E.T.G.

Rame Réseau à Lyon-Perrache (69) en octobre 1997.

En janvier 1998 au dépôt de Tours-Saint-Pierre (37), tandis que les X72515/6 et X4391-XR8610 dorment, une Z9600 de Rennes en découcher, reconnaissable à son blason (en l'occurrence "Pays de la Loire") par opposition aux Z7300 locales dont aucune n'en possédait, se réveille pour assurer sa journée de service. A droite, nous apercevons une des toutes dernières Z5100, série en service plus pour très longtemps. Notons que l'affectation des Z9600 utilisées sur l'Ouest avait été envisagée à Tours-Saint-Pierre, parce qu'il avait déjà des Z7300, solution finalement écartée car les installations ne permettraient pas d'accueillir ce surplus d'éléments sans devoir agrandir l'atelier et donc faire face à des dépenses importantes, tandis qu'en plus les roulements envisagés conduisaient à des pas de rentrées au dépôt trop longs. Les deux principales radiales de Bretagne devant être électrifiées quelques petites années après, la gestion d'automotrices par Rennes, qui était initialement en balance avec Tours-Saint-Pierre, ne s'en trouvait que confortée et devenait complètement pertinente grâce à sa position plus centrale par rapport au rayon d'action envisagé de ses éléments (certains documents* faisant même état d'affectation de Z6300 transfuges de la région parisienne), le fait que les installations venant d'être adaptées à la traction électrique (accueil de BB22200 et 25200) étant en outre mis en exergue. Pour autant, une fois ces deux grandes radiales de Bretagne électrifiées, le nombre de Z2 ne sera augmenté que de deux unités par prélèvement sur les effectifs de Vénissieux et les autorails et éléments automoteurs de Rennes connaîtront toujours une utilisation soutenue sous caténaires, faute d'avoir passé une commande envisagée de Z11500 à ce titre. Commande pour laquelle il était dit qu'elle devait en plus permettre par décalage de libérer des éléments bicourants, toujours plus utiles ailleurs, en ne gardant parmi eux que l'effectif nécessaire pour couvrir les trains touchant Le Mans et Tours (on envisageait d'ailleurs de réutiliser certains de ces éléments sur Poitiers - La Rochelle (leur mutation probable à ce moment-là à Tours-Saint-Pierre, qui pouvait en récupérer quelques-uns seulement pour les rapprocher de cette zone d'action n'étant d'ailleurs pas précisée) tandis que les autres auraient sans doute servi pour accroître le rayon d'action de Vénissieux en direction de la Franche-Comté et l'Alsace(la section Belfort - Besançon a souvent été la variable d'ajustement pour l'utilisation des éléments de Thionville et ceux bicourants de Vénissieux), permettant à son tour l'accroissement des prestations des Z11500 de Thionville sur la Lorraine, au détriment d'E.A.D. circulant sous caténaires. *ensemble de documents émanant du centre des archives historiques du Mans.

En décembre 1997, la CC6578, depuis peu ex 21004, quitte la gare de Lyon-Perrache (69) en tête d'une rame de voitures Corail.

L'élément X4585-XR8376 est en tête d'une U.M. rentrant au dépôt de Saint-Roch alors qu'il quitte la gare de Nice-Ville (06) en septembre 1996. C'est justement à bord d'une U.M. que nous continuons de parcourir cette très belle ligne Nice - Coni avec en première photo de paysage la traversée du tunnel des Bouisses, tunnel qui a été chemisé par un revêtement intérieur en tôle ondulée, en amont de Peille (ce tunnel de 32 mètres motivera quelques années plus tard un ralentissement à 10 km/h resté en place de longs mois à cause de mouvements de terrain). Sur les autres photos, nous sommes entre Peille et L'Escarène, parmi les coins les plus sauvages de la ligne.

Le segment R.R.R. quadricaisses Rhône-Alpes P, dernier de sa série, est convoyé par la BB7429 et il passe au niveau de la gare de Lyon-Perrache (69), sans doute pour le rentrer à la gérance de Croix-Barret. Avril 1997.

Il y a d'autres endroits pourtant en dehors du train où ça ne se passe pas autant bien qu'au camping: un directeur de parc de loisirs (parc Astérix, si je me souviens bien) a été agressé il y a quelques jours pour avoir demandé un passe sanitaire à un visiteur potentiel.

Par contraste, s'il faut que ce soit (trop) facile, le jeu n'a plus lieu d'être, autant poster les photos dans le topic idoine accompagnées de la légende qui va bien. Pas du tout. J'ignore si la voie à quai déposée était une voie "spéciale x" mais il s'agit bien d'une gare de bifurcation. En revanche, je ne crois pas que la ville ait été de garnison, ou alors pas une grosse. Non plus.

