Cyril83

Très belles photos. Ces voitures n'auraient-elles pas pu être réutilisées sur des trains spéciaux ? Les espaces fait pour discuter à plusieurs (6 ou 8) ont l'air bien agréables, mais n'ont de réelle utilité que si l'on voyage réellement à plusieurs. Même chose pour les espaces à 6 sur les Téoz : j'aimerais bien connaître la part des voyageurs qui sont placés là parce qu'ils voyagent à 5 ou 6 et de ceux qui sont placés là (par exemple à la place du milieu où l'on n'est ni près de la fenêtre, ni près du couloir, et où on ne peut pas allonger ses jambes) parce qu'il n'y a pas d'autre place disponible dans le train.

Il n'y aurait pas de protestations du tout : au contraire, ils manifesteraient pour demander à ce que ce soit construit plus vite...

Apparemment la photo est ancienne (présence de la 2D2), ces oeuvres d'art ont peut-être également disparu depuis...

ça ressemblerait bien au sol de la plate-forme bleue...

Les remontées de topics d'il y a quelques mois ou années, c'est comme les signaux d'alarme : 99 % ne sont pas justifiées...

Et pour être encore plus précis, le remboursement en cash est une obligation légale (25 ou 50 % du montant du voyage selon la durée du retard), le remboursement (à un taux supérieur, 33 ou 66 %) en "bon voyage" est un geste commercial.

Massy TGV ? EDIT : Ce n'est pas Massy. Une autre gare TGV ?

Et on trouve aussi des clés de berne proposées à la vente...

Oui effectivement. Je m'en souvenais vaguement et j'ai essayé de la retrouver avec Google, mais je n'ai pas dû utiliser les bons mots clés... Merci !

Trois enfants racontent ce que font leurs pères respectifs : Le premier : "Moi, mon papa, il est champion de Formule 1. C'est l'homme le plus rapide du monde !" Le deuxième : "Eh bien le mien, il est plus rapide car il est pilote de chasse." Le troisième : "Mon père est encore plus rapide, car il travaille à la SNCF : il termine de travailler à 16 heures, mais à 15 heures 30 il est déjà rentré à la maison !"

Trois anciens amis se retrouvent et racontent ce qu'ils sont devenus. Le premier dit : "Ben moi, j'ai repris la petite épicerie de mon père. Je l'ai développée et ça marche pas trop mal. C'est pas encore Carrefour mais c'est une belle épicerie." "Eh bien moi, dit le second, j'ai repris la petite quincaillerie de mon père. Je l'ai développée et j'en suis très content. C'est pas encore Castorama mais c'est une belle quincaillerie." "Eh bien moi, fait le troisième, vous vous rappelez certainement que mon père était maquereau et qu'il faisait travailler plusieurs filles sur le trottoir. J'ai repris l'affaire et je l'ai développée. C'est pas encore la SNCF, mais c'est un beau bordel quand même !"

C'est vrai qu'il y aussi les vélorails, qui de plus doivent pouvoir rouler même sur une voie complètement défoncée ? Par contre, la longueur de voie utilisée reste limitée...

ça fait toujours mal au coeur de voir disparaître des lignes, mais la voie verte me semble quand même un moindre mal (par rapport à une revente à la découpe avec réutilisation des tunnels en cave à fromage ou autre) : - Si RFF reste propriétaire des emprises, cela permet éventuellement de les récupérer le jour où une exploitation commerciale redeviendra économique viable. Ça paraît assez hypothétique aujourd'hui, mais qui sait quel sera le coût comparé des transports routiers et ferroviaires dans quelques dizaines d'années ? - La voie verte permet aussi de découvrir un patrimoine aujourd'hui inaccessible ou presque (voie abandonnée depuis des années et envahie par les ronces). Je ne suis pas tout à fait d'accord avec l'argument sur l'absence de retombées : ça amène des touristes (des "bobos parisiens" si vous voulez, mais pas seulement, et puis quel commerce irait refuser des clients dans une zone rurale guère menacée par la surpopulation ?). Pour le cas de la ligne Cahors - Capdenac, ce serait bien dommage qu'une exploitation touristique ne puisse pas se faire malgré les bonnes volontés. Mais de manière plus générale, toutes les anciennes lignes n'ont sans doute pas vocation à être parcourue par un train touristique économiquement viable.

