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Le Web des Cheminots

Le Bar de la Rotonde


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Olivier Besancenot gagne en justice contre Taser France

Le dirigeant d'extrême-gauche Olivier Besancenot a gagné son procès contre la société commercialisant le pistolet électrique Taser devant le tribunal de grande instance de Paris.

Le représentant de la société en France, Antoine Di Zazzo, demandait au porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) 50.000 euros de dommages et intérêts pour avoir écrit sur un site internet et sur son blog en 2007 que le Taser avait fait 150 morts aux Etats-Unis et au Canada.

"La société Taser a été déboutée de toutes ses demandes", a déclaré à la presse Me Antoine Comte, l'avocat de Besancenot.

Depuis le lancement de la procédure, Antoine Di Zazzo a été arrêté par la police et mis en examen à la mi-octobre au motif qu'il aurait ordonné une mise sous surveillance illicite du porte-parole de la LCR par des détectives privés et des policiers dévoyés.

Il ne s'était pas présenté à l'audience le 20 octobre.

Appelé à la barre pour s'expliquer, Olivier Besancenot avait réitéré ses accusations contre cette arme.

Ce pistolet, commercialisé en France par SMP Technologies, la société d'Antoine Di Zazzo, a reçu un agrément officiel pour équiper police et gendarmerie et, depuis quelques semaines, les polices municipales.

Prié de préciser ses accusations, Olivier Besancenot a dit : "J'assume mes propos, je les revendique d'autant plus qu'il s'est passé beaucoup de choses depuis la présidentielle qui me confortent dans mes convictions".

Un représentant d'Amnesty, Benoît Muracciole, est venu témoigner à la barre que son organisation avait constaté que l'arme faisait des morts en étant utilisée sur des personnes vulnérables comme des cardiaques, des drogués, des femmes enceintes, données que les policiers ne peuvent déceler.

Gérard Bon, édité par Yves Clarisse

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Même sur ARTE...

Zemmour et les "races" :

pour Arte le débat était presque parfait.

Bruno Roger-Petit - LePost

Je me suis attiré, ces derniers jours, des foudres diverses suite à mes commentaires relevant (comme d'autres...) les propos récents d'Eric Zemmour, journaliste-polémiste qui estime qu'il existe sur notre planète des "races" différentes d'êtres humains reconnaissables à la couleur de leur peau.

J'ai indiqué à l'occasion qu'il serait instructif d'observer si le système médiatique allait mettre Zemmour au cachot des tricards des medias en compagnie d'autres individus tels Siné, Dieudonné, Bigard, tous jugés coupables après avoir tenu des propos stupides, indignes, provocateurs et insupportables. Je n'avais guère d'illusions sur le résultat, puisque Zemmour dispose d'un pouvoir médiatique et d'un réseau d'amitiés plus grand que les zozos cités ci-dessus. Ca n'est pas tant que je réclamais un châtiment médiatique (c'était de l'ironie, eh oui!), je reconnais à Zemmour le droit de proférer des monstruosités absolument stupides et potentiellement dangereuses, mais je suis toujours agacé par le "deux poids deux mesures" qui règne dans ce genre d'affaires. En l'espèce, force est de constater que c'est bien le cas.

Je suis d'autant plus stupéfait que la production de l'émission elle-même, (la société 2P2L) a visiblement "remonté" l'émission d'Arte, l'expurgeant des éléments visiblement défavorables à Zemmour. C'est la conclusion que l'on peut, hélas, tirer de la lecture du communiqué reproduit ci-dessous et publié par l'un des invités de l'émission. Si ce "remontage" est volontaire, c'est grave. S'il est involontaire, c'est encore plus grave. Je suis bien curieux d'entendre les explications d'Arte, de la production 2P2L et de la présentatrice de l'émission, Isabelle Giordano. Et je suis aussi curieux de voir si nous pourrons un jour visionner cette émission dans son entier.

Droit de réponse du philosophe Vincent Cespedes, relatif à l’émission Paris-Berlin du 13 décembre 2008 (Arte) sur le thème du métissage.

