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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Carla Présidente... Les Français majoritairement satisfaits de Carla Bruni-Sarkozy comme Première Dame de France, selon un sondage AP - PARIS - Plus de deux Français sur trois se disent satisfaits de Carla Bruni-Sarkozy comme Première Dame de France, selon un sondage Ifop pour le "Journal du Dimanche" publié ce dimanche dans le JDD. Soixante-huit pour cent des personnes interrogées se disent satisfaites de Mme Bruni-Sarkozy contre 26% de mécontents. A en croire le dernier baromètre Ifop pour le JDD, la côte de popularité du président de la République est à peu près inversement proportionnelle à celle de son épouse puisque 64% des sondés se disaient mécontents de Nicolas Sarkozy pour 35% de satisfaits. Les Français sont 64% à penser que Carla Bruni-Sarkozy "représente bien la France à l'étranger" et une majorité d'entre eux (57%) ne voient pas d'incompatibilité entre sa carrière artistique et son rôle de Première Dame de France contre 42% qui jugent au contraire ces deux activités incompatibles. -Sondage Ifop pour le JDD effectué par téléphone les 5 et 6 juin 2008 auprès d'un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. AP
  2. Il y a des réalités incontournables : *une augmentation de la mobilité sur tous les modes de transport, liée - aux technologies, vitesse confort, sécurité, aux infrastructures et matériels disponibles et mobilisables - aux trajets domicile travail qui tendent à l'allongement - aux trajets dans le cadre de l'activité de travail - aux trajets de loisirs *une augmentation du coût des transports avec la flambée des sources d'énergie en particulier essence et gazoil * l'aspect économique (Chiffres d'affaires, effectifs, recherche et développement, entretien infrastructures et matériels ) engendré par cette mobilité * les aspects envirronementaux et écologiques qui prennent une dimension de plus en plus importantes au moins dans les esprits à défaut pour l'instant des choix économiques et politiques. A partir de ces réalité, chacun s'adapte en fonction entre autre de son porte-monnaie que ce soit les entreprises ou les citoyens qui ont besoin de se déplacer. On pourrait donc comprendre à partir de ces critères qu'il y ait une recherche d'efficacité collective économique et sociale. Le problème qui est soulevé c'est l'incompréhension du système et sa résultante financière dans la poche du consommateur : - quel est le prix de base d'un aller-retour Paris Marseille ? - Existe-t-il un prix de base ou un prix moyen ? - Où est-ce que je me situe par rapport à ce prix de base ? L'enquête amène une fourchette de prix de 10 à 100 euros pour le même trajet dans une même voiture TGV D'où une incompréhension avec des heureux (10 euros) et des mécontents (100 euros). Dans le temps (j'ai connu) on avait un prix au KM, il suffisait d'une multiplication + le forfait de base pour connaître le prix du billet; ensuite on déclinait avec la réduction. Aujourd'hui ça apparait comme la grande loterie avec passage obligé par le système informatique qui gère le prix en fonction de la date, de l'haure, du taux de remplissage, des quotas par tarification et réduction.... Essayer de demander la tarification de base ou le prix moyen du trajet à un guichet... Or comme il y a augmentation de la mobilité, impératif de déplacement et réflexions sur le prix ainsi que les aspects écologies et que dans le même temps la question du pouvoir d'acaht est une réalité incontournable il y a donc "choc de société"
  3. tartare==>> Huns ?
  4. Côté MEDEF c'est sans ambiguité...
  5. Y'a pas la fgaac ? revoltages
  6. 1940/2006 http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=6457
  7. Pour les chiffres : il s'agit des admissions au Cadre Permanent c'est à dire les recrutements au Cadre Permanent. Si il y a effectivement eu des régularisation contractuels /CP Elles sont loin de représenter l'essentiel des admissions au CP dans cette période. il y a eu aussi également des embauches supplémentaires de contractuels On pourrait également retrouver sur le forum la courbe des effectifs pour cette période qui doit être quelque part...
  8. bétises ==>> bétisier
  9. Que j'aimerai être un crétin... mais c'est pas mon genre. Et puis moi je suis un peu lent... J'aime prendre mon temps... si vous voyez ce que je veux dire... Bon c'est quand qu'il sort son CD ? qu'elle aille faire un tour chez Drucker...
