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katamiaw

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Ca c'est pour nous

Mouammar Kadhafi :

Oui j'avoue je me suis bien tapé Cecilia.

Elle a des fesses admirables !

arton1911.jpg

C'est curieux on ne peut pas lire les réactions ?

Et ou se trouve l'article ?

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C'est curieux on ne peut pas lire les réactions ?

Et ou se trouve l'article ?

Les 3 réactions :

Popote Bof

Après avoir régaler les riches avec le bouclier fiscal et j'en passe, il faut bien récupérer de l'argent ailleurs.

La rentrée promet d'être chaude. 05.09 à 14h23

frachouille Vivement ces réformes

J'espère que l'on arrivera à bout de ces régimes spéciaux qui concerne énormement de fonctionnaires (dommage qu'il n'y ait pas les régimes des ministres mais cela ne concerne pas grand monde).

L'économie ira beaucoup mieux lorsque l'on n'aura plus "la charge" des fonctionnaires qui représente un coût de fonctionnement exhorbitant pour un service inférieur au minimum 05.09 à 09h38

Yves M. Réforme des régimes spéciaux

Le régime spécial des Ministres , Députés, Sénateurs sera-t-il changé lui aussi ?? Je ne pense qu'ils vont se voter une loi pour se faire du mal !! Alors pourquoi changer les autres ????? 04.09 à 18h20

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Les 3 réactions :

Popote Bof

Après avoir régaler les riches avec le bouclier fiscal et j'en passe, il faut bien récupérer de l'argent ailleurs.

La rentrée promet d'être chaude. 05.09 à 14h23

frachouille Vivement ces réformes

J'espère que l'on arrivera à bout de ces régimes spéciaux qui concerne énormement de fonctionnaires (dommage qu'il n'y ait pas les régimes des ministres mais cela ne concerne pas grand monde).

L'économie ira beaucoup mieux lorsque l'on n'aura plus "la charge" des fonctionnaires qui représente un coût de fonctionnement exhorbitant pour un service inférieur au minimum 05.09 à 09h38

Yves M. Réforme des régimes spéciaux

Le régime spécial des Ministres , Députés, Sénateurs sera-t-il changé lui aussi ?? Je ne pense qu'ils vont se voter une loi pour se faire du mal !! Alors pourquoi changer les autres ????? 04.09 à 18h20

Encore un qui sera le premier à hurler lorsqu'il sera obligé de sortir la monnaie pour avoir un extrait de naissance ou autres documents administratifs, ou lors de catastrophes naturelles comme la tempête de 1999 ou le service public en général à prouvé son efficacité sans que la population ne souffre de délais tres long pour la remise en état des lignes éléctriques, telephoniques, SNCF, voies de circulations, courrier, ETC ...

Des propos comme celui-ci prouve que cette personne doit-être la seule à bosser en France et que sa profession est de toute évidence la clé d'une réussite économique. lotrela

(53 % des électeurs ont ce raisonnement, encore heureux que c'est pas 53 % de la population française)

Modifié par Jeff2CY
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D'un autre coté ceux qui ne vont pas voter n'ont pas grand chose a dire .....

Ou n'ont rien à dire du tout même lotrela

Je suis d'accord avec vous mais le pouvoir en place se targue de représenter la majorité de la POPULATION or, 53 % des électeurs, c'est pas 53 % de la population.

Il est regrettable que le vote "Blanc" ne soit pas pris en compte. Je n'ai pas le temps ce soir d'aller à la recherche du nombre de votants et du nombre de sufrages exprimés mais il est certainement facile d'atteindre les 3 % manquant

Modifié par Jeff2CY
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Il est surtout dommage que tout le monde n'aille pas voter....... parce qu'il fait beau ou pour n'importe quelle raison.

C'est lamentable de pas aller voter juste parce qu'on n'a pas envie ou parce que "de toute façon, ça changera rien".

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Bonjour ,

On recherche encore et toujours le scooter :

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-...1-950930,0.html

L'un des fils de Nicolas Sarkozy cité devant la justice

LE MONDE | 04.09.07 | 10h04 • Mis à jour le 04.09.07 | 10h26

Jean Sarkozy, l'un des fils de Nicolas Sarkozy, fait l'objet d'une citation directe, le 11 septembre, devant la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris.

