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Grèce: de nouvelles mesures d'austérité budgétaire pour 2011

La Grèce a accepté de prendre de nouvelles mesures d'austérité budgétaire pour 2011, représentant 6,4 milliards d'euros, dont une hausse des impôts et une révision des exonérations de l'impôt sur le revenu. L'agence Moody's a elle abaissé de 3 crans la note de la dette grecque.

La Grèce et une délégation de la "troïka" (Union européenne, Fonds monétaire international, Banque centrale européenne) pensent conclure d'ici vendredi leurs discussions sur un programme budgétaire à moyen terme.

Un proche du dossier a précisé que la "troïka" prévoit de publier un communiqué vendredi sur l'état des lieux de la réduction de son déficit budgétaire, tout en ajoutant qu'elle ne dirait pas si Athènes recevra ou non une aide supplémentaire.

"Le Premier ministre (George Papandreou) présentera (vendredi au président de l'Eurogroupe Jean-Claude) Juncker les principaux points de ce programme, qui prévoit une accélération des privatisations et de nouvelles mesures de réduction des dépenses publiques et de hausse des recettes", a précisé un haut fonctionnaire du gouvernement.

Détails attendus

"Les négociations avec la troïka devraient s'achever tard jeudi soir ou vendredi. A ce stade, la troïka demande des détails sur plusieurs points", a ajouté ce responsable, qui ne souhaitait pas être nommé.

Les négociations portent sur deux points essentiels: l'octroi d'une cinquième tranche du plan d'aide de 110 milliards d'euros accordé l'an dernier, et l'éventuelle restructuration de la dette grecque, qui atteint 340 milliards de dollars.

Note déclassée

Une solution semble en vue pour la Grèce alors que Moody's a une nouvelle fois déclassé la note attachée à la dette souveraine, la faisant reculer de trois crans pour la place dans une catégorie extrêmement spéculative, là où se trouve par exemple celle de Cuba.

(ats / 02.06.2011 17h33)

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  • 2 semaines plus tard...

Espagne: encore des "risques considérables" pour l'économie selon le FMI

synthèse

Madrid (awp/afp) - Le Fonds monétaire international a dressé mardi un constat sévère de l'économie espagnole, saluant les réformes menées mais mettant en garde contre les "risques considérables" qui la menacent, à un moment-clé de regain de tensions en Europe autour de la Grèce.

"Le (travail de) réparation de l'économie est incomplet et les risques sont considérables", écrit le FMI dans ses conclusions préliminaires d'une mission d'évaluation en Espagne.

Le Fonds reconnaît que "la réponse politique aux défis économiques de l'Espagne au cours de l'année passée a été solide et ample, ce qui a aidé à renforcer la confiance des marchés".

Le gouvernement socialiste espagnol a réformé son marché du travail et son système bancaire, tout en reculant l'âge du départ à la retraite. Il a aussi appliqué de nombreuses mesures d'austérité pour réduire ses dépenses.

"Cette amélioration de la confiance des marchés qui en a découlé a été décisive non seulement pour l'Espagne mais aussi, compte tenu de la taille systémique de l'Espagne, pour toute la zone euro dans son ensemble", écrit le FMI.

Néanmoins, les risques dominent, avec à court terme une possible aggravation des conditions financières pour le pays et à long terme une croissance toujours faible et un chômage très élevé.

"Le chômage est à un haut niveau inacceptable", critique le FMI, alors que le pays affichait au premier trimestre le taux 21,29%, un record dans l'OCDE.

"Pour atteindre les objectifs de réduction de déficit à moyen terme, il faudra certainement des mesures supplémentaire", estime le Fonds, comme de nouvelles mesures d'économie ou des privatisations.

Le gouvernement s'est fixé comme objectif prioritaire de réduire le déficit public à 6% du PIB en 2011 et 3% en 2013, après 9,24% en 2010.

"Le plus gros risque pour 2011 est que certains gouvernements régionaux puissent encore rater leur objectif", s'inquiète le Fonds, alors que le ministère de l'Economie a révélé récemment qu'au premier trimestre, seule la moitié des 17 régions autonomes présentaient un déficit conforme à l'objectif.

L'organisme appelle à plus de transparence au niveau des finances régionales, avec une publication de leurs comptes tous les trimestres, et à une attitude plus stricte à leur égard de la part du gouvernement central, alors qu'elles bénéficient d'une grande autonomie.

Le rythme des réformes "reste un défi urgent, il ne peut pas y avoir de relâchement" dans ce domaine, insiste le FMI. "Certains des problèmes sous-jacents de l'économie espagnole, surtout la faible croissance de la productivité et le dysfonctionnement du marché du travail, doivent encore être réglés pleinement", note l'organisme, ajoutant que "cela signifie que les réformes menées doivent être renforcées".

Il s'agit notamment de "rendre plus crédible la consolidation fiscale", de "boucler la réforme du secteur financier" et de "renforcer courageusement les réformes du marché du travail pour réduire fortement le chômage". Le FMI évoque la nécessité, selon lui, de rendre plus flexible la négociation collective, de renoncer à l'indexation des salaires sur l'inflation et de diminuer encore les indemnités de licenciement.