  10. Un article pleine page dans le Parisien, relayé par une dépêche AFP. Vous apprécierez l'utilisation du terme "usager dans" le titre de l'article... Billets SNCF: les usagers souvent perdus dans la "jungle" tarifaire Par Julie CHARPENTRAT - PARIS (AFP) - "Trop chers", "trop compliqués": un an après l'ouverture du TGV Est, les tarifs de la SNCF suscitent toujours la grogne des usagers de l'entreprise publique, qui veut remplir ses trains au maximum pour les rentabiliser et se défend d'augmenter ses prix. 1ère classe, 2ème, Loisirs, Pro, iDTGV, Prem's, "Bons plans du net": l'usager doit jongler entre une quantité impressionnante de tarifs et promos différentes pour payer son voyage au meilleur prix, sans compter les cartes commerciales (12-25, Senior etc...). Ainsi, pour faire Paris-Marseille en s'y prenant le 27 mai pour voyager le 31 mai, c'est 34 euros en partant à 20H16 ("Bons plan du net") mais 133,10 euros (Loisir) à 8H16. "C'est ubuesque, les consommateurs ne s'y retrouvent pas", lance Thierry Saniez, délégué général de l'association de consommateurs CLCV, qui dit recevoir davantage de plaintes d'usagers à ce sujet depuis quelques mois. L'ouverture du TGV Est il y a un an, avec des tarifs plus chers que les Corail, puis la mise en place en octobre d'une nouvelle grille tarifaire durcissant les conditions d'échange ont amplifié la grogne d'usagers qui s'estiment perdus, sinon lésés. Pour la SNCF, l'objectif est clair : remplir les trains au maximum à coups de promotions et de tarifs modulés selon l'heure et la disponibilité, une méthode marketing ("yield management") chère aux compagnies aériennes que la SNCF a introduite il y a déjà plusieurs années. Ainsi, toujours pour un Paris-Marseille pris sur internet: le 26 mai vers midi pour voyager le 30, on se voit proposer le train de 20H42 à 51 euros. Mais mardi 27 vers 16 heures: le même trajet est passé à 78,20 euros. Régulièrement, la Fédération nationale des usagers des transports (Fnaut) dénonce une "jungle tarifaire" et demande une "simplification". Pour plusieurs associations de consommateurs et certains syndicats de cheminots, cette complexité servirait aussi à dissimuler une hausse globale des tarifs, ce dont la SNCF se défend. Jean Sivardière, de la Fnaut, parle de "hausses insidieuses". Pour Arnaud de Blauwe, rédacteur en chef adjoint de Que Choisir, "le prix des billets a très très sensiblement augmenté". Mais selon Mireille Faugère, directrice de Voyageurs France Europe (VFE, les grandes lignes), "l'impression de cherté provient de ceux qui voyagent le moins". Pourtant, Agnès Bertrand, consultante à Paris et abonnée Fréquence, se demande bien pourquoi son Paris-Agen de 14H10 le 18 septembre 2007 lui a coûté 55,50 euros mais 57,50 le 18 décembre... Réponse de la SNCF: le prix moyen du billet TGV, 42 euros, n'a augmenté que de 2% en 2008, moins que l'inflation. Mais en 2009, l'entreprise a déjà prévenu: la hausse sera "supérieure" à cause des péages ferroviaires. L'Insee calcule un chiffre comparable: entre avril 2007 et avril 2008, l'indice des prix à la consommation pour le transport ferroviaire de voyageurs montre une hausse de 2,3%. Pourtant, d'après un document interne dont l'AFP a obtenu copie, à fin 2007, les recettes de VFE avaient crû de 6,7% (plus de 5 milliards d'euros) soit beaucoup plus vite que le trafic, qui n'a augmenté que de 2% (à 53,1 milliards de voyageurs-km). D'après la SNCF, la hausse plus rapide des recettes s'explique par la montée en charge des lignes internationales (vers l'Est et grâce à la nouvelle ligne à grande vitesse britannique) qui comptent en général davantage de passagers de première classe. ***** Où sont donc passés les "clients " ?
