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Le Web des Cheminots

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  1. C'est la future Magistrale pour l'Europe La liaison Paris - Strasbourg - Stuttgart - Vienne - Bratislava a été désignée par l'Union européenne comme l'un des projets prioritaires du réseau transeuropéen de transport http://www.lgv-est.com/medias/pdf/medias1363.pdf
  2. Vénissieux : André Gerin passe la main aujourd'hui Au terme de 24 années de mandat de maire de Vénissieux, André Gerin (PCF) a passer la main ce matin, lors d'un conseil municipal extraordinaire. A moins d'un coup de théâtre, c'est Michèle Picard (PCF) 42 ans, cinquième adjointe, qui devrait succéder à celui dont elle est la suppléante à l'Assemblée nationale depuis 2002. André Gerin gardera bien son mandat de député de la 14e circonscription du Rhône, et continuera à suivre la question de l'islam et les dossiers du CFAL (Contournement ferroviaire de l'agglomération lyonnaise) en tant que « simple » conseiller municipal. http://www.leprogres.fr
  3. Téléphoner dans un TGV nuit gravement à la santé Une étude publiée jeudi démontre que les ondes sont trois fois plus intenses lors d'un coup de téléphone passé depuis un TGV à pleine vitesse. Téléphoner ou prendre le TGV, il faut choisir. Le magazine Capital, en kiosque ce jeudi, publie une enquête sur les ondes émanant des téléphones portables dans le TGV. Verdict: à 300 km/h, les instruments mesurent des ondes 3 fois plus intenses que dans la rue. Et ce, dès que la première sonnerie du téléphone retentit. Eric et Olivier, experts du centre de recherche et d'informations indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Crirem), ont pris le TGV, accompagnés par l'envoyée spéciale d'Europe 1, Astrid Bard. Boîtier à main, ils passent un coup de fil: A l'issue de l'expérience, les experts ont observé deux raisons à l'importance des ondes émises dans un TGV : le mouvement, qui oblige le téléphone à forcer pour trouver une antenne relais ; la structure métallique du TGV, qui emprisonne les ondes, comme en voiture. Que l'on téléphone soi-même, ou que ce soit son voisin, les ondes sont tout aussi nocives. Même si l'on ne connait pas encore précisément l'ampleur des dégâts que cela provoque sur le cerveau, les spécialistes donnent deux conseils : utiliser une oreillette pour éloigner au maximum l'appareil, et passer un coup de fil le plus court possible. Le mieux est encore d'attendre d'être arrivé pour téléphoner. http://www.europe1.fr
  4. Un automobiliste a hier matin forcé le franchissement d'un passage à niveau près de la gare de Pavilly, entraînant de sérieuses perturbations sur la ligne Paris-Le Havre. « Les barrières devaient être en train de descendre », détaille la SNCF, « quand l'automobiliste a franchi le passage, tordant une barrière Celle-ci s'est retrouvée au-dessus de la voie ». Il était alors 7h20. Le TGV touché par des retards Le conducteur n'aurait pas encore été identifié. La SNCF va déposer plainte. L'incident a hier entraîné de très fortes perturbations car, pour assurer une « totale sécurité » à ses convois, la SNCF a dû retenir les trains en amont du passage dans les deux sens de circulation. Vingt-six trains ont ainsi été touchés, notamment le TGV Le Havre-Marseille pour des retards allant jusqu'à près de 40 minutes, sans compter les difficultés logistiques pour assurer les correspondances. « Au minimum, cet automobiliste a entraîné des retards pour 1 500 à 2000 voyageurs, voire 4 000. Il s'agit d'un incident rare et exceptionnel », détaillait la SNCF. Sur place, la SNCF a dépêché sur place des équipes, tant pour gardienner le site que pour réparer la barrière endommagée. Et de rappeler qu'à l'approche d'un feu rouge fixe ou clignotant à proximité d'un passage à niveau, l'arrêt total des véhicules s'impose. Avec l'incident constaté près de la gare d'Auffay, ainsi que la divagation de veaux sur les voies du Paris-Caen mercredi, ce sont une quarantaine de trains qui ont été retardés en Normandie en l'espace de 48 heures. http://www.paris-normandie.fr
