likorn

Je ne comprends décidément pas ce verdict. Ce type, c'est surtout de soin dont il a besoin...

Oui, chez nous un chef de train à choisi cette fin, dans la gare où il avait été formé. Il était jeune marié et jeune père, sa femme est enceinte... C'est incompréhensible.

Il y'a de l'écho ici, et certains n'écoutez que le leur... Le code pénal français est sévère, c'est un constat. La France étant par ailleurs championne hors catégorie de la sévérité envers les mineurs et les drogués, les uns fourniront la main d'oeuvre, les autres les revenus. Parce que aller casser du caillou, c'est sympa, en plus il fait chaud là où on peut le faire et la plage est belle, mais ça n'apprend toujours pas à vivre en société, au mieux ça apprend la débrouille et ça permet de nouer les contacts avec ceux qu'il faut. Pour réduire la criminalité, il y a des pistes intéressantes - et qui fonctionnent ailleurs - qui se basent sur un conjugaisons d'actions et de plan: 1) Une relance de l'économie, les gens étant étonnement moins porté à sombrer dans la délinquance lorsque leur avenir n'est pas fait de CDD à court termes et mal rémunéré. 2) La lutte contre la stigmatisation et le communautarisme, et pour cela il faut une action à long terme de police, d'urbanisme et d'assistance sociale pour restaurer le sentiment de sécurité, casser les zones de non droit et de pauvreté et accompagner en amont ceux qui présentent des profils à risques, néanmoins tout ceci est en partie vain sans réalisation du point 1. 3) Mettre en place, en prison et dans les mesures de rétorsion en général, des moyens de formations et de suivi de manière à ce qu'une personne sortant de taule ne soit pas laissée seule dès la porte de sa Centrale. Cela existe, notamment en Suède, en Suisse ou en Allemagne et donne de bons résultats, néanmoins sans réalisation des points 1 et 2 cela est en partie vain. 4) Dépénaliser la consommation et la vente de stupéfiant (ce qui ne veut pas dire libéraliser...) de manière à couper un financement très important de la délinquance et à fermer sa porte d'entrée la plus courante (le deal, 1/4 des prisonniers); les consommateurs étant avant tout des malades qui nécessitent un suivi et un traitement en lieu et place de la prison et la vente devant être encadrée de manière à pouvoir mettre en place les liens, les conditions puis le traitement des patients tout en proposant des lieux sûr et des produits contrôlés (et même taxé pour partie) à ceux qui consomment tout en excluant la vente de rue ou par des personnes étrangères au corps médical. Cela se fait, au Portugal, en Espagne, en Suisse ou en Hollande et ceux qui posent problèmes dans ces pays sont ceux qui viennent faire du tourisme, pas les locaux. Évidemment, sans réalisation des points 1,2 et 3 tout ceci ne serait pas totalement efficace. 5) Assurer un fonctionnement de la justice et de ses moyens de suivi en n'économisant pas sur son dos (la France étant le 37ème pays d'Europe en terme de financement dans ce domaine, un joli score), disposer de force de police suffisante et d'auxiliaires sociaux en conséquence. Bien entendu, sans réalisation des points précédant ce serait en partie inutile. Je me réjoui d'écouter l'écho de ma voix.

La France dispose déjà d'un des codes pénaux les plus sévères d'Europe. Ça n'en fait de loin pas un pays sûr...

La drogue, la guerre, ou autrement? https://www.youtube.com/watch?v=o8Y2vr_tu6w C'est sur youtube. Et on fume plus on Hollande qu'en France, ma copine étant hollandaise je peux largement le confirmer.

Bah, on à l'habitude. Et comme même les syndicats proposent de bosser plus, pour le même salaire... (En même temps, il faut admettre qu'on est privilégié. Alors voila, le choix est simple: soit on bosse, soit on ne bosse plus).

J'ai le président du VSLF à côté, qui prend son café avant de rentrer à Zurich. Quand je lui demande le prix, il me dit "Je comprends pas" et en secouant la tête d'un air désolé. Huhuhuhu.