  11. De mémoire sur 1999-2000-2001 : 22.500 recrutements pour 20.000 départs soit +2.500 à l'effectif mais depuis -2.000 à - 3.500 par an sur 2002/2007
  12. Pour remettre les pendules à l'heure sur les responsabilités des uns et des autres...et en particulier sur celle de ce gouvernement UMP de droite anti-sociale... 35H: le gouvernement Sarkozy-Fillon-Bertrand dévoile sa "réforme du temps de travail" Par Claudine RENAUD AFP - Vendredi 6 juin PARIS Le gouvernement a dévoilé vendredi son projet de réforme de la représentativité syndicale et du temps de travail, retouché à la marge mais qui ne cède rien sur les nouvelles possibilités de déroger aux 35 heures, critiquées de façon virulente par les syndicats. Le texte a suscité un front commun inédit CGT-CFDT, qui ont lancé un appel à manifester le 17 juin avec la FSU et Solidaires. Il a été transmis aux partenaires sociaux vendredi dans une version légèrement retravaillée par le ministre du Travail Xavier Bertrand. Intitulé "projet de loi portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail", il doit faciliter la renégociation, entreprise par entreprise, de nombreuses modalités du temps de travail. Sur les critères de représentativité syndicale (démocratie sociale), il reprend la position commune arrêtée par la CGT, la CFDT et le patronat, avec à terme l'obligation d'avoir au moins 10% aux élections professionnelles pour négocier au nom des autres salariés et 30% des voix pour signer des accords. En revanche sur le volet temps de travail, le texte ne reprend pas le dispositif conclu par la CFDT, la CGT et le patronat pour déroger au contingent d'heures supplémentaires, jugé par le gouvernement "expérimental" et "très spécifique", pour ne pas dire trop, selon l'exposé des motifs. "Le gouvernement veut donner plus d'espace à la négociation d'entreprise ou de branche sur le sujet du contingent comme, plus généralement, sur celui de l'aménagement du temps de travail", indique le projet. Le texte sera présenté mercredi à la Commission nationale de la négociation collective (CNNC) et au conseil des ministres du 18 juin. Cible de critiques inhabituellement sévères de la CFDT, le ministre du Travail a minimisé vendredi, estimant qu'il "fallait simplement accepter et assumer qu'on n'est pas forcément d'accord sur tout". Le gouvernement "a un contrat passé avec les Français et le message des Français sur les 35 heures a été clair (...) : +il faut nous laisser la liberté de choix avec des garanties+. Message bien reçu", a lancé Xavier Bertrand. "On ne peut pas nous en vouloir de tenir les engagements qui ont été pris", a-t-il ajouté, durant une visite au siège de The Phone House à Suresnes (Hauts-de-Seine). Avec 27 ans de moyenne d'âge et des salariés restant en moyenne deux ans dans l'entreprise, cette chaîne de téléphonie se verrait volontiers passer de 39 heures hebdomadaires aujourd'hui à davantage, pour s'adapter aux pics de clientèle saisonniers. Le texte n'abolit pas les 35 heures comme durée légale, mais "à la fin il peut ne plus y avoir du tout de système des 35 heures", expliquait dimanche Patrick Devedjan, secrétaire général de l'UMP. Selon le projet de loi, il sera possible, sous réserve d'accord, de dépasser le quota légal d'heures supplémentaires, dans les limites du raisonnable pour la santé publique (10 heures par jour, 48 heures hebdomadaire et au moins un jour de repos par semaine). Il sera aussi possible de proposer aux salariés de travailler sur la base d'un forfait en heures sur l'année, formule plus souple que l'annualisation, et concernant actuellement les cadres et les VRP. Elle sera ouverte aux "salariés disposant d'une réelle autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps". Une notion indéfinie juridiquement, qui concerne un potentiel non négligeable de salariés. Question subsidiaire : à quoi ça sert aux organisations syndicales de négocier des accords avec le MEDEF pour que le gouvernement UMP s'assoit dessus ? Et après on reprochera aux OS de ne pas signer les accords (ce qui ne veut pas dire "ne pas tenter de les négocier")...
  13. Ben ouai comme pour un carrefour routier ou pour un passage piéton...
  14. S'il s'agit de combattre la cyberdélinquance sur des sujets aussi précis que la pédophilie, la haine racial, le terrorisme, les escroqueries sur le net, bref "le crime organisé"... pour lesquels la quasitotalité des citoyens seront d'accord pourquoi un texte toujours aussi flou qui laisse des portes ouvertes pour que tous les sujets légaux de société en particulier économiques et financiers mais aussi les libertés publiques et individuelles liés à l'utilisation du net puissent être un jour concernés au bon vouloir de l'actualité et des gouvernants...??? Si tout était fait également dans la transparence mais cela ne semble pas encore le cas à la lecture de l'article... Le texte complet : Charte et filtrage du web : réactions du ministère de l'Intérieur Faites confiance Par la voix d’un des conseillers de Michèle Alliot-Marie, le ministère de l’Intérieur nous a contactés ce soir pour nous apporter plusieurs éclaircissements sur les pages publiées dans nos colonnes, en confirmant du même coup la pertinence de nos sources. Document provisoire, appel à commentaires Première information, qu’on savait déjà : « Nous sommes sur un document de travail, une négociation où l’on essaye de contractualiser de bons rapports de travail avec les acteurs du Web ». De plus, nous corrige-t-on, la Charte n’est pas destinée à être signée ni finalisée ce 10 juin. « Ce n’est pas une réunion conclusive ». A cette date, FAI et autres acteurs du web seront simplement invités à fournir leurs observations sur les différents chapitres et points du document transmis voilà peu. Des sujets qui sont également débattus aux actuelles Assises du numérique. Faisant foi d’une démarche « pragmatique », le ministère nous confie que cette charte sera bien