  5. Surtout sur une voie unique de 84.300 km où l'on croise seulement à Dirinon, Pont de Buis, Hanvec et Châteaulin En plus c'est le cas de le dire, c'est une belle vacherie ! Ces bêtes n'ont même pas laisser le temps aux cheminots bretons d'appliquer les procédures prévues pour le "Cas particulier des divagations de bestiaux" ;)
  6. La future LGV Tours - Bordeaux a rasé la gare Après plus d'un siècle d'existence, la gare d'Aubie - Saint-Antoine, située à la limite des deux communes, a disparu du paysage local pour laisser la place au futur tracé de la Ligne à grande vitesse (LGV). Cette section de ligne, qui fait partie de la « ligne océane » qui relie Nantes à Bordeaux, a été ouverte par étape au XIXe siècle par la Compagnie des Charentes qui en avait la concession. Les ouvertures des sections étaient assez échelonnées en raison des impératifs financiers de l'époque, de la lenteur administrative et de diverses difficultés rencontrées sur les chantiers. La Compagnie de l'État réussit à racheter la ligne en 1878, ligne qui deviendra officiellement ligne Nantes-Bordeaux dans les indicateurs horaires de l'État en 1883. En service en juin 1886 Pour sa part, la section Cavignac - Cubzac-les-Ponts a été réalisée par l'État et mise en service le 14 juin 1886. Et depuis, cette ligne à deux voies est le passage de nombreux trains aussi bien de voyageurs que de marchandises, en attendant donc la ligne LGV prévue. Pour ce qui est de la gare, il existe très peu de documents concernant son histoire. Construite apparemment à la fin du XIXe siècle, elle a connu plusieurs gardes-barrières jusque dans les années 1960 - 1970. Mais jusqu'à quand exactement ? Mystère ! Car même les personnes âgées d'Aubie ne se souviennent pas de la fin d'activités de la dernière garde-barrières. Le bâtiment a donc été rasé mais l'arrêt demeure pour les voyageurs qui empruntent cette section de ligne et l'arrêt devrait même être maintenu après la construction de la ligne LGV. Auteur : Philippe Charbonneau http://www.sudouest.com
  7. Paris et Bratislava reliés par une ligne TGV en 2016, selon le ministre slovaque Paris et Bratislava, la capitale slovaque, seront reliés par une ligne ferroviaire à grande vitesse à partir de 2016, a annoncé vendredi le ministre slovaque des Affaires étrangères, Miroslav Lajcak. Selon lui, le TGV mettra environ six heures pour parcourir la distance séparant les deux capitales (environ 1.200 km par la route). La réalisation du projet de construction de la ligne TGV entre les deux capitales débutera en 2010. Cette liaison ferroviaire sera achevée en 2016, a précisé M. Lajcak, cité par l'agence SITA. Le coût du projet est évalué à 475 millions d'euros, a ajouté le chef de la diplomatie slovaque. http://www.ouest-france.fr
  8. Vendredi 26 juin Vers 18h00, un autorail assurant la liaison Brest - Quimper a percuté trois vaches qui se trouvaient sur la voie à Pont-de-Buis. Le train n'a pas déraillé. Aucun des soixante passagers n'a été blessé. Mais il a fallu vérifier que le train pouvait reprendre sa route et dégager une des vaches coincées sous la machine. Les liaisons entre Brest et Quimper ont été perturbées jusqu'à 20 h. Les passagers du train accidenté ont été transférés dans un car. La SNCF a mis en place des navettes entre Brest et Quimper, le temps que la voie soit dégagée. http://www.ouest-france.fr Cela concerne le TER 854838
