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Le Web des Cheminots

polonez

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Tout ce qui a été posté par polonez

  1. Les automates parlons en, l'APV était toujours en panne, le remplaçant de l'APV qui s'appelle ART c'est encore pire que l'APV. Meme avec l'arrivée de la telebilletique je pense qu'il y aura toujours besoin d'agents dans les gares, petit a petit je pense on va devenir tout simplement des agents d'accueil sur la plupart de notre temps de travail. Dom Trappeur : chez nous le DPX a donné des consignes aux agents qui ont reçu la GEXCI de rester discret, en définitive les agents qui ont reçu la GEXCI ne doivent pas le dire!. Mais bon on a su plus ou moins les agents qui l'ont eue et la plupart qui l'ont reçue c'est surtout grâce au léchage de bottes,copinage,delation. Tu ne peux même pas t'imaginer ce que les agents commerciaux sont prêt a faire pour avoir la GEXCI ! c'est scandaleux et honteux. Ce qu'il faudrait une bonne fois pour toute c'est une revalorisation importante du salaire des agents commerciaux et un vrai déroulement de carrière digne de ce nom
  2. Salut Audrey, Oui en effet le problème est bien la, VFE ne veut plus remunere les ventes GL dans les gares Transilien. Je pense que les gares Transilien dans quelques années ne pourront même plus vendre un simple billet GL!!, c'est dommage pour la clientele et pour les agents car sans la vente de billets GL on va devenir a 100% des distributeurs automatiques " humain" de cartes orange , pas très valorisant de vendre toute la journée des billets pour Paris et des cartes orange, ou alors faire de l' "accueil" sur un quai de banlieue ou les passagers ne te calculent même pas !!. Avec l'arrivée du VO 728 je pense réellement qu'on va etre de plus en plus polyvalents, un peu comme cette année ou en cas d'alerte neige le traitement préventif de salage des quais doit etre fait par les agents commerciaux (quitte a fermer le guichet) car l'établissement ne veut plus payer la societé qu' auparavant s'occupait de cette mission!.
  3. oui c'est moi qui me suis trompé de département! La situation est encore plus catastrophique au niveau de Transilien.Avant l'arrivée de la gestion par activité les agents des gares de la banlieue parisienne pouvaient faire n'importe quel billet GL (Train+Hotel,Avis, International....). Depuis 2 ans on demande aux agents de se focaliser sur la vente billets banlieue et billets Gl sans prestations. Les prestation GL style Auto train,avis,train+ hotel.... on nous a demandé de ne plus les faire et de diriger les clients dans des guichets géré par VFE. Il ne faut pas oublier que les guichets géré par VFE il n' y en a pas beaucoup dans la banlieue parisienne, par exemple, sur ma ligne il y a uniquement 2 guichets purement GL qui ont en plus des horaires complètement débiles, ils sont ouvert du Lundi au Vendredi de 10h00 à 17h30!!. Le Samedi, jour ou la majorités des gens ne travaillent pas les guichet GL sont fermées! la clientele est donc obligé de cavaler à la gare de Paris Nord pour acheter des billets avec des prestations. Bonjour le service public! Pour ma part si un client me demande un billet GL avec prestation je le fait car je trouve inconcevable que le client soit obligé de se taper 15 kilométrés jusqu'à la Gare du Nord,sans parler des files d'attente interminables.
  4. Salut, oui c'est moi qui me suis trompé de departement! La situation est encore plus catastrophique au niveau de Transilien.Avant l'arrivé de la gestion par activité les agents des gares de la banlieue parisienne pouvaient faire n'importe quel billet GL (Train+Hotel,Avis, International....). Depuis 2 ans on demande aux agents de se focaliser sur la vente billets banlieue,les prestation Gl style Auto train,avis,train+ hotel.... on nous a demandé de ne plus les faire et de diriger les clients dans des guichets geré par VFE. Il ne faut pas oublier que les guichets geré par VFE il n' y en a pas beaucoup dans la banlieue parisienne, par exemple sur ma ligne il y a
  5. Audrey ce qui me fait rigoler doucement c'est la labellisation des gares Transilien. il y a 5 ans, des que tu avais une anomalie dans une gare tu appelais le service SNCF Batelec qui se déplaçait assez rapidement pour réparer l'anomalie, Idem tous les ans Batelec remplaçait a titre préventif tous les néons qui se trouvaient dans la salles des pas perdus. Mais bon, les choses allaient trop bien pour que ça continue de cette façon, avec l'arrivée de Transilien fini Batelec, on a préféré des sociétés sous traitantes. Le résultat est catastrophique, délais moyens pour qu'on nous change une ampoule grillée : 1 MOIS, c'est une société d'ARRAS qui se déplace en Région Parisienne pour changer les ampoules (je n'ose pas imaginer le coût!). Il y a d'autres anomalie ou il faut attendre des mois et des mois voir plusieurs années! A tout cela s'ajoutent des tonnes de papiers inutiles a remplir par les agents des gares (gestion de site....),des interlocuteurs multiples qui se rejettent la faute si les anomalies ne sont pas réparés. On est donc passé d'un système simple (Batelec) a une vraie machine infernale. Le problème de la sous traitance SNCF se pose aussi dans le traitement des dossiers Famille nombreuses . il y a quelques années il y avait sur notre ligne 2 agents qui s'occupaient de la confection des FN, en l'espace d'une semaine les client avaient leur carte. Aujourd'hui tout a été centralise dans le département 38, une société privé s'occupe de tous les dossier FN de la France!, résultat : entre 1 a 2 mois pour recevoir les cartes Idem le courrier interne SNCF !, la societe privé SVP s'occupe desormais du courrier SNCF, c'est une vraie catastrophe, il faut desormais environ 8/10 jours pour qu'une pochette courrier arrive a destination sur une MEME ligne. Auparavent il fallait 2 jours.
  6. le Vo 728 c'est une vrai honte!! les agents commerciaux vont devenir des bonnes à tout faire (c'est deja le cas dans certaines gares!) , pour calmer les esprits la direction va verser la prime de sujétion Transilien qui represente environ 50 euros net par mois.