rédigée avec ces acteurs. « Nous n’imposons pas de document, ce sera une plume à plusieurs voix ». En bref, ce texte encore imparfait sera mis en débat, édité avec les FAI et les prestataires qui restent libres d’accepter ou de refuser, ou d’observer. De même, toutes les procédures mises en place ou suivies le seront dans le strict respect du droit, le passage relatif aux « réquisitions non standards » ne devant donc être interprété dans le sens premier. Respect scrupuleux des règles « Il n’y a aucune tentative de contourner le rôle du juge. On n’a rien inscrit de plus qui n’était pas inscrit dans la loi, sauf le contrôle des sites pédopornographiques » tempère-t-on. Des passages relatifs aux quotas, au filtrage des ports, au contrôle a priori à l’entrée des espaces pour mineurs (qui ne concernerait finalement que les solutions de contrôle parental), la suppression des contenus passifs au bout de 3 mois, etc. ne sont pourtant pas de base légale impérative. Autre problème, le texte en question ignore superbement le statut particulier des hébergeurs, qui est pourtant encadré par la loi sur la confiance dans l'économie numérique. Dans ce grand bouillon d'engagements, on a surtout l'impression que le parapluie de la LCEN reste aux vestiaires. Laurent Baup, du Forum des Droits sur l’Internet le dira à 20minutes, « comme tout document de travail, il va être débattu et amendé. Rien de ce qui est listé n’est définitif. C’est une première mouture. » Mais l’intervention apparente du FDI sur certains passages de ce texte étonne déjà l’April, qui représente les utilisateurs au sein de ce forum et s’interroge : « On n’a jamais été informés que le FDI travaillait là-dessus », nous indique ce soir l’association qui se souvient de l’échec du Label Confiance au sein du FDI, un ancêtre des mesures proposées. « On ne comprend pas qu’on présente le Forum comme impliqué dans cette charte, alors que le document n’a pas été soumis à qui que ce soit. Au prochain Conseil d’orientation, nous demanderons des explications. » En attendant, ces données sont donc discutées entre ministères et industriels. Contractualiser les rapports avec les FAI Côté Intérieur, pas de doute : « Notre rôle est de protéger les citoyens contre la délinquance, nous travaillons sur la sécurisation du web pour les personnes. Or, nous avons de plus en plus d’escroqueries, d’images pédophiles, d’incitations à la haine raciale. Nous avons donc besoin que les FAI répondent vite dans ce cadre, sur tout ce qui correspond à cette cyberdélinquance. C’est pour cela que l’on souhaite contractualiser nos rapports. ». Une démarche en harmonie avec le discours de Michèle Alliot-Marie qui déclarait le 14 février dernier « je me tournerai […] vers l'ensemble des acteurs concernés par la lutte contre la cybercriminalité. Je pense en premier lieu aux fournisseurs d'accès à Internet. J'entends engager avec eux un dialogue constructif sur les actions à mener en commun contre la cybercriminalité. (…) Je souhaite une charte de bonnes pratiques améliorant la coopération avec les opérateurs de communications électroniques. » Pas de big brotherisation du Web « La délinquance évolue vite. S’il faut une semaine pour obtenir d’un FAI les adresses IP, la localisation d’une personne, etc., et qu’un attentat est commis, plus personne ne dira que nos mesures étaient exorbitantes du droit commun (…) il nous faut les moyens techniques pour ne pas être en retard sur les technologies », un retard que ne peut combler semblerait-il une modification législative. Preuve du statut d'ébauche du document, des éléments comme le filtrage des ports pourraient finalement être retirés, selon la pertinence des critiques. Autre éclairage clairement annoncé cette fois : « Il n’a pas d’idée de contrôle P2P sur les contenus » (une démarche que soutient l’industrie du disque). « Nulle part il n’est dit que le gouvernement souhaite filtrer d’autres sites que les sites pédopornographiques ». Une idée que poursuit bec et ongle l'industrie de la culture et qui s'inscrira plutôt dans le projet Hadopi, malgré les critiques au Conseil d'Etat. Liste noire des sites pédopornographiques et rôle des FAI Sur ce terrain ultra sensible du filtrage des contenus pédopornographiques, il existe à ce jour une plateforme à laquelle est reliée l’AFA (association des fournisseurs d’accès) via des points de contact et qui permet de dénoncer ces contenus dits « odieux ». Lorsque les sites sont hébergés en France, c’est la justice française qui prend ensuite le dossier en charge, via la police. Lorsqu’ils sont situés hors du territoire, la plateforme transmet à interpole ou Europole qui fait fermer l'espace. « C’est cette même plateforme qui hébergera la liste noire des sites pédopornographiques ». Là, il a été demandé aux FAI de fournir les meilleures solutions en fonction des spécificités techniques du réseau français, « et on se limitera au secteur de la pédopornographie » insiste encore le ministère. Un exercice périlleux, d’autant que les FAI qui se heurtent à des problèmes techniques de faisabilité, craignent qu’on leur demande d’une part de fermer des sites qui se révèlent finalement non pédophiles, ce qui met en cause leur responsabilité. Et d’autre part, qu’ils aient à analyser le contenu, rôle normalement dévolu à l’État. Pour le reste, les débats relatifs aux questions de mœurs, etc. sont renvoyés dans les mains des parents « qui doivent prendre leurs responsabilités», et au ministre de la famille « qui doit les accompagner ». Réagissant au contenu de la Charte, la Quadrature du Net a une analyse un peu différente : « Le but du pouvoir exécutif français n'est pas de lutter efficacement contre la criminalité avec des mesures adéquates car nécessaires, appropriées et proportionnées. Il s'agit de contrôler par tous les moyens le seul média libre qui ne lui obéit pas », estime Christophe Espern, co-fondateur de l'initiative.
