artidam

Merci à toi Bandaa Bono, pour ton regard critique et ta grande rigueur intellectuelle, ils permettent à chaque fois de faire avancer en profondeur le débat, et ce n'est pas parce que je partage souvent tes points de vue que je me permet de dire cela okok

Ah bon c'est vrai cela que tu n'es prisonnier d'aucune idéologie ? Et celle de la pensée dominante qui t'empêche d'avoir un tout petit peu de regard critique sur la marche du monde. Bon courage petit homo oeconomicus tu vas bientôt travailler jusqu'à 70 ans, tu n'auras plus de pensions ni de protection sociale et tu n'auras rien dit parce que tu auras évolué comme l'ont demandé nos gardiens de la pensée dominante. Vive le progrès social!!!!!!!!!

OUi et bien justement; sur le blog, je ne vois pas trop de réponse venant de la direction depuis quelques semaines déjà. J'aimerai être aussi optimiste que toi.

Salut Euh je crois que tu as au moins un train de retard. En pièce jointe la cartographie des roulements Volontaires mis en place au 14 décembre. Qui peut croire encore que cela ne sera pas mis en place. La cartographie correspond à la réalité du volontariat et pire la direction souhaite, compte tenu du nombre de volontaires, une nouvelle fournée pour juin 2009. Pour exemple : au Bourget sur environ 150 TB Fret, il y a plus de 100 volontaires. Les autres ? Une grosse partie des non volontaires vont retourner au FAC tout simplement parce qu'ils sont maintenant minoritaires et que la charge de travail bascule sur les roulements volontaires. Le dumping social a commencé et ce n'est qu'un début. Bonne journée Cartographie_des_Roulements_Volontaires_CRL.pdf

Salut C'est sûr qu'avec ce genre d'idées on est sûr de faire avancer les choses. Je me demande bien si, au vue de tes critiques et du peu d'arguments que tu avances, tu as pleinement compris la situation. Peut être attends tu que l'on t'impose de travailler 60 heures pour prendre la mesure des bouleversements en cours pour faire évoluer ton discours ? Bonne journée

Salut Ah ah ah ah, je crois qu'on va bien rigoler les prochains mois entre les quelques équipes traction UNSA déjà implantées et les quelques sections SAR qui vont s'implanter ici et là avec les anciens de la FGAAC. Pire à Toulouse les quelques militants tractions de l'UNSA n'ont même pas été mis au courant de cette création, pas d'info, pas de débat, venant de leur fédération. Déjà que l'UNSA n'est pas très revendicative pour les roulants sans parler de sa grande faculté à accompagner les projets de l'entreprise (volontariat et cie) même si parfois certaines sections ne sont pas d'accord, alors là c'est la fin des haricots. On va bien rigoler et quand ce petit monde aura pris une claque devant la réalité des élections et leurs certitudes qui vont faciller avec la tempête tout va devenir comme avant. Car je doute fort qu'il y ait de vraies convictions à défendre dans ce genre de recomposition simplement un désir de garder son siège d'élu ou de permanent. Ce n'est pas cela le syndicalisme moderne et apolitique ? Bonne journée Arnaud

Bonjour Ca fait 20 ans qu'on nous dit que la lutte des classes c'est démodé que nos intérêts sont les mêmes que notre direction. Cela fait 20 ans qu'on nous vante le culte de l'entreprise par sa performance économique. Parle-ton encore de service public ou encore de l'utilité sociale d'une entreprise ? Allons nous travailler plus pour gagner plus ou tout simplement augmenter la plus value de l'entreprise en détériorant nos conditions de travail. Sous prétexte de "réalisme économique" bien inculqué depuis des décennies, nous acceptons les régressions sociales, croyant que c'est la seule solution. Demain alors une fois que le loup aura fait des ravages dans la bergerie, on nous demandera encore de faire des concessions car la concurrence est encore plus pertinente que nous sur tel ou tel marché. Cette logique est intrinsèque au système capitaliste. Accepter la remise en cause de nos acquis sociaux qui nous permettent de travailler dignement, c'est faire de nous des travailleurs totalement aliénés et corvéables à merci. Comment peut on avoir oublier les leçons de l'histoire à ce point. J'invite tout le monde à acquérir quelques bons bouquins d'histoire des idées politiques. Rien est anodin dans nos actes du quotidien, tout est politique et ce n'est pas parce qu'on nous dit que le capitalisme libéral c'est "la fin de l'histoire" qu'il faut le croire. Rien que d'affirmer cela révèle son aspect totalitaire. Alors cultivons le regard critique et agissons plutôt que de courber le dos. Bonne journée