  7. Savir, malheureusement ce que l'Express décrit ( avec des témoignages) c'est la réalité de tous les jours, il faut ouvrir les yeux! Je suis bien placé pour le dire, car en travaillant dans une petite gare de la banlieue nord de Paris en contact avec la clientele, je peux te dire que les incivilités et les menaces de TOUT GENRE sont le lot QUOTIDIEN des agents, les gens t'insultent et menacent pour tout et n'importe quoi, on est leur souffre douleur!, moi je trouve que c'est vraiment très grave et il faut arrêter de banaliser et trouver des excuses sans cesse pour certains actes. Bien sur, je ne te parle même pas des incivilités a bord des trains, signaux d'alarmes ( quasiment tous les jours) tirés a tout va qui paralysent le trafic, gens racketés,bagarres..... Franchement il faut vraiment avoir du courage d'aller travailler dans ce climat d'insécurité et d'agressivité .
  8. L'Express du 12/01/2006 Trains L'insécurité au quotidien par Gilbert Charles, Natacha Czerwinski, Georges Dupuy, Jean-Marie Pontaut, Romain Rosso Les incidents survenus dans le Nice-Lyon, en ce début d'année, ont beau être exceptionnels, les incivilités et les violences sont courantes sur certaines lignes. Que peuvent faire les agents? Comment réagissent les usagers? Plongée dans la vie du rail dans la région parisienne, le sud et le nord de la France Le réseau ferroviaire français est-il dangereux? La mise à sac d'un convoi, dans le Midi, le 1er janvier, par une bande qui a terrorisé les voyageurs et l'arrestation de racketteurs dans le RER D Melun-Paris relancent la polémique sur l'insécurité ferroviaire. L'Express a voulu savoir si la peur régnait vraiment dans certains trains. Nos reporters ont enquêté dans la région parisienne, dans la région Paca et dans le Nord-Pas-de-Calais, interrogeant les responsables et les contrôleurs de la SNCF, mais aussi les usagers. Ce qu'ils ont trouvé n'a rien de rassurant. «La gravité des événements survenus dans le train Nice-Lyon du 1er janvier est exceptionnelle. On ne s'attendait pas à une telle violence, mais des débordements étaient prévisibles», explique Joël Nodin, responsable Paca du syndicat SUD Rail, qui avait alerté, bien avant le 31 décembre, la direction des contrôleurs et le conseil régional, promoteur de l'opération du billet à 1,20 euro. «Les actes de malveillance, d'incivilité et de violences sont légion lors de cette période», dénonçait-il. Depuis le lancement de cette initiative, en 2002, les contrôleurs mesurent l'escalade. «L'année dernière, raconte Jamil Zeribi, contrôleur, délégué SUD Rail, un train identique avait déjà connu d'importantes dégradations: vitres cassées, fauteuils lacérés, sièges arrachés, papier toilette brûlé, etc. Mais aucun passager n'avait été violenté: les bandes se battaient entre elles. Le train a dû s'arrêter à Aubagne, où quelques jeunes ont été interpellés par la police. A l'arrivée, c'était une carcasse ambulante.» © JSI Lors d'une précédente opération de promotion, une quinzaine de jeunes ne cessaient de tirer le signal d'alarme sur la ligne TER Marseille-Avignon. A Miramas, le contrôleur décide d'arrêter le convoi, augmentant la colère des jeunes: «Qu'est-ce que tu fais, pédé? On va venir te chercher!» «Je me suis précipité dans le bureau d'accueil de la gare, raconte l'agent. Viennent trois policiers. Les jeunes leur ont parlé comme si c'étaient des potes: «Attends, qui tu es, toi? Je descends pas.» S'il s'agit là de périodes particulières, l'agressivité dans les trains n'en est pas moins quotidienne. «Même si ce n'est pas le Bronx, les actes perpétuels d'incivilité créent un sentiment d'insécurité, souligne Christian Franceschini, du syndicat de police Synergie Officiers. Et, souvent, nous sommes à la limite de l'incident grave, essentiellement envers les contrôleurs, qui sont en première ligne.» En Paca, on dénombre plus d'une quinzaine d'agressions verbales ou physiques par mois en moyenne, dans les gares ou dans les trains - 28 en janvier 2005. Insultes - «Va niquer ta mère!» - menaces - «J'aurai ta peau!», «On se reverra!» - bousculades, coups, gifles sont monnaie courante. A Cagnes-sur-Mer, des bandes viennent souvent harceler les équipes de filtrage ou les vigiles de la SNCF. Des batailles rangées ont parfois lieu dans le hall de la gare. «Dans la banlieue niçoise, l'une des plus dures de France, les chefs nous incitent à ne pas contrôler, révèle un agent. Ce n'est pas grave, disent-ils…» Parfois, il vaut mieux: un jour, un passager sans billet a lâché son rotweiller contre un contrôleur, qui a dû s'enfermer dans son local de service. «On ne peut pas appliquer le règlement à la lettre ni les barèmes, sinon on se ferait agresser tout le temps, ajoute un contrôleur, croisé sur un TER. Une cigarette ou les pieds sur la banquette, c'est 45 euros d'amende. Est-ce que je fais venir la police pour une cigarette? Et si je bloque le train, ce sont les autres passagers qui vont me tomber dessus à cause du retard.» Parfois, surtout en région parisienne, le simple contrôle peut dégénérer en véritable drame. «C'est une grosse hypocrisie de dire que ce qui s'est passé sur la ligne Nice-Lyon est exceptionnel», s'emporte Grégory, 26 ans, contrôleur sur la ligne D du RER. Il s'est fait agresser il y a quatre ans, alors qu'il effectuait sa ronde de sécurité. «Un jeune homme avait les pieds sur la banquette, raconte-t-il. Je lui ai demandé de les enlever. Il a commencé à devenir agressif. Je suis sorti du train pour aller voir le conducteur; le type m'a suivi et m'a tabassé. Il m'a frappé la tête contre le train et je suis tombé sous la rame. L'auteur a été retrouvé. Il a écopé de six mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve. Il m'avait quand même cassé la mâchoire en deux! J'ai perdu une dent, j'ai eu 50 points de suture et j'ai subi une greffe osseuse.» Les usagers, eux aussi, même s'ils n'ont pas été agressés, ressentent la dégradation des conditions de sécurité. Justine, 20 ans, habitante de Croissy-sur-Seine (Yvelines), familière de la ligne A du RER, reconnaît