  15. En traînant sur le net on trouve des choses très intéressante... Validation des périodes d’assurance vieillesse Le salaire de référence pour la validation d’un trimestre d’assurance au régime général correspond aux cotisations versées pour 200 heures payées au Smic. Le salaire de référence à retenir (en 2004) pour la validation d’un trimestre d’assurance est fixé à 1438 euros pour la retraite de base de la Sécu. En application du code de la sécurité sociale, ce montant correspond au salaire versé pour 200 heures travaillées au Smic. C’est l’occasion de rappeler qu’il suffit de percevoir un salaire dont le montant est équivalent à 200 heures au Smic pour avoir un trimestre cotisé ou 800 heures au Smic dans l’année pour avoir quatre trimestres cotisés. La règle étant que l’on ne peut valider plus de quatre trimestres par an. Par exemple, quelqu’un qui a travaillé 5 mois et subi 7 mois de chômage a perçu au minimum, s’il est à temps plein, 169h au Smic x 5 = 834h Smic. Il a donc ses 800h Smic et de ce fait ses quatre trimestres cotisés. Les mois de chômage sont donc neutralisés. Si le salaire est supérieur au Smic, il faut encore moins de temps pour valider des trimestres. Source : Circulaire Cnav 2003-49. Evidemment ça fera pas lourd de la pension... Pour les cheminots 4 trimestres = 12 mois...de travail
  16. Va pas être très content notre très cher... Le "non" en tête en Irlande, menace sur le traité de Lisbonne Par Paul Hoskins Reuters - DUBLIN (Reuters) - A six jours du référendum irlandais sur le traité de Lisbonne, le camp du "non" est pour la première fois en tête d'un sondage, menaçant la réforme des institutions de l'Union européenne. L'Irlande est le seul des 27 Etats membres de l'Union européenne à avoir opté pour la ratification par voie référendaire, le 12 juin, du traité de Lisbonne. "Le gouvernement confronté à une catastrophe sur le traité", titre l'Irish Examiner de vendredi. "J'espère simplement que ce sondage va servir de signal d'alarme, va faire comprendre aux gens l'importance de la question et va consolider le vote en faveur du 'oui'", a déclaré à la radio nationale RTE Lucinda Creighton, porte-parole du parti d'opposition Fine Gael sur les questions européennes. Le traité de Lisbonne, destiné à se substituer au projet rejeté en 2005 par référendum pas les Français et les Néerlandais, doit être ratifié par la totalité des Etats membres de l'UE. Cela signifie que moins de 1% des 490 millions d'habitants du bloc communautaire pourraient faire dérailler la réforme des institutions de l'UE. Selon une étude de l'institut TNS/mrbi pour l'Irish Times, le "non" est crédité de 35% des intentions de vote contre 30% pour les partisans du "oui". Les indécis représentent 28% des 1.000 personnes interrogées. Ils sont par ailleurs 7% à dire qu'ils ne voteront pas le 12 juin. En trois semaines, précise l'institut, le camp du "non" a plus que doublé. Les partisans du traité reculent, eux, de cinq points. D'autres instituts de sondage avaient mesuré ces dernières semaines une remontée du "non" dans les intentions de vote. Les trois principaux partis politiques irlandais (le Fianna Fail du Premier ministre Brian Cowen et le Fine Gael et le Parti travailliste, dans l'opposition), les syndicats, les organisations patronales et agricoles soutiennent tous le traité de Lisbonne, négocié après le rejet en 2005 par les électeurs français et néerlandais du Traité constitutionnel européen. Le "non" est défendu par une coalition hétéroclite dont la campagne est particulièrement efficace. "DEFENDRE LES DROITS DES TRAVAILLEURS" Les adversaires irlandais du traité dénoncent des failles dans le texte signé à Lisbonne qui, affirment-ils, font courir à l'Irlande le risque de perdre le contrôle en matière de fiscalité, de commerce ou de moeurs - sur l'avortement par exemple - et menacent sa neutralité militaire. Les partisans du "oui" voient dans ces attaques une politique de la peur exploitant des questions sensibles que n'affecte pas le traité. La commission européenne n'a fait aucun commentaire sur le sondage prédisant la victoire du "non" mais a invité les Irlandais à voter en masse le 12 juin. "Ce qui importe, c'est la décision du peuple irlandais", a dit Johannes Laitenberger, l'un de ses porte-parole. "Nous ne pouvons pas signer un traité qui mine notre position dans les institutions