire porte sur le sabotage de lignes TGV de la SNCF dans la nuit du 7 au 8 novembre. Des crochets fabriqués avec des fers à béton avaient été placés sur plusieurs caténaires. L'enquête porte aussi sur un autre sabotage sur le même mode, fin 26 octobre en Moselle. Les avocats des suspects et leurs proches, notamment le père de Julien Coupat, parlent d'une "mascarade judiciaire" montée de toutes pièces pour étayer la thèse d'une menace liée à l'expansion de groupes "d'ultra-gauche" radicaux, défendue par le ministère de l'Intérieur. Le parquet et la police disent s'appuyer sur des indices précis. Le 7 novembre au soir, Julien Coupat et Yildune Lévy, qui auraient étaient surveillés par la police depuis plusieurs semaines, auraient été localisés entre 23h40 et 04h00 près du réseau TGV-Est, où la ligne a été endommagée une heure plus tard par le passage d'un train sur la caténaire piégée, selon la police.
  4. Management Pépy s'adressant à ses cadres réunis en séminaire...
  5. Cadencement Ile de France Transilien Région SNCF Paris Rive Gauche (Montparnasse -Austerlitz) ça sent bon la langue de bois et la technocratie... Flash Info n°1 Sncf PRG 14 janvier 2009 2009_01_15_flashInfoPRG_1.pdf
  6. Comment ça le Père Noël n'existe pas ? HiHiHi Seul Jay peut comprendre...Désolé pour les autres...
  7. Pour revenir au sujet de la sculpture, il semble bien que les autorités européennes se soient bien fait berner par l'artiste du chef d'oeuvre exposée dans les locaux de la dite commission européenne...
  8. Et pan sur le bec Nicolas Sarkozy a été un "député fainéant", affirme René Dosière (PS) AFP Nicolas Sarkozy, qui a raillé la semaine dernière les "rois fainéants", sans citer nommément Jacques Chirac, a été un "député fainéant", a affirmé mercredi le député René Dosière (app. PS), spécialiste du budget de l'Elysée. "Lui en tout cas a été un député fainéant. En tout et pour tout, il a parlé moins d'une heure dans l'hémicycle pendant les 12 années où il a été député mais il a été payé à temps complet !", a déclaré l'élu de l'Aisne. "Les compromis, l'écoute de l'autre, on comprend mieux pourquoi il ne sait pas faire: il n'a pas la culture du député. Il a peu d'expérience législative donc il n'apprécie pas que le Parlement discute librement. Il ne comprend pas les procédures", a-t-il ajouté. Dans un communiqué ironiquement intitulé "Les exploits parlementaires de Nicolas Sarkozy", M. Dosière indique que le chef de l'Etat n'a pas siégé 20 ans à l'Assemblée nationale comme il l'avait affirmé lors des voeux aux parlementaires mais seulement "12 ans", sur les périodes 1988-1993 et 1995-2002. En réalité, M. Sarkozy a été député des Hauts-de-Seine deux mois et demi supplémentaires, entre le 13 mars et le 2 juin 2005, date à laquelle il était devenu numéro deux du gouvernement Villepin. Durant ces années, poursuit M. Dosière, il n'a participé à "aucun débat parlementaire", "n'a déposé aucun amendement" et "sa présence à l'Assemblée se résume à 10 interventions brèves: deux questions au gouvernement, soit quatre minutes, huit interventions de cinq à dix minutes, soit au total moins d'une heure de parole en 12 ans de vie parlementaire !". "Pendant de nombreuses années, en 1988, 1991, 1992, 1993, 2000, 2001, 2002, on ne trouve aucune trace de sa présence à l'Assemblée. C'est dire à quel point son expérience parlementaire est faible, pour ne pas dire plus", souligne-t-il. "Si chaque député prenait exemple sur lui, alors l'Assemblée nationale deviendrait inutile", ironise-t-il avant de lancer: "pour parodier Clemenceau, gloire aux députés qui parlent, honte aux députés qui se taisent".