Selon l'assignation, le 14 octobre 2005, place de la Concorde à Paris, il aurait heurté avec son scooter l'arrière d'une BMW conduite par M'hamed Bellouti. Il ne se serait pas arrêté, et aurait eu "un geste offensant" à l'intention du conducteur.

M. Bellouti a pu relever le numéro d'immatriculation du scooter, l'a transmis à sa compagnie d'assurances, la MAAF, qui aurait relancé à trois reprises en 2006 Jean Sarkozy, sans obtenir de réponse de sa part. M. Bellouti a donc chargé ses avocats de faire citer à comparaître M. Sarkozy. Quatre délits lui sont reprochés : délit de fuite, défaut de maîtrise de son véhicule, non-respect des distances de sécurité et dégradation légère de la voiture. M. Bellouti réclame 260,13 euros pour des frais de réparation, ainsi que la somme de 4 000 euros à titre de dommages et intérêts.

A mon avis il va être admistié par papa

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L'un des fils de Nicolas Sarkozy cité devant la justice

LE MONDE | 04.09.07 | 10h04 • Mis à jour le 04.09.07 | 10h26

Jean Sarkozy, l'un des fils de Nicolas Sarkozy, fait l'objet d'une citation directe, le 11 septembre, devant la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris.

Selon l'assignation, le 14 octobre 2005, place de la Concorde à Paris, il aurait heurté avec son scooter l'arrière d'une BMW conduite par M'hamed Bellouti. Il ne se serait pas arrêté, et aurait eu "un geste offensant" à l'intention du conducteur.

M. Bellouti a pu relever le numéro d'immatriculation du scooter, l'a transmis à sa compagnie d'assurances, la MAAF, qui aurait relancé à trois reprises en 2006 Jean Sarkozy, sans obtenir de réponse de sa part. M. Bellouti a donc chargé ses avocats de faire citer à comparaître M. Sarkozy. Quatre délits lui sont reprochés : délit de fuite, défaut de maîtrise de son véhicule, non-respect des distances de sécurité et dégradation légère de la voiture. M. Bellouti réclame 260,13 euros pour des frais de réparation, ainsi que la somme de 4 000 euros à titre de dommages et intérêts.

A mon avis il va être admistié par papa

non , c'est un citoyen responsable qui respecte la loi .il va laisser le fiston se demerder avec la justice ( avec l'aide d'un tenor du barreau).

si il fait pression sur la justice ou amnistie, il aura l'opposition sur le dos .mediatiquement il a interet a ne pas intervenir.

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D'un autre coté ceux qui ne vont pas voter n'ont pas grand chose a dire .....

Ou n'ont rien à dire du tout même okok

Merde.

mdrmdr

Modifié par ibrahima
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Bonjour

Il va falloir qu'il apprenne à tourner la langue sept fois dans la bouche avant de parler.

Sarkozy provoque un court-circuit nucléaire avec l'Allemagne

Par Pierre Rouchaléou (Journaliste) 13H44 11/09/2007

(De Berlin) Les visites que Nicolas Sarkozy fait en Allemagne sont toujours pleines de surprises. Lundi, lors de sa rencontre avec Angela Merkel, le président français est venu défier ses interlocuteurs allemands sur le terrain le plus glissant qui soit entre les deux pays, celui du nucléaire civil, suscitant de vives réactions.

"J'aimerais que la France et l'Allemagne aient des ambitions qui aillent dans le même sens", a déclaré Nicolas Sarkozy à la presse, après une séance de travail avec la chancelière au château de Meseberg, au nord de Berlin, en soulignant que les énergies renouvelables et le nucléaire devaient se compléter.

"On ne peut rester en Europe face à une situation où, dans un siècle il n'y aura plus de gaz, où dans 30 ou 40 ans, il n'y aura plus de pétrole. Il n'y a personne qui peut imaginer que les éoliennes serviront à faire tourner toute l'Europe", a déclaré le président français. "C'est une question qu'il faut poser. L'énergie, c'est le devoir de l'Europe, je veux une politique de l'énergie européenne", a-t-il ajouté. C'est "difficile" qu'il y ait "un choix en France et un choix différent en Allemagne", a-t-il remarqué tout en s’interdisant de "s'immiscer dans un débat politique intérieur allemand".