européennes, qui porte atteinte aux services publics, qui est contraire aux intérêts des travailleurs", affirme pour sa part Mary Lou McDonald, député du parti nationaliste Sinn Féin au parlement européen. Le Sinn Féin, qui prône une politique économique "socialiste" et compte quatre députés sur 166 à la Dail (chambre basse), est le seul parti représenté au parlement à faire campagne pour le "non". Mais même chez les partisans du Labour, la troisième formation politique nationale, les partisans du rejet du texte arrivent en tête dans le sondage, avec 47% contre 30% aux défenseurs du "oui". Le syndicat UNITE, qui s'est désolidarisé des autres centrales en se prononçant pour le "non", a promis d'intensifier sa campagne dans les prochains jours. "Le 'non' est majoritaire dans la classe ouvrière, ce qui prouve que notre message passe bien. Ce message, c'est que le traité de Lisbonne n'est pas une bonne chose pour les travailleurs, pas une bonne chose pour notre économie", déclare UNITE dans un communiqué. Le ministre irlandais des Finances, Brian Lenihan, a accusé les partisans du "non" de déformer la teneur du traité et a souligné la nécessité de voter "oui" pour faire face au ralentissement de la croissance irlandaise et sauvegarder les emplois. Le traité institutionnel doit notamment doter l'Europe d'un président et renforcer les prérogatives du Haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune. Pour l'heure, quatorze pays l'ont ratifié. Version française Henri-Pierre André et Guy Kerivel "On comprend mieux pourquoi "certains" en France ont refusés un référendum populaire"
  17. frein==>> refrain
  18. Reçu dans ma boîtes à e-mels pourtant j'suis pas cad'sup... En tout cas très intéressant. 2008_06_06_UFCM_cgt_Cadres_Superieurs_Journal_Cadre_libre_n2.pdf
  19. Ceci étant, il semble que la régularité globale des circulations n'est pas terrible en ce moment (mes chefs se font très discrets quand on leur en cause...) et comme il y a une tendance à l'augmentation des cas extrêmes... relayés par les voyageurs concernés souvent mécontents, sans parler des conséquences colatérales (cas du concert annulé...) ça finit par attérir sur le terrain médiatique ...
  20. Eurostar: sept heures entre Londres et Paris après un incident technique LONDRES (AFP) - Un train Eurostar a mis plus de sept heures dans la nuit de jeudi à vendredi à relier Londres et Paris, en raison d'une panne de batterie dans la rame, a indiqué un porte-parole de la compagnie à l'AFP. L'incident a fait également entre 1.500 et 2.000 victimes collatérales, venues écouter le chanteur anglais Pete Doherty dans la salle du Grand Rex à Paris, mais qui ne l'ont jamais vu, car il était dans ce train, a confirmé la salle à l'AFP. Les voyageurs du train de 18H00 (19H00 en France), qui devait mettre deux heures vingt pour arriver à Paris, ont dû faire une étape forcée à Fresnoy dans l'Aisne et changer de train, pour arriver à la gare du Nord vers 02H15. Eurostar a mis alors à leur disposition des taxis et des chambres d'hôtel, les billets seront remboursés et les passagers recevront en outre un aller-retour gratuit, a assuré le porte-parole de la compagnie. Olivier Parein, un des voyageurs malheureux de ce train, a indiqué jeudi à l'AFP que les voyageurs avaient été prévenus d'un problème de batterie dès Calais. "Pourtant, ils ont décidé de continuer jusqu'à la plateforme TGV de Haute-Picardie, on n'avançait pas à plus de 120 km/h. Là, le chef de train qui était à côté de moi a demandé l'autorisation de nous faire débarquer, ce qui lui a été refusé, mais ils nous ont fait continuer", a-t-il relaté. "On allait au pas, environ à 20 km/h (...), la moitié du train dans le noir et sans informations parce que les hauts-parleurs ne fonctionnaient plus, jusqu'à la petite gare de Fresnoy, pas du tout adaptée aux rames TGV : le marchepied était à presque un mètre du sol!", selon lui. Il a fallu aider les personnes âgées à descendre et à récupérer leurs bagages, en présence des pompiers, selon M. Parein qui juge "la gestion de cet incident vraiment incompréhensible, puisque le chef de train avait demandé à deux reprises de nous faire débarquer dans de bonnes conditions". Selon lui de surcroît, l'assistance en taxis à l'arrivée s'est limitée à "une dame avec juste un carnet de +bons de taxi+ pour l'ensemble des passagers du train..." Le porte-parole d'Eurostar a évoqué une situation "rare, exceptionnelle". Il y a moins de deux mois néanmoins, dans la nuit du 18 au 19 avril, un autre Eurostar Londres-Paris a mis douze heures à effectuer son trajet, obligeant la SNCF à reconnaître ensuite une série de dysfonctionnements internes aux chemins de fer français dans un rapport demandé par le gouvernement. Le 7 avril déjà, mais pour une série d'incidents largement indépendante de la compagnie Eurostar elle-même, de nombreuses perturbations étaient déjà survenues, un train mettant neuf heures à faire Paris-Londres, tandis que cinq autres étaient annulés.