Ce constat sévère survient alors que l'Union européenne fait face depuis plusieurs semaines à un regain de tensions des marchés autour de la Grèce, qui a demandé de nouvelles aides, et du Portugal, qui a conclu un plan de sauvetage en mai.

Il arrive aussi quelques jours après une manifestation, dimanche, de dizaines de milliers d'Espagnols à Madrid, pour protester contre la crise et les mesures d'austérité qu'elle entraîne.

L'Espagne, qui a souffert de la crise et de l'éclatement de sa bulle immobilière, semble certes s'éloigner, aux yeux des analystes, du risque de devoir demander une aide, mais elle peine à renouer avec la croissance: après une forte baisse de son PIB en 2009, de 3,7%, celui-ci a stagné en 2010 (-0,1%). Au premier trimestre, il a crû de 0,3%.

"Nous nous attendons à une reprise modeste, tirée par les exportations, avec une croissance augmentant progressivement à 1,5-2% à moyen terme", écrit le FMI, estimant que "le chômage ne devrait baisser que modérément à moyen terme et rester bien au-dessus de la moyenne en zone euro".

rp

(AWP / 21.06.2011 19h16)

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Irlande/Moody's abaisse à son tour la note d'Anglo Irish Bank

Londres (awp/afp) - L'agence de notation Moody's a abaissé d'un cran vendredi la note d'endettement de la banque irlandaise Anglo Irish Bank, à "Caa2", avec perspective négative, après la décision de Dublin de mettre à contribution les créanciers détenteurs de dette senior.

L'agence de notation concurrente Standard and Poor's (S&P) avait pris jeudi une décision du même type, plaçant la dette d'Anglo Irish parmi les investissements les plus risqués possibles.

La dégradation de Moody's concerne également un autre établissement irlandais en difficulté, INBS, dont les détenteurs de dette senior devraient eux aussi être mis à contribution.

Au total, 3,5 milliards d'euros de dettes sont concernés, a rappelé l'agence.

En passant de Caa1 à Caa2, ces deux banques obtiennent la 18e plus mauvaise note sur 21 dans l'échelle de notation de Moody's.

La dégradation reflète "le risque accru que le gouvernement irlandais impose des pertes à un type de dette jusque-là protégé", a expliqué l'agence dans un communiqué.

Le ministre irlandais des Finances Michael Noonan avait opéré une volte-face la semaine dernière en indiquant qu'il allait présenter à ses partenaires européens un plan visant à faire subir des "pertes significatives" aux porteurs d'emprunts seniors non garantis de deux banques secourues par l'Etat, l'Anglo Irish Bank et INBS.

Anglo Irish est de loin la plus grosse d'entre elles. Son sauvetage a coûté à lui seul près de 30 milliards d'euros aux contribuables irlandais.

rp

(AWP / 24.06.2011 14h46)

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  • 2 semaines plus tard...

ALERTE - Moody's dégrade de quatre crans la note du Portugal, envisage de l'abaisser encore

PARIS - L'agence de notation Moody's a dégradé mardi de quatre crans la note du Portugal, de Baa1 à Ba2 et envisage de l'abaisser encore à court terme, estimant notamment que le pays pourrait avoir besoin d'un deuxième plan d'aide avant de pouvoir emprunter de nouveau sur les marchés.

Moody's s'inquiète également du fait que le Portugal ne parvienne pas à tenir les engagements en matière de réduction de son déficit qu'il a pris envers l'Union européenne (UE) et le Fonds monétaire international (FMI).

(©AFP / 05 juillet 2011 20h38)

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  • 1 mois plus tard...
  • 2 semaines plus tard...
  • 4 semaines plus tard...

tous nos experts français ayant ligne ouvert sur les médias tapent comme des malades sur la Grèce qui aurait triché, falsifié ses comptes pour enter dans l'euro.

Experts malades, d'Alzeiheimeur car comme s'appelle ce pays à l'ouest de l'Europe qui a caché 30 milliards € de dettes ferroviaires dans une nouveau organisme RFF pour entrer dans l'euro pas la grande porte?

Allez cela commence par F !

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  • 3 semaines plus tard...
Invité Gnafron 1er

Source : le quotidien espagnol "LA RAZON"

Traduit par traducteur de l'ordi !

Grèce, sur le bord de la faillite, l'achat de 400 chars aux États-Unis

Sur le point de faire face à une cinquième année consécutive de récession et une nouvelle grève sur le Octobre 24, la Grèce approuve l'achat de 400 chars américains dans une opération qui entre en conflit avec la politique d'austérité, des coupes et des licenciements de milliers de charge publique.

