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Le Web des Cheminots

Pédophiles , consanguins , chômeurs ....


zoreglube

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Invité Boloss78

Je suis Supporter de L'OM. Des cons comme ca y en a dans tous les clubs, quoi que certains club ont une image impeccable de leur supporter ( Lens, Nantes etc..) Mais dans des Clubs comme l'OM, PSG, ou les ultras on des membres fascistes, homophobes, et j'en passe. Je pense qu'une solution TRES severe serait la bienvenue. Les interdictions de Stades de 3 mois etc.. cest comme les peine de prisons, cest a qui qui en aurais fait le plus. Ca vaut rien, les amendes, travaux d'interet generaux etc.. Serais la bienvenue.

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La liberté d'expression doit certes être preservé à tout prix, je ne sais plus qui a dit : "je ne suis pas d'accord avec votre opinion mais je me battrais pour que vous puissiez l'exprimer", mais ce cas n'est pas de la liberté d'expression, mais de l'insulte et de la diffamation donc passible de sanctions.

Je ne suis pas pour le sytème carcéral actuel, c'est "gens" revoltages là pourrait-être condamné à des peine de travaux d'intérêts généraux dans des associations caritatives ou autres.

Voltaire.

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La liberté d'expression doit certes être preservé à tout prix, je ne sais plus qui a dit : "je ne suis pas d'accord avec votre opinion mais je me battrais pour que vous puissiez l'exprimer", mais ce cas n'est pas de la liberté d'expression, mais de l'insulte et de la diffamation donc passible de sanctions.

Je ne suis pas pour le sytème carcéral actuel, c'est "gens" cestachier là pourrait-être condamné à des peine de travaux d'intérêts généraux dans des associations caritatives ou autres.

et dans le Nord / Pas de Calais cestachierrevoltages :Smiley_32:

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Bonjour à tous,

Cette affaire m'en rappel une autre concernant ma propre "minorité". Les propos sont certes moins durs mais ils proviennent du plus grand hooligan de France:

http://www.dailymotion.com/relevance/searc...-bretons_events

http://www.dailymotion.com/relevance/searc...cons-en-bretagn

http://www.ouest-france.fr/Nicolas-Sarkozy...-----_actu.html

http://www.breizhoo.fr/informations/actual...es-bretons.html

Le problème pour une vengeance "pied de nez" proportionné des gars du Corsen c'est qu'on est pas près de voir l'agité en question sur le yacht de Bolloré (traître... revoltages ) en plein milieu du fromveur en pleine tempête de suroît (perso je transpose volontier cette image par une tempête de noroît dans le chenal du four).

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Salut mes Gins !

> >

> > ci- joint un ptit poème qui circule sur le net dans notre région

> >

> >

> >

> >

> > Sujet : Un petit poème pour les parisiens...

> >

> >

> > Chers amis parisiens,

> > Depuis k'ta mi eut'banderole, tout ch'pays I s'affole

> > Chez nouzotre té viendro, pour un gloglo té passero

> > Mi chui fier d'être ch'ti, ti te l'emportra nin au paradis

> > T croyo nous faire d'maux mais jeudi c tin club qui va braire

> > El'commission d'discipline va trancher, et t'gif elle va bonkter

> > Chez nouzotre y'a pt'être des chomeurs, mais chez ti keskia comme

> > branleurs

> > Un fo de plus le psg s'est fait remarquer, mais cette fo chi vous aller

> > en chier

> > Et pi quand té sra dan'lbrin, en ligue 2 té pourras compter tes points

> > Ni ch'public lensois, ni la région ne mérito ça

> > Les boubourses ont parlé, notre coeur ne peut vous pardonner

> >

> >

> > Petite citation pour finir :

> >

> > "Vous puez la honte tellement fort, que notre maroilles à côté fait

> > figure de déodorant !"

> >

> >

> >

> > VIVE LES CH'TIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Salut mes Gins !

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> > ci- joint un ptit poème qui circule sur le net dans notre région

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> > Sujet : Un petit poème pour les parisiens...

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> > Chers amis parisiens,

> > Depuis k'ta mi eut'banderole, tout ch'pays I s'affole

> > Chez nouzotre té viendro, pour un gloglo té passero

> > Mi chui fier d'être ch'ti, ti te l'emportra nin au paradis

> > T croyo nous faire d'maux mais jeudi c tin club qui va braire

> > El'commission d'discipline va trancher, et t'gif elle va bonkter

> > Chez nouzotre y'a pt'être des chomeurs, mais chez ti keskia comme

> > branleurs

> > Un fo de plus le psg s'est fait remarquer, mais cette fo chi vous aller

> > en chier

> > Et pi quand té sra dan'lbrin, en ligue 2 té pourras compter tes points

> > Ni ch'public lensois, ni la région ne mérito ça

> > Les boubourses ont parlé, notre coeur ne peut vous pardonner

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> > Petite citation pour finir :

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> > "Vous puez la honte tellement fort, que notre maroilles à côté fait

> > figure de déodorant !"