"Les propos de M. Zemmour – qualifiant de « ridicule » la remise en cause scientifique du concept de « races » humaines, se disant « pour la répression » au nom de l’« assimilation » républicaine, ou évoquant des « affrontements de bandes ethniques » dans nos banlieues – provoquent de plus en plus de réactions outrées. Pour ma part, ces propos ne m’ont pas surpris ; je connais les idées de M. Zemmour, ainsi que sa façon de fuir les arguments adverses en pratiquant la surenchère dès qu’il se sent acculé.

Je ne compte pas utiliser mon droit de réponse pour lui faire un « procès », car il a déjà eu lieu pendant l’enregistrement de l’émission (90 min.), lors d’une confrontation houleuse entre lui et moi. Je déplore seulement que mes interventions aient considérablement fondues au montage final (58 min.), ce qui non seulement dénature le sens de ma participation à ce débat, mais surtout fait croire que personne n’a réellement déconstruit les énormités prononcées par M. Zemmour.

Si ma mémoire est bonne, j’ai largement fait ce travail sur le plateau. Relevant ses amalgames (distinguant par exemple le « phénotype » et la « race »), j’ai pointé son manque de probité intellectuelle, dénoncé ses provocations et ses affirmations péremptoires, soutenu en cela par Renan Demirkan et Rokhaya Diallo, mais aussi par un public proprement scandalisé, qui a d’ailleurs pris à parti M. Zemmour. Je déplore que l’on ait choisi de tronquer le cœur de la polémique pour mettre en scène le débat en le soumettant à des impératifs superflus (égalité des temps de parole, télégénie d’un duel Blanc/Noire, crédibilité du polémiste Éric Zemmour à maintenir à tous prix parce qu’il en va de la crédibilité du « casting » et du débat lui-même, etc.). Le montage final fausse la réalité du débat que nous avons eu.

Toutes les idées peuvent être exprimées, même les plus nauséabondes, à condition qu’elles soient analysées, débattues et critiquées avec autant de rigueur dans le fond que de vigueur dans la forme. Tel est le tout premier rôle d’un intellectuel – a fortiori d’un philosophe – lors d’un débat télévisé. Si ma mémoire est bonne, cela a été fait avec énergie et conviction tout au long de l’enregistrement. Ce qui me pose problème, ce qui me « choque », c’est qu’il n’en soit presque rien resté au final.

Toutefois, la mémoire étant sélective, subjective et faillible, le « buzz » autour de l’émission gagnant chaque jour de l’ampleur, je demande au diffuseur (Arte) et au producteur (2P2L) de bien vouloir mettre en ligne l’intégralité de l’enregistrement, ou, à défaut, une retranscription fidèle et exhaustive des échanges. Autrement dit : de faire fi du spectacle au profit du sens."

Vincent Cespedes

Paris, 20 novembre 2008

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ça nous concerne...

on nous surveille...

Les commentaires d'internautes dans le flou juridique

LeMonde.fr

Ce qu'il convient désormais d'appeller "l'affaire de Filippis" a provoqué une levée de bouclier autant chez les journalistes que dans la sphère politique. L'interpellation et la mise en examen de Vittorio de Filippis, PDG de Libération entre juin et décembre 2006, est le résultat d'une plainte en diffamation déposée par le fondateur de Free, Xavier Niel. Pendant cette période, le quotidien consacre six articles aux démêlés judiciaires de M. Niel, reconnu coupable de recel d'abus de biens sociaux. Ce dernier porte alors plainte, non pas contre une information paruedans l'un de ces articles, mais contre un commentaire d'internaute publié sous l'un d'entre-eux. La suite est connue : la procédure pour diffamation suit son cours dans l'indifférence générale jusqu'à l'interpellation musclée et la mise en examen du journaliste, considéré comme responsable car également directeur de la publication. Depuis la loi du 29 juillet 1881 sur la presse, il existe en effet le principe d'une présomption de responsabilité pénale du directeur de la publication.