avoir peur, surtout le soir. «Parfois, on se fait suivre: ça commence dans la rame et ça continue dans la gare. J'essaie de ne pas répondre ni me retourner, pour qu'ils laissent tomber. Je ne prends jamais le train après 22 heures. C'est sûr qu'il faut faire attention aux vêtements qu'on porte: je ne vais certainement pas mettre une minijupe et des bottes!» Christophe Dard est conducteur sur la ligne de Mantes-la-Jolie - Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) depuis quinze ans, responsable régional du syndicat Fgaac (Fédération générale autonome des agents de conduite): «Le type d'agressions du train Nice-Lyon reste exceptionnel. Il y a tout de même eu une attaque un peu semblable, en novembre, au Blanc-Mesnil, pendant les émeutes en banlieue; les jeunes ont molesté quelques usagers et se sont acharnés sur le matériel. Ils ont essayé de s'emparer du train. Mais, comme ça nécessite quelques gestes techniques qu'ils ne maîtrisaient pas, ils ont laissé tomber. Et les forces de police sont intervenues.» Les actes de délinquance les plus fréquents sont les vols de portables et d'effets personnels. Il y a peu d'agressions sexuelles, du moins déclarées. On a toutefois signalé, l'an dernier, à Nice, trois tentatives de viol et d'attouchements. Souvent, des femmes viennent demander en cabine que les conducteurs les prennent avec eux. Des personnes âgées aussi. Les agents n'ont pas le droit. «On le fait quand même», témoigne l'un d'eux. «On essuie des insultes» On minimise les actes de délinquance, parce qu'on n'en a qu'une vue parcellaire, souligne ce cheminot. Si un usager porte plainte au commissariat de sa commune pour une agression commise dans un train, on ne le sait pas. Et la réponse de la justice n'est pas toujours appropriée. Je me souviens d'un contrôleur qui avait reçu un coup de poing d'un passager énervé. L'agresseur est passé en comparution immédiate. Vous savez de quoi il a écopé? Un rappel à la loi et une lettre d'excuses au contrôleur.» «Pour ces jeunes, la gare et le train sont le prolongement de leur territoire, analyse un agent de la ligne de Mantes. Certains trains sont les leurs, ils ont leur voiture - souvent la dernière. Il y a un semblant de compromis: s'ils ne font pas le bazar, on les laisse tranquilles, on ne vient pas les “chercher”. On ne leur demande même pas d'avoir un billet, mais juste d'avoir un comportement qui ne soit pas trop dérangeant. Sinon, tous les samedis après-midi, ce serait la bagarre.» Bruno, conducteur sur la même ligne: «Je me rappelle qu'un jour les contrôleurs avaient bloqué des jeunes sans billet. Le maire de Mantes-la-Jolie lui-même est descendu en gare pour demander qu'on les laisse prendre le train: il ne voulait pas les garder parce qu'ils cassaient tout en ville.» «J'ai conduit le Mantes-la-Jolie - Saint-Lazare de 14 h 23 le samedi, se souvient William La Rocca, secrétaire général de la Fgaac. Il y a cinq ans, c'était un train qui n'arrivait jamais entier. Il était systématiquement arrêté et saccagé. Les bandes de Chanteloup, de Mantes et de Nanterre prenaient ce train-là pour aller se battre à la Défense.» Dans la région Nord - Pas-de-Calais, la situation est visiblement moins périlleuse. Au coup de sifflet, le TER Lille-Douai s'ébranle et Nicole M. déclenche d'un tour de clef la fermeture des portières. «Il faut relativiser: ce n'est quand même pas le Far West, explique cette contrôleuse de 32 ans, qui cabote depuis 2001 sur les lignes du Nord-Pas-de-Calais. Avant, je travaillais en région parisienne et j'ai senti la différence: là-bas, on essuie des crachats ou des insultes dès qu'il y a une perturbation, et tout le monde regarde ses pieds quand un agent se fait agresser. Ici, l'ambiance est plus détendue, les gens sont corrects et même plutôt contents d'être contrôlés. Pour rien au monde je ne retournerais dans la capitale.» «La situation dans le Nord est plutôt calme en dehors de quelques incidents, confirme Nathalie Toussaint, à la direction régionale. Le nombre de "faits sûreté" a diminué de 6% entre 2004 et 2005.» Sur 4 500 événements enregistrés l'an dernier, on compte 48% d'actes de malveillance (tags, dégradation du matériel, incivilités), 40% de fraudes, 10% de vols et 2% d'actes de violence, dont les deux tiers sur des agents SNCF. Les 25 agressions subies en 2005 se limitent à des menaces et des empoignades. «Si l'on prend la courbe des incidents des dernières années, corrige Eric Santinelli, délégué SUD Rail, la progression est plus forte en province et, peu à peu, nous nous approchons des mêmes niveaux que la capitale.» Les cheminots gèrent 13 000 trains, ainsi que 2 millions de voyageurs par an dans la région, et la SNCF n'échappe pas aux problèmes nationaux. «Les lignes les plus problématiques sont celles où se concentrent les cités difficiles, là où le prix de l'immobilier est le plus bas et le taux de chômage le plus élevé, comme Lille-Maubeuge ou Lille-Douai», souligne Eric Santinelli. Tous les agents en contact avec le public reçoivent au cours d'un séminaire de deux jours une formation limitée qui n'est pas renouvelée. «Ce qu'on y apprend est très sommaire, note Nicole M.: comment se positionner pour ne pas se faire pousser dans les escaliers des rames à deux étages ou placer devant soi son porte-documents pour éviter les coups.» Un huis clos exacerbant les comportements Le pouvoir des contrôleurs est faible. Il se résume en gros à dresser des PV. Ils n'ont pas le droit de tenir une pièce d'identité «plus que le temps nécessaire pour dresser la contravention». Ni celui d'obliger un voyageur agressif à descendre du train, ce qui demande l'intervention d'un officier de police judiciaire. «Au pis, explique Fabrice, on appelle la police, laquelle met toujours un "certain temps" à réagir. On se retrouve alors avec la pression des régulateurs: tout retard du train entraîne une demande d'explication avec un rapport à la clef.» La lutte antifraude favorise paradoxalement les agressions. Le prix des amendes infligées aux resquilleurs a presque triplé depuis