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> > VIVE LES CH'TIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!

salut

:Smiley_48:bigbisous:Smiley_26: +1 et vive les ch'tis

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Salut mes Gins !

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> > ci- joint un ptit poème qui circule sur le net dans notre région

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> > Sujet : Un petit poème pour les parisiens...

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> > Chers amis parisiens,

> > Depuis k'ta mi eut'banderole, tout ch'pays I s'affole

> > Chez nouzotre té viendro, pour un gloglo té passero

> > Mi chui fier d'être ch'ti, ti te l'emportra nin au paradis

> > T croyo nous faire d'maux mais jeudi c tin club qui va braire

> > El'commission d'discipline va trancher, et t'gif elle va bonkter

> > Chez nouzotre y'a pt'être des chomeurs, mais chez ti keskia comme

> > branleurs

> > Un fo de plus le psg s'est fait remarquer, mais cette fo chi vous aller

> > en chier

> > Et pi quand té sra dan'lbrin, en ligue 2 té pourras compter tes points

> > Ni ch'public lensois, ni la région ne mérito ça

> > Les boubourses ont parlé, notre coeur ne peut vous pardonner

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> > Petite citation pour finir :

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> > "Vous puez la honte tellement fort, que notre maroilles à côté fait

> > figure de déodorant !"

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> > VIVE LES CH'TIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!

bigbisous

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Eh oui, dans le 62 on est pas stressé comme chez vous, on est plus sympa, le paysage n'a rien à voir, etc etc etc lapleunicheuse

t'as raison , c'est pourquoi j' y habite controleursncf

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Actuellement , il y a le marathon de Paris .Au départ + de 30 000 personnes , et des milliers de banderolles = pas une de déplaçées :Smiley_11:

Vivi la course à pieds !

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Et à votre avis, les brillantes analyses de la Presse alors que l'affaire d'Outreau était instruite, puis jugée une première fois, n'ont pas un peu contribué à nourrir la c....e de comptoir ?

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Bonjour ,

Un succès qui devrait couvrir de honte les auteurs de la banderole injurieuse , les ch'tits vont égaler et dépasser ce jour le record

d'entrées Français d'un film projeté dans notre pays .

Alors bienvenue chez les Ch'tits en très grande vadrouille :blush: revoltages

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Y'a eu des posts censés dans ce topic, et d'autres, complètement à la ramasse.

Comme il a été dit, si les médias n'avaient pas parlé de cette fameuse banderole, tout le monde s'en foutrait. zzz

Bref, une bonne grosse dose d'hypocrisie la dedans, comme d'habitude.

Vous voulez être choqués?

Que pensez vous de ça: "Stephanois, ordures consanguines"

Ou encore de "Pendant que les gones inventaient le cinéma, vos pères crevaient dans les mines"

Ou même "Marseille, la planète des singes"

Ces belles phrases étant des banderoles des Lyonnais à leurs rivaux stéphanois lors de derbys ou aux marseillais lors de chocs du championnat.

Evidemment, je pense que très peu d'entre vous connaissent ces banderoles, étant donné qu'elles n'ont pas eu droit au même traitement médiatique que celles du stade de France. (mais qui sont tout aussi sujet à controverse)

Vous en voulez d'autres?

"Ce soir, le coup de grisou, c'est nous"

"T'es chomeur, tu pues, tu bois, t'es supporter lensois"

Joyeusetées déployées par ces idylliques chti's lillois pour leurs amis boyaux rouges. (seulement là on parle de folklore, de querelles de clocher, et non de provocation à la haine et à la violence mdrmdr )

Tenez, une autre: "Le Havre verrue de Normandie, ville ordure, brulons là"

De la part des Rouennais lors d'un derby normand.

Et y'en a des tas d'autres, ceci est une pratique répandue depuis la nuit des temps dans les stades de foot, alors faut arreter de feinter, de croire qu'on découvre un phénomène nouveau!

Y'a pas des trucs plus graves en France que de donner autant d'importance à une banderole, qui certes peut choquer, mais qui est, qu'on le veuille ou non de l'humour noir?

Quand t'as des trucs du même style aux Guignols ou à Groland on applaudit, et on met ça sur le compte du droit à l'outrage, mais quand ce sont des supporters du PSG qui utilisent ce principe, la France hypocrite et bien pensante s'offusque?

On se moque de qui là?