Selon la loi pour la confiance sur l'économie numérique (LCEN), en vigueur depuis 2004, il existe trois acteurs sur le Web : les fournisseurs d'accès à Internet, qui donnent l'accès et ne sont pas responsables du contenu des sites ; les hébergeurs, qui assurent la mise à disposition d'informations au publicmais ne sont pas soumis à l'obligation de surveillance ; et enfin les éditeurs, professionels ou non, qui sont considérés commes responsables du contenu. Or, relève Me Eric Barbry, avocat spécialisé dans le droit sur Internet, "ce sont des définitions simples mais totalement dépassées quiont été trouvées il y a presque dix ans". "Un environnement Web 2.0, où on laisse la possibilité aux internautesde s'exprimer, est apparu depuis, explique-t-il. On découvre un quatrième acteur, lespersonnes qui commentent les articles ou les blogs, et on ne sait pas où lesmettre. Les réactions et les commentaires de tiers restent une zone juridique floue", explique l'avocat. Dans le cas de Libération, M. de Filippis estpoursuivi en tant qu'éditeur du site du quotidien. Pourtant, aucune loi ne dit explicitement que le directeur de la publication peut être considéré comme éditeur sur Internet. Cela reste à l'appréciation des magistrats qui interprètent seuls la législation. "On peut aussi considérer que l'internaute qui a écrit le commentaire est éditeur, ce qui ferait de Libérationdans ce cas précis un hébergeur. Un hébergeur n'est responsable descontenus hébergés que s'il refuse des les enlever", note Me Barbry.

Le journal a pourtant bien retiré le commentaire incriminé dès qu'il en a appris l'existence. David Corchia, responsable de la société qui s'occupe de la modération sur Libération.fr, affirme que le texte litigieux a été mis en ligne "le 22 octobre 2006, de 22 h 30 jusqu'à 9 h 15 lelendemain, lorsqu'il a été signalé aux responsables du site et retiré". M. Corchia explique ce retard par le fait que l'équipe de modérateurstravaillait de 9 heures à 22 heures. Quant à l'apparition même de ce message, elle resulte du fait qu'en 2006, sur Libération.fr, les commentaires étaient modérés après publication. Depuis, le site est passé ausystème de modération en amont.

"A UN MOMENT, LE LÉGISLATEUR DEVRA TRANCHER"

L'apparition du Web communautaire a donc brouillé les pistes, rendant plus difficile la différenciation entre le statut d'hébergeur et celui d'éditeur. Cela est dû, selon plusieurs juristes, au retard de la législation dans ce secteur en France. La LCEN, et la définition des acteurs qui existent en ligne, découle directement d'une directive européenne adoptée en 2000, que certains jugent obsolète puisqu'antérieur à l'avènement des blogs et des sites participatifs. Bruxelles refuse pour l'instant de bouger et laisse très peu de marge de manoeuvre aux pays, qui doivent donc trancher au cas par cas sans pouvoir se baser sur des législations solides.

Ainsi, des jugements sur des affaires presque similaires peuvent varier d'un cas à l'autre, comme dans le cas du litige qui oppose le site participatif Fuzz.fr à l'acteur Olivier Martinez. La condamnation en première instance du site, accusé d'atteinte à la vie privée pour avoir publié un lien fait par un internaute renvoyant vers un blog, a été annulée il y a quelques jours par la cour d'appel de Paris. Le statut juridique de Fuzz.fr est passé de celui d'éditeur, et donc responsable du contenu fabriqué par les internautes, à celui de simple hébergeur.

Compte tenu de sa médiatisation, la plainte de Xavier Niel contre Vittorio de Filippis et Libération, si elle aboutit, pourrait encore créer une nouvelle jurisprudence. "Si on considère que tous ceux qui permettent à des internautes deposter des commentaires sont éditeurs, il vaut mieux fermer tout desuite les zones de commentaires", estime Me Barbry. Ce dernier souligne la nécessité de créer le plus vite possible un statut juridique pour les internautes qui laisse des commentaires. "Aun moment, le législateur devra trancher, assure-t-il. Soit celui qui ouvre unespace de communication est responable de tout ce qui s'y dit, soit iln'est responsable que de ce qu'il écrit et n'est que l'hégergeur ducontenu des autres."

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Bonjour ,

Guérilla contre le retour de l'ORTF :

Alors que l'opposition défend la notion d'une télévision et radio publique indépendante et dotés de moyens viables ,

par la pose de plusieurs centaines d'amendements , un député de la majorité a déposé courageusement le sien .