Bonjour Tiens voilà une petite brève qui a été reprise hier par un certain nombre de quotidiens et certains grands journaux radio. Ce qui me réjouit avant tout c'est bien que les temps changent et que ce genre de messages n'auraient pas été passés aux heures de grandes écoutes. Le vent tourne pour nos grands médias chiens de garde, avec la crise financière difficile de maintenir le nuage de fumée qui cache la crise écologique à venir. Elle arrive et elle sera dévastatrice. Pouvons nous espérer que nos chiens de garde de la pensée dominante se retournent contre leurs géniteurs pour nous apprendre à "décoloniser notre imaginaire" (expression de Serge Latouche) c'est à dire d'aborder les problèmes pas que d'un point de vue purement économique mais avant tout d'un point de vue éthique, social et solidaire. Il y a un lien entre toutes choses et la mise en place d'économie d'énergie par la mise au point de palliatifs technologiques tel que le nouveau capitalisme vert est entrain de faire, ne réduira pas notre empreinte écologique. Le fait de faire des économies sur une secteur dégage des moyens financiers qui seront dépensés ailleurs ce qui annihile totalement les gains initiaux. C'est ce qu'on appelle l'effet rebond. Un exemple très simple : j'achète un voiture qui consomme deux fois moins de carburant que l'ancienne, de fait je risque fort de me déculpabiliser de son impact et je vais inévitablement faire plus de kilomètres. Ce phénomène brillamment expliqué par Ivan Illich a de nombreux exemples dans notre société de gachis. Certains proposent un changement radical de système considérant que le capitalisme a besoin de croissance tout comme l'homme a besoin d'oxygène pour respirer. Aussi le capitalisme n'est sans doute pas en mesure de réparer ce qu'il a créé comme dommages écologiques et sociaux. IL s'agirait donc de mettre en place un système dont l'empreinte écologique n'excéderait pas la capacité de la planète et permettrait à chacun de vivre dignement dans le respect de son environnement, du partage des richesses et dans un esprit de coopération plutôt que dans un esprit de compétition. Certes pour ces détracteurs il est facile de renvoyer les défenseurs du slogan de la décroissance dans leurs cavernes avec leurs bougies mais les objecteurs de croissance ont le mérite de poser les vraies problèmes. Les arguments ne sont certes pas suffisamment approfondis car cela demanderait une message beaucoup plus long mais je souhaite ouvrir le débat. J'attends vos réactions. Pour ceux qui veulent approfondir le sujet : http://www.monde-diplomatique.fr/2003/11/LATOUCHE/10651 http://www.ladecroissance.net/ http://www.decroissance.info/ http://www.decroissance.org/ http://ecorev.org/ http://www.paul-aries.fr/ http://www.lalignedhorizon.org/html/textes/sl/index.htm http://www.lalignedhorizon.org/html/textes/partant/index.htm Urgent: cherche Terre de secours pour 