Dédicace à l'autre blaireau qui dit que les supporters du PSG sont tous des cons, super la généralité, quel modèle de clairvoyance et de tolérance, erf, va te pendre controleursncf !

Bon sang, alors quand les médias montent l'opinion publique contre les cheminots, vous êtes tous là à pinailler, à crier au scandale, et là vous rentrez carrément dans leur jeu grotesque, sans connaître les détails, les aboutissants, ect.

Y'a eu 150 bléssés à l'entrée du stade coté parisien, à cause d'une gestion catastrophique de la police, et ça qui en a parlé? Hein?

Des enfants et des femmes ont étés bléssés, mais tout le monde s'en fout. lotrela

Même des flics en civil qui n'étaient pas en service et qui étaient venus voir le match à titre privé ont étés bléssés dans ces incidents par leurs collègues, et ils ont saisi l'IGPN pour une enquête d'ailleurs.

Vous êtes là à vous demander comment ces gens ont pu rentrer cette banderole, mais vous êtes serieux?

Vous pensez pas qu'avec un minimum d'organisation, les gens peuvent faire ce qu'ils veulent?

Quand vous voyez que des terroristes arrivent à faire passer des couteaux ou des explosifs dans des avions, face à des vigiles et policiers professionnels, que devrait-on dire de supporters indépendant face à des stadiers du dimanche payés 30 euros la soirée pour faire de la palpation superficielle!

Bref, je conçois parfaitement que des gens aient pu se sentir bléssés par cette banderole, mais faut peter un coup, sinon faut pas regarder des anciens sketchs de Coluche ou des Inconnus, sinon y'a pas mal de monde qui pourrait monter sur ses grands chevaux, tellement la France est devenue hypocrite et faussement susceptible. :)

Mattez cette banderole de supporters niçois, et petez un coup messieurs, les stades sont un des derniers lieux d'expression populaire dans ce pays, c'est pas pour rien tout ce déchainement médiatique.

Bref, faut savoir que les supps du PSG en prennent plein la face partout où ils vont en province (hormis en Bretagne et quelques autres villes) et qu'ils ne pleurnichent pas à la moindre banderole ou tifo insultant.

Y'a pas de fumée sans feu, mais faut remonter très loin dans le temps pour trouver les origines de tout ça, et j'ai la flemme ce soir de faire un cours d'histoire.

On va dire qu'il y'a 2 ans, à la sortie du stade Bollaert, les supps du PSG ont étés bombardés par autre chose que des frites et fricandelle au niveau du macdo (pour ceux qui connaissent) et que depuis y'a une certaine rancune qui s'installe. (mais ça evidemment, vu que les journaleux n'en parlent pas, le français moyen ne peut pas être au jus :) )

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Y'a eu des posts censés dans ce topic, et d'autres, complètement à la ramasse.

Tandis que toi, tu es largement au-dessus de tout ça... controleursncf

Quant au reste de ton message, si j'ai bien suivi, il n'y a qu'une seule solution : supprimer le foot. lotrela

Modifié par Roukmoute
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Y'a eu des posts censés dans ce topic, et d'autres, complètement à la ramasse.

Comme il a été dit, si les médias n'avaient pas parlé de cette fameuse banderole, tout le monde s'en foutrait. zzz

Bref, une bonne grosse dose d'hypocrisie la dedans, comme d'habitude.

Vous voulez être choqués?

Que pensez vous de ça: "Stephanois, ordures consanguines"

Ou encore de "Pendant que les gones inventaient le cinéma, vos pères crevaient dans les mines"

Ou même "Marseille, la planète des singes"

Ces belles phrases étant des banderoles des Lyonnais à leurs rivaux stéphanois lors de derbys ou aux marseillais lors de chocs du championnat.

Evidemment, je pense que très peu d'entre vous connaissent ces banderoles, étant donné qu'elles n'ont pas eu droit au même traitement médiatique que celles du stade de France. (mais qui sont tout aussi sujet à controverse)

Vous en voulez d'autres?

"Ce soir, le coup de grisou, c'est nous"

"T'es chomeur, tu pues, tu bois, t'es supporter lensois"

Joyeusetées déployées par ces idylliques chti's lillois pour leurs amis boyaux rouges. (seulement là on parle de folklore, de querelles de clocher, et non de provocation à la haine et à la violence mdrmdr )

Tenez, une autre: "Le Havre verrue de Normandie, ville ordure, brulons là"

De la part des Rouennais lors d'un derby normand.

Et y'en a des tas d'autres, ceci est une pratique répandue depuis la nuit des temps dans les stades de foot, alors faut arreter de feinter, de croire qu'on découvre un phénomène nouveau!

