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artidam

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Tout ce qui a été posté par artidam

  1. Ah c'était du second degré ! On est sans doute pas beaucoup de blaireaux à avoir compris, en retournant se masturber on va peut être comprendre que tu n'es pas du tout méprisant et sectaire dans tes propos. Comme dit l'autre Bonne journée en gréve ou pas.
  2. Bizarre ta conception consumériste du syndicalisme. Tu dois sans doute penser la même chose des politiques de la direction : "ce n'est pas à moi de penser à la place de la direction, je tire des trains et rien d'autre".
  3. Salut Euh je crois que j'ai été un peu court dans mon post. Le fait d'émettre un regret quant à la position de la fédération SUD Rail sur la difficulté à se démarquer d'un suivisme unitaire contre productif et d'une non prise en compte des choix de la base (dans les syndicats SUD), ne veut pas dire comme aimerai Pasdid84 que je suis anti syndicat. Etant syndiqué SUD Rail j'ai un parti pris pour une action reconductible. Action qui semble être très compromise dans un contexte politique (élections et réformes à venir) où chacune des OS n'a pas d'intérêt à aller dans ce sens. Les grands mouvements sont toujours venus de la base au delà des choix des OS. Il est fort probable que l'éclatement de l'entreprise étant bien entamée (on ne parle déjà plus du FRET ou si peu), se poursuive jusqu'à l'opacité totale entre EF internes. Cordialement
  4. On parie combien qu'il n'y aura rien d'autre qu'un "temps fort" de 24heures ? Pour le reste, la fédération sud rail n'est pas très claire non plus puisque visiblement elle n'a pas dépassé les 60% d'approbation des sections pour ce temps fort alors que les statuts demandent au moins 66% . Au dernier congrès, avait eu lieu un débat sur ce sujet et il avait été dit que les 24h c'était terminé, du reconductible sinon rien. Et la situation mériterait vraiment du reconductible. Les gréves de 24h ne sont qu'un bel aveu de faiblesse et rien d'autre. On nous sortira sans doute les avancées le soir du 3 février sachant très bien que tout a été négocié bien avant.
  5. Et qui parle du recyclage de ces lampes, son électronique et ses gaz (mercure et plomb) pas franchement bon pour la santé encore moins pour l'environnement. Le résultat est que le bilan écologique est catastrophique et le bilan énergétique pas forcément meilleur si l'on prend en compte toute la chaine de la conception au recyclage. http://www.led-fr.net/ampoule-calimero-eclairage.htm http://fr.ekopedia.org/Ampoule_fluocompacte http://www.led-fr.net/lampe_fluocompacte_cout.htm http://www.proxinews.com/php/front/article...le.php4?idrub=5 http://blog.citoyenpatrickdarlot.fr/post/2...pe-fluocompacte
  6. http://bastamag.net/spip.php?article748 Travail L’antipathie comme méthode de management Par Julien Brygo (12 novembre 2009) 25 suicides à France Télécom. Bientôt La Poste ? Le politologue Gildas Renou vient de passer les dix dernières années à travailler avec les salariés de France Télécom et de La Poste. Les deux anciennes entreprises publiques sont devenues, selon lui, des laboratoires de « l’antipathie » au travail. « Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les conditions d’autres drames se préparent ailleurs. Nous pensons à La Poste notamment. » Dans la foulée des 25 suicides à France Télécom et de leur médiatisation, le politologue français Gildas Renou a publié un article intitulé « les laboratoires de l’antipathie » (Revue du Mauss, 29 septembre 2009). Dix ans d’enquête auprès des salariés de France Télécom et de La Poste, à côté des syndicalistes et des représentants du personnel dans les centres de tri, dans les bureaux de poste... Dix ans de recueil de données et de témoignages pour livrer un verdict implacable : « Le travail salarié traverse certainement aujourd’hui l’une des crises les plus graves de son histoire. (...) La financiarisation de l’économie articulée aux innovations des sciences du management a modifié radicalement la donne. Le travail est en train de perdre son sens aux yeux des salariés, l’apport de chacun n’y étant plus reconnu, la joie tendant à y disparaître. » Casser les solidarités et rendre la contestation inutile Quand le travail mène à la mort, il est urgent de se pencher sur le processus qui a