2030 Selon un rapport du WWF, l'empreinte écologique de l'humanité, qui évalue sa consommation de ressources naturelles, excède de 30% les capacités de la planète à se régénérer. Alarmant. Au rythme de sa consommation actuelle, l'humanité aura besoin de deux planètes au début de la décennie 2030 pour répondre à ses besoins, selon le Fonds mondial pour la nature (WWF). L'empreinte écologique de l'humanité, qui évalue sa consommation de ressources naturelles, excède désormais de 30% les capacités de la planète à se régénérer, annonce le WWF dans son rapport Planète vivante 2008. La pression de l'humanité sur la planète a plus que doublé au cours des 45 dernières années en raison de la croissance démographique et de l'augmentation de la consommation individuelle, explique le rapport. Cette surexploitation épuise les écosystèmes et les déchets s'accumulent dans l'air, la terre et l'eau. Du coup, la déforestation, la pénurie d'eau, le déclin de la biodiversité et le dérèglement climatique, provoqué par les émissions de gaz à effet de serre, «mettent de plus en plus en péril le bien-être et le développement de toutes les nations», explique le WWF. Qui estime qu'«il semble de plus en plus improbable d'atteindre l'objectif pourtant modeste visé par la Convention de Rio sur la diversité biologique de réduire l'érosion de la biodiversité mondiale d'ici 2010». L'Allemagne exemplaire, pas la France En 2005, l'empreinte écologique de la France excédait de 62% sa capacité par personne, selon le rapport du WWF. Cette empreinte a augmenté de 85% entre 1961 et 2005 pour atteindre 4,9 hectares globaux (terre et mer) par personne, alors que la biocapacité du pays est évaluée à 3 ha, souligne le WWF. Cette hausse brutale s'explique surtout par «l'empreinte carbone», c'est-à-dire la surface de planète nécessaire pour absorber les émissions de CO2 produites et par la surface occupée par le bâtiment et les infrastructures. Cette tendance à la hausse est observée de la même façon dans la plupart des pays de l'OCDE, qui regroupent grossièrement une Europe élargie: l'Espagne connaît ainsi une hausse continuelle de l'empreinte écologique par personne, devenue quatre fois supérieure aux capacités de sa nature. Les pays d'Europe du sud en général connaissent une évolution similaire. A l'inverse, l'Allemagne qui présente encore une empreinte relativement élevée (deux fois supérieure à sa biocapacité) réussit cependant à la faire diminuer de façon régulière depuis les années 1980, et ce bien que le PIB continue d'augmenter. Pour le WWF, ces informations «semblent montrer qu'il n'y a pas de fatalité et que dans une économie en croissance, un découplage entre PIB et consommation des ressources est possible. Il n'est plus acceptable aujourd"hui de justifier une augmentation d'empreinte écologique par personne sous prétexte d'une indispensable croissance économique». (Source AFP)