Non. Non. Non et oui. Cependant je 'e sais pas si je répondrai toujours aux questions géographiques précises car sinon on va vite trouver la région, le département puis la ville, et donc la devinette ne va tenir que qu'une journée à peine! Essayez plutôt de trouver avec des questions plus techniques, et cherchez!🙃😝😉

En janvier 1998, cet élément Z800 passe dans les environs du Buet (74). Cette photo a été tirée en carte postale par l'Acacf et est toujours disponible à la vente pour ceux qui veulent.

Ambiance de nuit en octobre 1997 en gare de Lyon-Perrache (69). Avec des chariots de gare, à l'époque...

Les X72500 commencent à arriver et le 72505/6 visible ici en janvier 1998 avec l'élément X4391-XR8610 dans le dépôt de Tours-Saint-pierre (37) porte des traces d'adhésif qui sont probablement des stigmates du retrait d'équipements d'essais récemment enlevés.

Les X72500 commencent à arriver et le 72505/6 visible ici en janvier 1998 avec l'élément X4391-XR8610 dans le dépôt de Tours-Saint-pierre (37) porte des traces d'adhésif qui sont probablement des stigmates du retrait d'équipements d'essais récemment enlevés.

La Z7501 brille sous un soleil déclinant dans les garages de Lyon-Scaronne (69) un soir d'octobre 1997. On voit son modèle de capots de rhéostats, caractéristique des éléments Z2 construits chez Carel et Fouché au Mans, par opposition à ceux construits par De Dietrich à Reichshoffen.

Caisse de wagon remise à neuf et servant de local de stockage au dépôt de Sotteville (76) le 16 octobre 1997.

En janvier 1998, un couplage de deux automotrices est prêt au départ de Saint-Gervais-le-Fayet (74).

En novembre 1997, l'élément automoteur X4702-XR8699 s'apprête à quitter la gare de Lyon-Perrache (69) pour Roanne via Part-Dieu.

R.T.G. au mouroir du Petit Saulon (58) en juin 1997. Ce matériel, comme tant d'autres, avait fait l'objet d'un projet de reconditionnement, lui en le remotorisant avec des turbines Makila, moins gourmandes que les Turboméca dont elles étaient équipées. Las! Leurs caisses, si elles paraissent en bon état, présentaient une corrosion assez prononcée notamment les toitures des motrices, attaquées par les gaz d'échappement. Ce matériel avait pourtant de nombreuses qualités et non des moindres, avec d'excellents bogies, une capacité intéressante, des portes louvoyantes-coulissantes et la climatisation (ce fut d'ailleurs le premier à offrir cette fonction aux voyageurs de seconde classe). Nevers-Machines aurait été parfaitement capable de fournir un excellent travail en procédant à la remise à niveau des caisses et des aménagements intérieurs (précisons d'ailleurs que d'origine ce matériel offrait déjà à tous ses voyageurs un confort d'excellente facture). Si on l'avait voulu, il y avait certainement de quoi réutiliser ailleurs et intelligemment toutes les rames libérées lors des mises sous tension des itinéraires complets Lyon - Strasbourg et Paris - Cherbourg/Trouville-Deauville (rayer les mentions inutiles): Paris - Mulhouse à défaut d'une acceptation en gare de Bâle, Paris - Laon, Dijon - Reims, Reims - Laon, éventuellement Paris - Boulogne, Paris - Granville, Caen - Tours, Lyon - Nantes (éventuellement limité à Tours), Lyon - Bordeaux via Brive (itinéraire du Ventadour), Dijon - Nevers, Nevers - Lyon, Dijon - Clermont-Ferrand, liste sans doute loin d'être exhaustive).

Les BB62418 et 429 sont garées sur les voies en éventail autour du pont tournant de Longueau (80) en mai 1996.

Mon scanner scanne aussi les imperfections, comme ces micro-salissures qu'on ne voit pas sur les photos papier. En exemple, voici une photo victime de ce phénomène et qui fait partie d'un lot de pellicules scannées ces tout derniers jours et certaines comme celle-ci sont bonnes pour être reprises après nettoyage, sinon, il faudra en passer par les négatifs, dont la logistique est plus lourde pour les scanner...

Je me permets de proposer trois photos à la devinette. Ces photos sont évidemment de la même gare...

C'est tout de même anormal que chaque Région interprète les choses comme elle l'entend. Logiquement, ce genre de considérations ne devrait émaner que du niveau national auquel chacune serait tenue de se conformer sans discuter...

Tenez, un truc qui était passé entre les mailles du filet: https://www.cnews.fr/france/2021-02-03/ile-de-france-le-charles-de-gaulle-express-larret-pour-proteger-les-lezards-et-les

Exact, je l'ai reposté dans le bon fil. En revanche, ici, on est en plein dans le sujet: https://www.ladepeche.fr/2021/08/08/sncf-huit-heures-pour-un-express-narbonne-toulouse-9721317.php

https://www.leprogres.fr/societe/2021/08/05/tentative-de-se-suicide-ses-jambes-sont-sectionnees-par-le-train

https://www.leprogres.fr/societe/2021/08/05/tentative-de-se-suicide-ses-jambes-sont-sectionnees-par-le-train