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tu remarqueras que peu de français sont aller participer aux opérations de récupération des corps du vol MH, lâchement abattu par un nazi-russe avîné qui essayait le nouveau lance-missile que wladimir lui avait offert, et qu'il avait dans son sac à dos. elle est belle la patrie des droits de l'homme...

ce n'est pas le carbone qui nous tuera.... pourtant nos grands penseurs ont tout indexé sur le carbone.

je tente la marne (sur un malentendu ça peut marner)

Vous avez des locs équipées d'un minitel ?

L'unanimité sur le sujet se résume plutôt ainsi : les médias français racontent beaucoup de carabistouilles, sur ordre.

Il reste tout de même que pour recruter 5300 personnes, il faut en convoquer en entretien beaucoup plus.

Pire que Langres, je ne vois que la moselle

Ils font leur transport par camion, ça n'augure rien de bon pour l'europe ferroviaire.

Un peu d'arithmétique: 5300 embauches à assurer Si on convoque 5300 candidats, on est obligé de tous les embaucher, il n'y a même pas besoin de faire une sélection... Et on doit leur donner tout ce qu'ils exigent sinon ils partent à la concurrence. Si on convoque 10600 candidats, ça veut dire qu'on est obligé d'en embaucher 1 sur 2, quoi qu'il arrive. Donc on va en convoquer plus pour se donner plus de chances d'avoir des candidats qui correspondent à nos critères et en même temps pour éviter qu'ils se sachent les rois du pétrole. Disons 4 fois, donc 21200. Mais sur les 21200, il y en a qui d'eux-mêmes abandonneront car ça ne leur plaît pas ou qu'ils ont trouvé mieux ailleurs, alors qu'ils correspondaient aux critères.... Donc on multiplie encore par 2 : 42400 candidats à convoquer au minimum pour faire un bon recrutement de 5300 postes. 1 sur 8 sera embauché, le rapport de force reste en faveur des RH, ouf. Heureusement que le panel de candidatures est suffisant, mais pas si énorme finalement car sur les 80000 il doit déja y en avoir un bon paquet qui ne sont pas recevables sur les prérequis du cv et les diplômes....

je me demande seulement pourquoi tu dis que je me mets le doigt dans l'oeil en comparant des process de recrutement d'entreprises différentes, alors que toi-même tu ne connais qu'une seule entreprise. Mais bref, c'est pas très important, chacun son point de vue.

Et ça consiste en quoi la formation de ces JC DPX ?

Déja que ça fait 13 ans qu'on attend les videos du crash dans le pentagone, filmé par 88 caméras.... On n'est pas prêt de voir les trucs qui datent de 2014.

collecter les agrès disponibles sur les autres postes et les regrouper

Il y a plusieurs façons de revenir de Pontoise, ligne H, ligne J, ligne C,....

C'est ton avis perso. D'un autre côté, as-tu une bonne connaissance de ce qui se passe hors-sncf, pour avoir une base de comparaison ? Là-dessus on est parfaitement d'accord, un niveau bac+5 doit au minimum comprendre ces principes, prendre l'initiative de se renseigner, et de mettre à jour ses vagues connaissances dans un domaine. (S'il n'en est pas capable, alors qu'il continue vers un bac+8 dans la recherche)

Au-delà de la porte d'orléans, c'est déja l'inconnu, alors Ussel....

Je connais bien le monde du recrutement (actuel) pour les cadres-ingénieurs, et le profil des jeunes embauchés, un peu à la sncf et beaucoup ailleurs. Je pourrais quasiment écrire une thèse là-dessus. D'ailleurs ça touche un peu mon domaine d'activité, je fais dans le lien social entre les organisations développement et production dans l'industrie. Un comportement-type largement analysé dans un processus de recrutement dans une entreprise A se transpose facilement au même comportement-type dans une entreprise B. On peut même en déduire la formation initiale du recruteur. Alors je ne crois pas que la sncf soit exclue de ce schéma, surtout depuis les dernières années.