Y'a pas des trucs plus graves en France que de donner autant d'importance à une banderole, qui certes peut choquer, mais qui est, qu'on le veuille ou non de l'humour noir?

Quand t'as des trucs du même style aux Guignols ou à Groland on applaudit, et on met ça sur le compte du droit à l'outrage, mais quand ce sont des supporters du PSG qui utilisent ce principe, la France hypocrite et bien pensante s'offusque?

On se moque de qui là?

Dédicace à l'autre blaireau qui dit que les supporters du PSG sont tous des cons, super la généralité, quel modèle de clairvoyance et de tolérance, erf, va te pendre mdrmdr !

Bon sang, alors quand les médias montent l'opinion publique contre les cheminots, vous êtes tous là à pinailler, à crier au scandale, et là vous rentrez carrément dans leur jeu grotesque, sans connaître les détails, les aboutissants, ect.

Y'a eu 150 bléssés à l'entrée du stade coté parisien, à cause d'une gestion catastrophique de la police, et ça qui en a parlé? Hein?

Des enfants et des femmes ont étés bléssés, mais tout le monde s'en fout. revoltages

Même des flics en civil qui n'étaient pas en service et qui étaient venus voir le match à titre privé ont étés bléssés dans ces incidents par leurs collègues, et ils ont saisi l'IGPN pour une enquête d'ailleurs.

Vous êtes là à vous demander comment ces gens ont pu rentrer cette banderole, mais vous êtes serieux?

Vous pensez pas qu'avec un minimum d'organisation, les gens peuvent faire ce qu'ils veulent?

Quand vous voyez que des terroristes arrivent à faire passer des couteaux ou des explosifs dans des avions, face à des vigiles et policiers professionnels, que devrait-on dire de supporters indépendant face à des stadiers du dimanche payés 30 euros la soirée pour faire de la palpation superficielle!

Bref, je conçois parfaitement que des gens aient pu se sentir bléssés par cette banderole, mais faut peter un coup, sinon faut pas regarder des anciens sketchs de Coluche ou des Inconnus, sinon y'a pas mal de monde qui pourrait monter sur ses grands chevaux, tellement la France est devenue hypocrite et faussement susceptible. ;)

Mattez cette banderole de supporters niçois, et petez un coup messieurs, les stades sont un des derniers lieux d'expression populaire dans ce pays, c'est pas pour rien tout ce déchainement médiatique.

081ch2.jpg

Bref, faut savoir que les supps du PSG en prennent plein la face partout où ils vont en province (hormis en Bretagne et quelques autres villes) et qu'ils ne pleurnichent pas à la moindre banderole ou tifo insultant.

Y'a pas de fumée sans feu, mais faut remonter très loin dans le temps pour trouver les origines de tout ça, et j'ai la flemme ce soir de faire un cours d'histoire.

On va dire qu'il y'a 2 ans, à la sortie du stade Bollaert, les supps du PSG ont étés bombardés par autre chose que des frites et fricandelle au niveau du macdo (pour ceux qui connaissent) et que depuis y'a une certaine rancune qui s'installe. (mais ça evidemment, vu que les journaleux n'en parlent pas, le français moyen ne peut pas être au jus ;) )

désolé de passer pour un français myen mais effectivement , je ne suis pas au courant de tout cela mais je croyais que dans un stade on y faisait du sport .....Et pour une fois et selon tes termes , je suis ravi d'être classé "français " moyen car le type de chose que tu décris correspond plus à de la bétise humaine qu'à une rencontre sportive .Vivement que les fosses aux lions soient réouvertes ...il y aura des volontaires !

Modifié par MarcM
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Tandis que toi, tu es largement au-dessus de tout ça... revoltages

Sans avoir la prétention de dire ça, on va dire qu'un minimum de recul permet de relativiser face au reste de l'actualité. ;)

Quant au reste de ton message, si j'ai bien suivi, il n'y a qu'une seule solution : supprimer le foot. mdrmdr

Sans vouloir raisonner par l'absurde, en sortie de boîte on a énormément de bagarres, avec malheureusement des morts à la clé (pourtant on va pas en boîte pour se faire casser la bouche ou se faire tuer ;) ), est-ce pour cela qu'il faut fermer toutes les boîtes et autres lieux de rassemblement?

Pareil pour les manifestations dans la rue, y'en a tellement qui dérapent, avec pareil, bléssés et incidents à la clé, faut-il pour autant les supprimer complètement?

