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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Dans le premier document de fin 2006, la direction attend 60% de gain de productivité sur l'emploi... Le retour sur investissement sur un terme de 20/25 ans se fera donc avant tout sur la masse salariale du transport mais quid du côté informatique, gestion des systèmes... et de la nécessité d'avoir du monde sur le terrain (commercial) et quid du fonctionnement de telles pieuvres et quelles gestions des incidents quand on constate les difficultés existantes actuellement dans les postes centralisés de grandes étendues géographiques (20 km) ou les PAR...au moindre incident... N'oublions pas que les CRO en tant que tel disparaissent... De plus on peut partir de deux hypothèses : - introduction massive de nouvelles technologies mais le problèmes ne se posera pas en terme de nombres d'ordinateurs ou de terminaux mais en capacité de calcul donc de logiciel et d'algorythme s capables d'assister la gestion des incidents : or aujourd'hui au niveau des postes la formation aux questions théoriques issues de s introductions informatiques et des enjeux est inexistante. - élévation des qualifications, niveaux de diplomes au recrutement et expériences/responsabilités, mais aussi capacités physiques et intellectuelles à agir dans un tel environnement de travail... Enfin je ne vous parle pas de l'âge de la retraite en conséquence (âge du recrutement + 45 années medef ...) sous perfusion ils finiront les aiguilleurs du futur...
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Reste à savoir si maintenant Besancenot fait encore parti des extrèmes ... pascontent
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Aux Etats-Unis, le train reste à petite vitesse
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Aux Etats-Unis, le train reste à petite vitesse Par Michael MATHES AFP - Samedi 3 mai - WASHINGTON (AFP) - Le train, au pays des grands espaces, se traîne. La seule ligne rapide des Etats-Unis, l'Acela Express, relie New York et Washington en trois heures quand il faut près d'une heure de moins à l'Eurostar pour aller de Paris à Londres, une distance similaire. Vedette de la conquête de l'Ouest au 19e siècle, le rail américain fait figure de relique aujourd'hui, comparé aux trains en circulation dans des pays comme le Japon, la France, l'Allemagne ou la Chine qui compte à elle seule 6.000 kilomètres de voies ferrées pour trains à grande vitesse. Une dizaine d'autres pays envisagent de s'équiper de ces trains, dont l'Iran, qui pourrait acheter à l'Allemagne un train à sustentation magnétique roulant à 448 km/h. L'an dernier, en France, un TGV a atteint la vitesse record de 571 kilomètres/heure lors d'un essai. La vitesse de pointe de la plupart des trains américains frôle péniblement 127 km/h et leur allure de croisière reste bien inférieure. "C'est vraiment trop lent !", se lamente Eleanor Herman, orthophoniste retraitée qui s'apprête à grimper, à la gare d'Union Station à Washington, dans le "Northeast Regional", géré, comme l'Acela, par la compagnie Amtrak. "J'ai pris un train à grande vitesse en Italie, c'est un autre monde!", relève-t-elle. L'avance de l'Europe et de l'Asie, dont les trains filent couramment à 320 km/h, rend encore plus criant l'énorme retard du pays le plus riche du monde en ce domaine, avions et automobiles demeurant les piliers du transport aux Etats-Unis. Mais, avec l'envolée des prix du pétrole, les retards récurrents dans les aéroports et la préoccupation environnementale qui gagne du terrain, la nécessité d'améliorer l'offre ferroviaire devrait commencer à s'imposer. "Nous sommes le seul pays développé au monde qui n'a pas de train à grande vitesse," a déploré récemment le candidat à l'investiture démocrate pour la présidentielle américaine Barack Obama. "Avec les prix de l'essence aujourd'hui, nous devrions étendre notre service de transport ferroviaire. L'une des choses dont je parle depuis longtemps est de relier toutes les villes du Midwest avec des lignes à grande vitesse", a poursuivi le sénateur de l'Illinois. Seule la Californie (ouest) envisage de construire une voie de 1.100 kilomètres pour train à grande vitesse de Sacramento à San Diego, via San Francisco et Los Angeles. Ce projet de 40 milliards de dollars pourrait