  9. Nicolas Sarkozy affiche son bilan sur la sécurité depuis 7 ans Reuters Gérard Bon Nicolas Sarkozy a affiché à Orléans son bilan - "impressionnant" selon lui - sur la sécurité en France en remontant à 2002, année où il avait pris en main le ministère de l'Intérieur. Le chef de l'Etat, qui présentait ses voeux aux acteurs de la sécurité, a ainsi mis en avant une baisse de 13,5% depuis sept ans, un chiffre qui masque quelque peu le résultat mitigé de 2008, avec une baisse de "près de 1%." "On m'a parfois reproché de développer une culture du résultat, qui oserait s'en plaindre aujourd'hui ?", a-t-il lancé devant un parterre de 500 gendarmes et policiers réunis dans un gymnase de la gendarmerie. "Depuis sept ans, le chemin parcouru est impressionnant", a-t-il ajouté, affirmant que "plus de 1,5 million de crimes et délits" avaient été ainsi "évités" depuis sept ans. Il n'a pas négligé l'actualité lors de ce déplacement en décrétant une "tolérance zéro" contre les actes antisémites ou islamophobes en France, qui se sont multipliés récemment. "Ceux qui veulent importer en France les violences intra-communautaires trouveront l'Etat républicain sur leur route (...) La tolérance sera la tolérance zéro", a promis le président de la République. La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, avait reporté l'annonce des résultats de la lutte contre la délinquance en 2008 pour en laisser la primeur au président. Elle a presque atteint l'objectif d'une baisse de 5% en deux ans que lui avait assigné l'Elysée. Pour le Parti socialiste, la "politique du chiffre" imposée par le président "ne peut aboutir à des résultats probants". "Contrairement à ce qu'affirme Nicolas Sarkozy, sa politique depuis 2007 n'a pas limité les violences dans notre pays", dénonce Marisol Touraine, secrétaire nationale du PS chargée des questions de sécurité. Elle cite "les violences aux personnes d'origine non crapuleuse (qui ne sont pas liées à un vol)" en augmentation de 9,9% en un an "d'après les statistiques de l'Observatoire national de la délinquance du dernier trimestre 2008" et évoque une hausse des escroqueries et infractions économiques de 9,1% en un an. Nicolas Sarkozy, qui a décentralisé ses voeux cette semaine pour aller à la rencontre des Français, n'a pas évoqué la grogne d'une partie de la base policière après l'annonce de la suppression de 4.800 emplois d'ici 2011. COUP DE POUCE DE 180 MILLIONS D'EUROS Il a en revanche confirmé un coup de pouce aux forces de l'ordre dans le cadre du plan de relance : 80 millions d'euros destinés à la rénovation des locaux pénitentiaires et 100 millions que policiers et gendarmes devront se partager pour l'achat de plus de 5.000 véhicules. Nicolas Sarkozy avait choisi Orléans, qui mène une politique pilote en matière de sécurité, pour faire ses annonces mais deux policiers de la ville ont été récemment écroués pour trafic de stupéfiants. Il a donc insisté sur le respect de la déontologie. "Votre force, c'est la déontologie. Pas de familiarité, pas de tutoiement, pas de bavure", a-t-il lancé. Nicolas Sarkozy, qui était accompagné des ministres de l'Intérieur et de la Justice, Michèle Alliot-Marie et Rachida Dati, a surtout égrené l'ensemble des mesures qui ont permis, selon lui, la "reconquête de l'ordre public." Il a évoqué la "situation catastrophique" précédant son arrivée place Beauvau. "Entre 1997 et 2002, la délinquance avait augmenté de 15%", a-t-il assuré. Rendant un hommage appuyé à Rachida Dati et aux magistrats, Nicolas Sarkozy s'est une nouvelle fois félicité d'avoir imposé des peines planchers pour les multirécidivistes et développé les fichiers de police ainsi que la vidéosurveillance. "C'est l'impunité qui excède nos compatriotes et j'ai été élu pour mettre en place cette politique", s'est-il justifié en réponse aux critiques d'associations de défense des droits de l'homme. Edité par Yves Clarisse Post Scriptum perso : je reste dans le sujet Le coflit ayant pris fin dans sa forme on peut revenir au fond... puisqu'à l'origine des évènements il y a eu une agression contre un agent SNCF, agent d'un service public (c'est pas moi qui le dit mais la direction de la SNCF)...