C'est un vaste débat, les phénomènes de société, faut les comprendre, les analyser, mais comme vous le savez, faut pas compter sur nos médias habituels pour ça. mdrmdr

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Tandis que toi, tu es largement au-dessus de tout ça... mdrmdr

Quant au reste de ton message, si j'ai bien suivi, il n'y a qu'une seule solution : supprimer le foot. revoltages

Sans en arriver là il faut reconnaitre que la mentalité de certains supporters est a "gerber" et que personne ne trouve la solution. Quand on regarde des match de Rugby l'ambiance est tout autre (jusqu'a présent). Qui sont donc ces supporters qui foutent le bordel et ne respectent l'éthique du sport ? Comment se fait-il qu'on arrive pas a les contrer ? Il y a-t-il même la volonté de le faire ? car c'est bien connu tout a un coût......

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  • 2 semaines plus tard...

PSG : Le crépuscule des Boys

vendredi 18 avril 2008, par Amaury Boucheteil

Plus ancienne association de supporters du Parc des Princes, les Boulogne Boys sont aujourd’hui dans l’œil du cyclone. Pourtant, ils sont loin d’incarner à eux seuls une tribune Boulogne bien plus complexe et diverse qu’il n’y parait. Alors, les Boys : véritable danger ou association sacrifiée pour satisfaire la vox populi ?

Le doigt inquisiteur ne parle plus que d’eux depuis la semaine dernière. Réussissant la prouesse de reléguer Michel Fourniret et le Tibet au second plan, les Boulogne Boys sont devenus depuis quinze jours une sorte Bande à Bader à abattre, les Mesrine du supporterisme. Juchés dans le haut de la tribune Boulogne et déployant une bâche visible de tout le stade, on croit, à tort, que les Boulogne Boys, sont l’incarnation de toute une tribune. Et pourtant, si une cohésion existe bel et bien à Boulogne, la diversité est aussi de mise.

Fondés en 1985, les Boys sont un des premiers groupes structurés créés en France. A Boulogne, ils doivent se faire une place dans une tribune, traversée par divers mouvements comme les punks, les skinheads, les anarchistes et surtout choisir leur place entre d’une part, les tenants d’une tribune à l’anglaise, c’est à dire totalement indépendante, et d’autre part, ceux du modèle Italien préférant les tifos, les bâches revendiquant le nom d’un groupe et le passage en association. Les Boys naissent donc sur cette ligne de fracture : un peu d’italianité dans une tribune d’aspiration anglo-saxonne. Dès leur origine, les Boys devront composer avec cette particularité.

Une place à se faire

Pourtant, très tôt, les Boulogne Boys vont alimenter la machine à fantasmes médiatiques. Partie visible de l’incontrôlable tribune Boulogne, ils vont vite en devenir l’étendard malgré eux. Car la tribune Boulogne va acquérir pendant les années 1980 sa réputation de lieu violent et pire, raciste, xénophobe et antisémite. Mais cette image de tribune dure, les Boys vont aussi en jouer pendant un certain temps car cela permet d’entretenir une sorte de mythe très utile au moment de rouler des mécaniques dans les autres stades. Bref, à la fin des années 1980, la tribune se confond avec son association malgré une réalité infiniment plus complexe.

Trop heureux d’être craints partout où ils vont, les Boys vont néanmoins déchanter en 1991. Soutenant fortement Canal+ et son projet de reprise, ils se sentent lésés lorsque, une fois au pouvoir, la chaine cryptée veut se débarrasser de cette tribune à la réputation sulfureuse en proposant à certains, subventions à la clé, de s’installer en tribune Auteuil. D’anciens Boys iront alors fonder les Lutèce Falco dans la tribune d’en face. Cette fois l’ambiance au Parc ne dépend plus seulement d’eux. Pire, la tribune Boulogne devient infréquentable et infiltrée par des éléments incontrôlables. Gangrénés par l’extrême droite et les fous de violence, les Boulogne Boys sont alors montrés du doigt et ce, surtout après le tragique PSG-Caen de 1993, alors même que les incidents se déroulaient dans la partie basse de la tribune Boulogne (les Boys sont en haut).

Les leaders de Boulogne ?

Groupe le plus en vue de la tribune mais n’ayant au final qu’un pouvoir limité, les Boys sont en première ligne à une époque où le hooliganisme français devient un sujet de société. Clouée au pilori, la tribune Boulogne devient dans les journaux une avant-garde skinhead d’extrême droite dirigée par les Boulogne Boys. Pour tous, l’affaire est entendue comme cela. Les Boys de toute façon ne se défendent que mollement de ses accusations et pour cause, l’association est déjà parasitée par « les indépendants », les véritables patrons de la tribune. Invisibles et inaudibles pour le commun des mortels, les indépendants gangrènent pourtant la tribune depuis bien longtemps.