Il ne s'agit pas d'une mesure en faveur des médias publics , mais de prévoir la modulation de taxe de 3% visant les

recettes publicitaires des chaines privées ...

Signe des temps à venir , le journal de F2 nous a brossé un portrait idyllique de la future situation des chaines

publiques sans publicité , sans montrer l'envers du décor .

Cela nous en promet de bonne pour la suite; France Télévisions ou la voix de leurs maitres .

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Salut ,

Inutilités :

En suivant l'avis éclairé de la rédactrice en chef du service économique du Figaro , il faudrait carrément supprimer les

élections aux conseils des prud'hommes afin de récupérer la modique somme de 90 millions d'euros nécessaires à

la tenue du scrutin , il est vrai aussi que par ailleurs certains conseillers prud'hommes gênent considérablement

des lecteurs et les plus aisés du Figaro , et tant que l'on parle d'économie pourquoi pas tant que l'on y est abolir

toutes les élections au suffrage universel .

Une piste plus sérieuse d'économies apparait cependant avec la dissolution du Sénat , qui ne sert à rien mis à part

à valider les textes rétrogrades de tout poil en doublon avec l'assemblée nationale , et de recycler aussi toutes

les vielles momies politiques .

Le train vie du Sénat coute sans doute plus lourd qu'une malheureuse élection qui a lieu ( trop) peu souvent , et

cette assemblée s'est maintes fois remarquer par la cour des comptes et le vilain Canard Enchainé .

Comme dirai je ne sais plus qui , enlève d'abord ta poutre de ton oeil avant de regarder la petite poussière

financière dans le mien , et vive la crise ...pour dire n'importe quoi !!! .

Modifié par zoreglube
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Souriez Vous êtes fichés...

Fichier Edvige : le Retour ?

Fichiers policiers: un rapport, et puis quoi ?

le criminologue Alain Bauer a remis à la ministre de l'Intérieur un rapport contenant 26 propositions pour encadrer les multiples fichiers de la police. Michèle Alliot-Marie se donne un mois pour se prononcer.

MARIE PIQUEMAL Libération

Opération transparence. Hier, comme prévu, le criminologue Alain Bauer a remis en grande pompe son rapport sur le contrôle des fichiers policiers à la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie. En prenant soin de convier les journalistes, histoire de ne pas faire d’impair. Car depuis le tollé suscité par le fichier Edvige, la ministre soigne sa com’. «Nous n’avons rien à cacher» répète-t-on place Beauvau.

En septembre dernier, Michèle Alliot-Marie a réactivé le groupe de travail chargé «d’examiner les conditions de mise en œuvre des fichiers de police judiciaire et administrative» pour, précise-t-elle dans sa lettre de mission, «renforcer l’acceptabilité des fichiers au sein de la population». Elle l'a répété ce matin, l'objectif est «de faire un effort de pédagogie pour éviter des polémiques inutiles ou reposant sur des inexactitudes.»

Ce matin, en remettant son rapport, Alain Bauer a souligné avoir mis la main sur deux ou trois fichiers oubliés, et sans base juridique. «Ils s’agit, à vrai dire, de sous-fichiers tombés en désuétude et qui devraient être supprimés.» Exemple: le fichier de la Batellerie chargé d’assurer le suivi des bateaux affectés au transport fluvial de marchandises.

Outre la description de tous les fichiers existants, le rapport présente 26 propositions. Et aucune de franchement révolutionnaire. D’abord, parce que ces recommandations sont le résultat d’un consensus entre des membres de la commission de milieux très différents: des associations (la Halde, SOS racisme...), des représentants de l’administration (police, gendarmerie, magistrature) mais aussi des syndicats. Ensuite, parce qu’il ne s’agit là que de recommandations et que rien n’indique que la ministre en tiendra compte. Elle a d’ailleurs précisé ce matin, qu’elle se prononcerait sur ce sujet dans un mois.