Il existe l'Eem 923, qui développe 2000 ch. en mode électrique, et 400 en diesel. Et qui pèse 41tonnes...

Ou ai-je parlé de dégradation? Je disais juste qu'on hésitait beaucoup moins à quitter son conjoint si celui-ci devenait déplaisant. Je pense même que cela peut largement améliorer ladite qualité de vie, ce qui s'appelait une mésalliance étant vouée à la séparation. Par contre, même dans le cas où deux personnes se sont bien trouvées, l'équilibre reste délicat.

Rigolo, y a plein de congères partout. Il ne neige plus depuis deux jours mais y a 20-30cm sur beaucoup de route. Et évidemment pas mal de tôles froissées... Un peu de bise, et le monde ne tourne plus rond!

Oui, mais aimer c'est justement et aussi savoir faire des concessions. Dans un monde où le ne te parle que d'épanouissement personnel, c'est pas simple à saisir. Et en même temps, il est difficile d'accepter ces concessions si on est seul à les faire, ou simplement si elles nous coûtent. L'amour, ce n'est pas non plus un sacrifice. Alors lorsqu'au crépuscule de la vie ça tient toujours le coup, ça mérite d'être relevé parce que selon moi, l'amour durable (qui ne tient pas à coups d'obligation morale) est plus l'exception que la règle.

Oui. -Le fait que de nombreux rapports eurent été écrit pour signaler la dangerosité du lieu. -Le fait que plusieurs départs sur signal fermées se produisirent. -Le fait que l'on supprima les boucles de sécurité initiales (autorisation de départ) sans les remplacer (aucun système de sécurité), ou à peine en ajoutant un seul signal qui est éteint lorsqu'il annonce un signal fermé. -Le fait que le signal de sortie s'ouvrait toujours après l'arrêt en gare (PN lié à l'enclenchement). -Le fait que l'horaire prévoyait un départ avant l'arrivée officielle du train croiseur. Tout ceci est légal et correspond aux normes fédérales. Si déjà ce devrait être l'OFT, l'État, qui devrait s'expliquer. Autant dire que ceci n'arrivera jamais. La loi dit que le mécano est responsable; aussi connaissant notre Justice (qui n'y peut rien, elle applique), il sera condamné, légérement et avec du sursis car il sera tenu compte de ce qui précède, et tout le monde sera content...

Eviter la fin de l'Union Européenne, redonner une cohésion à ses peuples à un moment où ils se sentent menacés, attaqués, privés d'espoir et prêt à se jeter dans les bras d'idéologies ayant conduite aux raisons (la guerre puis la guerre froide) de la conclusion de cet accord ne te semble pas un argument géostratégique suffisant et comparable? Non je dis ça parce que c'est le manque de cohésion sociale qui mena à l’avènement du national-socialisme, le terme national-socialisme s'entendant par opposition au socialisme universaliste qui aura son heure de gloire après guerre. À l'origine le national-socialisme n'est jamais qu'une utopie égalitaire proche de ce qu'est le socialisme universaliste, à ceci près que dans le premier la Nation est vu comme un corps fermé, immuable et naturellement établi (presque clanique) alors que le socialisme universaliste voit en la Nation un espace défini non pas par l'origine de ses habitants mais uniquement de part son territoire (la zone d'application d'une vision). Le national-socialisme hitlérien n'est ainsi jamais que l'extrême de cette vision de la Nation en un corps immuable et historiquement formé, pas si loin de ce que l'on entend si fort aujourd'hui. Et même sans extermination, ceci mène toujours à la guerre car l'égalité limitée à une seule Nation se fait toujours au dépend des autres.