Souvent responsables des pires exactions commises dans le Parc ou à l’extérieur, les indépendants terrorisent partout où ils passent, c’est leur marque de fabrique. Ce sont eux qui orchestrent les ratonades et les « fights » sur les autoroutes, eux qui se sont lancés dans une lutte quasi armée avec l’association des Tigris Mystic aujourd’hui dissoute. Et les Boys dans tout ça ? Au mieux, ils dénoncent la violence mais pas leurs auteurs, au pire ils sont complices et participent aux coups de poings. Car le souci, c’est que les médias les ont érigés en leaders d’une tribune qu’ils ne maitrisent pas. Dénoncer avec virulence les agissements des indépendants pourrait donc s’avérer vain pour les Boys mis en difficulté dans leur propre tribune.

Une solidarité fatale

Néanmoins, d’une manière générale, l’esprit qui traverse Boulogne est « la solidarité » avec les membres de l’association voire de la tribune fussent-ils infréquentables. Une proximité, pour ne pas dire une connivence, s’est donc instaurée entre Boys et indépendants. Le fruit de tout cela est que des membres de l’association se sont trouvés impliqués dans des plusieurs faits divers peu reluisants. Mieux, les Boys prennent régulièrement fait et cause dans la tribune pour les indépendants tout en édulcorant leur discours à l’extérieur. Une véritable schizophrénie !!

Depuis un an, la pression s’est accentuée sur eux. En novembre 2006, la mort d’un des leurs, Julien Quemener (tué d’une balle par un policier après PSG-Hapoel Tel-Aviv), a traumatisé les membres de la tribune mais a mis en lumière l’ambigüité des Boys vis-à-vis des éléments les plus durs des Indépendants (auxquels ledit Julien Quemener n’appartenait pas). A ce titre, le manque de discernement des médias dans le traitement des éléments du 23 novembre 2006 a surement conduit les Boys à se radicaliser du moins dans le verbe.

Le drame de 2006

L’affaire de la banderole de la finale de la Coupe de la Ligue est donc le coup de grâce pour les Boys, désormais dissout par le Ministère de l’Intérieur. Les premiers éléments de l’enquête seraient accablants pour l’association (et le PSG) puisque la banderole aurait été confectionnée dans les locaux des Boulogne Boys et que l’une des personnes interpellées ferait partie du bureau de l’association. La condamnation du message n’y a pas suffit. Naïfs ou franchement connivents avec les indépendants, les Boys paient chèrement l’ambigüité entretenue depuis trop longtemps avec la pègre du Parc.

On peut toutefois se demander si la dissolution de l’association est la sanction la plus adaptée à la situation. Si elle est une excellente opération de communication, la dissolution des Boys pourrait être une véritable catastrophe. Loin de toucher le vrai problème du Parc, à savoir les indépendants, elle risque de radicaliser certains membres des Boulogne Boys. Pire, il n’y aura désormais plus aucun interlocuteur dans la tribune Boulogne ce qui pourrait rendre les habitués de la tribune incontrôlables surtout lors des déplacements. Les indépendants de leur côté n’attendent que cette dissolution car ils sont par essence opposés à toute forme de structure. Ils se sont accommodés des Boys puis les ont instrumentalisés. Assurément, ils n’ont pas versé de larmes lorsque le couperet est tombé pour les Boys.

Une dissolution pour satisfaire la vox populi ?

Mais le grand perdant dans tout cela, est surement le PSG qui voit son association historique tomber dans l’abîme dans une saison où le club parvient déjà difficilement à se maintenir à flot. Privé d’un de ses plus anciens et fidèles soutiens, c’est un peu l’âme du PSG qui se retire sous les lazzis des médias. Car, si les Boys sont, à bien des égards, condamnables pour leur ambigüité, on ne saurait leur denier une vraie utilité pour le football à Paris. C’est par exemple leur abnégation qui a sauvé le maillot historique du PSG dessiné par Daniel Hechter, eux qui se sont heurtés à Canal + pour revenir au logo historique quand la chaine cryptée voulait faire table rase du passé. Mieux, ils ont largement contribué au maintien du PSG au Parc des Princes (le Parc est à nous, Saint Denis on s’en fout !) à une époque où les dirigeants du football français cherchaient le pigeon parfait pour occuper le Stade de France. Bref, les Boys ont aussi été les garants d’une tradition et d’une histoire dans un club à qui on reproche justement de n’en avoir aucune.

Pourtant, les caciques du Ministère de l’Intérieur paraissent faire la sourde oreille à cette facette là des Boulogne Boys ne préférant retenir que la caricature médiatique qui en est faite. Le peuple veut une mise à mort, il l’a eu. A l’heure où le club se débat dans les tréfonds du classement de L1, sa plus vielle association, compagnon de galère et d’infortune va sombrer avec le navire. La devise de Paris, dit « flotte mais ne coule pas » (« fluctuat nec mergitur »). Pour le football à Paris, ce serait plutôt, « avons flotté ensemble, coulerons ensemble ». Messieurs, le football à Paris se meurt.