Salut J'ajouterai pour aller dans ton sens que défendre le sort des salariés sans perspectives de transformation sociale, sans finalement de regard politique peut amener à des dérives et des compromissions qui soutiennent les vélléités patronales. Le sujet des volontaires du fret est certainement le plus bel exemple : sous pretexte de faire preuve de réalisme économique, on en oublie totalement les valeurs de solidarité et on légitime la mise en concurrence des salariés et par la même on alimente la machine à casser les droits sociaux. Le réformisme n'a pas d'autre choix que de brader le progrès social et les solidarités. Par sa volonté de négocier à tout prix, il annihile le rapport de force et se met en position de faiblesse. Bonne journée Arnaud, ancien syndiqué réformiste.

Salut Euh merci pour l'analyse brillante de ton précédent mail lotrela J'en partage le point de vue et j'ajouterai que SUD, aussi contestable soit il pour certaines de ces stratégies (même si à terme il est probable que cela paie), reste à mon goût la seule OS qui ne renie pas ses convictions et qui ne fait pas de suivisme béat.

Salut Tu peux toujours demander à refuser ton statut et de signer à contrat au PS25

Le nombre de syndicats correspond aux différentes sensibilités que l'on pourrait confondre avec les différentes sensibilités de l'échiquier politique allant de l'extrême gauche au radicaux de gauche. Je ne parle de la partie droite et extrême droite car ces sensibilités sont représentés beaucoup plus par le medef. Cet échiquier n'est qu'une représentation rapide, ceci dit elle me permet de montrer que chaque syndicat avance ses stratégies en fonction de leur rapport au pouvoir et au système économique. Je ne partage pas du tout ton avis concernant le "n'importe que" de certains syndicats. Ils agissent en fonction de son rapport au pouvoir et de son acceptabilité du fonctionnement du système économique. A chacun de prendre position compte tenu de ses convictions. La difficulté est bien de déterminer un position entre letout accepter et le tout refuser. D'un côté tu accompagnes et tu perds ta crédibilité auprès des salariés, de l'autre tu es exclu du dialogue avec la direction et on te marginalise. Entre ces extrêmes, les luttes de pouvoirs et de divergences il est difficile d'exister, de satisfaire et de ne pas décevoir. Nous sommes dans une période sombre où nous défendons plus ce que nos anciens ont acquis que de militer pour obtenir d'autres avancées. Cet aspect des choses n'est pas négligeable et il ne faut pas attendre tout d'un syndicat surtout si ses militants ne veulent pas s'investir. Personnellement je pense qu'il ne faut rien attendre de la direction, si l'entreprise était un lieu démocratique cela se saurait et nous n'en serions pas là à discuter sur ce sujet. Or il n'y a pas plus antidémocratique que l'entreprise. Contentons nous déjà de faire vivre les syndicats qui vont rester après cette réforme du dialogue social mis en place par Sarko et acceptée par certaines OS. Cultivons aussi notre sens critique pour être capable de comprendre notre environnement et agir au plus prêt de nos convictions. Bonne journée Arnaud

Je considère qu'un syndicat ultra minoritaire a le droit d'exister tout simplement parce que la liberté d'expression est une base fondamentale de la démocratie. Un syndicat puissant ne signifie pas qu'il aura une stratégie qui lui permettra d'avancer dans ces luttes. Une fois encore tu oublies totalement le contexte politique, physionomique et économique de notre société (voir mon premier message). Et si la direction comme le gouvernement actuel ont des boulevards devant c'est avant tout parce que ces contextes environnementaux ne sont pas en faveur des salariés, l'histoire est telle qu'elle est. Dans les années 30, les gens étaient beaucoup plus politisés mais aussi beaucoup plus solidaires avec une conscience de classe. AUCUNE avancée sociale n'a été donnée sans lutte. Tant que chacun d'entre nous n'aura pas pris conscience que ses intérêts ne sont pas ceux des gens qui nous gouvernent, tant que nous aurons peur de perdre quelques pécules pour notre petit confort matériel, tant que nous nous contenterons que de l'information TF1 et consorts pour comprendre la réalité du monde et de notre environnement, tant que nous ferons du mimétiste en voulant une plus belle voiture que notre voisin alors nous perdrons encore et encore ce que nos ancêtres ont gagné par la lutte. Ca fait trente ans qu'on nous dit que la lutte des classes n'existe plus et qu'il n'y a aucune alternative, qu'on s'arrange pour que chacun reste chez soi dans sa belle maison en lotissement. Voilà comment on fabrique le consentement. Voilà à mon sens les vrais causes du problème que tu soulèves. Que tu considères le système archaique c'est ton droit mais le critiquer en étant incapable de démontrer pourquoi il l'est à part sa difficulté à obtenir des avancées quant à ses revendications, c'est un peu léger pour quelqu'un qui voit dans un nouveau syndicat la solution au problème. ALors mon gars que proposes tu en disant que c'est la seule chance de s'en sortir ? Quel syndicat tu proposes ? Je ne comprends pas où tu veux en venir. Bonne soirée

