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Bon Anniversaire !
2 membres fêtent leur anniversaire ce jour goesto(33), CHRIS 13(36) Bon Anniversaire
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Appel à la grève reconductible à partir du 23 Novembre
Libération 24/11/2008 Grève à la SNCF: le trafic perturbé en Ile-de-France et sur les TER Le trafic devrait reprendre normalement dès mardi. La SNCF l’assure, «on tient le programme prévu». L’entreprise publique a déclaré lundi matin que le trafic est assuré «à 60 à 70% en moyenne» sur les lignes de TER et les trains de banlieue Transilien, les lignes de RER B et D étant les plus touchées avec seulement 50% des liaisons assurées. Une grève déclenchée par Sud-Rail, opposé à la nouvelle réglementation du fret. Les trains grande ligne Corail et les TGV assurent un trafic «normal» «conforme aux prévisions», a indiqué un porte-parole de la compagnie. La circulation des trains reprendra normalement mardi «à partir de mardi 6 heures sur quasiment l'ensemble du territoire», selon la SNCF, en précisant que «dans les régions Rhône-Alpes, Lorraine, Alsace, Nord Pas-de-Calais et Midi-Pyrénées, le trafic reviendra progressivement à la normale dans le courant de la journée». De son côté, Sud-Rail indiquait que la plupart des assemblées générales locales avaient voté la reprise du travail. Lundi, en Ile-de-France, le trafic au départ et à l’arrivée des gares de l’Est, du Nord et de Montparnasse était assuré à 70% en moyenne, mais pour celui de la gare Saint-Lazare, il n’était que de 50% seulement, a-t-il précisé. Sur le RER, le trafic de la ligne C est assuré à 60%, celui des lignes B et D à 50%, et celui de la ligne A à 100%, a ajouté le porte-parole. Cinq régions connaissent un trafic «normal» pour leurs TER: PACA, Languedoc Roussillon, Aquitaine, Bretagne et Limousin, selon la SNCF, qui ne donne pas d’indications au sujet des autres régions. Sud appelle tous les cheminots à la grève depuis dimanche 20 heures pour protester contre la nouvelle réglementation du fret qui régit le temps de travail des conducteurs, craignant l’instauration d’un deuxième statut moins favorable et l’introduction d’un «dumping social» au sein même de l’entreprise. Au centre du conflit, se trouve la réforme du fret et les modifications sur la réglementation régissant le temps de travail des conducteurs, qui font craindre aux syndicats la création d'un deuxième statut moins favorable et l'introduction d'un «dumping social» au sein même de l'entreprise. Cette réforme a pour objectif de faire baisser les coûts de production du fret, déficitaire à la SNCF, face à la concurrence installée sur les rails français depuis 2006. Aujourd'hui, sept entreprises autres que la SNCF font rouler des trains et représentent environ 8% du marché du fret. La semaine dernière, devant la perspective d'une grève dure des conducteurs, la SNCF a accepté de revoir sa copie en matière de déréglementation du travail. Un décret permettant le recours à des "volontaires", qui travaillent un peu plus longtemps, est paru, mais son application dans les tableaux de service («roulements»), prévue le 14 décembre, a été reportée. Aucune nouvelle date n'a été fixée pour l'instant. La Fgaac et la CFDT dans un premier temps, puis la CFTC, la CGC et la CGT dans un deuxième temps ont suspendu leurs préavis de grève, estimant que la direction avait «reculé». Seul Sud-Rail a maintenu son préavis de grève reconductible, estimant qu'il n'y avait eu "aucun recul". «Le mouvement est évidemment affaibli, mais nous devons restons mobilisés», a indiqué Christian Mahieux de Sud Rail à l'AFP. Le recul des autres syndicats «est incompréhensible pour nous, dans la mesure où le texte de la direction aujourd'hui est le même que celui d'il y a quelques jours contre lequel on s'était mobilisé», a-t-il ajouté. «Il y a de fait deux réglementations, et un phénomène de dumping social au sein même de l'entreprise, entre les salariés», a ajouté Alain Cambi, de Sud Rail, qui conteste aussi la stratégie globale de la SNCF en matière de transport de marchandises. «Pour abaisser ses coûts, et