permis cette lente dérive vers la déshumanisation des rapports au travail. Division des travailleurs entre eux, stigmatisation des prétendus « meneurs », application des techniques de management américaines aux employés de feu l’administration des PTT. En vingt ans, La Poste et France Télécom ont vécu des modifications de statut radicales. En 2009, les débrayages ont été remplacés par des minutes de silence. La face la plus rêche du capitalisme saute aux yeux de chacun, jusqu’à créer un consensus inespéré autour de la dénonciation unanime des suicides à France Télécom. Pour Gildas Renou, que nous retrouvons dans les locaux de la Maison interuniversitaire des Sciences de l’Homme d’Alsace, à Strasbourg, cette lente généralisation de « l’antipathie » comme mode de fonctionnement interne dans les sociétés publiques est une des causes des suicides, dépressions et autres signaux d’un dégoût pour le travail. Chercheur au Centre de recherches sur l’action politique en Europe, cet homme de 36 ans explique, calmement, la façon dont les techniques de management à La Poste comme à France Télécom sont le fruit de techniques volontaires et délibérées, pour, dit-il, « dessouder les équipes et diviser les salariés ». « La Poste, rappelle-t-il, c’est d’abord le courrier, avec deux grands types d’agents : les employés des centres de tri, (30.000) et les facteurs (110.000). Les trieurs sont plutôt des gens de tradition ouvrière, qui travaillent de jour comme de nuit en brigades, avec un grand sens du collectif, ce qui signifie des possibilités de débrayages, etc. Historiquement, ils sont très politisés et solidaires. Tout le travail des managers de La Poste, depuis le début des années 2000, a consisté à casser ces solidarités. La première stratégie fut de rendre la grève... indolore. » Grèves « thrombose » et centres de tri « sauvages » Dans la région parisienne, il y a par exemple eu la création d’une dizaine de « centres de tri sauvages », des centres « situés dans des lieux tenus top secret, comme celui d’Ozoir-la-Ferrière (Seine et Marne), qui étaient ouverts uniquement quand il y avait des grèves et alimentés par des intérimaires », illustre Gildas Renou. C’est ce qu’un rapport d’information du Sénat, datant de 1997, appelle le « réseau B » : un réseau que l’auteur du rapport, le sénateur UMP Gérard Larcher, jugeait « indispensable, bien qu’insuffisant pour résoudre les problèmes que posent aux clients certaines grèves "thrombose" » [1] (l’emploi du terme thrombose fait référence à la formation d’un caillot sanguin dans une veine, gênant ainsi la circulation du sang, comparé ici à la distribution du courrier). Aujourd’hui, Gérard Larcher, qui pensait donc que l’essentiel était de s’organiser contre les « grèves thrombose » n’est autre que le président du Sénat qui vient de voter la loi changeant le statut de La Poste. Casser les collectifs de travail, casser les synergies : « La stratégie était d’opposer les ouvriers des équipes de jour et de nuit, d’opposer les travailleurs. La désorganisation des centres de tri a été sciemment préparée pour semer la zizanie au sein des équipes. Les chefs d’équipe, les petits chefs, n’arrivent plus à régler la situation. Le travail devient très douloureux et cela est hélas, volontaire, pour atteindre les objectifs d’allègement de 30 % de la masse salariale, soit 33 000 facteurs et plusieurs milliers de trieurs. » L’an prochain, la régionalisation des centres de tri mènera à des milliers de licenciements ou non remplacements. Il s’agit ici de la plus pure application de la discrète mais implacable RGPP (Révision générale des politiques publiques). Du taylorisme aux cost-killers Pas question pour autant de stigmatiser l’encadrement, les managers, prévient le chercheur. Ce sont eux à qui la direction demande d’appliquer les méthodes cruelles aujourd’hui mises au ban. « Coincés entre l’enclume et le marteau, ils sont probablement les plus enclins à tomber dans la dépression et passer à l’acte. » Les inspirateurs de ces techniques de management sont connus : de Frederic Taylor (1856-1915), qui légua à l’humanité la joie du travail rationalisé et du rendement maximum, à certaines figures du management scientifique, comme l’Américain Peter Drucker (1909-2005), surnommé par ses pairs le « pape du management » [2], les inspirateurs sont connus. « L’ancien