  10. Remarque personnelle à la dépêche ci-dessus : Pépy prend vraiment les voyageurs transilien de St Lazare d'un côté et les cheminots de l'autre sur la question des incidents caténaires (et tout autant les voyageurs TGV...d'ailleurs) pour des charlots...
  11. Gare Saint-Lazare: Guillaume Pepy annonce des indemnisations plus élevées AP Le président de la SNCF Guillaume Pepy a promis mercredi soir que les usagers victimes mardi de la grève sauvage à la gare Saint-Lazare seraient indemnisés "de 30 à 50 euros de leur abonnement mensuel du mois prochain". "Toutes les personnes qui voyagent par la gare Saint-Lazare seront indemnisées de 30 à 50 euros sur leur abonnement mensuel du mois prochain, qui s'appelle Navigo en Ile-de-France", a déclaré M. Pepy lors du journal de 20h de France-2. "C'est bien le moins que l'on puisse faire". Mardi soir, la SNCF avait annoncé dans un premier temps une réduction de 33% sur le prix des abonnements de février pour les voyageurs concernés dans les gares des lignes J (Mantes-la Jolie/Gisors/Ermont-Eaubonne) et L (Versailles-Rive Droite/Saint-Nom-la-Bretèche/Cergy-le-Haut). Mercredi matin, en conseil des ministres, le président Nicolas Sarkozy avait sommé la SNCF de "s'excuser auprès de ses abonnés" et "d'indemniser les voyageurs" victimes de la fermeture de la gare Saint-Lazare à Paris. Par ailleurs, interrogé sur les nombreux retards de TGV dus souvent à des ruptures de caténaires, Guillaume Pepy a annoncé mercredi la nomination d'une "directrice de la qualité de service, dont le premier et essentiel chantier sera l'information de nos voyageurs quand il y a des perturbations". AP
  12. Je pense que pour le 29 ce serait bien de privilégier les rassemblements et manifestations. Pour les cheminots qui souhaitent y participer ça ne devrait pas poser trop de problème pour y être. et ce serait mieux vu le climat actuel y compris dans l'entreprise.
  13. En cherchant bien dans le forum, on avait déjà eu ce débat sur une manif nationale des cheminots actifs et retraités où il n'y avait pas eu d'appel à la grève ferme justement pour que les trains puissent rouler et amener les manifestants à Paris : résultat - 50.000 cheminots actifs et retraités dans la rue (septembre 200... quelque chose)
  14. Agression à l'origine de la grève à Saint-Lazare: trois mineurs en garde à vue AFP Trois mineurs ont été placés en garde à vue mercredi dans le cadre de l'enquête concernant l'agression d'un conducteur du RER A, lundi soir en gare de Maisons-Laffitte (Yvelines), a-t-on appris auprès du parquet de Versailles. Les trois mineurs, "deux de 15 ans et un de 17 ans", ont été interpellés mercredi matin et placés en garde à vue dans les locaux de la sûreté départementale des Yvelines. Mercredi soir, les trois jeunes habitant la cité des Indes à Sartrouville (Yvelines) étaient toujours en garde à vue. "Il s'agit de trois mineurs inconnus des services de police", selon une source policière. "Les enquêteurs ont remonté leur piste grâce à la vidéosurveillance et une enquête de voisinage", selon cette même source. "Aucun slogan antisyndicaliste n'a été prononcé lors de l'agression", selon cette source, contrairement à ce qu'avaient affirmé mercredi certains représentants syndicaux. Dans un communiqué publié mercredi après-midi, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a adressé "toutes ses félicitations aux enquêteurs de la sûreté départementale des Yvelines". Elle "rend hommage à leur professionnalisme et à leur rapidité" et souligne que ces interpellations "illustrent la priorité accordée par la police et la gendarmerie à la sécurité des transports", selon le texte. Lundi à 19h45, le conducteur du RER A en provenance de Nanterre était descendu de sa cabine à la suite du déclenchement du signal d'alarme dans une des voitures de son RER. Il avait alors été agressé dans la voiture par "six personnes alcoolisées", roué de "coups de poing et de pied au visage", selon une source policière. Mardi, le trafic ferroviaire avait été très perturbé sur la branche ouest du RER A et les trains de banlieue menant à la gare Saint-Lazare en raison d'une grève subite des conducteurs qui protestaient contre cette agression. Cette grève avait conduit - fait rare - à la fermeture de la gare, provoquant la colère des usagers.