Les principales propositions

A la lecture des 150 pages du rapport, en ligne sur le site du Ministère, certaines propositions de la Commission Bauer semblent relever du bon sens. Au point où l’on s’étonne qu’elles ne soient pas déjà en vigueur. Que penser par exemple de ces recommandations relevant du contrôle de l’utilisation des fichiers ? «En cas de mutation, de changement d’affectation ou de départ à la retraite, les droits d’accès de la personne (le fonctionnaire habilité à consulter les fichiers, ndlr) devront être automatiquement revus ou supprimés» (proposition n°9).

Autre recommandation: garantir (enfin) le droit d’information des personnes acquittées qui restent fichées. «Aujourd’hui, il faut le savoir, le procureur peut prescrire leur maintien dans les fichiers. Nous demandons que les personnes intéressées soient averties de cette décision. Car pour le moment, ce droit à l’information, qui nous semble essentiel, n’est pas garanti» précise Alain Bauer, qui voit dans cette proposition «un préalable à un possible recours».

Le groupe propose aussi un contrôle renforcé des mineurs fichés tous les deux ans et à leur majorité. «Quel que soit l’âge retenu pour collecter des informations, il nous semble important de renforcer les garanties pour les plus jeunes» justifie Alain Bauer.

On notera aussi, comme prévu, un «meilleur encadrement» des fichiers classés secret défense, qui échappent à tout contrôle, y compris de la CNIL. L'idée serait de créer une sorte de commission indépendante, présidée par un magistrat habilité à consulter ces bases de données afin d’éviter les abus.

Reste pour finir des sujets «qui ont suscité d’importants débats mais qui n’ont pas abouti à un consensus ». Comme les critères utilisés pour décrire les personnes recherchées en matière criminelle. A défaut de position commune, la classification existante, basée sur «des types», sera maintenue. On continuera donc à parler de type «méditerranéen, caucasien, africain/antillais, métis et autres, maghrébin, moyen-oriental, asiatique, indo-pakistanais, latino-américain, polynésien, mélanésien». La qualification «Gitan» devrait, en revanche, être abandonnée.

D'ailleurs, sur ce point, SOS racisme qui fait partie du groupe Bauer, regrette «le maintien des catégories ethno-raciales (...) d'un autre âge» tandis que pour la Licra «cette typologie est une déviance inquiétante en ce qui concerne le respect des libertés publiques».

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Atchoum ,

En cette période , bien des personnes sont au moins gênées par les divers virus qui trainent en ce moment , ou pire clouées à

la maison à cause de ces hôtes indésirables .

Mais afin de traquer les gens qui peuvent ( éventuellement ) profiter de la situation , certaines entreprises ont recours à des

cabinets privés de médecin pour effectuer des contre visites vis à vis des "tire au flanc" de tout poil , et il faut noter que ces

entreprises ont plus de succès si leur taux de contre visites en faveur de l'employeur est proche de 60% .

On pourrait aussi se demander si les médecins pratiquant cette activité , se souviennent de leur serment d' Hippocrate à

défaut de signer un contrat d'hypocrites .

Et encore , on débute ainsi et on ne pourrait pas savoir comment cela va se terminer , car rien ne valait la bonne vielle

méthode pratiquée il y a plus de 60 ans :

à droite , à droite , à gauche , à droite , à droite , à gauche ....

aaaaa a atchoum .

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Déjà 1 123 morts par choléra au Zimbabwe,

et « la situation risque de s'aggraver »

Destination Sante

Déjà 1 123 morts par choléra au Zimbabwe, et « la situation risque de s'aggraver »

L'épidémie de choléra ne s'essouffle toujours pas au Zimbabwe. Près de 5 mois après les premiers cas, la maladie a fait plus de 20 500 victimes, dont 1 123 ont trouvé la mort à travers le pays.

Une hécatombe aggravée par le déni des autorités : pour le président Mugabe en effet, l'épidémie est tout simplement maîtrisée depuis une semaine… Or il n'en est rien.

« La grave épidémie qui frappe le Zimbabwe continue de se répandre à grande vitesse » annonce le Bureau de Coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (OCHA). Dans certains quartiers de la capitale Harare, le taux de mortalité est même de 30%, soit 30 fois plus que le taux fixé par l'OMS pour déclarer qu'une épidémie est contrôlée.