affronter la concurrence, la SNCF a renoncé depuis 2004 au transport de 15 milliards de tonnes/km par an qu'elle jugeait non rentable. Elle a contribué à mettre sur les routes 1,5 million de camions de plus par jour, une vraie catastrophe», a jugé Alain Cambi. Il estime par ailleurs que le gouvernement a choisi de ne pas actionner certains leviers face à la concurrence, comme le montant du péage des «sillons» (droits de trafic), et les travaux sur les voies, qui plombent les comptes du fret. FO pour sa part a appelé ses adhérents à se prononcer lors des assemblées générales de cheminots, et s'est joint à Sud pour un appel à une grève reconductible des contrôleurs à partir de lundi, 4 heures. (Source AFP)
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Appel à la grève reconductible à partir du 23 Novembre
social - économie L'Humanité 24 novembre 2008 (Le journal a été réalisé par des jeunes) « Nous restons vigilants » Nicolas Tamalet, 28 ans, demandeur d’emploi, Bagnolet (93) Entretien avec Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT cheminots. Son syndicat veut construire un mouvement de grande ampleur. Pourquoi votre syndicat a-t-il pris la décision de suspendre l’appel à la grève ? Didier Le Reste. La réforme de la réglementation du travail des conducteurs du fret visait entre autres à augmenter le temps de conduite de nuit (de 6 h 30 à 7 h 30) et à réduire le nombre de repos annuels (126 à 96). Elle concernait environ 900 (sur 4 600 conducteurs) recrutés sur la base d’un pseudo- volontariat. Nous avons constaté plusieurs cas de chantage à l’emploi pour contraindre des jeunes conducteurs à accepter de se porter candidats. La mobilisation des cheminots en particulier le 6 novembre, quand 55 % des conducteurs se sont mis en grève, a contraint la direction à renoncer à son projet. La CGT a pris acte de la décision de ne pas appliquer le décret qui devait entrer en vigeur le 14 décembre prochain. Nous avons également obtenu que les restructurations visant à mettre en oeuvre ce texte, comme la fermeture de plusieurs centres de traction ou les mutations contraintes du personnel, soient bloquées. Ce n’est pas la première fois que nous réussissons à stopper les réformes de ce type. C’est pour ces raisons que la CGT a suspendu son appel. Pourquoi ne pas maintenir la grève afin d’obtenir le retrait pur et simple du décret ? Didier Le Reste. Un décret ne se retire pas. Il en faut un autre pour l’annuler. Cela sous-entend une nouvelle mobilisation. Engager une grève alors que le décret ne s’applique pas aurait été dangereux. Pour la rendre impopulaire, le gouvernement n’aurait pas manqué d’accuser les cheminots de prendre en otages les usagers. On peut se demander si la publication dès mercredi du décret, alors que les négociations n’étaient pas terminées, ne visait pas à provoquer un conflit dans ce but. SUD-rail, qui a maintenu son appel à la grève, vous accuse d’avoir négocié seul avec la SNCF… Didier Le Reste. C’est faux ! Nous avons au contraire exigé et obtenu que la SNCF négocie avec toutes les organisations syndicales alors que cette dernière souhaitait négocier séparément. D’autre part, SUD rail a approuvé les modifications proposées par la CGT au relevé de conclusions portant sur les négociations des préavis de grève en date du 19 novembre. Pourquoi avez-vous déposé une demande de concertation immédiate pour le fret mais également pour l’ensemble des services ? Didier Le Reste. Nous restons vigilants. La SNCF pourrait revenir à la charge et tenter de relancer ses projets de déréglementation. Elle souhaite faire du fret une jurisprudence pour ensuite étendre ses dispositions à l’ensemble des conducteurs. Avec notre demande de concertation pour l’ensemble de l’entreprise, nous voulons construire un mouvement social de haut niveau afin d’obtenir l’arrêt des réorganisations conduites au motif de la recherche du profit et non de l’intérêt général. Il s’agit aussi de préserver l’emploi et les conditions de travail et de défendre le pouvoir d’achat des actifs et des retraités.
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C'est la crise...