  9. Vendredi 26 juin Une épaisse fumée s'est dégagée du train 4314 lors de son arrivée en gare de Besançon Viotte. Il était aux alentours de 16h00 quand le train corail en provenance de Lyon et à destination de Strasbourg est entré en gare de Besançon Viotte. Les personnes sur le quai ont vu arrivé un train duquel s'échappait une fumée. Le train s'immobilisa normalement sur le quai C et plusieurs agents SNCF se sont précipités vers l'avant du train avec des extincteurs. L'incendie a été maîtrisé assez rapidement sans que l'intervention des pompiers ne fut nécessaire. Le train qui accusait déja un retard de 50 minutes devait repartir quelques dizaines de minutes après, le temps pour les agents de la SNCF d'enlever la voiture où l'incendie s'était déclenché. http://www.macommune.info Le train 4314 devait desservir Besançon-Viotte à 15.05/15.06
  10. Comme précisé dans l'article du Progrès "Le jugement a été mis en délibéré" (aucune date de fixée à ce jour)
  11. Cette ligne d'intérêt général de 46 km à écartement normal fut ouverte le 15 juillet 1910 par la compagnie d'Orléans Elle possède deux viaducs, celui du Moulin Robin et celui de la Sonnette sur la commune du Grand-Madieu, le plus long et plus haut http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Grand-Madieu Les motivations avancées pour la réalisation de cette ligne furent qu'elle permettrait de relier plus directement Limoges au grand port de La Pallice. A l'époque Roumazières-Loubert disposait d'un dépôt de machines. Fermeture au trafic voyageurs en septembre 1938 La ligne desservait Champagne-Mouton http://www.cfpa.asso.fr/Previsu_GARE.html?...&Order=Gare Cette gare était en contact avec l'ancienne ligne Angoulême - Confolens
  12. Les premiers projets datent de 1853 mais il fallut attendre 1885 pour la mise en service C'est la compagnie des Charentes qui s'est vue confier le soin de réaliser cette la ligne Cette compagnie a été racheté en 1878 par les chemins de fer de l'Etat qui a repris le projet de la ligne Après de nombreuses années d'exploitation, le service voyageur n'avait plus le même intérêt Avec l'arrivée des voitures automobiles, et la concurrence pressante des premiers services d'autocars, le service des voyageurs dut être interrompu en septembre 1938 Remplacé provisoirement par un service des autocars Brivin, ce service reprit toutefois partiellement pendant la guerre. Puis, en 1949, après de nombreuses démarches des élus locaux, un service d'autorail fut projeté. Il fonctionna jusqu'en 1954. Le conducteur de l'autorail s'appelait André Tessier En 1954, Jacques Chaban Delmas, alors ministre des Travaux Publics, des Transports et du Tourisme, se prononçait pour la suppression du trafic marchandises en gares de Villefagnan et Paizay-Naudouin en le remplaçant par une desserte routière La section de Paizay-Naudouin à Chef-Boutonne fut déclassé par décret du 12 novembre 1954 Celle de Ruffec à Paizay-Naudouin fut déclassée par décret du 24 mai 1960 Source http://pagesperso-orange.fr/pascal.baudouin/train.htm Ligne 131 de Ruffec à Aiffres (Niort) - Voie normale 77 km De la bifur d'Aiffres (km 420.500) à Niort (km 414.800) la ligne en provenance de Ruffec et de Chef-Boutonne était commune avec la ligne actuelle à voie unique 213 de Saintes à Niort par Saint-Jean d'Angély Dans les années 50 l'ancienne gare d'Aiffres disposait d'un quai militaire comportant une voie de chaque côté
  13. Le 4 novembre dernier à Ambérieu, un garçon de 18 ans qui revenait du lycée avait été menotté dans le dos, mis à genoux, et frappé, selon lui, par un agent de la police ferroviaire Quand le 4 novembre, vers 18 heures, les gendarmes d'Ambérieu-en-Bugey interviennent à la gare, ils découvrent un garçon « soulagé » de les voir arriver. Ce lycéen, âgé de 18 ans, était dans une cuisine plongée dans le noir, à genoux, face au mur, les mains menottées dans le dos. Ils constatent des traces de coups au visage et des griffures aux poignets. Le médecin constatera à son tour des traces aux lombaires et au torse. Le résultat d'une « interpellation » plutôt musclée d'un agent de la surveillance générale de la SNCF, plus connue sous le nom de Suge. Ces hommes, chargés de la sécurité des transports, peuvent en cas de délit ou crime flagrant retenir quelqu'un pour le présenter à la police ou gendarmerie. En l'occurrence, l'agent a expliqué qu'un de ses