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PSG : Le crépuscule des Boys

vendredi 18 avril 2008, par Amaury Boucheteil

Plus ancienne association de supporters du Parc des Princes, les Boulogne Boys sont aujourd'hui dans l'œil du cyclone. Pourtant, ils sont loin d'incarner à eux seuls une tribune Boulogne bien plus complexe et diverse qu'il n'y parait. Alors, les Boys : véritable danger ou association sacrifiée pour satisfaire la vox populi ?

Le doigt inquisiteur ne parle plus que d'eux depuis la semaine dernière. Réussissant la prouesse de reléguer Michel Fourniret et le Tibet au second plan, les Boulogne Boys sont devenus depuis quinze jours une sorte Bande à Bader à abattre, les Mesrine du supporterisme. Juchés dans le haut de la tribune Boulogne et déployant une bâche visible de tout le stade, on croit, à tort, que les Boulogne Boys, sont l'incarnation de toute une tribune. Et pourtant, si une cohésion existe bel et bien à Boulogne, la diversité est aussi de mise.

Fondés en 1985, les Boys sont un des premiers groupes structurés créés en France. A Boulogne, ils doivent se faire une place dans une tribune, traversée par divers mouvements comme les punks, les skinheads, les anarchistes et surtout choisir leur place entre d'une part, les tenants d'une tribune à l'anglaise, c'est à dire totalement indépendante, et d'autre part, ceux du modèle Italien préférant les tifos, les bâches revendiquant le nom d'un groupe et le passage en association. Les Boys naissent donc sur cette ligne de fracture : un peu d'italianité dans une tribune d'aspiration anglo-saxonne. Dès leur origine, les Boys devront composer avec cette particularité.

Une place à se faire

Pourtant, très tôt, les Boulogne Boys vont alimenter la machine à fantasmes médiatiques. Partie visible de l'incontrôlable tribune Boulogne, ils vont vite en devenir l'étendard malgré eux. Car la tribune Boulogne va acquérir pendant les années 1980 sa réputation de lieu violent et pire, raciste, xénophobe et antisémite. Mais cette image de tribune dure, les Boys vont aussi en jouer pendant un certain temps car cela permet d'entretenir une sorte de mythe très utile au moment de rouler des mécaniques dans les autres stades. Bref, à la fin des années 1980, la tribune se confond avec son association malgré une réalité infiniment plus complexe.

Trop heureux d'être craints partout où ils vont, les Boys vont néanmoins déchanter en 1991. Soutenant fortement Canal+ et son projet de reprise, ils se sentent lésés lorsque, une fois au pouvoir, la chaine cryptée veut se débarrasser de cette tribune à la réputation sulfureuse en proposant à certains, subventions à la clé, de s'installer en tribune Auteuil. D'anciens Boys iront alors fonder les Lutèce Falco dans la tribune d'en face. Cette fois l'ambiance au Parc ne dépend plus seulement d'eux. Pire, la tribune Boulogne devient infréquentable et infiltrée par des éléments incontrôlables. Gangrénés par l'extrême droite et les fous de violence, les Boulogne Boys sont alors montrés du doigt et ce, surtout après le tragique PSG-Caen de 1993, alors même que les incidents se déroulaient dans la partie basse de la tribune Boulogne (les Boys sont en haut).

Les leaders de Boulogne ?

Groupe le plus en vue de la tribune mais n'ayant au final qu'un pouvoir limité, les Boys sont en première ligne à une époque où le hooliganisme français devient un sujet de société. Clouée au pilori, la tribune Boulogne devient dans les journaux une avant-garde skinhead d'extrême droite dirigée par les Boulogne Boys. Pour tous, l'affaire est entendue comme cela. Les Boys de toute façon ne se défendent que mollement de ses accusations et pour cause, l'association est déjà parasitée par « les indépendants », les véritables patrons de la tribune. Invisibles et inaudibles pour le commun des mortels, les indépendants gangrènent pourtant la tribune depuis bien longtemps.

Souvent responsables des pires exactions commises dans le Parc ou à l'extérieur, les indépendants terrorisent partout où ils passent, c'est leur marque de fabrique. Ce sont eux qui orchestrent les ratonades et les « fights » sur les autoroutes, eux qui se sont lancés dans une lutte quasi armée avec l'association des Tigris Mystic aujourd'hui dissoute. Et les Boys dans tout ça ? Au mieux, ils dénoncent la violence mais pas leurs auteurs, au pire ils sont complices et participent aux coups de poings. Car le souci, c'est que les médias les ont érigés en leaders d'une tribune qu'ils ne maitrisent pas. Dénoncer avec virulence les agissements des indépendants pourrait donc s'avérer vain pour les Boys mis en difficulté dans leur propre tribune.