Raté. Le ministre allemand de l'Environnement, le social-démocrate Sigmar Gabriel, ne l’a pas entendu pas de cette oreille puisqu’il s’est empressé d’accorder un entretien au quotidien Tagesspiegel où il récuse fermement l’invitation du président français à revenir à l'atome et à renoncer aux éoliennes pour assurer l'avenir. Le contrat de la "grande coalition" passé en novembre 2005 entre les conservateurs et les sociaux-démocrates prévoit la sortie du nucléaire à l'horizon 2020. C'est un sujet de tensions permanentes entre le camp d'Angela Merkel qui aurait voulu revenir sur cet engagement pris par le gouvernement de Gerhard Schröder, et les sociaux-démocrates, fermement attachés à l'abandon du nucléaire.

Aussi, après avoir vigoureusement rejeté l’appel de Sarkozy, Sigmar Gabriel a contre-attaqué en estimant que cet appel sert essentiellement les intérêts français. "Mais ceux-ci ne sauraient être le critère de la politique européenne en matière d'énergie et de protection du climat", a-t-il dit. "L'énergie nucléaire est tout sauf une technologie du futur" et, à l'échelle mondiale, les centrales nucléaires qui ferment sont plus nombreuses que celles qui ouvrent, a-t-il ajouté. Seuls 30 réacteurs sont en construction de par le monde, a souligné Sigmar Gabriel.

La réaction du député SPD Ulrich Kelber aux propos tenus par Nicolas Sarkozy a été encore plus cinglante: pour lui "la France est au niveau d’un pays en développement en matière de nouvelles technologies énergétiques. 90% des installations solaires achetées en France sont importées d'Allemagne. La France n'a rien à offrir à part l’énergie nucléaire qui est une technologie de dinosaure".

Au début du mois, suite à des défaillances dans deux centrales nucléaires exploitées par Vattenfall (Brunsbüttel et Krümmel), Sigmar Gabriel avait proposé de fermer sept des plus anciennes centrales nucléaires allemandes. Il a essuyé un refus d’Angela Merkel. Le renoncement à l'atome civil est une des conditions des sociaux-démocrates pour former une coalition avec les chrétiens-démocrates. Angela Merkel est favorable à l'option nucléaire mais elle ne peut se permettre de rompre l'accord de gouvernement à deux ans des prochaines élections législatives.

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Il va falloir qu'il apprenne à tourner la langue sept fois dans la bouche avant de parler.

Il va mandater Cécilia pour faire cette besogne. Elle s'est entrainée aux Etats Unis avant les présidentielles en tournant sa langue dans la bouche d'autrui. helpsoso

Quoiqu'il en soit, il aimerait bien être le maître de l'univers et avoir le monde à sa botte. :Smiley_19:

Message modifié pour ne pas froisser la sensibilité des puritains.

Modifié par Jeff2CY
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Tout a fait d'accord avec toi sur ce point.

Tout le monde sait bien que les presidents des grandes sociétés dependant de l'état sont "aux ordres" ce qui surprend le plus c'est que ce soit dit ainsi, nos politiques ne nous ont en effet pas habitués a des réparties aussi directes. mais croyez-vous un instant que les autres candidats n'en pensent pas autant ?

vous ne pensez pas que mdme idrac est envie d'une petite revanche sur 1995??

j'espere pas perso!

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j'ai honte que certains cheminots puissent voir en Sarkozy une personne acceptable pour notre démocratie et nos libertés.

Cependant je respecte tes choix mais je peux m'empêcher d'avoir honte de lire ceci d'un cheminot .

surement un lien très fort te rallie à sarkozy ....

tu sais y'en a qui couchent avec cecilia...

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tu sais y'en a qui couchent avec cecilia...

ça me déplairait pas mais attention lorsqu'on touche à la première dame de France, c'est une icône pour certaines personnes de ce forum.

à bon entendeur, salut !

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ça me déplairait pas mais attention lorsqu'on touche à la première dame de France, c'est une icône pour certaines personnes de ce forum.

à bon entendeur, salut !

Il ne s'agit pas d'etre une "icone" ou autre chose, c'est Juste une question de correction envers une personne quelle qu'elle soit. Il s'agit ici d'une réflexion totalement indigne de notre forum et qui n'élève pas son auteur, on peut débattre de politique et etre d'avis opposés mais dans ce cas précis il s'agit de tout autre chose.

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Bonjour

Toujours plus répugnant ,venant d'un député de droite.