collègues en civil, présent dans le train venant de Bourg-en-Bresse, l'avait averti qu'une jeune fille avait été insultée et menacée par un groupe de jeunes, avant de lui désigner le lycéen qui sera emmené manu militari dans un local de la gare. C'est là qu'un agent SNCF, en ouvrant la porte, l'avait surpris la main levée sur le garçon qui avait gémi : « Sauvez-moi. » Pour le parquet de Belley, il s'agissait de violences volontaires et Sébastien C., 35 ans, a été jugé hier par le tribunal correctionnel. Dans une instruction minutieuse, le président Manteaux a cherché à comprendre comment il y avait pu y avoir une telle disproportion entre le comportement du lycéen et ce qu'on appelle communément une « bavure ». Il a cité les témoignages des agents et contrôleurs décrivant des jeunes provoqués par une jeune femme virée de la première classe, et qui auraient répondu par des quolibets. Et même une proximité de la jeune femme avec l'agent de la Suge en civil qui avait alerté Sébastien C. de troubles dans le train. Pour Me Pacaud, le défenseur du lycéen, « c'était un règlement de comptes » avec un groupe que les agents de la Suge avaient dans le nez : « Entre le chahut de potaches qui ricanent et les violences, il y a un détournement de l'autorité. » « Il y a un devoir de modèle, de respect des règles pour un chargé de mission de service public », a rappelé la procureure Marie-Gabrielle Ratel en requérant six mois de prison avec sursis contre le prévenu. Des réquisitions qui ont fait bondir Me Forrest, son défenseur, qui a plaidé la relaxe pure et simple. Selon, l'avocat bressan, ce n'est pas lui qui aurait été manipulé par son collègue en civil, mais les jeunes qui seraient responsables de tout en ayant gravement injurié et menacé la jeune femme. Et les gendarmes qui à leur tour auraient « enfoncé » celui qui aurait eu le tort de dire qu'ils venaient « parasiter » son travail. Lui qui a dix ans d'ancienneté et qui est décrit comme « exemplaire » par son supérieur. Le jugement a été mis en délibéré. Frédéric Boudouresque http://www.leprogres.fr
  14. Au départ de Ruffec . . . Soit c'est l'ancienne ligne vers Chef-Boutonne et Niort Soit c'est l'ancienne ligne charentaise vers Roumazières-Loubert
  15. Le nouveau régime de retraites des cheminots coûtera 38 millions d'euros à la Région Un contentieux oppose la Région à l'Etat sur le surcoût engendré par la réformes des retraites des cheminots sur l'exploitation du TER Côté pile, les leaders du conseil régional reconnaissent que les syndicats de cheminots ont bien joué dans la réforme de leur régime de retraites. Côté face, ils réclament compensation à l'Etat. La réforme du régime de retraites des cheminots, conduite par les syndicats et le ministre des Affaires sociales de l'époque, Xavier Bertrand, aura un impact financier sur la convention qui lie le conseil régional à la SNCF pour l'exploitation du réseau TER, soit un surcoût de 38,7 millions d'euros pour la période 2008-2014. La collectivité a adressé un courrier au ministère de l'Intérieur, chargé du suivi des dotations de décentralisation aux collectivités, pour que l'Etat compense intégralement cette charge nouvelle. Sans réponse positive, le conseil régional déposera un recours auprès du tribunal administratif. Lundi, le conseil économique et social régional (CESR) a voté un avis dans lequelle cette assemblée consultative dit soutenir « le conseil régional dans sa démarche ». « Le CESR s'interroge sur le fait que la SNCF sollicite la Région pour augmenter sa participation financière suite à des décisions prises par décret du gouvernement ». « Je n'imagine pas un instant que nous n'obtenions pas une réponse positive, indique Bernard Roman, vice-président (PS) en charge du Budget. C'est l'application la plus stricte de la loi ». http://www.nordeclair.fr