« Les facteurs qui contribuent à la diffusion de la maladie sont des problèmes d'accès à l'eau et aux toilettes, notamment dans les zones rurales reculées, la faiblesse des services de santé et une grève du personnel de santé qui ne reçoit plus de salaire depuis des mois » poursuit l'OCHA.

Cette réalité inquiète au plus haut point la communauté internationale, qui se mobilise. Les interventions humanitaires ont déjà permis de réduire le nombre de nouveaux cas de 300 à 20 par jour à Beithbridge, sur la frontière séparant le Zimbabwe de l'Afrique du Sud. Mais d'importants efforts restent à fournir, selon le Secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires et Coordonnateur des secours d'urgence de l'ONU John Holmes. Il appelle donc les donateurs « à maintenir leur soutien aux opérations sur le terrain ».

Message reçu par les ONG, qui se mobilisent massivement. A l'instar de Médecins du Monde ou de la Croix-Rouge française (CRF) qui a dépêché une Equipe de Réponse aux Urgences (ERU) spécialisée dans l'approvisionnement et le traitement de l'eau. Elle devrait être opérationnelle dès aujourd'hui, et approvisionner en eau potable jusqu'à 20 000 personnes. Mais le temps presse. « Face à la recrudescence des pluies et au début de la saison des inondations, la situation humanitaire risque de s'aggraver et de durer » s'inquiète la CRF.

Source : ONU, Croix-Rouge française, 22 décembre 2008

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Renault part en "couille"

Salut!

c'est vrai que le titre est quelque peu gaulois. Mais vous êtes vous déjà demandé ce que voulait réellement dire le nom du nouveau 4X4 ( mdrmdr ) Renault?

Eh bien "Koleos", en grec ancien a directement donné en français le mot "couille" :blush:

Vous pouvez vérifier dans vos petits Larousse ou vos gros Robert...

Mais non, ils ne prennent pas leurs clients pour des couillons... mdrmdr

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Dans mon petit Larousse de 2005 (pardon pour la pub), à "couilles", j'ai : (lat. coleus, p-ê de colleus, sac de cuir).

En revanche, à coléoptère, on trouve bien (gr. Koleos[...]).

Voilà, comme tu le préconisais, j'ai vérifié...

Edit : Source plus récente : http://fr.wiktionary.org/wiki/couille

Étymologie

Latin populaire colea .

Ou encore : http://www.larousse.fr/ref/nom-commun-nom/couille_37771.htm

Gom

Modifié par gomen
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koleon ou koleos, en Grec ancien, c'est le fourreau d'une épée. Les ailes des coléoptères sont couvertes d'un fourreau de chitine rigide.

Source : dictionnaire Bailly http://home.scarlet.be/tabularium/bailly/index.html

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Ouups.... mes sources sont donc fausses mdrmdrmdrmdr

Je tiens donc à m'excuser pour ce buzz si vulgaire... :blush::Smiley_03::blush:

non, en fait c'est vrai...

Modifié par BB4100
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Ouups.... mes sources sont donc fausses mdrmdrmdrmdr

Je tiens donc à m'excuser pour ce buzz si vulgaire... :blush::Smiley_03::blush:

Comment ça ? Tu n'étais pas dans le faux...

Du Grec κολεον (το) et κολεος (ο), au latin (coleus, colleus), le fourreau de l'épée est devenu sac de cuir, et de là au français .... suivez le guide lotrela

Même si la pente est abrupte, le sentier est bien marqué et on peut s'étonner du choix ...

Peut être Renault avait il pensé à κάλος (kalos) qui veut dire beau...