  15. 1/ Merci pour la précision. 2/ question de climat et de températures ? Avec le réchauffement climatique ça promet... (second dégré...)
  16. Le 29 on pourrait peut être faire rouler tous les trains pour emmener tous les autres salariés aux manifs... (il parait que les syndicats recensent déjà près de 150 manifestations-rassemblements pour le 29 janvier)
  17. C'est vrai que le Gouvernement Sarkozy-Fillon actuellement au pouvoir en France mène une politique économique, sociale et humaine exemplaire... Y'a pas de problèmes, que des solutions, pardon des promesses...
  18. La SNCF promet un trafic quasi normal à la Gare Saint Lazare La Tribune 6h Les usagers de la SNCF et notamment les 500.000 qui transitent chaque jour par la gare Saint-Lazare vont-ils enfin pouvoir circuler normalement ? Déjà perturbé depuis quatre semaines d'affilés par des grèves à répétition, qui ont laissé beaucoup d'usagers à cran, le trafic a été totalement interrompu pendant la plus grande partie de la journée de mardi, en raison d'une grève sauvage à la suite de l'agression d'un conducteur de train. Selon la direction de la SNCF, le trafic devrait aujourd'hui être quasi normal. Lire la suite l'article Jean-Pierre Farandou, directeur du transport régional SNCF en Ile-de-France (réseau Transilien) a annoncé des mesures commerciales envers les usagers qui ont pâti des perturbations ces dernières semaines. "Une réduction de 33% sur le prix des abonnements de février pour les voyageurs" circulant sur les lignes J ( Poissy, Mantes-la-Jolie, Pontoise) et L (Versailles, Saint-Germain-en-Laye, Noisy-le-Roi) va être appliquée", a indiqué Jean-Pierre Farandou. Le directeur du Transilien a évalué à 5 millions d'euros le coût de cette mesure qui, a-t-il précisé, sera entièrement à la charge de la SNCF. "Rien n'oblige la SNCF à le faire", a-t-il souligné. Concernant la sécurité, la direction de la SNCF a annoncé plusieurs mesures: une dizaine d'emplois supplémentaires cette année et cinq l'an prochain pour le secteur Paris-Saint-Lazare, l'accélération du programme d'installation vidéos en Ile-de-France et temporairement "des patrouilles exceptionnelles" formées de policiers et d'agents de sûreté. Certains membres du gouvernement ont dénoncé cette grève sans préavis qui a provoqué la fermeture quasi inédite de la gare Saint-Lazare. Hier, sur latribune.fr, vous étiez plus d'une centaine à réagir à chaud à cette annonce, la plupart pour dénoncer cette "prise en otage" des passagers, inquiets des conditions de leur retour en banlieue même si la SNCF a tenté de mettre en place des solutions de secours via d'autres gares et des navettes de bus. Certains en profitent pour réclamer une privatisation de la SNCF quand d'autres rappellent les problèmes connus outre-Manche, notamment en terme de sécurité, lors d'un tel processus. A noter ce mercredi que si les voyageurs franciliens retrouvent leurs transports en commun, ce n'est pas le cas à Marseille où tout le réseau est paralysé à la suite d'une grève intervenant après l'agression la veille d'un conducteur de bus, selon la Régie des transports de Marseille (RTM).
  19. Qui a mis des plaques de béton sur la voie du TGV? Le Post 10h Mardi, vers 21 heures, le TGV assurant la liaison Paris-Hendaye s'est arrêté, au nord de Bayonne, après avoir heurté des plaques de béton posées sur la voie, selon lenouvelobs. Les plaques avaient été déposées entre Labenne, dans les Landes, et Bayonne, dans les Pyrénées-Atlantiques. Le TGV a été retardé d'une quinzaine de minutes, le temps que les plaques soient déplacées. Selon la cellule communication de la direction régionale de la SNCF à Bordeaux, "les autorités ont aussitôt effectué une reconnaissance sur le site afin de s'assurer de l'absence de tout autre obstacle sur la voie", selon lenouvelobs. Le parquet de Dax a ouvert une enquête sur cet incident. Une enquête qui devra déterminer s'il s'agit d'un acte de vandalisme ou d'un acte de sabotage.