Les CFF échappent à un procès

Euh... Attends, si on ne peut parler que boulot dans ce forum autant fermer toutes ses sous-catégories, comme "Annonces permutants" et autres "Privé SNCF" qui n'ont rien à voir avec le chemin de fer, mais avec une entreprise. Et fermons aussi tous ces sujets politiques, traitant de défaisante ou de Charlie, parce que franchement le boulot c'est tellement plus sain que ces ergotages sans lendemain. Au final, que fous-je sur ce forum, moi qui ne bosse même pas à la SNCF? Je ne sais pas, je dois être con mais que dans la section blabla certains viennent partager leurs pensées du moment, leurs états d'âme ou leur joie, je trouve que c'est plutôt bien; en tous cas pas mal. C'est aussi ça Internet, comme le café du commerce, comme le local de pause, discuter de tout et de rien. Bref, Je ne crois pas que l'Amour avec un immense A existe comme on le rêve dans nos contes d'enfance, l'amour est composé de plein de choses: passion, confiance, estime, habitude, soutient; tous ces mots peuvent selon les cas et les individus être valable dans la définition de ce mot si compliqué. Ainsi la fidélité n'a aucun sens sans respect, et le respect ne rime pas forcément avec fidélité. Dès lors j'ai autant de respect et d'admiration pour l'amour de deux être restés mariés pendant 50 ans que deux libertins qui vivent leur petite histoire différemment mais selon leurs envies, tant qu'ils y trouvent leur compte et que, dans un cas comme dans l'autre, aucun n'ai dû faire le sacrifice de soi pour une illusion. C'est très difficile d'être en accord entre deux personnes qui s'aiment, car chacun change, ce qui semblait évident hier ne l'est plus forcément le lendemain et parfois, souvent, les chemins se séparent car plus personne ne souhaite emprunter celui de l'autre. C'est chiant, mais il y a un tas de croisement et quelques fois, à ceux-ci, d'autres prêt à faire un bout de route, plus ou moins long, en notre compagnie. Alors, il faut en profiter quand c'est le cas, sachant que tout peut rapidement basculer de l'amour à la haine, devenant une sorte de comptabilité des erreurs de chacun en une note finale qui peut être salée, en une rancune vengeresse face à ce qui aurait pu être mais n'a pas eu lieu. Mais au fond je dois être traditionaliste malgré tout, je ne fais jamais rimer amour avec bonheur.

Tu sais le nombre d'ancien de la Légion qui finirent plus ou moins mal? Ou même que Mesrine avait fait son service, et plutôt bien. Non pour l'avoir fait, et le faire encore, le service n'apporte en soi pas grand chose. Ceux qui ne veulent pas, ou ceux qui ne se sentent pas concernés, ne changeront pas en son sein. Parce que vouloir reformer une sorte d'esprit de corps, inculquer le sens du devoir et de la discipline au travers du service, ça vaudrait dire: -retour à un certain autoritarisme moral. -changement complet de l'Education. -modification en profondeur de la société, avec notamment l'abandon partiel de l'individualisme si cher au comsumérisme et au capitalisme. Si on ne rétablit que le service, sans repenser le reste, ça ne servira qu'à apprendre le maniement des armes à des gens qui ne devraient pas l'apprendre ou qui sont trop individualistes pour en faire un usage acceptable dans une société en paix. Sans oublier qu'à l'armée j'ai surtout appris à me faire oublier pour en foutre le moins possible, l'air de rien.

