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supression des agents de quai
Dom Le Trappeur a répondu à marcarrick situé dans Actualité ferroviaire générale
Petite étude faite dans une grande gare de banlieue il y a quelques années sur la base d'un train de banlieue à l'heure ou en retard (si le train est en avance on attend l'heure...) avec un chef de quai (casquette blanche, sifflet et palette) durée du stationnement à quai depuis l'arrêt, montée des voyageurs, coup de sifflet, autorisation de départ : 45 secondes en moyenne et on rattrappe quelques secondes après la suppression des chefs de quai : 1 minute 20 (autorisation de départ par asct) avec EAS départ conducteur : retour sous la barre de la minute La suppression des agents du transport sur les quais a un objectif : préparer la centralisation des postes d'aiguillages (vopir les fils à ce sujet les CCR) Mais face à la déshumanisation et parcequ'il faut bien aussi s'occuper des voyageurs la direction met des agents d'accueil ou d'escale (suite à la grève et la période 95/96). Le problème c'est que ça ne fait pas toujours le joint en cas d'incident circulation ou de problèmes sécurité ferroviaire. En effet l'un des gros problèmes en, cas de dysfonctionnement c'est la transmission des informations or un agent commercial son boulot c'est de s'occuper des voyageurs, la sécu il ne connait pas La plupart des incidents ont une durée multipliée par X (souvent x2 ou x3) par le simple fait de l'absence d'agents transprt (chef de quai, chef de manoeuvre) pouvant intervenir immédiatement et faire le lien entre l'ADC (souvent lui aussi tout seul sur son train...) et le poste d'aiguillages. -
Pour Robert Badinter, la réforme des institutions risque d'instaurer "la monocratie" PARIS - Pour l'ancien garde des Sceaux Robert Badinter, la réforme des institutions souhaitée par Nicolas Sarkozy instaurerait de fait "la monocratie" si elle était votée et s'accompagnerait d'un "sacre à Versailles" pour le président de la République. Robert Badinter a déclaré sur RTL qu'il ne voulait pas voir "le président entrant en majesté devant le Congrès", délivrant un "message (...) pour louer son bilan et surtout annoncer le programme qui doit être celui de l'année à venir". "Le public verra le président de la République physiquement en chef de la majorité présidentielle", a regretté Robert Badinter, car "que devient le Premier ministre dans ce cas-là, tout petit sur son banc parmi les ministres silencieux ?", s'est-il interrogé. "Si la révision est rejetée, ce que nul à cet instant ne peut dire, ça n'est certainement pas de la faute de l'opposition", a assuré le sénateur socialiste des Hauts-de-Seine, critiquant "le pouvoir de nomination si considérable" déjà accordé actuellement au président de la République. Robert Badinter a également dénoncé "l'obstination incroyable de la majorité sénatoriale qui entend garder un système absolument antidémocratique" afin de "rompre avec toute tentative tendant à permettre une alternance". AP Institutions: Badinter (PS) refuse un "sacre" du président devant le Parlement PARIS (AFP) - Le sénateur PS Robert Badinter a refusé mercredi un "sacre à Versailles" du président de la République, en dénonçant le droit d'adresse devant le Congrès qui lui est accordé par le projet de réforme des institutions. "Si la révision est rejetée - ce que nul à cet instant ne peut dire - ce n'est certainement pas de la faute de l'opposition", a-t-il dit sur RTL. La réforme doit être soumise aux parlementaires lors d'un congrès à Versailles le 21 juillet. Une majorité des 3/5èmes y sera requise. "C'est tout simplement à cause" du "maintien par le président et l'accroissement de ses pouvoirs" et de "l'obstination incroyable de la majorité sénatoriale qui entend garder un système absolument antidémocratique", a-t-il jugé, en évoquant le mode de scrutin au Sénat. L'ancien ministre de la Justice a critiqué le droit d'adresse du président devant le Congrès. "Imaginez la scène: ce sera le président entrant en majesté devant le Congrès, on se lèvera. Il prononcera le message sur l'état de l'union, ça veut dire: louer son bilan et surtout annoncer le programme de l'année à venir". "Toute sa majorité se lèvera dans une immense ovation à la fin. Le public verra le président de la République physiquement en chef de la majorité. Que devient le Premier ministre dans ce cas-là, tout petit sur son banc parmi les ministres, silencieux?", a lancé M. Badinter, refusant "cette espèce de sacre à Versailles". Nicolas Sarkozy "tient le gouvernement" et "il tient aussi le Parlement, le législatif, parce qu'il est le chef de la majorité présidentielle", a-t-il affirmé. "C'est la +monocratie+, le pouvoir d'un seul".