  20. Transports en commun à l'arrêt à Marseille après une agression Reuters 9h Le réseau des transports en commun marseillais était complètement paralysé mercredi après l'agression la veille d'un conducteur de bus, apprend-on auprès de la direction de la Régie des transports de Marseille (RTM) Les chauffeurs ont fait valoir leur droit de retrait et aucun bus, métro ou tramway ne devrait circuler dans la journée. L'agression s'est produite mardi en fin d'après-midi sur la ligne 8 du réseau qui dessert les quartiers du nord de la ville. Le chauffeur de bus a été violemment frappé au visage par deux hommes qui ont tenté de lui voler sa caisse. Jean-François Rosnoblet, édité par Clément Dossin
  21. Donc il y a bien utilisation de droit de retrait d'un côté et d'autre part les personnels ADC restaient couverts par despréavis légalement déposés et utilisés depuis le 14/12/2008. Merci Nico pour l'info
  22. Gare Saint-Lazare : ce que la SNCF a lâché aux syndicats LePoint 9h00 La SNCF a dû faire des concessions. Elle a satisfait à un certain nombre des revendications des syndicats cheminots, en grève depuis un mois. Alors qu'elle estimait être allée "au bout des négociations", elle a concédé mardi aux grévistes l'arrivée d'un renfort de douze conducteurs . Mais ce n'est pas tout, "une dizaine d'agents de sécurité supplémentaires" vont être affectés "dans les prochains jours" à cette partie du trafic et cinq de plus pour l'année prochaine Autres compromis :la mise en place de patrouilles "exceptionnelles" de police "dès cette semaine" et l'accélération du programme de vidéosurveillance des lignes. "La situation d'émotion (de mardi) nous obligeait à faire le premier pas, nous ne pouvions pas laisser les usagers dans une telle situation", s'est justifié le directeur de Transilien Jean-Pierre Farandou. Le vote de la reprise du travail par les 200 cheminots en grève a permis mardi la réouverture de Saint-Lazare. Elle a aussi mis un terme à quatre semaines de perturbations qui ont laissé à cran bon nombre des 450.000 usagers qui transitent chaque jour par la gare.
  23. Normalement le Signal d'alarme ne déclenche plus l'arrêt systématique du train en pleine voie, c'est le conducteur qui gère son arrêt dans la première gare possible certains SA sont équipés de système de communication avec le conducteur... Possible aussi d'installer des caméras dans les voitures voyageurs avec système d'enregistrement à bord ou de mettre un système "photo" à proximité de chaque SA qui fonctionnerait à son usage et prendrait une photo de la personne qui le déclenche... mais bon c'est pas ça qui empêchera les agressions : et ça ça relève de la prévention et de l'action sur les causes et origines de la délinquance , ( phénomène de société certes mais je ne connais pas de société sans délinquance ...) suivez mon regard
  24. Le conducteur du train conduit le train... il était donc obligatoirement tourné vers l'avant du train donc la scène se passait dans son dos qui plus est à l'extérieur de sa cabine de conduite ... à moins que celle-ci soit vitrée côté voyageur mais il n'a pas de rétroviseur... Donc pour savoir qu'il se passe un évènement dans son train il faut qu'il en soit informé, averti, donc pas d'autre solution qu'un signal d'alarme. De plus il est aussi possible pour un voyageur d'avertir directement la police par portable (il faut certes en avoir un...) ou par les bornes d'appel d'urgence en banlieue sur les quais de gare... Certes ça n'aurait pas empêcher l'agression mais cela aurait permis de prendre en charge la victime en déclenchant les secours (police, pompiers, agents sncf, surveillance générale...) et pour les services de police de déclencher une recherche éventuelles des agresseurs (patrouille, vidéo-surveillance...)
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