  16. Appel de 8 membres du CA pour une autre politique des transports Huit des 18 membres du conseil d'administration de la SNCF ont appelé, mercredi dans une déclaration commune, à une autre politique des transports, plus favorable au fret ferroviaire, dans le cadre de la réflexion en cours sur la situation de Fret SNCF, lourdement déficitaire. Lors d'une réunion du CA mercredi, ces huit administrateurs, dont les six représentants des salariés, ont lu une déclaration que s'est procurée l'AFP et dans laquelle ils affirment: "le périmètre de pertinence du fret ferroviaire est dépendant des choix faits en matière de politique des transports". Cette remarque fait écho au titre d'un audit commandé par la direction SNCF intitulé "De la pertinence du fret ferroviaire à la pérennité de Fret SNCF", selon lequel seuls 50% des flux opérés en 2008 auraient eu un pertinence économique. Ce rapport précise même que "l'augmentation du prix des péages (ferroviaires) prévue à l'horizon 2010 ferait basculer 20% de flux supplémentaires hors du domaine de pertinence". Sur la base de ce lien entre fret ferroviaire et politique des transports, les huit administrateurs estiment "impossible une comparaison exhaustive entre la Deutsche Bahn et la SNCF et encore moins un +copié-collé+ du modèle allemand dans notre pays où les choix politiques ont priorisé la route depuis des décennies". http://www.romandie.com
  17. La reprise du Mastrou en bonne voie - Décision du CG 07 le 29 juin Les négociations peuvent parfois se dérouler dans des lieux impromptus. Exemple ce samedi 20 juin sur la ligne du départ de l'Ardéchoise, à Saint-Félicien. Le président du conseil général de l'Ardèche, Pascal Terrasse et le vice-président de Région, Bernard Soulage, sont, chacun, sur un vélo. Parlant du Mastrou, Pascal Terrasse se félicite que le dossier est en bonne voie. « La Région doit nous aider à hauteur d'1,5 million d'euros », précise-t-il, en regardant Bernard Soulage. « Cela dépendra qui arrivera le premier à vélo », répond ce dernier, tout sourire. Le public et le privé impliqués Il y a quelques mois, cette boutade aurait été plutôt mal venue tant le Département avait du mal à digérer un dossier complexe et un financièrement très lourd à gérer. Avec Jean-Pierre Frachisse, nommé "médiateur", les services du Département et les élus sont restés tout de même mobilisés pour construire le projet le plus sérieux possible. Il sera présenté ce lundi 29 juin à Privas lors de l'assemblée plénière du conseil général. Trois principaux acteurs seront parties prenantes dans cette reprise. Spécialiste en la matière, le Département s'occupera des voies et des ouvrages d'art qu'il rachètera (autour de 5 millions d'euros hors taxes). Les communautés de communes auront la charge des gares et des entrepôts. Et l'exploitation commerciale de la ligne ainsi que la gestion du matériel roulant seront confiées à une société privée. Ce sont d'ailleurs quatre entreprises qui ont proposé au Département des scénarios de reprise (lire ci-contre). Ils ont été étudiés de près par le comité de pilotage http://www.ledauphine.com
  18. En général, c'est le sac qui est en crocodile et non l'inverse. Les douaniers norvégiens ont pourtant eu la surprise de découvrir un caïman vivant de 75 cm dans une valise à bord d'un train, a indiqué une responsable aujourd'hui. Le reptile, qui figure sur la liste des espèces menacées d'extinction, a été découvert dimanche lors d'un contrôle de routine dans un train effectuant la liaison entre la ville suédoise de Göteborg et Oslo, a expliqué à l'AFP Wenche Fredriksen, inspectrice en chef des douanes. "Il était logé dans un tube d'aération à l'intérieur d'un bagage", a-t-elle dit. Son propriétaire, un homme de 22 ans, a expliqué qu'il avait acheté cet "animal de compagnie" en Pologne, où il étudie, et qu'il voulait le ramener chez lui en Norvège. Le caïman a été remis aux autorités vétérinaires qui décideront de son sort http://www.rtlinfo.be