Ca pourrait expliquer que des gens au bout du rouleau soient affectés au bureau de la feuille ?

"se remettre en cause". Moi je dirais plutôt "comprendre les subtilités du recrutement". Car dans 18 mois on risque de lui dire "vous avez travaillé ailleurs pendant 18 mois, ça veut dire que votre priorité n'était pas la sncf, et ça n'indique pas une grande motivation".

Le processus a besoin de ratisser large pour pondre quelques candidats, c'est le principe de l'entonnoir (parfois posé sur la tête). La sncf n'est pas une pauvre victime submergée de candidatures de "bons à rien" à écarter, il ne faut pas exagérer. D'ailleurs, 80000 candidatures pour un effectif d'environ 150000 têtes (statut et contrat), c'est plutôt moins que d'autres grandes entreprises : EDF, Total, Google, Microsoft...

Pas des Trommel, des Ludmilla. C'est pas tout à fait pareil, même si ça vient des ruskofs.

Ce n'est pas Tron mais Kron le patron. Et il saura se consoler avec une petite PFA de derrière les fagots. http://www.leparisien.fr/economie/alstom-la-cgt-fustige-prime-de-noel-a-4-millions-d-euros-du-pdg-18-12-2014-4385085.php

Encombrer les réseaux de recrutement ? Impossible. Tu veux dire éventuellement prendre la place d'un autre candidat aux entretiens de sélection, peut-être. Coût pour l'entreprise ? Avant oui, car il fallait envoyer les candidatures papier à la broyeuse, ça nécessitait un camion. Mais avec le tout-numérique un logiciel fait le ménage gratuitement chaque jour. Les candidats non-retenus sont blacklistés pendant 18 mois ? Peut-être, mais c'est entièrement informatique (et tant pis pour les candidats homonymes, l'ordinateur ne fait pas la différence). Un indice : demander des nouvelles d'une candidature 4 mois plus tard, le rh est incapable d'y avoir accès. Mieux encore : rencontrer un chargé de recrutement en janvier, puis le rencontrer à nouveau en avril et lui demander si il se souvient nous avoir déja vu quelque part....

Je remonte ce fil, car j'aimerais savoir comment a évolué crowax. Est-il à une qualif supérieure ? Et accessoirement, comment se définissent les périmètres d'activités entre des cadres "moyens" avec une bonne ancienneté, ou des cadres sup recruté du civil avec de l'expérience ? Est-ce que les cadres sup occupent des postes complètement inaccessibles en progression interne ?

Bon, je vais aller un peu au-delà de la réponse des ch'minots qui semblent trouver ça naturel. J'ai une bonne expérience des processus de recrutement, dans divers domaine, et quelques entretiens dans le passé chez sncf. La sncf est l'un des rares domaines où il ne faut surtout pas montrer une passion réelle et ancienne. Les plus malins annoncent une petite passion découverte la veille au soir, juste pour montrer qu'ils veulent faire mieux que les autres, pas plus. Cette particularité n'est pas enseignée dans les écoles d'ingénieurs, où on apprend généralement qu'il faut se montrer très motivé, avoir beaucoup potassé avant l'entretien pour connaître l'organisation de l'entreprise, citer les marchés, le chiffre d'affaires, les technologies, etc.... Là non. Il vaut mieux arriver tel un américain qui découvre paris. Il y a derrière ça une volonté de rompre avec le passé de l'entreprise, et d'avoir sous la main des cadres bien malléables qui feront ce qu'on leur dit de faire, sans s'inquiéter des réalités du terrain. Finalement, il y a une logique, car un vrai passionné depuis l'enfance serait certainement rapidement dégoûté en y entrant. Dans le domaine aéronautique ou l'automobile, c'est plutôt l'inverse, il convient d'être sérieusement passionné pour continuer le processus de recrutement, quitte parfois à en faire trop. On peut aussi jouer la découverte, mais ça sera pour des postes très subalternes et sans espoir de progression rapide.