BOnjour, il y a plusieurs syndicats depuis des decennies avant même que ta petite graine ait été déposée. C'est oublier totalement l'histoire dans tes pseudo analyses. Toi qui souhaite créer un nouveau syndicat tu ne trouves pas cela contradictoire avec le fait que tu considères que le seuil de représentativité est une bonne chose ? C'est aussi couper court à toute tentative d'alternative aux syndicats majoritaires, dans ces conditions tu ne pourras jamais avec ton nouveau syndicat être représentatif. Relies un peu avant d'envoyer tes messages. Après cela c'est un peu difficile d'être crédible. Bonne journée

Ben wouais quoi j'ai juste eu une idée, je l'ai juste formulé mais compter pas sur moi pour contre argumenter vos réponses car je ne veux pas de débat ni de réflexion. En avancant ma piste j'ai juste essayé de faire avancer le débat. Refléchir un peu plus, oh non c'est pas pour moi c'est pour les autres du syndicat. Moi j'ai autre chose à faire (un agecif), ça m'évitera de m'investir dans mon syndicat pour le faire changer s'il faut et faire évoluer la politique de l'entreprise. Et puis de toute façon vous n'avez pas compris la profondeur de ma réflexion alors à quoi bon continuer. Sans blague c'est pas puéril ce genre de comportement? C'est sûr qu'avec des militants comme cela, on n'est pas sorti de l'auberge. Bonne journée et bon agecif (courage fuyons)

Tu peux toujours monter un syndicat anarcho syndicaliste CNT( cnt-f.org). Au vu de ton discours je me demande si tu as déjà pris ta carte quelque part et si tu as déjà milité. Va déjà voir dans un des syndicats qui correspond le mieux à tes convictions, investis toi et après tu pourras refaire le syndicalisme. Rien n'est simple et trouvez la bonne stratégie ne constitue pas à elle seule la solution aux problèmes. Le contexte économique, la physionomie de la société (individualisme, consumerisme, perte de repères politiques...) et le contexte politique national et international constituent des éléments à prendre en compte pour juger du rapport de force entre la classe dominante et la classe dominée. Aujourd'hui on peut constater que le rapport de force est largement en faveur de la classe dominante. Enfin pour terminer, je dirais que je trouve cela très bien que tu te revendiques "ouvrier". Certains ont totalement oubliés, à grand renfort de propagande, leur conscience de classe. Je suis persuadé que la pensée de Marx, Engels, Bakounine ou Proudhon, les premiers socialistes ont beaucoup d'avenir, encore faut il avoir envie de la réabiliter et ne surtout pas faire l'amalgame avec le communisme bureaucratique et autoritaire de Staline et consort. Bonne journée Arnaud

Et le capitalisme et son système d'exploitation des humains aussi. Comment peux tu dire en tant que TTMV qu'on coute plus cher ? Tu t'es fait endoctriner c'est évident.

Salut et merci pour cette excellente analyse qui donne à voir plus loin que le bout de son petit nez. Arnaud CRLP Toulouse

Bonjour Sauf qu'en produisant des fraises hors sol en Andalousie avec une armée de sans papiers qui a traversé le détroit et à coup de forte doses de persticides, on arrive à avoir de belles fraises sans goût qui démolissent leur environnement (baisse dractique des nappes fréatiques dans une région très aride, nappes polluées) sans compter le coût écologique de la moyenne des 3000 kilomètres que ces fraises vont parcourir en Europe. Autre aspect : le social avec une armée de sans papier qui trime pour pas grand chose et dans des conditions épouvantables. Résultat un prix défiant toute concurrence. Le même principe est appliqué pour la production d'autres légumes, pire encore l'excédent de production européen et notamment andalou est envoyé sur les marchés africains. Résultat au grand marché de Dakar, tu trouves des légumes trois fois moins cher que ceux produits localement par les paysans sénégalais. Ces derniers pourront travailler encore plus pour essayer d'obtenir un prix équivalent, ils n'y arriveront pas. Voilà comment le paysan sénégalais est amené à migrer en ville avec peu d'espoir de trouver du travail pour nourrir sa famille. Voilà pourquoi le désir de venir en europe est grand. Certains y arrivent d'autre crévent la faim. Cette description de la fabrique de la faim est facile à démontrer, on a tous à notre portée les informations pour le comprendre. Jean Ziegler dans son livre "l'empire de la honte" le démontre très bien. Quand à Vinces, excuses moi mais j'ai l'impression que tu n'as rien compris aux enjeux futurs concernant la souveraineté alimentaire sans parle de l'enjeu écologique. Les risques de famine sont très d'actualité et ce n'est plus une histoire des années 50. Les récentes émeutes de la faim en sont une très bonne illustration mais le pire est devant nous. Bonne journée Arnaud