Au coeur de la crise : les chômeurs... Assurance chômage: patronat et syndicats discutent cotisations et indemnisation Isabelle CORTES Le niveau des cotisations et la simplification du système d'indemnisation sont mardi au menu de la négociation sur l'assurance chômage, alors que la CFDT semble ne plus rejetter l'éventualité d'une baisse des cotisations en 2009 en fonction de l'évolution du chômage. A près d'une semaine des élections prud'homales, la troisième séance de discussions entre syndicats et patronat "va être une confrontation d'idées et de chiffrages sur les cotisations chômage et les filières d'indemnisation", selon Maurad Rabhi (CGT). A ses yeux, "des chiffres poussent à être prudents en cette période de crise: les ruptures de contrats de travail de gré à gré (qui ouvrent droit aux Assedic, ndlr) ont explosé en un mois et 60% des entrées au chômage résultent de la fin de contrats précaires, principale cause du déficit de l'Unedic". Face à la hausse des cotisations retraite annoncée par le gouvernement à compter de 2009, le patronat veut toujours baisser les cotisations chômage, avait répété mardi dernier la présidente du Medef Laurence Parisot, assurant que cela n'empêcherait pas un retour dans le vert des comptes de l'Unedic. Même dans l'hypothèse où le PIB reculerait de 1% en 2009, "oui il y aurait une augmentation du chômage (...), mais tout laisse à penser qu'il y aurait un équilibre du régime fin 2009", a dit Mme Parisot, citant notamment le "départ des papys boomers" comme facteur d'amélioration des finances de l'Unedic. Syndicats et patronat "ont des marges de manoeuvre pour baisser les cotisations chômage, même avec l'évolution du contexte économique", a aussi affirmé récemment le ministre du Budget Eric Woerth, renouvelant la pression du gouvernement sur les partenaires sociaux. Le secrétaire général de la CFDT François Chérèque a envisagé lundi la possibilité d'établir un "calendrier de baisse" des cotisations chômage à compter de fin 2009, en fonction de l'évolution du taux de chômage et des finances de l'Unedic. Se disant "pas sûr que la situation économique va à moyen terme obligatoirement mettre en danger les finances de l'Unedic", puisque "les départs à la retraite font un amortissement fort" sur les chiffres du chômage, M. Chérèque a jugé qu'une baisse des cotisations n'est "pas possible" début 2009, mais qu'"il y a une éventualité en fin d'année". Au départ de la négociation d'assurance chômage, une baisse de cotisations avait été jugée "irresponsable" par la CGT, "prématurée" par la CFTC. "Ce n'est pas le moment", avait lancé la CFDT, tandis que la CFE-CGC s'y était montrée "opposée pour 2009" mais "pas fermée" si la situation s'améliore. Autre sujet attendu des discussions mardi: l'instauration d'une filière unique d'indemnisation des chômeurs, au lieu de quatre actuellement. Alain Lecanu (CFE-CGC) a jugé nécessaire "un vrai débat de fond sur la meilleure solution pour la filière unique, avant de débattre des chiffrages". Actuellement, "nous ne sommes pas opposés à une filière unique, qui serait plus juste que les filières actuelles créant des effets de seuil, mais tout dépend des paramètres", a expliqué Stéphane Lardy (FO). "Jusqu'alors, le patronat propose une machine à exclure, où jeunes et seniors ne seraient plus indemnisés", a-t-il estimé. Comme plusieurs autres syndicalistes, Gabrielle Simon (CFTC) a souhaité "que les jeunes, qui enchaînent les contrats atypiques, puissent bénéficier de l'assurance chômage après avoir cotisé quatre mois (au lieu de six,ndlr), et que les seniors ne fassent pas les frais du refus des entreprises de les recruter".
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Charte instituant la création du SLIP sur le forum.
Tu ouvres le SLIP, heu pardon le document tableur Xcel qui porte ce nom... et tu laisses chacun se slipachier, heu "se démerder"... pour s'inscrire et transférer le fichier modifié sur le forum ! :Smiley_19:
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Charte instituant la création du SLIP sur le forum.
Montée des couleurs tous les matins au lever du soleil...
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C'est la crise...
De la crise financière à la crise économique... Vers la crise sociale... Ventes de logements en baisse (-44%), mises en chantier (-14,3%) Les ventes de logements neufs en France accusent un repli de 44% sur un an à la fin du troisième trimestre 2008 tandis que les mises en chantiers reculent à fin octobre de 14,3% sur un an et de 20,6% sur trois mois, selon les données publiées mardi par le ministère de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables. Le ministère a fait état de la commercialisation de 16.329 logements neufs au troisième trimestre 2008 contre 29.152 un an plus tôt et de 21.341 logements mis en vente, soit 38,1% de moins qu'au troisième trimestre 2007. Le niveau des ventes restant inférieur à celui des mises en ventes, l'encours de logements neufs proposés à la vente continue de progresser. Au 30 septembre 2008, il est de 113.404 logements, chiffre qui n'avait jamais été atteint", précise le ministère dans un communiqué. En un an, le délai moyen d'écoulement d'un logement mis en vente a pratiquement doublé passant de 9 mois à 18 mois pour le collectif et de 9 mois et demi à 18 mois pour l'individuel. La hausse des prix au m2 continuent de décélérer avec une progression de 2,0% entre le troisième trimestre 2007 et le troisième trimestre 2008 pour les lots en immeubles collectifs et de 2,2% dans l'individuel, relève le ministère. Les mises en chantiers de logements s'inscrivent quant à elles en recul de 20,6% sur la période août-septembre-octobre 2008 par rapport à la période correspondante de 2007 à 93.922 et chutent de 14,3% sur un an à 378.158. Elles s'installent ainsi au-dessous du seuil des 400.000 enfoncés au mois de juin pour la première fois depuis septembre 2005. Les permis de construire reculent de 24,4% sur les trois mois à fin octobre à 110.204 et de 19,5% sur douze mois à 459.251. Quels sont les effets sur l'activité économique ? quels sont les effets sur l'emploi ? quels sont les effets sur les finances publiques de l'Etat et des collectivités ?