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Routiers: la FNTR affirme que 1.128 entreprises ont déposé le bilan depuis le début de l'année
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Routiers: la FNTR affirme que 1.128 entreprises ont déposé le bilan depuis le début de l'année PARIS - La FNTR, principale fédération patronale de transporteurs routiers, a affirmé mercredi que 1.128 entreprises de ce secteur avaient déposé le bilan au cours des six premiers mois de 2008, soit "un doublement par rapport au premier semestre 2007". Dans un communiqué diffusé mercredi, la Fédération nationale des transports routiers (FNTR) met cette situation sur le compte de la "très grave crise" que traverse le transport routier de marchandises en raison notamment de la flambée du prix, mais également de certains "effets négatifs" de la loi TEPA (Travail, emploi et pouvoir d'achat) sur les heures supplémentaires notamment. "Dès la promulgation de la loi TEPA (...) la FNTR exerçait son devoir d'alerte auprès des pouvoirs publics sur ses effets inattendus et imprévus pour les entreprises de transport routier", explique la fédération dans son communiqué. Selon elle, "le changement d'assiette des allégements Fillon (...) avait (...) un effet négatif sur ces entreprises tant en raison de la complexité du mécanisme TEPA", que d'une situation sociale dans le secteur "atypique et dérogatoire". "La loi TEPA se traduisait, dans les faits, par un surcoût annuel estimé pour les entreprises à 3% de la masse salariale, après une longue enquête auprès de plusieurs centaines d'entre elles", selon la FNTR. La fédération dit avoir "rencontré auprès des pouvoirs publics une écoute attentive et une volonté de corriger le tir confirmée encore dernièrement par l'ouverture faite par le secrétaire d'Etat aux Transports", Dominique Bussereau lors d'une rencontre le 2 juillet dernier. La FNTR se félicite des "engagements" obtenus auprès du gouvernement après les journées nationales d'action des 16 et 30 juin dernier, notamment la réduction de la taxe à l'essieu et la "diminution significative du manque à gagner consécutif aux modifications apportées à l'assiette des allégements Fillon". Mais pour la fédération, "la très grave crise" que connaît aujourd'hui le transport routier "nécessite (...) des réponses urgentes et immédiates". "Au premier semestre 2008" affirme la FNTR, "1.128 entreprises de transport au total ont déjà déposé le bilan, soit un doublement par rapport au premier semestre 2007". Le communiqué ajoute que "le second trimestre 2008, avec 721 dépôts de bilan, a connu une explosion spectaculaire des défaillances d'entreprises par rapport au premier trimestre (+77%) marquant ainsi l'aggravation de la crise". AP -
Nouvelle poussée de l'inflation au mois de juin en France PARIS (Reuters) - L'inflation a de nouveau accéléré au mois de juin en France avec la hausse des prix du pétrole et des produits frais. Elle n'a pas encore atteint son pic selon des économistes qui la rendent en partie responsable du ralentissement de l'activité. Les prix de détail ont augmenté de 0,4% au mois de juin en France et leur hausse sur un an a atteint 3,6%, au plus haut depuis juillet 1991, selon les données définitives publiées mercredi par l'Institut national de la statistique. L'indice des prix IPCH, qui permet une comparaison au niveau européen, a également progressé de 0,4% en juin par rapport à mai, soit une hausse de 4,0% sur un an, conformément aux attentes des économistes interrogés par Reuters. "La hausse de l'indice des prix à la consommation de juin provient du renchérissement des produits pétroliers (+5,4% sur le mois, +12,9% sur trois mois) et, dans une moindre mesure, de la hausse saisonnière des produits frais (+1,6% sur le mois, +11,0% sur trois mois) et des autres services, notamment ceux liés au tourisme", précise l'Insee dans un communiqué. "Le pic d'inflation n'est probablement pas atteint. On va aller un peu au-delà de 4% sur l'indice IPCH et s'en rapprocher sur l'indice national d'ici le mois de septembre", prévient Olivier Gasnier, économiste à la Société générale. Il souligne que cette persistance des pressions inflationnistes ne permet pas d'exclure un