Salut Cela t'étonne ? Plein d'adc ont autre chose àfaire que de pianoter sur internet, au boulot on n'a pas le temps de passer sur la borne internet si elle existe et à la maison il y a sans doute autre chose à faire. De plus consulter ce forum comme les autres n'avancent pas les négociations c'est surtout un beau simulacre de démocratie que nous propose la direction qui sous couvert de dialogue social lache les informations au compte goût. Mais elle sait exactement où elle veut aller. Quant aux OS, investis toi en te syndiquant et en militant et tu te rendras compte que les moyens d'agir sont très limités et la négociation sans rapport de force quasiment nulle. Bonne journée

Salut Je crois qu'on s'habitue à tout, d'ailleurs je me souviens que sur les 66400 le robinet H7A c'est le même système on serre en poussant et on dessert en tirant. Idem à l'époque sur les BB12000. Arnaud

Bonjour Ah je ne savais pas que c'était "une très grande partie de la population" qui avait décrété que conduire un train c'était simplement de suivre les rails. Un jour peut être alors "une très grande partie de la population" décrétera que tu n'auras plus de boulot car tu n'auras pu su vendre "ton concept de savoir faire". Ah quand les rumeurs gouverneront le monde !!! <Bonne journée Arnaud

Salut Si j'avais à choisir compte tenu de tes "contraintes" je choisirais Hendaye. Car St Jory c'est plus loin de BX surtout qu'il te faut passer par Te. Pour Limoges c'est pas top car tu feras du CRML en revanche Hendaye tu seras très souvent en RHR Bx. Arnaud

Bonjour Ah j'oublie j'ai completement oublié de répondre à tes questions. J'ai toujours un lave linge car si tu t'y intéresses un peu cela consommes beaucoup moins d'eau que le lavage à la main. Je n'ai plus qu'une voiture depuis que je me suis mis à 80 %, de plus j'habite dans une petite ville qui est très bien désservie par le train et j'ai aussi un super vélo pliant que j'emmène à chaque fois au boulot ( c'est pratique en RHR et en coupure). Le temps partiel me permet de travailler suffisamment pour payer les besoins de ma famille mais aussi de faire croitre des activités non prises en compte par le système et surtout plus conviviales. Concernant les vacances, je suis dans une région ou j'ai la mer, l'océan et la montagne très proches et qui sont également bien désservies en TC. Pour les voisins, effectivement on se voit régulièrement car le quartier est un vieux quartier médiéval où les voitures ne circulent pas ceci augmentant considérablement les rencontres. Et puis pour le bonnes bouffes au coin du feu on le fait effectivement avec les voisins, souvent des soirées à thèmes. J'ajoute également que toutes les générations sont représentées dans "ces veillées au coin du feu" et c'est un vrai régal. Pour terminer : ceci n'est absolument pas une caricature Bonne veillée

TU as au moins obtenu la dignité d'avoir lutté. Qui sait peut être que la grêve aurait permis des avancées... C'est toujours facile de se dire après coup que cela n'a servi à rien. L'histoire se fait dans le présent sans qu'on sache vraiment comment les choses vont tourner. Arnaud