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Demande d'information sur PS11
Déjà en parler rapidement à tes parents...
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Actualités Politiques
Dans la série des condamnations... Le DAL condamné à 12.000 euros d'amende pour les tentes de la rue de la Banque Verena von Derschau AP "Des objets embarrassant la voie publique sans nécessité": c'est ainsi que le tribunal de police de Paris a qualifié lundi les tentes de 374 familles mal-logées qui s'étaient installées fin 2007 rue de la Banque dans le IIe arrondissement de la capitale, en condamnant l'association Droit au logement (DAL) à 12.000 euros d'amende pour le "dépôt et l'abandon" de ces "objets". "On dénonce cette décision", s'est insurgé le président du DAL, Jean-Baptiste Eyraud en annonçant l'intention de faire appel. "La magistrate, en condamnant le DAL en vertu d'un article du code de la route, ouvre le champ à des amendes pour tous les mal-logés. La tente d'un SDF ou ses affaires personnelles laissées dans la rue peuvent lui valoir une amende de 750 euros!" Pour l'association qui lutte auprès des mal-logés depuis une vingtaine d'années, "c'est un détournement de l'objet de la loi qui visait à sanctionner la présence de rebuts ou de détritus sur le trottoir". "Les sans-abri sont aujourd'hui assimilés aux rebuts", s'est désolé Jean-Baptiste Eyraud devant cette décision qui "casse l'action sociale". A l'audience, le 3 novembre dernier, le parquet avait réclamé 100 euros d'amende par tente sur le trottoir de cette rue proche de la Bourse, soit 32.000 euros d'amende. Une somme visant "à couler financièrement l'association" qui soutient les mal-logés, selon le DAL. Dans sa décision, la magistrate a infligé au DAL quatre amendes de 3.000 euros considérant le campement comme un seul embarras pour lequel quatre procès-verbaux ont été dressés lors des interventions policières. L'amende a été majorée de 750 à 3.000 euros puisque le DAL est une personne morale. Du 3 octobre au 15 décembre 2007, 374 familles sans logis ou mal-logées dans des hôtels, des centres ou des taudis avaient campé rue de la Banque devant le "ministère de la crise du logement" pour réclamer leur relogement. "Après une très longue période de répression et d'acharnement policier et plusieurs évacuations par les forces de l'ordre, la détermination de ces familles et le très large soutien de personnalités du monde artistique et d'organisations dont elles ont bénéficié ont permis l'ouverture de négociations avec l'Etat", a souligné le DAL dans un communiqué, rappelant que "c'est le Président de la République qui a ouvert cette phase de négociations, en recevant Carole Bouquet et l'association Droit Au Logement à l'Elysée le 23 novembre 2007". "Un accord de relogement a ensuite été signé avec le ministère du Logement le 14 décembre 2007, et 130 familles sont à ce jour relogées", note encore l'association qui est poursuivie pour la première fois à propos de l'une de ses actions coup de poing pour attirer l'attention de l'opinion publique sur les problèmes de logement. "L'incroyable décision du tribunal de police contre le DAL ressemble furieusement à condamner les mal-logés à souffrir ou mourir en silence", estime le collectif Jeudi Noir pour le logement. "Au lieu de compter les tentes, (la ministre du Logement Christine) Boutin ferait mieux d'envoyer les policiers compter les bâtiments vides", suggère-t-il dans un communiqué. Des poursuites similaires ont été engagées contre le président des Enfants de Don Quichotte, Jean-Baptiste Legrand, pour une tentative d'installation de tentes sur les quais près de Notre-Dame en décembre dernier. AP
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Grand Jeu
pétasse ==>> pisseusse... Et une louche, une...