numéro 2 de France Télécom, Louis-Pierre Wenes, (débarqué par le gouvernement début octobre, ndlr), était un de ceux qui ont rédigé les rapports de la boîte de consulting AT Kearney. Il a, suite à ce rapport, été employé directement par France Télécom en 2003 », rappelle Gildas Renou. Son successeur, nommé par le sommet de l’État, n’est autre que Stéphane Richard, un ancien de Véolia Transports passé par les cabinets de Dominique Strauss-Kahn et de Christine Lagarde. Dans les faits, les fils spirituels de Taylor et de Drucker sont des « sociétés de consulting » comme Andersen ou Proudfoot, des consultants comme il en existe des tas sur le marché, à qui les directions de France Télécom et de La Poste font appel pour mieux dompter leurs troupes. Leurs règles sont simples : diviser les travailleurs, identifier les potentiels meneurs, élaborer des discours culpabilisants, demander aux agents de postuler pour obtenir le poste qu’ils occupent déjà, pousser à la démission, effacer le lien social qui peut avoir entre les salariés, et leur appliquer cette kyrielle de mesures toutes plus scolaires : autoévaluation, entretiens répétés, grilles de notations... « Tout cela, pour bien faire comprendre aux salariés que leur savoir-faire n’en est pas un et qu’ils sont interchangeables. » Pour ce politologue, l’avenir de La Poste ressemble au présent de France Télécom... à moins que la résistance ne s’organise et que les salariés créent un équivalent de l’Observatoire du stress et des mobilités forcées, lancé en juin 2007 par des syndicats et des salariés de France Télécom. « Au moment où le pays va choisir la stratégie d’avenir de la poste française, il importe que chacun tire les leçons des graves erreurs commises à France Télécom », estime-t-il. « Plus globalement, c’est le capitalisme qu’il faut questionner. La France ne peut pas faire l’économie de ce débat-là. » Julien Brygo Notes [1] Commission des Affaires économiques et du Plan - Rapport d’information n° 42 - 1997-1998. [2] Auteur notamment de The Practice of Management et de The Effective Executive, livres écoulés à plus de 6 millions d’exemplaires, Peter Drucker luttait contre ce qu’il nommait « la maladie de gouvernement ». Il estimait que les gouvernements, comme toute organisation bureaucratique et monopolistique, étaient incapables de fournir les nouveaux services dont les gens avaient besoin et appelait à « l’abandon planifié » des tâches régaliennes pour les offrir au marché.
  7. Salut En fait je me suis mal exprimé. Si tu demandes un temps partiel pour un enfant de moins de 16 ans, on ne peut te le refuser, en revanche on peut te refuser la cotisation retraite quand l'enfant à entre 3 et 16 ans. Sur la région de Toulouse, de nombreux cas de ce genre ont eu lieu pour pousser les agents à ne pas poser un temps partiel. Enfin si tu souhaites un temps partiel pour convenance personnelle et qu'on te le refuse, si tu reformules une demande "conformément au code du travail". Et on ne peut te le refuser (Je ne suis pas en mesure d'expliquer les différences entre les deux tps partiels). Pour ce qui est de la source, j'ai eu confirmation de la part de mon CUP et préalablement j'avais contacté un délégué du personnel. Pour ce qui est de la cotisation retraite, en effet depuis la réforme de 2007, l'entreprise abonde à hauteur d'une année pour les parents d'enfant né ou adopté avant le 1 juillet 2008 et 3 années par enfant né ou adopté à compter du 1° juillet 2008. En fait c'est une année ou 3 années en cumul. (Ex un 91,4% correspond à 1 mois et 1 jour) Espérant avoir été plus clair que dans mon précédent message.
  8. Salut Si tu demandes un temps partiel conformément au code du travail on ne peut te le refuser en contre partie, tu n'as plus la possibilité de cotiser pour la retraite même si tu as des enfants de moins de 16 ans.
  9. Salut C'est étonnant ta question, d'habitude on sait pourquoi on prend un tps partiel. Je pense qu'il ne faut pas calculer ce que tu vas perdre en argent mais en temps disponible que tu passeras à faire ce qu'il te plait. D'autant que visiblement 1h de route te fera économiser des frais de voiture et de carburant ce qui est bon aussi pour l'environnement. Pour le reste je comptais pour 80%, 20% en moins mais en fait c'est un peu moins que cela. Cordialement arno en tps depuis 5 ans.