un an. «C'était déjà pas facile de faire payer 10 euros pour un billet non composté; à 20 euros, cela devient une gageure», explique un contrôleur. Un agent de la Suge, la police des trains, doute lui aussi de la diminution de la délinquance dans les rames. «Elle est à l'image de ce qui se passe dans la société tout entière, analyse-t-il. Il y a encore quelques années, il aurait été impensable d'insulter un contrôleur. Aujourd'hui, on n'hésite pas à le frapper.» «Je ne veux pas minimiser l'affaire du Nice-Lyon, mais ce n'est tout de même pas Orange mécanique! tente de relativiser un haut responsable de la SNCF. Tout s'est passé entre Saint-Raphaël et Les Arcs, dans les deux voitures de queue. Cette affaire n'est pas la plus importante, en regard d'autres survenues récemment: le viol d'une contrôleuse dans le Toulouse-Cahors, un train de fret attaqué près de Marseille, un autre attaqué au Blanc-Mesnil. Enfin, aux environs de Beauvais, un train a été bloqué dans un tunnel.» En outre, les faits les plus graves ne sont pas forcément liés aux bandes. Dans l'Est, un cheminot agressé par un individu isolé est resté longtemps entre la vie et la mort après avoir reçu un coup de couteau dans le bulbe rachidien. «Nous ne pouvons nous situer que par rapport à ce qui se passe dans la société dans son ensemble pour mesurer la portée de nos efforts de sécurité, plaide Paul Mingasson, secrétaire général de la SNCF, chargé de la sécurité. Malgré les apparences, nous nous débrouillons plutôt mieux. La formation de notre personnel et nos investissements expliquent que les atteintes aux personnes, voyageurs et agents, sont en baisse: - 5%, alors qu'au niveau national elles ont augmenté de 12%. Mais, proportionnellement, ce sont nos agents qui sont le plus touchés.» 1 075 agressions sur agents ont eu lieu l'an dernier. Bénédicte Tilloy, directrice des trains, responsable des 11 000 contrôleurs, confirme que la criminalité a baissé. Si les agressions ont diminué, c'est grâce aux efforts faits par les contrôleurs. Mais elle aussi constate que ce qui se passe dans les trains est le reflet de la réalité extérieure. «Le train est un huis clos qui peut conduire à des situations particulières. Il exacerbe certains comportements dans la mesure où les voyageurs sont contraints de vivre les uns avec les autres. Il est l'endroit dans lequel on voit le plus tôt les grandes mutations de la société.» lien http://www.lexpress.fr/info/societe/dossie....asp?ida=436539
  9. Idem quand je suis allée au Danemark ce n'était pas rare de voir des vélos garés dans la rue sans etre attachés. Dans les parcs de la ville, des mères de famille qui jouaient avec leur enfant dans l'herbe pendant que leur sac a main ou portable était sur le banc a 20 mètres de la!, des bouteilles de lait et journaux déposé le matin devant les maisons (sans qu'ils soient volés). On avait loué une voiture chez Avis et le mec de l'agence nous avait dit que vu que l'agence était fermé a l'heure qu'on voulait déposer la voiture, il fallait tout simplement garer la voiture devant l'agence, laisser les clefs dans la boite a gant, pas grave si la voiture n'était pas fermé a clef !!. En tout cas ,ça fait du bien de voir qu'ailleurs les gens ne vivent pas dans un climat de peur et d'insecurité
  10. PARIS, Aug. 20 -- A 27-year-old immigrant from Chad walked into a bank outside Paris from which he had been laid off. He was disguised as a woman, with a long black dress and a fuzzy wig, and carried two pistols. After herding employees and customers into a basement room, he hunted down the bank's financial counselor and shot him in the throat, then shot the bank manager in the head. He took several hostages to secure his getaway, and shot and killed a motorist who refused to give up his car. The gunman was later captured, but his rampage just over a week ago left three dead and six injured. Such incidents can happen anywhere -- and shootings, sometimes involving disgruntled or laid-off employees, have become numbingly common in the United States. But in France, this and other similar incidents have added to a general feeling that this country, which prides itself on civility and culture, has become a more violent and dangerous place. The bank attack occurred just days after another grisly murder riveted the public. A 17-year-old girl named Karine, from a small town in the Lorraine area in the northeast, had been missing for 11 days. A 23-year-old man arrested in the case told police he had accidentally hit the girl with his car while she was cycling, then panicked and hid the body. But the suspect's female companion later told investigators that the girl had been raped and killed and her body set on fire. The Karine case exploded in the media just as the French were assessing the damage from a spate of violent youth gang attacks in the suburbs ringing several major towns and cities, including Paris. In one incident, on July 14, Bastille Day, some 130 cars were torched by young hoodlums in the town of Aulnay. Tourists have not been spared. Pickpocketing and assaults against visitors have reached such alarming levels that the State Department, on its Web site, cautions Americans traveling to Paris to be careful. China has advised its citizens to be watchful because Asians appear to be frequent targets. Opinion polls indicate the French are putting an increasing sense of insecurity at the top of their list of concerns. And crime has become the topic of many dinnertime conversations. During a nationally televised interview on Bastille Day, President Jacques Chirac mentioned rising crime as the country's greatest concern. "People are scared," he said. Chirac cited as reasons for the trend a "lack of state authority" and "lack of political will" to tackle the problem, a direct jab at the government led by the rival Socialist Party of Prime Minister Lionel Jospin. Chirac proposed a "zero-tolerance" policy much like that of Mayor Rudolph W. Giuliani of New York. The statistics bear out the concern. In the first six months