Après avoir changé de bout, me voici sous le carré avec l'agent d'escale de Bellegarde qui attend à côté de moi, sur le quai. Etant arrivé après mon heure de départ, je suis totalement hors de mon sillon de retour ce qui n'est pas sans causer quelques soucis en ces heures de fort trafic. Le seul avantage, c'est que dans le sens Bellegarde-Genève, il n'y a presque personne et que les rares passagers souhaitant faire ce trajet on pris un TER (à l'heure, lui) de la SNCF. Derrière moi, il n'y a qu'une donc qu'une infortunée passagère. -Bon alors la trottinette est prête à remonter, tu penses l'envoyer quand? demande l'escale. -...Euh...Alors demande lui de m'appeler pour une divagation de bestiaux. L'agent me regarde, ne sachant pas trop comment interpréter mon regard mélangeant haine, désespoir et fatalisme. "Aucun collègue ne me croira jamais... Seul L réussissait à avoir autant de merde sur un seul train!" finis-je par articuler. La dictée est simple, et je connais suffisamment bien la ligne pour me rendre compte que les animaux annoncés doivent être à hauteur de l'avant-dernière ferme avant la frontière, celle située à gauche près de la zone à huitante kilomètres à l'heure. Et puis bon, j'ai une marche prudente mais les animaux pourraient avoir foutu le camp d'ici là. Le carré s'ouvre, je dégage, emprunte le tunnel et me retrouve évidemment arrêté au sémaphore de sortie du Longeray. De sa tour, l’aiguilleur m'annonce que le train précédant a confirmé la présence de mouton sur les voies mais qu'il est reparti. Quelques minutes plus tard, en effet, le signal passe au vert et me voila reparti en direction de la fin de mon odyssée. Russin avalé, je me mets en devoir de respecter mon ordre de marche prudente en arrivant dans la zone concernée. Rien. Rien de rien du tout. Pas l'ombre d'un pet de bestiau. Arrivé en fin de zone, je suis un peu dubitatif, ne rien voir ne me rassure absolument pas et je décide de maintenir mon allure réduite, parce que le fait que le troupeau disparaisse ne me semble pas plausible en dehors de tout avis de tournage d'un film fantastique ou de science-fiction. Et 500 mètres plus loin, après la première courbe amenant à la Plaine, les voila. Une bonne trentaine de moutons, bêlant sur les voies et solidement décidés à ne pas lâcher leur nouvel eldorado. Coups de sifflet, grands-phares, hurlement et avancées au pas ne produisent pas d'autres effets que de les faire progresser dans la file des rails, les idiots. Aussi, je m'arrête définitivement, appelle La Plaine et lui demande l'interruption de l'autre voie - que j'obtiens - puis sors de ma cabine. Dans mon train, j'informe la seule et au final amusée passagère avant de descendre du convoi, armé de mon drapeau rouge de mécanicien-berger, et me mets en devoir de repousser les moutons sur le côté. Après une amusante scène où l'on vit un type habillé d'orange gesticulant en maniant un drapeau déployé et subissant de fait un cours de gardien de troupeau accéléré, les bêtes finirent par quitter le plateau de tournage du film comique dans lequel personne ne m'avait dit que je jouais. Retourné en cabine, j'annonçais alors à La Plaine que je me remettais en marche, que l'interdiction pouvait être levée et que j'en avais plein les baguettes. À mon grand désespoir, le chef-circulation m'annonça: -Oui bon alors je te prends sur la 1 occupée dès que le TGV t'auras croisé et que la navette sera rentrée à la suite, tu es supprimé de toute façons. Une fois sur la une tu vides ta rame et mets tes passagers dans la navette en tête côté Genève et tu toi vas me chercher la Bem que tu m'as abandonnée sur la 14, ça t'apprendra à foutre le bronx. -Et gnangnangnan... Compris! Après m'être remis en marche jusqu'au signal d'entrée de La Plaine puis avoir attendu d'autres inexorables minutes, voici le rouge-clignotant se présenter et m'autoriser à rentrer sur voie une. Arrêté, mon train promptement vidé, me voila repartant sur la 14 sachant d'avance que l'attelage allait être au moins compliqué à effectuer. Il le fût, d'ailleurs, mais moins que craint au début et quelques écorchures de plus ainsi qu'un bricolage avec une branche pour maintenir le crochet dans l'axe me permirent enfin de reprendre la marche en direction de Genève, à 50 km/h de nouveau, traînant derrière moi la cause de mes ennuis qui à d'autres occasions fit encore parler d'elle. Cette fois néanmoins fut la bonne, et arrivé sur la voie 7 de Genève j'eu le très grand plaisir de voir un mécanicien de manœuvre me relever pour le remisage et la feuille m’appeler pour m'annoncer qu'il était temps de m'en retourner chez moi, le reste de mon tour ayant été remis à la réserve. Heureux, regardant ma montre, je constatais que mon périple avait durée moins de trois heures et que j'allais arriver chez moi bien en avance.