voir le jour en 2009. L'Acela Express, lui, atteint brièvement 240 km/h mais, en moyenne, il roule à 138 km/h. "Trop de virages" sur la vieille voie entre Washington et Boston pour accélérer, et "la rendre droite serait une tâche monumentale", explique le porte-parole d'Amtrak, Cliff Black. Néanmoins, un parlementaire républicain, John Mica, tente de pousser à la modernisation de cette ligne. Le projet qu'il envisage coûterait au moins 20 milliards. "Nous n'avons pas vraiment de propositions de financement de la part de l'Etat fédéral, ni des Etats, ni des collectivités locales, ni de partenaires privés", reconnaît néanmoins John Mica. Cliff Black explique que sans volonté politique, et avec le sacro-saint droit de propriété aux Etats-Unis, "il est très difficile d'acquérir des terrains pour construire des voies ferrées". Amtrak n'a aucun projet de cet ordre, "nous n'en avons pas les moyens", ajoute le porte-parole de l'entreprise qui a accusé une perte de 475 millions de dollars l'an dernier, malgré un nombre record de passagers depuis 5 ans. La fréquentation a déjà augmenté de 12% cette année. -
Saint Pierre des Corps
Dom Le Trappeur a répondu à Alain51 situé dans Actualité ferroviaire générale
Quatre heures de retard sur un TGV Bordeaux-Paris à cause d'une caténaire P ARIS (AFP) - Un TGV qui reliait Bordeaux à Paris vendredi en fin de journée a accusé à l'arrivée un retard de quatre heures à la suite de l'arrachement d'une caténaire dans la région de Tours, a indiqué samedi une porte-parole de la SNCF. "Un TGV venant de Bordeaux, allant à Paris, a été bloqué à Tours suite à un arrachement de caténaire sur le contournement de Tours", a-t-elle indiqué. L'incident a nécessité de "tracter le TGV avec un train diesel jusqu'à la gare de Saint-Pierre-des-Corps, où les passagers ont été transbordés dans un nouveau TGV", a-t-elle expliqué. Au final, les passagers sont arrivés à Paris à 22H30, avec "quatre heures de retard", a-t-elle poursuivi, confirmant des informations de France Info. L'incident, intervenu sur une ligne classique et non à grande vitesse, a "provoqué des perturbations sur la région de Tours": 13 trains ont subi des retards allant de 10 minutes à une heure, a précisé la porte-parole. La gestion de la situation par la SNCF "s'est déroulée normalement au vu des circonstances", a-t-elle fait valoir, soulignant que les passagers ont été "ravitaillés en eau". Des plateaux repas leur ont également été distribués à l'arrivée, a-t-elle ajouté. Elle n'a pas précisé combien de passagers étaient à bord du TGV. La cause de l'arrachement de la caténaire est "pour l'instant inconnue", a-t-elle ajouté. La SNCF a connu en quelques jours plusieurs incidents majeurs sur ses trains à grande vitesse, en particulier sur un Eurostar Londres-Paris le 18 avril, qui a accusé un retard monstre à la suite d'une panne du système informatique, mal diagnostiquée par le conducteur. Les 640 passagers ont mis 12 heures pour relier les deux capitales, au lieu de deux heures et quart. Un TGV reliant Saint-Malo à Paris a aussi récemment subi un retard de trois heures et demie, et un Strasbourg-Paris a été retardé de plus de trois heures. -
T'aimes pas Besancenot ?
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Comme toujours avoir un oeil critique sur les informations donc supposition (je suppute....) Voie libre tout simplement ? Il a du tout bloquer en ligne derrière lui... C'est vrai que la formulation "alors que la signalisation lui imposait de continuer..." est saugrenu ...toutefois si rien ne s'y oppose donc quelque chose devait s'y opposer... Par contre là où je m'interrgoge c'est sur la formulation "hier soir...lors de sa première circulation ce train Véolia a circulé sans autorisation de ..." Il a bien fallu qu'il parte de Béziers sur carré ouvert... mais bon un mécano peut toujours se présenter à un poste d'aiguillage pour dire qu'il est prêt, l'aiguilleur demander au régul et le régul... Je suppose que c'était un train qui desservait un ITE à Trèbes ? Y'a-t-il un ITE ou est-ce autre chose ? Si l'ITE est desservi par la manoeuvre Véolia, je suppose que les agents de manoeuvre doivent se procurer quelque part les clés des armoires d'accès (fermeture des carrés, clés de communateurs et d'aiguilles selon bien entendu le type d'installations de sécurité etc...)