Des tests génétiques pour le regroupement familial

LE MONDE | 13.09.07 | 11h39 • Mis à jour le 13.09.07 | 11h49

Les députés ont franchi un pas, mercredi 12 septembre, dans la gestion de l'immigration : la commission des lois de l'Assemblée nationale a adopté un amendement autorisant le recours aux tests ADN lors de la délivrance des visas de plus de trois mois. "En cas de doute sérieux sur l'authenticité de l'acte d'état civil", les agents diplomatiques ou consulaires pourront "proposer" au demandeur d'un visa "d'exercer, à ses frais, la faculté de solliciter la comparaison de ses empreintes génétiques aux fins de vérification d'une filiation biologique déclarée". Si cet amendement était retenu, la pratique des tests ADN pourrait devenir massive : les procédures de regroupement familial impliquant des enfants concernent 23 000 demandes par an.

Au nom de l'éthique, les tests génétiques de filiation sont strictement encadrés par la loi : en vertu de l'article 16 du code civil, "l'étude génétique des caractéristiques d'une personne ne peut être entreprise qu'à des fins médicales ou de recherche scientifique". Les procédures de regroupement familial ne répondent pas à ces critères prévus par la loi "relative au respect du corps humain". L'auteur de l'amendement contesté, le député (UMP) du Vaucluse Thierry Mariani, a prévu que les nouvelles dispositions sur l'immigration interviendraient "par dérogation" à l'article 16 du code civil. Pour le député, ces tests "sûrs et rapides" permettront de répondre à la "fraude documentaire". Pour s'efforcer de démontrer l'importance de cette fraude, M. Mariani s'est appuyé sur un rapport du sénateur (UMP) de la Haute-Loire, Adrien Gouteyron.

Dans une étude rendue au mois de juin, le sénateur (UMP) Adrien Gouteyron avait mis en doute l'authenticité des actes officiels d'état civil fournis par les familles sollicitant des demandes de regroupement familial. Selon M. Gouteyron, "dans certains pays, comme le Sénégal, la Côte d'Ivoire, les deux Congo, le Togo, Madagascar ou les Comores, de 30 % à 80 % des actes d'états civils sont frauduleux".

Lors des débats en commission, cet amendement au projet de loi sur l'immigration introduisant des tests ADN pour authentifier les filiations a été combattu jusque dans les rangs de la majorité. "En matière de filiation, rien ne repose, en droit français, sur la biologie, souligne le député (UMP) du Morbihan, François Goulard. On peut très bien reconnaître un enfant sans en être le père biologique. L'imposer à un étranger, parce que l'on met en doute son état civil, c'est contestable et déplacé." Les députés socialistes ont eux aussi contesté la légitimité de cette mesure. "Qui, dans les pays d'origine, va mettre en place ces tests, quels laboratoires ?, s'alarme Serge Blisko. Comment être sûrs que l'on ne se retrouvera pas avec des tests bidons ? Et que va-t-il se passer pour les enfants adoptés, voire illégitimes mais non révélés ?" Cet amendement pose en effet beaucoup de questions. En Europe, comme dans tous les pays du monde, les filiations juridiques ne correspondent pas toujours aux filiations biologiques : depuis une vingtaine d'années, les avancées de la génétique ont permis de démontrer que les enfants illégitimes sont beaucoup plus nombreux que l'on ne l'imaginait. Selon la revue scientifique The Lancet, au moins 2,7 % des déclarations de naissance seraient "fausses" au sens où elles ne correspondent pas aux parents biologiques. Les chercheurs qui étudient la transmission des maladies génétiques sur plusieurs générations disent écarter 5 % voire 10 % de leurs échantillons en raison des discordances de filiation.

Ces incertitudes sur les filiations sont si fortes qu'en France, la pratique ouverte des tests ADN est formellement interdite : le recours aux empreintes génétiques ne peut être ordonné que par un magistrat, dans le cadre d'une procédure touchant aux liens de filiation. En cas d'infraction, la loi bioéthique de 2004 prévoit une peine d'un an d'emprisonnement et 15 000 euros d'amende. Les Français qui souhaitent vérifier leur paternité sont donc obligés de s'adresser clandestinement, via Internet, à des laboratoires étrangers situés dans des pays où la loi est plus clémente, comme la Suisse, la Belgique ou l'Espagne.