  19. Ligne 29.2. La compagnie de l'Etat ouvre la section Courtalain - Bessé sur Braye le 23 mai 1885 Entre Droué et Boursay - Saint-Agil (aux environs du km 148) elle croise la branche Sud-Ouest de la LGV Atlantique (au environs du km 136) La compagnie du PO ouvre la section Bessé sur Braye - Château du Loir le 31 mars 1879 Cette section de ligne a été rétrocédée à la compagnie de l'Etat en 1883 De Courtalain à Château du Loir le service des trains express a été supprimé vers 1938/1939 suite à l'électrification de la ligne Tours - Bordeaux et celui des omnibus le 5 juillet 1971 Puis transfert du service voyageurs sur la route par autocar à tarification SNCF Ce service est à présent supprimé depuis de très nombreuses années par manque de rentabilité Pendant une certaine période précédant la mise en service du TGV A (1989) cette ligne a changer momentanément de régime d'exploitation (VUSS au lieu de VUTR) dans l'unique but de desservir la base travaux TGV de Courtalain La semaine 3 à 4 trains quotidiens (LRS, ballast, traverses) étaient ainsi engagés sur cette ancienne ligne Les gares de Courtalain, Mondoubleau et Bessé/Braye étaient ouvertes en permanence au service de la circulation
  20. Train 780 Bordeaux - Saint-Jean 19.00 Bordeaux - Benauge 19.06 Saint-Mariens - Saint-Yzan 19.42/19.46 Montendre 20.04/20.06 Jonzac 20.24/20.26 Pons 20.42/20.45 Beillant 20.59/21.01 Saintes 21.12/21.28 Saint-Jean d'Angély 21.55/21.57 Niort 22.41/23.00 Parthenay 0.09/0.11 Thouars 0.42/0.50 Saumur-Orléans 1.33/1.36 Château-du-Loir 2.49/2.57 Courtalain - Saint-Pellerin 4.12/4.15 Chartres 5.12/5.17 Versailles-Chantiers 6.18/6.22 Paris-Montparnasse 6.46
  21. Train 781 Paris-Montparnasse 21.50 Versaille-Chantiers 22.12/22.16 Chartres 23.10/23.15 Courtalain Saint-Pellerin 0.10/012 Château-du-Loir 1.22/1.25 Saumur-Orléans 2.36/2.40 Thouars 3.18/3.31 Parthenay 4.23/4.25 Niort 5.12/5.40 Saint-Jean d'Angély 6.27/6.29 Saintes 6.55/7.40 Pons 8.00/8.03 Jonzac 8.22/8.25 Montendre 8.46/8.48 Saint-Mariens - Saint-Yzan 9.03/.9.08 Saint-André de Cubzac 9.26/9.28 Bordeaux - Benauge 9.49 Bordeaux - Saint-Jean 9.57 Composition: places assises 1ère, 2ème,3ème classe, couchettes 2ème classe et canapés-lits 1ère classe
  22. Une solution pour contenter tout le monde La nouvelle burka spéciale visite médicale pour femmes musulmanes http://video.google.fr/videoplay?docid=404...24955&hl=fr
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  24. Le maire de Vénissieux les a baptiser, à juste raison, les prisons ambulantes ! En plus ça rappelle le célèbre feuilleton Belphégor ou le Fantôme du Louvre http://fr.wikipedia.org/wiki/Belph%C3%A9go...%B4me_du_Louvre
  25. La ligne 25.3 Château du Loir - Vivy (61 km) mise en service le 11 juillet 1886 est en effet l'une des nombreuses sections du tracé historique Paris - Bordeaux par Chartres, Saumur, Niort et Saintes La compagnie de l'Etat voulait faire de cette ligne une grande ligne mais elle sera handicapée par son profil ne permettant pas de pratiquer des vitesses élevées Cette ancienne ligne a été mise en double voie par sections successives entre 1895 et 1897 puis remise en voie unique courant 1954. Le block de type Etat commence à faire son apparition à partir de 1900 Le service des trains express a été supprimé vers 1938/1939 suite à l'électrification de la ligne Tours - Bordeaux et celui des omnibus le 6 avril 1970 La particularité de cette ligne était de posséder au km 220 une prise d'eau en marche d'environ 400 m de long permettant aux trains d'effectuer de longs parcours sans arrêt Au début des années 30 circulation des trains de nuit 781 - Paris 21.50 Château du Loir 1.22/1.25 Saumur-Orléans 2.36/2.40 Bordeaux 9.57 780 - Bordeaux 19.00 Saumur-Orléans 1.33/1.36 Château du Loir 2.49/2.57 Paris 6.46 De Vivy jusqu'à Saumur (7.700 km) la ligne était commune avec l'ancienne ligne 78 de La Suze sur Sarthe à Saumur via La Flèche mise en service en 1877 de La Suze sur Sarthe à La Flèche et en 1887 de La Flèche à Vivy
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