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Huit syndicats annoncent une "mobilisation massive" après Noël
Dans la série des mobilisations en cours : Les syndicats de l'audiovisuel public souhaitent "une grève massive" mardi contre la réforme du gouvernement Les syndicats de l'audiovisuel public espèrent mardi assister à "une grève massive" dans toutes les antennes de Radio France et dans tout le groupe France Télévisions pour protester contre la réforme voulue par Nicolas Sarkozy. C'est en effet ce jour que le Parlement commencera à examiner le projet de loi visant à réformer le secteur, dont la mesure la plus symbolique est sans conteste la suppression de la publicité sur les chaînes publiques. L'intersyndicale de l'audiovisuel public (SNRT-CGT, CFTC, CFDT, FO, CSA, Sud, SNJ, SITR, SRCTA et SNJ-CGT) organise une manifestation prévue à partir de midi de la Tour Eiffel à l'Assemblée nationale. Pour Jean-François Téaldi de la SNJ-CGT, joint par AP, la réforme telle qu'elle est menée, c'est le "retour à la télévision d'Etat", avec "la volonté totale du gouvernement d'être directeur des programmes et de reprendre la main sur le contenu". Dans ce contexte, ce nouveau mouvement de grève "est une étape importante, ce n'est pas la fin de la bataille car il faudra ensuite mettre en musique avec la direction de France Télévisions le sous-financement". "Notre mobilisation a déjà fait bouger les lignes", s'est-il toutefois réjoui, espérant par ailleurs que le Sénat, "qui a bien retoqué le projet de loi SRU de Christine Boutin", désavoue une nouvelle fois la majorité. Concernant la déclaration du porte-parole de l'UMP Frédéric Lefevbre n'excluant pas un plan social, Jean-François Téaldi a déploré qu'il "continue dans la provocation" même s'"il a le mérite de dire tout haut ce que la majorité pense tout bas". "Il faut arrêter d'entretenir cette idée selon laquelle il est inéluctable de supprimer des emplois", estime pour sa part Marc Chauvelot de la SNRT-CGT, réclamant "un minimum de cohérence et de rigueur". "Nous devons nous faire voir et entendre massivement" mardi car "les nouvelles sont de plus en plus alarmantes à mesure qu'on s'approche du vote parlementaire", assure Marc Chauvelot. "Notre objectif est de faire mieux ou au moins aussi bien que lors des précédentes mobilisations de février et de juin", a-t-il expliqué à l'AP, mettant en garde contre "un effet domino qui va toucher par ricochet tout le monde". Pour Patrice Christophe de la CFDT, "comme la direction ne veut pas émettre d'hypothèses à long terme, cela alimente toutes les peurs et tous les fantasmes, ce climat est d'ailleurs peut-être voulu". "On est contraint de maintenir un rapport de force élevé pour peser dans les négociations" même si selon lui "le texte ne sera certainement pas amélioré à l'Assemblée". AP
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Patronat et syndicats signent à l'unanimité l'accord sur le stress au travail
Patronat et syndicats signent à l'unanimité l'accord sur le stress au travail Patronat et syndicats ont signé lundi à l'unanimité l'accord sur le stress au travail conclu en juin dernier, qui prévoit notamment d'améliorer la prévention de ce phénomène dans les entreprises, a-t-on appris auprès du Medef. Les cinq organisations syndicales (CGT, CFDT, CFTC, FO et CFE-CGC) et les trois patronales (Medef, CGPME, UPA) ont signé officiellement au siège du Medef le texte d'accord, finalisé le 2 juillet après quatre séances de négociation. Cet accord, qui transcrit en droit français un accord-cadre européen de 2004, vise à "augmenter la prise de conscience et la compréhension du stress au travail, par les employeurs, les salariés et leurs représentants" et "attirer leur attention sur les signes susceptibles d'indiquer des problèmes de stress au travail". Le texte stipule notamment que "dès qu'un problème de stress au travail est identifié, une action doit être entreprise pour le prévenir, l'éliminer ou à défaut le réduire". Il prévoit également que les partenaires sociaux ouvrent, dans les 12 mois qui suivent la signature de l'accord, une nouvelle négociation sur la question du harcèlement et de la violence au travail. Ces deux sujets, qui ne sont pas inclus dans le présent accord, font l'objet d'un accord-cadre européen, que les partenaires sociaux doivent transcrire également en droit français. Le texte ne prévoit pas une déclinaison obligatoire dans les branches professionnelles, mais il précise que "des accords de branches ou d'entreprises ne peuvent déroger aux dispositions du présent accord que dans un sens plus favorable aux travailleurs"
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Grand Jeu
villageoise ==>> paysanne
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Charte instituant la création du SLIP sur le forum.
Tâches vertes aussi en cas de consommation d'épinards...