Si les procédures de visa comprennent des tests génétiques, certains pays du Sud auront probablement du mal à assurer la disponibilité des tests. La plupart des laboratoires sont situés en Europe, aux Etats-Unis et au Canada et ils imposent des conditions de prélèvement complexes : les fragments corporels – cheveux, frottis buccaux – doivent être prélevés avec du matériel stérile avant d'être envoyés par La Poste. Les tarifs de ces laboratoires sont en outre très élevés : actuellement, ce type d'analyse coûte de 200 à 600 euros.

Dans son amendement, le député Thierry Mariani a pris garde de ne pas faire du test ADN une obligation : les autorités consulaires ou diplomatiques pourront simplement le proposer aux candidats. Mais les demandes de regroupement familial sont déjà si difficiles que les associations craignent qu'un refus de prélèvement entraîne un rejet de la demande. "On aperçoit clairement les risques de dérives, explique la juriste Danièle Lochak, ancienne présidente du Groupe d'information et de soutien des immigrés (GISTI). Il est évident que le demandeur qui le refusera aura toutes les chances de se voir refuser son visa. Et demain, des voix s'élèveront pour imposer ces tests aux étrangers qui se disent parents d'enfants français."

Anne Chemin et Laetitia Van Eeckhout

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ça me déplairait pas mais attention lorsqu'on touche à la première dame de France, c'est une icône pour certaines personnes de ce forum.

à bon entendeur, salut !

Il ne s'agit pas d'etre une "icone" ou autre chose, c'est Juste une question de correction envers une personne quelle qu'elle soit. Il s'agit ici d'une réflexion totalement indigne de notre forum et qui n'élève pas son auteur, on peut débattre de politique et etre d'avis opposés mais dans ce cas précis il s'agit de tout autre chose.

Jube, Domne, benedicere !

Pape_Benoit_XVI_b.jpg

Daigne, Seigneur, accorder ta bénédiction

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Bonjour

Les occupations de sarko 1er ,donner aux plus opulents et faire croire qu'on fait quelque chose pour la plèbe.

Le président tout-info

LE MONDE | 14.09.07 | 14h13 • Mis à jour le 14.09.07 | 14h13

C'est un président qui s'ennuie au mois d'août près des pontons de Wolfeboro. Alors il téléphone. A François Fillon, son premier ministre, et à Claude Guéant, son secrétaire général, bien sûr. Mais aussi aux conseillers, aux petites mains de l'Elysée. Loin de la France, il a le sentiment que les choses lui échappent. Au cours d'un aller-retour à Paris pour les obsèques du cardinal Lustiger, il a confié à l'un de ses interlocuteurs : "Je veux que les Français sachent que je m'occupe d'eux, même en vacances."

Ah ! Ces foutues vacances... Si longues, si vides d'action. Un autre jour, il appelle un de ses collaborateurs.

Sarkozy. "Quel est l'état d'esprit des parlementaires ?

Le conseiller. - Tu sais, ils sont tous en vacances.

Sarkozy. - En vacances ? Ah les cons !"

Aussi, ce dimanche 19 août, quand, tout juste rentré dans la matinée de son séjour américain, il réunit ses principaux collaborateurs à l'Elysée, c'est une tornade qui s'abat sur eux. Gonflé à bloc, boulimique d'action, il tempête et vitupère. Angoisse de voir les ministres prisonniers de leur administration ? Panique devant le temps qui fuit inexorablement ? Le président a décidé d'accélérer encore le tempo. "Pourquoi n'y a-t-il rien à mon agenda ?, s'agace-t-il, dans un mouvement d'épaule. Et ce dossier, pourquoi je ne l'ai pas reçu ? Je le veux demain." Au passage, il lance une recommandation : "Je veux que vous travailliez avec un coup d'avance." Même si les sondages le portent encore haut, le chef de l'Etat a bien noté qu'il obtenait une adhésion plus faible sur certaines de ses réformes. Il en a tiré un axiome : "C'est parce que je bouge que les Français me suivent."

Agir, quitte à survoler les problèmes. Réagir, quitte à se laisser guider par son émotion. De candidat qui inquiète, Nicolas Sarkozy est passé sans transition au statut de président qui bouscule. Qui recadre. Qui colle à l'actualité. Qui fait des coups. Et les réussit. "Il ne tiendra pas", murmurent les sceptiques, les habitués du train-train chiraquien déboussolés par l'express Sarkozy. "On va se faire allumer comme des perdreaux si on reste immobiles. Je veux aller encore plus vite", a-t-il expliqué à ses conseillers.