  21. Big Brother mon Frère... Exclusif : le gouvernement veut un filtrage de masse des réseaux Par Marc Rees PCINpact - Exclusif PC INPact : Le gouvernement tente actuellement de faire signer d'ici le 10 juin par les FAI, les opérateurs de télécom et les prestataires (fournisseurs en ligne et éditeurs) une charte dite sur la « confiance en ligne ». Ce document issu du ministère de l'Intérieur, est une petite bombe pour ces fournisseurs de tuyaux plus habitués à la neutralité de leur fonction. S’ils signent, ces grands acteurs devront en effet apporter tout leurs concours et l’art technique pour nettoyer le web français. Morceaux choisis du projet en cours de rédaction, soumis à l'avis des principaux intéressés : Sécurité informatique Auprès des utilisateurs, ceux-ci devront par exemple donner et mettre en avant toute une série d’informations sur les solutions de sécurité (virus, spyware, piratage de connexion, sécurisation wifi), le phishing, le spam, les escroqueries aux cartes bancaires, etc. Démarche pro active, filtrage de ports, etc. Mais cette mission de base s’enrichit d’autres fonctions nettement plus sombres : les opérateurs et FAI devront ainsi « procéder à une démarche de veille active, sur les risques techniques émergents pour l’utilisateur ». Ils devront par ailleurs mettre en place « une démarche proactive de sécurisation des équipements par des mesures adaptées ». Le texte cite par exemple la suspension, la résiliation, mais encore le blocage de certains ports « auprès de clients mettant en jeu la sécurité du réseau ». Difficile d'oublier que ces questions de filtrage de ports se retrouvent aussi dans la bouche du SNEP. C’est l’avènement du filtrage de masse qui se dessine, un filtrage dont la responsabilité et l’initiative sont placées sur les épaules des intermédiaires par le gouvernement, et dont les limites exactes sont bien floues. Plus inquiétant encore : les opérateurs devront « préconfigurer les équipements fournis aux utilisateurs afin qu’ils atteignent un niveau de sécurité par défaut optimal selon l’état de l’art ». Bien entendu, cette « sécurité » par défaut peut s’envisager au profit de l’utilisateur, du réseau ou pourquoi pas des majors puisque l’histoire nous a forgé à ce type de glissement bien facile… Quotas d'envoi Par ailleurs, les opérateurs qui signeront ce texte destiné à faire d’internet un lieu sûr et aseptisé mettront en place une politique anti spam par des techniques de filtrage, mais encore par l’application de… quotas d’envoi (!) tout en participant activement au programme Signal Spam. Un programme qu’a soutenu financièrement le gouvernement à sa manière comme le révélait un rapport de Jean Dionis du Séjour (une seule personne aux manettes de cet outil de surveillance). Filtrage anti-mineur sur les sites pornos Le document comprend une avalanche d’obligations exigeant des comportements toujours pro-actifs contre les contenus dits préjudiciables (terme assez large pour partir de la pédophilie pour aller jusqu’au piratage, voir à ce titre cette actualité sur le lobbying de l'IFPI…). D’ailleurs pour les contenus pornographiques, les intermédiaires producteurs de contenus devront mettre en place un filtre anti-mineur sur tous les sites créés en France. Suppression automatique des contenus "passifs" Le texte indique par ailleurs « la possibilité de prévoir contractuellement une modalité de suspension de la possibilité de publier, par des personnes autres que le créateur de l’espace, en l’absence de toute mise à jour, modification, intervention ou modération d’un contenu depuis trois mois ; ainsi que l’existence de mesures de suspension ou de suppression de l’espace ». Est-ce un droit à l’oubli automatique qui se dessine là ? Ou un moyen