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Actualités Politiques
400 euros d'amende pour avoir outragé Bernard Kouchner Le tribunal correctionnel d'Avignon a condamné lundi un homme à 400 euros d'amende pour avoir outragé le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner en marge d'une réunion des chefs de la diplomatie européens. Le parquet avait requis 600 euros d'amende. Si M. Kouchner n'avait pas lui-même entendu les propos offensants, ils avaient été notés par des CRS assurant la sécurité de la réunion européenne, le 6 septembre. Leur auteur avait été immédiatement interpellé et placé durant dix heures en garde à vue. L'homme qui s'est excusé lors de l'audience, a expliqué qu'il n'avait pas supporté que Bernard Kouchner "retourne sa veste" et rejoigne le camp du président Nicolas Sarkozy.
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Le Bar de la Rotonde
Même sur ARTE... Zemmour et les "races" : pour Arte le débat était presque parfait. Bruno Roger-Petit - LePost Je me suis attiré, ces derniers jours, des foudres diverses suite à mes commentaires relevant (comme d'autres...) les propos récents d'Eric Zemmour, journaliste-polémiste qui estime qu'il existe sur notre planète des "races" différentes d'êtres humains reconnaissables à la couleur de leur peau. J'ai indiqué à l'occasion qu'il serait instructif d'observer si le système médiatique allait mettre Zemmour au cachot des tricards des medias en compagnie d'autres individus tels Siné, Dieudonné, Bigard, tous jugés coupables après avoir tenu des propos stupides, indignes, provocateurs et insupportables. Je n'avais guère d'illusions sur le résultat, puisque Zemmour dispose d'un pouvoir médiatique et d'un réseau d'amitiés plus grand que les zozos cités ci-dessus. Ca n'est pas tant que je réclamais un châtiment médiatique (c'était de l'ironie, eh oui!), je reconnais à Zemmour le droit de proférer des monstruosités absolument stupides et potentiellement dangereuses, mais je suis toujours agacé par le "deux poids deux mesures" qui règne dans ce genre d'affaires. En l'espèce, force est de constater que c'est bien le cas. Je suis d'autant plus stupéfait que la production de l'émission elle-même, (la société 2P2L) a visiblement "remonté" l'émission d'Arte, l'expurgeant des éléments visiblement défavorables à Zemmour. C'est la conclusion que l'on peut, hélas, tirer de la lecture du communiqué reproduit ci-dessous et publié par l'un des invités de l'émission. Si ce "remontage" est volontaire, c'est grave. S'il est involontaire, c'est encore plus grave. Je suis bien curieux d'entendre les explications d'Arte, de la production 2P2L et de la présentatrice de l'émission, Isabelle Giordano. Et je suis aussi curieux de voir si nous pourrons un jour visionner cette émission dans son entier. Droit de réponse du philosophe Vincent Cespedes, relatif à l’émission Paris-Berlin du 13 décembre 2008 (Arte) sur le thème du métissage. "Les propos de M. Zemmour – qualifiant de « ridicule » la remise en cause scientifique du concept de « races » humaines, se disant « pour la répression » au nom de l’« assimilation » républicaine, ou évoquant des « affrontements de bandes ethniques » dans nos banlieues – provoquent de plus en plus de réactions outrées. Pour ma part, ces propos ne m’ont pas surpris ; je connais les idées de M. Zemmour, ainsi que sa façon de fuir les arguments adverses en pratiquant la surenchère dès qu’il se sent acculé. Je ne compte pas utiliser mon droit de réponse pour lui faire un « procès », car il a déjà eu lieu pendant l’enregistrement de l’émission (90 min.), lors d’une confrontation houleuse entre lui et moi. Je déplore seulement que mes interventions aient considérablement fondues au montage final (58 min.), ce qui non seulement dénature le sens de ma participation à ce débat, mais surtout fait croire que personne n’a réellement déconstruit les énormités prononcées par M. Zemmour. Si ma mémoire est bonne, j’ai largement fait ce travail sur le plateau. Relevant ses amalgames (distinguant par exemple le « phénotype » et la « race »), j’ai pointé son manque de probité intellectuelle, dénoncé ses provocations et ses affirmations péremptoires, soutenu en cela par Renan Demirkan et Rokhaya Diallo, mais aussi par un public proprement scandalisé, qui a d’ailleurs pris à parti M. Zemmour. Je déplore que l’on ait choisi de tronquer le cœur de la polémique pour mettre en scène le débat en le soumettant à des impératifs superflus (égalité des temps de parole, télégénie d’un duel Blanc/Noire, crédibilité du polémiste Éric Zemmour à maintenir à tous prix parce qu’il en va de la crédibilité du « casting » et du débat lui-même, etc.). Le montage final fausse la réalité du débat que nous avons eu. Toutes les idées peuvent être exprimées, même les plus nauséabondes, à condition qu’elles soient analysées, débattues et critiquées avec autant de rigueur dans le fond que de vigueur dans la forme. Tel est le tout premier rôle d’un intellectuel – a fortiori d’un philosophe – lors d’un débat télévisé. Si ma mémoire est bonne, cela a été fait avec énergie et conviction tout au long de l’enregistrement. Ce qui me pose problème, ce qui me « choque », c’est qu’il n’en soit presque rien resté au final. Toutefois, la mémoire étant sélective, subjective et faillible, le « buzz » autour de l’émission gagnant chaque jour de l’ampleur, je demande au diffuseur (Arte) et au producteur (2P2L) de bien vouloir mettre en ligne l’intégralité de l’enregistrement, ou, à défaut, une retranscription fidèle et exhaustive des échanges. Autrement dit : de faire fi du spectacle au profit du sens." Vincent Cespedes Paris, 20 novembre 2008
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Grand Jeu
gros rouge ==>> litron
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Quelle est votre activité favorite quand vous êtes aux toilettes ... ?