  10. La majorité c'est 50 + 1, la minorité c'est 50 - 1
  11. Salut Norman Baillargeon dans son "Petit cours d'auto-défense intellectuelle" (eds Lux, Montréal 2005) nous raconte ces différentes expériences et nous donne quelques moyens pour apprendre à se défendre à ces nombreuses méthodes de déstabilisation de l'individu. Arnaud
  12. Salut Pierrick Heureux que la référence d'André Gorz soit repris dans de tels forum ici et sur France 3, je ne peux que contribuer à cette vision des choses. Alain Accardo, dans ses derniers livres, interroge l'ampleur du consentement social à cet ordre des choses par l'intériorisation profonde des structures objectives du système sous la forme de structures subjectives de personnalité. Nous sommes façonnés jusque dans notre rapport au monde par l'échangisme marchand et par conséquent bien incapables d'imaginer qu'il puisse en être autrement. Pour info Alain Accardo est un disciple de Pierre Bourdieu et pour revenir au sujet de ce topic, la lecture de "la misère du monde" de Bourdieu est un bel approfondissement après la vision de ce documentaire. Bonne journée
  13. Salut Je crois que tu débordes largement du sujet. Tu fais de certains comportements une généralité ce qui te permet de justifier ton discours de ressentiment envers les OS. Pire encore, j'ai l'impression que tu fais l'amalgame des choses et me voilà cataloguer "noniste". Je trouve cette attitude particulièrement intolérante face à ce qui est simplement un regard critique. Un regard critique ne nous oblige pas à prendre position entre un oui ou un non, entre le bien et le mal car les "choses" sont sans doute plus subtiles que ce mode de pensée binaire. Et si chacun de nous est responsable des inégalités et excès de la société, nous n'y sommes pas de la même manière si tu prends en compte un certain nombre de critères, tels que les déterminismes sociaux, les revenus, la situation sociale et j'en passe. Il ne faut pas oublier non plus les antagonismes entre l'individuel et le collectif. Quand les OS apportent un regard critique sur tel ou tel projet de la direction, elles jouent pleinement l'aspect collectif ce qui est leur rôle. Cela n'empêche pas l'individu d'apporter un regard plus individuel en fonction de ses intérêts propres. Parfois même, les intérêts individuels vont à l'encontre de l'intérêt collectif et en général la direction ou nos gouvernants savent très bien les exploiter pour atteindre leurs objectifs. Enfin on oublie trop souvent que l'esprit collectif permet de mettre des limites à la volonté de l'individu, volonté qui pourrait remettre en cause la cohésion d'un groupe et les limites que celui ci s'est fixées. Bonne soirée
  14. Parce que malgré ce que l'on peut croire ce ne sont pas les OS qui font la pluie et le beau temps. En revanche chacun a dés le début de ce projet émis des doutes notamment sur l'impact sur l'emploi.
  15. On est donc d'accord. Pour le reste, en général les gens sont concernés par les "réformes" quand ils sont concernés dans leur quotidien directement. Ceci dit je trouve dommage qu'une fois de plus, les uns et les autres tapent sur les syndicats mais on aurait entendu les mêmes si ces derniers ne seraient pas intervenus. Nombreuses OS ont émis des doutes sur cet outil et depuis belle lurette encore faut-il lire les tracts et s'intéresser aux choses qui nous concernent et pas seulement quand on est concerné le jour même.
  16. EUh cela ne serait pas réducteur ton discours ? Mieux vaut utiliser le principe de précaution que de se retrouver avec des problèmes. le sujet de l'amiante est un belle exemple de non application du principe de précaution. Quand à la concurrence, je ne vois pas ce qu'elle vient faire avec Sirius. D'autant plus que les nonistes dont tu parles sont une minorité qui ne doit pas te permettre de mettre en avant l'immense majorité qui sont partis en retraite pour de bon.
  17. Wouais ça doit être cela le deni de réalité.
  18. artidam

    Fret SNCF, la fin ?