nouveau relèvement de ses taux directeurs par la Banque centrale européenne malgré la succession de très mauvais chiffres sur l'activité au sein de la zone euro au cours des dernières semaines. La BCE a relevé ses taux directeurs d'un quart de point le 3 juillet, portant son taux d'intervention à 4,25% pour éviter les effets de second tour qui consisteraient en une diffusion de la hausse des prix des matières premières dans l'ensemble de l'économie, en particulier dans les salaires. "La raison pour laquelle la BCE a relevé les taux d'intérêt il y a deux semaines et la raison pour laquelle elle pourrait les relever à nouveau est d'éviter que la hausse des prix des matières premières ne se transmette aux salaires et au reste l'économie", explique Dominic White, économiste chez ABN Amro. LE TAUX DU LIVRET À 4% Les économistes s'inquiètent aussi des conséquences de l'inflation sur l'évolution de l'activité. "A 3,6%, l'inflation est de nature à modifier fondamentalement la trajectoire de l'économie française", prévient Nicolas Bouzou, économiste du bureau d'analyse indépendant Asterès. "La consommation va rester globalement en berne : avec une progression des salaires nominaux inférieure à 3%, la perte de pouvoir d'achat des salariés est nette", souligne-t-il. "L'inflation forte constitue de plus en plus une raison directe du ralentissement de l'activité parce qu'elle réduit le pouvoir d'achat des ménages et donc leur consommation et parce qu'elle pèse sur leur confiance et peut donc les inciter à épargner plus", renchérit Jean-Louis Mourier, économiste chez le courtier Aurel Leven. La ministre de l'Economie Christine Lagarde a d'ailleurs annoncé mercredi un relèvement à compter du 1er août de 3,5% à 4% du taux de rémunération du Livret A, détenu par près de 46 millions de Français pour un encours de l'ordre de 120 milliards d'euros. Cette décision est en partie motivée par l'accélération de l'inflation. Le taux de rémunération du Livret A, calculé deux fois par an, le 15 janvier et le 15 juillet, par la Banque de France, est en effet égal à la moyenne arithmétique entre l'inflation et la moyenne mensuelle des taux courts (Euribor 3 mois et Eonia), arrondie au quart de point le plus proche. Une dérogation à cette règle de calcul peut toutefois être invoquée pour "circonstances exceptionnelles" par la BdF. En janvier, la BdF avait ainsi recommandé au gouvernement de ne pas suivre cette règle de calcul qui aurait justifié une hausse du de 3% à 4% du taux du Livret A. La ministre de l'Economie a aussi pris acte mardi du ralentissement de l'activité en estimant que la croissance de l'économie française serait plus proche cette année du bas de la fourchette de 1,7% à 2% retenue par le gouvernement qui avait déjà revu ses prévisions en baisse en avril par rapport à la fourchette de 2,0% à 2,5% utilisée pour bâtir la loi de Finances 2008. Marc Joanny
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Le taux du Livret A passera à 4% au 1er août PARIS (Reuters) - Le taux de rémunération du Livret A, produit d'épargne détenu par près de 46 millions de Français, va passer de 3,5% à 4% au 1er août prochain. "Je suis heureuse ce matin de pouvoir vous annoncer que le Livret A, qui est un outil très populaire d'épargne pour de très nombreux Français, va passer à compter du 1er août au taux de 4%", a annoncé la ministre de l'Economie Christine Lagarde sur RMC-BFM TV. Elle explique avoir réalisé un calcul moyen fondé sur les taux d'intérêt à court terme et l'inflation. Cette dernière étant actuellement à un rythme élevé, notamment sur les produits alimentaires et le pétrole, le passage à 4% apparaît comme un réajustement relativement modeste, notamment pour les salariés les plus pauvres. Né en 1818 avec la création de la Caisse d'Epargne de Paris, le Livret A est le produit d'épargne favori des catégories de population aux revenus les plus modestes. Il est plafonné à 16.300 euros de dépôt, mais offre de nombreux attraits tels que des possibilités de défiscalisation et de retraits. En mars dernier, il cumulait des encours de 124,7 milliards d'euros. Limité à certains établissements actuellement - Banque postale, Caisse d'épargne et Crédit mutuel (via le