Alors, le président a rempli son calendrier jusqu'à la gueule, les conseillers ont remis en chantier les projets de réformes et les journalistes ont suivi, au rythme d'un déplacement par jour ou presque. Bayonne, Ajaccio, Strasbourg, Rennes, Berlin, Budapest : le chef de l'Etat veut être partout à la fois, "créer le message et l'événement pour prendre l'opinion de vitesse", comme le raconte l'un de ses conseiller.

Le jeudi, David Martinon, porte-parole de l'Elysée, officialise l'agenda du chef de l'Etat. Journée noire pour les journalistes accrédités à l'Elysée. Ce jour-là, ils doivent modifier le leur, annuler des rendez-vous avec leurs sources, déplacer des déjeuners, retarder la rédaction de certains articles. Car chaque jour ou presque est l'occasion d'un déplacement. "C'est un effet heureux de cette méthode", s'amuse un ministre. Transportée de Transall en bus sur tous les fronts de "l'actu Sarko", la presse tente de conjurer le piège.

Mais pour décrypter, analyser, expertiser, il faut du temps. Et quand celui-ci se présente enfin, le président est passé à un autre sujet, et la presse à une autre polémique.

Cette nouvelle forme de zapping fait des heureux : les chaînes d'information continue. Organisant son agenda comme un rédacteur en chef du journal télévisé son "déroulé", alternant temps forts et temps faibles, Nicolas Sarkozy a anticipé le mode de fonctionnement des nouveaux médias. "C'est du pain bénit, s'enthousiasme sans fard Jean-Claude Dassier, patron de LCI. Il fait vivre la chaîne. Avec lui, ça bouge !" Trop ? "Il crée l'actu en permanence, explique Valérie Lecable, directrice générale d'i-télé. Notre boulot, c'est de donner l'info. On ne va pas s'autocensurer au prétexte qu'il y aurait trop de Sarkozy."

Les chaînes généralistes ont maintenant deux journalistes accrédités à l'Elysée, là où un seul suffisait du temps de Jacques Chirac. L'afflux d'images oblige à des choix draconiens. "C'est d'autant plus épineux que Sarko sait rendre les sujets intéressants", admet François Bachy, chef du service politique de TF1. A France 2 aussi, on tente de mettre de l'ordre et du sens dans l'agenda du président. "Nous essayons de ne pas nous enfermer dans le compte rendu quotidien, explique Michaël Darmon, journaliste accrédité à l'Elysée. Ce qu'il faut, c'est dispatcher Sarkozy dans les services afin d'apporter de l'expertise."

Après un début de mandat dominé par les questions internationales (G8, traité européen simplifié, infirmières bulgares), et les premiers signes de dégradation de l'économie, le président de la République a senti qu'il devait revenir sur le terrain. "Les craintes sur le pouvoir d'achat l'ont obligé à faire preuve de créativité. A trouver d'autres territoires de réformes", avance un collaborateur. Georges-Marc Benamou, son conseiller pour la culture et la communication, témoigne : "Selon lui, les débuts de mandat créent une dynamique sur laquelle il faut s'appuyer. Je l'avais entendu de la bouche de Mitterrand comme je l'ai entendu de la sienne : "Quand on a 50 ans et qu'on a été élu pour la première fois, on peut vraiment réformer.""

Le chef de l'Etat dispose d'un atout que ses prédécesseurs n'ont jamais utilisé avec autant de maestria : son agenda. Il le fait et le défait tous les matins, à partir de 8 h 30, lors d'une réunion avec une dizaine de proches collaborateurs, au gré des propositions et de son intuition du moment. Chef de cabinet, Cédric Goubet en est l'organisateur. Mais le président en reste "le grand architecte". "L'agenda est un outil stratégique et politique à part entière, explique Goubet. Il ne veut pas le subir. Il le veut vivant, souple et réactif. C'est pour lui une pâte à pétrir et une manière de garder ses collaborateurs sous pression."