presque élégant de faire disparaitre des écrits/images/vidéos que l'on n'aura pas trouvé dans les trois mois de prescriptions des délits de presse ? Filtrage a priori des contenus sur les sites pour mineurs Ajoutons que les créateurs d’espace destinés aux mineurs devront impérativement contrôler les contenus postés a priori. On imagine assez facilement les effets d’une telle mesure sur Skyblog… Labellisation des contenus La Charte concoctée par le gouvernement dessine (page 2) également les premiers traits de la labellisation, qui permet de garantir la salubrité morale des données publiées en ligne. Les FAI et éditeurs devront là mettre une sorte de ligne d’appel d’urgence vers le ministère de l’Intérieur en cas de contenu ou comportement illicite. Signalement automatisé des infractions Les FAI, opérateurs et éditeurs en ligne devront volontairement signaler aux autorités les contenus et comportements interdits (racisme, haine raciale, crimes contre l’humanité, etc.) et les cas de pédophilie. Un comportement identique leur sera réclamé en cas de risque « immédiat pour la sécurité des personnes et des biens ». Un dispositif déjà annoncé à demi mot par Alliot-Marie. Bien entendu, tout le monde condamnera la pédophilie, qui touche à l'humanité tout entière. Mais il faut se souvenir que dans les engagements Olivennes, les FAI ont à tester et éprouver dès 2008 des mesures de filtrage contre les atteintes aux droits d'auteur. Autant dire que ce qui sera validé pour lutter contre la pédophilie sera automatiquement réclamé des ayants droit. De fait, ce glissement permet du même coup de remettre en cause les principes de responsabilité relative encadrés par la LCEN quant aux contenus véhiculés, pour transformer ces intermédiaires en futurs auxiliaires de police. On se souviendra des travaux menés sur ce terrain du côté du CSPLA, à la demande de Christine Albanel, elle-même. Sauf qu'en s'appuyant simplement sur les engagements des uns et des autres, cette Charte court-circuite le pouvoir législatif, pourtant plus à même de décider sur ces questions de société épineuses (voir à ce titre notre actualité). Baisse du formalisme des réquisitions judiciaires Enfin, le texte enfonce le clou : sans rougir, il demande aux FAI de s’efforcer de répondre avec le plus grand soin aux réquisitions et demandes officielles « non standards » et à apporter dans ce cas une première réponse (accusé de réception, indication du délai estimé de réponse à la demande, etc.). En clair, lorsqu’un ayant droit fera une demande directe d’identification d’IP à un FAI sans passer par la voie judiciaire, le bon FAI devra apporter toutes ses connaissances pour satisfaire ces demandes d’informations « officielles ». C’est une énième manifestation de la volonté de déconnecter le pouvoir judiciaire des contrôles de base sur les droits et liberté de chacun, en demandant aux FAI de ne pas respecter le Code de procédure civil ou pénal. Des traces conservées docilement D’ailleurs, dans les derniers points de la Charte, le prestataire s’engagera à conserver à tour de bras toutes les adresses IP et autres données de connexion relative à du contenu un peu trop louche. Filtrage pédopornographique... et ensuite ? Précisions pour terminer que les FAI devront s’engager dans le filtrage le plus approprié des sites pédopornographiques. Le projetg rejoint celui défendu par Nadine Morano, secrétaire d'Etat chargée de la Famille. Naturellement, cette demande intervient comme un test au regard de la loi Olivennes, comme nous l'exposions ci-dessus. Il est évident que les propriétaires de contenus (musique, cinéma) lorgneront de près ces mesures en cas d’efficacité. La lutte contre la pédopornographie peut facilement être un cheval de Troie qui cache d'autres mesures en suscitant une vaste adhésion. C’est peu de le dire, les FAI ont accueilli avec une certaine tiédeur et retenue ce projet de Charte.
  22. Mon estimation est tout autant à la louche Merci pour le coup à boire... :cool:
  23. crèpe ==>> Blé noir
  24. 32 ME bruts + 14 ME de cotisations =46 Me total masse salariale donc les 200 euros semblent être soumis à cotisations sociales part ouvrière et part entreprise voir ici http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...st&p=187712
  25. Tu peux le faire envoyer à mon DET ? lotrela
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