Une solidarité fatale

Néanmoins, d'une manière générale, l'esprit qui traverse Boulogne est « la solidarité » avec les membres de l'association voire de la tribune fussent-ils infréquentables. Une proximité, pour ne pas dire une connivence, s'est donc instaurée entre Boys et indépendants. Le fruit de tout cela est que des membres de l'association se sont trouvés impliqués dans des plusieurs faits divers peu reluisants. Mieux, les Boys prennent régulièrement fait et cause dans la tribune pour les indépendants tout en édulcorant leur discours à l'extérieur. Une véritable schizophrénie !!

Depuis un an, la pression s'est accentuée sur eux. En novembre 2006, la mort d'un des leurs, Julien Quemener (tué d'une balle par un policier après PSG-Hapoel Tel-Aviv), a traumatisé les membres de la tribune mais a mis en lumière l'ambigüité des Boys vis-à-vis des éléments les plus durs des Indépendants (auxquels ledit Julien Quemener n'appartenait pas). A ce titre, le manque de discernement des médias dans le traitement des éléments du 23 novembre 2006 a surement conduit les Boys à se radicaliser du moins dans le verbe.

Le drame de 2006

L'affaire de la banderole de la finale de la Coupe de la Ligue est donc le coup de grâce pour les Boys, désormais dissout par le Ministère de l'Intérieur. Les premiers éléments de l'enquête seraient accablants pour l'association (et le PSG) puisque la banderole aurait été confectionnée dans les locaux des Boulogne Boys et que l'une des personnes interpellées ferait partie du bureau de l'association. La condamnation du message n'y a pas suffit. Naïfs ou franchement connivents avec les indépendants, les Boys paient chèrement l'ambigüité entretenue depuis trop longtemps avec la pègre du Parc.

On peut toutefois se demander si la dissolution de l'association est la sanction la plus adaptée à la situation. Si elle est une excellente opération de communication, la dissolution des Boys pourrait être une véritable catastrophe. Loin de toucher le vrai problème du Parc, à savoir les indépendants, elle risque de radicaliser certains membres des Boulogne Boys. Pire, il n'y aura désormais plus aucun interlocuteur dans la tribune Boulogne ce qui pourrait rendre les habitués de la tribune incontrôlables surtout lors des déplacements. Les indépendants de leur côté n'attendent que cette dissolution car ils sont par essence opposés à toute forme de structure. Ils se sont accommodés des Boys puis les ont instrumentalisés. Assurément, ils n'ont pas versé de larmes lorsque le couperet est tombé pour les Boys.

Une dissolution pour satisfaire la vox populi ?

Mais le grand perdant dans tout cela, est surement le PSG qui voit son association historique tomber dans l'abîme dans une saison où le club parvient déjà difficilement à se maintenir à flot. Privé d'un de ses plus anciens et fidèles soutiens, c'est un peu l'âme du PSG qui se retire sous les lazzis des médias. Car, si les Boys sont, à bien des égards, condamnables pour leur ambigüité, on ne saurait leur denier une vraie utilité pour le football à Paris. C'est par exemple leur abnégation qui a sauvé le maillot historique du PSG dessiné par Daniel Hechter, eux qui se sont heurtés à Canal + pour revenir au logo historique quand la chaine cryptée voulait faire table rase du passé. Mieux, ils ont largement contribué au maintien du PSG au Parc des Princes (le Parc est à nous, Saint Denis on s'en fout !) à une époque où les dirigeants du football français cherchaient le pigeon parfait pour occuper le Stade de France. Bref, les Boys ont aussi été les garants d'une tradition et d'une histoire dans un club à qui on reproche justement de n'en avoir aucune.

Pourtant, les caciques du Ministère de l'Intérieur paraissent faire la sourde oreille à cette facette là des Boulogne Boys ne préférant retenir que la caricature médiatique qui en est faite. Le peuple veut une mise à mort, il l'a eu. A l'heure où le club se débat dans les tréfonds du classement de L1, sa plus vielle association, compagnon de galère et d'infortune va sombrer avec le navire. La devise de Paris, dit « flotte mais ne coule pas » (« fluctuat nec mergitur »). Pour le football à Paris, ce serait plutôt, « avons flotté ensemble, coulerons ensemble ». Messieurs, le football à Paris se meurt.

dans un stade....on y fait du sport , je crois !

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