Bon histoire de rigoler un peu pour se réchauffer parceque dehors, il caille vraiment... Quelle est votre activité favorite quand vous êtes aux toilettes ... ? Il y a ceux qui aiment y lire le journal ou un magazine (peut être le dernier règlement sncf...?!) Il y a ceux qui téléphonent, qui envoient des Sms Il y a ceux qui en profitent pour manger un morceau... ou sucer un bonbon ? Il y a ceux qui s'y activent quelque peu... Et vous quelle y est votre activité favorite ?
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Le Bar de la Rotonde
Olivier Besancenot gagne en justice contre Taser France Le dirigeant d'extrême-gauche Olivier Besancenot a gagné son procès contre la société commercialisant le pistolet électrique Taser devant le tribunal de grande instance de Paris. Le représentant de la société en France, Antoine Di Zazzo, demandait au porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) 50.000 euros de dommages et intérêts pour avoir écrit sur un site internet et sur son blog en 2007 que le Taser avait fait 150 morts aux Etats-Unis et au Canada. "La société Taser a été déboutée de toutes ses demandes", a déclaré à la presse Me Antoine Comte, l'avocat de Besancenot. Depuis le lancement de la procédure, Antoine Di Zazzo a été arrêté par la police et mis en examen à la mi-octobre au motif qu'il aurait ordonné une mise sous surveillance illicite du porte-parole de la LCR par des détectives privés et des policiers dévoyés. Il ne s'était pas présenté à l'audience le 20 octobre. Appelé à la barre pour s'expliquer, Olivier Besancenot avait réitéré ses accusations contre cette arme. Ce pistolet, commercialisé en France par SMP Technologies, la société d'Antoine Di Zazzo, a reçu un agrément officiel pour équiper police et gendarmerie et, depuis quelques semaines, les polices municipales. Prié de préciser ses accusations, Olivier Besancenot a dit : "J'assume mes propos, je les revendique d'autant plus qu'il s'est passé beaucoup de choses depuis la présidentielle qui me confortent dans mes convictions". Un représentant d'Amnesty, Benoît Muracciole, est venu témoigner à la barre que son organisation avait constaté que l'arme faisait des morts en étant utilisée sur des personnes vulnérables comme des cardiaques, des drogués, des femmes enceintes, données que les policiers ne peuvent déceler. Gérard Bon, édité par Yves Clarisse
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SNCF: seul Sud-Rail appelle à la grève le dimanche 23/11/2008
Trafic peu perturbé à la SNCF par une grève à propos du fret Le trafic ferroviaire était peu perturbé lundi à la SNCF où seules les liaisons régionales étaient affectées par une grève contre la réforme du fret lancée à l'appel d'un syndicat, Sud-Rail, annonce l'entreprise. La SNCF faisait état, à 11h00, de 1,87% de grévistes dans l'ensemble de l'entreprise et 17,36% chez les agents de conduite. Le trafic était normal sur les lignes nationales (TGV et Corail) et sur les dessertes internationales (Eurostar et Thalys), a précisé un porte-parole du transporteur français. La totalité des Trains express régionaux (TER) circulaient dans les régions Bretagne, Limousin, Poitou-Charentes, Aquitaine et Languedoc-Roussillon, a précisé la SNCF. En Ile-de-France, des trains supplémentaires ont été mis en place sur plusieurs lignes Paris-banlieue, dont le RER D, en raison d'un nombre de grévistes moins élevé qu'attendu. Dans les autres régions, la SNCF a précisé qu'au moins 70% des trains étaient en circulation. Sud-Rail, seule organisation à avoir maintenu l'appel à la grève après le retrait des quatre autres fédérations de l'intersyndicale (FO, CGT, CFTC, CGC), "regrette que ce mouvement n'ait pas eu lieu dans un cadre unitaire large", a dit son secrétaire fédéral, Alain Cambi. Les chiffres nationaux ne reflètent pas la mobilisation des agents dans l'activité de fret, concernée par la réforme du temps de travail que dénonce Sud-Rail, a expliqué le syndicaliste à Reuters. "Dans les unités de fret, il y a en moyenne plus d'un tiers de grévistes et cela monte jusqu'à 60% dans certaines régions comme à Lyon", a précisé Alain Cambi. Grégory Blachier, édité par Gilles Trequesser
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Huit syndicats annoncent une "mobilisation massive" après Noël