Quoi qu'il en soit, les Grecs semblent ignorer l'usage défroqué que le peuple Gaulois a fait de leur fourreau et l'honneur est sauf ....

http://www.cityauto.gr/article.cityauto.gr?aid=2172

avec un site sympa pour la traduction et les caractères grecs :

http://magazine-voyage.com/traduction-francais-grec.htm

Modifié par michael02
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Un livre répertorie les groupes d'extrême droite

depuis 1945

Rue89

Depuis l'ouvrage que nous avions publié avec René Monzat aux Presses universitaires de Lyon en 1992 ("Les droites nationales et radicales en France"), il n'était paru aucun livre semblable:

celui de Jacques Leclercq répertorie, classés par ordre alphabétique, tous les groupes d'extrême droite ayant existé en France depuis la Libération, en résumant leur idéologie et en indiquant le nom de leurs animateurs. Lire la suite l'article

Pour avoir passé deux ans pleins, avec un co-auteur particulièrement érudit, à finaliser un tel travail, j'en mesure parfaitement le caractère compliqué: ce ne peut, par définition, quêtre une photographie à un moment donné, d'une nébuleuse idéologique en constant mouvement.

Jacques Leclercq a relevé le défi et nous propose un travail assurément colossal, qui repose sur une documentation abondante et qui peut être utile à quiconque souhaite suivre en détail cette famille politique.

Assurément, ce livre sera beaucoup commenté et discuté, notamment par ceux qui vont sy retrouver cités.

Après lecture, si tant est quun tel ouvrage se lise, puisquil est plutôt un outil de travail destiné à être consulté, quen dire?

Ou placer les limites?

D'abord qu'il ne peut être ignoré, dans la mesure où il est unique. Ensuite que toute personne qui sintéresse vraiment à l'extrême droite doit le connaître. Enfin, quil souffre cependant de plusieurs lacunes qui en affaiblissent la portée.

Tout d'abord, il ne répond pas aux règles d'érudition universitaire (il nen a dailleurs pas la prétention) et les multiples erreurs sur les noms, voire sur les biographies des individus, nuisent au propos: l'auteur catholique intégriste Jacques Crétineau-Joly, par exemple, ne peut rien avoir écrit après 1945 car il est mort en 1875.

Et Luc Michel, dirigeant du Parti communautaire national-européen, non seulement n'aime pas se voir cataloguer à l'extrême droite, mais nest absolument pas mort Ceci étant, il est évident quun livre de cette ampleur ne peut que contenir des erreurs factuelles.

Autre critique, à trop vouloir élargir le champ temporel de la recherche, l'auteur ne réussit pas à traiter aussi bien les mouvements du passé que ceux du présent, alors précisément que nous manquons surtout d'études solides sur la période 1945-1960.

Les groupes de cette période sont donc cités, souvent sans plus, et c'est dommage, mais inévitable sauf à produire un volume de 2000 pages. Enfin, la présentation nest pas toujours très claire et ne permet pas de savoir si un groupe est encore actif ou non.

Reste enfin à savoir où on place les bornes de la "mouvance droitiste et nationale", appellation dont on sent bien quelle est un euphémisme pour "extrême droite".

La Ligue de défense juive et le Betar qui figure dans le livre, peuvent-ils y être classés? Et des revues ultra-libérales comme "Les Quatre vérités" et feu "Contrepoint", à laquelle collaborait Raymond Aron?

Peut- on inclure le MPF de Philippe de Villiers dans cette mouvance? Cela pose l'éternelle question de savoir quelle est la "ligne jaune" entre la droite conservatrice ou libérale et les droites radicales, mais je naurais pas, pour ma part, assumé de tels choix.

Vieille Taupe et Parti des musulmans de France

Ceci étant, l'auteur est assez dépourvu de parti-pris idéologique criant. Il inclut ainsi dans son livre un groupe comme La Vieille Taupe, dont il estime à juste titre quil a basculé de l'ultra-gauche vers des positions négationnistes d'extrême droite, et traite aussi du Parti des musulmans de France, dont il évoque les passerelles avec l'ultra-droite sur fonds dantisémitisme.

Au final, nous avons donc là un livre qui s'acquiert comme un instrument de travail qui peut être utile, à condition de le lire avec précautions et recul.

Dictionnaire de la mouvance droitiste et nationale de 1945 à nos jours de Jacques Leclercq (Editions lHarmattan, 695pp., 59)

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Comment ça ? Tu n'étais pas dans le faux...

Ah!!! tu me rassures!!!

en fait j'ai lu ça dans le courrier des lecteurs de Fluide Glacial... controleursncf

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