Livret Bleu) - il pourra être proposé dans toutes les banques à partir du 1er janvier 2009, aux termes du projet de Loi sur la modernisation de l'économie (LME). "GARANTIR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT SOCIAL" Cette mesure a fait craindre que ce produit d'épargne ne devienne un placement financier comme les autres, qui profite aux établissements privés, alors qu'il est censé financer notamment le logement social et permettre l'épargne des plus pauvres. Le Livret A est un livret d'épargne réglementé, son taux étant défini deux fois par an. La ministre a tenté de dissiper ces craintes. "Ca va permettre de le généraliser, de réduire les commissions qui étaient payées aux banques qui commercialisaient l'outil et de garantir le financement du logement social", a dit la ministre. Ses dépôts sont centralisés à la Caisse des dépôts et consignations dans le but de financer le logement social. La ministre de l'Economie a expliqué qu'elle prendrait un décret "avant la fin de l'année" pour garantir que 70% des dépôts du Livret A et du Livret de développement durable (LDD), l'ancien Codevi, soient affectés au logement social. Un fichier central à Bercy alimenté par les banques sera par ailleurs "activé" pour empêcher que les épargnants puissent ouvrir plusieurs Livrets A, et contourner ainsi le plafonnement des dépôts, a dit Christine Lagarde. Les banques seront obligées de le consulter avant l'ouverture de tout livret et il n'y aura donc plus de fraude possible, a assuré la ministre. Thierry Lévêque, édité Olivier Guillemain
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candidate ===>> Elue
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France: l'inflation en hausse de 0,4% en juin à 3,6% sur 12 mois , selon l'Insee PARIS (AFP) - Les prix à la consommation en France ont augmenté de 0,4% en juin par rapport au mois précédent, soit une hausse de 3,6% sur un an, à cause des produits pétroliers et des produits frais, a annoncé l'Insee mercredi. En mai, l'indice des prix à la consommation des ménages avait augmenté de 0,5 % le mois précédent pour atteindre 3,3%, ce que l'Insee avait qualifié de record depuis 1991. La hausse de l'indice en juin "provient du renchérissement des produits pétroliers et, dans une moindre mesure, de la hausse saisonnière des prix des produits frais et des autres services, notamment ceux liés au tourisme", commente l'Insee. En juin, hors tabac, l'indice était également en hausse de 0,4% et de 3,5% en glissement annuel. L'indice des prix de l'alimentation a augmenté de 0,2% le mois dernier (+5,5% sur un an) et celui des produits frais de 1,6% (+3,7% sur un an). L'indice des prix de l'énergie s'est lui accru de 3,5%, après une hausse de +4,2 % le mois précédent. Il traduit la hausse des prix des produits pétroliers (+5,4%), les prix des combustibles liquides progressant de 7,6% (après +9,5% en mai) et ceux des carburants de 5,2% (après +4,8% en mai). Sur un an, les prix sont en hausse de 18,8% pour l'énergie, de 28,0% pour les produits pétroliers, de 23,1% pour les carburants et de 58,5% pour les combustibles liquides.
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Fallait le mettre sur la remorque... Je plaisante, je plaisante
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Rachida Dati... du mal à marcher dans l'herbe ? Par Purepeople.com Pure People - Le 1er juillet, la France s'est installée à la présidence de l'Union Européenne pour une durée de six mois. A cette occasion, Nicolas Sarkozy a reçu José Manuel Barosso, président de la commission européenne, à l'Elysée, après la cérémonie qui s'est déroulée sous l'Arc de Triomphe. Rachida Dati était présente ce jour-là, tout comme Jean-Louis Borloo ou encore Bernard Laporte. Lors d'une promenade dans les jardins du palais présidentiel français, la garde des sceaux avait bien du mal à tenir sur ses jambes. Il est vrai que marcher dans l'herbe avec des chaussures à talons n'est pas très évident. Heureusement, le secrétaire d'Etat aux sports était là pour lui permettre de marcher droit, même si le bras de Bernard Laporte ne lui a pas permis de garder le cap ! Les mauvaises langues disent qu'elle aurait trop... bu ? Mais non,mais non !