of the year, crime rose about 9.6 percent over last year, according to the Interior Ministry. And a widely circulated new report, drawing on statistics from the Interior Ministry and the FBI, shows the crime rate to be higher in France than in the United States. Last year France recorded 4,244 crimes per 100,000 inhabitants, compared with 4,135 in the United States, where crime has been steadily decreasing. The United States still leads France in the number of murders and rapes per 100,000 residents, but France leads in violent thefts and some property crimes, including car theft. For violent theft, France recorded 185 incidents per 100,000 people, compared with 145 in the United States. For simple theft, France had 2,588 incidents per 100,000 people, compared with 2,475 in the United States. And car theft was far higher in France, with 507 reported cases per 100,000 compared with 420 in the United States. For many French, who view the United States as a Wild West-style place with an abundance of firearms, the new statistics are alarming. "For myself, and my fellow French citizens, we were used to reading about these things in the United States," said Alain Brunier, who heads the Europe and Middle East branch of a medical device and technology company. "Now it's right here, in a country much, much smaller than the United States." "I feel 100 percent safer in Lebanon than I do in Paris," Brunier said. He described how his daughter's car was hijacked while she was opening her garage door, and how his vehicle was almost carjacked while he was driving in the capital. "Paris has become a dangerous city. You have to be very, very streetwise now." The fact that so many crimes in France now involve firearms -- everything from pistols to machine guns to grenade launchers used in a spectacular armored car heist last year -- raises questions about France's supposedly strict gun control laws compared with what is seen as a much more permissive system in the United States. Under French law, any weapon of more than 7.65mm is prohibited for all but security personnel. Smaller weapons, such as pistols, can be obtained only by people with high-risk jobs, such as jewelry store owners, and only after a full background check. Hunters with a valid permit can buy hunting weapons, and sports shooters must be members of the French Shooting Federation. But authorities said there are lapses, and they are trying to tighten the rules. "We are using every legal way to limit the circulation of weapons," a national police spokesman said. One problem for France is its central location. Many weapons filter in from Spain, Italy and Belgium, and also from Eastern Europe, where weapons have been plentiful since the outbreak of ethnic warfare in the Balkans. "The stock here is low, unlike in the United States," a diplomat said. "But the supply is only two hours away." For the most part, however, guns have been used by professional criminals, or in dramatic attacks like the recent bank assault. The common tools of the street gangs in the rough and gritty suburbs are knives and metal bars. Most muggings are committed by teenagers using knives or, more commonly, their fists to assault their victims. "I've been mugged twice in two weeks," said Leslie Gladsjo, an American filmmaker who has lived in Paris nearly five years. "I've lived in Paris all this time, and nothing like that has ever happened to me before. I've always felt totally safe here." FRANCE=4244 crimes pour 100.000 habitants USA=4135 crimes pour 100.000 habitants FRANCE= vols avec violence, 185 pour 100.000 habitants USA= vols avec violence, 145 pour 100.000 habitants France= vols 2588 pour 100.000 habitants Usa= vols 2475 pour 100.000 habitants France= vol de voitures 507 pour 100.000 habitants Usa= 420 pour 100.000 habitants dans cet article il y a un passage ou je suis 100% d'accord "I feel 100 percent safer in Lebanon than I do in Paris," Brunier said. He described how his daughter's car was hijacked while she was opening her garage door, and how his vehicle was almost carjacked while he was driving in the capital. "Paris has become a dangerous city. You have to be very, very streetwise now." es
  11. tu vas sur le site du figaro http://www.lefigaro.fr/societe/20060111.FIG0036.html
  12. une vraie Tolérance ZERO avec des peines alourdies, t es chopé en train de taguer une rame, 1 an prison ferme, tu agresses quelqu' un, 4 ans de prisons ferme, tu tues quelqu'un, la perpétuité (la VRAIE). Avec la vraie tolérance zero tu ne pourras pas régler tous les problèmes mais ça va faire réfléchir les délinquants. De toute façon vu le laxisme qu il ya eu ces derniers 20 ans la tache va etre très difficile Lis cet article Banlieues : le rôle des «grands frères» en cause SOCIAL Les dernières violences urbaines, sur lesquelles ils n'ont guère eu de prise, ont montré l'influence limitée des médiateurs. Cécilia Gabizon [11 janvier 2006] «LES ÉMEUTES ont montré, entre autres, l'échec des politiques de grands frères», estime-t-on à la section des renseignements généraux chargée d'analyser les violences urbaines. Les policiers dressent un profil critique des médiateurs, qui présentent «plus souvent un profil d'agresseurs que d'éducateurs». Dans ces métiers de contacts, qui reposent beaucoup sur du charisme personnel, les évaluations globales sont toujours délicates. Mais le dispositif apparu au milieu des années 80 à titre expérimental, pour répondre aux violences urbaines, a mal résisté à son institutionnalisation. Au départ, «c'était artisanal. Les grands frères apportaient une réponse, là où les professionnels avaient perdu le contact avec les jeunes», explique Jacques de Maillard, professeur de sciences politiques, spécialiste de la médiation sociale. Les grands frères se généralisent dans le cadre des emplois-jeunes en 1997-1998. Les collectivités et les mairies embauchent à peu de frais des jeunes qu'elles «espèrent ainsi mieux contrôler», détaille le chercheur. Avec de maigres résultats. Peu encadrés, trop souvent choisis