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Quelques liens , blogs, sites d'infos du bon du moins bon et du pas loin du pire... http://www.symbioz.net/forum/messages.php?...&topic=3515 http://www.niouzes.org/misc-transport-rail...precisions.html http://groups.google.com/group/fr.misc.tra...cb3080db8eaf409 http://www.lemoniteur-expert.com/actualite...t/D529A1D75.htm http://www.trainsfrancais.com/punbb/viewtopic.php?pid=227936 http://www.trainsfrancais.com/punbb/viewtopic.php?pid=227363 http://www.sudrailnormandie.fr/ http://ufcm-cgt-lille.over-blog.net/article-19153151.html http://www.lepost.fr/article/2008/04/29/11...-a-la-sncf.html http://les-cheminots.space-blogs.com/blog-...-montauban.html et ces derniers pour la postérité http://www.webtrains.net/actualites.php?article=1000001115 http://www.webtrains.net/actualites.php?article=1000001667 Je vous remets le lien Wasa Live http://fr.wasalive.com/ Dans le cadre "recherche" vous mettez quelques mots clés et vous obtenez des liens d'actualités sur votre recherche
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http://www.libetoulouse.fr/2007/2008/04/la-privatisatio.html 30/04/2008 La privatisation du rail déraille en gare de Montauban TRANSPORTS. «Pourquoi le frein n’a-t-il pas fonctionné ?» Les syndicats Sud-Rail et CGT-Sncf ne se contentent pas de regarder passer les trains. Ils veulent comprendre comment le convoi de Fret MA100 467473 a pu traverser, ce samedi 26 avril, la gare de Montauban à plus de 60 km/h au moment où devait s’y trouver un train express régional. «Sans le professionnalisme des agents de circulation et de conduite, une catastrophe majeure aurait eu lieu», expliquent-ils. Ce professionnalisme salvateur, c’est celui des agents SNCF. Les syndicats l’opposent à l’opérateur privé Veolia auquel appartient le convoi. La privatisation n’aurait pas que les avantages que les tenants d’une libéralisation du rail lui prêtent. La Cgt en particulier dit rester «mobilisée» car, précise-t-elle, «les orientations de la direction nationale SNCF prévoient toujours un abaissement de la réglementation». Une délégation de syndicalistes a interpellé la Préfecture sur ce «grave problème de sécurité», l’organisme mis en place pour chapeauter la sécurité ferroviaire depuis la décision d’ouverture à la concurrence étant sous la responsabilité directe du ministère des transports. Le président du Conseil régional Martin Malvy a lui-même demandé que le rapport d’enquête lui soit communiqué pour information : «Si le train fou de marchandises avait percuté un train régional, que ce soit à Montauban ou ailleurs, ce défaut de freinage se serait transformé en catastrophe, explique-t-il dans un communiqué. Il est légitime que la Région, autorité organisatrice de transport, soit tenue au courant et puisse dire son mot sur le respect des règles de sécurité». Les faits sont établis : le mécanicien de VEOLIA a actionné le frein d’urgence 30 mètres après avoir franchi l’avertissement précédent le carré d’entrée de la gare qu’il a traversée à 62 km/h. Il ne s’est immobilisé qu’après avoir parcouru 3114 mètres. «Le frein n’a donc pas fonctionné correctement», relève Sud-Rail. Normal, indique encore le syndicat, le bulletin de freinage indiquait «18 wagons quand le train en comportait 19» La suspicion est grande : «Nous ne pouvons laisser en l’état un tel dossier. C’est la sécurité des voyageurs et des travailleurs du rail qui est gravement mise en cause», reprend Sud-Rail. De nombreuses questions subsistent, explique ce syndicat, qui accuse : «les informations sont cachées par les directions». «Sans notre intervention, précise la Cgt, la catastrophe évitée en gare de Montauban n’aurait jamais était connue». Les syndicats peuvent être taxés d’archaïsme quand ils expliquent être les seuls garants de la sécurité des cheminots et des usagers de la Sncf. Un opérateur privé du rail vient tout d’un coup de justifier leur discours. Usant de leur droit de retrait, les cheminots CGT de Toulouse, se disant «inquiets pour la sécurité» des circulations, des usagers et la leur propre ont refusé de travailler hier mardi. GLv.
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En tout cas pour l'instant ce n'est pas la transparence qui en sort gagnante ! SNCF, RFF, EPSF, Ministère des transports sans oublier Véolia Cargo... La SNCF déclare qu'une enquête est en cours mais quid ? Et un nouvel incident concernant Véolia vient d'avoir lieu du côté de Carcassonne... voir 5ème document du post n°223 plus haut...
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1er mai 2008 Y'a ceux qui bosssent le matin et battent le pavé l'après midi...