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un syndicat FGAAC chez les ACT
Dom Le Trappeur a répondu à nelsonlink situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Pseudo de pseudo donc et troll quand même mais ce n'est pas nouveau... Si tu reprends le même pseudo : étonnant le nombre de message. Et oui sur la question de l'unité syndicale il y a plusieurs façon de voir; mais notons que la mienne si elle repose sur "la position utopique" d'un seul et grand syndicat (ce qui ne veut pas dire "pensée unique, tout le monde le petit doigt sur la couture du pantalon et les oreilles dans le sens du vent..."), elle s'accompagne par le fait que ce syndicat soit réellement représentatif de la quasi totalité des cheminots soit donc au minimum et au bas mot d'au moins 80 % de syndiqués et non des 15/20% actuels dans les 8 OS existantes et repose bien évidemment sur une autre conception des structures et des méthodes d'organisation. C'est vrai que ce n'est pas demain la veille qu'on le verra mais il faut rester positif, le mur de Berlin s'est bien effondré en un soir alors que le matin même il était encore debout et semblait tenir bon sur ses fondations. Il pourrait bien en être de même pour le syndicalisme français... Et il est tout ausi exact qu'il faudra une sacrée révolution culturel dans les esprits pour y parvenir (y compris dans mon esprit)... D'ailleurs tu vois, je n'hésite pas déjà à le faire en ouvrant mon esprit et mon coeur au débat démocratique dans ce forum et mon dieu, il faut parfois y tenir solidement... -
Modifications Chapitre 9 du statut (garanties disciplinaires)
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Informations syndicales
Commission Mixte du Statut 1028ème séance - 7 juillet 2008 Lettre des Fédérations CGT - FO – CFTC – SUD Rail – CFE/CGC au Ministre Borloo, Ministre de l’Energie, du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire au sujet des modifications apportées au chapitre 9 du Statut (garanties disciplinaires) modifications liées aux restructurations Fret. vous pourrez apprécier le haut niveau de dialogue social actuellement en cours dans l'entreprise SNCF. 2008_07_15_cgt_08.07.10___LR_AM__lettre_commune_au_ministre.doc -
Suppressions des ASCT dans les trains
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Informations syndicales
Déshumanisation Ligne Nogent Le Rotrou - Chartres Suppressions des ASCT dans les trains Mécontentement et opposition des Elus de la Région centre, des usagers et des cheminots Communiqué CGT de la Région SNCF Paris Rive Gauche 11 juillet 2008 2008_07_15_cgt_Communique_du_11_07_08.pdf -
Reçus dans ma boîte aux lettres ce matin Compte-rendu CGT de la réunion Traction sur les bonifications du 10 juillet 2008 et pétition qui va avec... 2008_07_15_cgt_08_07_11_CR_TR_Bonifications_du_10.07.08.doc 2008_07_15_cgt_08_07_11_Petition_nationale_Traction_sur_les_bonifications.doc
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un syndicat FGAAC chez les ACT
Dom Le Trappeur a répondu à nelsonlink situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Et ben fallait les laisser faire... Ceci dit la Fgaac pour ne pas la citer a bien déposé un préavis et appeler à la grève le 14 octobre... et à négocier le même jour... pour ne pas appeler à la reconduction dans la soirée... Si ce que vous aviez obtenu vous suffisait, je vous laisse juge du résultat. Pour autant il y a bien eu par la suite à partir de la mi-novembre 4 mois de discussions et de négociations et il me semble que le contenu de ces discusions (voir décret qui vient de sortir au JO) va bien plus loin que le pîètre résultat obtenu au soir du 14 octobre même si, bien entendu, ce résultat final constitue pour moi un recul social important en particulier pour les jeunes et générations futures sur la question des retraites (et pas que celles des cheminots) imposé par le gouvernement UMP Sarko-Fillon même si la volonté et l'objectif initial de ce dernier est loin d'être atteint. -