sur des critères ethniques, officiellement pour être à l'image des quartiers, les «médiateurs ont renforcé le communautarisme, avec l'idée qu'il faut être de la même couleur pour se comprendre. Ils ont conforté un esprit de territoire», regrette Lucienne Bui-Trong, cette commissaire qui a mis en place l'échelle des violences urbaines. Les grands frères, dont le rôle ambigu est de ramener la paix sociale en dehors de véritable projet, attirent les critiques. La population, comme les policiers, les ont souvent assimilés aux voyous qu'ils étaient censés amadouer. A Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), un des «messagers» n'était pas intervenu, alors qu'une bande délestait un policier de son arme devant lui. Par la suite, le médiateur a récupéré le pistolet pour le rendre à la police. Une façon détournée «d'affirmer leur pouvoir propre, plutôt que de conforter l'ordre public», assure encore Lucienne Bui-Trong, qui adresse le même reproche aux associations musulmanes. Affirmer leur propre pouvoir «L'autorité des grands frères repose sur un rapport de forces et pas sur la transmission de consignes ou de savoir», assure un policier d'Argenteuil. «L'ériger en système sape la chaîne éducative», affirme celui qui s'est battu pour éviter ce système dans sa ville. Les élus sont régulièrement tentés d'y recourir pour trouver des relais dans les quartiers. Pourtant la plupart des maires qui avaient embauché des emplois-jeunes en sont revenus. Faute de pouvoir les licencier, ils en ont souvent fait des fonctionnaires affectés à l'entretien des espaces verts, à la propreté... Une façon de reconnaître que la simple médiation ne pouvait pas fonctionner sur la durée. Les collectivités, tout comme le gouvernement, réfléchissent maintenant à de nouvelles formes d'encadrement dans les cités, notamment pour réguler l'occupation des espaces publics. Certains misent sur des gardiens mieux formés, d'autres sur des adultes relais, en pensant notamment aux mères de famille. [A Sarcelles, la paix sociale a été achetée au prix fort L'embauche de médiateurs, «c'est la prime aux casseurs», accuse Mohamed Fofana, l'ancien élu à la sécurité. C.G. [11 janvier 2006] «ACHETER la paix sociale ne marche pas». Mohamed Fofana, ancien élu chargé de la sécurité à la mairie de Sarcelles de 1995 à 2001 parle en connaissance de cause. A l'époque, l'équipe socialiste de Dominique Strauss-Kahn décide de recruter comme emplois-jeunes certaines têtes brûlées des quartiers sensibles. La mairie aura jusqu'à 390 jeunes, affectés au nettoyage, à l'animation ou à la médiation. L'ancien responsable de la sécurité du centre commercial des Flanades pense pouvoir encadrer ces nouvelles recrues mais, convient-t-il aujourd'hui, «c'était la prime aux casseurs. On embauchait les plus nocifs pour en faire des grands frères. Nous avons dépensé des millions sans aucun résultat». A plusieurs reprises, des emplois-jeunes sont interpellés au cours d'affrontements avec la police, raconte-t-il. D'autres roulent à bord de belles voitures, étonnantes pour leurs modestes émoluments. Tout au long de ces années, Mohamed Fofana dénonce ce clientélisme, propose de réserver les emplois que la mairie offre l'été aux seuls bacheliers, ou encore de sanctionner les parents défaillants. Les socialistes le traitent de «fasciste». «Mais à force de trouver des circonstances atténuantes aux voyous, s'insurge Mohamed Fofana, au point de leur assurer une rente, nous avons contribué à l'aggravation de la délinquance.» «Tranquilles pères de famille» Depuis, une partie des emplois-jeunes ont été embauchés. Encore 184 en 2004, portant l'effectif à 1 800 fonctionnaires... contre 1 300 à Drancy, une ville voisine qui compte également 58 000 habitants. «Nous menons une politique d'insertion professionnelle des jeunes avec un casier judiciaire», assure le maire socialiste François Pupponi, ces jeunes devenant selon lui de «tranquilles pères de familles», des fers de lance de la politique de prévention. Pour preuve, «une trentaine de voitures seulement ont brûlé durant les émeutes», assure l'édile, qui a quotidiennement pris soin de faire évacuer les carcasses à l'aube. La délinquance aurait aussi baissé, affirme cet élu, grâce à une politique de prévention ambitieuse. «Il y a cinq ans, des bandes s'affrontaient. Nous ramassions des jeunes morts dans la rue, relate François Pupponi. Aujourd'hui, nous n'avons plus que des agressions et des vols contre des personnes âgées» ! Dans les quartiers, les habitants regrettent des temps enfuis où cette ville surgie dans les années 60 ressemblait à un village. Depuis, pauvre et mosaïque, avec 50% de sa population d'origine étrangère, Sarcelles subit une violence chronique. «Je ne vois jamais un médiateur sur le terrain», dit Joël, policier de la ville. De toute façon, les gamins sont ingérables.» Ils n'écoutent plus les grands, ceux qui furent un temps emplois-jeunes de la mairie comme le designer Mohamed Dia, ou les rappeurs du «Secteur A», autant de vedettes accusées d'avoir déserté. «Il faut arrêter le misérabilisme, arrêter de pleurer sur leur sort, de leur construire des maisons de quartier qu'ils vont brûler», s'énerve Abdellah Djouhri, 39 ans. Dans la pizzeria qu'il a ouvert à Sarcelles en 1994, les clients approuvent ce patron d'autant plus franc qu'il est champion de boxe thaïe. «Sur la ville, il y a 300 délinquants. Ce sont des prédateurs qui s'approprient des ressources publiques, tout en crachant sur la France», regrette encore ce fils d'ouvrier algérien, cadet d'une famille de dix enfants. «Il faut se concentrer sur ceux qui travaillent, favoriser les études, ouvrir des bibliothèques. C'est la meilleure prévention», poursuit Mamadou, ouvrier qui habite dans le quartier des Sablons. Pendant des années, ces pères de famille se sont tus. Mais ils ne supportent plus aujourd'hui de voir l'attention publique et celle de la mairie se concentrer sur ceux qui leur empoisonnent la vie. «Pour les voyous, s'insurge Mohamed Fofana, il ne devrait y avoir que la répression.»