Tiens ça me rappelle cette fois où une agression avait eu lieu dans mon train, sur deux jeunes filles. Immobilisé en gare, la police faisait face à une bande de jeune qui avait l'envie d'emmerder l'autorité dans le sous-voie, les deux auteurs de l'agression étant menottés à un banc sur le quai pendant que mes passagères ébranlées attendaient au chaud dans ma cabine et que je discutais avec quelques passagers à l'avant du train. Il devait être trois heures du matin, et l'attente totale devait atteindre les deux heures trente au final. Sur le marche-pied de la porte, avec mes passagers patients mais fatigués, nous parlions de choses et d'autres en ironisant sur ce qui arrivait et cette situation assez ubuesque. Et là, une dame bien habillée, avec un accent français* largement perceptible, vint s'adresser à moi et mon gilet orange en m'accusant - en substance - d'être un parasite qui faisait exprès de la retenir ici alors que son avion bien a elle allait décoller sans l'attendre. Il y a eu une petite seconde de blanc, les dix passagers avec qui je discutais (et qui m'avait offert une cigarette au passage) étant largement ébahi devant une telle ahurie. "Je me permets de vous rappeler qu'ici vous êtes dans notre jardin, madame, et que dans notre jardin les convives se respectent; aussi l'une des invitées venant de subir un préjudice, on arrête la fête pour lui prêter secours". Ça l'avait un peu refroidie cette sortie venant d'un de mes voyageurs bien en verve. Elle était repartie en grommelant des injures devant nos sourires non-contenus. J’espère qu'elle n'est jamais revenue. *L'accent français étant, de manière générale, un accent d'outre-jura autre que l'accent marseillais.

Oui. Et comme c'est quand même moi le responsable, je refuserai. J'ai déjà refusé mon chef alors bon un ABL... Ah oui, et posez des questions sur le fonctionnement du frein automatique. C'est la catastrophe à ce niveau, et ça vient de faire des cas de signaux ainsi que des mises en danger.

Oui, et il faut un "chasseur de tête" pour savoir qui fini, et proposer juste ce qu'il faut de mieux (à tout hasard, le lieu d'affectation, ou l'horaire théorique, ou encore les perspectives d'évolution). Facile

C'est amusant, y a cinq minutes je lisais justement les résultats. Édit Enfin, le pronostique des résultats...

Je vois qu'en 2012 déjà - comme le relèva ADC01 d'ailleurs - le dogme de la pensée unique écrasait les voix dissidentes de toute sa masse. Ah tyrannie! Tu étais donc déjà en place en ces temps vantés comme étant meilleurs, façonnant l'âme humaine afin d'imposer au Peuple opprimé ton point de vue inique et obscurantiste. Mais un jour, l'Homme relèvera la tête et dressera son poing avant de se mettre en marche, uni et fraternel, contre ce pouvoir qui l'opprime. Ce jours-là, le terme liberté sera repris en cœur par des millions de personnes qui retrouveront leur dignité et pourront enfin dire tout haut ce que les puissants ne veulent pas entendre: on met les couteaux la pointe en bas, et les fourchettes tournées vers le haut!

C'est moi ou y a encore des serres-freins? En tous cas c'est intéressant, comment cela ce fait-il que ce pays sous dictature et pourvoyeur d'un nombre impressionnant de réfugiés réouvre son unique ligne ferroviaire?

Dans les situations amusantes sur voie de droite, il y a notre entrée sur la NBS depuis Soleure. La particularité de la ligne c'est - bien que l'on roule en signalisation cabine - d'avoir des signaux extérieurs pour les situations perturbées, mais uniquement voie de gauche. Et du coups, si on te prend à droite, le dernier signal avant le sens-contraire présente un bel avertissement que tu franchis à 200km, tout à voie libre sur le Cab Signal... Toujours heureux de voir l'aiguille menant bien à droite après ça, moi.

Entre 300 et 1'000.- selon le mois et le nombre de tour du soir. 0 en vacances ;)