Accessibles à toutes les EF, mais sont-ils pour autant publics ?

Déjà vécu sur un X TER... c'est assez épouvantable en effet.

Y a-t-il une raison particulière à la radiation de la rame 61 ? Avarie sur cette rame et/ou besoin de pièces ?

Dans le Morvan ?

Quand on voit ce que cela donne au sol dans les gares terminus... je crois que cela a déjà été évoqué sur un autre fil. Quelle mauvaise image de la SNCF cela doit donner ! Est-ce que l'explication n'est pas aussi qu'en dehors des Corail+, la plupart des Corail avaient déjà été transférées aux régions pour les TER (en faisant éventuellement l'objet d'une rénovation à cette occasion) ? Il y a un peu moins d'une dizaine d'années, restait-il beaucoup de Corail oranges et celles-ci faisaient-elles encore partie du parc GL ?

C'est vrai que c'est insupportable ce discours populiste sur les "voyageurs pris en otage". Qu'en pensent les vrais otages ? On peut penser qu'ils seraient très heureux d'être bloqués même une semaine complète dans un TGV, au lieu d'être là où ils sont.

Je sais bien, je me mettais à la place du Figaro ! Mais c'est une remarque que j'entends souvent, et qui est particulièrement absurde dans le cas de personnes qui sont sur les voies non pas parce que les voies ne sont pas clôturées, mais parce qu'elles sont descendues du train... Et pour les sabotages, quitte à poser des obstacles sur les rails, je ne vois pas pourquoi les saboteurs ne couperaient pas les clôtures.

De toute manière, et sauf erreur de ma part, les parents (ou le tuteur) sont civilement responsables des actes commis par leurs enfants. Et pour autant que je sache, ce n'est pas une nouveauté et encore moins une disposition instaurée par Sarko ! Un mineur peut passer devant le tribunal pour enfants, mais sur le plan civil (dommages-intérêts), ce sont les parents qui sont responsables. Ce sont d'ailleurs les mieux placés pour surveiller leurs enfants, même si je conçois bien que ce n'est pas facile d'être derrière ses enfants en permanence, et si ça ne doit pas être drôle de se retrouver dans une telle situation. Mais la justice et la morale sont deux choses différentes. Et après, le Figaro peut dénoncer ces retards, semer le doute sur la réalité des raisons invoquées (est-ce que des fois, la SNCF n'invoquerait pas des actes de malveillance pour dissimuler une grève, hein ?), et puis tout mettre sur le compte de la SNCF, puisqu'actes de malveillance ou pas, elle n'a qu'à mettre des milliers de kilomètres de clôture au bord des voies (qui ne lui appartiennent pas !), pas vrai ?

C'est vrai que le motif du procès semble un peu dérisoire, mais pour ma part je comprends parfaitement cet avocat : moi-même, j'ai toujours cru que cette mention était une simple recommandation qui n'empêchait pas d'accéder au train les deux dernières minutes avant le départ. Il faudrait que les choses soient dites clairement, comme c'est le cas pour les avions.

Même si le train ne déraille pas, ce genre de sabotage (appelons les choses par leur nom), ça peut faire de sérieux dégâts sur les roues, non ?

Ah je suis pas d'accord, je l'avais déjà proposée cette idée (enfin j'étais peut-être pas le premier non plus...) ! Le premier problème que cela pose est que les MI 84 de la ligne A appartiennent tous à la RATP. Il me semble par ailleurs avoir lu que les capacités des MI 84 et de la NAT ne sont pas du tout les mêmes : beaucoup plus de places assises dans la NAT que dans le MI 84, ce qui rend le MI 84 adapté pour une desserte telle que le RER A, mais pas pour un service de grande banlieue. Enfin évidemment, entre un matériel pas adapté et qui fonctionne et un matériel adapté qui reste bloqué à quai...

Cas de figure qui a d'ailleurs déjà dû se produire, cf. les mésaventures du mari de la célèbre Mme Sarfati : http://www.youtube.c...h?v=ucLjN9F5PUE Encore la faute des cheminots toujours en grève...