  13. Il faut peut etre aussi se poser la question, est il normal habiter dans un pays ou le taux de criminalité est plus eleves au'aux USA? (statistiques 2004), quand tu habites en IDF il ne faut pas etre sorti de ST Cyr pour voir que tu vis dans un environement tres criminogene, ou le vandalisme,les agressions sont le lot quotidien. Il faut peut etre sortir un peu de France et voir comment ca se passe dans les autres pays !. Moi en tout cas j'ai la chance de pouvoir voyager pas mal et je peux te dire que le sentiments d'insecurité que tu as en France tu ne l'a nulle part ailleur, meme aux states ca craint moins que la banlieue parisenne. En Australie ou j'ai passé 3 semaines l'année passé, pas un tag, pas de vitres rayés dans les transports publics, velos (SANS CADENAS de sécurité) qui sont posés le long des murs ,les gens qui rentrent dans le bus sans billet déposent leur argent dans une boite transparente placé entre le conducteur et la porte d'entrée du bus, gens qui se baignent sur les plages en laissant leurs affaires sans surveillance ,SAC A MAIN compris . J'ai rencontré d' autres français la bas et tout le monde avait l'impression d'être sur la planète Mars, Voila ce que veut dire vivre normalement !.
  14. Les cameras peuvent dissuader certaines personnes de commettre certains actes, de tout façon Dom Trappeur du moment que les gens n'ont rien a se reprocher je ne vois pas en quoi la présence des cameras peut gêner Scarface 35 je préfère encore vivre dans un pays ultra fliqué plutôt que dans un pays ou on vit dans une insécurité totale.
  15. c 'est l'ancien logo des chemins de fer polonais , l'aigle rouge c'est le meme aigle que tu retrouves sur le drapeau polonais
  16. c est le sigle de la PKP (polskie koleje panstwowe), Chemin de fer de Pologne
  17. tu as raison steph, de tout facon vu la justice qu'il y a en France c'était previsible que personne allait etre inculpé, et puis steph tu t'imagines, si par malheur un juge avait inculpé ces pauvres victime du systeme francais il aurait eu encore des manifs, des voitures brulés, des "associations" qui auraient crieés au complot raciste. Bref, la justice prefere fermer les yeux jusu'au prochain drame
  18. oui en effet marcarrick tu as raison, moi j'ai un copain qui est depuis 1996 au RMI et il vit très bien comme ça (ce sont ces paroles),420 euros de RMI, le loyer est quasiment payé en intégralité par les allocations ,CMU (donc medecin et soins gratuits), carte solidarité (50% de réduction sur les transports en RP et bientôt normalement ca va etre la gratuité totale), abonnement EDF et Telecom a tarif réduit, il ne paye pas les impots,la redevance telé.......... En faisant ses comptes il s'est aperçu qu'entre son RMI et les avantages, il touche comme quelqu' un qui gagne le SMIC, sans se faire chier tout les jours au boulot!
  19. "Pour M. Hollande, ces agressions, "d'une exceptionnelle gravité", "démontrent que la délinquance dans notre pays, malgré les déclarations d'autosatisfaction des plus hautes autorités de l'Etat, s'est considérablement endurcie depuis 2002". M hollande il est tres mal placé pour donner des lecons! car ni la gauche ni la droite n'ont jamais reussi a faire reculer la delinquance
  20. Train Nice-Lyon : police et SNCF mis en cause Avec AFP [04 janvier 2006] La préfecture des Alpes-Maritimes a affirmé mercredi qu'il y avait eu des «négligences de plusieurs partenaires» dans la gestion de l'affaire du train régional Nice-Lyon où des jeunes gens ont semé la panique, le 1er janvier, parmi les passagers. Au petit matin, la police a placé une centaine de jeunes éméchés à bord de ce train. Informée de leur présence, la SNCF a mobilisé trois agents ferroviaires au départ de Nice pour assurer la sécurité du voyage. Mais ceux-ci sont descendus à Saint-Raphaël, soit quelques minutes avant le déclenchement des violences. «Il y a eu une série de dysfonctionnements, notamment du conseil régional et de la SNCF qui ne nous ont pas prévenus de l'arrivée de ce train» a déclaré le cabinet du préfet, qui a regretté l'absence de «base légale interdépartementale» pour permmettre l'intervention des forces de l'ordre, dans les trois départements traversés par le train. Cette base légale sera opérationnelle très prochainement, a précisé la préfecture. La tragique nuit de la Saint-Sylvestre infligée aux 600 passagers du Nice-Lyon par une bande de voyous, commence progressivement à s'éclaircir. Les faits, tels qu'ils sont décrits mercredi, laissent peu à peu penser à un incroyable "raté" de la police et la Sncf. Premier élément avéré : le 1er janvier au matin, à Nice, la police raccompagne une centaine de jeunes éméchés vers la gare Sncf. Les fêtards montent dans le train en direction de Lyon. "Le train est parti à 6H00. A Nice, il ne s'est rien passé", déclare le commissaire divisionnaire Georges Gasperini, chef d'état-major de la direction départementale de la sûreté publique des Alpes-Maritimes. Sarkozy convoque le patron de la Sncf Alertée par la sûreté départementale avant le départ du train, la Sncf eu le temps de placer dans ses wagons une équipe de trois agents de la police ferroviaire accompagné d'un chien. Problème : loin d'accomplir tout le parcours jusqu'à Lyon, la brigade ferroviaire descend à Saint-Raphaël, à quelques kilomètres de Nice. Laissant les 600 passagers à la merci des excités. Une attitude dénoncée mercredi par Nicolas Sarkozy : "Pour des raisons que j'ignore, la sécurité propre à la SNCF s'est arrêtée à un moment donné sans que les services de gendarmerie ou de police aient été prévenus", déplore le ministre de l'Intérieur qui a convoqué le président de la SNCF pour la fin de l'après-midi, afin de "comprendre exactement ce qui s'est passé du côté de la SNCF". De son côté, la compagnie ferroviaire justifie la descente de ses agents par le fait que leur "surveillance a été effectuée jusqu'à Saint-Raphaël sans relever d'incident notable". Résultat : lesdits agents "sont allés procéder à d'autres opérations de surveillance", explique la Sncf qui annonce le dépôt de deux plaintes pour "dégradation de matériel" et pour "l'ensemble des événements à bord" du train Nice-Lyon. Violences Entre Saint-Raphaël et la gare des Arcs-Draguignan (Var), certains passagers seront violentés et rançonnés, tandis qu'une jeune femme subira des violences sexuelles. Seuls trois délinquants ont été interpellés, les autres ont pu s'échapper. Par ailleurs, la veille de ces incidents, au soir du 31 décembre, 22 jeunes gens dont deux mineurs, soupçonnés d'avoir commis des dégradations dans un train qui arrivait de Marseille, ont été interpellés et placés en garde à vue à leur arrivée à Nice. On leur reproche des bris de vitre et des incendies de sièges. Faute d'éléments permettant de les poursuivre, les 22 individus ont tous été relâchés. Ils étaient venus réveillonner et faire la fête à Nice, en profitant du billet à 1,20 euro offert par la SNCF et la région PACA à l'occasion du Nouvel An.