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Note direction 1er mai et jeudi de l'ascension 2008_04_30__Note_1er_mai__v3_.doc
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[Grenelle de l'Environnement] - Sujet Officiel
Dom Le Trappeur a répondu à laconi situé dans Brin de causette
Loi Grenelle: 2.000 km de lignes TGV supplémentaires d'ici 2020 AFP - Mercredi 30 avril, PARIS (AFP) - L'Etat entend créer 2.000 km de lignes supplémentaires pour les trains à grande vitesse d'ici 2020 pour relier les capitales régionales, selon le texte de loi d'orientation du Grenelle de l'environnement présenté mercredi à la presse par le ministère de l'Ecologie. "La réalisation de 2.000 km de lignes ferroviaires nouvelles à grande vitesse sera lancée d'ici 2020", indique le texte. Sont concernées: la ligne Tours-Bordeaux, le contournement de Nîmes et Montpellier, la ligne Montpellier-Perpignan, la ligne Bretagne-Pays de la Loire, les deuxièmes phases de la ligne Est et de la branche Est de la ligne Rhin-Rhône, l'interconnexion sud des lignes à grande vitesse en Ile-de-France, les lignes Provence-Alpes Côte d'Azur, Bordeaux-Toulouse, Bordeaux-Hendaye, et les branches sud et ouest de Rhin-Rhône. "Un programme supplémentaire de 2.500 km sera défini dans une perspective de long terme incluant notamment la mise à l'étude d'un barreau est-ouest", indique également le texte de loi sans autre précision. Par ailleurs, les transports urbains en site propre hors Ile-de-France seront multipliés par six en 15 ans, de 329 à 1.800 km, afin de permettre notamment "le désenclavement de quartiers sensibles". Le montant total de ce programme est estimé à 18 milliards d'euros, Sur une première tranche de travaux de 12 milliards d'euros d'ici 2020, l'Etat contribuera aux projets nouveaux à hauteur de 2,5 milliards d'euros, précise le texte. En outre, l'Etat veut réduire "d'au moins 38%" d'ici 2020 les consommations énergétiques du parc existant de bâtiments. Dans le neuf, le gouvernement veut imposer la norme "basse consommation" (consommant moins de 50 kWh par an et par m2) à toutes les constructions neuves dès la fin 2012 et par anticipation dès la fin 2010 à tous les bâtiments publics et tertiaires. La norme "énergie positive" (des bâtiments qui consomment moins d'énergie qu'ils n'en produisent à partir d'énergies renouvelables) sera imposée à partir de la fin 2020 pour toutes les constructions neuves. Dans l'ancien, l'Etat mettra en place des "incitations financières destinées à encourager et accélérer la réalisation de travaux" en favorisant la conclusion d'accords avec les banques et les assurances. Il s'agira notamment de développer des prêts aux particuliers dont le remboursement des annuités d'emprunt ne devra pas dépasser le montant des économies d'énergie réalisées grâce aux travaux de rénovation. Le secteur du bâtiment contribue pour près du quart aux émissions nationales de gaz à effet de serre et consomme plus de 40% de l'énergie finale consommée en France. De son côté, l'Etat entend se montrer exemplaire: audit énergétique généralisé de ses bâtiments d'ici 2010 et lancement de la rénovation pour la totalité d'entre eux avant 2012 afin de réduire de 40% au moins la consommation d'énergie et de moitié les émissions de GES dans un délai de dix ans. Enfin, les 30 pesticides "les plus préoccupants" seront retirés du marché d'ici fin 2008. Il s'agit de "généraliser les pratiques agricoles soutenables et productives. Il est ainsi prévu de retirer du marché les substances phytopharmaceutiques les plus préoccupantes en fonction de leur substitualité: 30 d'ici fin 2008, 10 d'ici fin 2010", précise le texte. Il s'agit également de diminuer de 50% d'ici 2012 celles pour lesquelles il n'existe pas de produits ni de pratiques de substitution", ajoute-t-il. L'objectif est de réduire de moitié les usages des pesticides en 10 ans "en accélérant la mise au point de méthodes alternatives et sous réserve de leur mise au point". Le projet de loi indique par ailleurs que l'objectif pour la surface agricole utile en agriculture biologique est d'atteindre 6% du total en 2013 et 20% en 2020. Le crédit d'impôt en faveur de l'agriculture bio sera doublé dès 2009 afin de favoriser la conversion des exploitations agricoles vers le bio. Enfin, la part des produits bio dans la restauration collective publique devra atteindre 15% en 2010 et 20% d'ici 2012.