Pris en charge par la sécu ? François Fillon au repos complet en raison d'une sciatique Reuters - Lundi 14 juillet, PARIS Le Premier ministre, François Fillon, a annulé tous ses rendez-vous depuis vendredi car il souffre d'une sciatique, fait savoir son entourage. "Il a une sciatique. Les médecins lui ont conseillé le repos complet depuis vendredi", a indiqué une conseillère de Matignon. François Fillon n'a pas participé au sommet de lancement de l'Union pour la Méditerranée, dimanche au Grand Palais à Paris. Il était également absent des cérémonies du 14-Juillet. Son entourage a précisé que François Fillon se trouvait à Matignon. L'agenda du Premier ministre publié lundi soir annonce sa présence mardi à 16h00 au Sénat pour un discours à l'occasion du débat en deuxième lecture sur la réforme des institutions. Elizabeth Pineau, édité par Thierry Lévêque
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un syndicat FGAAC chez les ACT
Dom Le Trappeur a répondu à nelsonlink situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Encore un troll (ou un pseudo de pseudo ) pour alimenter la polémique... Deux messages et ça canonne déjà à tout va... En plus comme d'hab c'est pas très constructif... A défaut de reculer c'est pas pour autant qu'on avance... mdrmdr -
Et le TAGV (Train Auto Grande Vitesse...) On met bien la voiture dans le train pour la traversée du Tunnel sous la Manche... La sncf fait bien ID-TGV donc côté tarification on pourraut bien inventer quelque chose de neuf...et pas cher...
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un syndicat FGAAC chez les ACT
Dom Le Trappeur a répondu à nelsonlink situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
ça s'adresse à tous y compris d'ailleurs aux cheminots non-syndiqués...mais aussi du côté de ceux qui détiennent le pouvoir... mais comme je constate que tu en rajoutes une couche à chaque fois,je n'ai guère d'espoir que tu puisses penser autrement... Toutefois, peut être un jour... -
un syndicat FGAAC chez les ACT
Dom Le Trappeur a répondu à nelsonlink situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
C'est bien tu as raison... Continues à tenir ce discours de division qui n'est même plus réaliste par rapport à ce qui se passe réellement en ce moment à tous les niveaux de discussions dans l'entreprise...et dans la tête des cheminots qu'ils soient syndiqués (15/20%) ou non syndiqués (80/85%)... Tout le monde sait qu'à un moment où un autre il faut en passer par la négociation que ce soit la direction (ou la tutelle) ou chacune des 8 OS après c'est de la stratégie en fonction des objectifs, du rapport de force et du positionnement de chacune des OS par rapport à la direction (ou la tutelle)... On peut prendre des exemples très divers : - bien entendu très récemment avec le dossier retraite... - la question de l'augmentation des salaires en y ajoutant l'intéressement ou le fameux dividende, on peut ausi revenir sur la gexci... - un peu plus ancien mais toujours d'actualité : les 35h... et on constate que ce ne sont pas toujours les mêmes OS qui signent ou qui s'opposent (s'opposer ne voulant pas dire être sans propositions ou revendications) Bref le monde est loin d'être tout blanc ou tout noir que ce soit du côté de la CGT ou du côté de la FGAAC pour ne prendre que ces deux syndicats... Le problème c'est que dans vos discours vous oubliez très (trop)rapidement (quand vous en parlez d'ailleurs ce qui est souvent rare) le principal acteur qui est celui qui détient le pouvoir (la direction, le ministère, le gouvernement...) -
PARME nous met dehors
Dom Le Trappeur a répondu à cc72000-10 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Vous avez la même situation dans les logements sociaux HLM (et sûrement ailleurs également). Lors du départ d'un locataire, le suivant subit une augmentation du loyer principal (le loyer de base sans les charges locatives) pouvant atteindre jusqu'à 25 à 30%... okok -
Up... Des infos nouvelles ?
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On pourrait mettre les voitures sur des wagons...porte-autos...
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Tu peux pas faire du troc (un échange) avec qq'un qui habite au bord de la mer et qui souhaite effectuer un p'tit séjour à la montagne ? http://www.servisphere.com/
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Au boulot les 70% de faignasses de cheminots qui foutent rien... Tu crois pas que tu vas partir en vacances en plus [Mode provoc...LoL 25ème degré au moins]