  21. [A l'aller, des jeunes annonçaient «un carnage» Avec AFP [04 janvier 2006] Des jeunes, originaires de Marseille, venus réveillonner sur la Côte d'Azur le soir du Nouvel An, ont causé dès samedi des incidents dans un train régional en direction de Nice, annonçant leur intention de «faire un carnage», a raconté un témoin. «Samedi, avec des amis, on a pris le train aux Arcs pour aller à Nice. Dès trois heures et demie, des Marseillais nous ont agressés. C'étaient des Arabes. Ils nous ont dit qu'ils allaient à Nice. On a essayé de réagir mais ils nous ont dit qu'ils étaient 47», a raconté Habib, 17 ans, habitant à Draguignan. «Ils ne cessaient de dire qu'ils allaient faire la "hala" (faire la fête, mettre la pagaille en arabe dialectal, ndlr), qu'ils allaient faire un carnage dans le train, pour le Nouvel An», a-t-il poursuivi. «Ils nous ont encerclés. Après, ils s'en sont pris à un groupe de jeunes Dracénois (habitants de Draguignan). Un Dracénois a essayé de se rebeller mais ils l'ont bousculé. Après, ils s'en prenaient aux filles. Ils mettaient leur main sur leur propre sexe, puis la passaient sur la figure des filles. Ils nous ont menacé avec des "gazeuses" qui paralysent les yeux» (ndlr, des bombes lacrymogènes), a affirmé Habib. «Ils nous ont dit qu'ils avaient des couteaux. Pour moi, ils étaient organisés. Il n'y en a qu'un, un Noir, qui a essayé de les raisonner, mais ils ne l'ont pas écouté. Ca a duré plus d'une heure, jusqu'à Nice où ils sont descendus», a encore raconté le jeune homme. «Le lendemain, on a préféré rentrer le dimanche après-midi parce qu'ils nous avaient dit qu'ils repartiraient le matin. Et on ne voulait pas les revoir», a-t-il conclu. Un groupe d'une centaine de jeunes éméchés, venus samedi par un train en provenance de Marseille, a été raccompagné dimanche, au petit matin du Nouvel An, à la gare de Nice par des forces de l'ordre pour être mis dans le train Nice-Lyon, à bord duquel des passagers ont été violentés et rançonnés, a-t-on indiqué mercredi de source policière. Une jeune fille a également été victime d'attouchements sexuels, qualifiés de «violences sexuelles» par le parquet.
  22. Aujourd'hui j'ai tendance a faire comme tout le monde, éviter au maximun les emmerdements. A aider les autres on a plus de chances d'avoir des ennuis que des remerciements. Et je vous assure que ça calme. depuis et en voyant comment la justice est appliquée je pense de plus en plus qu'en France il n'y a plus vraiment de justice; violence qui augmente, incivilités régulieres, émeute qui semblent impunies, coupables pas retrouvés......tout cela donne un sentiment d'injustice et de laisser aller. La justice n'existe plus (est ce qu'elle a existe un jour??). Tentative de vol de portable sur le quai de ma gare, le "jeune" est interpellé, la victime par peur ne veut pas porter plainte, la police embarque l'agresseur, 2 heures après l'agresseur venait nous narguer à la gare. Un couple d'adolescents se dispute dans la gare, le mec demande 20 euros à la fille, mais elle ne veut pas lui donner, une dame (environ 70 ans) s'interpose, les insultes pleuvent envers la dame, dans la salle de la gare il y avait beaucoup de clients, tout le monde baisse la tete, personne intervient. On vit dans une epoque ou l'indifference est omnipresente. Au guichet en etant en contact toute la journée avec la clientele tu meux t'apercevoir que les formules de politesse n'existent plus, les insultent pleuvent pour tout ou n'importe quoi,les gens sont aigris,mechants.
  23. bien sur on n'est pas sorti de tout de la crise, ce sont les autorités qui veulent endormir les francais en leur disant que tout va bien, sans parler de la désinformation de la presse et Tv francaise le pire c'est que Luc Chatel, porte-parole de l'UMP ose dire : « Ce que nous constatons, et c'est l'ensemble des observateurs qui le disent, c'est qu'au total cette nuit de la Saint-Sylvestre s'est plutôt bien passée. » . 425 véhicules incendiés (100 vehicules de plus que l'année passé!). Donc tout va bien , il n' y a eu que 425 vehicule incendiés, tout les soirs il y a 100 voitures incendiés, tout va bien!, il faudrait meme sabrer le champagne tellement les choses vont bien!. Sur Le Figaro, il y a quelque semaines, il y avait un article qui disait que la France est le seul pays au monde ou on incendie des voitures a titre gratuit.
  24. a mon avis il y a que 3 personnes qui portent plainte car les gens on peur des represailles, les "jeunes" ne feront sans doute pas de prison et on va encore leur trouver une excuse.
  25. bonsoir Audrey," oui tu as raison sur toute la ligne, tu dis "faire évouluer les agents", ce que je vois apres 9 ans de guichet ce sont surtout des DPX qui font EVOLUER leur carriere, le bien etre et l'epanuissement des agents c'est leur dernier souci!. Sans parler d'agents qui sont dans les "petits papiers" des DPX et qui peuvent faire ce qu'ils veulent!
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