Huit syndicats annoncent une "mobilisation massive" après Noël Reuters 24/11/2008 Huit organisations syndicales annoncent un accord de principe sur une "mobilisation massive" après Noël pour faire entendre leurs revendications sur le pouvoir d'achat et l'emploi. Les syndicats CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, FO, FSU, Solidaires et UNSA en font l'annonce dans un communiqué commun publié à l'issue d'une réunion qui s'est tenue lundi matin. "Les organisations syndicales retiennent le principe d'une mobilisation massive des salariés au début de l'année 2009 pour faire aboutir leurs revendications sur l'emploi, le pouvoir d'achat, les garanties collectives, les protections sociales, les conditions d'une relance économique," lit-on dans le texte. Deux nouvelles réunions intersyndicales sont prévues les 15 décembre et le 5 janvier pour "préciser le contenu et arrêter les modalités" de la mobilisation, ajoute le communiqué. Véronique Tison, édité par Sophie Louet
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C'est la crise...
Le socialisme peut-il se résumer à la seule notion "d'aide" (à priori si je te lis bien pour ceux en difficultés quelqu'en soit l'origine) ? Le socialisme est-il antinomique avec la notion de responsabilité (notion différente de mérite) ?
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C'est la crise...
Le patronat n'est effectivement pas un bloc monolithique dans sa structure financière et organisationnelle. Il y a d'un côté les grosses boîtes multinationales et les groupes internationaux côtés en bourse et donc soumis aux pressions de leurs actionnaires (surtout les gros) et à l'autre bout de l'échelle les Très Petites et Petites entreprises (souvent artisans et commerçants) Mais il ne faut pas oublier que si la vie de ces dernières est difficile il n'en demeure pas moins que l'entreprise en question est un bien qui appartient à son propriétaire et qui a une valeur que ce propriétaire réalisera le jour il vendra sa (petite) société (fond de commerce et/ou les murs). Alors petit salaire oui certainement, mais il y a aussi une part revenu en patrimoine souvent non négligeable. Après on n'enlèvera pas non plus la part travail souvent très importante, dans la réalisation finale. Bien entendu il y a toujours des risques mais il y en a autant pour un salarié (licenciement, accident du travail, maladie...) même dans une grande boîte.
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Le blog de B.Aubin
C'est qui cet homme là ? Le secrétaire général de la fédération des cheminots CFTC ? http://aubin.blogs.nouvelobs.com/archive/2...onsequence.html
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Appel à la grève reconductible à partir du 23 Novembre
Il est exact que si tu n'as pas le réflexe de te reculer tu risques de te faire bouffer tout cru et pas seulement le bras... Force est de constater qu'il y a eu opposition "aux objectifs" de la direction Dommage et c'est ce que regrettent nombre de cheminots que cela se fasse à la fois dans le désordre, la division, mais aussi les polémiques, les affrontements, la conflictualité entre OS. Manifestement et c'est MON regard sur les évènements, mon sentiment nous n'arrivons pas à en sortir... alors que les mauvais coups tombent de plus en plus violemment de la part du pouvoir UMP Sarko-Fillon et de la direction SNCF (c'est quand même elle qui gère la boîte...). Pour l'instant les cheminots soit accompagnent cette politique (c'est le cas d'une grande partie de l'encadrement managérial) soit ont baissé les bras parcequ'ils n'y comprennt plus rien et n'ont aucune perspectives auxquelles se raccrocher pour se mobiliser soit ont les deux pieds sur le frein... parcequ'ils leur reste la lucidité de se défendre. C'est donc compréhensible que le mot d'ordre recouvre une dimension du style "sauvons les meubles, sauvegardons l'essentiel" Mais il n'empêche que depuis 2002, les acquis sociaux, les droits des salariés reculent... les services publics explosent... Face à cette situation, face à ce dilemme, chacun compte ses forces et agit en fonction. Mais on a des OS qui ressemblent un peu aux mastodontes du PS : à chacun son égo...