    Salut Et c'est que ce nous faisons nous en tant que citoyen... Nous ne voyons pas l'ampleur de la crise écologique qui nous arrive dans la gueule. Si les problèmes de structure sont évidents dans notre sncf, les réorganisations par activité viennent ajouter encore plus de lourdeur, plus personne ne maitrise correctement son précarré technique. Mais revenons au fret. Tu oublies une question majeur : la concurrence du transport routier qui s'amplifie de plus en plus du fait de la concurrence des transporteurs de l'Est. Comment alors font les transporteurs routiers locaux ? Comment font les EF ferroviaires privés qui eux aussi souffrent également de cette concurrence ? Tu opposes visiblement une vision libérale au modèle actuelle à le taxant d'obsoléte et tu balaies d'un revers de main l'hypothèse d'une pression excessive sur les salaires. Malheureusement dans cet modèle qui nous démontre chaque jour ses conséquences néfastes, chaque entreprise n'aurait plus qu'un seul objectif : la rentabilité qui permettra aux financiers de se servir. L'urgence n'est pas comme tu le dis, de s'adapter au monde libéral mais avant tout aux enjeux de la crise écologique, énergétique et de la crise économique et sociale qui en découlent. Rentabilité, satisfaction des actionnaires ne sont pas des mots compatibles avec faibles consommations énergétique, impacts écologiques et équilibre social. C'est avant tout une vue politique, cette évidence n'est pas forcément une évidence pour tout le monde à en voir les dogmes de la concurrence libre et non faussée qui gèrent le système et dont tu relaies les messages naivement. L'urgence n'est pas de s'adapter aux normes (obsèletes) en vigueur mais bien d'adapter notre économie aux besoins du plus grand nombre en se mettant une limite à la démesure de notre société de consommation et permettre de limiter notre impact dévastateur sur notre espace de vie. Voilà l'urgence et rien d'autre.
  19. Une thune et ça repart. Si c'est que cela que tu retiens tu n'es pas prêt à voir tes conditions de travail et le contenu de ton porte monnaie s'améliorer... Impressionnant comme réaction !
  20. Ah non alors, bien sur que si cela s'appelle un "touch and go" c'est la base de la formation initiale du pilote.
  21. J'ai vu des envieux, en nombre Des jaloux, en quantité Trop peu désireux de s'attarder sur leur vie ratée Ils s'évertuent à salir la vie réussie du voisin Incapables de regarder leur médiocrité Ils veulent la petitesse pour tous Ainsi ils se croient grands...
  22. Salut Oui effectivement d'après un tract syndical c'est prévu. Pour le reste, ils vont déjà à PAZ avec les trains lunéa.
  23. Salut Les ADC de Lille Délivrance y vont régulièrement et ont été formés au néerlandais (pardon le flamand). Mais comme disent certains, y a pas de problème si tu montres que tu es français même quand certains flamands ne parlent quasiment pas le français. Arnaud Ex LDV (formés belgique), Ex BDT (formés Quévy)
  24. Ben dis donc, tu commences simplement ta formation et tu te revendiques dans ton pseudo crl de l'ET Paca ?
  25. Hum, c'est clair que l'édition des FT chaque jour est une aberration mais c'est aussi un choix de gestion, à Toulouse on utilise encore les pochettes et ça marche très bien. En revanche je ne suis absolument pas d'accord avec toi sur le côté écologique de Siruis car la conception d'un petit ordinateur demande beaucoup d'énergie pour la construction, l'extraction du cobalt, du lithium pour les composants et batteries. En outre vu l'obsolescence avancée de nos outils informatiques, le bilan énergétique est catastrophique car on ne parle pas du recyclage au bout de 3 ans en moyenne d'utilisation. C'est vrai que la consommation de papier telle qu'on le fait actuellement est un scandale mais je crois que le cycle de vie des outils informatiques à un bilan énergétique pire encore que le papier. On peut replanter des arbres beaucoup plus facilement que de trouver et d'exploiter des mines de cobalt et de lithium ou même de mettre en place des structures de recyclage. C'est avant tout un choix politique de société, l'idéologie du progrès est partout. Pour le reste, comme beaucoup ici je ne suis pas convaincu de l'intérêt de cette machine. L'objectif de la direction est de faire des économies de personnel ni plus ni moins. Et par certain qu'on s'y retrouve en terme de conditions de travail. Pour avoir pratiquer la 27000 et ses écrans lumineux, c'est vraiment pas le panare d'avoir des écrans constamment allumés devant nos yeux surtout la nuit. En voulant simplifier nos outils de travail, on risque plutôt de les compliquer et pour quelles plus values ? Je n'en vois aucune. Bonne journée Arnaud
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