«Quitter l'euro aurait à défendre les banques avec des chars", l'Hellène aventuré exécutifs numéro deux, Theodoros Pangalos. Alors que le gouvernement socialiste de la Grèce continue ses tentatives frénétiques pour aller de l'avant avec les réformes structurelles et les économies nécessaires pour surmonter la crise profonde qui a mis le pays sur le bord de la faillite, le pays tente de digérer maintenant une fuite controversée. Selon le ramasse les journaux suédois "Svenska Dagbladet", et selon le site internet "Defencegreece" et le magazine "Defense Technology grec", le gouvernement grec avait finalisé l'achat d'un contingent de 400 tanks américains. Le modèle en question est ancien combattant »M1A1 Abrams», la moitié principaux blindés de l'armée U. S., Corps des Marines des États-Unis, et les armées d'Egypte, le Koweït, l'Arabie saoudite et l'Australie. Ce serait un achat de véhicules d'occasion, et l'embauche du processus de renouvellement et d'actualisation. Chaque commande est rejoint par 20 véhicules amphibies «AAV7A1." Le coût exact de l'opération est encore tenu secret, mais selon le prix de chaque unité, autour de 3,2 millions d'euros, le montant total pourrait s'élever à l' 1280 millions d'euros. Une dépense particulièrement importante, le mercredi lorsque des milliers de personnes sont retournées dans les rues pour protester contre les plans du gouvernement. coupes drastiques Premier ministre Georges Papandréou, qui s'est tenu cette semaine une importante série de réunions avec la commission de dix de ses principaux ministres et les membres du Cabinet nombreux pour examiner les mesures d'ajustement supplémentaire avec lequel vous souhaitez enregistrer un autre 7000 millions d'euros entre cette année et la suivante. La Commission européenne, Fonds monétaire international et la Banque centrale européenne insistent encore sur les réductions de secteur public et aller de l'avant avec la privatisation, qui devrait faire de cette année environ 4.000 millions d'euros et un total de 50.000 millions en 2015. L'exécutif a traité et Papandreou au Parlement un projet de loi qui met en réserve, une étape de licenciement, de 30.000 officiers, et sont dans le processus budgétaire a également 2012, qui doit être approuvé avant la fin du mois. Les plus grands syndicats grecs d'aujourd'hui a refusé de rencontrer les inspecteurs internationaux, et le président de la Confédération travailleurs du secteur privé (GSEE), Yanis Panagopulos, a dénoncé le gouvernement pour «donner et à éliminer les lois du travail et le cadre constitutionnel qui la protège."

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Source : le quotidien espagnol "LA RAZON"

Traduit par traducteur de l'ordi !

Grèce, sur le bord de la faillite, l'achat de 400 chars aux États-Unis

Sur le point de faire face à une cinquième année consécutive de récession et une nouvelle grève sur le Octobre 24, la Grèce approuve l'achat de 400 chars américains dans une opération qui entre en conflit avec la politique d'austérité, des coupes et des licenciements de milliers de charge publique.

«Quitter l'euro aurait à défendre les banques avec des chars", l'Hellène aventuré exécutifs numéro deux, Theodoros Pangalos. Alors que le gouvernement socialiste de la Grèce continue ses tentatives frénétiques pour aller de l'avant avec les réformes structurelles et les économies nécessaires pour surmonter la crise profonde qui a mis le pays sur le bord de la faillite, le pays tente de digérer maintenant une fuite controversée. Selon le ramasse les journaux suédois "Svenska Dagbladet", et selon le site internet "Defencegreece" et le magazine "Defense Technology grec", le gouvernement grec avait finalisé l'achat d'un contingent de 400 tanks américains. Le modèle en question est ancien combattant »M1A1 Abrams», la moitié principaux blindés de l'armée U. S., Corps des Marines des États-Unis, et les armées d'Egypte, le Koweït, l'Arabie saoudite et l'Australie. Ce serait un achat de véhicules d'occasion, et l'embauche du processus de renouvellement et d'actualisation. Chaque commande est rejoint par 20 véhicules amphibies «AAV7A1." Le coût exact de l'opération est encore tenu secret, mais selon le prix de chaque unité, autour de 3,2 millions d'euros, le montant total pourrait s'élever à l' 1280 millions d'euros. Une dépense particulièrement importante, le mercredi lorsque des milliers de personnes sont retournées dans les rues pour protester contre les plans du gouvernement. coupes drastiques Premier ministre Georges Papandréou, qui s'est tenu cette semaine une importante série de réunions avec la commission de dix de ses principaux ministres et les membres du Cabinet nombreux pour examiner les mesures d'ajustement supplémentaire avec lequel vous souhaitez enregistrer un autre 7000 millions d'euros entre cette année et la suivante. La Commission européenne, Fonds monétaire international et la Banque centrale européenne insistent encore sur les réductions de secteur public et aller de l'avant avec la privatisation, qui devrait faire de cette année environ 4.000 millions d'euros et un total de 50.000 millions en 2015. L'exécutif a traité et Papandreou au Parlement un projet de loi qui met en réserve, une étape de licenciement, de 30.000 officiers, et sont dans le processus budgétaire a également 2012, qui doit être approuvé avant la fin du mois. Les plus grands syndicats grecs d'aujourd'hui a refusé de rencontrer les inspecteurs internationaux, et le président de la Confédération travailleurs du secteur privé (GSEE), Yanis Panagopulos, a dénoncé le gouvernement pour «donner et à éliminer les lois du travail et le cadre constitutionnel qui la protège."

Non, les Grecs ne vont pas acheter des chars américains avec l'argent de l'Europe

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Invité
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