Afin de ne pas se laisser "enfermer dans le palais" et de "garder le fil avec les Français", Nicolas Sarkozy modifie, ajoute, supprime jusqu'au dernier moment les cases de son emploi du temps. Dernier exemple, le 12 septembre, avec l'annulation in extremis d'un discours très attendu par les syndicats. Ce jour-là, Nicolas Sarkozy a tout annulé pour honorer sa promesse de se rendre aux obsèques d'un policier tué accidentellement alors qu'il assurait la sécurité d'un déplacement présidentiel. Le compassionnel, plutôt que l'institutionnel.

Par nature, il compatit sincèrement ; par calcul politique, il connaît les avantages de la posture. Le matin du 22 août, il découvre, indigné, le reportage de LCI sur ce lycéen de 17 ans, d'origine angolaise, victime d'insultes racistes de la part de son professeur. "C'est inadmissible, dit-il un peu plus tard devant ses conseillers. Je veux recevoir ce garçon et son père." Mais c'est Cédric Goubet qui lui propose de recevoir le mari et la soeur des deux infirmières assassinées le 18 décembre 2004 à l'hôpital de Pau par un déséquilibré, meurtres pour lesquels un non-lieu psychiatrique a été prononcé en août - et immédiatement contesté en appel. "Leur lettre est arrivée sur mon fax. J'ai tout de suite compris qu'elle intéresserait le président", explique M. Goubet.

Tout y est : la douleur des victimes, l'insensibilité de l'administration. Deux jours plus tard, le 24 août, en marge d'un déplacement à Bayonne, le chef de l'Etat recevra les signataires de la lettre, se plaçant délibérément à leurs côtés. "Il aurait pu être un formidable patron de rédaction, explique un proche. Il sent les sujets." "Il a fait tous les métiers de la politique, explique Catherine Pégard, sa conseillère spéciale, ancienne rédactrice en chef du service politique du Point. Il sait comment la presse restituera un événement."

Une petite cellule à l'Elysée s'occupe tout particulièrement de repérer, 24 heures sur 24, les faits d'actualité susceptibles de requérir l'attention du chef de l'Etat. "Ça existait déjà, explique Emmanuelle Mignon, directrice de cabinet du président, je l'ai simplement étoffée." Et professionnalisée. Outre les gendarmes et les policiers qui la composent, Emmanuelle Mignon a fait venir des "gens de la société civile". Comme par hasard, il s'agit d'étudiants d'une école de... journalisme.

Il est loin, en tout cas, le temps où Jacques Pilhan, conseiller en communication pour François Mitterrand puis pour Jacques Chirac, théorisait la rareté de la parole présidentielle. De cette théorie, Nicolas Sarkozy n'a rien gardé. "Le dogme Pilhan ne correspond plus à notre époque", explique Catherine Pégard.

"Mon élection est la conséquence du changement de la société, et non pas sa cause", aime à dire le chef de l'Etat. Tous les conseillers s'accordent sur un point : "Quand le président parle avant, ça se passe plus facilement après, ça fait bouger les conservatismes." Alors qui pourrait lui dire de restreindre son expression, de raréfier ses apparitions ?

A l'Elysée, personne ne s'inquiète du jour où cette suractivité passera pour une manie, où le compulsif l'emportera sur le compassionnel. "Pourtant, le président sait aussi prendre le temps de réfléchir, raconte un proche. L'autre jour, de la fenêtre de mon bureau, je le voyais lire ses dossiers. C'est une image qu'on ne voit jamais." Jusqu'à quand ?

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Il s'agit ici d'une réflexion totalement indigne de notre forum et qui n'élève pas son auteur

Venant de toi, je prends ça pour un compliment. :Smiley_01:

Il ne s'agit pas d'etre une "icone" ou autre chose, c'est Juste une question de correction envers une personne quelle qu'elle soit.

Erreur ! Ce n'est pas Madame tout le monde, c'est la première dame de France qui contrairement à Madame Danielle Mitterrand et Madame Bernadette Chirac qui sont restées dans leur rôle subalterne à l'ombre de leur époux, Madame Sarkozy s'est mise en avant en effectuant une mission qui revenait de fait au ministère des affaires étrangères.

Si le dénouement de cette histoire connait une fin heureuse, il y a fort à parier que sa réalisation devait mettre en avant l'ambition personnelle du couple présidentielle afin qu'il sorte grandi et auréolé à la face du monde.

Pensée à Madame Íngrid Betancourt

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